— VOTRE PERSONNAGE EST-IL UN SCENARIO ? : [] OUI [X] NON — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN : Qui a le temps — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ SUR LE FORUM ? : Panda et Trey — NIVEAU RP : (un exemple, je vous en prie. Récent si possible et pas spécialement de votre personnage si vous n'en avez pas encore.)
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Girl just want fun c'est la chanson que je chante sous la douche, une bonne douche bien chaude pour me réveillée ce matin j'ai la pêche et je suis de bonne humeur. On m'a appelé pour me parler d'un boulot régulier okay je préfère la joué solo et intuition d'habitude mais un salaire tous les mois c'est loin d'être négligeable loin de la. Oui je continuerais a prendre des paysages des shootings régulier mais bosser avec mon amie journaliste c'est sympa. Bon notre première rencontre elle n'était pas au beau fixe évidement elle me parlait de mon ancien boulot lieutenant de police ... J'étais plus que réticente mais face à son acharnement j'ai fini par dire oui. Depuis ce jour on s'est pas mal rapprochées même si je n'ai toujours pas répondu a sa question : pourquoi j'ai quitté la police je ne suis pas prête à en parler. Cette fille est vraiment belle je lui ai laissé ma carte à l'occasion mais il faudrait déjà que j'ai un local pour ça....... Enfin je me suis fais une amie et de retour au pays depuis peur ç fait plaisir .
Enrouler de ma serviette je sors de la douche et vais dans ma chambre pour enfiler une tenue de sport adéquate, un jogging noir et un top rouge, Tybalt vient se coller contre ma jambe, le pauvre je suis en retard pour lui donner ses croquettes mais il sait me rappeler à l'ordre, une fois habillée je vais donc dans la cuisine lui remplie la gamelle un bol d'eau. Et pour moi un jus de fruit fraîchement pressé , j'adore les fruits la pub cinq fruit et légumes c'est mon truc y a pas à dire ! Je ne mange toujours pas, en buvant mon verre je consulte rapidement mes mails: ma mère qui veut de mes nouvelles, je lui réponds tout de suite que je vais bien qu'il ne faut pas qu'elle s'inquiète ; le fait que je sois de retour ici était dur pour elle. En effet ma famille entière avait quittée l'Australie pour les Etats Unis et New York elle a la sensation que je les fuit tous, comment le nier en un sens c'est vrai, je ne supporte plus ces souvenirs, ici je me vide la tête même si je sais qu'un jour je devrais y faire face mais pas pour le moment. Je suis bien ici je me sens à place plus qu'à New York ; finalement j'aurais peut être jamais du être flic qui sait . Une fois répondu a ma maman je lis le reste que des pubs je soupire et ferme mon pc .
Dix minutes plus tard je mets mes chaussures prends dans mon sac mon portable, une bouteille d'eau, une pomme et mon Ipod direction le parc quoi de mieux pour se vider la tête que courir?! Moi je ne connais rien de mieux ... De mon appart' je suis pas loin j'y vais donc a pieds. Après quelques étirements sur un banc je met ma musique dans les oreilles je commence a courir voulant faire le tour du parc . Je me concentre sur la musique et court jusqu'au moment ou je ne pense plus à rien, je regarde alors aux alentours les enfants joues et rit les amoureux sont eux aussi de sortie, j'avais oublier combien le parc était bondé pire qu'à Central park il faut dire que le temps n'est pas le même non plus . J'adore le soleil et ses température élevée ... regardant le ciel je m'arrête de courir allant en petite foulée pour pas refroidir trop vite les muscles je profites du moment .
Je cours je cours depuis un moment lorsque je m'écroule de douleur et pousse un hurlement, je m'assois par terre jambe tendue posant mes mains sur ma jambes blessée qui est tendue au plus haut point je ne peux plus la bouger..... Plusieurs personne me regarde mes yeux sont humidifiés tellement la douleur est forte et alors que je regarde ma jambe des paroles me reviennent " Souvenez vous votre blessure va mieux mais vous ne retrouverez jamais votre force physique d'avant, alors allez y doucement ou vous risqueriez d'empirer vraiment les choses..."
