Il suffit d’un café, un seul café versé dans mon décolleté par erreur pour débuter une amitié. Je n’étais pas vraiment au meilleur de ma forme pour ouvrir la porte à une idylle étant donné que je ne me remettais que depuis peu de la mort de Stan « Désolée mais la drague ne prend pas avec moi », qui aurait crue ? Nous nous étions alors rapprochés en tant qu’ami et arriva ensuite Jayden, un crétin de seconde zone pour me briser le cœur et faire de moi une petite loque qui se baladait de lit en lit… jusque ce que cela arrive à ses oreilles et après deux grosses disputes… cela arriva… « Qu’est ce qu… » Disais-je lorsque ses lèvres rencontrèrent les miennes avant de me perdre peu à peu dans une amitié amélioré.

Cela dura pendant plusieurs mois sans que l’on n’en parle sauf à Lena avant que je ne me décide à lâcher le morceau… « Je pourrais tomber amoureuse de toi, je le sais et je crois que ça arrive ». Il fallut l’aide de la téquila mais je l’avais dit. J’avais osé le dire en venant peu à peu par finir par le dilemme ultime… « Les dés sont lancés… soit tu m’embrasses ou alors… tu t’enfuies enfin si tu peux me dire quel est ma voiture avant... » Et tout s’enchaina alors. Je suis dès à présent heureuse et en couple avec l’homme que j’aime.

« Nolaan, tu perds ton temps ». Il n’a pas réussi à me séduire quand il en avait l’occasion… pas faute d’avoir essayé pourtant mais je pense que je m’en amusais surtout. Il développa alors une haine envers moi et c’était encore plus amusant mais en se rapprochant de lui… ensuite nous nous découvrions tellement de points en communs que la situation changeait pour devenir plus une sœur et son frère, des jumeaux qui se chamaille pour un oui ou pour un non et se tire dans les pattes. Puis comme elle materne beaucoup sa sœur, elle materne donc beaucoup son frère. « Je n’aime pas non plus le melon, t’as raison sur le fait que ce n’est pas bon », oui… on était vraiment fait pour devenir des petits jumeaux de cœur. Avons-nous été séparés à la naissance mon ami ? « Nos points communs auront faits de nous des amis, garderont-ils cette amitié à flot ? », tant de questions pour des petites choses. Des câlins et des bras ouverts que l’un en a besoin… une vrai sœur et son frère jumeau.

« Tu n’es pas folle, tu ne vois pas les fantômes, tu ne les entends pas et tu ne vas pas leur parler. », oui exactement quand tu revois ton père censé être mort depuis des années… « aille », je vous assure que vous pensez à un rêve ou je ne sais quelle chose étrange. J’ai été pendant mes 10 premières années la fille à son papa, toujours à ses traces et gâtée avec ma petite sœur à mes côtés qui était plus en retrait. J’ai toujours été proche de mon père avec son petit humour. Je ne sais pas comment prendre le fait que mon père ressorte de l’ombre après 14 ans sans un mot et seulement en nous suivants cachés derrière els arbres pour nous protéger.

Une rencontre toute simple, une proposition pour poser… et une peur de ma part qui n’a pas confiance en moi et ne m’en sent pas capable mais alors là, pas du tout ! Un petit sourire en coin et rien de bien compliqué pour que je devienne une amie en très peu de temps. Une envie de le protéger des crétines qui le repoussent à cause de ses soucis enfin je vous dis « les femmes peuvent parfois être de vraies salopes » donc voilà, je suis devenue une amie qui lui a montrée la ville et lui aura fait découvrir tout mais sera là pour lui à n’importe quel moment et pour n’importe quoi même des bêtises ! C’est tout moi, l’amie parfaite et loyale mais oserais-je poser pour lui un jour ? Je n’en sais rien. « Je suis désolée, j’aurais été ravis et tu sais bien que j’aurais été présente pour toi… je suis bien venu malgré le boulot seulement pour une cravate », j’avais tendance à mettre de côté mes amis depuis quelques temps mais il y en a que l’on ne met jamais de côté : ceux dont on s’excuse de l’avoir fait.

Une mauvaise période dans ma vie ou la séduction et les coups d’un soir se multipliaient. Je t’ai cherché et je t’ai trouvé mais à peine le matin arrivé, j’étais toujours perdue et je m’en voulais comme avec les autres et les suivant car ce n’est pas moi, je ne suis pas le genre de fille qui couchent à droite ou à gauche. Je m’en suis mordue les doigts et partis comme une voleuse à peine le soleil levé. Tu m’as peut-être oublié ? Ou peut-être pas ? Mais je regrette d’avoir fait ça ce qui n’est point contre toi mais contre moi. Je me déteste et peut-être qu’un jour cela ne sera qu’une amitié avec des anecdotes pour cette soirée si seulement on se revoit mais il a fallu qu’un ouragan pointe le bout de son nez pour que l’on se retrouve comme deux héros à sauver les clients de ton bar. C’est dingue comme la vie peut rassembler deux anciens amants pour en faire une amitié.

