Une larme, un cri, des pleurs, ce sont des signes qui ne trompent pas. Précisément à la date du terme, le 17 novembre 1991, Joy vit le jour dans le petit hôpital de Canberra. Reposant dans les doux bras de sa mère, un lien se tissait déjà entre les deux jeunes gens, mais des bras gantés vinrent l'enlever de ce confort. Une larme, un cri, des pleurs, un abandon ... De nouveaux bras l'avaient recueilli, et elle s'appelait maintenant Elody Lux Leanna Joy Stawart et venait d'être adoptée par un couple qui ne pouvait pas avoir d'enfants. Sa mère l'avait abandonnée, ne pouvant pas s'occuper d'elle et n'avait laissé pour sa fille qu'une lettre d'adieu et des questionnements qui resteront à jamais sans réponse. Elody, elle s'est malgré tout épanouie comme tous les enfants avec une famille particulièrement aimante où elle était chouchoutée de tous et où elle avait tout pour se plaire. Elle a commencé à faire du piano avec sa mère depuis qu'elle sait s'asseoir et jouer, elle a ensuite commencé dès l'âge de quatre ans une initiation à la danse classique et aujourd'hui, elle désire réellement en faire sa profession. Elle est très douée, s'en sort réellement bien en classique mais apprécie également beaucoup le moderne. Par ailleurs, elle fait également de la guitare et aime beaucoup la photographie. Elle est très diversifiée et très sportive ... C'est sans dire que sa vie est très mouvementée et qu'elle est toujours occupée, mais il y a toujours de la place pour des amis quand on le veut !

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