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Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]
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MessageSujet: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeDim 10 Avr - 1:17
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You make me feel like I’m living a teenage dream

« Alors … ? » Soupirant doucement, je me détournais de la porte d’entrée derrière laquelle venait de disparaître Cassie, récupérant mon débardeur sur la table, avec lenteur. « Alors quoi ? » Demandais-je doucement en me doutant du sens de sa question, à son petit sourire entendu. Elle se doutait qu’il s’était passé quelque chose avec Cassie. Du moins, l’espérait de tout cœur, à n’en pas douter. C’était là tout ce qu’elle voulait sans doute. Tout simplement parce qu’elle savait parfaitement que sans Cassie dans ma vie, je ne pouvais tout simplement pas être heureux. Non, jamais … Je ne pourrais jamais être heureux si elle ne se trouvait pas dans ma vie, près de moi, toujours. Oui … Je voulais son corps contre le mien, sa présence dans mon appartement, sa personnalité présente et visible de partout. Je voulais qu’elle s’impose, qu’elle me montre chaque jour un peu plus qu’elle était là et qu’elle allait rester pour de bon. J’avais besoin de savoir qu’elle ne me quitterait plus et que son retour était totalement définitif. Je ne voulais pas, un beau jour, me réveiller et ne pas la retrouver près de moi, pour comprendre dans la journée, qu’elle était à nouveau partie, pour telle ou telle raison. C’était bien pour cette raison là d’ailleurs, que je ne voulais pas trop me précipiter dans notre relation et tout reprendre trop rapidement. En revanche … Une fois que nous serons de nouveau pleinement ensemble, je ne tarderais pas à la redemander en mariage et plus vite que cela ! Et ce, de façon plus officielle évidemment. Je ne tenais pas à ce qu’elle me file à nouveau entre les doigts, j’avais trop besoin d’elle dans ma vie pour la laisser faire une chose pareille. Et j’osais espérer que c’était aussi son cas. Il fallait que nous soyons tous les deux sur la même longueur d’ondes, comme c’était le cas à une autre époque. Oui … A cette époque où nous vivions une relation fusionnelle et passionnelle, au point de ne pas pouvoir le moins du monde, passer ne serait-ce qu’une seule journée l’un sans l’autre. Une époque où le moindre regard d’une personne du sexe opposé posé sur l’un ou sur l’autre, énervait l’autre plus que de raison. Cassie avait tendance à cacher sa jalousie, même si je la connaissais trop bien pour ne pas voir lorsque cela rongeait plus que de raison. Pour ma part, je ne m’en cachais jamais. C’était ainsi, nous étions ainsi … Et nous n’avions jamais rien fais pour changer cela. A quoi bon ? Tant que nous aimions être de la sorte et que nous nous épanouissions dans notre relation, nous ne voyions pas pourquoi nous devrions changer telle ou telle chose qui nous concernait nous directement ou notre relation si indispensable à notre bonheur et notre bien être. Nous ne pouvions pas nous passer l’un de l’autre, c’était aussi simple que cela. Et de plus en plus de monde devaient, sans aucun doute, s’en rendre compte d’eux même. Ne serait-ce qu’au vu de ce que nous étions devenus l’un sans l’autre durant tout ce temps.

« Alors … Je vous ai coupé en pleine ac … » Choqué, je ne lui laissai pas le temps de terminer sa phrase, lui lançant un regard à la fois stupéfait et tout ce qui s’ensuit. Je ne voulais surtout pas qu’elle termine sa phrase. Venant d’elle, cela ne pourrait que me choquer plus que de raison. Etait-ce stupide ? Non bien sûr que non ! C’était même parfaitement compréhensible. Après tout, il s’agissait de ma petite sœur. Ma petite sœur ! « HEY ! STOP ! CHUT ! Je ne veux pas entendre la suite de ta question ! Mais pour te répondre, non tu n’as rien coupé du tout … Enfin … Non ! Si je suis torse nu c’est juste parce que mon débardeur est déchiré ok ? Il … S’est bloqué dans la poignée d’une porte et s’est déchiré comme ça hein ! Et puis si on était … Euh par terre, tous les deux … C’est … Hm … Parce qu’elle s’est cassée la gueule et que j’ai tenté de la rattraper. Mais tu connais les réflexes humains hein … Elle s’est accrochée à moi et badaboum on est tombés tous les deux. » Souriant en coin, ma sœur hocha très lentement la tête, comme pour me dire qu’elle comprenait parfaitement ce que je voulais dire et qu’elle me croyait. Mais … Etrange comme j’avais du mal à la croire. Elle avait plus l’air de douter terriblement de mes paroles. Et honnêtement … Je ne pouvais que la comprendre ! Sans même prendre la peine de me répondre, me faisant comprendre qu’elle ne croyait pas un traitre mot de ce que je venais de débiter, elle s’éloigna en direction de sa chambre, sans me quitter de son regard narquois. Levant les yeux au ciel, je me rendis dans la buanderie pour mettre mon débardeur au sale, envisageant de le réparer plus tard. Je n’étais pas un pro de la couture mais il m’était souvent arrivé de customiser mes vêtements. Ce qui signifiait tout de même une certaine maîtrise de l’aiguille. Pendant un temps, j’avais même appris à utiliser une machine à coudre. Mais je n’en n’avais pas chez moi et ne comptais pas en avoir de sitôt. Surtout depuis que je gagnais suffisamment bien ma vie pour acheter des vêtements plus souvent et plus coûteux, tout en étant uniques et me correspondant parfaitement. A une autre époque, je devais, par exemple, déchirer les manches de mes tee-shirts pour en faire des débardeurs à mon goût. Ou encore, rapiécer des jeans à ma façon. Bref, c’était tout autant pour faire mon propre style, que pour économiser concernant l’argent que je pouvais dépenser dans les vêtements à cette époque là. Mais à présent, je n’avais plus le moindre souci d’argent et dépensais donc sans trop m’inquiéter, dans tout ce qui touchait aux vêtements. En fait … depuis que je touchais pas mal d’argent, je me faisais grandement plaisir. Entre mon appartement et ma voiture on ne pouvait pas dire que je me restreignais beaucoup.

Soupirant doucement, je rejoignais ensuite ma propre chambre pour m’engouffrer dans ma salle de bain et prendre une longue … Très longue douche ! Le genre de douche … Qui vise à soulager un besoin pressent … Un besoin sexuel, pour plus de précision. Le besoin que j’avais, de Cassie. Dans cette douche chaude, l’eau coulant inlassablement sur mon corps, je pensais à elle sans me lasser. Je l’imaginais tout contre moi dans cette douche, son corps totalement nu et collé au mien. Un baiser ardent et remplit de désir, de faibles gémissements, nos souffles se heurtant avec force, la buée prenant place dans ma salle de bains. Mes mains sur son corps, les siennes sur le mien. D’inlassables et douces caresses, chacun de nous retrouvant le corps de l’autre avec ardeur et plaisir. Un dernier gémissement et j’empoignerais ses fesses avec force pour la soulever et la plaquer entre le carrelage et mon corps brûlant de désir pour elle, avant d’entrer en elle sans tarder. Enfin … C’était un besoin que j’avais depuis bien trop longtemps. Que nos corps ne fassent plus qu’un. Bon sang … Je rêvais du jour où nous en arriverions, enfin, à là ! Pour moi, même si nous nous étions enfin retrouvés, cela serait dans bien trop longtemps. Pour le moment … Comme on dit, ma main était ma meilleure amie. Pas de quoi être vraiment fier. Mais pas de quoi être gêné non plus. Ce n’était pas comme si j’étais le seul à le faire non plus. Bien au contraire, je ne doutais pas que tous les hommes le faisaient régulièrement ou l’avais déjà fais un nombre incalculable de fois. C’était humain … C’est donc un long moment plus tard, que je quittai la douche, me séchant rapidement avant d’enfiler un simple pantalon de jogging pour rester chez moi. Une fois que je serais dans mon lit, je le retirerais pour dormir nu, tout simplement, comme chaque soir. Ce n’était pas comme si Billie entrait dans ma chambre à tout va. Nous respections notre intimité à l’un comme à l’autre. C’était cela la colocation entre un frère et une sœur. Ou du moins, c’était notre version à nous. Et elle était … plutôt bonne et marchait à merveille ! Nous vivions l’un avec l’autre sans nous déranger d’une quelconque façon que ce soit. C’était donc plus que parfait ! Surtout que, elle comme moi, nous ne ramenions jamais la moindre conquête chez nous. Elle, parce que je doutais que ce soit dans ses projets d’avoir un petit ami ou même des relations d’une nuit ou quelques jours. Quant à moi … Je n’allais pas lui infliger le fait de coucher avec une fille différente régulièrement. Je préférais donc aller chez les filles en question ou dans un hôtel. Quel romantisme … Ironie bien sûr. Mais je me foutais royalement de ces filles, elles ne m’intéressaient pas le moins du monde. Seule Cassie me plaisait et m’intéressait réellement ! Seule elle savait me donner du plaisir même sans que l’on aille jusqu’à coucher réellement ensemble. Pour en revenir à ma sœur, je ne regrettais décidément pas d’avoir pris la décision de l’héberger chez moi, presque contre son propre avis au départ.

Baillant faiblement, je quittai donc ma chambre pour filer dans la cuisine et me servir un verre de coca, tournant la tête vers le salon où Billie était en train d’allumer la télévision avant de se laisser tomber dans le canapé, se redressant aussitôt en attrapant quelque chose sur laquelle elle venait de s’asseoir. « Hey … C’est pas le téléphone de Shanae ça ? » Fronçant les sourcils, je terminais mon verre avant de le poser dans l’évier puis la rejoindre dans le salon. Récupérant le téléphone qu’elle me tendait, je soupirais faiblement en reconnaissant celui de Cassie. « Ca veut dire que tu vas devoir lui ramener …Ce soir en plus ! C’est bien connu qu’aujourd’hui on ne peut plus se passer de son téléphone portable. Pas même une nuit ! Allez file t’habiller et vite ! Y’a rien à la télé en plus … » Restant un moment silencieux sans la quitter du regard, je finis par laisser échapper un bref rire, m’éloignant sans répondre, en me contentant d’ébouriffer rapidement ses cheveux en passant derrière elle. Tout en enfilant un jean taille basse noir et un débardeur blanc, je ne pu que me forcer à ne pas m’imaginer des choses. Je lui rapportais simplement son téléphone. Rien de plus et de rien moins ! Etait-ce … un signe du destin, pour nous dire qu’on devait se retrouver ? Oui … Non, bien sûr que non ! Je devais arrêter mes délires sans queue ni tête. Levant les yeux au ciel devant ma propre bêtise, je quittai rapidement ma chambre pour me rendre dans l’entrée, enfilant ma paire de Rangers par-dessus mon jean. Une fois, je récupérais mes clés et quittais l’appartement pour filer rapidement plusieurs étages plus bas, gagnant ma voiture sans attendre une seconde plus. Une fois à l’intérieur, je mis rapidement le contact pour filer tout droit en direction de la maison familiale de Cassie, dans laquelle je savais qu’elle se trouvait depuis son retour à Sydney. En entrant dans mon ancien quartier, j’eu un léger frisson d’appréhension et de dégoût. J’avais l’impression de me revoir dans ces rues avec simplement Cassie ou, parfois, son frère et ma sœur avec nous. Tentant de ne pas penser à tout ce qui était, mauvais souvenirs, j’approchais lentement ma voiture de chez elle, la garant en douceur avant de couper le moteur et regarder la maison en fronçant les sourcils. Merde je ne voulais pas croiser sa mère … Plus jamais ! Levant la tête vers l’étage, je frissonnais légèrement à l’idée de faire exactement comme avant, tout ça pour éviter sa mère. Soupirant doucement, je m’approchai de l’arbre qui était toujours le même malgré les huit années écoulées. Sans attendre, je retrouvais mes vieux réflexes en montant rapidement dessus de façon adroite et habile, sans même tituber en chemin. Une fois arrivé à la bonne branche, je sautais légèrement dessus pour vérifier sa solidité. J’avais tout de même pris pas mal de poids depuis la dernière fois. Surtout du muscle bien entendu. Me tenant à une branche supérieure, je m’approchais lentement du bord de la mienne pour ensuite poser le pied sur la rambarde de son balcon, passant rapidement par-dessus pour m’approcher de la baie vitrée. Soupirant un bref coup pour retrouver un brin de courage, je toquais doucement mais à plusieurs reprises contre la vitre en baissant le regard et guettant le moindre bruit. J’avais l’impression de revenir huit ans en arrière …
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R. Hallibel Snezava
Sexy Modératrice ♥
✔ AGE : 18 ans
✔ SEXE : Féminin
✔ ETUDES : Etudiante en droit
★ AVATAR : Kristen Stewart
© CRÉDITS : Satellite Haze & Crazy Bunny, le meilleur des lapinou **
✔ MESSAGES : 432
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 30/03/1995
Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] 659730KS9
Car personne d'autre n'a le droit de changement mon univers !


✔ HUMEUR : Rêveuse
✔ EN JEUX : Pas pour le moment
✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre
✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."




My Life
Relations Ship:

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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeLun 11 Avr - 11:49
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Return me, make me has new dream.


Une soirée parfaite, inattendu, certes, mais bon sang qu’elle avait été parfaite. Parfaite jusqu’à ce que Billie rapplique et nous coupe alors que nous allions enfin, peut être nous embrasser. Oui ce moment que j’attendais depuis tellement de temps, un simple baiser, un soupire une caresse, je voulais tant de chose…tant de chose que je n’avais pas eu en huit ans. C’était dur pour moi et je restais persuadé que c’était tout aussi dur pour lui aussi. Il était clair que nous nous retrouvions deux frustrés dans cette histoire. Peut être lui plus que moi, c’était un homme, un garçon… Un homme a tellement besoin de sexe… Et nous n’avions jamais dépassé le stade des préliminaires. Nous pensions avoir le temps, nous aurions dû l’avoir à vrai dire… Je me souvenais parfaitement de la dernière fois ou nous avions fait des préliminaires, ou nous nous étions chauffé comme jamais. Ses mains sur mon corps, son membre glissant sur mon intimité sans y entrer, sa bouche sur ma poitrine, ses doigts glissant sur mon ventre puis se glissant dans mon intimité commençant de franc vas et vient… Tellement de chose que je voulais et qui me manquait. J’aurais tellement voulu découvrir certaines choses avec lui et malheureusement nos parents nous en avaient empêchés… C’était comme ça, oui … c’était la vie. Garant rapidement la voiture sur l’allée devant la maison je sortis de l’habitacle en voyant la lumière allumée. Ma mère Nikkie, était toujours debout. Soupirant en fermant la voiture, je filais vers la maison entrant rapidement en fermant a clé « Chéri c’est toi ? » Soupirant a nouveau je filais vers le canapé en éteignant la télévision. « Non c’est Shanae… Et tu va au lit maintenant… il se fait tard Nikkie… » soufflais-je doucement en la regardant longuement. Son regard plongeait dans le mien, un long moment se passa avant quelle ne se lève et file alors vers sa chambre. « Shanae… Ce fils de bâtard aura ta raison… » Me mordant la lèvre je la fusillais du regard serrant les poings me retenant de lui sauter dessus pour la frapper a mort. On n’insulte pas Gaylwen, on n’insulte pas mon Amour ! On n’insulte pas mon Than à moi… Non il ne vaut mieux pas l’insulter et je ne supportais pas franchement qu’elle fasse cela… M’approchant d’elle sans pouvoir me retenir, je lui mis une claque celle-ci résonnant franchement dans la maison. « Ta gueule espèce de pauvre conne… » Hurlais-je en serrant les poings la laissant filer dans sa chambre. Putain… Putain… elle n’avait pas le droit de me faire ça, non elle n’avait franchement pas le droit ! Soupirant longuement je filais alors vers ma chambre en claquant alors la porte.