Une sœur, on en a parfois plusieurs mais une seule me suffit. Etant sans parent depuis 14 années maintenant… j’ai pris soin d’elle comme si elle était ma propre fille alors qu’elle a 5 ans de moins que moi et vous savez quoi ? Je ne le regretterais jamais même si j’ai du mal avec sa grossesse et ses erreurs. C’est ma sœur, ma famille et la personne qui m’aura toujours à ses côtés même si je sais qu’un jour… je devrais la laisser s’en aller et vivre sa vie et même si je sais aussi que je devrais vivre ma propre vie aussi. Je ne peux pas la lâcher. « Je suis enceinte » m’avait-elle dit et je n’y avait point cru. « Qui est le père ? »… un simple gars rencontré dans un bar. On préfère parfois ignorer que l’on a peut-être des fautes mais parfois l’on assume ses erreurs, j’ai manqué de vigilance pendant un moment et voilà ce qui se passe. C’est pourquoi je ne le lâcherais jamais.

« Papa est vivant ? », elle m’en voulait de lui avoir cachée pendant quelques jours seulement que j’avais découverts qu’il vivait toujours et nous surveillais mais pourtant 5 minutes après… nous nous enlacions pour devenir encore plus forte, plus brave et plus soudée. Je sais que je dois couper le cordon mais y arriverais-je un jour ? Car plus j’y pense et plus je me dis que deux sœurs resteront toujours deux sœurs. Je suis un peu comme sa mère et quoiqu’il arrive, elle pourra toujours compter sur moi.

Quand nous étions enfants… nous comptions toujours pour une seule quand nous étions deux… comme les deux doigts d’une main. L’amitié s’est une chose qu’on ne peut détruire d’un coup de baguette et même ton départ n’a pas suffi à rompre les contacts par des lettres ou emails mais encore texto… nous avons fait notre vie pourtant mais rien ne peut séparer les deux doigts d’une seule main quand ils sont liés par l’amitié pour le restant d’une vie, de deux vies. J’ai changé et tu as changés, je n’en doute pas mais le cœur ne change jamais.

à développer en rp *-*

« Bienvenue chez Kaya’s clothes ! Si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas à m’appeler, je serais juste ici », me disait cette jolie jeune femme le jour de son ouverture. Le premier jour et j’étais sa première cliente. Sous son stress, je ne pus m’empêcher d’agir et de me montrer comme je le suis et sincèrement comme elle le méritait : une cliente parfaite et totalement gaga de ce qu’elle fait. Mêlant mon humour et tout ce que j’avais… je flirtais avec ses créations et me contentais de la détendre. « C’est même merveilleux. Cela doit demander un temps fou. Vous savez quoi ? Je vais regarder tout ça de plus près, vraiment et je vais être la première cliente en or. », avais-je dis et je comptais bien m’y tenir car elle méritait que l’on s’intéresse à ce qu’elle vendait et faisait main… Je connais la peur du nouveau et de l’engagement sans être certaine de notre réussite, je voulais la détendre car le stress et la crainte n’est pas fruit d’imagination mais de fuite et déprime.

« Mais allez, foutue machine… donnes-moi mon café avec un peu de sucre », oui… je m’énervais contre la machine alors qu’une charmante jeune femme attendait son tour. Je déteste quand elles ne veulent pas me donner mon café, moi… accroc que je suis et il n’y a pas de jus de fruits non plus à l’hôpital pour satisfaire mes envies. J’étais encore en stage à l’époque et je voulais seulement apprendre à bien comprendre les patients… c’est pourquoi je me suis mise à accoster gentiment celle-ci. Étudiante en médecine, je faisais de tout et n’importe quoi avant de choisir ma spécialisation. Cette alors que j’ai sympathisé avec ce brin de jeune femme et de papotes en papotes… je lui avais même aidé mon aide mais elle refusa. Je suis têtue, vous savez et un « non », ne me suffit jamais. J’eu mon « oui », j’espérais bien l’obtenir en fait. Et nous nous recroisions plusieurs fois mais un long moment, elle disparue du coin ainsi que moi aussi préparant lentement mais surement l’obtention de mon diplôme. C’est lorsque je la vis avec ses deux doigts cassés et je réappris à passer du temps avec elle en me rendant compte qu’elle avait enfin trouvée sa place à Sydney. Mes yeux tout mignon tout doux qui font tomber Gianni auront faits tomber un « oui » de la bouche de cette jeune femme qui maintenant est entrée dans ma vie. Je ne la laisserais pas aller bien loin sans avoir de ses nouvelles car il suffit de peu pour qu’une personne prenne de l’important. Il suffit parfois juste d’une machine à café. Hier encore, je lui faisais bouffer ses pop-corns par ce qu'elle me déconcentrait en plein film... «bavarde, vas... Chuuuuuut. »... Chose petite et fragile qui prend une bouchée de pop-corn pour lui mettre en bouche en guise de chut... mais toute gentil et avec humour.