Sujet: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Dim 27 Fév - 14:52
« Baby i just wanna dance » je chantais, en réalité je profitais du calme de la maison pour m’amuser. Vêtu d’une chemise un peu trop grande pour moi que j’avais trouvé dans mon armoire, celle-ci appartenant à Mathis bien sur, une paire de chaussette rouge et blanche et je me trémoussais dans le salon, dansant et bougeant sous les airs de David Guetta. Depuis quelques mois désormais j’avais de plus en plus de mal à aller à la fac et aujourd’hui j’avais profité d’une journée sans cours pour faire quelques choses dans lequel je prendrais réellement du plaisir. J’étais enceinte de huit mois et je ressemblais à une grosse baleine, je n’avais pas imaginé que ce puisse être parfois si douloureux d’être enceinte, je voyais ça comme un vrai moment de bonheur, de doux et de parfaitement adorable et en réalité c’était presque de la torture, entre les nuits à ne pas dormir parce que le bébé donné des coups de pied quand bon lui semblait pour faire en sorte que je ne l’oublie pas, ou les nausées qui avait duré pendant plusieurs moi et le must du must c’était mes changements d’humeur. Je n’avais jamais été spécialement une fille calme mais avec la grossesse je me montrais hystérique, folle et parfois très énervante, j’en venais à me demander comment ma sœur arriver à me supporter. Elle devait travailler aujourd’hui puis que je ne l’avais pas croisé en me levant, et je n’avais pas non plus trouvé le petit mot qu’elle me laissait de temps en temps. Bref je profitais simplement de ma bonne humeur et de tout ce qui m’entourait aujourd’hui. J’étais d’une bonne humeur incroyable, je n’avais jamais ressenti une joie pareille depuis ce matin. Depuis quelques temps je recommençais à vivre, étrangement ma grossesse m’apporter plus que ce que j’aurais pu espérer avoir et d’une certaines façon elle me rapprocher de mes parents, vivre sans eux était réellement un enfer, chaque jour qui passait était un jour de plus ou je me sentais seule et triste de ne pas pouvoir partagé ça avec eux, j’aurais voulu entendre ma mère crier après moi quelques choses ressemblant à « Sawyer Léna Stam tu es donc inconsciente ? » et mon père s’amuser à la contredire avec quelques choses du genre « Je vais être grand père ? Ma chérie, je suis trop jeune pour ça » et à cette pensée je riais. Je m’imaginais assise avec Pandora dans l’escalier de la maison pariant sur qui craquerait en premier.
Je riais dans la maison, en espérant que ma sœur ne débarque pas en quelques secondes et qu’elle ne me prenne encore pour une folle. J’attrapais le téléphone et composait le numéro de la pizzeria chez laquelle j’avais l’habitude de commander mes pizzas « Bonjour, excusez moi de vous dérangez … pouvez vous s’il vous plait me livrer une pizza aux quatre fromages sans olive chez les Stam ? Merci beaucoup vous êtes mignon » je raccrochais le téléphone, je commandais toujours chez eux, alors j’étais persuadé qu’il avait mon adresse dans une sorte de dossier. Au bout de plusieurs minutes et toujours pas décide à me changer j’ouvrais la porte dans ma superbe tenue et dans ma grande classe de femme enceinte, je ne pus m’empêcher de rire quand je vis ces yeux me reluquer doucement. Je lui donné l’argent pour la pizza et prit le paquet en souriant. Je déposais la pizza encore chaude sur la table du salon avant d’allumer la télé et de rire en voyant le clip musical de la nouvelle star de la chanson si je pouvais dire cela « My first love broke my heart for the first time and now it’s like baby baby baby oooo … » prise d’une pulsion je me mis à danser sur cette chanson et devant ce garçon assez spéciale me rappelant étrange le petit que Gianni avait dans son super rôle de baby sitter qu’il avait. J’étais totalement folle mais cela me faisais rire en réalité. Au bout de plusieurs minutes d’intense folie je me rendis compte d’un petit détail « Pourquoi ce sol est mouillé ? » je me parlais à moi-même à cet instant fixé le sol légèrement humide me demandant si j’avais renversé mon verre ou quelques choses jusqu'à ce qu’une grosse ampoule vint à moi comme une sorte de flash, je fis la tête de la jeune fille faussement choqué.
J’attrapais une veste tentant de rester calme. J’attrapais les clés de ma voiture me glissant le plus calmement et délicatement possible dedans. Je roulais jusqu'à la morgue espérant y croisait ma sœur, impatiente je pris pour une fois l’ascenseur pour descendre. Je croisais Caroline la jeune standardiste qui me stoppa directement « Léna, vous ne pouvez pas entrer, votre sœur est occupé pour le moment » je lui lançais le regard du et alors c’est une urgence. Je poussais la porte trouvant ma sœur dans sa superbe tenue de légiste et lui offrir un sourire « Excuse moi de te déranger, toi et michel, georges ou paul … surtout ne cris pas parce que j’ai pris la voiture et que j’ai conduis jusque ici mais j’ai perdu les eaux et je crois que tu va être tata dans les prochaines heures » je souris de plus belle en voyant l’expression de son visage.
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Lun 28 Fév - 5:16
Ou avais-je dormis ? Je ne sais pas réellement car je n’avais pas dormis. J’avais trainée dans la ville à pied avec mon iPod rien que pour réfléchir et être seule. Pourquoi ? Un besoin soudain à mettre mes pieds dans le sable légèrement humidifié par l’eau de mer. Une douce chanson qui se laissait entendre dans mes oreilles, un peu d’Aerosmith car j’en ai marre d’entendre le crétin de Bieber quand Lena met la musique à fond ou même de regarder Twilight. Je ne suis pas réellement un mouton fan de tout ça. Enfin bref… je quittais la plage en réfléchissant à tout ce qui se passait dans ma vie : La grossesse de Lena, la situation avec Gianni et d’autres comme supporter simplement l’absence de mes parents dans une situation comme celle-ci. Je croyais que tout allait bien comme une check-list : Gérer l’enfance de ma petite sœur, check. Gérer son adolescence, plus ou moins… check. Gérer sa grossesse ? Ce n’était pas au programme mais je ne suis pas certaine du check. Je ne sais pas mais quand on est enceinte… on est en couple et surement assez bien « stable » cependant rien de tout ne cela en ce moment. C’était ça qui bloquait en ce moment dans ma vie avec Lena… je devais donc un peu prendre les responsabilités de ma petite sœur en quelques sortes. Depuis toujours… je me mets de côté pour elle et encore là… je me dis « pour combien de temps encore ? ». Je n’avais jamais voulu qu’elle avorte et je ne voulais pas qu’elle avorte, je ne l’aurais JAMAIS laissé faire car ce n’est tout bêtement pas normal de tuer un enfant aussi petit soit-il. Même si c’est une petite crevette. Passe… je continuais à sillonner dans Sydney en me rendant à pied vers l’hôpital… et je marche, marche et marche au milieu de la ville sans même me rendre compte que le soleil se levait. Rapide ? Non, tu crois ?
Enfin je n’avais pas trop le choix pour me rendre au boulot alors que je commençais de très bonne heure. L’inconvénient avec le fait d’être médecin légiste était que les gens pouvaient mourir à n’importe quel moment. Poufff… il tombe dans les escaliers et va à la morgue donc en gros : boulot de nuit bien sur ce qui était un peu « chiant » d’ailleurs et fatiguant parfois mais je devais continuer à faire ce métier, je le voulais même si je devais avouer que c’était bien souvent « fatiguant ». Entrant alors dans l’hôpital par la porte des urgences, je ne pouvais pas m’empêcher de dire « Bonjour » à quelques collègues, des petits « Salut » parfois et agrémenté de « ça va ? » et bien sur les réponses suite aux « et toi ? » qui était bien vague. Comment répondre à cette question quand on n’en connait pas réellement la réponse ? Allais-je bien alors que l’accouchement de Lena se rapprochait fortement ? Allais-je bien alors que ma relation avec Gianni était sans cesse dans ma tête et dans mes pensées ? Enfin peut-être pas seulement la relation, il y a un tout qui trônait dans mes pensées. Allais-je bien alors que ce n’était pas mon rôle de m’inquiéter pour ma petite sœur à ce point ? M’en inquiéter comme une mère s’en inquiéter ? Me dire qu’elle ne doit pas arrêter la fac alors qu’elle est tellement « inconsciente » à ce niveau mais encore sans oublier m’inquiéter pour son futur. On sait très bien que les mères n’ont pas la chance de trouver un « père » pour les enfants car elles sont souvent « ignorées » par les célibataires. Arrivant dans la salle à café et papotant un peu avec Reagan, je profitais de l’instant… « Bonjour, comment vas-tu ? », disais-je en forçant le café dans ma tasse. Elle soupirait surtout par ce qu’elle n’allait pas bien et je le savais. Je lui faisais un rapide câlin étant très tactile avant d’aller rejoindre la morgue « C’est la vie ma chérie. Il faut seulement sourire à celle-ci et accepter les soucis »… Oui, Pandy ? Tu sais que tu n’acceptes pas tes soucis ? Tu peux parler, t’es encore pire ! Mais je dois dire que même si je n’acceptais pas mes soucis et que je n’en parlais avec personnes… cela faisait tout de même du bien de savoir que je n’étais pas la seule à avoir des problèmes. Je soufflais rapidement sur mon café en enfilant ma blouse de travail que j’avais reprise dans la salle de repos. Passant devant ma secrétaire et chopant un dossier qu’elle avait sur son bureau… je me contentais d’un mot et quelques, « Coucou Charlène, je ne veux être dérangé sous aucuns prétextes », c’était toujours ce que je disais quand une grosse journée m’attendaient mais surtout quand j’attendais un appel important ou simplement un appel mais encore et simplement la raison du jour : Quand je veux être seule et pouvoir penser, écouter de la musique mais surtout m’abandonner dans mon travail.
