La journée avait été riche en émotions. Réveillée de bonheur par ma maman, pour parler au téléphone, alors que je commence à dix heures et demie, non elle appelle à sept heures. A bavarder, pendant plus de trois heures, pour continuer à me raconter, les ragots du village, les choses inutiles et chiante de la vie, et le fait qu’elle aimerait tellement que je me mari avec Jason, mon meilleur ami, et mon « ex », si je puis dire. Partir, en vacances en famille ? Quel idée, mais je comprenais mieux son manège quand elle osait enfin me préciser que la famille de Jason, serait invitée a son tour. Je soupirais, essayant de plus en plus de trouver une excuse potable, pour pouvoir raccrocher, sans qu’elle le prenne mal. L’excuse ? Facile. Je devais aller rejoindre Jason, totalement faux, mais bon. L’heure était déjà arrivé d’aller en cours, je me dépêchais et partait a pied jusque l’université. Sur la route, je pensais, a tout les problèmes que j’allais avoir dans cette futur journée à venir. Le premier, ma mère, la plus grande commère du monde. A peine arrivée en cours, que je recevais les premiers texto de la tante de Jason, heureuse de savoir que je fréquentais a nouveau son fils. Pourtant j’avais bien dit rejoindre, pas autre chose. Les cours, furent long, remplis d’appel auquel je ne pouvais évidement, répondre et tant mieux en même temps. En sortant, j’espérer ne pas tomber sur Jason aujourd’hui. Voyant sa voiture, sur le parking, je me dépêchais de trouver la mienne, tout en fonçant dans une personne, comme si j’avais de la chance, il s’agissait de Jason. Franchement, dans le genre, la fille la plus malchanceuse de la terre, je suis le numéro un. Finalement, après l’appel de ma mère, et les messages de sa tante, il l’avait bien pris, d’ailleurs ça le faisait rire, ce qui n’était pas du tout mon cas. Je le regardais, avec mon air désolé et ce fut avec lui, que je finissais la journée. Café, parc, glace, rigolade et bon copain. J’adorais cette journée. Le temps passait, il était de temps de rentrer, et de voir si mon rendez vous de ce soir tenait toujours. J’espérer, mais avec lui on se sait jamais rien, d’ailleurs pour le joindre, c’est la vrai galère. Un beau au revoir, a mon grand ami, et je rentrais a la maison.

Salle de bain, quatre mur pourtant simple, mais très important pour une fille. Je prenais une douche, puis séchant mes cheveux, je réfléchissais a une tenue a porter. Après le séchage, le lissage. Une petite heure passait, enfin, l’heure véridique, la tenue. Retournant toute mon armoire, j’optais pour un jean slim foncée, des belles bottes a talons, passée en dessous du jean’s, un débardeur, et une veste rose Ambercombrie and Fitch, au dessus. Je regardais l’heure et j’avais déjà un quart d’heure de retard. Sortant, de la salle de bain, je pris mon sac, mes clés de voitures et partait, direction le cinéma. Arrivant la bas, le temps de la route, j’avais désormais une demi-heure de retard. Toujours pas de messages, de lui. Je sortais de la voiture l’attendant devant. Je soupirais, et regardait les minutes passaient. Après une heure et demie de retard, je le voyais arriver tout souriant. Je soupirais et marchais vers ma voiture. Ne posant aucun regard sur lui et balançant une phrase a la vite fait. « Tu es en retard d’une heure et demie ». Je cherchais les clés de la voiture dans mon sac et son bordel, afin de rentrer chez moi. Après on ose dire que les femmes ne sont jamais a l’heure.

Le mercredi était la plus grosse journée de cours de Blythe. Non pas qu’il prenait des cours, mais plutôt qu’il en donnait, il en donnait à de charmantes élèves, qui bizarrement étaient toutes au premier rang. Ah qu’est ce qu’il aimait son métier, c’est un peu le point positif de sa carrière professionnel. Une fois n’est pas coutume, quelques filles arrivèrent près de lui pour parler à la fin. Mais aujourd’hui il ne pouvait pas, il doit retrouver sa petite amie, une petite amie qu’il ne voit pas très souvent, enfin pas assez à son gout. Un petit coup d’œil sur son téléphone, et Blythe vit de nombreux appels manqués, et de messages reçus. Il fit un signe négatif de la tête aux filles qui arrivaient vers lui puis partit directement au cinéma. Bon okay il avait une heure et demie de retard, mais ce n’était absolument pas sa faute, enfin si mais non. Il a juste oublié qu’il avait reporté un cours plus tard dans la journée. Ne faisant pas attention à la route, Blythe fonça littéralement vers le cinéma, où il trouva une place libre assez rapidement. Il sortit rapidement de sa voiture, et avança d’un pas pressé vers le cinéma. Lorsqu’il aperçut Cappie le jeune homme se mit à sourire, met le retira aussitôt en la voyant partir. Il fronça alors les sourcils, puis se mit légèrement à courir vers elle. « Tu es en retard d’une heure et demie » lui dit-elle. Okay le ton était donné ! Elle lui en voulait et vu le nombre de regard qu’elle lui donnait, ce qui veut dire aucun, elle lui en voulait terriblement. « Cappie excuse moi, j’ai oublié que j’avais reporté un cours dans la soirée … » Blythe posa alors ses mains sur ses bras et la tourna vers elle, pour lui faire face. Il reprit alors la parole en lui prenant une de ses mains. « Allez viens on va regarder le film … Ou si c’est trop tard, on peut aller manger du popcorn ou jouait aux jeux dans le hall … S’il te plait Cappie ne m’en veux pas ! »

Oui, il ne faut pas qu’elle lui en veuille, parce que même si c’est de sa faute, ça lui ai complètement passé par la tête, ce n’est pas de sa faute ! Dur à comprendre hein ? J’avoue ! Blythe la regarda alors dans les yeux, puis lui offrit un petit sourire désolé, et à nouveau cette petite piplette reprit la parole, ne quittant pas un seul instant son regard. « J’ai voulu te prévenir, mais je n’ai plus de batterie, et je n’ai pas eu une seule minutes à moi entre les cours, je sais que ce n’est pas la première fois que je suis en retard pour un de nos rendez vous, mais c’est vraiment pas fait exprès ! » Oui il faut l’avouer, plus d’une fois il a été en retard à leurs rendez fous, voir carrément lui poser un lapin. Il lui avait fait une fois, je parle de poser un lapin, pour la tromper avec une autre, encore une de ses élèves qui l’avait attendu en fin de cours. Blythe se rapprocha alors un peu de Cappie et la fit reculer contre sa voiture, il se mit contre elle, et lui vola un baiser. « Arrête de bouder blondie, je suis là maintenant, c’est le principal non ? »

Oui c’était bien la première fois qu’il l’embrasser en public, que voulez vous ! Il fallait bien une première fois à tout, il l’avait bien présenté pour la première fois à ses parents il y a quelques jours. En fait, le jour de son anniversaire, le 17 juin, où il avait invité ses parents et Cappie à manger chez lui. Une soirée assez agréable, c’était la première fois qu’il pouvait être lui-même devant les personnes en compagnie de Cappie, se comporter en amoureux quoi ! C’est surement parce qu’il connait très bien et ses parents, et sait qu’ils sont très directe, d’ailleurs le lendemain au téléphone, sa mère et son père avaient dit le plus grand bien sur Cappie, mais en soulignant légèrement le problème de l’âge. Mais bon, faut dire qu’ils ont un peu l’habitude de ce genre de situation, Blythe a souvent ramené des filles beaucoup plus jeune que lui. Enfin bref, Blythe était là, en train de regarder sa petite amie, mais surtout en essayant de la garder avec lui, d’éviter que celle-ci ne le laisse en plan à son tour.

Le voir arriver, me fut d’abord plaisir puis, je devenais, énervée, il venait, certes mais avec une heure et demie de retard, sans excuses vraiment valable comme d’habitude. Son sourire, me fit aussi plaisir, mais ensuite, je revoyais qu’a chaque fois, je le pardonne, juste pour son sourire. Je restais face a ma voiture, et restait très en colère. Soupirant, j’entendais son excuse bidon, comme a chaque fois. Je le restais, contre ma voiture. « Alors ? Elle était comme aujourd’hui ? Brune, blonde, rousse ou brun foncée tient. Elle était belle j’espère, confortable ton bureau ? ». Le ton était lancée, ce soir ne serait pas une soirée paisible comme on aurait pu le prévoir. Je l’écoutais bavarder, encore et encore, et vraiment ça commençait à me saouler. Il me retournait, tellement vite, que je ne pouvais rien dire, je baisais d’abord la tête, ne voulant pas le regarder, dans les yeux, puis je levais la tête, fier, pas comme les filles qui vont le pardonner, dès le premier sourire. Une fois, qui lui pris la main, elle l’écoutait mais quand l’heure est venue de reprendre la parole, elle le regardait et lui lâchais violement la main. « Jeux vidéos ? T’es sérieux ou tu le fais exprès. Je suis plus une gamine, j’ai vingt ans et les jeux vidéo c’est pour les idiots. Je suis en pleine hallucination, c’est pas possible. » J’en avais plus que marre, des ses excuses, a chaque fois c’était les mêmes réponses idiotes, j’ai plus de batterie, j’ai du reporter un cours. A la place, il faisait des cours d’anatomie non ? Quelques fois, j’avais envie de tout laisser tomber, c’était trop chiant, trop encombrant des histoires comme ça, qui coute que coute vous ferait souffrir. Je soupirais, je n’eu le temps de réagir, devant son baiser, je fus même surprise qu’il le fasse dans la rue, ou tout le monde aurait pu nous voir. Il était la, c’était le principal pas vraiment. « Non, c’est pas le principal, Blythe, pas du tout … ». Je le regardais, et fermant, mon sac, je marchais dans la rue, vers la direction de chez moi. Je viendrais surement chercher ma voiture demain.

Durant le trajet a pied, je pensais. Le 17 juin, le jour ou je pensais que ça devenait vraiment sérieux, surtout quand on présente quelqu’un a ses parents. Je m’en rappelle bien, d’ailleurs c’était comme une idiote que j’avais stressé toute la journée, pour rien en réalité. J’avais passé, une assez bonne soirée, j’avais essayée de restait simple, sans trop de froufrou, de rester moi-même, celle que Blythe aimé a prêt tout, mais aimer c’est un grand mot. La première question que j’avais eu le droit : Quel âge avez-vous ? Le problème était déjà sur la table dès le début de la soirée. Cela, dit j’avais quand même eu l’impression que ses parents m’avait apprécié je dirais. Durant le chemin, ma colère s’accentué de plus en plus. Passant devant une fille très jolie, qui d’ailleurs regardait, Blythe. Je l’ai pris et la mise devant lui. « Tiens, présente la a tes parents, elle a doit avoir mon âge ! Puis je me tournais vers la jeune demoiselle et répliquais. Par contre, je vous préviens, il pose beaucoup de lapin, et arrive souvent en retard, si il est a l’heure c’est mauvais signe ». Je regardais, Blythe, lui faisant un clin d’œil au passage, puis je continuais mon chemin a pied. Cette fois ci, ça n’allait pas se régler, facilement. Il était temps pour moi de réagir, jouer a chaque fois, les copines bien gentille, qui pardonne tout non, ce n’était pas moi et d’habitude son sourire ou autre aurait changé la donne, mais la trop c’est trop.

« Alors ? Elle était comme aujourd’hui ? Brune, blonde, rousse ou brun foncée tient. Elle était belle j’espère, confortable ton bureau ? » Quoi ? Cappie était au courant ? Blythe restait de marbre face à ça, en même temps il n’allait pas lui dire « oui une belle blonde, comme toi, en fait ton portrait. » Premièrement parce que ça ne se faisait pas, mais deuxièmement parce qu’il ne la pas trompait depuis un petit moment, enfin deux semaines, mais c’est déjà mieux, puisqu’avant dés qu’il le pouvait il la trompait. Blythe la regarde quelques secondes, pour voir si elle plaisanter mais pas du tout, il soupira puis lui répondit. « Arrêtes de dire des conneries, j’ai vraiment eu un cours, appel la fac si tu n’as pas confiance en moi ! » A peine sa phrase terminait que Blythe la retourna pour qu’elle lui fasse face. Il détestait ce genre de comportement, ou plutôt il adorait regarder la personne dans les yeux quand il lui parlait. Blythe est un grand gamin, il adore les jeux vidéos, c’est un peu un grand geek, il a déjà eu toutes les consoles possibles de jeux vidéos, un jeu vidéo ne dure que trois jours grand maximum chez lui, puisqu’il se presse de le terminer pour le ramener, et l’échanger avec un autre.