Je ne pouvais plus vivre avec elle, je ne pouvais plus la supporter. La vie que j’avais mené pendant huit ans était horrible tout simplement et par sa faute j’avais perdu Gaylwen, certes je l’avais en quelque sorte retrouvé mais ce n’était plus comme avant non c’était même loin d’être aussi parfait que cela…Il avait changé, j’avais changé, comment se reconstruire quand on s’aperçoit que l’homme de sa vie a changé sans vous ? il a évolué et je n’était pas là pour le voir … C’était tout de même blasant. Je ne voulais même pas l’imaginer avec une autre fille. Il aurait dû prendre mon innocence comme j’aurais dû prendre la sienne. Mais malheureusement ça ne c’était pas passé ainsi. J’avais attendu quatre ans, quatre longues années jusqu’au jour ou j’appris alors qu’il allait se marier. A partir de ce jour ma vie prit un tournant que je ne maitrisais plus. Fumer, boire, se défoncer avec des joints, faire la fête à tout vas, coucher avec des gens que je ne me rappelais même pas. Des types que je ne connaissais pas, leurs prénoms totalement inconnu, ma première fois était tellement… Tellement trop. Je ne me souvenais de rien. Une voiture, c’est tout ce que je sais. J’avais trop bu, trop fumé, je ne me rappelais pratiquement jamais de ce que je faisais avec eux. J’avais essayé de l’oublier, j’avais fait des efforts, mais a chaque fois c’est lui que je voyais, lui qui me venait en tête, son prénom murmurait de ma bouche alors que je couchais avec d’autre homme… non, Gaylwen était le seul que je pouvais aimer et je le savais pertinemment. C’était ainsi, on ne pouvait pas nous enlever un coup de foudre. Non on ne pouvait pas… Lâchant mon sac à même le sol, celui-ci faisant un drôle de bruit je me laissais glisser le long de ma porte penchant la tête en arrière en inspirant longuement, les sanglots ne tardant pas à arriver. Enfouissant mon visage dans mes mains je me mis a pleurer comme une idiote tant je n’en pouvais plus. J’étais malheureuse, j’étais anéantit, je ne comprenais plus rien, je n’arrivais plus a rien, j’étais totalement perdue sans lui et j’avais terriblement besoin de lui dans ma vie, il le savait, je le savais et on ne pouvait pas négliger cela. Pleurant sans pouvoir m’arrêter, je restais un long moment ainsi, a laisser sortir les larmes que j’avais retenu pendant toute la semaine. Lui, mon homme, celui que j’aimais, et elle qui me pourrissait la vie, qui ne cessait de me rappeler que c’était de sa faute que j’avais perdu celui que j’aimais et cette histoire de mariage… Pourquoi sa mère m’aurait elle menti ? Pourquoi elle m’a dit qu’il allait se marier qu’il était heureux et j’en passe ? je ne comprenais plus rien, je voulais tellement comprendre, savoir pourquoi on ne nous voulais pas ensemble, on devrais être marié, on devrait avoir des enfants, on devrait être une vraie famille aujourd’hui. Oui, marié, la bague au doigt, heureux comme jamais entouré de nos enfants tout aussi beaux que leurs parents surtout de leur père… Non, je ne comprenais plus rien, et j’étais totalement anéantit de voir a quel point la méchanceté humaine pouvait faire mal. Me détruire à petit feu, m’anéantir au point de ne plus croire en moi, d’être triste. Mon frère n’était plus là, il me restait qui ? J’avais Ashelina, oui mais tellement loin de moi. Du moins, pour peu de temps puisqu’elle venait s’installer ici même dans la demeure pour me rejoindre. Essuyant lentement mes larmes et mon maquillage qui avait par la même occasion coulé je me relevais lentement en filant vers ma salle de bains. Claquant la porte d’un coup de pied, j’enlevais lentement mon haut puis mon short les jetant au sale. Posant mes mains sur le lavabo je soufflais longuement en baissant la tête pour éviter de me voir dans le miroir. La semaine dernière j’étais blonde…

Il était blond, et aujourd’hui j’étais brune et lui aussi… On était vraiment pareil, putain oui, même à distance on pensait et faisait les mêmes choses. C’était ça le fusionnel… On était des gens en totale osmose … On n’y pouvait franchement rien. Enlevant lentement mon soutien gorge, je fis de même avec mon string filant alors vers la baignoire. Tant de souvenir me submergeaient dans cette salle de bains… Tant de chose… Nos moments dans cette baignoire, nos caresses… Nos bains par milliers… Mon corps se faisant plaquer contre le mur, son souffle heurtant mon cou, ses dents se refermant sur ma peau avec douceur, sa langue parcourant mon corps avec délice s’enfouissant dans ma bouche pour m’embrasser avec amour. Ses mains parcourant mon corps avec légèreté, se pressent sur mes seins totalement durci de plaisir. Son membre durci collé contre mon bas ventre, ses doigts se faufilant sur mon intimité pour le caresser tendrement, lentement, glissant alors en moi avec force et envie, ses vas et vient franc, ses doigts cherchant mon point g sans aucun soucis, mon dos se arquant sa main sur ma bouche pour m’empêcher de crier, sa langue prenant le relais pour m’embrasser, ma main se posant sur son membre pour faire de franc vas et vient. La chaleur nous envahissant malgré la douche tiède pour nous faire du bien. La buée sur les vitres, la fumée envahissant la pièce, nos souffles totalement coupés… Ses mains écartant mes cuisses pour me relever, son membre glissant sur mon intimité sans entrer en moi et sa jouissance sur mon corps… Je me souvenais parfaitement de ses moments là… Ces je t’aime par milliers, ses caresses, ses baisers… Comment oublier la perfection et l’apothéose ? C’était totalement impossible… Nos bains… L’eau remplissant cette baignoire, moi allongée sur lui faisant de lent vas et vient nos intimités se caressant sans pour autant faire l’amour… Nous nous étions découvert à la perfection, nous avions su prendre notre temps, et c’est ce qui, je pense, a fait que notre relation était parfaite. Nous savions faire plaisir a l’autre sans pénétration, nous savions quoi faire, je connaissais les moindres recoins du corps de Gaylwen. Je savais quoi toucher, et quoi ne pas toucher, je savais quoi faire dans certains moments et ainsi de suite. C’était comme ça entre nous, mais aujourd’hui ? Est-ce que cela serait pareil ? Je me le demandais bien… Sentant l’eau couler sur mon corps, un frisson s’emparant de moi, je restais un long, très long moment sous l’eau. Me savonnant fortement, m’enlevant tout le maquillage, mes cheveux que j’avis lissé eux, devenant a nouveau bouclé, du moins faisant quelques boucles. Je n’étais pas non plus frisé totalement. Je me souvenais encore des mains de Than glissant dans mes boucles suivant leurs formes inspirer l’odeur de mes cheveux et…. La suite… Non, il fallait que je cesse de penser à nos moments intimes, j’allais crever de désir, crever de frustration et j’en passe. Soupirant longuement me shampouinant la tête avec toujours le même shampoing qu’à l’époque, je ne pouvais pas me résigner à changer mes habitudes. Coupant l’eau, je restais dans la baignoire laissant l’eau glisser sur mon corps. Essorant lentement mes cheveux je sortis en m’enveloppant dans une serviette bien chaude m’asseyant alors sur le rebord de la baignoire. Frottant mon visage humide et chaud je soupirais longuement laissant mes cheveux goutter sur mes épaules. Frissonnant quelques peu restant dans la chaleur de la salle de bains, je regardais le miroir en soufflant longuement. Plus rien n’était pareil et plus rien ne sera pareil. C’était ainsi, il fallait avancer et continuer sa vie, sans les gens qui sont important à nos côtés. On avance, on marche, on survit… Me relevant je filais rapidement en bas simplement vêtu de ma serviette en prenant alors une tablette de chocolat. J’en avais bien besoin… oui franchement il me fallait du chocolat pour me consoler sur ce coup là. Remontant rapidement en fermant ma porte a clé comme tous les soirs pour ne pas être dérangé par Nikkie, je déballais lentement le tablette croquant dedans avant de la poser sur la table de nuit filant alors vers la salle de bains.

Ouvrant la fenêtre pour aérer j’entendis un drôle de bruit dans ma chambre. Me figeant je guettais le moindre bruit surprise. Entendant frapper à la fenêtre, je cru mourir sur place. Gaylwen… ? Non… non, c’était il y a huit ans que l’on faisait ce genre de chose… Pas… là… Me mordillant lentement la lèvre, je sortis de la pièce allant dans ma chambre regardant par la fenêtre ou se trouvait le balcon. Voyant sa silhouette, je crus m’évanouir. Mettant un moment a réagir, je marchais lentement vers la bais vitrée posant ma main sur la poignée. L’ouvrant lentement je me retrouvais face à face avec Than, l’homme de ma vie. Clignant des yeux a plusieurs reprise, je me sentis… idiote dans cette tenue. « Than… » soufflais-je doucement en plongeant mon regard dans le sien. Bon sang qu’il était beau, qu’il était sexy, qu’il était tout… J’avais l’impression de revivre il y a huit ans, sauf qu’à l’époque ma fenêtre était constamment ouverte et il se glisser dans ma chambre pour se faufiler rapidement dans mon lit pour me câliner… Mes cheveux dégoulinant toujours sur mes épaules ma serviette qui ne cachait que l’essentiel et encore, je reculais doucement en souriant faiblement. « Entre, je ne … M’attendais pas à te voir je me serais habillée plus rapidement… » Non mais franchement… Je ne pouvais pas dire autre chose ? C’était quoi ce baratin pourri ? L’émotion qui me rendait totalement idiote. Fermant la fenêtre une fois celui-ci rentré, je me tournais vers lui en passant ma main dans mes cheveux filant alors vers la table de nuit pour prendre mon chocolat et en manger lentement. « Je te manquais déjà ? » dis-je doucement en mâchant mon chocolat filant alors vers la salle de bains pour éteindre la lumière et fermer la porte. Regardant Gaylwen de haut en bas sans me lasser et sans aucun gène, je me plaquais contre le mur tout en souriant doucement. « Il parait que le chocolat c’est bon quand on est en manque d’amour… » Soufflais-je doucement en lui montrant ma tablette que j’avais déjà mangé a moitié. Me mordant la lèvre je relevais un regard amoureux vers lui sans pouvoir détourner mes yeux. J’étais tellement amoureuse de lui…
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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeLun 18 Avr - 19:06
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L’amour c’est quoi ? L’amour c’est un sentiment puissant et parfois indestructible, qui vous prend aux tripes et ne vous relâche jamais. C’est un sentiment qui vous fait vous sentir merveilleusement bien, presque au paradis. Un sentiment qui, à lui seul, vous donne l’impression de pouvoir vivre une éternité simplement en étant amoureux, laissant tout le reste de côté et un tout obsolète. Oui … Avec Shanae j’aurais pu faire n’importe quoi tant je l’aimais. J’aurais accepté de me contenter d’aller vivre dans la forêt Australienne s’il l’avait fallut. Elle et moi avec notre amour qui était tellement bon et puissant, qu’il en était destructeur lorsque nous avions le malheur d’être séparés l’un de l’autre. Bref, tout cela pour dire que Cassie suffisait seule à mon bonheur et que je n’avais besoin de rien d’autre et même, de personne d’autre. Même si, évidemment, son départ avait provoqué le fait que je m’étais peu à peu entouré de quelques autres personnes. Mais si à présent je devais choisir entre redevenir un grand solitaire qui n’avait qu’elle, comme avant, je le ferais sans la moindre hésitation pour elle ! Elle pouvait me demander tout et n’importe quoi, même des choses complètement folles et décalées, que je le ferais sans problème pour elle. Parce qu’elle était celle que j’aimais, celle pour qui je pourrais mourir en souriant, la seule ! Certes j’avais aussi ma sœur. Sœur de laquelle je m’étais franchement rapproché lorsque j’avais perdu Cassie huit ans plus tôt. Mais une sœur était une sœur et son âme sœur, c’était tout autre chose. Pour l’une comme pour l’autre, j’étais prêt à tout. Mais je n’aurais jamais les mêmes choses à faire pour toutes les deux, c’était une évidence. Quoi qu’il en soit, rien ne pourrait jamais me faire changer d’avis. Même les parents de Cassie, en nous séparant, n’y étaient pas parvenus. Certes ils nous avaient physiquement séparés mais cela s’arrêtait là ! En effet, malgré son absence dans ma vie, je n’avais pu m’empêcher de l’aimer plus que tout au monde et il ne s’était pas passé une seule journée sans que je ne pense à elle, la femme de ma vie, mon âme sœur, celle qui me manquait cruellement et dont l’absence me tuait à petit feu. Elle m’avait fait connaître le bonheur pendant quatorze ans. Les huit années suivantes, c’était l’enfer, l’horreur totale, en son absence. Mais pouvais-je lui en vouloir ? Non à présent je ne lui en voulais plus le moins du monde. Après tout qu’y pouvait-elle si ses parents étaient deux abrutis finis ? Rien, strictement rien !