Je commençais le boulot en entrant dans cette pièce sans hésiter. Déposant mes affaires sur le bureau et reprenant au début de la musique de mon ipod que je branchais sur son socle avec les baffes à fond… dansant légèrement sur la musique tout en m’occupant des « patients » qu’il me restait depuis hier… réceptionnant quelques autres que j’allais cherché quand Charlène me dérangeait en pleins « travail » enfin tout ça et tout ça était vraiment… du boulot. « Coucou Germaine », disais-je alors à cette jeune femme sur la table qui était simplement morte d’une attaque cérébrale apparemment. « Votre cerveau, il a fait pouff ? », oui… je parlais à mes « patients » et ben quoi ? Je l’ai toujours fais et tout le monde le savait surtout mes proches mais encore plus le personnel de l’hôpital. Je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir mal pour les enfants de celle-ci qui devait pleurer leur maman. Je repensais au passé et avait légèrement la larme à l’œil alors que Lena débarque en poussant la porte. Je venais bien d’entendre ce qu’elle disait ? Je n’avais pas vraiment un visage « heureux » car je n’en revenais pas qu’elle ait pris la route dans cet état au lieu de penser au taxi ou même me téléphoner. C’était inconscient car il aurait pu arriver n’importe quoi. Je devais avouer être un peu en colère sur le moment surtout et avant tout. « Lena Stam… connaissez-vous les taxis ou bien les ambulances ? » oui, je montrais bien que je n’étais pas contente tout en prenant le téléphone qui se trouvait à deux pas de moi et appelant la réception des urgences… « Hello Sandy, tu pourrais descendre un fauteuil roulant à la morgue ? J’ai une femme enceinte sur le point d’accoucher qui pense avant tout à passer ici au lieu de directement aller aux urgences… elle a bien fait car je peux la tuer sans inconvénient », je arquais un sourcil. Bien sur la standardiste connaissait mon histoire et le fait que Lena soit enceinte etc… elle rigolait et avait directement comprit de qui je parlais. Je l’entendais déjà dire « Ahah… Lena Stam va mettre bat » et elle commandait à une de ses collègues de descendre un fauteuil et appeler son docteur. « Merci », disais-je avant même qu’elle ne me dise que c’était bon. J’avais des collègues d’enfer.
Je regardais alors Lena avec mon air « pas contente du tout » alors qu’elle me gratifiait depuis d’un sourire. J’étais contente, oui mais j’avais peur pour elle. Pouvait-elle le comprendre que je m’inquiétais sans cesse. Et puis comment elle avait fait ? Les contractions ? Tout ça cela devrait être impossible de faire tout ça, seule. C’est superman, ma petite sœur ? J’avais l’impression que j’allais m’énerver et me calmait en la regardant alors qu’une infirmière arrivait avec le fauteuil roulant et l’embarquait. « Lena… tu étais inconsciente » disais-je en la suivant. « Ce n’est pas normal que tu arrives à penser à venir en voiture au lieu de prendre un taxi ou m’appeler mais encore que tu passes ici au lieu d’aller directement aux urgences »… je grognais légèrement et pourtant je lui avais pris la main et la rassurait. J’étais encore colère mais je restais sa sœur et puis la colère allait passer… c’est juste le fait de flipper sur le moment avec son inconscience. C’est dans ce genre de moment qu’on aimerait qu’une personne l’engueule réellement pour lui faire comprendre qu’elle doit s’inquiéter un peu plus pour son bébé et sa santé !
Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Sam 5 Mar - 14:19
Dans quelques heures j’allais être maman, dans quelques secondes j’allais avoir une petite vie à faire grandir quelques choses que je devrais assumer et aimer jusqu’à la fin de ma vie. J’étais partagé, partagé avec l’impatience qui guidait mes mouvements et celle de la peur qui me gagnait. En réalité j’avais peur, j’avais senti pendant neuf mois mon ventre grossir, découvrir les échographies du bébé et le voir se forcer tout doucement l’imaginant déjà dans mes bras. J’avais peur, peur des conséquences et de ce qui allait se passé pour moi. La vie que j’avais depuis quelques temps désormais allait changer, je ne devais plus être dépendante de ma sœur, puisque ce bébé serait dépendant de moi. Mes mains se mirent à trembler, je commençais réellement à paniquer, non en faite je paniquer totalement, je ne pouvais pas croire ce qui m’arrivait, j’avais peur d’avoir mal même si je savais en tant qu’étudiante en médecine cela ne me ferait rien et surtout pas mal. Je fixais le regard de ma sœur, je m’attendais à une sorte de savon ou de crise, j’étais inconsciente je le savais mais en réalité j’avais peur de ne pas faire ça avec elle, j’étais réellement tétanisé à l’idée d’être mère et si elle n’était pas la pour me tenir la main de la première second à la dernière j’étais persuadée de ne jamais y arriver. Oui j’avais mal, c’était très loin d’être agréable de sentir ça mais je prenais sur moi pour la douleur juste pour la voir en face de moi et entendre une sorte de tout irait bien. Je restais appuyé sur le meuble à coté de moi, la fixant. Elle semblait partagée entre la colère et le bonheur, quand à moi je tremblais et je grimaçais en sentant la douleur. Je ne pus m’empêcher de rire à ma sœur, pour la rassurer et lui montrais que tout allait bien « Quoi ? J’ai voulu voir si je suis aussi forte que Mac Giver » c’était bien sur une plaisanterie mais je n’avais rien d’autre à dire sur le moment puis que je savais qu’elle avait raison. Je fronçais les sourcils en entendant parler de m’être bas. C’était moi ou elle me comparait à une vache ? Sandy avait toujours eu un sens de l’humour assez spécial. Je souris en prenant tant bien que mal place dans le fauteuil roulant « Sandy, enceinte ou non si tu me compare encore à une vache tu va gouter à la fureur d’une Stam … » je plaisantais bien sur, Sandy à sa façon faisait partie de notre famille, je la connaissais depuis un moment et elle se montrait toujours très douce bien que ces comparaisons laisse à désirer.
« Je sais, je suis folle mais je voulais absolument que tu soit la, et j’ai paniqué mais je vais bien regarde » je fis mon sourire de winneuse, un peu forcer mais tellement drôle. Elle me poussa, j’avais eu tord je le savais mais elle m’aimait aussi pour ça, et je pouvais lire dans ces yeux tout ce mélange d’émotion. Je respirais, remerciant les cours de préparation à l’accouchement, les centaines de livres que j’avais lus et tous les trucs sur internet que j’avais regardé. « Hé pandy ! Ca va aller ? » en réalité j’avais besoin d’un oui ça ira, comment ça j’ai l’air totalement paniqué ? Rapidement je franchis les portes de l’hôpital et du service maternité, je voyais autour de moi les gens s’agitait et je tentais de resté le plus calme possible. Rapidement un médecin s’approcha de moi en compagnie d’un autre un peu plus jeune, je devinais qu’il était un interne en médecine, ou un titulaire peut être. « Bonjour, je suis le docteur Cohen, et voici mon interne Logan, on va vous occupé de vous mademoiselle … Sawyer » je fis la moue, en réalité plus personne ne m’appelait Sawyer depuis très longtemps, même si cela était mon vrai prénom, le premier et celui de mes papiers j’avais pris l’habitude de me faire appeler Léna, je fis un petit sourire au milieu de mes respirations « Léna … appelez moi Léna s’il vous plait » il optima par un bien sur Léna, et me fit rapidement signé un dossier blanc que je lu très rapidement. Il le donna ensuite une feuille à Pandy pour mon admission. « Je vais aller préparer votre sœur mademoiselle Stam, je vous laisse remplir ce papier et pouvez nous rejoindre » il lui indiqua le numéro de la chambre dans laquelle j’allais me trouver pendant quelques heures.