« Jeux vidéos ? T’es sérieux ou tu le fais exprès. Je suis plus une gamine, j’ai vingt ans et les jeux vidéo c’est pour les idiots. Je suis en pleine hallucination, c’est pas possible. » Bon okay en l’espace de quelques secondes il n’avait pensé qu’à ses envies, il a cette facilité de rester des heures devant les jeux vidéos. Pour simple réponse, le jeune homme lui lança d’un ton presque normal, voir zen « Calme-toi … ». Blythe tenta de s’excuser, en lui disant qu’il n’avait pus la prévenir par faute de batterie sur son portable, enfin il lui restait qu’un trait de batterie mais à tout moment il pouvait s’éteindre donc il ne lui a envoyé aucun sms. Après ses mini excuses Blythe la fit reculer, et la posa doucement contre la voiture, il se mit alors contre elle, et lui vola un baiser. C’était peu être un geste osé devant tout le monde, mais en ce moment il n’a pas trop la tête à ça, il a juste envie de se faire pardonner. Après ce baiser court certes mais agréable, il lui dit que le principal c’est qu’il était là, avec elle, bon avec de nombreuses minutes de retard, mais il était là, c’est le principal non ? Enfin du moins, c’est ce que ce beau brun pense.

« Non, c’est pas le principal, Blythe, pas du tout … » Lâchant un soupire, le jeune homme la regarda marcher. Il fronça les sourcils, mais que faisait-elle ? Ce bel étalon la suivit, il revint très rapidement à sa hauteur et marcha à ses côtés. Oui oui, il se fait tout petit là le Blythounet. Sur le chemin, par malheur, ils croisèrent une jeune fille, une jolie brunette qui était tout à fait le type du jeune homme : jeune – belle – très belle, et avec de belles formes. Blythe fronça les sourcils en voyant Cappie agir. Si elle ne lui en voudrait pas autant, Blythe aurait éclaté de rire en la voyant faire, mais la il faut mieux qu’il la met en veilleuse. Cappie mit la jeune fille devant Blyte, Blythe fit un petit sourire désolé à la personne. La pauvre, elle ne demandait rien, et se retrouver dans une crise dans un couple. « Tiens, présente la a tes parents, elle a doit avoir mon âge ! … Par contre, je vous préviens, il pose beaucoup de lapin, et arrive souvent en retard, si il est a l’heure c’est mauvais signe ». Blythe se mordilla la lèvre, puis attendit que Cappie reprenne son chemin pour s’excuser : « Désolé du dérangement, faut l’excuser ». Blythe sourit, puis reprit son chemin lui aussi.

Arrivé à sa hauteur, Blythe prit la parole. « Ca va ? Tu as fini ton petit manège ? Tu as finis de te montrer en publique ? Tu vois c’est pour ça que je ne veux pas que notre relation soit connus de tous, parce que je savais qu’un jour ou l’autre tu péterais les plombs et me ferais une crise en pleine aire ! » Blythe la regarda puis reprit la parole : « Je vais le répéter parce que tu dois avoir de la merde dans les oreilles, je reviens d’un cours que j’ai donné à une classe de 50 élèves, ce cours était hyper long et stressant, parce que je ne pouvais pas te prévenir par faute de batterie sur mon portable ! Alors maintenant, fais la gamine, rebelle toi, ou fais tous ce que tu veux mais tous les deux on sait très bien que ça ne va pas durer … » Blythe lui prit sa main, et l’attira à nouveau contre lui. « Tu sais aussi, que tu n’es pas une copine comme les autres, que toi et moi c’est du sérieux, sinon pourquoi je t’aurais présenté à mes parents ? Qui d’ailleurs semble fortement t’apprécié malgré notre différence d’âge ... Donc je t’écoute, qu’est ce qu’il te prend aujourd’hui ? Tu as tes règles ou quoi ? Tu veux quoi ? Qu’on se montre devant tout le monde, tu en as peut être marre de notre relation ou bien … Vas y dit moi ce que tu as, et on verra pour changer ça … »

C’était bien la première fois, en six mois de temps que je m’énervais contre lui. Marre des mensonges, des lapins, des retards, surement mais marre de ne jamais pouvoir être avec lui aussi. Il faut dire que sa phrase me fit bien rire sur le coup. « Arrêtes de dire des conneries, j’ai vraiment eu un cours, appel la fac si tu n’as pas confiance en moi ! ». Je soupirais, franchement, il remettait la faute sur moi ? Je n’arrivais pas à y croire, était-il sérieux la, vraiment sérieux ? Je le regardais droit dans les yeux et posant ma main sur lui, j’attendais un moment avant de prendre la parole. « Tu te fous de moi la ? Tu remets la faute sur moi ? Comment vu tu que j’ai confiance. Et ne me dis pas que tu ne m’as jamais trompé ok ? Parce que la c’est sur je te crois pas et tu sais pourquoi ? Je laissais un blanc, c’était une sorte de question rhétorique, naturellement il ne savait pas pourquoi, je repris doucement. Quand tu étais absent l’autre fois, partie je ne sais pas quoi, quelqu’un a appelée chez toi, j’ai décroché c’était Lucie qui cherchait son je cite « sex friend. ». J’aurais pu croire a une erreur, si elle n’aurait pas appelait six fois. ». Je le regardais, droit dans les yeux, une petite larme coulait sur mon visage.

J’essayais vraiment de me calmer mais si il croyait que ce n’est qu’en me disant calme toi que ça allait marcher, c’est encore pire que quand il essaie de se faire pardonner, avec son sourire, a la noix mais très sexy. Après lui avoir, présenté la jeune fille, je repris mon chemin, d’ailleurs ayant entendu ces excuses, je ne comprenais pas pourquoi, il s’excuser. Je l’écoutais parler, mais franchement, je voyais que pour lui toute était ma faute. Je soupirais et le regarder vraiment dans les yeux. « Oui, je vais bien. Et non, je n’ai pas fini mon manège, ça te va comme réponse ? Oui, si on s’affiche pas c’est ma faute c’est ça … n’importe quoi. ».

Je commençais à marcher, mais très vite, repris la parole. Je me retournais pour l’écoutais à nouveau. Je restais choqué, de un il me parlait mal et de deux, j’étais une gamine. « Je suis une gamine ? Qu’est ce que tu fais encore avec moi alors, je serais toi, j’aurais déjà été voir ailleurs, que dis-je tu l’as déjà fait. ». Je le regardais dans les yeux, essayant de ne pas montrer mes sentiments, je n’aimais pas me disputer avec lui, mais quelques fois on devait bien le faire un jour ou l’autre, alors pourquoi pas maintenant. Je soupirais, mais eu un léger sourire, lorsqu’il m’attira tout contre lui. Je ne répondais pas pour l’instant, restant de marbre en l’écoutant parler. « C’est du sérieux vraiment ? Et tu trompes souvent les gens avec lequel c’est sérieux ? Juste pour info, pour voir si c’est normal ou non. Un léger blanc, s’abattait, je devrais peut être arrêté de lui parler de ça, je pris ma respiration, alors que quelques larmes coulaient doucement. Ahahah, comme si ce n’était pas si souvent dit, c’est pas quand tu as tes règles que tu es énervée, c’est plutôt quand la personne en face de toi t’énerve. Comme si j’en avais marre, de notre relation, je ne sais pas je voudrais peut être un copain, plus présent, peut être quelqu’un qui ne vas pas voir ailleurs, ou quelqu’un qui me dise au moins une fois je t’aime, peut être pas tout les jours mais deux fois dans la semaine, quelqu’un qui me prouve qu’il m’aime, qui arrive a l’heure au rendez vous. Dis moi, je suis sur que ça te dérangerais qu’on s’affiche toi et moi. Vrai ou faux ? ». Je le regardais, toujours proche de lui, alors que des gens passaient les uns après les autres dans la rue.

Blythe avait beau vouloir s’énerver, sa maladresse légendaire prenait le dessus. Ce disputer dans un couple chez lui était tout nouveau, surement parce que c’était vraiment la première fois qu’il restait aussi longtemps avec une fille. Déjà gamin, enfin 15-16 ans, Blythe était comme ça, il a toujours été comme ça. D’ailleurs sa première fois, il la fait avec une prostituée, très classe pour une première fois, hein ? Bien que le jeune homme ne voulait pas mettre la faute sur elle, parce qu’il le savait c’était de sa faute et seulement la sienne, il était en gros, en train de dire le contraire. Quel pauvre jeune homme ! Ces mots contre disaient ses pensées ! C’est grave docteur ? Enfin bref ! « Tu te fous de moi la ? Tu remets la faute sur moi ? Comment vu tu que j’ai confiance. Et ne me dis pas que tu ne m’as jamais trompé ok ? Parce que la c’est sur je te crois pas et tu sais pourquoi ? … Quand tu étais absent l’autre fois, partie je ne sais pas quoi, quelqu’un a appelée chez toi, j’ai décroché c’était Lucie qui cherchait son je cite « sex friend. ».J’aurais pu croire a une erreur, si elle n’aurait pas appelait six fois. » A tiens bah sa pour une nouvelle, c’est une nouvelle ! Pour la première fois depuis la discussion Blythe fut surprit.

Il n’est pas le genre de personne à faire sa sans prendre de précaution, en effet la règle numéro 1 : ne jamais appelé sur son fixe, et bizarrement cette Lucie avait oublié cette règle. Blythounet ne sait plus quoi dire, enfin il perd les mots, il stresse mais surtout il a le cœur qui se déchire lorsqu’il la voit pleuré. Rhooo comme c’est mignon ou pas ! Déposant doucement une de ses mains sur sa joue, il lui enleva cette petite larmichette. « Je suis désolé Cappie mais j’ai arrêté ça … Je veux dire … Je ne te trompe plus, j’aurais jamais dut commencer mais … » Mais il ne sait plus quoi dire, il est littéralement sur le cul. Une chose qu’il sait, c’est qu’il est amoureux de Cappie et qu’il ne la jamais dit. Aurait il peur d’une vraie relation amoureuse, les relations où on lance des je t’aime, des mots doux, où on se montre devant tout le monde. « Oui, je vais bien. Et non, je n’ai pas fini mon manège, ça te va comme réponse ? Oui, si on s’affiche pas c’est ma faute c’est ça … n’importe quoi. ». Blythe soupira et reprit aussitôt la parole. « J’ai jamais dis ça, c’est moi qui ne veut pas qu’on s’affiche pour pas que tu prennes en pleine figure les paroles blessantes de certaines personnes ! Excuse-moi de vouloir de protéger ! »

« Je suis une gamine ? Qu’est ce que tu fais encore avec moi alors, je serais toi, j’aurais déjà été voir ailleurs, que dis-je tu l’as déjà fait. » Maiiiiis il n’a pas voulu dire ça, enfin il n’a pas voulu l’insulter de gamine, c’est sortit tout seul. Cependant Blythe fronça les sourcils, lorsqu’elle répéta son infidélité. Blythe prit alors les choses en mains, enfin je veux dire qu’il commença à dire ce qu’il pensait. Et il commença, en disant qu’elle n’était pas une copine comme les autres, tout simplement parce qu’il est amoureux d’elle. Mais aussi il souligna légèrement que ses parents l’adoraient et qu’il ferait tout pour que leur relation marche, enfin il ne la pas dit clairement mais en gros le : « Vas y dit moi ce que tu as, et on verra pour changer ça… » Voulait dire ça. Seulement il se prit une mini claque, lorsqu’elle lui rappela à nouveau son infidélité. « Arrête avec ça … » Oui, il ne pouvait dire que ça. Whaooow elle attend vraiment beaucoup venant de sa part. Alors elle veut : un vrai petit ami, qui lui dise qu’il l’aime mais pas trop souvent, et qu’il soit à l’heure aux rendez vous. Sauf que tout le monde le sait, Blythe n’est pas une personne qui est à l’heure, il est constamment en retard.

« Dis moi, je suis sur que ça te dérangerais qu’on s’affiche toi et moi. Vrai ou faux ? » Blythe la regarda dans les yeux, puis reprit la parole. « Je voulais vraiment te protéger en ne m’affichant pas avec toi … Mais si tu n’as pas peur de recevoir des réflexions parfois blessantes okay ! On s’affiche ensemble ... Je … J’aurais jamais dut commencer parce que tu es une fille extra, mais je t’ai trompé depuis le début, mais j’ai arrêté je te le promets … Parce que » Mais euuuuuh ça veut pas sortir, pourtant il a envie de lui dire, mais ça veut pas sortir, genre sa bouche ne veut pas qu’il lui dise. Blythe la regarda dans les yeux puis reprit la parole : « Je suis bien avec toi, t’es ma première petite amie, enfin t’es ma première relation sérieuse … Et même si je te le dis pas, enfin la chose que tu aimerais entendre, ça veut pas dire que je le ressens pas. Bien au contraire ! Je … C’est un sentiment hyper bizarre mais à la fois tellement agréable, je tiens à toi Cappie … »

Blythe s’ouvre peu à peu, mais ce n’est pas pourtant qu’il va réussir à lui dire je t’aime aujourd’hui, enfin peut être qu’il va réussir ou peut être pas, mais il le ressent c’est le principal. « Je pensais que je n’avais pas besoin de te le dire parce que justement tu me connais à ce propos je n’aime pas me dévoilé, je n’ai pas envie de me prendre une claque et te voir partir à peine dit ses mots … Mais je ressens la même chose que toi tu ressens pour moi … » Blythe lui retira à nouveau toutes ses larmes, il posa son front contre le sien, puis passa ses bras autour d’elle, et reprit la parole. « Même si je te le dis pas ça veut pas dire que je suis amoureux de toi Cappie ! » Voilà et bim ! Une partie de ce qu’elle veut t’en entendre a été lâché ! Blythe lâcha un petit sourire, puis déposa un baiser sur son front.