Moi faire moins d'efforts moi le garçon manqué accro au sport comment me demander ça ?! C'est dans ma nature, c'est moi m'empêcher de vivre ça c'est m'enlever littéralement une part de moi! Je ne suis pas prête pour ses concessions; je sais que j'agis mal; mais autrement c'est impossible ... je sors de ma poche de pantalon un comprimé de vicodine et l'avale direct penchant la tête en arrière . ça fait plusieurs mois que je suis sous anti- douleurs et avec mes activités j'en prend plusieurs par jours je peux pas m'en passer sinon je boite , cinq minutes se passe et je peux enfin me lever je suis à bout de souffle tenant ma jambe enfin je me traîne plutôt sur un banc et me laisse choir dessus ! Avant de ranger mon MP3 et boire de l'eau à la bouteille les yeux clos vers le ciel j'attends que la douleur passe, sur mon visage on ne voit rien on pourrait même croire que je suis paisible mais à l'intérieur je hurle, ma main ce crispe sur ma jambe gauche...
— VOTRE PERSONNAGE EST-IL UN SCENARIO ? : [] OUI [♥] NON — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN : Peu m'importe, celui ou celle qui voudra de moi ! ♥ — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ SUR LE FORUM ? : Juliet, avec qui je suis en train d'élaborer un lien, et puis les admins, de nom. (: — NIVEAU RP : Confirmé, je dirais, et dépend de mon inspiration.
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« Conclusion, c'est donc en... » *DRIIIIING* Sauvés par le gong, une fois de plus. Les cours étaient tous les mêmes, toujours. Surtout ceux d'histoire. Un intello qui réponds à toutes les questions, quelqu'un qui amuse la galerie, et ceux qui parlent, qui n'en ont rien à faire de ce que le prof dit. Ceux qui s'envoient des sms sans se faire prendre. Comme moi, par exemple. Sauf que cette fois-ci, le cours m'intéressait étrangement, parce qu'on parlait de l'histoire de notre ville. J'espérais que l'on parlerais de nos légendes pleines de vampires et de sorciers, mais le programme ne doit certainement pas contenir des choses telles que celles ci. Alors j'avais écouté, pour une fois. J'avais même été serviable envers le professeur, et avais traversé tout le lycée pour récupérer quelque chose qui lui appartenait. Peut-être étais-ce aussi un moyen d'oublier mon estomac qui gargouillait sans arrêt ? Tout ça importait peu, à vrai dire.
Je fermais mon sac après avoir mis mes affaires dedans, mis ma veste et filait hors de la salle, pour me diriger vers mon casier. Je déposait mon sac dans la boîte en métal, puis fermait le tout avec un cadenas doré. Il était enfin l'heure que je mange, et j'étais affamée. Je m'asseyais à la table où je connaissait le plus de monde - logique - et me mit à manger. Le repas était délicieux.. avoir des sarcasmes, moi ? Bien sûr que non. J'étais simplement.. ironique. Et je ne pouvais pas me plaindre, au lycée on étais bien nourris, en général. En quelques minutes, j'avais finis mon assiette. Je n'avais plus vraiment faim, même si je n'avais pas énormément manger. J'étais la première à avoir terminé, et je n'étais pas vraiment d'humeur à rester assise à la cafétéria, juste pour voir les autres s'amuser. Alors je sortis immédiatement.
J'avançais, je ne savais pas vers où j'allais mais je marchait. Je n'avais aucune envie de retourner en cours - de toute manière j'avais encore deux heures de libre devant moi avant d'avoir mathématiques. Et je me retrouvais non loin du terrain de football. Je savais très bien qu'à cette heure-ci, énormément de gens s'y retrouvaient pour discuter, allongés sur l'herbe bien tondue. Je pensait que je croiserait bien un de mes amis, puisqu'en général pas mal de personnes que je connaissait se retrouvaient sur le terrain entre midi et deux heures. Arrivée au terrain, je vit ce à quoi je m'attendais : un regroupement de lycéens en train de s'amuser avant de reprendre les cours de l'après midi. Mais personne avec qui je pourrais rester et discuter, à première vue. Je pu repéré, loin de l'endroit où j'étais, un endroit où les gens se faisaient plus rares. Je décidais d'y aller et me mis immédiatement en marche.