Je souris lui lançant le regard du reviens ma vite ma chérie ; je ma laissais guider dans la chambre. Pendant plusieurs secondes j’eu la sensation d’être prise dans un tourbillon que je ne métrisais pas. Tout le monde s’agitait autour de moi, mes vêtements furent enlevais pour une robe de chambre très courte et bleu. J’étais presque mal à l’aise de me trouver nue devant un homme que je ne connaissais pas. Je semblais prête, enfin pas vraiment mais je n’avais d’autre choix que de l’être. Pendant une bonne heure peut être plus, je passais toute une série de test, trouvant ça très ennuyant. Les contractions devenait de plus en plus dur et je sentais mon corps se serrer et être assez impatient. Au bout de plusieurs longues heures, il était tant « C’est l’heure Léna » il sourit et revint dans sa tenue de cosmonaute, tout en bleu, distinguant juste ces yeux. En quelques secondes je vis ma sœur de retour parmi nous et je lui tendis la main pour la serrer dans la mienne. « Surtout en t’évanouie pas, sinon je vais paniquer, et une Léna qui panique … » je respirais et tout commençait. Bon dieu c’était quand même un peu douloureux, j’avais peur de broyer la main de ma force avec la force que j’appliquais. J’écoutais le docteur entre ces respirait et ces poussait. J’hurlais, cela ne faisait pas spécialement mal mais c’était une sorte de reflexe sans doute. Ce fut interminable, je crois que j’avais passé au moins six heures sur ce lit hôpital, jusqu'à ce qu’un cris strident se fit entendre dans la chambre « Il est arrivé » je tournais mon regard tout ému dans la pièce, il le prit quelques secondes, coupant le cordon et vérifiant que tout aller bien du moins je le supposais. Je prenais doucement mon souffle, passant mes cheveux humide correctement. Puis le temps arriva ou je pus enfin le prendre dans mes bras, je craquais pleurant, il était magnifique, et il était à mes moi, ces petits yeux bleus se plongèrent dans les miens et dans ce de ma sœur, je le pris ces doigts dans ma main « Bienvenue dans notre monde, Lukas Charles Stam » je souris, et regardais Pandy, Charles n’était autre que le prénom de notre papa et je n’avais pas pu faire autrement que de lui donner à lui aussi « Mon ange, c’est tata Pandy et c’est aussi ta marraine si elle accepte de l’être bien sur ? » je souris dans ma façon de lui demander cela.
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Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Mar 8 Mar - 5:35
Je ne rigolais pas alors qu’elle faisait tout bonnement de l’humour en disant voulant être forte comme Mac Gyver mais imaginez-vous Mac Gyver enceinte avec des contractions ? Non mais sérieusement ? Je ne pouvais pas en rire. Les contractions ? Les hommes ne pourront jamais comprendre la douleur que ça provoquer et puis s’il n’y a pas de mots pour la décrire. C’est la chose la plus douloureuse que l’on oublie directement une fois que l’on tient ce petit être née dans nos bras. Elle voulait être forte ? Libre à elle mais comment pouvait-elle s’assoir ? C’est presque impossible de le faire sans douleurs enfin si mais c’est compliqué. « Lena… Mac Gyver pourrait-il tomber enceinte ? Un peu de sérieux. », Je riais nerveusement. C’était plus fort que moi, fallait que je sorte des conneries mais oui. Un homme ne pouvait pas accoucher. « Libre à toi d’être forte, Lena mais si tu dois être forte… soit responsable aussi. », je l’a regardais simplement avec mon petit air sérieux. « Si tu ne peux pas l’être pour toi, soit le pour moi ou pour lui », je lui désignais son ventre pour lui faire comprendre que je parlais de son bébé. J’avais alors pris des initiatives avec Sandy du bureau des urgences pour avoir tout ce qu’il fallait. On était un peu tous préparer à des éventualités de la naissance du bébé, j’étais prête. Je ne savais pas vraiment si elle l’était. Elle n’a que 19 ans, comment pourrait-elle être prête à accoucher ? Entre nous, c’est un défi pour moi mais l’impossible pour elle. Elle m’est encore trop dépendante. Je m’en rends compte car… elle est là. Je regardais ensuite Lena qui déraillait en ennuyant la pauvre Sandy, pauvre d’elle qui adorait taquiner la pauvre Leny depuis le début de sa grossesse. « Lena… tu n’es pas une vache mais tu es une petite tigresse et les félins… mettent bas ! », oui… les vaches ne mettent pas spécialement bas enfin ce n’est pas que pour les vaches. On a beaucoup d’animaux qui peuvent mettre naissance alors pourquoi une vache ? On pourrait dire : Lion, singe, chat, chien, écureuil ? Enfin tout ça quoi. Même les Hamsters. Je ne savais pas vraiment comment réagir face à l’attitude de Lena qui était comment dire « inconsciente », une femme aurait simplement téléphonée à son mari mais elle vient chercher sa sœur à la morgue enfin c’est étrange, elle pouvait me téléphoner. C’était encore un signe qu’il était temps qu’on s’éloigner. Elle viendrait à la morgue par ce qu’elle n’arrive pas à bonne température pour le biberon ? Enfin je ne sais pas mais sur le moment, je paniquais sur ce qu’était nos liens, ma vie. Comment se pouvait-il que l’on soit aussi proche ? Tout ça m’effrayait même. « Lena, j’aurais été là. Je serais venu dès que Sandy m’aurait prévenue de ton arrivé. Tout est prévu. », j’avais parfois besoin d’électrochoc pour me faire comprendre que notre relation était bien trop « anormale » et que je devais absolument mettre le « ola », je le savais mais je ne pouvais pas. Je n’ai qu’elle, vous savez ? C’est ma famille, bien plus qu’une sœur. Presque une fille mais cependant je suis trop jeune pour être mère d’une jeune femme de 19 ans surtout en fin de grossesse qui s’apprête elle-même à être mère. Son sourire de winneuse m’énervait un peu car sur le moment, oui. J’étais en colère mais pas seulement contre elle mais la situation et le fait que je me rendais compte que ça n’irait pas. C’était fait pour échouer. Elle arriva alors à l’étage de la maternité en me demandant si ça allait aller. Bien sûr que ça allait allé enfin je voulais le croire. Je n’aimais pas la voir souffrir mais elle ne souffrait pas et allait bizarrement bien ce qui me perturbait encore plus et j’étais seule à m’en rendre compte, avec moi-même et je ne pouvais pas lui en parler… je ne lui en parlais jamais. Je lui tenais alors la main, très fort pour lui donner un peu de courage et souriant, m’efforçant de montrer que ça allait aller… « Lena, ça va toujours quand on est deux », on était deux depuis qu’on était toute petite, on avait toujours été à deux enfin presque mais soudé et surtout après la mort de nos parents ensuite nos grands-parents. J’avais été tout pour elle : Sa sœur, sa meilleure amie, sa mère, son idole enfin tout ce qui était possible et imaginable ce qui est effrayant.
Ce jeune homme prit la charge de ma sœur rapidement et je ne pouvais que dire, elle s’en sortait très bien, un petit sourire alors qu’on me tentait les papiers avec des questions dont je n’avais aucune réponses par ce que j’étais bien trop occupée à bosser et bosser et bosser encore. Je ne fais que ça, je ne sais faire que ça. C’est dingue. J’avais passé aussi la nuit dehors à marcher bêtement en ressassant des millions de choses qui trainaient dans ma tête, tout ce que j’avais dans la tête. J’en avais des choses, des problèmes, des soucis enfin tout ça mais au fond : je m’en fiche. Je dois vivre avec tout ce qui se passe. Un peu d’alcool ? Nan, finie l’alcool. J’avais trop bue dernièrement. J’étais de retour et je paniquai ? Non pas vraiment, j’ai vu beaucoup de cadavre à la morgue et rien ne peux me faire peur. Je suis une dure, je suis une Stam enfin je suis surtout Pandorà. « Je ne vais pas m’évanouir, je vois des cadavres tous les jours qui ont trépassés »… je riais légèrement en regardant le docteur… « C’est pas tes cris et la vue sur… », Je n’arrivais pas dire directement sur euhh enfin je vais éviter les détails enfin « ce n’est pas ça qui va me faire m’évanouir, je crois qu’il en faut bien plus pour laisser une Stam sur le carreau ». C’était vrai qu’on était sacrement tenace. J’avais d’ailleurs demandé qu’on lui fasse une péridural pour ne pas qu’elle souffre de trop et puisse « délirer », elle a vue danser des saucisses autour de ma tête. Le médecin annonçait qu’il était arrivé après des heures et des heures. Le bébé était là, pleurant légèrement pour laisser sa respiration commencer dans le nouveau monde comme tous les bébés à l’accouchement, il hurlait. Ne comprenant pas réellement. On me proposait de couper le cordon ce qui m’amusait légèrement mais j’avais tout de même totalement peur de le couper enfin tout ça et je venais déposer le bébé dans ses bras. Il avait de ces beaux yeux bleus et une petite touffe de cheveux bruns sur sa tête ce qui m’amusait puis il était mignon, un Stam quoi. Il avait la classe et tout ça. Lukas Charles Stam… Charles, comme mon père. Cela me faisait tout bizarre de l’entendre. Elle lui avait donnée son prénom ? Je ne le savais pas encore. Je pensais soudainement à eux, mes parents en me demandant encore comme ils prendraient l’annonce de la grossesse de ma sœur s’ils étaient là. Enfin s’ils étaient là, cela ne serait surement jamais arrivé. Oui, mon truc est de me sentir coupable pour cette grossesse, j’étais trop déconnectée quand elle s’est « produite », pas vraiment : moi. « Hey », disais-je simplement d’une petite et douce voix en le regardant : les yeux écarquillés. C’était mignon de la voir avec un bébé mais je m’inquiétais d’autant plus pour elle. Je ne pouvais que m’inquiéter pour elle. Ma petite sœur était maman.
