✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: Ils ferment boutiques || Santana Mar 12 Avr - 0:26
Cela faisait 4 heures que je changeais et rechangeais les couches de Lukas alors que sa maman faisait la sieste. J’avais la tête dans le popotin et je devais aller à une soirée. Les nuits blanches avec les pleurs d’un enfant cela déroute surtout quand ce n’est pas le nôtre mais celui de notre petite sœur qui est bien trop jeune pour être maman. L’est compliquée la vie. Tout ce que je voulais ce soir était faire la fête et c’est ce que je ferais en très bonne compagnie d’ailleurs. Je m’apprêtais entre deux langes à changer. Rapidement… une petite douche, un biberon, le maquillage pour ensuite faire le reste et voilà. Tout cela rapidement pour arriver à mon but, être parfaite. Une robe blanche toute simple et dont un bustier était génial pour dévoiler mon décolleté, parfait pour une soirée mais je vous rassure… que la soirée n’allait pas être géniale. Je ne comptais déjà pas draguer, fini le célibat… ce qui était parfait pour moi et j’adorais ça. C’était seulement une soirée à l’hôpital, une bonne soirée suite aux fiançailles d’un chirurgien, je vous jure… ils aiment faire tout en grand. J’y arrivais rapidement et posais mes affaires sur mon bureau à la morgue. Allant alors faire les coutumes : bonjour, mes félicitations, bonne chance pour le mariage et tout ce qui suivait enfin je faisais bonne figure malgré la fatigue et le besoin de m’amuser. J’avais seulement envie de sortir de chez moi. Ensuite j’avais bien envie de rendre visite à une personne en question mais pas n’importe laquelle… alors que je me faufilais hors de la soirée mais mon téléphone sonnait… Lena. « J’ai besoin de couches, on en a plus. » et merde. Je ne pourrais pas aller voir la seule personne que je voulais voir en ce moment pour avoir un petit moment loin des bébés et surtout être bien mais bon, tant pis. J’allais alors rapidement vers le supermarché et directement au rayon des bébés pour avoir des couches, je vous jure qu’elle pourrait faire des réserves. Cela m’énervait un peu beaucoup mais bon, je tentais de positiver. Cherchant les bonnes couches pour le petite bout qui n’avait que deux semaines, je voulais trouver les bonnes et j’en profitai ensuite pour faire quelques courses. On n’avait pas vraiment eu le temps de faire nos achats depuis les nuits blanches. C’était fatiguant un bébé, je devais peut-être la laisser s’en charger seule au lieu de partager ce poids sur mes épaules. J’allais alors au rayon des champagnes et cherchais celui qu’il me fallait, j’avais dans l’idée de boire du champagne pour me détendre de cette soirée gâchée. Je voulais réellement lui faire une petite surprise mais bon, tant pis. Lena avait un peu tout foutue par terre. On s’en fiche après tout, je me rattraperais. Allant alors au rayon des chips, je prenais un bon paquet. Je ne voyais pas grand monde et cela se vidait. Il n’y avait plus le bruit de la radio et je savais donc que je devais me dépêcher mais j’étais un peu fatiguée… ressentant à ce moment un bon gros coup de pompes. La fatigue cela vient rapidement comme bonjour et au revoir. Je baillais tout en allant près des bonbons en tout genre. Une bonne soirée en perspective. Je voulais passer une délicieuse soirée dans mon lit devant un film pour dire de pouvoir la sauver un peu.