Je traversait tout le terrain tout en slalomant entre tout les lycéens, et à cause de ma maladresse je trébuchait sur quelque chose.. ou quelqu'un. Je réussit à me rattraper, mais souhaitait quand même m'excuser auprès de la personne que j'avais dû embêter, peut-être énervé. « Excuse.. » Je ne terminais même pas ma phrase, puisque j'avais vu sur qui j'avais butté. Jeremy.. celui pour qui j'avais craqué, celui qui n'en avait rien à faire de moi, ou enfin il ne montrait que de la haine. Je n'entendais que des moqueries sortir de sa bouche à mon égard. « Excuse moi, c'était pas voulu. »
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
— VOTRE PERSONNAGE EST-IL UN SCENARIO ? : [] OUI [x] NON — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN :Peu importe — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ SUR LE FORUM ? : Lena et Pandora — NIVEAU RP : Moyen, selon mon inspiration du jour
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Lennon avait été toute la journée au palais, la jeune femme avait envie de décompresser. Elle avait fini sa dernière plaidoirie à 19 heures 30, elle passa une main dans ses cheveux et se regarda dans le rétroviseur. Elle avait un air fatigué, mais elle comptait bien se défouler en boite de nuit. Elle pensait aussi à Roméo, son patron elle demandait pour il venait dans ses pensées. Son côté mystérieux l'intriguait et la passionnait en même temps. La jeune femme n'avait pas pensé à un homme depuis longtemps, trop longtemps même. Elle alla décida d'aller en boite de nuit, elle rentra en dix minutes chez elle. Elle se déshabilla en prenant soin de mettre ses affaires au sale, car elle était très maniaque. Elle passa une main dans ses cheveux et décida d'aller en boite de nuit pour se changer les idées. Elle arriva dans la chambre et alla directement dans la salle de bain. Elle se fit couler un bon bain chaud comme toujours, elle aurait les bains. Quand il fut prêt, elle se déshabilla et plongea dedans et soupira de plaisir : « Humm... Ça fait du bien... ». Elle ferma les yeux afin, de profiter un maximum de ce bain à remous qui lui était donné. Elle entendu son portable sonner, elle se mit à sursauter. Elle enfila un peignoir et alla en direction du lit. Elle se jeta sur le lit pour voir qui avait appelé. Elle remarqua qu'il s’agissait de sa mère, elle se demanda ce qu'elle voulait encore. Elle décida de lui téléphoner pour savoir la raison. Elle patienta quand elle entendit : « Allo ma puce, comment tu vas ? ». Elle lui répondit sèchement : « Salut maman, oui ça va comme toujours ... J'ai plus l'âge pour que tu m’appelles ma puce ... ». Elle sentait que sa mère avait l'air d'aller bien, elle ne retourna pas la question. Elle avait envie de raccrocher quand sa mère lui dit : « La semaine prochaine je viens te voir. Je suis sûre que tu te nourris pas, alors pendant une semaine je vais te faire de bons plats. ». Elle soupira et lui dit : « Humm... Si tu veux, mais ... » Sa mère ajouta : « Il n'y a pas de mais avec moi tu le sais ... ». Lennon raccrocha au nez de sa mère en colère. Elle passa une main dans ses cheveux et regarda l'heure, elle pensait qu'elle allait être en retard. Elle s'habilla et décida de ne pas se coiffer, elle allait avoir un air sauvageonne. Elle commanda un taxi et alla en boite de nuit, avant elle mit son parfum à l'eau de rose. Une fois que le taxi l'est déposée, elle entra dans l'enceinte de l’établissement et dit au barmaid : « Humm... Un Mojito... ». Elle s'installa à une table et alla danser. Elle commença à danser seule quand un jeune homme se mit à danser, tout se passait jusqu'à qu'il commence à la coller. Elle essaya de se débattre, mais en vain. Elle se mit à crier : « Lâches-moi ... »
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Coucou, Nous sommes à présent toutes prises, il faudra attendre un peu de temps qu'un parrain pointe le bout de son nez sachant que tu connais Léna, nous ne pourrons pas te la confier comme parrain donc il faudra faire preuve de patience.