Elle venait de me demander si je voulais être la marraine. Tant de questions et tant de responsabilités. J’étais un peu sa tante et sa grand-mère à la fois. C’est perturbant. Je souriais légèrement et je ne pouvais dire non même si j’étais prise par surprise. Je hochais positivement la tête en riant… « Bien sûr qu’elle accepte d’être la marraine de ce petite bout. »… je tentais de cacher mes émotions au possible comme toujours, comme une Pandy se doit de le faire. « Comment refuser ? » question qui ne demandait pas de réponse. C’est le genre de questions qui n’a pas de réponses car il n’y en existe pas. Je laissais alors les docteurs l’accompagner vers une chambre et lui donner un petit « bain » pendant que j’allais dans le couloir envoyer un message avec le téléphone de Lena à tous ses proches. « Lukas Charles Stam est née en ce jour. La maman est heureuse et tout va bien, le bébé est en parfaite santé et la monde est beau. Les oiseaux chantent dans la chambre de celle-ci 814 d’ailleurs… ne l’oubliez pas ! », Je souriais car ce message était une improvisation mais tout mignon ? J’allais aller me reposer dans un canapé à côté de son lit. Fermant l’œil en l’attendant.
Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Lun 21 Mar - 15:48
Can I Hold in my arm your Baby?
La jolie et jeune journaliste, était au bureau depuis 7h30 ce matin là, car elle n'arrivait pas à dormir et avait donc décidé de se rendre sur les lieux pour avancer dans ses recherches et finir de corriger les articles qu'on lui avait passé pour qu'elle y jette un coup d'oeil.Cela faisait déjà deux jours que la belle brune avait rendu les quatre articles qu'on lui avait demandé de rédiger, et n'aimant guère se tourner les pouces, elle avait décidé d'aider les autres journalistes et les stagiaires. Jenna était vraiment du genre à se donner corps et âme à son travail qu'elle aimait tant, surtout quand on savait combien elle avait rêvé de ce job qui était parfait pour elle. Après tant d'efforts, son patron ne pouvait qu'être fière d'avoir une si bonne journaliste qui était de plus une employée modèle et plus précisément sa meilleure employée, à qui il allait donné une augmentation.Son patron qui arriva en premier, ou plutôt en deuxième sur les lieux, la vie et l'invita à le rejoindre dans son burea, c'est d'ailleurs ce qu'elle fit. Il lui demanda à quelle heure elle était arrivée et fut surpris et ravi quand elle lui répondit.Cela ne l'étonnait pas. Elle lui déposa les articles qu'elle avait corrigé et sur lesquels elle avait fait des annotations et ils en discutèrent une bonne heure, jusqu'à que les autres employés arrivent. Ensuite, il lui expliqua qu'il organiserait une réunion avec l'édition et la rédaction et qu'il voulait vraiment qu'elle y soit. Enfin, elle eut un autre article qu'elle alla commencer, jusqu'à ce que la réunion commence. Il était 10h30 et elle promettait d'être longue. La réunion qui portait sur les prochains journaux à publier, sur la nouvelle mise en page à adopter, était très intéressante et représentait plus un dialogue entre tous les journalistes et les éditeurs, qu'une réunion des plus banales.
Alors qu'elle prenait la parole une énième fois pour affirmer son point de vue et ce qui semblait être important, autant pour le journal, que pour les sources ou que pour ses lecteurs,elle fut gênée et distraite par un vibrement qui venait de sa poche et qui était émis par son téléphone portable. Elle s'excusa avec politesse et quitta la salle de conférence où se tenait la réunion, pour voir de quoi il s'agissait. C'était un message de Pandy, sa cousine qui lui indiqué que Lena, sa petit filleule adorait venait d'accoucher. Il était écrit: « Lukas Charles Stam est née en ce jour. La maman est heureuse et tout va bien, le bébé est en parfaite santé et la monde est beau. Les oiseaux chantent dans la chambre de celle-ci 814 d’ailleurs… ne l’oubliez pas ! ». Envahie d'une joie soudaine et du désir d'être proche de Lena qu'elle considérait presque comme sa petite soeur, elle comprit qu'il était nécessaire pour elle de filer tout de suite, et d'être là pour elle. Elle rentra à nouveau dans la salle de conférence en faisant appel à un de ses collègues et au patron. Ils se mirent dans un coin calme et elle leur dit:« Ma filleule, vient d'accoucher et je me dois d'être près d'elle. Monsieur, j'ai finit tous les articles et les ai envoyé à l'édition, après avoir vérifier la correction, la photo et son emplacement. Pour ce qui est de l'article que vous m'avez donné tout à l'heure, je l'ai posé sur votre bureau. Puis-je y aller». Son regard se porta sur son employeur qui accepta et lui dit: « C'est d'accord, vous pouvez y aller, et si vous voulais poser un ou deux jours de RTT pour rester avec la maman, vous pouvez. Mais surtout n'oubliez pas de la féliciter..et de voir les détails à régler avec Logan avant de partir.». Je le gratifiais d'un sourire, avant qu'il parte et m'adressait à Logan: « Coop, tout ce qu'il reste à faire sera de vérifier le travail de Sam, tu sais le stagiaire roux, et les photos de Chloé. J'en ai fait une première sélection pour le journal de demain, il suffit juste que tu appuies ma décision et ça part à l'imprimerie». Il la regarda bouche bée. Ben dis donc, elle pensait vraiment à tout! «Ton sens de l'organisation, m'étonner toujours! Allez file, et n'oublie pas le cadeau que tu avais pris au cas où miss prévenante, tu l'as laissé sous le bureau. ». Etant très proche de ce beau blond qui l'appelait souvent le Crack, elle déposa un baiser amicale sur sa joue, courut comme une folle dans son bureau pour chercher ses affaires en criant: « Je suis grande marraine, je suis grande marraine!!!». Une fois ses affaires récupérées, elle quitta le journal , prit sa voiture et conduisit jusqu'à l'hôpital.
Arrivée devant l'hôpital, elle parqua sa voiture, sortit les 6 sacs qui contenaient les cadeaux en tout genre, mit son manteau et courut à l'intérieur du bâtiment. Une fois dedans, elle demanda à la dame de l'accueil de lui indiquer la direction pour aller à la chambre où était sa petite Leny et le bébé. Jenna marcha d'un pas franc mais rapide en direction de la chambre, n'ayant qu'une hâte, voir la maman pour la féliciter et le beau petit Lukas. Après avoir frappé à la porte, elle rentra dans la chambre au moment même où sa petite filleule demandait à sa grande soeur, si elle voulait être marraine. Cette scène la touchait énormément. Les larmes lui montèrent aux yeux, tandis qu'un sourire flamboyant se dessinait sur son joli visage. Les yeux brillants elle se rapprocha de sa famille, puis elle alla poser un baiser sur le front de Leny: « Félicitation ma chérie...Dire que tu es maman!!». L'émotion avait prit le dessus et voir cette enfant qu'elle avait toujours chéri comme si elle était sa soeur, devenir maman si jeune , ne la rendait pas du tout indifférente. Elle en était fière et savait que si cela allait-être dure, c'était une battante et elle serait une superbe mère. Son regard se porta alors sur le nouveau né. Il était magnifique et allait faire craquer beaucoup de filles, et les premières seraient bien sa marraine, sa mère et sa grande marraine.« Il est magnifique ce bébé...Dire qu'un jour alors que j'étais petite fille, à l'hôpital à ta naissance, j'ai pris ce beau bébé que tu étais dans mes bras....Et voilà que maintenant c'est toi qui le porte dans tes bras». Elle regarda Pandy qu'elle salua à son tour en disant: « Alors Pandy, t'es marraine comme ça? Tu sais si tu as besoin de conseil, n'hésite pas». Elle posa les cadeaux sur une table qu'il y avait dans la chambre. regardant cette belle scène avec émotion et tendresse.
Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Sam 26 Mar - 11:40
A cet instant précis j’étais totalement perdu, ignorant le jour et l’heure, ignore même mon identité. Le monde dans lequel je vivais était arrêté comme ci pendant une seconde tout été parfait et que j’étais la au milieu de tout ce chaos sans réellement savoir quoi faire. Je fixais le mur blanc face à moi, les cris strident du bébé raisonnant dans la pièce et j’étais allongé dans le lit à regarder ce petit bout ce tordre, s’étendre et découvrir doucement et pour la première fois le monde. Mes yeux se posèrent sur le petit corps dans mes bras et en réalité mon monde ne tournait plus rond, doucement il vint ouvrir les yeux et ses prunelles bleu croisèrent les miennes et je comprenais désormais que ma vie allait dépendre de la sienne. Ma première pensée fut à mes parents et en particulier à ma maman, je me souvenais encore de nos discutions quand je n’étais encore une petite fille et que nous parlions de mes futurs enfants et de l’avenir qui aillait s’offrir à moi un jour, je pouvais encore voir ces yeux se posaient sur moi et mes petits mains se nouer à celle de ma mère alors que nous rêvions tout les deux d’une belle vie. Elle m’avait dit que pendant ce moment, elle serait la à me tenir la main, et en réalité j’avais espérait la voir arriver au milieu de mon accouchement pour me tenir la main mais elle n’était pas venu, mais quand j’’avais tourné la tête pendant l’accouchement, j’avais croisé la personne qui était près de moi depuis des années déjà, ma grande sœur. Lui demandait d’être la marraine de mon fils n’était qu’une chose normale, en réalité elle fut la première à qui je pensais. « C’est vrai tu accepte ? » j’étais mélangé entre mon coté ému et très heureuse. Je serais sa main dans la mienne alors que je lui offrais un doux sourire.
Rapidement le médecin que je connaissais trop bien, Logan un interne très gentil avec qui j’avais déjà croiser à quelques reprises dans l’hôpital c’était un garçon adorable et très gentil. Lui et un médecin prirent Lukas pour le nettoyer et prendre soin de lui. J’hochais la tête en le déposant dans les bras du médecin, je tournais la tête vers Pandy « Il est magnifique non ? » je la regardais mode puppy eyes, je me sentais totalement heureuse ce qui se confirma encore plus quand je vis ma marraine, ma Jenna, ma cousine entrée. Comme toujours elle était magnifique, ce qu’elle représentait pour moi n’avait pas réellement de mots, malgré notre petite différence d’âge, elle représentait pour moi quelques choses de très important, elle était à sa façon ma grande sœur.
« Bonjour marraine » lancais-je en lui offrant un joli sourire tout ému qu’elle soit déjà la. Je fus toute ému quand elle déposa ses yeux tout humides sur moi, elle savait me faire pleurer par un simple regard « Merci marraine et merci d’être la » je me redressais doucement, attendant avec une certaine impatience le retour de Lukas dans mes bras, je me demandais ce que faisais les médecins, le temps semblant affreusement long. Et pourtant il m’avait quitté il y a moins de cinq minutes. Je me demandais si j’aurais la chance de voir chouchou et Jake arrivait. Je tirais doucement sur mes muscles un peu engourdit en attachant très rapidement mes cheveux « Oui j’en reviens pas, j’ai un bébé » c’était encore quelques choses de tout frais, et j’étais un peu effrayé à cette idée même si j’idéalisé tout ça pour le moment. Je ris doucement en voyant tout les paquets de Jenna « Wahou, tu a dévalisé la boutique cadeau ? » elle était vraiment adorable. Je regardais ma sœur tendrement, elle semblait à la fois émue et un peu perdu ; je lui offris un tendre sourire en lui tendant ma main « Je vous aime vraiment très fort toute les deux » j’étais épuisée mais je n’aurais rater ce moment pour rien au monde.
Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Lun 28 Mar - 12:14
Vous savez ce qui est pire que d'être complètement débordé par le boulot? Et bien c'est devoir faire acte de présence au bureau sans avoir rien à faire, c'est exactement dans cette situation que je me trouvais... Sur mon contrat c'est stipulé que je dois être minimum 15h sur mon lieu de travail et que le reste du temps je l'aménage comme j'en ai envie, j'étais donc là pour faire mes heures de présence alors que tout le travail qui m'avait été confié était terminé. Les pieds posé sur mon bureau je surfais un peu sur le net depuis mon ordinateur, j'achetais même une nouvelle paire de chaussure comme ça juste par envie et pour faire passer le temps. J'avais surement regardé ma montre un bon nombre de fois mais je recommençais, pourtant conscient que simplement 5 petites minutes venaient de s'écouler.
Et là, je reçu LE message qui allait m'épargner encore de longues minutes d'ennui! Un message de Lena annonçant qu'elle venait de mettre au monde un petit garçon prénommé Lukas et qu'on pouvait leur rendre visite. Je me doute bien que ce n'était pas elle qui l'avait envoyé mais très probablement Pandy, mais ça ne changeait rien sauf peut être que j'aurais bien aimé qu'elle m'appelle pour le le dire... Enfin je ne lui en tiendrait pas rigueur elle devait probablement être un peu dans tous ses états du fait que sa petite soeur accouche, ce qui est bien normal après tout. Cette histoire l'avait profondément touché et perturbé aussi, un enchaînement de fait qui lui avait coûté un moment d'égarement mais bien heureusement s'était derrière elle, du moins je l'espère. Ca faisait une semaine maintenant que nous avions passé une soirée entre amis qui s'était terminé en soirée aveux et nous avait fait changé notre statut, un peu comme sur ce truc de réseau social appelé Facebook, nous étions passé de « amis et plus » à « en couple » officiellement, même si pour le moment personne à part nous deux personne de notre entourage n'était réellement au courant. Ni une ni deux j'éteignais l'ordinateur, prenait pas veste et sortait de mon bureau informant la secrétaire que je devais me rendre à l'hôpital pour cause de naissance, je téléphonais à mon patron sur le chemin qui me menait au parking, il me gratifia d'une petite blague telle que « Ah...un de tes enfants illégitimes? », ça m'a fait rire même si le sujet enfant est plutôt sensible pour moi. Surtout que j'ai toujours veillé à ne pas commettre l'irréparable allant parfois jusqu'à acheter moi même un contraceptif d'urgence les fois où j'avais un doute. Se serait une catastrophe pour moi et je n'exagère pas... je ne suis pas ce genre de type qui prend la paternité à la légère, ajouté à ce que j'ai vécu se sont des raisons que j'estime suffisantes.
Lena a d'ailleurs un peu subit le retour de force de mon expérience, j'ai mal pris le fait qu'elle soit enceinte sur le moment et je suis resté plusieurs jours à l'ignorer totalement le temps de réaliser, puis de me dire que je devais être là pour elle mais aussi parce que s'était important pour moi d'aider Pandy à affronter cela. Je sais que quand je vais la voir avec ce nouveau né dans les bras ça va être assez irréaliste pour moi mais je me prépare mentalement à ce choc. Une trentaine de minute plus tard le temps de repasser chez moi pour récupérer le cadeau que j'avais acheter en prévision de la naissance du petit, j'arrivais sur le parking de l'hôpital. Je coupais le contact et respirait un bon coup. Je me rendais au service de la maternité et m'approchais de la chambre 814, frappant doucement à la porte j'entrais après avoir été invité à le faire. Je n'étais pas le seul à avoir pensé rendre visite à la jeune maman puisque Jenna la cousine des soeurs Stam était déjà là. Je la saluais « Salut Jenna, ça fait longtemps. » je la gratifiais d'un large sourire, on s'est croisé quelques fois elle et moi, nous avons même flirté un peu mais nous n'avons jamais passé la nuit ensemble, aussi étrange que cela puisse paraître de ma part... Mon regard se posa rapidement sur Pandora qui somnolait sur le canapé, puis je regardais Lena et lui montrais le paquet cadeau «Hey Little Stam, comment tu te sens? Je te préviens c'est pas pour toi mais pour ton petit bonhomme » qui lui n'était pas là, surement avec les infirmières qui devaient lui faire prendre un bain, l'habiller et voir si tout était en ordre. Je posais le cadeau sur une petite table « Tu l'ouvriras quand tu seras un peu plus reposé » je préférais la laisser passer ce moment avec Jenna, je sais qu'elles sont très proche. Hésitant un instant j'allais finalement m'assoir à côté de Pandy et déposait un baiser sur son front avec tendresse sans me soucier de si oui ou non Lena et même sa cousine remarquerait ce geste.