Mes oreilles en prenait, tellement d’un coup. J’essayais de capter tout ce qu’il me disait sans oublier une seule phrase, mais quand une phrase me choqué un peu trop, j’en loupais une, et je comprenais plus trop quelques choses a la discussion. J’étais quand même contente, d’une chose, enfin il a avoué la vérité, il m’a déjà trompé, mais encore une dernière fois, je pardonnais comme d’habitude. J’avais bien compris, qu’il avait été surpris, de savoir, que j’étais au courant, a sa réaction, a ses paroles, ou il ne savait plus quoi dire, ou il cherchait quoi dire, rien que la vérité aurait suffit, juste une fois. Je ne lui avais jamais demandé des tonnes, seulement, quelques fois j’aurais aimé, qu’il fasse des efforts, pour que ça marche un peu mieux. Mais il est vrai, que c’était assez compliqué, on se voyait peu, a cause de la relation cachée mais aussi a cause de nos études, travail. Quelques fois, j’aurais bien aimée, tout laissais, tomber, passer à autre chose mais quand une relation devient sérieuse, c’est de plus en plus dur de passer à autre chose. Je me résignais à continuer ma vie ainsi, à l’aimer encore, même si cela peut faire mal.

Me protéger, ce mot me faisait assez rire, en réalité. Comment voulait-il me protégé, beaucoup de gens sortaient avec des personnes plus vieilles et je ne crois pas que dans la rues, les gens disent : Oh mon dieu, elle a vingt ans et lui vingt six, nos anges ne se lisent pas sur nos visages, et a coté de lui, je ne fais pas beaucoup plus jeunes, ou lui ne parait pas beaucoup plus vieux. J’étais quand même contente, il tenait assez a moi, pour vouloir me protéger, je trouvais ça assez mignon. Surement, que je lui en demandais trop, retard, amour, mots doux, oui ce n’était pas vraiment le genre de Blythe. Je souriais, et le regardais en même temps. J’avais envie de le prendre dans mes bras, et de l’embrassais mais je me retenais encore et encore en attendant, ses autres paroles.

Les autres paroles ? J’aurais finalement aimé qu’il ne dise rien, d’un seul coup, j’avais une envie furieuse de lui en mettre une, en plein dans le visage. D’ailleurs, sans le vouloir, il en pris une, après ma gifle, sa joue était toute rouge, comme jamais, je pense qu’il ne devais encore jamais lui en avoir une comme ça. Je le regardais, posant mes mains sur ma bouche et répliquais : « Je suis désolé … » J’étais vraiment désolé. Le problème c’est que ça phrase, me faisais vraiment mal. Depuis le début alors, c’est depuis le début, qu’il va voir ailleurs. Je ne sais pas comment, j’essayais de rester forte, et pourtant mes yeux se remplissais d’eau au fur et a mesure, mais aucune larmes ne coulaient, tous rester dans mes yeux, j’avais enfin, compris, je devenais forte, comme une fille qui a l’habitude d’en prendre plein la tête. Sa phrase d’après n’avait aucun sens, il tenait a moi, mais a chaque fois qu’il avait l’occasion de coucher avec la première pétase qui passe, il y allait.

Je souriais quand même, car malgré tout, il commençait à s’ouvrir, doucement mais surement. « Pardon ? Tu crois que je pourrais te mettre une claque parce que tu m’as dit que tu m’aimais ? » Ce garçon était complètement dingue, comme si j’allais le gifler pour ça. Une seule seconde après, j’avais un peu plus le sourire aux lèvres. « Même si je te le dis pas ça veut pas dire que je suis amoureux de toi Cappie ! ». Oh mon dieu, Blythe avait vraiment dit amoureux ? C’était la première fois, que j’entendais un mot comme ça venant de sa bouche, c’était tellement beau pour être vrai, qu’a mon tour j’avais aussi envie de jouer. Je le regardais droit dans les yeux : « Excuse moi, j’ai pas entendu ce que tu as dit … » Complètement faux, mais bon, tant qu’a faire, autant l’entendre deux fois par jour. Tout doucement la complicité revenait, je lui prenais tendrement la main, et la gardais, dans la mienne, mon front collé sur le siens.

Waooow c’est que Cappie avait de la force. Aussitôt après sa giffle, Blythe posa sa main sur sa joue, il ne comprenait pas. Et surement il ne comprendrait jamais les filles. Elle veut la vérité, il lui dit, et il se prend une gifle, il n’a pas un petit problème dans l’histoire ? « Je suis désolé … » Tu m’étonnes qu’elle soit désolée. Pas grave, Blythe ne retient pas la gifle, au contraire pour dire que ce n’est pas grave, il la colle littéralement à lui. Ne cherchez pas aucun centimètres, ni mêmes aucun millimètres ne les sépare. C’est en voyant son sourire, pendant qu’il parlait, qu’il se dit qu’il faisait le bon choix de s’ouvrir à elle. « Pardon ? Tu crois que je pourrais te mettre une claque parce que tu m’as dit que tu m’aimais ? » Blythe fronça les sourcils, et fit mine de réfléchir, il ne donna aucune réponse, en faite, sans se rendre compte, il venait de dire une connerie. C’est alors qu’il lui dit qu’il était amoureux d’elle, mais pas avec les mots « je t’aime » mais juste en employant le mot « amoureux » dans sa phrase et en l’associant à elle. Oui bah elle veut entendre ça depuis le début, donc il lui dit et puis il fera tout pour qu’elle lui pardonne.

« Excuse moi, j’ai pas entendu ce que tu as dit … » A ces mots, Blythe se mit à rire, il savait que c’était faux tout simplement parce qu’en entendant ce qu’il lui avait dit, le regarde de cette belle blonde avait changé. Blythe entrelaça les doigts puis fit mine de réfléchir, il la regarda dans les yeux en fronçant les sourcils. « J’ai dis que mes parents t’adoraient ! » Oui, bon okay je l’avoue, il se fou totalement d’elle, mais c’est une petite moquerie toute mignonne. Et puis ça aussi il lui a dit, et en plus c’est vrai. Il se mit alors à parler tout seul « Je suis sur que si je t’embrasse rapidement je ne me prendrais pas de nouveau une gifle ! » Blythe se mit à sourire, puis ne lui laissa pas le temps de répondre, que ses lèvres étaient posées contre les siennes, pour un baiser remplie de tendresse, d’amour, et de douceur. Bon okay, il faut l’avouer, Blythe fit durer le baiser tout en prenant ses mains dans les siennes pour s’assurer qu’elle ne le giflerait pas. Tenpis pour les personnes qui les regardent de temps en temps, il s’en fiche. Après tout c’est le choix de Cappie, celui de ne plus se cacher, enfin c’est ce qu’il a comprit.

Toute bonne chose à une fin, et le baiser prit fin. Cependant, Blythe laissa son visage au niveau de celui de Cappie, il dirigea alors ses lèvres vers une des oreilles de Cappie. Dans un premier temps il déposa un baiser sur sa tempe, puis reprit la parole, avec un petit sourire. « Moi avoir dit … Moi aimait toi ! Toi avoir compris maintenant ? » Comment ça il se fichait un peu d’elle, en parlant le langage « petit nègre ». Blythe se redressa alors, bah oui faut pas oublier qu’il fait deux ou trois têtes de plus qu’elle. C’est que Cappie parait vraiment petite à ses côtés. Blythe la regarda alors dans les yeux, puis regarda vite fait autour de lui. Aaaarf qu’est ce qu’il n’aime pas ça. Il tourna une nouvelle fois la tête vers elle, pour plonger son regard dans le sien. « Et si on allait chez toi ? » Oui, il voulait quitter cette rue, et se retrouver avec elle en intimité chez elle. Blythounet déposa un baiser sur le front de sa petite amie, puis attendit une réponse.

Il l’avait bien dit au début de la conversion, cette dispute ne durera pas longtemps. Bon elle a cessé parce que Blythe c’est ouvert, sinon ils seraient encore en train de s’engueuler, et elle le giflerait de temps en temps. Sa fait quand même du bien de s’ouvrir, Blythe se sentait bien mieux, surtout vis-à-vis d’elle. Aujourd’hui était le jour des révélations, et il lui en avait dit une grosse partie. Il manquait juste la partie de son passé qui parlait de sa sœur, mais ça même pas la peine d’essayer, il n’est pas prêt pour ça. Limite il est plus prêt de lui dire je t’aime que de lui parler du décès de sa petite sœur. Passant doucement une de ses mains dans les cheveux de Cappie, il lui mit correctement une mèche de cheveux derrière l’oreille. Il passa alors son bras autour d’elle, et se mit à marcher à ses côtés. Bah quoi il applique ce qu’il a dit ! Il se montre avec elle en publique, même si ça lui fait bizarre, il le fait pour elle, enfin pour eux, pour leur couple.

Je me mordais, la lèvre doucement, j’avais légèrement peur, qu’il prenne très mal, la gifle, même si elle n’avait pas était assez forte pour moi. Mais très vite, je souriais, sans me dire un je t’aime a part entièrement me dire qu’il était amoureux de moi me suffisait amplement. Je gardais ma main, tendrement dans la sienne, et souriait. « Tes parents m’adorent, je suis super heureuse maintenant ». Une gifle, si il m’embrassait, quel idiot. Je souriais et voyant son visage s’approchait, je ne pu faire qu’un grand sourire, tout en gardant mes lèvres sur les siennes. Je sentais des regards se posaient sur nous, mais aucun n’était méchant, ou nous jugeait, c’était plus ceux, qui était du genre : oh qu’ils sont mignon. En même temps, en voyant la tête de Blythe, on ne pouvait le trouver que mignon. La baiser pris fin, mais je gardais le sourire, quand il me murmurait a l’oreille ces quelques mots, je rigolais. « On fait comme Tarzan ? » Pendant un moment un petit rire sortait de moi, et je souriais. Je me levais un peu et m’approchais de son oreille. « Hum .. tu l’as tellement bien dit que je ne sais plus quoi répondre. Je t’aime aussi Blythe ! ».

Chez moi ? Pourquoi pas. Je commençais à marcher, je sentais son bras se posait autour de moi et je souriais. Des gens, passaient dans la rue et quelques jeunes filles regardaient Blythe, surement un peu trop a mon goût, je ne disais rien, et le gardais près de moi, tout près. La route, pour allez chez moi, étant courte, je souriais, et profitait des derniers instant avec lui. Je possédais un loft, au troisième étage d’un immeuble. Je me décalais de lui, et tapais le code a l’entrée. Puis poussant la porte, il ne manquait plus qu’a monter deux étages et nous étions arrivés. Je souriais. Je mettais la clé dans la serrure, et poussais la porte de l’entrée du loft.

Jetant mon sac, a travers la pièce, je gardais ma veste sur moi, il ne faisait pas très chaud dans l’appartement. Je me baladais, sortant a boire du frigo, je le connaissais par cœur, une bière pour lui et un bon soda pour moi. Je venais a coté de lui, dans le canapé, lui tendant sa canette, puis je posais ma tête sur son épaule. « Et maintenant on fait quoi ? ». Tout doucement, je me levais et allumais la télé. Une émission banale et pourrit, je prenais la télécommande et changeait les chaines. Nul, nul, nul et encore nul. Que faire ? Une seule chose qui est bien les clips. Je me mettais doucement a chanter, puis prenant la tête de Blythe dans mes mains, je la tournais et l’embrassais, tendrement. Puis je remettais ma tête sur son épaule.

Je repensais a sa phrase, ses parents m’aiment vraiment ? J’avoue que ça me faisait sourire, si j’étais déjà acceptait, dans sa famille, c’était peut être bon signe, peut être qu’il allait comprendre, peut être qu’il allait changer. Je n’en demandais pas trop a la fois, mais en premier temps, qu’il arrête d’aller voir ailleurs, comme il me l’avait promis tout a l’heure.