— VOTRE PERSONNAGE EST-IL UN SCENARIO ? : [] OUI [X] NON — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN : Ben jau vu que Gaylwen était libre donc... — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ SUR LE FORUM ? : Personne justement, et il y a beaucoup de membre, je me sens un peu perdu... — NIVEAU RP : Assez bon je dirais....
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Je mourrais de faim.... complétement... j'étais de plus en plus faible, et je savais qu'il fallait que je me nourrisse au plus vite, les poches de sang que Blaine ramenait de temps en temps étaient loin d'être suffisantes.... et je sentais mon corps s'affaiblir de plus en plus. Il fallait que j'aille manger.... tuer... même si je faisais tout pour que ça n'arrive pas souvent, parfois c'était une nécessité. Et ce soir s'en était une.... j'avais du tuer quelques renards sur le passage pour avoir assez de force pour tuer un humain....
Je savais que le weekend, il y avait souvent un rassemblement de jeunes sur la plage, ils faisaient des feux, grillaient de la viande, ils dansaient et chantaient d'une manière totalement insouciente. Ils ne s'imaginaient sans doute pas que tapis dans l'ombre, un monstre attendait patiemment que l'un d'eux s'éloigne pour pouvoir accomplir un acte barbare. Ils devaient tous avoir mon âge, ou du moins entre 16 et 20 ans... c'était ça aussi qui était dur... quand je tuais une personne âgée, je culpabilisais moins... elle avait vécue... alors qu'un jeune qui n'avait rien vu.... mais ils étaient pleins d'énergie, et en... faite... si j'en attaquais un maintenant... j'étais tranquille pour quelque temps....
Une jeune fille s'écarta du groupe.... il fallait que je passe à l'action maintenant, je n'avais pas encore prit ma forme vampire, je ne voulais pas l'effrayer plus, je pris place dans son dos et plaqua ma main sur sa bouche, j'avais beau être faible et fin, je restais supérieur au niveau force, et je l'embarqua en hauteur sur une falaise, loin des regards. J'avais réussi à l'assomer dans faire trop de dégât.... je n'aimais pas attaquer quelqu'un qui pouvait tout voir, elle semblait dormir, elle était belle, rousse, la peau laiteuse... je me changeais pour sortir mes crocs, et au fur et à mesure que je me penchais vers son cou j'imaginais qu'elle était la fille de quelqu'un, la copine de quelqu'un, la soeur de quelqu'un, et j'allais la tuer.... pour assouvir un besoin... Je ne pus... après avoir déposé un baiser sur son cou je me levais rapidement et courut vers un endroit isolé de la plage.
Il n'y avait personne, que les vagues, le calme, enfin presque depuis 5 minutes j'avais sentit que quelqu'un me suivait, mais j'étais loin d'être en position de défence ou d'attaque, j'étais lasse. Je posais mon cul sur un vieux tronc d'arbre qui s'était échoué par là. Je soupirais en regardant les vagues qui étaient assez calme malgré tout. La tête dans mes mains, je la savais derrière mon dos, mais je ne bougeais pas.
Pourquoi tu m'as suivi ? Tu veux te moquer d'un pauvre petit vampire incapable de tuer ?
Je croyais qu'elle était une de ceux là... de ceux qui te passeraient bien à tabac de ne pas avoir fait ça... mais à la place, elle vint s'asseoir à mes cotés.... alors je posais enfin mes yeux sur elle, elle était d'une beauté incroyable, elle me r'appellait ma mère...
Je m'appelle Jules et toi ?