Je vagabondais réellement d’aller en aller mais c’est alors que tout se coupa, les lumières et les bruits mais aussi que j’entendis la fermeture d’une porte et la descente des volets. Je courrais rapidement en direction de l’entrée avec mon panier et me prenant sur la route une petite étagère dans le pied « Aille », je repris alors rapidement ma route en boitant un brin mais surtout par surprise. « Et merde », disais-je en voyant que tout était fermé. C’était dingue mais je restais là à tenter d’avoir du réseau mais il ne captait rien du tout pour l’instant. Je me retrouvais enfermée dans le centre commercial en entendant du bruit venant d’un rayon, je regardais autour de moi. « Y a quelqu’un », j’avais un peu peur à l’idée de ne pas être seule car je ne savais pas sur qui je pourrais être tombée. Marchant alors de pas léger et doux pour ne pas me faire remarquer, j’optais pour une démarche silencieuse et calme parmi les rayons. Chopant une batte de baseball en mousse… ouais en mousse comme Mickey Mouse, non mais la mousse comme c’est tout mou. J’avais peur aussi de tomber sur une souris en parlant de Mickey, j’avais la frousse des souris. Un petit rire se dessina sur mon visage, je me sentis bête avec cette fichue batte mais je me sentais plus en sécurité que si je ne l’avais pas même si elle était en mousse. Marchant encore à la recherche de ce bruit. « Ehoooo… Marco ? », Disais-je avec l’idée d’entendre un polo comme beaucoup qui connaissent le coup du Marco/Polo pour trouver une personne mais rien, je n’entendais rien. Je faisais surement trop peur avec ma batte en mousse pour dire que l’on ose m’aborder. « Ahhhhh »… Criais-je alors en tapant jouet qui venait de faire du bruit tout en me retournant et entend des pas à nouveau derrière moi. Me retournant assez gênée d’avoir moussé le jouet… Je reconnaissais brièvement Santana, je ne le connaissais pas à fond mais pour le peu, je pouvais la reconnaitre et me sentir soulagée par sa présence. « Dieu merci.Je croyais que j'allais tomber sur un bandit ou je ne sais quoi et non... ouffff... rien de tout cela... enfin tu n'es pas un bandit, hein ?»… j’allais vers elle et la prenait dans mes bras, vraiment soulagée tout en jetant ma batte en mousse.
Sujet: Re: Ils ferment boutiques || Santana Mar 12 Avr - 17:02
J’avais passé ma journée à faire de choses très simple, trop simple. Depuis les vacances, je m’ennuyais un peu je devais l’avouer. Non pas que j’étais dingue des cours mais c’est juste que j’avais besoin de quelque chose pour m’occuper l’esprit, je pensais trop voilà le problème – oui une blonde qui pense ça vous en bouche un coin avouez le ! – surtout que je savais que je devais me mettre à bosser les partiels sinon adieu le droit et re-bonjour le bar de strip-tease. A cette idée un frisson de dégoût me parcourus le corps, c’était vraiment une mauvaise époque, les hommes peuvent être des porcs et parfois c’est affolant. Toujours est-il que j’avais donc passé ma journée devant mon home cinéma, tiraillée entre l’idée de continuer toutes les saisons des Simpsons ou bien de finir la chanson que je composais. C’était un grand dilemme croyez moi ! Il devait être dix-huit heures quand j’avais enfin décidé de bouger mon popotin et de faire quelque chose de constructif. Du moins constructif, je me comprend, parce que la maintenant, tout de suite je n’étais pas motivé à plonger dans l’ancêtre de l’ancien amendement et de me demander pourquoi est-ce que les juges britannique portais des perruques. Non mais les sujets de dissertations des fois je vous jure ! Plongeant ma main dans mon sac à la recherche de mes cigarettes je poussais un cri de rage, deux cigarettes. Ah non ça, ça n’allait pas le faire du tout. D’accord je n’habitais avec personne mais mon manque de nicotine me rendait hargneuse, je me voyais faire je me détestais. M’allumant donc cette petite chose qui me réveilla instantanément je farfouillais dans mon frigo, okay plus rien de potable a manger. Non mais la c’était la berezina, qu’est ce que j’avais foutu ces trois dernières semaines moi ? Ben bossé imbécile, un ermite voilà ce que je devenais et ça je n’allais pas longtemps l’accepter, j’allais finir par mal le vivre voilà. J’étais plantée au milieu de ma cuisine avec ma clope et une faim qui se faisait de plus en plus sentir, bon je devais me résoudre à sortir de ma forteresse et à aller au centre commercial du coin, il était petit et il était fermé très tôt mais je n’avais pas envie de me taper les bouchons, pas ce soir, pas envie. Sautant dans les premiers vêtements qui me tombait sous la patte je refis ma queue de cheval et pris mes clefs de voiture, trop vite bien entendu. Je fis tomber le vase qui était sur le