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Mar 29 Mar - 2:06
Je somnolais, oui, oui… totalement endormie mais bon, je n’avais pas dormi. Marcher et marcher… encore marcher sur la sable et parfois m’assoir sur le sable simplement pour prendre un peu l’air : la nuit ? Oui, oui. Pourquoi avais-je besoin de prendre l’air ? Tout changeait autour de moi, tout simplement et j’avais besoin d’un bon air frais loin de tout… j’ai voulu prendre ma voiture et partir pour une petite expédition mais heureusement car Lena aurait été bien arrangée à l’accouchement sans moi, je serais surement arrivée à la naissance du bébé. Oui, partir une journée dans Sydney cela m’arrivait mais c’était seulement pour réfléchir et prendre l’air mais une nuit sur la plage cela n’était pas mal non plus avec un peu de musique. Enfin bref, tout ça pour dire que je somnolais car oui… j’étais crevée et complétement fatigué. Si ce n’était que moi ? Je serais rentrée faire un gros dodo dans mon lit et dans mes couettes mais je ne voulais pas partir et je ne pouvais pas partir car bon, Lena comptait sur moi et d’autres raisons mais vous les connaitrez après, je crois bien. Mais ce n’était pas que moi, c’était Lena et Lukas aussi. En fait, oui… j’étais épuisée et je somnolais réellement en repassant l’accouchement dans ma tête comme des flashs et oui, ma petite sœur était une grande et avait accouchée d’un petit bébé. J’écoutais les infirmières aller et venir depuis et oui, c’était une chose qui m’agaçait mais après tout : tellement normale. J’avais envie de crier « arrêter de tourner autour de moi, je dors » mais au fond, je ne pouvais pas car je n’étais pas vraiment là pour dormir. Dormir : cela me traversait cruellement l’esprit, je vous jure. Retrouver mon lit tant adoré, mes draps, ma couette bien moelleuse… mon dieu, je veux ! Je rêvais de mon lit, je le voyais en fermant les yeux et mince pourquoi je n’avais pas été plus intelligente en dormant cette nuit ? Bonne question, j’y penserais quand je serais dans mon lit ce soir. J’ouvrais légèrement les yeux en entendant Jenna rentrer et lui faisant signe de la signe à moitié endormie en guise de bonjour avant même de filer directement droit vers mes petits rêves mais entendant alors directement et aussitôt que j’entendis me petit prénom, j’ouvrais un œil à nouveau. Jenna me demandait si j’avais besoin de conseil ce qui me fit légèrement rire. J’avais éduquée ma petite sœur depuis 14 ans et j’avais été plus qu’une sœur mais un peu… une mère pour Lena ce qui veut dire que j’en connais un rayon sur les enfants et le rôle que ça engage de s’impliquer autant dans la vie d’un petit être. Oui, la question me faisait rire… « Je crois qu’après avoir élevée la maman, je suis plus grand-mère que marraine mais ça va aller », Je levais mon petit doigt comme pour dire que je gérais avant de retourner aussitôt... dans… mes… rêves en baillant un bon petit coup. J’entendais quelques peu Lena dire qu’elle nous aimait en souriant un brin avec les yeux mi-clos mais ne répondant que d’un bâillement. Pandy n’est pas perdue, elle est fatiguée… aussi épuisée qu’après 3 verres de Tequila. Je me voyais même à marmonner des petits trucs que devraient bien les faire rire. Oui, je somnolais et rêvais. Complétement à la masse, la Pandy ? Mais épuisée. Lâchant alors en dormant un « Chuuuuut », je souriais dans mon sommeil sans comprendre pourquoi, oui. Je dormais.
Je dormais tellement que je n’avais pas entendu Gianni rentrer. Je n’entendais que peu de choses, je n’entendais que des bruitages de fond comme les portes qui s’ouvraient et se fermait, les plateaux, les pas mais les voix étaient comme embrouillées dans ma tête c’est l’effet de la somnolence. Une Pandy a besoin de ses 10 heures de sommeil pour être en pleine forme, si ! Et sans quoi, elle est dans le coaltar complet et peut parfois délirer. Un fait scientifiquement prouvé, je vous l’affirme. Lena en a déjà payée les frais. C’est alors que je sentis du mouvement plus proche de moi et un baiser sur mon front que je souris encore endormie mais bien, c’était étrange. Je n’étais peut-être pas totalement consciente mais j’avais reconnu une chose… ce parfum, son parfum et je me voyais un peu plus dans mes rêves. C’est alors qu’un gros bruit de porte et les infirmières peu instruite au silence débarquèrent dans la chambre que je me réveillais en sursaut avant de refermer les yeux aussitôt et les rouvrir aussitôt. Je me contentais seulement d’écouter ce qui se passait alors qu’une jeune blonde qui avait la trentaine et vêtue de sa tenue d’infirmière ramenait Lukas… je regardais autour de moi en cherchant à explorer ce qui m’entourait… je devais avoir le même regard perdu que Lukas et me mettait la main sur le front… « Ah mince, je me suis endormie », non… sans blague ? Là, oui… Lena aurait pu dire que j’étais paumée. Je souriais légèrement tout en regardant à côté de moi et sachant très bien qu’il serait là. J’avais la marque de mon bracelet sur la joue à force de dormir sur mes bijoux ce qui pourrait faire rire et je m’y attendais, une petite blague ? Pas une seule ? Non ? Ça allait arriver. Je lui souriais tout en dirigeant discrètement ma main vers la sienne sans même regarder si Lena y assistait… « Bonjour, service du dodo… je vous écoute », je riais en attrapant sa main et l’approchant de ma joue pour l’utiliser comme oreiller après l’avoir posé sur les bords du canapé. Oui, je voulais être discrète pour l'instant surtout pour ne pas gâcher le moment de Lena avec cette nouveauté. Au moins… cela pourrait passer comme excuse… si Lena était trop curieuse : c’était un bon oreiller… oui bon, d’accord ce n’était pas une excuse mais j'avais envie de lui prendre sa main, c'est tout ! Je regardais alors Lena en riant… « J’ai raté ton deuxième accouchement ? », ben quoi ? Je ne savais pas exactement depuis combien de temps j’étais endormie et je cherchais même à savoir quand je m’étais endormie en me tournant alors vers Jenna en riant, « C’est vraie… maintenant ça me revient, tu as dévalisé les magasins et Lena… nous aimes toutes les deux. », oui je venais de me rappeler des dernières choses que j’avais entendue et riais légèrement en me disant que je devais paraitre complétement fada mais je m’en fichais. J’étais Pandy que pouvait faire Pandy sauf faire rire ceux qui l’entouraient ? Je regardais Lena en souriant « Moi aussi je t’aime, sœurette ». Je tournais alors simplement le regard vers Gianni, juste en le regardant et ne disant rien. Il comprendrait mon regard, la poste me le disait. « Conseil, pinces-moi quand tu sens que je m’endors sinon tu auras la marque de ma joue sur ta main », je souriais en refermant les yeux après leur avoir souri une dernière fois, je voulais seulement fermer les yeux et me reposer pendant un court instant. Pandy, pas dormi, Pandy… elle attendait que les heures de visites soient terminées même si ce n’était pas pour un long moment d’attente. Il devait bientôt être 18 heures enfin dans la zone environ et j’attendais sagement le moment ou Lena déciderait de me laisser aller retrouver mon lit ou même dormir dans son lit… j’aurais pu même si elle prenait beaucoup de place dans ce petit lit, je me serais faite toute petite mais non, je rigole. Je laisse le lit de Lena à Lena, j’étais très bien là. Je soupirais longuement… « Ahhhhhh, je crois que c’est à moi qu’on a fait la péridurale. Je vois des saucisses voler au-dessus de ma tête…», je rouvrais alors les yeux rapidement en riant. « Je rigole »… je souriais alors en regardant tout le monde puis Lena avec mon petit air malicieux… « Mais Lena a vue des saucisses géantes voler au-dessus de ma tête ». Oui subtile moyen de me moquer de Lena et ses lubies sous l’effet de l’antidouleur des petites dames qui accouchent. « Elle imite très bien le toutou », je riais en me tapant de ma main libre sur la tête. « Pandy, dodo… dodo Pandy… tu racontes des bêtises. », je souriais en murmurant « C’était The Pandy Show… Monsieur, Bébé et Mesdames », je portais alors seulement mon attention sur Lukas qui dormait dans les bras de sa maman alors que l’infirmière lui avait donnée plus tôt. « Il est aussi beau que Marraine Pandy », ouais… je le dis et je le pense et non, je ne délire pas et non, je n’ai pas bu de Tequila. Je suis seulement dans le coaltar. Monsieur, Mesdames... c'était pour faire rire l'assemblée... Efficace ? Celui ou Celle qui me dit que je suis folle... je fais pas de dessins.
Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Sam 2 Avr - 15:04
Je me promenais et devinez où est ce que mes pas me menaient ? A l'hôpital de la ville, oui, n'est ce pas magnifique ? Pourquoi cela me direz vous ? Et bien simplement parce que Lena avait accouchée il y a un ou deux jours je ne me souviens plus vraiment, mais c'était suffisamment récent pour qu'elle soit encore là bas avec son bout de choux, et oui, c'était un petit garçon d'après ce qu'on m'avait dit. Oui, les bonnes nouvelles de ce genre se propagent plus vite que la peste, mais c'était génial enfin, si l'on sait aussi comment elle est arrivé à l'hôpital ce n'est plus pareil mais le principal était bien là, elle était en bonne santé, elle et son petit. Le père ? Je ne savais pas si c'était celui a qui je pensais, à vrai dire, il y a certains épisodes que je ne connaissais pas, ou plutôt que j'avais juste oublié. Enfin, je retiens bien en général pour mes enquêtes mais là, je n'avais pas retenu, c'est comme ça que voulez-vous. Une chose est sûre, cela ne devait pas être Gianni ou alors j'avais manqué un épisode parce qu'il était avec Pandora, mais vous savez, de nos jours, on peut s'attendre à tout, absolument tout, c'est bien là le pire, je crois.