Spoiler:

« Tes parents m’adorent, je suis super heureuse maintenant » Blythe se mit à sourire, ça lui faisait vraiment plaisir que ses parents l’acceptaient, bon après tout il voyait bien que leur fils est vraiment attaché à Cappie, donc ils ne feront rien qui pourrait contre dire son choix. Après tout, ils sont comme tous les parents, ils veulent des petits enfants. Après ce long et très agréable baiser, le jeune homme se mit à rigoler en l’écoutant. Qu’est ce que ça lui plairait de faire tarzan ! xp Blythe passa doucement ses bras autour de sa taille lorsqu’elle lui souffla à l’oreille ceci : « Hum .. tu l’as tellement bien dit que je ne sais plus quoi répondre. Je t’aime aussi Blythe ! ». A ces mots, Blythe eut le sourire banane ! Maiiis si le sourire qui prend la moitié de votre visage. Il la regarde dans les yeux, il le savait, elle lui disait assez régulièrement surtout par texto lorsqu’ils sont dans une période où ils se voient peu. Parce qu’il faut l’avouer, avec le métier de prof et en plus ce métier de mannequin, Blythe a un emploi du temps plus que charger. Après lui avoir proposé d’aller chez elle, puisqu’ils n’étaient qu’à quelques mètres.

Blythe et Cappie se mirent à marcher, coller l’un contre l’autre, le bras autour de la taille de la chérie, Blythe évitait de regarder les jeunes filles qu’ils croisèrent. Certes elles sont belles, mais la plus belle est celle qui est contre lui, c’est sa petite amie. Et puis il lui a promit d’arrêter, et il tient cette promesse depuis deux semaines. Arrivant près de l’immeuble, il retira son bras, et la laissa taper le code. Comme bon gentleman, il poussa la porte, pour qu’elle passe et lui aussi, ce n’est pas à elle de tenir cette porte, qui soit disant au passage et assez lourde. Avec sa chance légendaire, l’ascenseur était en panne, donc les deux amoureux montèrent les deux étages grâce aux escaliers. Quelle chance ! Le loft de Cappie était tout le contraire de l’appartement de Blythe, son loft était petit, avec des travaux à faire, et une mauvaise isolation. Sans parler le jeune homme alla s’affaler sur son canapé, son premier geste fut de prendre son paquet de cigarettes. Il ne fume pas beaucoup, mais aime bien fumer une petite clopinette de temps en temps.

Ce bel étalon se mit à sourire en la voyant revenir avec une bière, il prit alors la parole : « Merci blondie ! » Blondie ! Un surnom qu’il lui avait donné dès le début de leur histoire, bon okay ce n’est pas un surnom très recherché mais c’est un joli surnom tout mignon. Ouvrant sa canette, le beau brun leva les jambes de Cappie et les posa sur les siennes. « Et maintenant on fait quoi ? » Blythe tourna la tête vers elle, puis haussa les épaules. « On pourra faire l’amour sur ton canap’, ou bien regarder un film, comme on devait le faire ce soir … ou bien on pourrait parler de ton futur déménagement … » Bon okay pour la partie faire l’amour sur le canapé il plaisantait, quoi queuuuuh on dit toujours que les meilleurs réconciliations se font sur l’oreiller. Mais bon pour la partir déménagement il ne plaisantait pas du tout. Oui, en gros ça voulait dire, si tu veux tu peux venir habiter chez moi. Bah quoi, après tout il déteste venir ici, et faut dire que l’appartement de Blythou est très spacieux, et il aura assez de place pour toutes les affaires de Cappie.

Blythe la jouait avec lui, enfin celle-ci l’embrassait sans le prévenir, quelle honte. Xp Déposant un baiser dans ses cheveux Blythe reprit la parole. « Je veux que tu viennes vivre avec moi, après tout ton loft est nul et tu adores mon appartement, et puis j’ai 26 ans, et j’ai besoin de ma petite amie tout le temps maintenant … Et puis ça peut être une sorte de nouveau début pour notre relation … Enfin tu es libre d’accepter comme de refuser, mais bon, je trouve mon idée assez bonne, tous les deux on veut du sérieux, et ce qu’il a de mieux pour notre relation, et je pense … Et je pense que je parle trop et que je devrais te laisser répondre, parce que tu as ton mot à dire là-dessus et que je t’aime ! » Blythe se mit à sourire, oui il lui avait dit, et alors ! C’était son premier « je t’aime » dans leur relation, et ce n’était pas aussi difficile à dire comme il le pensait. Au contraire, c’était sortit assez naturellement. Il la regarda alors en souriant, guettant sa réaction.


HJ : Pas grave, sorry too ! :D

« On pourra faire l’amour sur ton canap’, ou bien regarder un film, comme on devait le faire ce soir … ou bien on pourrait parler de ton futur déménagement … ». Le début de sa phrase, me fit assez rire, l’amour sur le canapé, et pourquoi pas sur le plan de travail de ma cuisine ? Il avait des bonnes idées, un bon film, dans le canapé, lui et moi, tout les deux, ce serait pas mal. Mon futur déménagement ? Je ne crois pas avoir déjà parlé de ça, de déménager, ou, mon loft était très bien, je l’aimais beaucoup d’ailleurs, sans bien ici que je passais les meilleurs moments de ma vie. J’aimais beaucoup, Blythe, ces manières, quand il était avec moi, il était un différent, du Blythe que tout le monde connait, coureur de jupons ect …

« Je veux que tu viennes vivre avec moi, après tout ton loft est nul et tu adores mon appartement, et puis j’ai 26 ans, et j’ai besoin de ma petite amie tout le temps maintenant … Et puis ça peut être une sorte de nouveau début pour notre relation … Enfin tu es libre d’accepter comme de refuser, mais bon, je trouve mon idée assez bonne, tous les deux on veut du sérieux, et ce qu’il a de mieux pour notre relation, et je pense … Et je pense que je parle trop et que je devrais te laisser répondre, parce que tu as ton mot à dire là-dessus et que je t’aime ! » Je le voyais, sourire et je souris a mon tour, pour deux choses. La première fois que j’entendais Blythe me dit je t’aime, la première fois. J’étais heureuse, finalement cette soirée était vraiment géniale. Je restais contre lui, et continuais à sourire, comme une vraie idiote. Habiter avec lui ? Ce serait carrément génial, d’ailleurs je n’arrivais pas a le croire, j’aimais mon appartement mais il était clair que je préférais mon Blythe plus que ça. Je levais doucement ma tête, et le regardais, discrètement, je me mordais les lèvres doucement. A ce moment là, je croyais vraiment être en plein rêve, comme dans un walt disney.

« Blythe … Déjà de un, je t’aime fort, et je suis heureuse que tu me l’ais enfin dit. C’est un grand pas pour nous, notre relation. Un blanc, prenait un peu place, je souriais avant de continuer ma phrase, prenant sa main dans la mienne doucement et tendrement. Habitait avec toi ? Avec joie, mais de un mon loft pas appartement n’est pas nul. Il est très beau. Mais j’aime pas mal le tient. Comme je suis libre d’accepter ou de refuser et je veux qu’a mon tour notre relation deviennent de plus en plus sérieuse. J’accepte avec un grand oui. Parce que comme toi, je t’aime et j’ai vraiment envie d’être plus souvent avec toi. ».

Je me levais, finalement. Ouvrant une armoire rempli de dvd, quasiment jamais vu, ou pas vu du tout, achetait je ne sais pas pourquoi, ni ou je l’avais achetait, braderie, brocante, surement par la. Je regardais, autour de moi, regardant Blythe, et je me retournais pour cherchais encore un dvd. Je regardais le résumé d’un deux : « L'histoire se déroule à Lake Victoria, petite ville pittoresque de l'Arizona et destination préférée des étudiants pendant les vacances de printemps. Lorsqu'un tremblement de terre fissure le fond du lac et qu'une brèche s'ouvre, des piranhas affamés, provenant de l'ère préhistorique, s'y engouffrent et les disparitions commencent. ». Je prenais le dvd, et le mettait dedans, ce soir, c’est Piranha. L’avantage des films d’horreur, c’est se posais sur son amoureux, et faire semblant d’avoir peur. « Si j’ai peur tu me protégeras ? ». Puis, j’allais très vite dans la cuisine, ramenant bière et pop-corn. Enfin, je revenais vers Blythe et me posais sur le canapé.

Cappie venait de lui demander ce qu’il voulait faire, et d’un naturel, il lui répondit qu’ils pourraient faire l’amour sur son canapé, ou regarder un film, ou bien encore parler de son futur déménagement. Oui depuis quelques jours, il à une idée bien concrète, il veut se poser avec la fille qu’il aime, c'est-à-dire Cappie, et pourquoi ne pas habiter ensemble ? Guettant la moins réaction, le beau brun le regarda en souriant. Puis il ne lui laissa pas vraiment le temps et reprit la parole, en lui disant qu’il voulait habiter avec elle, que cela serait l’occasion de faire un nouveau départ pour leur couple, mais aussi pour la première fois les mots « je t’aime » sortirent tous seul de sa bouche. Son sourire n’était pas partit, au contraire en la voyant sourire, Blythe accentua son sourire. Le sourire de Cappie est une vraie merveille, il est vraiment magnifique, limite on ne peut pas se passer de son sourire. Blythe la regarda dans les yeux, puis lui vola un baiser lorsqu’elle se mordilla les lèvres. « Blythe … Déjà de un, je t’aime fort, et je suis heureuse que tu me l’ais enfin dit. C’est un grand pas pour nous, notre relation. » Blythe fit un signe positif de la tête, il déposa alors un baiser sur son front puis l’écouta.

« Habitait avec toi ? Avec joie, mais de un mon loft pas appartement n’est pas nul. Il est très beau. Mais j’aime pas mal le tient. Comme je suis libre d’accepter ou de refuser et je veux qu’a mon tour notre relation deviennent de plus en plus sérieuse. J’accepte avec un grand oui. Parce que comme toi, je t’aime et j’ai vraiment envie d’être plus souvent avec toi. » Blythe la regarda dans les yeux puis l’embrassa tendrement. « Super, donc dès qu’on a du temps, je viens t’aider pour faire tes cartons ! Cela te vas t’il Shepperd ? » Il adorait l’appelé par son nom de famille, puis que ça l’énervé la plus par du temps, et comme il est une personne assez taquine, voilà quoi ! Et puis ça lui donne un air méga trop sexy lorsqu’elle s’énerve pour une broutille ! Le temps qu’elle choisit un DVD, le jeune homme se leva, et alla dans sa chambre pour prendre son chargeur de téléphone. Oui, ils ont le même téléphone, et Blythe doit recharger le sien. Il revint dans la pièce quelques secondes plus tard. Il le brancha alors à une prise, et connecta son portable au chargeur. Blythe reposa alors son joli fessier tout musclé sur le canapé de sa chérie. Enfin on peut dire plutôt qu’il s’allonger. Mais ne t’inquiète pas, il a retiré ses chaussures.

« Si j’ai peur tu me protégeras ? » Blythe se mit à sourire, il reprit alors la parole, en la regardant. « Sans aucun soucis blondie ! » Blythe lui fit un petit clin d’œil, puis la regarda marcher vers la cuisine. Il en profita pour prendre sa bière, et boire quelques gorgées, il la reposa sur la table basse devant le canapé et s’installa confortablement sur le canapé. Lorsqu’elle revint vers le canapé, Blythe passa son bras autour d’elle et l’invita à s’allonger. Il la colla alors contre lui, et posa sa main sur son ventre. Le bel étalon déposa un baiser dans le cou de la blondinette puis reprit la parole. « Je suis sur que tu as fais exprès de mettre un film d’horreur pour te serrer contre moi ! » Blythe lâcha un petit rire, puis déposa un autre baiser, mais cette fois ci, sur la joue de la jolie demoiselle. Ils étaient quand même mieux comme ça, que de se disputer comme ils l’avaient dans la rue, quelques minutes plus tôt. Vous ne trouvez pas ? Et puis l’avantage d’une soirée cinéma à la maison, c’est que si celle-ci dérape en soirée tendresse, vous n’avez pas à vous retenir. Enfin bref, Blythe posa doucement son visage contre celui de Cappie, tout en la serrant contre lui.

« Je suis l’homme le plus heureux je pense … Et surtout le plus chanceux … J’ai la plus belle des femmes comme petite amie, mes parents t’adorent, et de plus on va habiter ensemble, qu’est ce que je pourrais demander de plus ! » Blythe sourit tout seul. Et béh ! Il a déjà du changement dans l’air, chez notre petit Blythounet, ce petit italien/australien, au physique à tomber par terre. Une nouvelle fois, Blythe déposa un baiser sur sa joue, avec de reposer son visage contre le sien. Et voilà, le film commence, Piranha est l’un de ses films préférés de cette année, il adore l’histoire, il adore les personnes déjantées, mais surtout adore la fin lorsque papa ou maman Piranha vient littéralement gober le mec sur le bateau. Enfin bref, un bon mélange d’horreur (de temps en temps), d’alcool, de sexe, et de jolies filles, et tout cela dans un décor paradisiaque – à certains moments-.