Tout ce que nous pouvions faire à présent, justement ne serait-ce que pour prendre notre revanche sur eux, c’était de nous retrouver comme jamais. Oui … Nous retrouver pleinement, réapprendre à nous connaître et à nous aimer. Redevenir aussi fusionnels que de par le passé, nous aimer tout simplement de la façon dont nous étions capables de le faire. Absolument tout partager comme avant, pas le moindre secret entre nous, nous connaître au point d’être capable de terminer les phrases l’un de l’autre. Je savais sans la moindre hésitation que nous étions pleinement et parfaitement capables de cela. Nous avions toujours fonctionné de la sorte alors pourquoi ne l’aurions nous pas pu à présent ? Simplement parce que huit années étaient passées ? Mais nous étions faits l’un pour l’autre alors pourquoi n’aurions nous pas pu reprendre notre relation comme avant, même s’il nous fallait un certain temps pour tout reprendre exactement de la même façon ? Pour ma part, je ne voyais pas de raison pour laquelle notre relation aurait put se heurter à un mur quelconque. Nous étions destinés à nous aimer ouvertement et à faire notre vie ensemble. Pourquoi douter là-dessus ? Simplement parce que l’un comme l’autre nous avions changé en huit ans ? Mais c’était une mauvaise raison ça, pour moi ! En effet, il suffisait tout simplement d’un peu de temps partagé rien que tous les deux, pour nous retrouver pleinement. C’était aussi simple que cela ! Je refusais catégoriquement de laisser passer une telle occasion de retrouver la femme de ma vie. Je ne la laisserais plus repartir. Non, jamais ! J’étais peut-être un brin égoïste mais la concernant, j’assumais totalement. Oui j’étais égoïste, je ne la partageais avec personne, je le refusais tout simplement. Cassie était la mienne, la femme de ma vie, ma meilleure amie, mon oxygène, mon tout. La mienne ! Oui j’étais putain d’égoïste mais bon sang j’avais trop besoin d’elle, avec moi, constamment, quitte à ce qu’elle n’ait personne d’autre que moi. Tout le reste, je m’en foutais royalement. Je pouvais bien perdre mon appartement, ma voiture, mon bar et tout ce qui allait avec, que je m’en ficherais plus que de raison, tant que je l’avais elle dans ma vie. Etait-ce étrange ? Non ! Pas pour moi en tout cas ! Moi je trouvais cela on ne peut plus normal et logique. On ne partage pas son âme sœur non ? Non bien sûr que non … Et puis même si ça c’était fait, j’aurais largement refusé de le faire pour ma part. J’aimais bien trop Cassie et je la voulais pour moi tout seul, point !

Depuis son retour, je me sentais à nouveau totalement entier. Pleinement entier, oui ! J’avais l’impression de retomber en adolescence, d’être à nouveau un jeune homme totalement insouciant et éperdument amoureux. Je voulais n’avoir aucune autre chose en tête que Cassie, Cassie et encore Cassie, ma petite Cassie, la femme de ma vie, celle pour qui je ferais tout et n’importe quoi. Celle pour qui je lâcherais tout, absolument tout. Sans rien avoir à faire, elle me rendait heureux comme jamais. C’était comme si ces huit années ne venaient pas de s’écouler sans elle. Presque du moins ! Car nous ne pouvions pas oublier aussi facilement combien nous avions changés loin l’un de l’autre et tout ce qui s’ensuit. Mais malgré tout, j’avais la sensation de la retrouver, telle que je l’attendais, telle que je la connaissais, telle que je la voulais tout simplement ? Oui, elle avait beau avoir changé, je la reconnaissais tout de même dans ce qu’elle était devenue. C’était comme une évidence pour moi. Comme si elle était tout simplement la femme de la vie de celui que moi-même j’étais devenu après tout ce temps, après cette trop longue absence. Nous avions changé l’un comme l’autre mais c’était pour mieux nous retrouver par la suite, simplement en tant qu’adulte. Nous nous étions connus enfants puis adolescents et maintenant adultes. Finalement nous suivions une logique imparable, même s’il manquait huit ans à notre actif. D’ici à quelques décennies, nous les remarquerions plus du tout, c’était ce qu’il fallait se dire. Malgré cette longue absence, nous comptabiliserons davantage d’années passées ensemble, qu’à peu près tous les couples présents de par le monde. Avec cela, avions nous réellement de quoi nous plaindre ? Sans doute que oui en partie, car nous avions tout de même connu une douleur que tout le monde n’avait pas forcément connu. Une douleur tellement puissante d’ailleurs, que je ne la souhaitais réellement à personne. Pas même à mon pire ennemi, c’était dire. Malgré tout, au final, nous aurons bien plus d’années de bonheur absolu et sans nuage, que d’années passées à souffrir. Oui c’était un prix à payer fort cher mais qui en valait sacrément le coup selon moi. Même si ça nous avait changés d’une façon qui n’était pas prévu au départ. Même si nous avions à présent besoin de temps pour nous apprivoiser à nouveau. Même si nous risquions de nous fermer plus encore au reste du monde par peur d’être à nouveau séparés de façon forcée. Bref, au final, il y avait peut-être autant de points positifs que de points négatifs dans toute cette foutue histoire qui nous avait éloignés l’un de l’autre. Même si forcément, j’aurais préféré que cela nous soit épargné. Mais à présent que c’était fait … Eh bien c’était fait ! Et nous ne pouvions malheureusement pas retourner en arrière. Si cela avait été possible, je l’aurais fais sans me faire prier une seule seconde, il fallait tout de même le savoir. Et je ne doutais pas qu’elle devait penser de la même façon que moi, très exactement. Elle n’était pas mienne pour rien et nous n’étions pas destinés l’un à l’autre, sans raison.

La soirée que nous venions de partager, la première depuis très longtemps, rien que nous deux entre … Ames sœurs tout simplement, venait me prouver combien nous avions besoin l’un de l’autre et à quel point nous étions toujours autant faits l’un pour l’autre. C’était d’une évidence absolue et cela me sautais aux yeux ! Et j’espérais qu’il en allait de même pour elle et qu’elle n’avait pas le moindre doute concernant la reprise de notre relation. Elle avait l’air de toujours m’aimer de la même façon. Mais avait-elle encore confiance en moi, en nous, en notre relation ? Il fallait l’espérer … Mais si ça venait à ne pas être le cas, je ne pourrais de toute façon pas la laisser partir aussi aisément. Oh ça non, plutôt mourir que de la regarder me filer entre les doigts une nouvelle fois ! Au lieu de cela, je ferais tout, absolument tout, pour la garder près de moi. Je chercherais à la convaincre qu’elle devait avoir confiance en moi et en notre amour. Que tout pouvait reprendre et qu’il suffisait simplement de s’abandonner une nouvelle fois dans notre relation. Ce serait sans doute plus difficile à présent que nous étions deux adultes qui avaient soufferts à cause de cet amour. Mais nous devions tout de même prendre ce risque. Moi j’étais prêt, parfaitement prêt, à me donner à nouveau pleinement à elle et à notre amour et relation. A peine était-elle partie à la fin de notre soirée, alors que Bille était arrivée à l’improviste, qu’elle me manquait déjà plus que de raison, comme c’était pas permit. Déjà, je tentais de trouver une raison pour laquelle je pourrais la voir avant la semaine à venir dans mon bar. Oui, une semaine complète durant laquelle elle passerait des heures avec moi, de mon côté du bar. La première personne à avoir ce droit … Tout simplement parce qu’elle était elle, parce qu’elle était mienne et que je voulais que tout le monde le sache. Oui, tout le monde devait voir que Shanae Cassie Livinghon était la propriété de Jonathan Gaylwen Copeland et ce, pour le restant de leurs jours. Aucune chance que l’un de nous deux ne soit à nouveau libre de ce côté-là. D’ailleurs, nous n’avions jamais été réellement libres puisque nous nous appartenions même sans être l’un avec l’autre. Mais cette fois tout le monde le saurait et nous aurions la preuve que notre cœur, à l’un comme à l’autre, était déjà réservé à une personne, une seule et unique. Ce sont toutes ces pensées là, qui me traversèrent l’esprit alors que je conduisais tout droit vers chez Cassie, notre ancien quartier dans lequel nous avions grandit l’un près de l’autre. Comme s’il s’agissait, encore, d’un signe du destin, elle avait oublié son téléphone chez moi. A moins qu’elle ne l’ait fait exprès ? Non je doutais qu’elle soit aussi tordue tout de même. Si elle avait voulut me revoir ce soir là, il lui aurait tout simplement suffit de m’en faire la demande. J’aurais accepté sans me faire prier une seule seconde. Revoir Cassie et passer un peu plus de temps en sa compagnie ? Plutôt deux fois qu’une !

Lorsque j’arrivais devant chez elle et prenais la direction de la façade ou se trouvait la cambre de Cassie, j’eu la violente impression de revenir huit ans plus tôt. Lorsque je montais sur l’arbre pour sauter sur sa terrasse et me faufiler dans sa chambre comme un voleur. Je savais être rapide et discret pour ne pas me faire prendre par ses parents. Je préférais ne même pas imaginer leurs réactions s’ils étaient entrés dans la chambre de Cassie à ce moment. Surtout que vers la fin … Lorsque j’entrais dans sa chambre le soir, ce n’était pas simplement pour dormir avec elle. Certes je me faufilais dans son lit, sous ses couvertures pour coller mon corps au sien. Mais je ne me contentais pas de cela. Non, la plupart du temps, je me collais contre son dos et faufiler ma main sur son ventre l’air de rien pour la descendre avec lenteur tout en déposant de brefs baisers sur son épaule, dans son cou, sur sa joue, ses cheveux. Ma main descendant lentement pour se faufiler sur son intimité et la parcourir longuement de mes doigts pour la caresser avec lenteur jusqu’à ce qu’elle se retourne en gémissant doucement, pour plaquer ses lèvres sur les miennes et me caresser à son tour après m’avoir rapidement retiré mes vêtements. Seuls des soupirs lourds de plaisir et d’excitation ainsi que de faibles gémissements rapidement étouffés par nos baisers, se faisaient entendre dans ces moments là. A chaque fois, nous perdions un peu plus le contrôle, jusqu’au soir où le frère de Cassie, nous avait fait remarquer que nous faisions trop de bruit. Je préférais ne même pas imaginer lorsque nous ferions enfin l’amour ensemble. Cette fois, plus de limite au niveau du bruit, sauf si Billie était dans l’appartement à ce moment là. Et plus de crainte de se faire surprendre … Sauf si nous ne nous trouvions pas dans ma chambre ou dans ma salle de bain. Bref … Il valait mieux que je m’arrête là dans ce genre de pensées et vite. Il serait preferable que je n’arrive pas dans sa chambre en ayant cruellement envie d’elle. Même si c’était déjà énormément le cas. Oui j’avais terriblement envie d’elle. Envie de faire claquer nos corps l’un contre l’autre, de sentir sa peau glisser contre la mienne, nos baisers ardents, moi en elle, elle contre moi. Envie de gémir de plaisir sous mes propres coups de reins, ou même les siens. Stop !

Toquant doucement à la porte fenêtre, je me figeais brutalement en me retrouvant en face d’elle un bref instant plus tard. Ses cheveux humides dégoulinant encore sur sa peau pâle. Son regard dépourvu de maquillage, me rappelant la Cassie adolescente. Cette simple serviette enroulée autour de son corps pour le dissimuler à peine. Bon sang elle ne m’aidait vraiment pas là ! Bon en même temps elle ne pouvait pas se douter que j’allais venir ce soir. « Than… » Déglutissant longuement, je me forçais à sourire quelque peu, malgré mon envie d’elle qui me nouait la gorge et m’empêchais de répondre quoi que ce soit, à ce simple surnom. « Entre, je ne … M’attendais pas à te voir je me serais habillée plus rapidement… » Souriant en coin, je lui adressai un vague regard taquin avant de parcourir longuement et très lentement, son corps, du regard, m’attardant longuement sur ses longues jambes fines avant de m’arrêter un bref instant sur sa poitrine qui était à présent parfaitement ronde et sans doute ferme. Bon sang j’avais envie de l’empoigner à pleine main, ne serait-ce que pour voir la différence avec une autre époque. Cette époque où j’aimais tant la taquiner en lui faisant remarquer combien elle avait une petite poitrine, pour ne pas dire une poitrine inexistante. Merde … Combien de types avaient donc eut le droit de la toucher, cette nouvelle poitrine, alors que moi-même je n’avais pu le faire encore. L’air de rien, j’entrais lentement dans sa chambre en passant devant elle, frôlant doucement sa peau nue en frissonnant quelque peu. « Hm pas la peine, t’es aussi bien comme ça … » Une fois à l’intérieur de sa chambre, je la parcourais longuement du regard, constatant qu’elle n’avait pas franchement changé et que cela me rappelais toujours autant de souvenir, mon cœur s’emballant férocement à cette constatation. « Je te manquais déjà ? » Riant doucement, je tournais à nouveau le regard vers elle, la regardant manger une tablette de chocolat, à l’autre opposé de la chambre, prenant le temps de me regarder de la tête aux pieds. « T’as même pas idée … Si ça n’avait tenu qu’à moi, tu n’aurais même pas eus le temps d’arriver au bas de l’immeuble, que je t’aurais déjà rattrapé. » Dis-je doucement en soupirant faiblement avant de détourner le regard pour lutter contre mon envie d’elle. Ne surtout pas la rejoindre pour la pousser sur le lit et lui faire l’amour longuement, lentement, sauvagement, passionnément. « Il parait que le chocolat c’est bon quand on est en manque d’amour… » Riant doucement, je la regardais à nouveau, en souriant en coin. « Hm c’est un signe du destin que je sois là alors … Pour combler ce manque d’amour … » Soufflais-je doucement sans la quitter du regard tout en sortant son téléphone de ma poche pour le lui montrer. « Un signe du destin que tu aies oublié ceci chez moi ? » Tranquillement et sans la quitter du regard, je m’approchais d’elle avec lenteur. Arrivé juste devant elle, je me stoppais en levant le téléphone pour le lui tendre, souriant en coin.
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R. Hallibel Snezava
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© CRÉDITS : Satellite Haze & Crazy Bunny, le meilleur des lapinou **
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Car personne d'autre n'a le droit de changement mon univers !


✔ HUMEUR : Rêveuse
✔ EN JEUX : Pas pour le moment
✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre
✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."




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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeMar 3 Mai - 15:11
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Return me, make me has new dream.


Dans la vie il n’y a pas de paradis, sinon ça se saurait. Oui, tout le monde saurait que l’on peut vivre un réel paradis en étant bel et bien vivant. C’était des foutaises. Le paradis il n’existe que quand tu meurs, que lorsque tu as aboutis ta vie sur cette fichue terre après avoir vécut un enfer. Oui, en fait l’enfer n’était pas pour quand tu meurs, mais bel et bien quand l’on vit. C’était ainsi, on n’y pouvait pas grand-chose, la vie était compliquée, elle l’avait toujours été, bien que pour nous la vie fut simple… Simple et parfaite pendant quatorze longues années. Quatorze ans ou nous connaissions le parfait amour, ou nous nous amusions en ignorant nos parents… L’on avait tout fait pour ne pas être séparé lui et moi… absolument tout, même lorsque mes parents avaient cru me séparer de lui a l’entrée du lycée, ils furent surpris de voir que Gaylwen était dans le même lycée que moi. Trois longues années encore avec lui. Et trois longues années ou nous fûmes très proche et dans la même classe. Comme au collège, comme au primaire… Nous n’avions pas connu une seule année sans être séparé. Autant dire que le départ brutal pour New-York m’avait totalement détruite. Tant bien moi que lui, je le ressentais parfaitement… La vie ne nous avait pas fait de cadeau, j’aurai voulu être la pour son anniversaire, être la pour fêter ses vingt ans, être la pour tous ses autres anniversaire et j’en passe. Nous n’avions même pas pu fêter le bac dignement… Je n’avais même pas eu le temps de le rejoindre. Tout ce qu’il me restait de lui c’était ce collier avec un cœur qu’il m’avait alors offert ce jour là. Je ne l’avais jamais quitté. Non jamais. En même temps je ne le pouvais pas. Il était bien trop important pour moi. C’était la seule chose qu’il me restait de lui et je ne voulais pas le perdre. Même si au fond, nous nous étions à présent retrouvés. Retrouvé était un bien grand mot. Nous n’étions pas ensemble, et nous n’étions pas prêt de nous remettre ensemble, il nous fallait du temps, oui du temps pour apprendre à se connaitre, a ne pas se précipiter… Car la rupture serait encore plus brutale.