Bref; ma promenade en quête d'indice pour une affaire en cours m'avait mené donc jusqu'à l'hôpital, enfin c'était une bonne excuse plutôt. J'avais toujours de bonnes excuses de toute façon que croyez vous ? Je ne suis pas détective privée pour rien. Je ne savais donc pas où est ce qu'elle se trouvait évidemment. Mais pas de soucis, je demandais à l'accueil, et l'on me donna l'étage et le numéro de la chambre, elle avait accouché il y a peu de temps apparemment, j'avais été rapide, il faut dire que Pandora m'avait envoyé un petit sms pour m'informer de la nouvelle et comme je n'étais pas loin, je m'étais donc rendu là-bas. Je ne sais pas qui je trouverais en plus de Lena, Pandora et le petit; enfin s'il était avec elle; parce que ce n'était même pas certains. Vous savez, les petits ne sont pas forcément rendus illico presto à leur mère de nos jours. Je ne sais pas quelle serait ma réaction vis à vis de cet ange face à moi, je verrais bien. Il faut dire que je n'avais pas vraiment de relation stable, et encore quand c'était avec un homme parce que j'avais testé avec une femme et ça ne m'avait pas déplus. Bref, là n'est pas le propos. Je pensais alors à offrir un petit cadeau à Lena, je ne pouvais pas venir les mains vides, ça ferrait bête, je trouve. Alors que je savais la chambre et que j'allais m'y rendre, je décidais de rebrousser chemin pour lui acheter des fleurs. Oui, pas forcément très original, mais je n'avais que ça en tête. Cela me prit donc une dizaine de minutes en plus puis je me rendais là-bas. Il y avait un peu de monde, pas trop encore, je ne sais pas si je serais la dernière mais en tout cas, je ne l'espérais pas et puis ce n'était pas bien grave finalement. Je frappas à la porte, histoire de signaler ma présence avec mon bouquet de fleurs.
" Bonjour tout le monde, j'espère que je ne dérange pas. "
M'approchant de Léna, je lui disais toutes mes félicitations et je posais mes fleurs sur la petite table à côté de son lit. Je ne sais pas si on me répondrait mais en tout cas, c'était un heureux événement que je n'aurais pas voulu rater.
Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Sam 2 Avr - 15:17
• Jenna étais tellement heureuse d’apprendre la naissance du fils de sa filleule, cette jolie petite brune qu’elle avait pendant si longtemps considéré comme sa petite sœur, qu’il n’était pas étonnant de la voir si pétillante, et excitée par la nouvelle, alors qu’elle arrivait près de l’hôpital où il y avait la maternité qui logeait Leny chou et son petit fils qui aurait une mère merveilleuse. Après avoir parqué la voiture et récupéré tous les sacs cadeaux qui contenaient un grand nombre de présents à la fois pour la mère et pour l’enfant, la jeune journaliste entrait dans les lieux, en se dirigeant vers l’accueil, où elle demanda la direction à la standardiste, qui lui indiqua où aller. C’était plutôt simple, elle avait dit, monter au deuxième étage, une fois sortie de l’ascenseur, prenait à droite, puis au fon du couloir à gauche et ce sera l’une des premières chambres. La belle brune aux yeux bleus, partit après avoir pris note dans son petit cerveau du chemin qui menait à la chambre. Une fois devant, elle hésita un instant et toqua avant d’entrer. Pandy était déjà là, et elle venait d’accepter le rôle de marraine, ce qui fit monter les larmes aux yeux de la jeune femme qui regardait la scène de l’embrasure de la porte. Les yeux brillants et un beau sourire aux lèvres, elle félicita la mère qui venait de la saluer, et l’embrassa sur le front. Son regard se porta sur le nouveau né qui était encore dans les bras de sa jeune mère qui semblait exténuée et autant morte de fatigue que sa grande sœur qui avait les yeux quasiment plissés et qui était encore somnolente. La proposition de Jenna fit rire Pandy qui me fit une remarque plus que crédible :
« Je crois qu’après avoir élevée la maman, je suis plus grand-mère que marraine mais ça va aller»
Elle acquiesça de la tête, sachant que tout comme Leny, elle allait assurer, car ce n’était pas une Stam pour rien ^^. Elle posa les cadeaux sur une table qu'il y avait dans la chambre, en regardant cette belle scène avec émotion et tendresse, durant laquelle Lena la remerciait et leur avouait qu’elle les aimait énormément. Bon, Jenna n’était pas certaine que Pandy qui sombrait une fois de plus l’avait entendu, mais tout comme elle, elle devait le savoir et n’avait pas besoin que sa petite sœur le lui dise car son regard le lui faisait tout simplement comprendre. Dire qu’il y a 19 ans de cela, sa tante avait accouché du joli petit bout de femme qu’était devenue sa princesse, et qu’elle l’avait nommé marraine, sachant pertinemment qu’elle s’en sortirait avec merveille et qu’elle donnerait à sa fille, tout l’amour et l’aide qu’elle nécessiterait et ceux pour le durant de leur petite vie. Elle avait eu confiance en elle, et lui avait entre ces bras ce tout petit être . Petit-être auquel ressemblait vraiment Lukas, qui quoique on puisse dire tenait beaucoup de sa mère, que ce soit, le sourire charmeur, et ses yeux rieurs. Un sourire ornant son visage, elle vint s’installer auprès de sa fille, et elle lui répondit :
« On t’aime aussi ma toute belle, qui a vraiment l’air crevée… Ton fils a vraiment de la chance de t’avoir comme maman tu sais, et puis, tu seras tellement géniale…»
Oui elle parlait avec son cœur, et il fallait avouer que si ça continuait et que la nostalgie prenait le dessus, elle finirait sûrement en larmes la belle. Jetant un œil au cadeau, puis entend le petit rire de Leny, elle reprit :
« Non…Mais à vrai dire, j’ai bien failit, car à chaque fois que je passais devant des vêtements, des jouets et tant d’autres affaires pour le bébé et la maman, j’avais qu’une envie te le prendre…Mais je me suis dit qu’il valait mieux que j’achète les choses petit à petit, pour pouvoir vous gâtez…durant encore plusieurs années»
Elle était sincère, et venir ici avait beaucoup d’importance à ses yeux. Alors adorant offrir, elle n’aurait pas pu venir les mains vides. Les infirmières vinrent chercher l’enfant un moment, alors que la cousine était toute triste de le voir partir si rapidement. A vrai dire, elle aurait bien aimé le prendre dans ses bras comme elle l’avait fait dans sa jeunesse avec Leny, surtout que même si elle ne l’avouait pas souvent, elle adorait les enfants, et aurait pu dans une autre vie en faire son job. Et peu de temps après, arriva Gianni, un très charmant jeune homme avec qui elle avait flirté sans aller plus loin et qui était lui aussi proche de ses cousines.
«Salut Jenna, ça fait longtemps»
« Salut Gianni, oui tu veux dire que ça fait un baille…»- lui répondit-elle avec un petit rire .
