La lumière du jour pénétrait lentement dans ma chambre, un beau jeune homme, ouvrait les volets. Un sourire mais très vite, je cachais ma tête sous les couvertures comme quand on est petit et qu’on ne veut pas aller a l’école. Ce jeune homme, arrivait doucement vers le lit, et soulevant les couvertures, se glissait dans les bras de sa petite sœur dite chérie. Un beau câlin, entre frangin, mais pas vraiment dans le bon temps, tout de suite, je m’endormais a nouveau dans un endroit ou j’étais en totale sécurité. Doucement je valsais dans mes rêves, sans penser aux heures qui passaient, seulement a un vibrement étrange qui se faisait sentir son mon oreiller. Je me réveillais et voyant l’heure, et le message j’étais très en retard encore une fois, je n’arriverais pas a l’heure a mon stage. Je secouais très rapidement cet engin qui me servait de frère et qui prenait pour peu de le dire, toute la place dans mon lit. Il tombait du lit, j’eu un léger rire, mais courait vers la salle de bain. Une douche, un lissage de cheveux express, un pull bleu indigo, un slim blanc, des bottes et ma veste en cuir et regardant mon frère encore a terre, je ramassais les bouquins que j’avais besoins et répliquais : « Bonne journée frangin! ». Comme d’habitude, j’étais en retard a cause de mon frère. Je descendais les escaliers sur la rambarde avec quoi ça allait beaucoup plus vite, cherchant dans la cuisine quelques chose a manger, je pris la première chose qui me vint a la main. Une bouteille d’eau dans le sac et j’étais prête avec déjà dix minutes de retard. Je pris les clefs de la voiture posait sur le meuble d’entrée et montais dedans a vive allure. Arriver a quelques minutes de l’autoroute, avec quoi ça irait beaucoup plus vite d’y aller, je tombais en panne d’essence, maudissant dieu de toutes les insultes possible, j’appelais mon frangin, il se débrouillerait avec ça. Je continuais la route a pied, et arrivant devant, la porte avec trente cinq minutes de retard, persuadée de me faire renvoyer chez moi définitivement, je vis ma patronne a l’accueil, arrivant vers elle : « Je suis vraiment désolé mademoiselle Stam ». Regardant la jeune femme, qui avait l’air surpris de me voir ici, je réfléchissais, elle ne m’avait pas encore viré, alors pourquoi me regardait-elle ainsi ? Je regardais tout les gens autour de moi, personne n’avait l’air triste, aucune personne de la famille des gens que nous pouvons voir ici. « Mademoiselle Pierce, on est lundi aujourd’hui, autant dire votre jour de congé. ». Je la regardais soupirant, de un j’étais déçu d’arriver encore une fois en retard, mais pour ajouter le tout, je ne travaillais pas aujourd’hui. Trainant les pieds vers la sortie, je regardais la ville qui commençait a s’agiter.

12h00. La ville continuais à s’agiter de plus en plus, regardant autour de moi, je trouvais une pizzeria non loin, entrant je commander et allais déjeuner sur place. Des tickets restaurant dans mon sac, autant dire tout est parfait. Je sortais mon nouvel encyclopédie que j’avais reçu il y a peine quelques jours, toute heureuse, je feuilletais les pages unes a unes, tellement passionnée que je n’entendais pas ma commande arrivait, le serveur du tapait dans ses mains, devant mes yeux pour me ramener a la réalité. Je dégustais ma pizza, avec mon soda, repas équilibré bien sur. Après un bon repas, je regardais autour de moi, demandant l’adition je laissais un pourboire au serveur qui avait été très charmant. Sortant, je rangeais mes affaires dans mon sac, les heures avaient tourné, il était désormais quatorze heure trente. Trois heures arrivait rapidement, j’arrivais au parc, et me posais sur un banc, regardant autour de moi ça avait l’air plutôt calme, sortant mes cours de troisième année, je révisais, doucement afin d’être toujours la meilleure au top niveau. Les cours paraissaient compliqués pour les passants qui voyaient sorti un livre de médecine. Un léger sourire se voyait sur mes lèvres, s’il s’avait comment cela était magique, et sublime. Je continuais ma lecture, mais quelqu’un vint me surpris par derrière. Je riais, encore a ses gamineries a son âge, même s’il changeait de voix, je le reconnaissais toujours, a son odeur, sa présence son parfum, comment oublier ce jeune homme. « TIAGO JONATHAN WALKER ! Tu ne pense pas avoir passé l’âge ». Tirant ces bras vers moi, je déposais un baiser sur sa tendre joue. Puis le tirant pour qu’il s’assoit avec moi, je le pris tendrement dans mes bras puis me retournant vers lui : «Loulou, tu m’as manqué si tu savais ». Un moment que je ne l’avais pas vu, bien trop pris par mes études de médecine qui compliqué la vie.