Je ne pense pas avoir besoin d'aide au niveau des rps... c'est plutôt pour faire mon trou ici, trouver des liens, être à l'aise dans la foule.... et tout ça.
Moi j'suis ok pour prendre deux personnes mais comme il y a aussi Shannon qui est marraine, à voir. Mais jsuis ok pour m'occuper de toi Hayden, déjà (vu que je connais la joueuse qui fait Lennon, soit dit en passant x) ). On attend l'avis des adminettes
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
— VOTRE PERSONNAGE EST-IL UN SCENARIO ? : [x] OUI [] NON — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN : Peut importe en réalité. Celui qui voudra bien de moi en réalité. :D — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ SUR LE FORUM ? : Hum... Shanae principalement, j'ai eu un coup de cœur pour son scénario. — NIVEAU RP :
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Il y a des mots qui font mal, des mots insignifiants qui une fois mis dans une phrase peuvent terrasser n’importe qui. Les mots peuvent être merveilleux, révéler le meilleur de soi, vous ouvrir au monde, vous transporter, vous émeu, ses mots, sont là, devant vous, puissant, envoutant. Mais parfois, on peut souffrir d’un rien, parce qu’il n’y a plus de mots, plus rien… Seulement un vide immense, un silence pesant et vous pensez… Je pense alors, à toi, à nous à tout cela… Ce qui aurait pu se passer, ce qui aurait du se passer. Je ne peux m’empêcher, dans une attente presque insupportable pensé à ce qui se serait passé, si le temps s’était arrêté. Les sensations, mon cœur, sens-tu mon cœur battre dans ma poitrine ? Sens-tu cette envie presque dévastatrice de ne battre que pour toi, ou ne vois-tu rien. Que le gris du ciel, que les larmes des enfants, que le son d’un nom, d’une phrase. Est-il trop tard pour revenir en arrière, est-il trop tôt pour recommencer cette louange, crois-tu bon de continuer ainsi alors que soyons franc. Nous deux, rien ne sera plus jamais comme avant. Comme la révélation d’une nouvelle souffrance, comme le cri d’un enfant dans la torpeur de la nuit, je me rendis compte que rien ne serait comme avant. Tout comme l’image de ce lit cassé, détruit par une relation fusionnelle entre deux êtres, nous n’étions plus rien. Rien ne tenait, rien n’avançait. Nous avions eu notre chance, et elle venait de nous filer entre les doigts. A moins que ce ne soit qu’un jeu, le début, d’un temps… Pour ensuite se prouver que tu peux, me regarder avec cette intensité, cette violence, que tu peux m’aspirer dans une étreinte invisible, toucher mon visage sans que ma peau de blêmisse, frôler mes lèvres, sans pour autant te les approprier. Quel homme peut aimer jouer avec le feu, je ne suis pas de celle là, je ne veux pas de ca… J’ai peur et même quand tu n’es pas là, je pense à toi, à tout ce qu’on aurait pu écrire ensemble, à tout ce que j’aurai du faire pour toi, ce que je voulais faire pour toi.