HJ : Je fais court désolé :D

Notre couple, devenait sérieux, et j’aimais finalement beaucoup mieux notre soirée, tranquille, rien que tout les deux, que tout le boucan, qui aurait eu dans le cinéma, tout les regards, posaient sur nous, et tout les commentaires des gens inutiles, sur le film. Ce soir, c’était lui, moi, un film et un paquet de pop-corn, et bière (pour lui, bien sur). Je l’aimais en réalité, lui et tous ses gestes, idiot qui peuvent paraître indifférent, ou même carrément débiles mental. Mais sur lui, ça fait mignon, adorable, mec sensible alors qu’il ne l’ai pas vraiment. Ça donnait le total contraire de Blythe quand on le voyait hors de la maison, quelques part, ou on n’est pas ensemble ou il ne veut pas se montrait ou plutôt ne voulait pas. Je souriais tendrement et amoureusement. « Hum, dès qu’on a le temps, on fait les cartons. Et arrête de m’appelait Shepperd. ». Je le regardais, un peu vexée du Shepperd, le pire c’est que je le savais, il le faisait exprès et pourtant je le prenais toujours sérieusement. J’entendais son petit rire, et je le regardais faisant semblant de bouder, mais avec une folle envie de rire, a l’intérieure de moi.

Je ne le regardais, pas continuait a me regardais la télévision sans tournais la tête vers lui, le moins souvent possible plutôt. J’écoutais, enfin j’attendais qu’il reprenne la parole. « Sans aucun soucis blondie ! ». J’avais un peu le sourire, aux lèvres, pas entier parce que je boudais mais un peu, suffisamment mais pas trop. Tu vois ce que je veux dire ? J’allais quand même dans ses bras, mais restant silencieuse, sans rien dire, j’entendais sa petite phrase et ça me fit bien rire, tellement. « Je suis sur que tu as fais exprès de mettre un film d’horreur pour te serrer contre moi ! » Je le regardais sérieusement pendant un moment. « ça veut dire que si ça n’était pas un film d’horreur, je serais pas dans tes bras ? » Je me relevais, et me mettais dans un coin du canapé, toute seule, juste pour l’embêter un peu plus. Je le regardais, prenant les pop-corn, qui était sur la table, et je regardais le film, c’était vraiment dégoutant, beurk. J’avais comme une envie de vomir, au début, c’était atroce.

L’homme le plus heureux ? Cela, me mit le sourire au lèvres, et pas le petit comme tout a l’heure, le grand qui prend tout votre visage, tellement vous êtes heureux, d’entendre ses phrases, ou juste quand un film vous a émue, la c’est encore mieux que ça, c’était la plus belle chose qui ne m’avait jamais dit. Qu’est ce qui pourrait demander de plus, j’avais une idée en tête. « Je sais pas, un mariage ? Un bébé, oh ça oui, ça serait parfait, un beau petit bébé, tout mignon, comme sa maman mais avec les yeux de papa, je suis sur que ça serait parfait. T’en penses quoi ?. Je souriais, attendant une réaction de lui, j’étais toujours a l’autre bout du canapé, et j’attendais une réaction de sa part, était-il encore le même effrayée des décisions, ou avait-il vraiment changé ? Je le regardais, mais ne voyais aucune réaction sur son visage pour le moment du coup, loin de lui, je fixais à nouveau la télévision, cousin dans la main, pour me cacher la tête, lorsque les scènes serait encore trop violente. Je suis encore une enfant pour ça.

« Hum, dès qu’on a le temps, on fait les cartons. Et arrête de m’appelait Shepperd. » Blythe se mit à rire, ça l’embêtait toujours autant lorsqu’il l’appelait de cette façon. Il la regarda alors choisir le DVD après être revenu de sa recherche de chargeur de portable. Lorsque celle-ci lui fit une remarque, enfin plutôt elle lui demanda si elle aurait peur si il pourrait le protéger, il lui répondit avec un grand naturel que cela ne lui posait aucun soucis, en l’appelant par un de ses surnoms qu’il pouvait lui donner, c'est-à-dire, blondie. Blythe et Cappie étaient à présent collé l’un contre l’autre, allongés sur ce canapé. Il lui fit une petite remarque juste pour l’embêtait, lui disant qu’il était presque sur qu’elle avait fait exprès de mettre un film d’horreur, juste pour se serrer contre lui. « ça veut dire que si ça n’était pas un film d’horreur, je serais pas dans tes bras ? » Bien sur que non, mais Blythe laissa les sourcils, en haussant simplement les sourcils avec un petit sourire, il jouait avec elle, il jouait avec son caractère, il l’embêtait tout simplement. Je vous ai bien dit qu’il était un grand enfant ? Et bien, déjà en étant un bambino, il embêtait les personnes de son entourage. C’était l’un de ses jeux préférés.

Blythe se mit à rire lorsque celle-ci se sépara de lui, pour se lever et s installé à l’opposé de lui. Il la regarda en souriant, ou plutôt admirait les traits fins de son visage dans l’obscurité, juste éclairé par la lumière de la télévision. Il en avait de la chance, sa petite amie est juste une bombe ! Le genre de fille qui est belle sans feu d’artifice, sans maquillage, bien que la plupart du temps il la voit maquillé comme aujourd’hui. Blyte poussa alors ses pieds et resta allongé. Il reprit alors la parole, parlant un peu à soi même il faut bien l’avouer. D’après lui, il est l’homme le plus heureux, le plus chanceux, mais surtout le plus amoureux, mais ça il ne l’avait pas dit. Il ajouta qu’il avait la plus belles des femmes à ses côtés, que ses parents l’adoraient, et qu’ils allaient habiter ensemble. De plus il se demanda ce qu’il pouvait demander de plus. Ces paroles donnèrent le sourire à sa petite amie, bien que Blythe la regardait du coin de l’œil, il admirait à nouveau son sourire, son sourire banane comme il l’appelait, le sourire qui prend la moitié du visage.

« Je sais pas, un mariage ? Un bébé, oh ça oui, ça serait parfait, un beau petit bébé, tout mignon, comme sa maman mais avec les yeux de papa, je suis sur que ça serait parfait. T’en penses quoi ? » Blythe fronça les sourcils, en se demandant si elle avait bel et bien dit cela. Il mit un certain temps avant de se redresser, il passa alors son bras autour d’elle, et l’attira contre lui, avant de reprendre la parole. « Tu crois pas qu’il est un peu trop tôt pour parler de cela ? … Enfin je veux dire, que ça ne fait six mois qu’on nous sommes ensemble, sa fait une heure que je t’ai dit que j’étais amoureux de toi … Et puis tu n’as que 20 ans, et tu es encore dans tes études, et moi j’ai deux jobs, j’ai déjà dut mal à me libérer pour qu’ont se voient, t’imagine si ont auraient un enfant ? » Oui, pour le petit bambino de vingt six ans, il est beaucoup trop tôt pour parler de cela, voir même de l’envisager. Et puis pour lui, tout est déjà penser. Il la demander en fiançailles dans deux voire trois ans, ils se marieraient quelques temps plus tard, et ils auront leur premiers enfants d’ici 5 voir 6 ans.

Enfin c’est surtout que Blythe ne veut pas priver Cappie de sa jeunesse. Mais bon, si un jour il arriverait un accident, du genre une grossesse inattendue, Blythe accueillerait cet enfant, enfin si il est trop tard pour avorter. Blythe déposa un baiser sur la joue de Cappie puis reprit la parole : « C’est juste que je ne veux pas te gâcher ta jeunesse, c’est la meilleure période de la vie, enfin d’après moi ! C’est la période où tu sors à chaque week end, ou pratiquement, avec tes amis, avec ton petit ami. Enfin, la période où tu profites de ta vie ! … T’es du même avis que moi, n’est ce pas ? » Blythe la regarda alors dans les yeux. Bah oui, d’après lui si elle disait ça, c’est qu’elle y pensait déjà fortement, alors que, comme il la dit en gros, ils se donnent une nouvelle chance de bien repartir dans une vie de couple. Blythe est loin d’être contre le mariage, ou la paternité, mais ça c’est pour plus tard, ça arrivera quand Blythe voudra une petite famille avec la fille qu’il aime, et là par conséquent, Cappie-Rose.

Dans quelques années, promis il lui fera des enfants comme elle le veut, c'est-à-dire comme sa maman, donc elle, et avec les yeux de son papa, donc lui. Bien que les yeux de Blythe ne sont pas extraordinaire, ils sont marrons comme 80% de la population, mais bon si elle veut des yeux marrons pour leurs enfants pas de problème, il fera tout pour la satisfaire. Blythe la regarda puis déposa un baiser sur sa joue, avec de lui remettre une nouvelle fois, une mèche blonde derrière son oreille. Son visage est magnifique, donc, pourquoi le cacher avec une touffe de cheveux, n’ai-je pas raison ? Pourquoi tout le temps vouloir cacher ce qui est beau ? Pourquoi les filles veulent toujours avoir cette mèche de cheveux lui cachant la moitié de son visage, et par conséquent son regard. Regard qui est l’un des nombreux traits que Blythe adore chez la jeune femme, comme son sourire, ses mimiques, de temps en temps son caractère, sa façon d’embrasser et ses lèvres, sa façon qu’elle a de se mordiller la lèvre. OH MERDE ! Il est vraiment amoureux xp.

Je souriais, il est vrai, que j’aimais bien être la, avec lui. Il était l’homme le plus heureux, et ses parents, m’aiment, on allait habiter, ensemble. Vous me direz, que demandais de plus ? Une fille c’est chiant c’est connue, ça aime embêter les gens, et ma passion était d’embêter mon petit ami. J’avais un don, pour ça, je trouvais toujours quelques chose qui pourrait le mettre mal a l’aise. Le mariage, était la première partie de mon « plan », si on peut appelait ça comme cela. Je souriais, voyant sa réaction, franchement comme si c’était a vingt ans, qu’on voudrait se marier, finalement il ne me connait pas aussi bien qu’il le prétend ce petit homme. Je regardais, le film, pendant un moment préférant attendre, qu’il continue de parler. D’ ailleurs la plupart des scènes, je ne les voyais pas, mon cousin, prenait a chaque fois place sur ma petite tête. Ce n’était pas très beau a voir, comment les gens, qui voient le film peuvent se réjouir, devant des corps déchirées en morceaux ? Je tournais la tête, et voyais Blythe avec un sourire béa. Je levais les yeux, aux ciels, et reprenais mon cousin doucement, pour pas qu’il rigole de moi.

Je soupirais, finalement peut être que Blythe, n’envisageait pas l’avenir avec moi. Je sais, pas pourquoi d’un seul coup, tout devenait confus dans ma propre tête. Quand on aime quelqu’un, on l’épouse, même si c’est a vingt ans, je sais, pas, enfin lui il en a 26 ans, j’espère vraiment qu’a son âge je serais déjà marier, depuis deux, voir quatre ans. Que j’attendrais mon premier enfant, enfin, je sais pas un truc vrai, pas un truc qu’on attend des années. Ça sert totalement a rien sinon. Je veux pas dire, je ne veux pas avoir un enfant, quand j’aurais trente ans passée, après les enfants on honte de voir leur mère arrivait, parce que on est vieux, et on les voit pas grandir, comme on les a vu grandir a vingt ans, enfin je me comprends. Vous voyez ce que je veux dire non ?

« Tu me connais vraiment mal, toi. Comment tu peux croire, que je veux me marier ? Encore pire, avec toi ? Je suis désolé de dire ça, oui je t’aime mais pour l’instant je ne vais pas me marier, et pas avec toi. Je viens d’apprendre que t’arrêtais pas de me tromper, comment tu veux qu’on se marie dans ses conditions … A force de coucher a droite, a gauche, tu ne sais même pas qui c’est que tu as en face de toi, tu ne me connais plus de toute façon. Sinon tu aurais compris tout de suite, que je rigolais, que je n’étais pas sérieuse … Je le regardais dans les yeux, oui j’avais encore remis, les histoires de tromperies sur le tableau, mais il fallait qui comprenne que quelques fois, ça peut faire mal, d’apprendre ça, et ensuite d’apprendre que son petit ami, ne nous connait pas si bien que ça finalement. Je soupirais et me levais, du canapé. Partant, tranquillement dans la cuisine. Puis d’une voix assez forte pour qu’il l’entend Je veux jamais avoir d’enfant avec toi !!!!!!.