plan de travail. Génial, tu fais de mieux en mieux Santana pensais-je en maugréant contre moi-même. Un pot en verre ramassé et des fleurs misent dans un endroit plus sur de la maison je sortis en claquant la porte. J’entrais dans ma voiture avec un soupir, bientôt dix-neuf heures, je n’avais plus rien a la maison et j’aurais au maximum une demi heure pour faire c’est satané courses. Des fois je me détestais d’être aussi tête en l’air. Allumant ma dernière cigarette je parti en direction du mall, musique à fond devant le regard ébahie d’une petite fille des voisins. Je devais lui faire peur parce qu’elle passait son temps a m’observait comme si j’étais un alien, ou une fille venue d’ailleurs. Remarquez ça reviens au même au final…
En dix minutes top chrono j’étais devant le centre commercial qui se vidait petit à petit, regardant l’heure j’eu un petit sourire, c’est bien ma grande tu es dans les clous. L’air climatisé à l’entrée me fit le plus grand bien, il faisait encore chaud c’est derniers temps et ça en devenait presque étouffant. Me dirigeant directement vers le rayon ou il y avait les aliments qui contenaient le plus de calories possible je jetais dans le caddie tout ce qui allait me faire office de dîner, autant dire chips, puis coca, puis steak haché, puis d’autre chips, autant dire que des choses très bonne pour la santé, mais je m’en fichais, je ne grossissait pas, autant me faire plaisir. Ne faisant pas vraiment attention à ce qui m’entourais je n’entendis pas la voix mécontente d’une caissière qui disait clairement que si on dégageait pas sur le champs on resterais enfermés. La blague, je voyais encore quelques personnes pressées en train de se battre avec leurs enfants parce que non ils n’achèteraient pas de chocolat. Des fois je me disais qu’avoir un gosse devait être un fardeau, ça devait être dur surtout les premiers temps, déjà qu’un bébé ça passe son temps à dormir et a hurler ! Oula, pas bon pour mon karma tout ça. Bifurquant dans l’allée des fruits je fit le pleins de pommes et d’orange et de tout ce qui allait me faire tenir durant mes partiels. La vitamine C voilà ce dont j’avais besoin, sinon j’allais finir tel un cadavre devant mes qcm. J’en étais la dans mes réflexions très philosophiques lorsque la lumière venait de s’éteindre, ah non, j’étais encore la, fallais pas fermer hein ! Me dépêchant de me diriger vers les caisses j’entendis les portes et le volet électrique se fermer. « Et merde. » Grognais-je rageusement en balançant mes fruits dans le caddie. Ca c’est très Australiens, ne jamais regarder autour de sois. J’aurais préféré squatter le désert avec les kangourous et les serpents a sonnette plutôt que de resté enfermée dans un magasin. Prenant mon portable je grommelait une nouvelle fois, pas de réseau. « Dites moi que c’est une blague. » Murmurais-je en me dirigeant vers les portes. Eh bien non, pas de blague c’était bel et bien fermé. A ce moment bien précis j’avais envie de m’éclater la tête contre un mur tellement j’avais était stupide, si j’avais fait dix kilomètres de plus je serais peinarde chez moi à l’heure qu’il est. J’entendis alors la voix d’une jeune femme, elle lança un timide ‘Marco ?’, je répondis ‘Polo’ tout bêtement, mais bien trop timide pour que ce soit entendu. Vous ne connaissez pas le délire Marco/polo ? C’est bien simple, petite je lançais ça a tue tête pour savoir ou mon jumeau se cachais et comme un imbécile il y répondait toujours. Je continuais a avancé pour savoir d’où provenait la voix, il restait une faible lumière et je pus reconnaître Pandora, une jeune femme que je connaissais très peu. Mais la l’image d’elle avec une batte en mousse resterais gravé et vraiment mythique. Elle lâcha son panier en me serrant dans ses bras. « Non, je ne suis pas un bandit ! » Dis-je en éclatant de rire. « Par contre, si j’en avais été un, ce n’est pas avec ce jouet que tu m’aurais fait peur hein…» Continuais-je avec sourire narquois, me retournant en regardant autour de nous je lâchais un soupir. « Bon eh bien je crois que nous sommes enfermées. »
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: Re: Ils ferment boutiques || Santana Jeu 21 Avr - 16:29