Mais tu n’es plus là, et mon monde tout entier n’est plus et j’ai froid et j’ai peur… Et je me rends compte combien l’avenir possède cette étrange saveur, amer et pâteuse, révélant cette affreuse vérité. Bon sang ! Quels petits cons nous sommes ! Elle est là en face de moi, cette maquilleuse, mon agent me suit du regard et je veux fuir. Je déteste quand il fait cela, quand il joue avec ma vie. Il n’a jamais pris au sérieux mon cœur, à croire que pour lui, je ne suis que son gagne pain, une pierre immobile et figé dans le temps, qui ne subit pas, qui ne ressent pas. Je ressens et dieu que je suis en colère contre toi, contre lui. Contre vous… Je peux choisir ma vie, je peux aimer qui je désire, serais-ce un mal que de vouloir de cette chaleur, de cette sensation. Celle d’une main dans la mienne, d’un regard immortel, d’un baiser volé, d’une caresse à peine avouée. Est-ce mal de vouloir tout entier, cet être désiré… Je ne sais pas, je ne sais plus… Je suis perdue et dans cette incapacité, je tente de relever la tête, d’avancer et de jouer, la pièce géante de toute une vie. Les gens sont là, autour de moi, excité, stresser. Nous sommes en retard. Soit… Me pressant d’entrer dans ce lit, j’ôte facilement ce peignoir dévoilant ce corps presque dévêtu. M’installant dans ce lit, un assistant me demandant habitué, que j’ôte mon haut, je m’exécutais scrutant autour de moi, dans l’espoir d’y voir ce signe, cet instant que je redoute autant que je crains. Mais rien, le souffle n’est que vide, le son n’est que sourdine. Rien, rien ne va comme je le voulais, rien n’ira comme jamais. J’ai en cet instant, la certitude des mots, des sons mais le reste, n’est que mensonge. Au loin, Alex au téléphone préparant je ne sais quelle promotion me regarda à peine, quand je sentis les mains de l’assistante toucher mes cheveux délicatement. Remettant ce qui pouvait apparentée à des plumes, je le vis enfin entrer sur le plateau. Mon cœur se noua dangereusement, une sensation étrange réveillant en moi une certitude. « Bon, on a du retard sur le planning, mes deux tourtereaux vous êtes prêt ? Parce qu'on y va ! » Alors que Bill finissait de nous expliquer comment se mettre, je me résignais à dire quoique ce soit. Ça ne servirait à rien, à croire que ce qui venait de se passer n’existait plus. C’était comme un éternel recommencement.
Jouer cette comédie, faire semblant, dire des choses sans aucun sens alors qu’en réalité tout fut bien différent, il y avait des changements, notables. Pourtant rien n’arrivait à point… Être professionnel, il ne restait plus que cela. Être professionnel, ne pas calculer ce que mon cœur me dictait de faire, ne pas pleurer là où on m’attendait, ne pas faire ce que tout le monde attendait. Dans un mouvement presque ailleurs, il vint se mettre dans le lit, dans un sentiment de douleur, mon regard se posa sur lui, comprenant alors. Rien, rien ne pouvait être plus que douloureux que l’indifférence de nos cœurs, que la lutte du mien, que la saveur amer de ce qui se déroulait. On vint nous souffler, comment se positionner, avant que les lumières ne changent, avant que mon cœur ne flanche. Doucement reposant ma tête sur son torse, soupirant douloureusement, je me laissais aller dans cette spirale infernale. Je vins suivre ce que je savais, les gestes, les mots, les impressions, tout cela étaient soigneusement écris, quelque part sur un script. L’invisible, la douleur et la crainte ne se voyaient pas en cette journée. Du professionnalisme et avant que tout flanche, avant que le fin sonne je vins me relever, caressant de ma main son visage, je devais faire ainsi. Mon regard se noyant dans le sien, je vins déposer un doux baiser sur ses lèvres, je devais faire ainsi. Frôlant ses dernières, extirpant une volonté oubliée je vins dire, les lèvres collées aux siennes. « Désolée… » Je ne devais pas parler. Alors que je venais de foutre en l’air cette dernière scène, je le regardais droit dans les yeux, désolée de cette journée. Désolée d’avoir cru à une chose impensable, désirer ardemment quelqu’un comme lui, vouloir plus toujours plus. Mon cœur mourait loin de lui, mon cœur sombrait si proche. Incapable de choisir, incapable d’avancer, je voulais m’excuser… J’en avais assez de Bella, pour la première fois, je voulais l’éliminer de mon être, je voulais oublier l’espace d’un instant son rôle, son importance. Je voulais cesser… Qu’il cesse. Dans les méandres de ma vie je le regardais, persuadée ; oubliée, déchirée. Tu es là et je meurs… Tu n’es plus et je meurs…
En faite, j'ai plus des problèmes sociaux... Timide à l'extrême surtout quand je connais peu de mal, j'ai énormément de mal à m'intégrer. Et là ca me ferait chier d'abandonner le fo parce que j'arrive pas à m'intégrer. Donc, je poste mon petit formulaire. =)