Et si nous n’étions pas faits pour être ensemble ? Et si nos nouvelles personnalités ne nous permettaient pas de nous entendre ? Non… Cela ne pouvait pas arriver, oh non… Nous étions réellement faits pour être ensemble. Je n’en doutais pas une seule seconde. Gaylwen sans Cassie ? Ce n’était pas possible. L’un ne pouvait pas vivre sans l’autre. Tout le monde à l’époque le savait. Et mieux valait aux hommes comme aux femmes de ne pas trop s’intéresser de prêt a l’un ou a l’autre. Gaylwen étant très jaloux, je ne donnais pas chère de la peau des autres…. Quand aux femmes… Je savais me montrer subtile et sauvage. Telle une lionne je marquais mon territoire en sortant les crocs. Je savais me montrer mauvaise… Très mauvaise. On ne touchait pas mon homme, on ne touchait pas ma propriété… soit Gaylwen Jonathan Copeland ! Mariage, enfant, tout avait été prévu sous une promesse, un pacte, alors que nous n’avions que trois quatre ans… Et nous la tiendrons… J’osais l’espérer. Entendant frapper au carreau, un sourcil se levant, j’avais l’impression de retourner huit ans plus tôt. Oui huit ans plus tôt ou Gaylwen venait par le balcon et frappait a la fenêtre pour que je lui ouvre, même si la plus part du temps la fenêtre était déjà ouverte. Parfois j’étais simplement dans mon lit a regarder la télévision et il me rejoignait l’air de rien et se faufilait sous la couette avec moi une fois en boxer. Nous étions en général, peut vêtu… Et la télévision devenait plus que secondaire pour nous. Oh oui… Nos corps devenaient une priorité… Oh ça oui. Nous toucher, nous donner un plaisir commun, se faufiler entièrement sous la couette, rire et s’embrasser à en perdre haleine, oui, s’embrasser comme jamais et faire de longues très longues préliminaires, puisque nous ne faisions que cela. Nos corps n’avaient pas de secrets l’un pour l’autre… Nous les connaissions par cœur et nous aimions terriblement nous connaitre, apprendre a découvrir l’autre, car pour nous… Nous avions toute la vie pour faire l’amour, il nous fallait profiter un temps soit peu de se désir ardant, car une fois la pomme croqué…

Il serait difficile de ne plus le faire… Ses doigts en moi glissant longuement, son pouce sur mon point sensible, sa langue sur mes tétons durcit, puis sa cuisse venant prendre le relai sur mon intimité... Hum… Gaylwen était un as du sexe… Lui ouvrant rapidement, tout en souriant, je lui fis alors de la place pour qu’il puisse passer tout en marmonnant que si j’avais su je me serais habillé plus rapidement… Le voyant me regarder de haut en bas de façon plus que lente, je me mordis la lèvre sans rien dire. Je savais que je lui donnais envie. Passant alors dans ma chambre, son corps frôlant le mien, je me figeais brutalement en poussant un long, très long gémissement de plaisir, mes yeux se fermant brièvement sous l’intensité du plaisir que cela me procurait. Il allait me tuer, il commençait fort le bougre. « Hm pas la peine, t’es aussi bien comme ça … » Pourquoi cela ne m’étonnait-il pas ? On se le demande bien, surement parce que j’ai grandi avec lui, parce que j’ai évolué avec lui, en même temps que lui et que nous sommes la moitié l’un de l’autre. Nous finissons les phrases de chacun et vise versa. Oui nous étions de la sorte. Nous nous complétions à merveille, l’on s’entendait super bien et sans aucun souci. Et il fallait l’avouer, le fait qu’il puisse me voir la en petite serviette cachant a peine me corps, devait le rendre tout aussi fou que jamais. Huit ans qu’il n’avait pas vu mon corps, huit ans qu’il n’avait pas entendu ma voix, et bien sur aujourd’hui, j’avais un nouveau corps, j’étais une femme… Une poitrine bien plus grosse, bien plus ferme, qu’il pourrait empoigner quand bon lui semble, oh ça oui, une bonne poitrine dont j’étais sacrément fière… On ne pouvait pas passer à côté de ce point là chez moi. Même si à coté j’étais un tant soit peu maigre, trop même. La danse m’avait demandé a être plus fine mais surtout plus musclé, mes nombres intensif de sport avait porté ses fruits. J’étais peut être mince mais j’étais pas mal musclé et je savais parfaitement me défendre, j’avais de la force dans les bras et je n’étais pas une pauvre petite fille sans défense. Non, je n’avais besoin de personne pour me défendre. Souriant en coin, passant ma langue sur mes lèvres, je le regardais à nouveau de haut en bas en soufflant longuement de bien être. Nom d’un chien ce qu’il était parfait … Oui terriblement parfait.

« Hum… Et je suis sûre que je serais tout aussi bien sans la serviette… Je la tombe ou tu la fais tomber ? » Franc direct, sincère, pas de tabou, j’étais toujours la même qu’avant, j’étais sa Cassie, sa petite Sissi, et je n’avais pas changé l’ombre d’un pouce… J’aimais le provoquer, lui faire de l’effet, oui c’était dans ma nature d’être ainsi et je n’étais pas prête de changer… On ne peut pas réellement changer plus de quatorze ans d’amour… Oh ça non… Allant éteindre la lumière de la salle de bains, je fermais lentement la porte filant alors vers la table de nuit en lui demandant si je lui manquais déjà, ce qui était fort probable, lui il me manquait depuis que j’avais passé la porte de son appartement. Il me manquait depuis le jour ou mes parents m’avaient largué dans cet avion sans que je ne puisse faire quoi que se soit… « T’as même pas idée … Si ça n’avait tenu qu’à moi, tu n’aurais même pas eus le temps d’arriver au bas de l’immeuble, que je t’aurais déjà rattrapé. » Me mordant lentement la lèvre inférieure, je relevais un regard entendu vers le sien. J’imaginais déjà la scène… Oh ça oui… Je voulais qu’il me rattrape comme il l’aurait fait il y a de cela huit ans… oui, je voulais a tout prix qu’il redevienne comme avant, que rien n’ait changé… Lui me courant après, m’attrapant par la taille pour me coller contre lui, sentir ses lèvres se poser avec franchisse et délicatesse sur les miennes, son souffle sur mon visage, sa langue se faire une place entre mes lèvres pour s’écraser avec ardeur sur la mienne, nos salives se mélangeant, nos corps tournant encore sous l’émotion qu’il portait envers moi, envers nous. Mes mains fourrager lentement ses cheveux, alors que notre baiser s’intensifie et devient de plus en plus intense. Je voulais sentir ses mains sur mon corps, mes jambes s’enroulaient autour de sa taille, je voulais sentir le plaisir monter, grandir et grandir sans cesse, oui, je voulais tout cela. Je voulais revivre ces instants magique et intense… Je voulais me remettre avec lui me faufiler sous cette couette qui ne demandait qu’à être chauffé par deux corps tout aussi chaud l’un de l’autre, nos gémissements, nos baisers langoureux, oui revivre une parfaite entente sexuelle… Je voulais simplement retrouver mon Gaylwen, mon Than d’amour… Celui que je connaissais depuis mes deux ans… Celui qui avait tout simplement conquit mon cœur au premier regard.

« Parfois, il vaut mieux que tu fasses l’égoïste tu sais… Il fallait venir me rattraper… Mais ceci dit… Que tu sois chez moi, ce n’est pas plus mal… » soufflai-je en lui lançant un regard encore plus entendu, devenant coquin et sensuelle. Un regard qu’il ne connaissait que trop bien. Pas besoin de réfléchir, même après huit ans d’absence… Mon regard n’avait en rien changé contrairement à mon corps qui lui avait sacrément évolué depuis huit ans. Oui un corps qui avait prit de la poitrine, de la taille et j’en passe. Mon visage était beaucoup plus marqué et faisait à présent femme. Oui j’étais un petit bout de femme… Croquant dans ma tablette de chocolat, je le regardais en souriant faiblement lui marmonnant alors que le chocolat c’était bon pour le manque d’amour. Oui le chocolat avait des effets aphrodisiaques, parait-il. « Hm c’est un signe du destin que je sois là alors … Pour combler ce manque d’amour … » Haussant un sourcil, tenant toujours ma tablette de chocolat, je suivais sa main du regard le voyant alors fouiller sa poche pour en ressortir un téléphone portable. Mon téléphone portable. « Un signe du destin que tu aies oublié ceci chez moi ? » Regardant mon téléphone, je tournais un vague regard vers mon sac surprise de voir qu’il n’y était pas dedans. Comment avais-je pu l’oublier chez lui ? Un signe du destin ? Je n’en savais foutrement rien… Le voyant si prêt de moi, j’entrouvris la bouche en la refermant aussitôt déglutissant alors sous l’effet de bien être qui parcourut mon corps. Posant ma main sur le téléphone en prenant la sienne l’air de rien je restais un long moment ainsi, mon regard alors plongeait dans le sien. Passant ma langue sur mes lèvres je pris lentement le téléphone le posant alors sur la table de nuit qui était à mes côtés. « Fut un temps, je croyais au destin… Depuis huit ans, j’ai cessé d’y croire… » murmurai-je en me rapprochant de lui sans le quitter du regard, non ne pas le quitter du regard… Mon corps se collant contre le sien, je souriais faiblement en croquant dans le chocolat en mangeant tranquillement.

« Merci Than… Pour être venu jusqu’ici me rapporter mon téléphone… Surtout que je comptais t’envoyer un petit message… » soufflai-je doucement en posant une main sur sa taille la serrant lentement en tirant quelque peu sur son haut. Haut de préférence que je ne devais pas déchirer cette fois… oui ça serait pas mal… Me mettant sur la pointe des pieds, je déposais alors mes lèvres sur sa joue l’embrassant longuement, mes yeux fermaient, mes lèvres glissaient elle le long de sa joue déposant de multiples baiser, légèrement humide, ma langue passant de temps à autres sur sa peau qui me faisait frémir et bouillir de désir. J’étais en train de me tuer, j’étais terriblement excitée, lui dans ma chambre comme avant, lui ici alors que je suis en simple serviette… Lui ici tout court comme il y a huit ans… Mon cœur ayant un raté, je remontais ma main sur son torse le caressant longuement avant de filer sur son cou caressant de mon pouce l’air de rien ses mâchoires, zone terriblement érogène chez lui. Mon nez frôlant le sien, je dû prendre sur moi pour ne pas gémir et hurler de plaisir. Moi c’était mon visage entier… Et c’était d’autant plus dur… « Tu ne vas pas repartir déjà… Reste un peu… Histoire que tu n’aie pas fait le chemin pour rien…Il me semble que… L’on peut très bien reprendre ce qu’on allait faire avant que ta sœur ne revienne… » Murmurai-je contre ses lèvres, passant alors lentement ma langue sur les miennes touchant par la même occasion les siennes sans le quitter une seule seconde du regard.
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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeDim 8 Mai - 21:28
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You make me feel like I’m living a teenage dream

Il parait que dans la vie, nous sommes forcés de grandir et mûrir. Forcé d’abandonner l’enfance pour l’adolescence puis l’adolescence pour l’âge adulte. Oui, même si on le veut, on ne peut pas rester à un certain âge et on est obligé de grandir pour affronter la dure réalité de la vie. Parfois c’est la vie elle-même qui nous force à grandir bien plus vite qu’on ne le devrait et voudrait. Les épreuves terribles qu’elle nous infligeait, à nous autres humains, étaient là pour nous secouer et nous réveiller totalement. Et une fois totalement grandit et adultes, nous étions bien obligés de faire face à la vie qui s’offrait à nous, qu’elle soit belle ou non et qu’elle nous rende plus ou moins heureux. Dans mon cas, je n’avais pas été très gâté par la vie et elle m’avait fait grandir on ne peut plus rapidement. Un père alcoolique à la maison, j’avais bien été forcé de jouer au grand frère pour pouvoir protéger ma petite sœur. Et le départ de Cassie m’avait rendu adulte bien avant l’âge. A dix huit ans, j’avais eus l’impression de prendre cinq années tant je m’étais senti mûri et seul, sans elle. Oui, sans elle je n’étais rien ni personne. Juste un gamin perdu qui ne comprend pas ce qui lui arrive. Un gamin qui se voit forcé de vivre et avancer sans celle dont il est éperdument amoureux. Un gamin qui se retrouve seul face au reste du monde. Un gamin qui se voit grandir presque malgré lui, à devoir se battre contre tout et tout le monde, pour s’en sortir seul, ayant toujours été habitué à être accompagné de sa moitié pour tout et depuis toujours. Passer de deux … A un seul, c’était assez déconcertant, frustrant … Et terriblement douloureux. Y avait-il quelque chose de plus douloureux que de perdre son âme sœur et de n’en n’avoir pas la moindre nouvelle ? J’en doutais. J’avais eus un père alcoolique et ce n’était rien du tout à côté de cela. Un père qui s’était tué lui-même tant il était idiot. Un père qui ne méritait même pas que quiconque pense à lui un seul instant. Or j’étais justement en train de penser à lui à l’instant présent. Stop, que j’arrête cela immédiatement, ça ne me menait à rien du tout. Ne plus, non plus, penser à toutes les douleurs que m’avais apportées la vie. Ne penser qu’à l’instant présent et au fait que j’avais retrouvé la femme de ma vie, celle dont j’étais fou amoureux depuis toujours et pour toujours.