Marco et polo ? Ils ont bercés l’enfance de beaucoup de monde et la mienne aussi, je me souviens qu’on utilisait depuis toujours cette méthode avec Lena pour nous retrouver dans les rayons des supermarchés ou dans les jours de soldes tout simplement alors que l’une se bat avec une autre pour avoir un jeans afin que l’on vole au secours de la petite qui veut l’avoir le jeans qu’une blonde veux pour draguer les minets. Cela fait longtemps que je ne m’autorise plus autant de débordement en jour de solde ou que l’on fait les soldes, c’était à l’époque de l’étudiant… qui avait de l’argent mais ne voulait pas le dépenser pour des fringues maintenant mon haut salaire à la morgue me permet bien plus car en médecin légiste… punaise mais vous gagnez bien votre vie, si vous saviez. J’aimais bien ce genre de petit jeu avec Lena qui me ramenait un peu en enfance et je n’oubliais jamais mon Marco/Polo lorsque j’avais l’occasion de l’utiliser et je l’utilisais même bien volontiers, c’est un plaisir de jouer ce genre de petit jeu avec ma petite sœur. Je n’avais pas entendu le petit « polo » de Santana mais au fond, je n’avais pas de grandes oreilles assez ouverte à l’affut du moindre bruit, je me concentrais sur ma batte en mousse qui s’apprêtait à détruire les vilains qui pourraient se montrer méchant avec la douce petit Pandorà ? Ne perdant pas ma batte des yeux, je regardais peu ou allait mes pieds et attaquait ce jouait en plastique avant de voir Santana en me retournant. Je me mettais doucement dans ses bras lorsqu’elle me dit qu’elle n’était point un bandit, bon dieu… pourquoi j’avais toujours l’art de paraitre dingue et de tourner au ridicule ? Ah oui… je sais, c’est que je suis moi, un clown… plein de vie toujours prêt à faire n’importe quoi pour faire rire tout le monde. La honte. « Ouf », soufflais-je doucement faussement rassurée de savoir qu’elle n’était pas un bandit, je me devais de jouer le jeu au maximum après tout, je n’allais pas abandonner mon art de la bêtise aussi facilement. « Je suis Pandorà Stam… même avec une batte en mousse… je fais peur à tout le monde en attaquant de câlin et de… », Je fis alors un gros bisou sur sa joue qui plaque pour me venger un peu de sa moquerie avant de reculer et reprendre ma phrase « Bisous qui plaquent. ». Elle regardait alors autour d’elle et je fis de même par machinisme surtout comme un robot mais c’était toujours comme ça, je riais et haussait les épaules à sa remarque en finissant par afficher un petit sourire et brandissant ma batte en riant. « Allons voir ou allumer les lumières, je te protège. », je souriais alors en allant vers je ne sais où mais dans un rayon et cherchant une piste qui me mènerait vers la lumière. J’arquais un sourcil en entendant soudainement un petit bruit de craquement… sans me rendre compte que c’était mes pas en fait et à chaque bruit… j’arquais plus fort mon sourcil. « On est seule tu crois ? », je n’en savais rien en fait et je me le demandais bien mais au fond… seule ou pas, ce n’était rien. Voyant alors un paquet de chips dans le rayon, je le prenais et l’ouvrais… quitte à rester seule, on pourrait quand même manger hein ? Non ? Je la regardais en souriant… « T’en veux ? Je meurs de faim », je lui proposai alors le paquet en souriant et mangeant celui que j’avais pris dedans juste avant. « Si on doit rester enfermée… autant que l’on mange à notre faim », j’haussais doucement les épaules en soupirant. « Si Lena avait pensée à prendre des couches supplémentaire, je serais surement déjà avec mon petit copain », disais-je en souriant car je ne l’avais pas encore réellement dis avec ses mots, je contournais ce mot « petit copain » c’était nouveau pour moi, trop nouveau. « Enfin c'est pas qu'être avec toi est ennuyeux mais me retrouver enfermé dans un supermarché... hummm y a mieux comme sortie entre amies » Disais-je ensuite en souriant. Oui, je ne voulais pas dire que je n'étais pas bien avec elle mais bon... comme tout le monde... être là enfermée n'était pas simplement amusant mais j'avais une dose de peur qu'il arrive un truc comme dans les films.
Je riais en prenant alors encore deux ou trois chips alors qu’elle s’était servie ou non, dépend de toi… mais comme je n’en sais rien. Je prenais alors aussi une bouteille dans le rayon en souriant… « Champagne ? », rohh bien sûr que j’allais payer tout cela après le lendemain mais là… on n’allait pas rester seulement à attendre qu’on nous ouvre… Je trouvais alors un interrupteur et l’actionna en riant car cela n’alluma pas toutes les lumières, je haussais les épaules. « Ca suffira, non ? Il ne reste plus qu’à attendre », je regardais autour de nous et voyais alors des transats avant de les ouvrir et d’aller au rayon surgelé. Je prenais alors un cornet de glace dans un des congélateurs avant de prendre place dans un des transats. « Lena va me tuer de ne pas lui ramener des couches mais bizarrement cela me fait plaisir d’être ici avec toi et de pouvoir la laisser se démerder un peu », j’étais fatiguée de la présence de Lukas et des courtes de nuits enfin je n’allais pas dire non à cette nouvelle vie car c’était bien d’avoir mon neveu mais tellement fatiguant. Je n’étais pas faite pour élever le bébé de ma sœur mais plus le mien.