Le film se finissait, je l’entendais au bruit du générique. Je n’avais pas vu la fin, et était resté, enfermée dans ma cuisine, assise contre un meuble, tout le reste de la soirée. Je soupirais, j’avais déjà essuyais mes larmes depuis un moment Je regardais, autour de moi, et restais assise par terre, avec ma tasse de chocolat chaud, remplis de guimauve et de chantilly.

Comment osait-elle-lui parler de mariage et de bébé maintenant, alors qu’il venait seulement de comprendre, que leur relation était sérieuse. Enfin il l’avait comprit depuis quelques jours, à peu prés une quinzaine de jours. Enfin, autant dire que ses paroles le choquèrent un petit peu, il ne s’attendait vraiment pas à ce la. Et puis merde, fallait le comprendre, c’est un mec, plus que macho, enfin devant les personnes mais pas lorsqu’ils se retrouvent à rien, et rien que de parler de mariage et de bébé, berrk, pas maintenant quoi. Mais visiblement, elle n’avait pas compris ce qu’il pensait, décevant non ? « Tu me connais vraiment mal, toi. Comment tu peux croire, que je veux me marier ? Encore pire, avec toi ? Je suis désolé de dire ça, oui je t’aime mais pour l’instant je ne vais pas me marier, et pas avec toi. Je viens d’apprendre que t’arrêtais pas de me tromper, comment tu veux qu’on se marie dans ses conditions … A force de coucher a droite, a gauche, tu ne sais même pas qui c’est que tu as en face de toi, tu ne me connais plus de toute façon. Sinon tu aurais compris tout de suite, que je rigolais, que je n’étais pas sérieuse … »

Comment pouvait-elle encore remettre ça sur le tapis, franchement ça commençait sérieusement à le saouler. Alors quoi ? Elle remettrait son infidélité à chaque fois qu’ils ne seraient pas d’accord, imaginé, ils sont dans un super marché, font les courses tranquillement, et arrivé dans le rayon des céréales, l’un voudra A, et l’autre B. Et bim, elle lui balancera une nouvelle fois cette histoire à la figure ? Nan mais c’est bon il faut arrêter. Sa réaction était identique à celle d’une femme enceinte, elle est en surplus d’hormones ou quoi ? Blythe la regarda dans les yeux en fronçant les sourcils, était elle vraiment sérieuse. « Comment je peux savoir que tu es sérieuse, alors que tu change d’avis comme de chemise ! T’es enceinte ou quoi ! Ou tu vas bientôt être en période rouge et tes hormones sont en folies ? Tu n’en a pas marre de me rappeler mon infidélité ? » Oh oui, Blythe la il était assez remonté, et après elle voudrait vraiment se poser avec lui, elle devrait déjà commencer par évité son infidélité ça c’est moi qui vous le dit !

« Je veux jamais avoir d’enfant avec toi !!!!!!. » Blythe soupira puis lança un « Alléluia ma sœur ! » Bien sur c’était ironique. Se levant du fauteuil, Blythe arrêta la télé, et le lecteur DVD, il prit alors son sac de cours, qu’il avait toujours sur lui, oui il profite de chaque instant pour corriger des copies. Et puis là, il préférait qu’elle se calme dans son coin. Il se dirigea vers la chambre de celle-ci, au moins il serait au calme, il referma la porte derrière, mais pas à clef puis s’allongea sur le lit. Il sortit son paquet de copies sur le lit puis commença à les corriger. Dans un premier temps, cela lui permettait de se calmer, mais aussi de s’avancer dans sa correction de copies. Seulement au bout de dix minutes, Blythe arrêta, il n’est pas assez concentré pour continuer, trop sur les nerfs après ses dernières paroles. Il prit alors son paquet de cigarettes dans les poches de son jean puis en prit une et la mise entre ses lèvres. Il l’alluma puis ouvrit les fenêtres et s’appuyant contre le balcon, il fuma tranquillement sa cigarette. Même sa cigarette avait du mal à le calmer, pourtant je peux vous dire que lorsqu’il fume il est ultra zen.

Blythe rangea ses copies dans son sac, après avoir terminé sa cigarette. Il partit la rejoindre dans la cuisine, il se mit alors face à elle, en reprenant la parole. « Y’a deux solutions qui s’offrent à nous, soit tu fais ton maximum pour oublier ce qui sait passer, et moi je fais mon maximum pour te prouver que tu peux avoir confiance en moi, soit toi et moi ont arrêtent là ! » Blythe la regarda dans les yeux puis reprit la parole. « Je n’ai pas envie que tu me rappelles à chaque fois qu’on n’est pas d’accord sur une chose que je t’ai été infidèle, donc soit on oublie, soit on arrête, tu fais ton choix ! Peu importe lequel tu prendras, j’accepterai ta décision … Peu importe ce que tu choisiras pour nous, je le suivrais ! Parce que je t’ai fais assez de mal comme ça, et si tu ne penses pas arriver à oublié sa je préfère arrêter … » Le ton était lancé, elle avait le choix, soit de continuer leur relation, soit de l’arrêté !

C’était assez étrange, je ne connaissais pas encore ce coté de moi. D’habitude, bien que je suis rancunière, je ne l’étais pas autant, que je le montrais la avec Blythe. En réalité, j’étais blessée, que Blythe a pu me tromper autant de fois, sans avoir le moindre regret. Je ne sais pas, quand on trompe quelqu’un, comment pouvons-nous encore la regarder dans les yeux, sans rien dire, sans avoir un seule petit regret. J’avais du mal, a comprendre, mais le pire dans tout ça, c’était la douleur que cela provoquée, et bien que je m’en voulais de tout le dire lui rabâchée ça, j’essayer d’oublier. J’avais mal, à l’intérieur, moi je n’aurais jamais pu lui faire ça, d’ailleurs. C’était étrange, bizarre, mon cœur battait a cent à l’heure, très vite et très fort, j’avais ce mal au ventre comme quand on a peur, j’avais des larmes aux yeux, et quelques goutes sur mon visage. Je savais plus quoi faire, ni comment oublier ce qui c’était passé pendant six mois. Je soupirais, laissant ma tête doucement dans mes mains. J’entendais les pas de Blythe, montait, vers ma chambre, surement. Et maintenant qu’il oublie tout, vas corriger ses copies, comme si de rien n’était. Je soupirais, et me levais doucement, commençant à ranger, ce qui se trouve sur la table du salon, faisant des allers retour, dans la cuisine.

« Y’a deux solutions qui s’offrent à nous, soit tu fais ton maximum pour oublier ce qui sait passer, et moi je fais mon maximum pour te prouver que tu peux avoir confiance en moi, soit toi et moi ont arrêtent là ! ». Je me retournais entendant Blythe. Soupirant, je le regardais dans les yeux. Je levais les yeux vers le plafond, comme ça c’était encore a moi, de faire un choix, pour changer. Je revenais vers lui, enfin vers son regard. « Je n’ai pas envie que tu me rappelles à chaque fois qu’on n’est pas d’accord sur une chose que je t’ai été infidèle, donc soit on oublie, soit on arrête, tu fais ton choix ! Peu importe lequel tu prendras, j’accepterai ta décision … Peu importe ce que tu choisiras pour nous, je le suivrais ! Parce que je t’ai fais assez de mal comme ça, et si tu ne penses pas arriver à oublié sa je préfère arrêter … ». La, je restais encore sous le choc, puis doucement, je passais devant lui et allait ouvrir la porte d’entrée. Alors qu’il arrivait vers la sortie, d’un seul coup, je claquais la porte, avant qu’il ne puisse sortir.

« Parce que tu crois que c’est facile peut être ? Désole de dire ça, et même si tu ne comprends pas, ça fait mal d’apprendre ça comme ça. Six mois ? Tu sais ce que ça représente ? Ok, c’est pas ma plus longue relation mais pour moi elle compte, alors dis moi, ça compte pour toi ? Je le regardais, dans les yeux, j’étais collée contre la porte, laissant un blanc, j’ avais un peu les larmes aux yeux. Tu aurais dit quoi, si c’était moi qui t’aurais trompé pendant tout ce temps ? Je ne sais même pas, si tu regrette d’avoir fait ça … Le regardant, quelques larmes commençaient a couler sérieusement. Je soupirais, et essuyait quelques larmes. Dis moi, comment tu peux me prouver ça hein ? Comment tu peux me prouver que je peux te faire confiance à nouveau. Déjà si tu me connaissais mieux, tu serais que la je suis énervée, alors que pour l’instant je te le rabâche, mais ça sera fini demain … Si tu me crois pas, tant pis. Et je n’ai pas l’intention de choisir, c’est toi qui le fera. Alors sois tu reste avec moi, sois tu sais ou est la porte …. »

Chacun de notre coté, on venait de se poser un ultimatum, choisir, comment se finirais la soirée. Je partais de la porte, et allais m’assoir sur le canapé.

Lorsqu’il lui demanda de faire son choix, le jeune homme ne s’attendait pas un seul instant à cela. Il fronça les sourcils et soupira, il prit alors sa sacoche, puis se dirigea vers la porte. Et sans comprendre ce qu’il lui arrivait il fit face à une porte fermée, Cappie était contre cette porte. Blythe la regarda dans les yeux puis l’écouta. « Parce que tu crois que c’est facile peut être ? Désole de dire ça, et même si tu ne comprends pas, ça fait mal d’apprendre ça comme ça. Six mois ? Tu sais ce que ça représente ? Ok, c’est pas ma plus longue relation mais pour moi elle compte, alors dis moi, ça compte pour toi ? » Quoi ? Elle aurait préféré qu’il ne lui dise rien, alors qu’il voulait donner un nouveau départ à leur relation, un départ sans tromperie de la part de Blythe. L’image de voir ses larmes sur son visage n’était pas si facile à voir, c’est même une image fortement dur à voir, un si beau visage gâché par des larmes. Et les larmes coulaient à cause de Blythe, à cause de son infidélité, à cause de ce p*tain de défaut, celui de courir à droite à gauche de peur de se caser et avoir une relation sérieuse. Seulement Blythe veut stopper tout ça, il veut devenir le mec casé que l’on rencontre dans la rue, où il se promènera en donnant la main à Cappie, enfin tout le contraire jusqu’à présent.

« Tu aurais dit quoi, si c’était moi qui t’aurais trompé pendant tout ce temps ? Je ne sais même pas, si tu regrette d’avoir fait ça … » Blythe n’en savait absolument rien. En fait, jamais il ne s’était posé la question, puisqu’il connaissait un minimum Cappie, et l’infidélité ne faisait pas partit de ses défauts. Enfin, pour tout vous dire, il ne trouver aucun défaut à Cappie. « Dis moi, comment tu peux me prouver ça hein ? Comment tu peux me prouver que je peux te faire confiance à nouveau. Déjà si tu me connaissais mieux, tu serais que la je suis énervée, alors que pour l’instant je te le rabâche, mais ça sera fini demain … Si tu me crois pas, tant pis. Et je n’ai pas l’intention de choisir, c’est toi qui le fera. Alors sois tu reste avec moi, sois tu sais ou est la porte …. » Maiiiiiis c’est lui qui a lancé l’idée du choix, donc c’est à elle de choisir. Rhoooo crotte alors ! Mais bon en refermant la porte et s’en se rendre compte, le choix était déjà fait pour eux, elle l’avait déjà fait. Elle avait refermé la porte, cela voulait dire : reste. Enfin, Blythe le pensait ainsi, et puis il ne voulait que le penser de cette façon. Il la regarda alors partir, le laissant seul pour réfléchir, bien qu’il n’avait pas besoin de réfléchir, son choix était déjà fait, et sa depuis qu’il essayait d’arranger les choses devant le cinéma, tout à l’heure.

Il refit son apparition dans la pièce quelques secondes plus tard. Il se mit alors derrière elle, se pencha doucement, et passa ses bras autour de son cou. Blythe posa délicatement son visage contre le sien, puis reprit la parole. « Notre relation compte plus que tout pour moi, j’ai peut être mit du temps à m’en rendre compte, mais ce n’est pas parce que je me sens pas bien avec toi … C’est juste que je ne me voyais pas dans une relation sérieuse, que je fermais les yeux sur mes sentiments, parce que tu peux me croire ils sont là depuis le début. Il faut que tu me crois quand je te dis que je veux changer, que je veux faire un bout de chemin avec moi » Blythe déposa alors un doux baiser sur sa tempe puis reprit la parole : « T’es la femme que j’aime Cappie, c’est toi et personne d’autre ! Je ferais tous ce que tu veux pour te prouver que tu as confiance en moi ! » Une nouvelle fois Blythe déposa ses lèvres contre la joue de la jeune femme, il resta alors quelques secondes comme ça, son visage contre le sien, les berçant doucement. Oui il est amoureux, et oui il n’a plus peur de lui dire, oui il veut se caser avec elle, oui il veut la rendre heureuse, non il n’a pas peur de se montrer avec elle, non il ne la trompera plus, non il ne lui fera plus du mal, du moins il espère, parce que faire du mal arrive très vite lors d’une dispute.