Comme s’il s’était agit d’un signe du destin, je me trouvais à nouveau avec elle, chez elle, plus précisément dans sa chambre. Tout cela parce qu’elle avait oublié son téléphone portable chez moi. Je doutais qu’elle ait fait exprès de l’oublier là. Je ne doutais donc pas que c’était le fuit du hasard. Enfin … Je préférais tout de même l’idée que c’était le destin qui cherchait à nous réunir à nouveau, comme il avait put le faire à plusieurs reprises dans le passé. Oui, j’aimais me dire que nous étions pleinement faits l’un pour l’autre et que tout le monde se devait de le savoir. Nous serions très prochainement réunis, il ne pouvait décemment pas en aller autrement. Pour la simple et bonne raison que nous étions faits pour être ensemble et que ce n’était même un secret pour personne. La vie nous avait certes séparés mais c’était peut-être bien pour mieux nous faire nous retrouver à présent. Peut-être était-ce pour que nous réalisions réellement la chance que nous avions de nous appartenir l’un l’autre. Même si c’était on ne peut plus stupide puisque nous en avons déjà pleinement conscience, avant même d’être séparés de la sorte. Ou alors c’était pour que nous puissions connaître autre chose avant de nous engager, réellement, ensemble pour le restant de nos jours. Chose des plus stupides car pour ma part, je n’avais jamais douté un seul instant du fait qu’elle était la femme de ma vie et que c’était elle que je voulais et qu’il me fallait dans ma vie, pour être pleinement et définitivement heureux, sans le moindre nuage planant au dessus de ma tête. Si j’avais su qu’elle allait me revenir un jour, je l’aurais attendu sans jamais me lasser. Oh non … Même, sans le moindre mal. J’aurais accepté de ne coucher avec personne d’autre qu’elle, même si j’avais du attendre jusqu’à maintenant. Oui, cela semblait complètement dingue et pas du tout réalisable surtout pour un homme. Mais je n’étais pas n’importe quel homme. J’étais un homme complètement fou amoureux, définitivement amoureux d’une femme, la femme de sa vie. J’étais l’homme de Cassie et d’aucune autre femme. Et cette raison seule, suffisait à expliquer pourquoi et comment j’aurais pu attendre huit années sans broncher le moins du monde. J’avais eus assez de deux années pour la découvrir pleinement, sur tous les plans. Deux ans pour comprendre qu’elle et moi, nous entendrions parfaitement, jusque dans nos rapports sexuels. Même si, nous n’avions pas eus le temps d’arriver jusqu’à faire l’amour ensemble. Mais presque.

Alors que je venais d’entrer dans la chambre de Cassie, elle mentionna sa tenue. Enfin sa tenue … C’était vite dit puisque, justement, elle ne portait qu’une simple serviette sur son corps totalement nu. Ce qui eut le don de me couper le souffle tant l’envie de découvrir du regard ce qui se trouvait sous cette maudite serviette, était forte en moi. Oh oui, je rêvais de voir son nouveau corps, de me l’approprier, de le parcourir de mes mains et de mes lèvres. Je rêvais de lui faire l’amour comme jamais on ne lui avait fait l’amour. Je mourrais d’envie de redécouvrir cette merveilleuse entente que nous avions eue, à une autre époque, elle et moi. Faire l’amour passionnément et sauvagement. Doucement et tendrement. Oui, tout cela me manquait. Et là, elle avait beau être présente, à mes côtés, elle me manquait terriblement. Pour la simple et bonne raison que je ne l’avais pas encore véritablement retrouvé. Elle n’était pas encore, à nouveau, ma petite amie. Ma fiancée et la femme de ma vie, oui. Mais … Nous n’étions toujours pas remis ensemble. Ca ne saurait tarder toutefois. Il ne pouvait pas en aller autrement, j’avais le besoin de la retrouver dans tous les sens du terme. Retrouver son corps, retrouver ses bras, son amour, son odeur, ses mots doux murmurés à mon oreille. J’avais envie de retrouver la femme de ma vie, comme avant, sans limite, sans restriction, sans secret. Entrant lentement dans sa chambre sans la regarder mais sans me départir de mon léger sourire en coin, je pris grand soin de frôler son corps du mien avec douceur, en passant tout près d’elle. Il y avait largement la place pour que j’entre sans la toucher … Mais ça aurait été bien moins drôle et bien moins plaisant. A son gémissement des plus longs et audibles, mon sourire en coin s’élargit, sans que je ne fasse le moindre commentaire. C’était des plus plaisants d’entendre à nouveau ses gémissements, après tout ce temps. Plaisant de l’entendre gémir alors que je n’avais fais que la frôler à peine, franchement légèrement. Cela prouvait à quel point la tension sexuelle était palpable et toujours bel et bien présente entre nous. Et j’aimais terriblement cela. Oh oui … J’aimais sans limite !
« Hum… Et je suis sûre que je serais tout aussi bien sans la serviette… Je la tombe ou tu la fais tomber ? »
Souriant plus franchement sans pouvoir m’en empêcher, je tournais un regard brillant de malice et d’envie, vers elle, la détaillant une nouvelle fois de la tête aux pieds avec lenteur, m’attardant un long moment sur sa poitrine dont on devinait la forme sous sa serviette, remontant ensuite à son visage des plus parfaits. S’il y avait bien un point sur lequel elle n’avait pas changé le moins du monde, c’était bien le fait qu’elle était direct et n’avait pas la moindre limite lorsque ça nous concernait nous et notre amour. Et j’aimais terriblement cela ! Durant quatorze années ça m’avais rendu fou. Et à présent, c’était toujours parfaitement le cas puisque c’était toujours présent. Et ça me plaisais plus que de raison ! « T’es en train de me demander de te déshabiller ? » Demandais-je d’une voix douce et caressante en baissant une nouvelle fois, plus brièvement, mon regard sur son corps.

Lorsqu’elle me demanda, après avoir traversé la chambre, si elle me manquait déjà pour que je sois venu la retrouver chez elle, j’eus un nouveau sourire en lui répondant que si ça n’avait tenue qu’à moi, je l’aurais rattrapé avant même qu’elle n’ait eut le temps de quitter le bâtiment dans lequel je vivais. En temps normal, c’est bien ce que j’aurais fais sans la moindre petite hésitation. Mais là … Notre relation n’était pas encore repartie comme avant et je ne pouvais donc pas encore me lâcher totalement, comme je l’aurais fais huit ans plus tôt. « Parfois, il vaut mieux que tu fasses l’égoïste tu sais… Il fallait venir me rattraper… Mais ceci dit… Que tu sois chez moi, ce n’est pas plus mal… » Croisant son regard des plus sensuels, que je ne connaissais que trop bien, je déglutis difficilement, le souffle coupé en la regardant longuement, passant alors rapidement ma langue sur mes lèvres sans la quitter du regard. A l’instant, j’avais tout l’air d’être un fauve qui guettait sa proie. Ce n’était pas bien loin de la vérité à vrai dire. Sauf … Que je luttais de toutes mes forces et j’étais plutôt doué pour ça finalement. « Pas plus mal ? Tu comptes me garder ici et m’enfermer avec toi ? » Demandais-je doucement en souriant à nouveau en coin, sans pouvoir la quitter du regard tant j’aimais la regarder. Oh oui j’aimais terriblement … Et plus encore ! Alors que Cassie mangeait une tablette de chocolat, elle mentionna le manque d’amour, ce à quoi je ne pu que répondre que c’était sans doute, inconsciemment, pour cela, que j’étais là à présent. Signe du destin que son portable soit resté chez moi, me forçant à la rejoindre à présent. Citant une nouvelle fois le destin, je ne tardais pas à sortir son téléphone de la poche de mon jean en le lui montrant, lui demandant alors si c’était le destin qui voulait qu’elle l’ait oublié chez moi en partant. M’approchant lentement d’elle sans la quitter du regard, je le tins sous ses yeux en lui lançant un regard brillant de désir tout en étant taquin, comme bien souvent en sa présence. Presque malgré moi, mon regard fut attiré par sa langue qui passa rapidement entre ses lèvres. Le souffle coupé, je relevais lentement le regard vers elle alors qu’elle posa son téléphone sur sa table de nuit. « Fut un temps, je croyais au destin… Depuis huit ans, j’ai cessé d’y croire… » Souriant faiblement, je la regardais s’approcher à nouveau de moi sans me quitter elle-même du regard.

« Alors sacré hasard … Sacré hasard qui t’as fais entrer dans mon bar. Sacré hasard qui a fait que ma sœur ait eut l’idée de nous faire nous retrouver chez moi. Et sacré hasard que ton téléphone soit tombé sur mon canapé sans qu’on ne s’en rende compte. » Soufflais-je d’une voix très basse, coupé par le désir, alors qu’elle venait tranquillement de se coller à moi sans cesser de croquer dans sa tablette de chocolat. A plusieurs reprises, mon regard passa du sien à ses lèvres, mon souffle coupé par mon envie d’elle des plus puissantes. « Merci Than… Pour être venu jusqu’ici me rapporter mon téléphone… Surtout que je comptais t’envoyer un petit message… » Me passant une nouvelle fois ma langue entre mes lèvres, j’eus un léger soupir en sentant sa main se poser doucement sur ma taille et tirer légèrement sur mon haut. « Ah oui ? Et pour dire quoi dans ce message ? Rejoins moi mon Than, j’ai besoin de la chaleur et le réconfort de ton corps contre le mien ? » Suggérais-je d’une voix toujours aussi douce et caressante, comme une confidence faite sur l’oreiller. En sentant ses lèvres se poser sur ma joue avec lenteur et douceur, je fermais les yeux pour en profiter au maximum, soufflant très légèrement. Un léger sourire en coin fit à nouveau son apparition sur mes lèvres lorsque je la sentis déposer une série de baisers sur ma joue, sentant parfois même la pointe de sa langue sur ma peau. Mon cœur battait la chamade, provoquant des pulsions de mon sang dans mes veines, que je pouvais parfaitement sentir. Sa main sur mon torse, je posais automatiquement les miennes sur sa taille en rouvrant à demi les yeux sous l’afflux du bien être et du désir qu’elle provoquait en moi. A sa main sur ma mâchoire, je ne pu m’empêcher de lâcher un très léger gémissement d’excitation. Sentant mon membre durcir rapidement sous l’excitation qu’elle parvenait à provoquer en moi, je détachais à peine mon bassin du sien, l’air de rien, baissant lentement mon regard vers le sien, nos nez se frôlant légèrement.

« Tu ne vas pas repartir déjà… Reste un peu… Histoire que tu n’aie pas fait le chemin pour rien…Il me semble que… L’on peut très bien reprendre ce qu’on allait faire avant que ta sœur ne revienne… » Sa voix douce et envoûtante, son souffle caressant doucement mes lèvres, sa langue la frôlant très légèrement, je me figeais de plus en plus sous la montée du désir, faufilant lentement mes mains dans son dos en la caressant doucement. Une fois placées, je la serrais doucement contre moi, mon membre contre son bas ventre, mes lèvres frôlant à peine les siennes, mon regard plongé dans le sien. « Ce serait vraiment dommage … De repartir … Et de te laisser ici, bouillonnante de désir. » Dis-je doucement, mes lèvres caressant doucement les siennes. Sans la quitter du regard, je montais lentement une main à son visage, caressant sa taille, son ventre puis sa poitrine au passage, l’air de rien. Toujours l’air de rien, je posais ma main sur sa joue en la regardant avec envie, approchant plus encore mes lèvres des siennes en soupirant doucement. « Huit ans … Putain huit ans que j’ai pas eus droit à tes lèvres … » La seconde d’après, je pressais mes lèvres sur les siennes, les pressant avec force sous l’envie, mon souffle se coupant un long moment. Lâchant un bref gémissement, j’entrouvrais les lèvres pour qu’elle en fasse de même, glissant ma langue dans sa bouche avec franchise pour trouver et caresser la sienne avec ardeur et insistance.

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R. Hallibel Snezava
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✔ AGE : 18 ans
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Car personne d'autre n'a le droit de changement mon univers !


✔ HUMEUR : Rêveuse
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✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."




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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeMer 11 Mai - 23:48
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Return me, make me has new dream.


Il était une fois… Non ce genre de parole c’est pour les contes de fées, est ce que ma vie est un conte de fée ? Non bien sur que non. Il y a huit ans je l’aurais dit… Oui j’aurai simplement dit que ma vie était a mes yeux, un conte de fée, car j’avais l’amour, j’avais mon âme sœur à mes côtés. Malheureusement, aujourd’hui il n’était plus à mes côtés. Est-ce que je le regrettai ? Atrocement. J’aurais surement dû m’enfuir, faire de mon possible pour ne pas qu’ils me retrouvent, m’évader avec Gaylwen mais au fond… que serions nous devenus ? Sans travail, sans argent, sans appartement, sans rien… Notre vie aurait été chaotique mais, au final elle aurait été mieux que celle que j’ai vécue jusqu’à présent. Je n’aurais pas eu besoin de montrer mon corps à des centaines et des centaines de personnes, danser dans des tenues outrageusement courtes, sexy voir complètement nue. Ne pas faire de danse privé exhibent mon corps a tout va et j’en passe. Mais ce qu’était fait, était fait. Pas de montre à l’Hermione Granger dans Harry Potter. Non ma vie à moi était bel et bien réelle, pas d’artifice, pas de surprise, juste ma vie, la mienne toute pourrie. La cerise sur le gâteau ? Gaylwen marié ? D’après les dires de sa mère. Quel aurait été l’intérêt de me mentir ? Dans quel but ? Est-ce que Than avait divorcé et ne voulait pas me le dire ? Je pouvais le comprendre… Non en fait, je ne le pouvais pas ! Car s’il avait été marié, cela voulait dire qu’il avait rompu notre promesse. Mais au fond si mon père et mon frère n’avaient pas étés morts je ne serais jamais revenu. Non vraiment jamais. Je serais restée sur Los Angeles et j’aurais continué ma vie d’artiste, danseuse étoile, j’aurais seulement la danse. Pas d’amour rien, juste la danse. Du sexe de temps en temps comme je le faisais quand j’étais totalement ivre. Je ne me rappelai jamais de mes rapports sexuels. Les trous béants que me procurait l’alcool étaient plus que violent. Ma première fois ? Blond, brun, roux, jaune, noir, blanc je n’en savais foutrement rien. Tout ce que je savais c’est que c’était dans une voiture. C’était un bon début, leurs têtes bon sang je m’en foutais ! Le noir était parfait, je pouvais mieux imaginer Gaylwen ! Mais maintenant je l’avais retrouvé, certes nous n’étions pas ensemble mais je pouvais le voir lui parler, le toucher et un tas d’autre chose et c’était un bon début. Soupirant doucement, je le laissais alors passer pour qu’il puisse entrer dans ma chambre. J’aimais tellement qu’il vienne… Son corps frôlant le mien, je ne pu m’empêcher de gémir sous le plaisir ardant qui m’envahissait, vouloir le toucher et ainsi de suite… Le caresser, lui sauter dessus telle une sauvageonne et lui faire l’amour, longuement, sauvagement, sensuellement avec amour… Je voulais le plaquer sur ce fichu lit et le chevaucher jusqu’au ce qu’il puisse jouir en moi… Je voulais tomber enceinte, avoir un enfant avec lui comme on aurait du en avoir un depuis longtemps… l’épouser… Dire oui devant le curé, dans une robe blanche… Faire une lune de miel du tonnerre…. Tant de chose… Soupirant longuement, je lui demandais rapidement s’il voulait que je tombe la serviette, ou s’il préférait me la faire tomber… Tant qu’à faire…