Elle ne savait pas si ses cousines étaient au courant pour le flirt et même si elle ne cachait rien à Lena d’habitude, elle avait l’impression qu’il se tramait quelque chose entre le jeune homme et Pandy, alors il valait mieux qu’ils oublient cette période et n’en parle pas, car ça pourrait être génant. Le regard posé sur la jeune maman, sachant que Pandy somnolait, la belle regardait parfois en direction de la porte. Et sans s’y attendre après une dizaine de minutes peut-être, les infirmières débarquèrent pour rendre le bébé à sa maman. Pandy suprise se réveilla un instant et prononça en somnolant deux ou trois trucs qui eurent le don de faire rire Jenna. Ben dis donc, elle arrivait toujours à faire rire ce petit monde qui était tout autour d’elle ou plutôt de sa sœur. Alalala elle en manquait jamais une, cette jolie Brune. Parmi tout ce discours, l’une des seules choses que retint Jenna fut celle des saucisses, et elle s’empressa alors de dire à sa filleule chérie :
« Tu as vu des saucisses ? Tu sais que je crois que j’en suis la cause…Peut-être qu’à force de passer mon temps j’ai fini par te rendre aussi folle que moi »
Elle riait en regardant le petit bout de chou endormi dans les bras de sa mère et jetai un rapide coup d’œil ver Gianni et Pandy, trouvant qu’ils iraient merveilleusement bien ensemble. Et elle ne croyait pas si bien dire. Puis son regard se portant sur Leny, elle lui demanda :
Ca te dérange si je le prend en bras toute à l’heure…un peu ? »
Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Lun 4 Avr - 15:49
La fatigue me tirait doucement vers mes rêves mais je tentais encore de résister pour ne pas m’endormir, je voulais vraiment profiter de mes amis et de ma famille à cet instant. Je me montrais ému de voir que Jenna ma douce marraine était déjà la alors que je venais tout juste d’accoucher, j’étais si ému que les larmes auraient pu couler tout de suite si la fatigue m’empêcher de pleurer la tout de suite. A cet instant précis, mon unique envie était mon petit lit douillé et une couverture chaude, car la température dans cette chambre n’était pas des plus agréables, mais je devais sans doute être fatigué par tout ce travail que mon corps suivait. Je tirais doucement les draps blancs que j’apportais sur mes hanches, histoire de me réchauffer un peu, je n’osais même pas tourner la tête pour me regarder par peur de me trouver totalement affreuse, mais cela n’avait pas vraiment d’importance, j’étais maintenant heureuse, vraiment très heureuse, au point ou le reste n’avait guère d’importance comparer à la sensation d’avoir un bébé rien qu’à moi, bien que je ne pouvais m’empêcher de me demande si oui ou non, Cooper allait arriver et se décidé à prendre enfin ces responsabilité de père envers Lukas et moi, mais au fond seul Lukas importait, il avait le droit à un père. A ma grande surprise Gianni passa la porte, je savais qu’il viendrait, c’était sans doute l’un de mes meilleures amis même si avions une grande différence d’âge, je le considérais comme le grand frère que j’adorais ennuyer « Bonjour mon bel italien » je souris. La dernière fois que je l’avais vu les choses n’avaient pas très bien fini, en effet je n’avais rien trouvé de mieux que de l’embrasser dans le but de rendre ma grande sœur jalouse sans savoir si oui ou non je l’avais réellement rendu jalouse, je me rendais alors compte que je n’avais pas pris le temps de m’excuser mais en tenant compte de sa présence dans ma chambre je me doutais qu’il n’était pas réellement fâché, « Merci c’est adorable Gianni, ça me touche » resté éveillé Léna, rester éveillé je me répétais ça afin de ne pas craquer.
Je souris quand je le vis déposé un baiser sur le front de ma sœur, il n’était pas fâché contre elle ce qui me rassurait réellement, mais j’étais trop fatigué pour tenter une petite réflexion ou une taquinerie à mon italien et à ma sœur. Un temps interminable sembla passer mais mon infirmier me ramena rapidement mon enfant, vêtu dans les vêtements que j’avais ramené avec ma sœur, je n’avais jamais rien vu d’aussi beau, c’était un petit être tout mignon dans un petit pyjama bleu clair et blanc avec des petites étoiles, un petit bonnet blanc sur sa tête et ces petits yeux bleu clair, je n’arrivais pas à croire que c’était mon petit garçon, le mien à moi. Je le pris dans mes bras avec une certaine émotion, il était parfait « Re-Bonjour mon ange » toute émue je déposais un petit baiser sur son front alors que ces petits yeux bleus me fixait. Pendant ce petit temps ma sœur dormait, ce que je pouvais comprendre, elle était la depuis le début et je ne savais pas comment la remercier d’être toujours si parfaite avec moi. Je ris doucement en entendant les folies de ma sœur, deux accouchement elle était totalement folle « Deux accouchement ? Je ne survivrais pas à ça » malgré leur piqure de soulagement je l’avais un peu senti sans doute le tout du au stress. Je lui offris de nouveau un tendre sourire quand elle me dit qu’elle m’aimait, je senti même une larme coulait le long de ma joue, stress, fatigue et hormones. Les saucisses qui volent, j’en avais vu des dizaines, d’autre avec de la moutarde, je devais être totalement folle « Laisse mes saucisses tranquille vilaine fille » je fis la moue quelques secondes mais c’est vrai que c’était drôle.
Mes yeux se déposaient sur Lucas dormant dans mes bras, un vrai petit ange, il semblait si fragile et petit, que j’avais peur de le casser, mais mon monde s’apaisa en une seconde quand je le vis dormir, c’était si calme et doux « Il est parfait » oui parfait, réellement parfait, c’était la plus belle chose du monde. La porte se poussa et un nouveau sourire s’installa sur mon visage, l’étonnement aussi mais le bonheur de voir que j’avais des amis aussi formidables que ça « Bonjour Shiya, je suis vraiment contente de te voir » bien sur que non elle ne dérangeais pas, bien au contraire, c’était une jeune femme formidable que j’admirais énormément comme tout le monde dans cette pièce d’ailleurs. Lukas fini par ouvrir ces yeux de nouveau, il s’étirait doucement et ces petites mains bougeaient, attrapant doucement mes mains, c’était comme ci nous étions déjà lié lui et moi « Bien sur marraine » je ne pouvais rien lui refuser en réalité, je n’avais jamais rien pu lui refuser, elle était ma marraine, ma sœur, ma cousine et ma meilleure amie. Alors que je berçais doucement Lukas, il poussa quelques petits cris, un joli silence s’installa pendant que le regard du petit parcours la pièce, sans doute tout perdu. Je souris « Mon petit ange, la c’est tata Jenna, c’est ma marraine, et ta grande marraine, tu va voir chéri elle est adorable, à coté tout endormi c’est ma sœur et ta marraine Pandy, elle est totalement folle mais je l’aime plus que tout » je souris lui présenta doucement la famille dans laquelle il allait grandir « La jolie brune c’est Shiya, c’est une bonne amie à maman et à marraine, elle est très gentille et brillante » je relevais la tête déposant son regard sur Gianni « Et le grand garçon la c’est tonton Gianni, il est italien mais adorable, maman adore l’embêter, tu va adorer toi aussi. Il est comme un grand frère pour moi et si il est d’accord, j’aimerais beaucoup qu’il soit ton parrain avec tonton Nolaan qui n’est pas encore là … Tu crois qu’il va dire oui ? » je lui souris attendant sa réponse.
Sujet: Re: — PANDY & OTHERS – i'm going to have my baby Dim 10 Avr - 19:37
Trois heure du matin mon portable qui se trouve sur la table de nuit vivre, je râle le cherchant avec la main, lorsque je le saisie afin je me tortille enrouler dans ma couette me décidant enfin à ouvrir les yeux pour lire le texto ! Je me lève droite comme un I dans le lit un message de Pandora : ma cousine on s'est perdu de vue il a y a des années la on se redécouvre petit à petit , ce que j'apprécie la famille c'est important . Lena , Lena la Lena que je connais va être maman c'est pas vrai je dois halluciner , je relis cinq fois le texto c'est bien ça je répond que j'arrive de suite t sors vite du lit . Pas le temps de me doucher je veut arriver au plus vite j'enfile un jean et un Tee-shirt et prend mes clés de voiture et me voilà partie . Sur la route je me remémore les derniers souvenirs que j'ai d'elles deux on était si petite je suis sure et certaine que Lena ne me reconnaîtrait pas mais ce n'était pas le plus important, l'important c'est de faire le premier pas j'espère qu'elle m'acceptera dans sa vie si ce n'est pas trop tard .... Je soupires chassant l'idée que ça pourrait être le contraire de ma tête et arrive bientôt à l'hôpital , a l'accueil je demande sa chambre et on me demande si je suis de la famille car la jeune maman est très fatiguée, je m'agites alors " oui oui je suis de la famille je ferais quoi ici a quatre heure du matin dans un hôpital a vous demander sa chambre" La évidement l'infirmière voit que je suis une vraie boule de nerfs surexcité elle n'insiste pas et m'indique la chambre.
Me voilà donc à chercher la boutique cadeau bah oui je vais pas arriver les mains vide déjà que je me pointe des années trop tard c'est assez, je fond sur un nounours bruns qui a un coeur entre les mains qui dit I love you et si on appuie il s'illumine et dit je t'aime. Ce genre de truc j'adore c'est le côté romantique qui est en moi qui ressort que voulez vous, enfin je paye la peluche qui est assez grande d'ailleurs et vais en direction vers les escaliers . Eh oui pas l'ascenseur ai-je oublier de préciser que j'avais peur des endroits clos alors l'ascenseur c'est pas la peine, même si je dois monter cinq étages a pieds avec mon ami Willy oui c'est comme ça que je l'ai surnommer. Arriver devant la porte il y a déjà beaucoup de monde et là j'hésite dois je entrée elle est déjà bien entouré, je me mords la lèvre inférieur , ai je bien fait de venir ! *Allez arrête des idioties * Je dis non de la tête et frappe tout doucement à la porte avant d'entrée, je pose la peluche sur un des derniers sièges libres. Je reconnais deux de mes amis une amie d'enfance et Jenna ma meilleure amie les autres je les connais pas ... Je souris gênée restant debout voyant Lena allongée dans les vapes je tourne alors la tête vers Pandora
Merci de m'avoir prévenu !
C'est très gentil de sa part elle aurait pu me railler de sa vie au contraire elle m'y intègre je reste la un peu idiote