L’amour ça peut paraitre bien compliqué quand on veut. Petit, c’est si simple, un petit bisous sur la joue et le tour est joué, on pense que ça se finira toujours comme dans blanche neige, que personne ne pleurera, que tout le monde sera heureux dans le meilleurs des mondes, que le prince arrivera sur son cheval blanc et vous emmènera loin de tous ça, loin de l’agitation quotidienne et que vous habiterais un beau château rose, avec le toit violet. La vie, d’enfant c’est le paradis mais quand on grandit on comprend que ça va plutôt vers le sens : sex, drug and rock’n’roll. Le prince charmant, de la connerie pour les petites filles, le cheval blanc, tout prince a un animal, maintenant le mec prend son sexe comme animal. Généralement le dit prince, on ne le rencontre pas dans une forêt, sauf si t’es une prostitué, maintenant, c’est la boite de nuit, le bar, les amours de vacances, mais avant de trouvais l’homme parfait, vous avait les loosers, qui vous brise le cœur, puis les coups d’un soir, et un jour il y a cet homme, étrange, qui d’habitude vous n’aurait jamais fais attention a lui, il a des défauts, mais ça ne fait rien, il est con quelques fois mais vous l’aimait quand même. En réalité, il peut être le contraire de ce qui vous attire d’habitude. C’est a ce moment la, que vous savait, c’est le bon. N’hésitez plus, sauter sur l’occasion.

Quelques parts, je l’avais trouvé : Blythe. D’accord, il est très beau et j’avais tout de suite accroché sur son physique mais il y a tellement de chose, il est différent de moi, plus vieux, il a des défauts, il est con parfois. C’est bien ce que je disais, il n’est pas parfait, il est comme les autres, moins cons que les précédent et vous espérer toute le temps, que se soit le dernier. En Blythe, j’avais espérer que ce soir le dernier, et malgré tout ses défauts, j’étais folle de lui. Lorsqu’il venait de nouveau près de moi, je souriais un peu. J’avais encore quelques larmes sur le visage, c’était compliqué, mais la seule chose que je savais c’était que je le voulais encore longtemps près de moi.

« Notre relation compte plus que tout pour moi, j’ai peut être mit du temps à m’en rendre compte, mais ce n’est pas parce que je me sens pas bien avec toi … C’est juste que je ne me voyais pas dans une relation sérieuse, que je fermais les yeux sur mes sentiments, parce que tu peux me croire ils sont là depuis le début. Il faut que tu me crois quand je te dis que je veux changer, que je veux faire un bout de chemin avec toi ». Ces quelques mots, me faisait sourire, il voulait que se soit sérieux, ça pouvait l’être complètement mais dans sa phrase ça me gêner, car pour moi, c’était déjà sérieux mais comme on dit : mieux vaut tard que jamais. « T’es la femme que j’aime Cappie, c’est toi et personne d’autre ! Je ferais tous ce que tu veux pour te prouver que tu as confiance en moi ! » Je regardais, autour de moi, puis revenait doucement vers lui. Souriant, toujours avec mes yeux un peu rouge, mais j’étais heureuse en réalité, j’étais avec lui et grâce a lui, j’avais compris qu’il m’aimait vraiment et que j’étais une femme qu’on pouvait aimer. « Blythe… Je … ça pouvait parraitre étrange mais je ne savais pas du tout quoi dire. J’avais choisit de laisser parler mon cœur. Blythe, je te promets, je te fais confiance, d’accord ? Je t’aime a mon tour, mais c’est juste que j’ai eu du mal a l’entendre mais maintenant je m’en fou, parce que tu m’as dit la vérité et que je te crois, je suis sur que tu ne mens plus et je te fais confiance, d’accord ? »

Je le regardais, alors qu’il avait encore ses mains sur mon cou, j’approchais ma tête et déposer un doux baiser sur ses lèvres. Puis je me retirais doucement, regardant Blythe paisiblement.

Après l’avoir laissé derrière la porte, le jeune homme partit sans aucun doute la rejoindre, après tout depuis tout à l’heure il lui faisait la promesse de changer, et lui répétait qu’il l’aimait donc pourquoi serait il partit ? Arrivant près d’elle, celle-ci était assise sur le canapé, lui faisant dos, il s’approcha alors d’elle, puis passa ses bras autour de son cou, avant de poser doucement sa tête contre la sienne et de reprendre la parole. Ce qu’il disait était vraiment sincère, il disait vraiment ce qu’il pensait sans rien cacher tel que le fait qu’il lui avait fallu plus de temps pour comprendre que leur relation était vraiment sérieuse. Il ne voyait pas Cappie comme une gamine de 20 ans, non, pour lui, elle était une femme, une très belle femme, autant par son physique que par son caractère. Il ne pouvait la définir comme gamine, puisqu’il faut l’avouer, à certains moments, bon okay, à la plus part des moments, Cappie est beaucoup plus sérieuse que lui. Blythe est un grand enfant, et lorsqu’il sort des cours, il reprend son étiquette, de grand rigolo, prêt à faire toutes les bêtises possibles pour souffler à cause de son emplois du temps de malade, surtout quand il doit travailler l’après midi dans les studios photos. Enfin bref. Blythe regarda alors sa petite amie dans les yeux, lorsqu’elle tourna la tête vers lui, il lui caressa alors doucement la joue. La peau de Cappie est d’une douceur incroyable, ce qui donne l’envie de la caresser, d’être tendre avec elle. Mais bon je vous rassure, même si sa peau serait comme un râteau, il la caressera également, puisque c’est dans sa nature. « Blythe, je te promets, je te fais confiance, d’accord ? Je t’aime a mon tour, mais c’est juste que j’ai eu du mal a l’entendre mais maintenant je m’en fou, parce que tu m’as dit la vérité et que je te crois, je suis sur que tu ne mens plus et je te fais confiance, d’accord ? »

Blythe se mit à sourire, il lui fit un signe positif de la tête, bien sur qu’il ne lui mentira plus, sauf si il veut lui faire une surprise, mais ça ce n’est pas mentir, mais cacher ses intentions, enfin en gros c’est mentir, enfin bref ! Fuck ! xp Il continua les caresses qu’il lui faisait depuis un petit moment sur sa joue, et sourit encore plus lorsqu’elle approcha son visage du sien pour un baiser. Il lui rendit le baiser, le prolongeant avec tendresse, et amour. Après ce baiser trop court à son goût, la lâcha, pour faire le tour du canapé. Il prit place à côté d’elle, puis l’attira sur lui. Cappie se retrouvant assis sur lui, face à lui, l’accès à ses lèvres était beaucoup plus facile. Il posa doucement ses mains sur chacune de ses joues et l’attira contre lui. Blythe posa alors doucement son visage contre celui de sa petite amie, c’est alors qu’il reprit la parole en souriant, son front contre celui de Cappie. « Merci d’être aussi gentille avec moi … Promis, tu ne le regrettera pas une seule seconde ! » Blythe lui offrit son plus beau sourire, puis l’embrassa tendrement, en faisant glisser ses mains le long de son corps. « Ses glissements » de mains s’arrêtèrent au niveau de ses hanches. Mine de rien, il a quand même de la chance d’avoir une petite amie qui lui fasse autant confiance, surtout après ce qu’il vient de lui avouer, enfin je parle de son infidélité. Blythe lui caressa doucement ses hanches tout en continuant le baiser. Il finit par arrêter le baiser, et reprit la parole après avoir entendu son ventre se manifesté : « Dit moi ma blondie, tu ne voudrais pas me faire un truc vite fait à manger, je commence à avoir faim ». Quoi ? Il fait tout le temps ça lorsqu’il est chez elle, et puis elle cuisine plutôt bien alors il en profite. Blythe sourit puis ajouta tout de suite : « Un des nombreux points positifs quand on aura emménagés ensembles ! Je serais nourri correctement ! » Blythe lâcha un petit rire avant d’aller lui dévorer le cou, comme un genre d’amuse bouche xp.

Comme dirait beaucoup de gens, le calme après la tempête. Après un doux moment avec mon amoureux, si je puis dire, je souriais. J’étais sur, vu son comportement qu’il allait vraiment changer. Je le connaissais par cœur, et quand il me regardait comme cela, jouait les tendres, c’est qu’il était vraiment sur de son choix. Je l’embrassais, encore et encore, dans ses bras, j’étais bien, comme si c’était comme ça que ma vie devait finir. J’essayais de ne pas me faire d’illusions. Peut être que dans quelques jours il aura déjà changé d’avis, pour l’instant j’essayais de profiter de lui, au jour le jour. « Dit moi ma blondie, tu ne voudrais pas me faire un truc vite fait à manger, je commence à avoir faim ». Je le regardais, d’un air de lui demander s’il était encore sérieux ou si c’était une blague de sa part. Mais visiblement vu son regard, il avait l’air vraiment sérieux. Je soupirais, il pensait vraiment a ce que je me lève pour lui faire la cuisine. Quelques fois j’avais l’impression de sortir avec quelqu’un qui se croit encore au temps de nos ancêtres, les femmes dans la cuisines et les hommes dans le salon, dans notre génération ça doit surement être dans le canapé, télé allumée avec bière a volonté, manque plus que les donuts et je pourrais croire que je suis en couple avec Homer Simpson. Depuis six mois que je suis avec Bltyhe, je ne l’ai jamais vu, mettre un pied dans la cuisine, la seule fois ou je l’ai vu c’est sois pour aller chercher a boire, ou faire réchauffer un truc dans les micro-ondes. A chaque fois que je fais mangeais chez lui, c’est à emporter, chinois, mexicain, japonais … Je le regardais. « Et si on y allait tout les deux … Cuisiner ? ». J’essayais de trouver une réaction sur son visage, mais aucune ne semblait positive. Voyant sa tête qui changeait après cette phrase, je décidais de me lever et partie seule direction la cuisine. Je regardais, dans les placards, et cherchait se que je pourrais bien faire, le plus rapide et plus simple aurait été de commander tout fait et attendre, mais ça c’est la tactique Blythe pas Cappie.

Au bout d’une bonne quinzaine de minutes, j’arrivais dans le salon. Sans rien, ça finissait de cuire, mais Blythe me manquait un peu, je le prenais deux minutes dans mes bras, l’embrassait et parti de nouveau. « Un des nombreux points positifs quand on aura emménagés ensembles ! Je serais nourri correctement ! ». Je ris, pendant un moment puis j’avais envie de poser une question qui pourrait le déstabiliser. « Alors, si tu veux que je déménage chez toi, c’est juste pour te faire la cuisine ? Je sers donc a rien d’autre … T’es un vrai gentleman ». Je ris doucement, je n’étais pas sur, qu’il est entendu, je souriais toute seule dans la cuisine comme une idiote. Ce n’est qu’au bout d’un deuxième quart d’heure que je rejoignais Blythe, assiette a la main, une pour lui, une pour moi. M’approchant vers lui, je lui tendais son assiette avec les couverts déjà posée dessus. « Pate, Carbonna, suffira a monsieur ? ». Je souriais, et le regardais, déposant un doux baiser sur ses lèvres puis je commençais a manger. C’était vraiment un truc que je n’aimais pas. Ce n’était pas le fait de manger dans le canapé, seulement je n’aimais pas manger devant les gens, c’était étrange je sais, mais ça m’as toujours perturbé. Je le regardais doucement, continuant de manger, bizarrement je me sentais gênée. Je détestais sentir des regards posée sur moi.