« T’es en train de me demander de te déshabiller ? » Souriant en coin je ne pus m’empêcher de rire doucement en léchant mes lèvres le regardant alors de haut en bas. Il ne croyait pas si bien dire… Me balançant sur mes jambes, je le regardais droit dans les yeux en lui tournant vaguement le dos pour jouer de mon corps avant de fermer la porte de la salle de bains et de revenir vers ma table de nuit là ou j’étais avant qu’il n’arrive, non loin de lui cependant. « Hum oui, d’habitude je ne te demande pas, tu le fais de toi-même… Mais là, tomber ma serviette… Hum, j’ai toujours aimé que tu le fasses… Sentir tes doigts entre mes seins, la serviette tombé au sol… tes mains agrippant mes fesses me soulevant contre toi… mes jambes s’enlacer a ta taille… Hum… Oui déshabille moi…. » murmurai-je doucement en le regardant de façon intense, le plaisir se trahissant dans mon regard. Passant ma langue sur mes lèvres, je pris alors mon chocolat marmonnant tranquillement que ça comblait le manque d’amour… Oui le chocolat avait des effets plutôt bizarres concernant l’amour tout de même… Passant sur le sujet de mon départ, il m’annonça qu’il était a deux doigts de me rattraper lorsque je partis de chez lui. Chose qui aurait été parfaite… souriant en coin en le détaillant a nouveau du regard, tout comme lui avait moi, je lui soufflai qu’il aurait dû faire son égoïste et me rattraper, oui il était bon de jouer les solistes tout comme j’allais le faire avec lui des à présent… Oui l’enlever et ne pas le laisser partir de cette maison… « Pas plus mal ? Tu comptes me garder ici et m’enfermer avec toi ? » Le regardant longuement, je ne pus mempêcher de sourire en le voyant me détailler sans aucune gène du regard. J’aimais qu’il puisse me mater de la sorte. J’avais toujours aimé qu’il le fasse sans aucune discrétion que les gens puissent aussi voir qu’il avait tous les droits sur mon corps. C’était plus que plaisant… Intense et jouissif, oh ça oui. Je voulais lui dire encore et encore de me regarder de me déshabiller du regard de pouvoir faire ce qu’il voulait de moi, j’étais sienne depuis le début, depuis toujours en fait. Passant rapidement ma langue sur mes lèvres, je regardais les siennes avec envie avant de relever le regard vers le sien tout en gémissant a peine. « Peut être bien que oui…. Peut être bien que non… Tout dépend si tu es sage ou méchant avec moi… Hum… » Dis-je l’air de rien lui lançant alors un regard des plus aguicheur, lui faisant alors comprendre qu’il ferait mieux de se montrer méchant. Méchant dans le sens coquin, taquin, provocateur et surtout me faire crever de désir pour lui, bien que pour le cas, là il n’en avait pas réellement besoin puisque je crevais déjà. Rapidement, il sorti alors mon téléphone de sa poche me le montrant tout en s’approchant de moi. Le destin d’après lui….

Le regardant longuement et surtout surprise car je ne m’étais même pas aperçu que j’avais oublié mon téléphone chez lui… Je ne croyais plus au destin depuis huit ans, depuis que l’on m’avait arraché a lui, depuis que j’étais obligé de survivre et non de vivre, depuis que Gaylwen n’était plus dans ma vie… Une souffrance bien trop importante pour oser croire encore un peu au destin… « Alors sacré hasard … Sacré hasard qui t’as fais entrer dans mon bar. Sacré hasard qui a fait que ma sœur ait eut l’idée de nous faire nous retrouver chez moi. Et sacré hasard que ton téléphone soit tombé sur mon canapé sans qu’on ne s’en rende compte. » Plongeant mon regard dans le sien, je passai rapidement ma langue sur mes lèvres en m’approchant alors de lui croquant a nouveau dans ma tablette de chocolat. Je ne croyais plus au destin, mais vu sous cet angle là... il n’avait pas réellement tord en fait. Oui…. Déglutissant longuement en avant le chocolat, je le regardais longuement yeux bleuté, dans yeux bleuté, des yeux tellement identique. Il avait les yeux plus clairs que les miens cependant. Soufflant tout contre ses lèvres, je baissais vaguement mon regard sur les siennes en souriant en coin. « Dis de la sorte… Je crois que je vais commencer à y croire a nouveau… On voulait nous réunir… Et c’est surement chose faite… même si ce n’est pas totalement comme avant encore… » soufflai-je doucement avant de m’avancer un peu plus contre lui. Je voulais sentir son corps contre le mien, je voulais être prêt de lui, je voulais a tout prix sentir la chaleur corporelle de Than, sa présence, lui tout simplement. J’en avais terriblement besoin. Passant a nouveau ma langue sur mes lèvres, je relevais le regard vers lui en souriant rangeant mon téléphone sur la table de nuit lui intimant alors que je comptais bien lui envoyer un message, du moins je l’aurais fait s’il n’était pas venu, mais je n’aurais pas réellement pu sans mon téléphone… « Ah oui ? Et pour dire quoi dans ce message ? Rejoins moi mon Than, j’ai besoin de la chaleur et le réconfort de ton corps contre le mien ? » Cette voix si douce, si caressante, si intense, si tout… C’était la sienne, légèrement changé par rapport a il y a huit ans… il avait une voix beaucoup plus grave mais c’était tout a fait normale, puisqu’il avait prit huit ans… Huit années que l’on ne pouvait pas négliger… Non, absolument pas négliger. « hum… Peut être bien que oui… Peut être bien que non… Peut être que je t’aurais simplement envoyer un petit message comme à l’époque… Un message bien chaud… Tu sais ce genre de message qui te faisait tellement d’effet que tu devais t’absenter dans la salle de bains pendant quelques minutes… » Murmurai-je contre sa peau. Je voulais le rendre fou, totalement fou de moi, lui dans ma chambre c’était totalement impossible qu’il reste sans que l’on fasse quoi que se soit. Non, je l’aimais et le fait de le voir là me rappelai d’innombrable souvenirs. Déposant lentement mes lèvres sur ses joues, je soupirai contre sa peau avec envie et délice. Dieu que je l’aimais, le désirai et j’en passe.

Me rapprochant de lui, je remontai mes lèvres sur sa joue l’embrassant tendrement entrouvrant de temps en temps ma bouche pour y passer ma langue. Remontant mes mains sur ses mâchoires, je ne pus m’empêcher l’air de rien de les caresser sachant parfaitement que c’était là sa zone érogène. Le tuer ? Bien sur, je voulais le tuer… Lui donner envie…Ses mains sur ma taille je frissonnais quelque peu en le sentant légèrement reculer comme pour empêcher son bassin de toucher le mien. Pourquoi ? Est-ce qu’il avait envie ? Surement…. Souriant en coin je lui murmurais alors qu’il avait bien fait de venir et qu’il n’allait quand même pas partir si tôt, et si vite… Il venait tout simplement de venir… Nos nez se frôlant, je poussais un léger gémissement en lui griffant légèrement la mâchoire de mes ongles. Rapidement je le sentis alors me rapprocher de lui, son membre sur mon bas ventre. Gémissant a nouveau, je cru mourir en sentant alors ce membre si … Imposant… Si changeant par rapport à huit ans… « Ce serait vraiment dommage … De repartir … Et de te laisser ici, bouillonnante de désir. » Sa voix, ses lèvres effleurant lentement les miennes, je me figeais a mon tour. Je venais plus ou moins de le tuer, et maintenant il se vengeait. Il avait raison, totalement raison. Ses mains sur ma taille, je sentis l’une des siennes remonter lentement sur mon entre, me coupant alors le souffle, le sentant passer sur ma poitrine, celle-ci durcissait rapidement sous l’envie ardente qu’il me procurait. Sa main sur ma joue je me figeais en sentant alors le désir monter dans mon corps. Il savait parfaitement que le visage était ma zone érogène, il l’avait même découvert assez tôt il y a plusieurs années en arrière… Lorsque nous nous sommes plus ou moins rapprochés… Après notre premier baiser… Un baiser intense alors que nous venions d’avoir notre brevet. Gémissant longuement, ma bouche s’entrouvrit légèrement tout en déglutissant. « Huit ans … Putain huit ans que j’ai pas eus droit à tes lèvres … » Le regardant droit dans les yeux, je sentis ses lèvres s’écraser alors sur les miennes. Mon cœur cessant de battre je me figeais enfin sous le plaisir ardant qui m’envahissait tout a coup sous l’effet du baiser. Huit ans, oui huit ans que nous n’avions pas pu nous embrasser, nous prélasser de nos baisers langoureux de sentir la langue de l’autre dans la bouche de l’autre et vise versa… Poussant un léger gémissement, je remontais lentement ma main sur son visage caressant alors son cou alors que je tremblais comme jamais sous le plaisir qu’il me procurait. Sentant sa bouche s’entrouvrir je fis de même sentant alors enfin sa langue s’immiscer dans ma bouche. Serrant un peu plus ma main sur sa joue je glissais ma langue avec passion et ardeur dans sa bouche pour caresser la sienne avec amour et envie. Mon souffle totalement coupé je me pressais un peu plus contre lui-même s’il m’avait bien collé contre lui. Poussant un long gémissement l’embrassant plus franchement je tirais alors sur son haut le lui tirant pour le lui enlever. Rompant rapidement le baiser je jetais on haut sur une chaise me plaquant a nouveau contre lui l’embrassant alors avec envie tâtonnant alors son torse que j’aimais tant… Reculant sur le coup je le détaillais longuement en glissant mes mains sur son torse musclé à souhait, un torse tout a fait nouveau pour moi.

« Huit ans que j’en rêve aussi…. Putain Than… Ton torse… Tu ne l’as pas négligé… Vraiment pas… » Soufflai-je en en attrapant le haut de son jean le tirant alors vers moi mes lèvres se plaquant sur les siennes avec envie et désir. Poussant un long gémissement de plaisir je me mouvais contre lui glissant alors mon autre main dans sa nuque attrapant ses cheveux les tirant doucement tout en plaquant un peu plus son visage contre le mien. Ma langue heurtant la sienne avec volupté je tirais un peu plus sur son jean glissant mes doigts entre son jean et son boxer me retenant de ne pas le lui enlever tout en entrouvrant les yeux pour le regarder avec amour et envie. Mon cœur battant la chamade je sentis une chaleur envahir mon corps tout entier… j’avais terriblement envie de lui… Je ne pouvais pas contrôler se désir là… non, c’était tout bonnement incontrôlable… Déviant ma main sur les boutons de son jean je commençais lentement à les défaire comme au bon vieux temps tout en le poussant alors vers le lit. Le lâchant, je lui lançais un regard aguicheur et amoureux le faisant tomber sur le lit avec moi roulant sur le coté, nous retrouvant alors face à face. Plaquant mon corps contre le sien, je passais alors une jambe entre les siennes sans difficulté plaquant ma cuisse contre son membre bougeant alors ma cuisse comme il y a huit ans, sur son membre totalement durcit… Et… Beaucoup plus gros que dans mes souvenirs.
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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeMer 18 Mai - 21:58
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You make me feel like I’m living a teenage dream

Quelle vie Cassie et moi aurions nous vécut si nous avions eus la chance de ne jamais être séparés comme nous l’avions malheureusement été, huit ans plus tôt ? A n’en pas douter, nous serions mariés et déjà parents d’au moins un enfant. Oui, pour ma part, je ne doutais pas le moins du monde sur ce point là. Nous aurions sans doute même eus notre propre maison pour voir grandir nos enfants et nous aurions été pleinement heureux. Mais ses parents en avaient décidés tout autrement en nous séparant de la sorte. Chose que je supportais toujours aussi peu. Comment pouvait-on encore trouver des gens aussi horribles qu’eux, de nos jours ? A vrai dire, aussi atroce que cela pouvait être, j’étais ravi d’apprendre que son père était mort et que sa mère était gravement malade. Je savais bien que ce n’était vraiment pas une chose qui se faisait que de se souhaiter ou fêter carrément, la mort de qui que ce soit. Mais c’était là tout ce qu’ils m’inspiraient pour être honnête. Comment les apprécier ou les supporter un tant soit peu ? Il fallait être complètement masochiste. Or je ne l’étais pas vraiment. A part si l’on pouvait considérer l’amour comme un acte masochiste. Car là … Je me donnais à cœur joie et pleinement dans notre relation, pour l’aimer comme je l’avais aimé pendant quatorze ans et qu’elle m’aime en retour, de la même façon. Parce que même si nous prenions le risque de souffrir atrocement comme durant ces huit dernières années, au moins nous ne pouvions que connaître un amour et un bonheur sans la moindre petite faille et parfaitement exacte et parfait ! Il était plus qu’évident que nous étions faits l’un pour l’autre, jusqu’au bout des doigts. Nos caractères étaient compatibles et nos corps … Plus encore. Oui, nous étions parfaitement accordés c’était d’une évidence imparable. Et je devais bien reconnaître que cela seul pouvait suffire à mon bonheur. Comment pouvait-il en aller autrement en même temps ? C’était tout bonnement impossible. Il suffisait que nous passions un moment, plus ou moins long, ensemble, pour que nous soyons pleinement et parfaitement heureux, dans les moindres détails. Aucun problème pour cela. Oui, c’était certain, Cassie me rendait heureux et elle était bien capable à avoir cette capacité là. Certes j’avais aussi Billie, ma sœur. Mais cela n’avait strictement rien à voir. Nous n’avions pas le même amour l’un pour l’autre évidemment. Et en plus de cela, nous n’étions pas proches de la même façon, entre autres choses. Ca avait toujours été Sissie et Than et personne d’autre. Ou du moins, les autres n’étaient pas constamment collés avec ces deux là. Evidemment à présent, rien ne poussait à croire qu’il en irait autrement.

Plus le moment passait en cet instant, alors que j’étais dans sa chambre, et plus je pouvais sentir la tension sexuelle augmenter encore et encore et monter en pression. Difficile de passer à côté de l’envie qui nous habitait l’un comme l’autre. Et ça avait toujours été ainsi. Du moins durant les deux dernières années de notre relation, lorsque nous étions alors en âge de connaître ce genre de choses. Le fait que nous n’ayons pas eus le temps d’aller jusqu’au bout en faisant l’amour, ne pouvait que nous avoir grandement frustrés l’un comme l’autre. A présent que nous étions adultes tous les deux, nous ne pouvions que nous désirer comme jamais et avoir envie l’un de l’autre à un point fou. Il suffisait d’un simple et bref regard échangé, pour que l’envie nous enflamme l’un comme l’autre. Pour autant, nous faisions preuves d’une force assez surprenante et incroyable puisque nous ne nous étions toujours pas emballés depuis nos retrouvailles, peu de temps plus tôt. Certes, quelques heures auparavant, nous avions faillis nous embrasser mais ma sœur était arrivée juste à ce moment là. Et dans mon bar aussi, le jour même de nos retrouvailles, nous avions faillis craquer, malheureusement interrompus par un client juste au mauvais moment. Entendant la voix de Cassie s’élever dans le léger silence de la pièce, je tournais à nouveau le regard vers elle en parcourant longuement et lentement son corps du regard. Corps à peine recouvert par une fine serviette éponge qui ne demandait qu’à tomber sur le sol pour découvrir son corps nu par plus que parfait, je ne pouvais en douter un seul instant. Oui … Ma Cassie avait toujours été merveilleusement belle. Et cela n’avait pas le moins du monde changé. Elle me demandait si elle faisait tomber ladite serviette ou si je m’en chargeais. Cela ne m’étonnais vraiment pas d’elle … Elle était toujours la même sur ce point là et ça me plaisais démesurément il fallait bien l’avouer. Sans la quitter du regard, je lui demandais alors si elle était en train de me demander de la déshabiller, la regardant s’éloigner de moi en se mouvant de façon on ne peut plus sensuelle et charmeuse. « Hum oui, d’habitude je ne te demande pas, tu le fais de toi-même… Mais là, tomber ma serviette… Hum, j’ai toujours aimé que tu le fasses… Sentir tes doigts entre mes seins, la serviette tombé au sol… tes mains agrippant mes fesses me soulevant contre toi… mes jambes s’enlacer a ta taille… Hum… Oui déshabille moi…. » Me figeant quelque peu sous l’afflux du désir, je déglutissais longuement en lui lançant un regard enflammé par l’envie d’elle que j’avais en moi. Une envie qui prenait le pas sur tout le reste et me faisait absolument tout oublier. Tout ce qui n’était pas elle, notre relation, et notre envie que nous avions l’un de l’autre.