Ce livre était tellement passionnant, remplie de schéma, de croquis, et d’explication des plus fascinantes. Il me faisait comme l’effet d’une drogue pour les accros, comme quelques choses dont je ne peux me passer, jour après jour. Je souriais, ce parc était vraiment agréable, pas très calme, mais assez pour passer un bon moment, c’était toujours mieux ici, que chez moi, avec mon frère rodant autour, m’embêtant même si j’en suis sur, je retrouverais toute ma discographie déranger, comme a son habitude, dès que je m’absenter quelques instant. Je dois dire, qu’entendre la voix de Tiago, le meilleur ami de mon frangin derrière moi, me fit rire, ses gestes, si idiot, et ses répliques cultes, comment s’en passer ? D’ailleurs voici, un bon moment que je ne l’avais pas vu, mais je savais que sa déranger mon frère parce que souvent il trainait plus avec moi, qu’avec lui en ce moment, mais on a les mêmes études en quelques sortes donc, ça rapproche, crée de liens, fort que personne ne pourront détruire un jour. C’était comme un second grand frère même si je ne voudrais remplacer le mien un jour. Je sentais son bras, s’enlaçais autour de moi, et avec un sourire je tournais doucement ma tête vers lui, et le regardais dans les yeux : «Tu es sur, mais si, regarde, tu as une ride la, au coin de l’œil, et la aussi sur le front! Oh mon dieu, tu deviens vieux ». Une vraie peau de bébé, il racontait vraiment n’importe quoi, la seule personne qui a une magnifique peau ici, c’est moi. Je suis encore jeune et très douce. Quand il repassait son bras autour de moi, je regardais sa main et le regardais de nouveau son beau visage, c’était vraiment quelque de très gentil, et je savais qu’il serait toujours la pour moi, vise versa. Il regardait mon livre, j’aimais assez son expression, cela m’étonnais d’ailleurs qu’il ne prononce pas le mot : « Encore ». Chaque année c’était la même chose, mais il avait raison, un nouveau, cela faisait tellement longtemps, qu’il n’avait pas du voir l’ancien, de toute manière, a chaque fois qu’il me voyait je réviser deux passionnée de la médecine mais si après ça, j’adore la musique, chanter, danser, l’écouter. « Oui, c’est un nouveau, encore un nouveau, il est sorti hier. Un léger silence puis sa seconde phrase, me fit rire, un bruit sortait un son qui était un des sortes a se foutre légèrement de lui. T’es vraiment un comique toi. Tu es surement le meilleur des infirmiers, je n’en doute point, mais entre toi et moi, franchement je serais toujours meilleure que toi, quand j’aurais mon diplôme et que je travaillerais dans le même hôpital que toi. Dans le bloc, tu seras a mes ordres, avec un : passer moi le scalpel infirmier Walker. T’inquiète pas, je t’aimerais toujours quand même ». Je ne pouvais m’empêcher de rire, à mon affirmation. C’était comme mon grand frère, pour lui me taquiner c’était tout a fait normal mais pour moi, en tant que petite sœur, chiante, insolente, c’était normal a un point de lui répondre que voulais vous, la règle est la règle. Je le regardais et après un bref, moment je ne pouvais que répondre : « Je vais absolument bien et toi ? » Le soleil, arrivait vers nous, se posant sur mon corps, qui se halait, légèrement de plus en plus, pour retrouver la chaleur se posait sur moi, comme si je devais mars, très chaude, dans le bon sens naturellement. Sydney, était vraiment parfait quand il faisait un magnifique soleil, comme aujourd’hui, même si le vent soufflait, c’était assez agréable pour un mois de février. Je le regardais, les yeux fermaient, sortant une bouteille d’eau dans mon sac, je lui versais le tout sur sa tête et la jetait dans la poubelle qui était juste a coté de moi par chance.