« Et si on y allait tout les deux … Cuisiner ? » Quoi elle est vraiment sérieuse ? Blythe la regarda dans les yeux, et lui fit les yeux tout mignon, en gros il lui fait les yeux qu’un enfant fait pour avoir la super Nintendo à sa mère, bien que là il ne demandait qu’un repas. Blythe se mit à sourire en la voyant partir vers la cuisine, il lâcha alors un petit « Merci blondie ». Lui et sa manie de l’appelé Blondie je vous jure, à chaque phrase il ne peut s’empêcher de l’appeler Blondie, si si je vous jure. Heureusement qu’il la trouvait ce surnom sinon qu’est ce qu’il s’emmerderait. En attendant qu’elle refasse son apparition dans le salon avec le plat, Blythe prit son Iphone et surfa sur facebook, oui on peut être prof, et surfer sur facebook ! Lorsqu’il la vit arriver une quinzaine de minutes plus tard, Blythe se mit à sourire, il lui alors un petit calin, puis lui donna quelques baisers avant de la laisser repartir vers la cuisine. C’est alors qu’il prit la parole en disant, que son talent de petite cuisinière sera un des nombreux points positifs de son déménagement chez lui. C’est bien vrai ! Cette femme est un vrai cordon bleu ! Blythe entendit alors Cappie lui répondre, ou plutôt lui poser une question : « Alors, si tu veux que je déménage chez toi, c’est juste pour te faire la cuisine ? Je sers donc a rien d’autre … T’es un vrai gentleman » Blythe se mit à sourire, il répondit alors assez fort pour qu’elle entende vu qu’elle se trouve dans la cuisine. « Tsss arrête de dire des bêtises ! Mais bon je t’avoue que je vais bien profiter de tes talents de cuisinière ma chérie ! … Faut dire aussi, que je vais aussi profiter de plein d’autre de tes talents ! » Blythe se mit à sourire, bon okay il pensait un peu – voir beaucoup – au sexe en parlant de ça, mais bon il peut parler aussi de ses talents de … De … Enfin ses autres talents quoi ! xp

Profitant qu’elle était encore en cuisine, Blythe lui envoya une invitation sur Facebook, pour lui demander si elle voulait bien se mettre en couple avec elle, oui sa fait couple adolescent mais bon on va compte Blythe comme tel ! xp En la voyant revenir avec de magnifique assiettes de pates à la carbonna, Blythe se mit à sourire et à se lâcher les babines. Il prit alors l’assiette qu’elle lui tendit et l’écoute « Pate, Carbonna, suffira a monsieur ? », il fit un grand signe positif et reprit la parole : « Mes pates préférées ! Bien sur que ça me va ! » Blythe lui lança un clin d’œil, puis sourit à son baiser, il la regarda puis reprit la parole une nouvelle fois : « Bon appétit blondie ! » Blythe lui vola un nouveau baiser, puis commença à manger tout en la regardant. Bah quoi il a le droit de la regarder, c’est sa chérie après tout ! Comme ce beau jeune homme et un estomac sur pates, son assiette ne dura que quelques minutes et fut manger dans son intégralité, autant vous dire qu’il mourrait de faim, et que ses pates étaient vraiment un délice. Il posa alors l’assiette et les couverts sur la table basse en face d’eux, puis la regarda manger. Bon okay, il sait qu’elle n’aime pas ça, mais il a juste envie de l’embêter, après tout je l’ai déjà dit c’est son passe temps préféré ! Il déposa un baiser sur sa joue lorsqu’elle termina de manger. « Merci ! C’était trop bon ! » Il lui vola un baiser puis prit son assiette et ses couverts, il prit également la sienne (je parle d’assiette xp) et ses couverts et alla les mettre dans le levier de la cuisine. Il revint quelques secondes plus tard, puis reprit place à côtés d’elle.

« Tu veux faire quoi mon ange ? … Bon je te préviens tout de suite, interdit de dire que tu veux me violer parce que c’est à mon tour ce soir ! » Quand je vous dis qu’il est con ! Voila une preuve en direct live ! Blythe la regarda dans les yeux puis lâcha un petit rire. Il lui vola un autre baiser puis attendit sagement une réponse de la part de sa belle.

« BLYTHE CALLOWAY ! ARRETE DE ME REGARDER QUAND JE MANGE !!!!!!!! ». Je sais, son passe temps favori, m’emmerder. Il savait tout ce que je détestais, lui qui n’es jamais la, qui est toujours a droit a gauche me connait par cœur et c’est ce que j’aime et ce que je n’aime pas. Encore une fois, il avait trouvé le moyen de me faire chier, en étant très polie. Je le regardais et je le voyais toujours en train de me regarder en train de manger. Je soupirais, je ne sais pas d’où ça vient, a l’école primaire je n’ai jamais eu de problème a goûter devant les autres enfants, a la maternelle non plus. Ah, maintenant que c’est dit ça me revient. C’était quand j’étais au collège, j’avais rendez vous avec le plus beau garçon que le lycée ai connue. Il était d’une classe naturelle, dingue. Capitaine de l’équipe de foot, il avait décidé d’inviter la capitaine des cheerladers, c'est-à-dire moi, ensemble on formait déjà le couple le plus glamour du lycée, sans encore être ensemble. C’était un si beau garçon, brun ténébreux, avec de magnifiques yeux bleus océan. Il avait des adbos si magnifique qu’aucune fille du lycée ne pouvait lui résister, et pourtant c’était bien moi, la petite blonde dans son uniforme de capitaine qu’il avait choisit. Pour notre rendez vous, je m’étais coiffée, maquillée, habillais comme jamais, j’étais très belle, et présentable. On devait aller diner dehors, oui il avait déjà le permis, un bon point pour moi. Je m’en souviens encore, la déception quand je vis l’endroit dit : Mc Donald. Le pire, n’était pas l’endroit mais ça façon de manger, j’en avais des haut de cœurs, interminable. Il enfournait tout dans sa bouche, comme quand on jette quelques chose a la poubelle. C’était totalement écœurant, jamais je ne voulais revivre ça, surtout le moment ou il a vomis sur mes chaussures, sur le parking. Je ne l’ai plus jamais revu, après, une histoire con mais voila comment je suis complexée par la nourriture. J’eu un tremblement et posais alors mon assiette sur la table, a laquelle je n’avais quasiment rien touché.

Je fut choqué sur le moment, allait-il vraiment a l’évier, dans la cuisine. Je n’entendais pas l’eau coulée et il est revenu très vite, les miracles, n’existe pas, il n’a pas fait la vaisselle. « Tu veux faire quoi mon ange ? … Bon je te préviens tout de suite, interdit de dire que tu veux me violer parce que c’est à mon tour ce soir ! ». Je le regardais, levant les yeux aux ciels. « Ah mince, c’est ce que je voulais faire, bon bah tant pis, comme j’ai pas le droit de ça … on fait autre chose. ». Je me levais doucement et allais vers mon armoire a dvd. Moi aussi je savais comment l’embêter, je sortais un de mes films cultes : TITANIC. Je le mettais dans le lecteur, appuyant sur play, je ramenais des mouchoirs et souriais, pourtant j’aurais bien aimée, qu’il me viole mais c’est lui, il a bien dit que je ne devais pas faire comme y dit, enfin vouloir la même chose que lui. Je soupirais, a l’intérieure j’avais une folle envie de rire.

Voyant que Cappie ne manger plus, Blythe prit l’initiative de prendre les assiettes ainsi que les couverts et de les mettre dans le l’évier. Non non, il ne fera pas la vaisselle, ce n’est pas pour lui, ce n’est pas un truc d’homme mais un truc de femme. En revenant dans le salon, Blythe reprit sa place dans le canapé, il demanda alors à sa charmante petite amie ce qu’elle voulait faire, il ajouta même que ce soir elle ne pouvait pas le violer, parce qu’aujourd’hui était son soir. « Ah mince, c’est ce que je voulais faire, bon bah tant pis, comme j’ai pas le droit de ça … on fait autre chose. » Rhooo, Blythe fut déçu. Bah oui, c’est vrai, il aurait cru qu’elle l’aurait fait changer d’avis comme souvent ! Enfin bref, pas grave. Ce beau professeur regarda sa petite se levé pour se diriger à nouveau vers son armoire à DVD. Quelle jolie vue s’offrait à lui, Blythe n’en perdit pas une seule miette. Limite il était prêt à lui demander de rester dans cette position, à Blythe et les formes de Cappie, une belle histoire d’amour. Il n’eut pas le temps de lui demander, que celle-ci revint après avoir mis un DVD. Etant trop concentré à regarder les formes de Cappie, Blythe n’a pas eu le temps de voir le nom de ce film. Lorsqu’il la vit revenir avec ses mouchoirs, Blythe soupire, c’est bon il a trouvé le film qu’il a mis, Titanic. De toute façon c’est obligé qu’elle est mise ce film ! Blythe la regarda s’assoir puis reprit la parole : « T’es sérieuse là ? Tu vas nous mettre Titanic ? On la vue des centaines de fois ce film, tu aurais pu au moins choisir un bon film … » Blythe fit la moue. Cependant il resta sage pendant que le film démarra, il resta sage même pendant un quart d’heure. Mais bon, trop c’est trop, Blythe dit stop, Blythe dit oh, Blythe dit … Enfin non, Blythe ne dit rien, mais Blythe se rapproche dangereusement de sa chère petite amie. Il est bien terminée à changer les plans de la soirée. Passant doucement une main sur sa cuisse, Blythe déposa un baiser sur sa joue, puis très vite il continua de lui déposer des dizaines et dizaines de baisers dans le cou de celle-ci, après avoir enlevé ses cheveux qui gênait un peu l’accès à son cou. Ce beau brun fit remonter ses baisers le long du cou de la jeune femme, pour continuer et s’arrêter à son oreille, où il reprit la parole, en chuchotant.

« Attention, je t’annonce que ton viol va arriver d’une seconde à l’autre … Je te demanderais aussi de ne pas crier pour ne pas réveiller tes voisins, et de … et d’arrêter de regarder Titanic parce que ton petit ami a une autre mission pour toi ! » Blythe se mit à sourire, comme il l’a dit, son viol arriverait dans très peu de temps. C’est pourquoi Blythe lui tourna le visage, et l’embrassa tendrement, en passant ses mains sur elle, enfin plus précisément dans son dos. Par automatise, Blythe la fit s’allonger sur le canapé, donc il se retrouva au-dessus d’elle. Il mit alors un peu de passion dans ce baiser, avant de redresser légèrement le visage, en sentant Cappie se soulever. Il passa alors sa main donc son dos et retira la télé commande. Il lui offrit son plus beau sourire, puis reprit la parole en regardant la télé commande : « Méchante télé commande, tu mérites la pendaison ! » Bon je vous dis tout de suite, il plaisante, genre il va demander la pendaison pour une télé commande, soyons réaliste un peu ! Ou peut-être que je devrais arrêter de dire des conneries. Blythe en profita pour arrêter la télé et déposa la télé commande sur la table de salon. Il repartit alors à ses occupations, en dévorant le cou de sa petite amie.

J’avais quasiment tout prévu. Je savais parfaitement qu’il détestait Titanic encore plus qu’un mauvais film des années soixante dix. C’est un homme, aucun homme aime Titanic, personne ne comprends pourquoi Rose ne prends pas Jake avec lui sur le bout de bois a la fin. Pourquoi, elle quitte un homme riche, pour un homme pauvre qui a quasiment rien dans sa vie. Pourquoi elle veut se suicider. Pourquoi elle apprend à cracher comme un homme. Seules les filles peuvent comprendre ce genre de fille. Elle est totalement et éperdument amoureuse de Jake, et vice versa. Aucun des deux ne peut voir leur vie, l’un sans l’autre. C’est une alchimie. Si Jake sauve Rose deux fois, c’est parce qu’il préfère ce sacrifier, et la laissait vivre. Quand a Rose, elle est encore plus heureuse que jamais, elle qui n’a jamais était heureuse et qui ne savait plus quoi faire dans sa vie d’avant. Grâce a elle, Jake a vécu les quelques jours, les plus beaux de sa vie. Je regardais du coin de l’œil, Blythe puis je souriais, le voyant faire des efforts pour me faire plaisir.

Le film avait commencé depuis un petit quart d’heures, j’avais déjà utilisées plusieurs mouchoirs, qui s’empilaient sur le coin de la table. Je souriais et le regarder. « Titanic est un bon film, Blythe … t’as vraiment aucun gout. ». je lui lançais un sourire en coin, et reprenais discrètement la lançait que j’avais dans mon film. Je souriais, devant le film comme une idiote. C’était si beau et romantique que je ne savais que faire. J’avais l’air bête c’est sur mais au moins je passais un bon moment, devant un film romantique. Quelques fois, j’aimerais que Blythe sois comme ça mais non. Je souriais, voyant Blythe s’approchait un peu plus de moi, a chaque instant. « Attention, je t’annonce que ton viol va arriver d’une seconde à l’autre … Je te demanderais aussi de ne pas crier pour ne pas réveiller tes voisins, et de … et d’arrêter de regarder Titanic parce que ton petit ami a une autre mission pour toi ! ». J’esquissais un petit rire, et le regardais. Sur le début, c’était très romantique, il était délicat et tendre comme s’il tenait une poupée en porcelaine dans ses bras. Je me laissais faire, pour voir jusqu’ou il allait aller. Je reprenais doucement la parole. « Blythe .. Je regarde la télé.. ». Je lui déposais un tendre baiser, et retournais ma tête vers mon film, mais décidément Blythe ne voulait pas ce genre de programme pour nous ce soir. « Méchante télé commande, tu mérites la pendaison ! ». Puis, je le voyais carrément éteindre la télé . Je le regardais, et le voyais reprendre une des ses activités favorites. Embrassant mon petit ami, tendrement, je soulevais doucement son t-shirt, passant mes mains sur son torse, doucement et tendrement, embrassant son cou. Puis je fini par lui enlever totalement son t-shirt. « ça sert vraiment a rien un t-shirt ». Je continuais alors a passer mes mains sur son torse et a embrasser son cou en alternant avec ses magnifiques lèvres.