« J’aime bien me faire croire que je suis plus fort que mon envie d’agir … » Soufflais-je doucement en la regardant avec envie, me passant rapidement la langue sur les lèvres avant de jeter un bref regard à ma montre. « Je me donne cinq minutes … » Ajoutais-je en souriant faiblement en coin, mon regard descendant malgré moi sur sa poitrine dont la forme était parfaitement dessinée sous la serviette. Sa poitrine qui m’apparaissait bien plus opulente que quelques années plus tôt. Elle ne devait plus se plaindre de sa petite taille, à n’en pas douter, à présent. Non … Plus la moindre raison de se plaindre. Au contraire même. A l’image de tout le reste de sa petite personne et de son corps, sa poitrine était parfaite et un simple regard vers elle suffisait à m’exciter de façon intense. Un moment plus tard, comprenant par ses paroles qu’elle comptait me maintenir prisonnier chez elle, sans doute dans sa chambre plus exactement, je lui demandais si c’était bel et bien le cas.[color:9e60=indianred« Peut être bien que oui…. Peut être bien que non… Tout dépend si tu es sage ou méchant avec moi… Hum… »] A son regard, je n’eus aucun mal à comprendre ce qu’elle entendait par là. Une nouvelle bouffée de désir me saisit avec brutalité, mon regard se voilant d’envie. Comment faisais-je pour lutter contre mon envie d’elle ? Je n’en n’avais pas la moindre idée et honnêtement, je doutais de plus en plus de pouvoir tenir encore bien longtemps de la sorte. Nous n’étions pas faits pour lutter éternellement contre un seul et même désir. Nos corps avaient cruellement l’envie et le besoin d’être liés, mêlés l’un à l’autre. « Dans ce cas … Je vais être méchant. Je vais être …Très, très méchant … Tu devras me punir … En m’enfermant dans ta chambre … » Dis-je doucement en lui lançant un regard entendu et rempli d’envie indestructible et bien présente. Un désir qui ne demandait qu’à être assouvit. Il était clair que ce n’était qu’une question de temps. Peut-être bien moins de temps que ce que j’avais initialement pensé. Si au départ je m’étais attendu à ce que nous ayons besoin de plusieurs semaines, à présent … Je penchais plus vers quelques minutes. La situation ne prêtait pas à ce que je parte comme j’étais venu. Je ne pouvais décemment pas la laisser là alors que je sentais bien qu’elle avait tout autant envie de moi, que moi-même j’avais envie d’elle. Autant dire que ce désir provoquait une tension sexuelle des plus palpables. Encore un peu, et cette tension en créerait presque des ondes de désir et d’attirance, visibles à l’œil nu. Oui, cela pouvait paraître des plus étranges et franchement stupides. Mais c’était une façon de dire combien nous nous désirions tous les deux. Et ça avait toujours été ainsi entre nous. Du moins depuis que nous étions en âge d’éprouver du désir pour le sexe opposé. En âge de nous voir en tant que fille et jeune garçon et non pas de personnes qui se considéraient presque comme de la même famille, tout simplement.

Souriant toujours, je la rejoignais de son côté du lit, pour lui tendre son portable sans la quitter de mon regard brillant de désir. Alors qu’elle me disait ne plus croire au destin, je ne pu que lui faire remarquer les nombreux hasards qui nous avaient à nouveau réunis tous les deux, dans cette ville où nous avions toujours vécut l’un près de l’autre, jusqu’à il y a huit ans. Pour ma part, je n’avais jamais vécut ailleurs qu’à Sydney, contrairement à elle qui avait donc connu les Etats-Unis. Depuis toujours, je n’étais pas particulièrement fan de ce pays qui avait la fâcheuse tendance à se prendre pour le maitre du monde. Mais depuis huit ans, c’était pire que tout puisque j’en étais même venu à détester cette partie immense et non négligeable du continent américain. Comment aimer ce pays alors qu’il m’avait volé la seule femme que j’aimais, ma raison de vivre, celle pour qui je donnerais ma vie et plus encore ? Je n’en savais rien. Et honnêtement, même s’il y avait une réponse, je ne voulais même pas la savoir car je ne tenais pas à ‘pardonner’ à ce pays que je haïrais forcément toujours. Oui, toujours … « Dis de la sorte… Je crois que je vais commencer à y croire a nouveau… On voulait nous réunir… Et c’est surement chose faite… même si ce n’est pas totalement comme avant encore… » Souriant en coin, je lui lançais un regard tendrement moqueur, comme j’avais l’habitude de le faire dans le passé, lorsque j’avais envie de la taquiner doucement en me moquant d’elle, sans que ce soit par méchanceté pour autant … Mais bel et bien de façon amoureuse. « Peu importe ce qui nous a réunis … Tout ce que je vois c’est qu’à présent, nous sommes bel et bien réunis Sissie … » Dis-je d’une voix douce, sans la quitter de mon regard amoureux et attendri. La regardant s’approcher de moi, j’en perdis mon sourire tant l’envie reprenait le dessus sur tout le reste. Déglutissant longuement, le souffle coupé, je me passais lentement la pointe de la langue entre les lèvres, baissant le regard vers les siennes avec l’envie cruelle de l’embrasser. Huit longues années que je n’avais pas eus droit à ne serait-ce qu’un simple baiser de sa part. Autant dire que c’était difficilement acceptable. Pour ne pas dire pas du tout acceptable ! En apprenant qu’elle avait prévu de m’envoyer un message, je lui demandais alors d’une voix douce et caressante ce qu’elle y aurait dit, demandant si ça aurait été pour me demander de la rejoindre ici même. « hum… Peut être bien que oui… Peut être bien que non… Peut être que je t’aurais simplement envoyé un petit message comme à l’époque… Un message bien chaud… Tu sais ce genre de message qui te faisait tellement d’effet que tu devais t’absenter dans la salle de bains pendant quelques minutes… »

Mon cœur battant la chamade à ses paroles, je commençais à avoir sérieusement chaud à l’entendre parler de la sorte et mentionner des moments aussi … Sexe soient-ils. Fermant les yeux, je déglutissais à nouveau avec difficulté tant ses paroles avaient le don de m’exciter davantage encore. Quelle tentatrice … Douce et merveilleuse tentatrice que j’aimais tant … Elle n’avait vraiment pas changé sur ce point là. Souriant en coin, j’entrouvris les yeux pour la regarder avec envie et taquinerie. « Oh oui … Le genre de messages dans lesquels tu disais ce que tu étais en train de faire avec tes doigts ? Ou plutôt le genre dans lesquels tu me disais tout ce que tu voulais que je te fasse ? » Demandais-je d’une voix rendue rauque par le désir des plus insoutenables. Il n’avait de cesse en croitre en moi, au point que j’en venais à songer qu’il n’était plus qu’une question de secondes avant que je ne lui bondisse dessus tel un sauvage en manque cruel de sexe, pour la prendre sauvagement et passionnément sur son lit. Ma résistance était inhumaine … Sentant ensuite ses lèvres sur ma joue, je fermais les yeux, lèvres entrouvertes sous l’envie de tourner le visage et les plaquer sur les siennes sous le coup de l’excitation. Si je ne m’écoutais pas … Nous serions déjà en train de faire l’amour comme des bêtes. Oh ça oui … Et ça ne saurait tarder à vrai dire. Mon nez frôlant le sien, ses ongles griffant doucement mes mâchoires, mon souffle me manqua cruellement. Sous l’excitation qu’elle provoquait en moi, je me plaquais totalement contre elle en la serrant contre moi, me foutant qu’elle sente, physiquement parlant, le désir que j’avais pour elle. Avec une lenteur exaspérante, je remontais ensuite l’une de mes mains le long de son corps, passant sur sa poitrine sans me priver un seul instant. C’était beaucoup trop tentant pour que je prenne la peine de retenir cette envie subite. Après avoir fait la remarque que je n’avais pas eus droit à ces lèvres depuis huit longues années, je plaquais les miennes sur les siennes avec force et puissance, sous l’envie devenue tout simplement incontrôlable. Ma langue ne tarda pas à se faufiler entre ses lèvres pour trouver la sienne et la presser avec insistance, le souffle coupé par le seul plaisir de ces retrouvailles. La sentant répondre à mon baiser avec tout autant d’empressement que moi, j’empoignais fermement sa serviette d’une main sous l’excitation, la laissant ensuite tirer sur mon haut pour le retirer avec agilité. Sous ses mains caressant et tâtonnant mon torse, je ne pu que lâcher un très bref gémissement en la regardant avec une envie grandissante. « Huit ans que j’en rêve aussi…. Putain Than… Ton torse… Tu ne l’as pas négligé… Vraiment pas… » Gémissant de plaisir et d’excitation à ses paroles, je la laissais attraper mon jean pour m’attirer à nouveau à elle, répondant à son baiser avec tout autant de fougue et d’ardeur qu’elle-même.

Le souffle coupé, je relevais avec lenteur, une main, pour passer un doigt entre ses seins, redressant la tête pour la regarder en souriant en coin, baissant alors un vague regard sur la serviette que je tirais avec lenteur, la regardant se détacher de son corps presque au ralenti. Ses mains tirant doucement mes cheveux, son corps bougeant lentement contre le mien, ces baisers enflammés, son corps nu parfaitement offert à ma vu, juste tout contre moi … J’étais en train de mourir de plaisir, si tant est que cela soit possible. Et dans le cas où ce serait impossible … Eh bien elle le rendait possible, point ! « Et toi c’est ton corps tout entier que tu n’as pas négligé … Dieu que tu es … wow … Excitante, belle et parfaite. Bordel ma Sissie tu es magnifique … Merveilleuse ! » Soufflais-je d’une voix rauque et étranglée tant le désir était puissant et intense. La sentant défaire les boutons de mon jean, je cru mourir de plus en plus sous l’envie et l’excitation qui continuaient de grandir en moi. Mon corps me paraissais presque douloureux tant il la réclamait, tant il avait besoin du sien, tout entier. Nous n’avions pas le droit d’infliger cela à nos corps qui ne demandaient rien d’autre que d’être réunis. Souriant en coin, je la laissais me pousser pour que nous tombions tous les deux sur le lit, nous retrouvant alors face à face. Sa cuisse contre mon membre totalement durcit, je lâchais un bref gémissement en la regardant avec envie, posant une main sur sa taille pour caresser sa peau avec extrême lenteur, passant sur ses hanches pour aller s’égarer sur son bassin, remontant à l’une de ses fesses pour monter encore sur ses reins puis son dos. Aux mouvements de sa cuisse sur mon membre, je ne pu que réagir avec force tant j’avais envie d’elle, ne tardant pas un instant à me redresser pour la faire basculer sur le lit, l’allongeant sur le lit et m’étendant moi-même sur elle, la bloquant totalement de mon corps plus large et plus imposant que le sien si frêle et fragile. Plaçant ma jambe entre les siennes, je les écartais légèrement avant de me redresser pour me placer, les jambes entre les siennes, pressant alors mon membre contre son intimité, en donnant de brefs coups de reins pour l’exciter davantage encore, si tant est que ce soit possible, me tuant moi-même au passage. Le souffle coupé et le cœur battant la chamade, je posais une main sur sa cuisse pour la remonter avec lenteur en caressant longuement sa peau du plat de ma main, arrivant enfin à l’un de ses seins que j’entrepris de caresser et masser avec extrême lenteur, comme s’il s’était agit d’un bien de très grande valeur. Dans le fond, ce n’était pas bien loin de la vérité. Après tout … elle avait une terriblement grande et puissante valeur à mes yeux … Ma Sissie. Mes lèvres toujours les siennes comme totalement incapables de s’en détacher, bien trop ravi de les retrouver enfin après tout ce temps, je ne cessais de répéter inlassablement se surnoms d’une voix caressante et rauque. « Ma Sissie, ma princesse … »
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R. Hallibel Snezava
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✔ AGE : 18 ans
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Car personne d'autre n'a le droit de changement mon univers !


✔ HUMEUR : Rêveuse
✔ EN JEUX : Pas pour le moment
✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre
✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."




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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeVen 20 Mai - 0:18
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« J’aime bien me faire croire que je suis plus fort que mon envie d’agir … » Souriant en coin, je le suivais lentement du regard avant de me reculer pour éteindre et ferme la porte de la salle de bains. Je savais que Than n’était pas réellement patient… surtout au niveau du sexe… Combien de fois il m’avait plaquait contre un mur au lycée pour me faire quelques coups de reins discrètement pour me rendre totalement folle ? Combien de fois il m’avait trainé aux toilettes pour soulever ma jupe et glisser ses doigts sous mon tangua ? Combien de fois il m’avait susurré des mots on ne peut plus excitant en plein cours ? Je me le demande bien… Question sexe, Gaylwen était le moins patient… Mais il était clair que quand je m’y m’étais… J’étais parfois pire que lui… Voir plus vicieuse… « Je me donne cinq minutes … » souriant de plus belle, il était bien optimiste ce garçon… cinq minutes ? Il ne tiendrait pas cinq minutes, je le savais, il le savait, nous le savions tous les deux. Cinq minutes c’est bien trop long pour lui. A l’époque c’est tout juste s’il tenait trente secondes, alors cinq minutes… Me mordillant la lèvre je ne pus m’empêcher de le regarder de haut en bas ayant très chaud sous son physique des plus parfait… « Moi je t’en donne moins, tu n’as jamais été réellement patient question sexe Gaylwen chéri… » Soufflai-je d’une voix des plus coquine. Coquine a souhait… Le regardant a nouveau, je ne pu qu’être heureuse de le voir là et je ne voulais pour rien au monde le voir partir… Non, je voulais qu’il reste, comme au bon vieux temps, qu’il se faufile sous la couette avec moi que nous nous amusions a faire des frivoles la dessous, je voulais ses mains sur mon corps, les miennes sur le siens, bref je voulais du sexe, je voulais des cris, de la sueur, je voulais son corps, je le désirais, je l’aimais, je voulais le faire mien… Sans pouvoir m’en empêcher je lui annonçai alors que j’étais capable de le garder auprès de moi ne voulant pas qu’il parte de ma chambre… « Dans ce cas … Je vais être méchant. Je vais être …Très, très méchant … Tu devras me punir … En m’enfermant dans ta chambre … » haussant un sourcil, je le détaillais de haut en bas avant de me mordre la langue avec force et conviction comme pour m’empêcher de lui sauter dessus sur le champ.

Oui je devais me contenir et avoir un minimum de décence… On ne pouvait pas craquer de la sorte et si rapidement, on ne pouvait pas faire cela de la sorte… Inspirant et expirant a plusieurs reprises, je le regardais en coin ne cessant de sourire comme une idiote.. J’imaginai tellement de chose… oui, l’attacher aux barreaux de mon lit, avec sensualité, le tenant fermement contre moi, l’embrassant et lui faisant alors vivre la meilleure nuit de toute sa vie… Oui je me voyais parfaitement le déshabiller lentement pour lui faire comprendre ce qu’il allait enfin subir… je voulais toucher son corps du bout de mes doigts, ne faisant rien d’autre, juste caresser de mes doigts son corps évitant précautionneusement son membre pour le voir durcir d’envie, je voulais a tout prix le rendre dingue l’entendre me dire de lui faire l’amour, de le caresser de le toucher, n’importe quoi tant que cela concernait son membre que je désirais tant et voulais tant.. L’embrasser lui gémir a l’oreille, faire de nombreux bruit, le lécher partout le dévorer, le croquer, le manger tout cru et m’assoir sur lui pour le chevaucher sans aucune gène, la faire glisser entièrement et longuement en moi, je voulais qu’on fasse l’amour, je voulais que lui et moi on puisse jouir ensemble, que nos cris retentissent dans la pièce, que le lit claque avec force sur le mur je voulais que les voisins viennent se plaindre a cause du bruit et du vacarme que l’on faisait… Mais il ne fallait pas non plus que je prenne mes rêves pour des réalités… Il faudrait déjà qu’il ait envie d’être attaché hors c’était surement loin d’être le cas, je pense… Inspirant longuement je passais ma langue sur mes lèvres en lui lançant un regard remplit de désir totalement envouté par lui. « Oh oui…Sois méchant… Je vais te séquestrer… t’enlever pour toujours… Faire de toi mon esclave sexuel, t’attacher aux barreaux de mon lit, te chevaucher comme personne ne te l’as fait… » Dis-je en plissant le nez rien qu’à l’idée de savoir qu’une ou plusieurs femme l’avaient alors chevaucher alors que moi j’en rêvais… J’aurais du être la première, j’aurais dû être la seule a pouvoir le toucher lui faire l’amour… Aucune autres fille n’auraient dû le toucher… J’en avais presque des envies de meurtres de savoir qu’il avait couché avec des femmes… Mais est ce que je pouvais lui en vouloir ? Il restait malgré tout un homme… Mais au bout de combien de temps avait-il craqué ?

Est-ce qu’il avait tenu quatre longues années comme moi ? Ou cela se jouait en mois ? Semaines ? Jours ? Non surement pas en jours c’était tout bonnement impossible pour ça… J’osais espérer qu’il ait tenu plusieurs années comme moi, mais à mon avis je rêvais un peu trop, comme toujours je pense… soupirant longuement, on en vint alors a parler d’un autre sujet. Le destin. Comme si je pouvais y croire… Mais lui il y croyait à nouveau, pourquoi ? Car tout simplement nous venions de nous retrouver… Dans un sens c’était parfait, après tout on s’aimait, on s’aimait du plus profond de nos cœurs, on était fait pour être ensemble, mais, la séparation m’avait on ne peut plus briser le cœur… J’étais triste, anéantit, j’étais une shooté de la clope et de l’alcool, ma vie avait prit une toute autre tournure que si je n’avais pas été séparé de Than… Je savais pertinemment qu’il n’aimait pas l’alcool, surtout aux vus de ce qu’était son père… Et j’avais foirée mais a l’époque je n’avais pas réellement choisi, je n’avais pas réellement réfléchis aux conséquences et au fait que je reverrais surement un jour l’unique, le seul homme de ma vie…Mais la vie était faite ainsi, elle prenait des tournures, elle nous faisait mal puis nous rendait plus ou moins notre bonheur… Est-ce qu’aujourd’hui le fait que je retrouve Than était une sorte de bonheur ? Je l’espérai de tout cœur car je ne voulais plus jamais le perdre… J’étais éperdument amoureuse de lui… « Peu importe ce qui nous a réunis … Tout ce que je vois c’est qu’à présent, nous sommes bel et bien réunis Sissie … » Frissonnant a ce surnom, je lui lançais un regard remplit d’envie et de désir pour lui. Passant ma langue sur mes lèvres je ne pu m’empêcher de sourire. Il me rendait heureuse, oui tellement heureuse comme jamais, a ces côtés j’étais épanouit, je me sentais tellement bien, vivre pleinement comme si la vie était facile et sans embuche alors qu’on savait lui comme moi qu’elle était pourri la vie… Du moins pendant huit longues années. Huit longues années ou notre vie fut des plus pourries, ou nos vies n’étaient pas réellement ce qu’elles auraient du être au final… Mais bon pourquoi se plaindre ? Pourquoi gindre ? Pourquoi en faire tout un plat alors que maintenant, dès a présent j’étais plus ou moins a nouveau avec l’homme de ma vie, il était là devant moi, il était rentré a nouveau dans ma vie, drôle de vie soit dit en passant puisque nous, nous étions retrouvés tous les deux blonds… un signe ? Bien sur que oui, destin de fou… On était fait pour être ensemble, totalement ensemble… On le savait lui comme moi c’était une évidence irréfutable.

Gaylwen et Shanae le couple de l’année, du monde du pays, de tout… On était fait pour être ensemble, on se complétait et on ne pouvait pas vivre l’un sans l’autre…souriant doucement, je ne pus m’empêcher de le regarder longuement avant de ranger mon téléphone marmonnant que j’allais lui envoyer un message, mais que sans téléphone c’était on ne peut plus difficile. Me demandant ce que j’allais lui envoyer comme messages, je ne perdis pas de temps a lui dire que j’allais lui envoyer le genre de message que je lui envoyais avant il y a huit ans avant que l’on nous sépare… « Oh oui … Le genre de messages dans lesquels tu disais ce que tu étais en train de faire avec tes doigts ? Ou plutôt le genre dans lesquels tu me disais tout ce que tu voulais que je te fasse ? » Me mordillant doucement les lèvres, je lui lançais un regard des plus torride pour le faire fondre sur place. Il n’avait rien oublié, nos nombreux messages ou l’on nous chauffait de plus en plus et surtout a qui sera le premier à craquer… je me souvenais parfaitement de nos appels par la suite quand l’un ou l’autre ne pouvait pas venir. En général c’était lui qui venait chez moi car c’était plus facile contrairement avec ces parents… Mais quand il nous arrivait de ne pas pouvoir bouger on passait nos soirées sur le téléphone a se textoter ou alors a s’appeler a voix basse et a se tuer l’un et l’autre… Combien de fois nous étions nous soulager l’un et l’autre au téléphone cherchant à tuer l’autre ? Nous étions après tout deux adolescents… Nos nombreuses nuits à dormir l’un contre l’autre et se lever avant tout le monde pour qu’il puisse rentrer chez lui avant que ses parents ne s’aperçoivent de quelque chose… Mais beaucoup trop de fois nous ne nous réveillons pas préférant rester dans les bras l’un de l’autre à se murmurer des mots doux s’embrasser se chauffer et prendre une longue douche… Arrivant même en retard en cours… « Hum, je vois que tu n’as pas oublier les fameux sujets de nos conversations… Hum… J’opte pour les deux… Ma petite main sous ma culotte… Et toi… A faire ce que je te demande de faire… ça m’a toujours excitée tu le sais ça ? » soufflai-je doucement en me collant un peu plus contre lui tout en lui lançant un de ms regards aguicheurs. L’embrassant sur la joue, je me déplaçais dangereusement vers sa bouche sans pour autant l’embrasser, voulant le tuer plus que de raison avec mes lèves. Nous embrassant enfin alors qu’il m’annonçait que ça faisait huit ans qu’il n’avait pas goutté à mes lèvres, notre baiser se voulu passionné et légèrement sauvage. Sentant ses doigts passer entre mes seins, je me figeais sous l’afflux de plaisir.

Mon corps frissonnant comme jamais, je le regardais longuement sentant alors la serviette descendre le long de mon corps. Déglutissant longuement je me retrouvai nue devant lui sans aucune gêne, je n’avais jamais été pudique avec lui… Non absolument jamais… « Et toi c’est ton corps tout entier que tu n’as pas négligé … Dieu que tu es … wow … Excitante, belle et parfaite. Bordel ma Sissie tu es magnifique … Merveilleuse ! » Lui lançant un regard fiévreux, totalement remplit de désir et d’envie je me pinçai les lèvres en me collant de plus en plus contre lui. Je lui plaisais, oui je lui plaisais toujours et ça j’aimais, j’aimais terriblement qu’il puisse me trouver magnifique, parfaite... Excitante et j’en passe... C’était tout bonnement parfait. Attrapant son jean je défaisais lentement son bouton l’air de rien tout en lui lançant un regard totalement coquin et taquin. Je voulais le rendre fou encore plus fou que ce qu’il était déjà… Le poussant doucement vers le lit, je le laissais tomber venant à ses côtés en plaçant alors rapidement ma jambe entre ses cuisses touchant alors son membre plus que durci. Dieu que j’avais envie de lui, dieu que je voulais le déshabiller rapidement pour le voir nu, oui nu et totalement offert à moi… Le sentant réagir sur le coup je me sentis plaqué sur le lit, lui lançant u regard totalement envouté par lui le laissant alors faire. Gémissant longuement en cambrant le dos, sentant sa jambe entre les miennes, je le laissais se placer sur moi entre mes jambes. Les écartant un peu plus en les relevant je penchai la tête en arrière en sentant alors ses coups de reins. Lui lançant un regard totalement amoureux mais à la fois surprise car ces coups de reins m’avaient manqué, je posais mes mains sur ses épaules tout en l’embrassant longuement, comme impossible de me détacher de lui. Déglutissant de plus en plus je frissonnais en sentant alors sa main sur ma cuisse remontant lentement sur mon corps se posant alors sur mon sein. Celui-ci durcissant violemment de plaisir, je cambrais le dos sous l’afflux de plaisir en poussant un léger cri de plaisir tout en me redressant comme pour mieux me rapprocher de lui. L’embrassant un peu plus je glissais une de ses mains entre nos corps, aimant entendre les surnoms qu’il me disait. Attrapant son jean je le tirais longuement défaisant totalement celui-ci.

« Ma Sissie, ma princesse … » Poussant un nouveau petit cri, j’attrapai ses lèvres de mes dents les mordillant avec franchise en glissant franchement ma main sous son boxer attrapant alors son membre. Me figeant sur le coup, je cessais de bouger le temps de quelques secondes avant de serrer plus franchement son membre de ma petite main. Plongeant mon regard dans le sien, je posais mon front contre le sien tout en gémissant sous l’afflux de plaisir. « Than… Huit ans… Tu… hum à bien évolué… hum… Gaylwen… Je t’aime…Hum… tu as tenu, quatre minutes, pas cinq au fait… » murmurai-je doucement en commençant de lent vas et vient découvrant lentement son anatomie … Une anatomie qui avait changé, qui avait grandit, huit ans… ce n’était pas rien… Vraiment pas… Léchant mes lèvres, je déposais a multiples reprises mes lèvres sur les siennes avant de glisser sous son corps comme je savais si bien le faire a l’époque… Léchant lentement son torse tout en le griffant je me stoppai au niveau de son membre lui baissant alors le pantalon avec douceur et sensualité. Le laissant alors en boxer, j’empoignai doucement ses fesses avant de frissonner longuement. « Putain quel cul… Musclé, petit, ferme, bordel… » sans attendre je soufflai sur son membre allant pour l’embrasser quand tout a coup des coups se firent entendre à la porte. Me figeant violemment je tournais un vague regard vers ma porte. « Shanae ? Tu es là ? Shanae ? Ouvre la porte, Shanae ou est ton père ? Et Luke ? » Remontant silencieusement j’embrassais doucement Gaylwen en lui faisant un regard désolée. Me redressant j’attrapai ma serviette en lui montrant la porte de la salle de bains. Lui ouvrant je le laissais passer dedans planquant ses fringues sous ma couette. M’enveloppant dans la serviette de bains, j’ouvrai ma porte la déverrouillant lentement avant d’ouvrir lentement la porte. « Nikkie, j’allais au lit quoi ? Papa et Luke ne sont plus ici… Morts, dégage stp… Non en fait dégage et vite ! » Dis-je d’une voix claquante et menaçante comme jamais. Je savais que Gaylwen m’entendait… Et si oui ça devient bien être la première fois qu’il devait m’entendre dire et parler de la sorte… Je n’étais pas vraiment méchante, mais mes parents m’avait poussé à bout a tel point que je n’avais plus aucun respect pour eux. Du moins pour elle qui était encore en vie. « Je… Ou est ma chambre ? Ou suis-je ? »

« Oh putain de merde t’as décidé de gâcher ma vie même après tout ce temps ? Putain mais… » L’attrapant par le poignet je claquais violemment la porte de la chambre la faisant alors descendre les escaliers assez rapidement ignorant alors ses cris de me demander de la lâcher. La mettant dans sa chambre je claquais sa porte tout aussi violemment que la mienne en restant là sans trop savoir quo faire. Comment aller réagir Gaylwen… Il ne m’avait jamais vu dans un état de nervosité si intense… Déglutissant longuement je tournais sur moi-même en tombant sur le bar. Non… Non… Pas d’alcool je lui ais promis… Tremblant violemment, je détournai le regard filant alors vers les escaliers pour les monter lentement le corps tremblant sous l’énervement mais surtout l’envie de me calmer par une clope et un verre… Arrivant dans ma chambre je claquais doucement la porte la fermant a nouveau a clé avant de soupirer doucement. Filant vers la salle de bains je tombais sur Gaylwen, le regardant droit dans les yeux. « Désolée… Que tu ... ais du assister à ça Than… Je… tu as pu voir quelle… est bien malade… vivement qu’elle se casse… » soufflai-je avant de me blottir dans ses bras tout en l’embrassant alors a nouveau dans un baiser simple, doux comme pour me consoler dans ses bras, le plaisir remontant petit à petit ne demandant qu’à éclater.
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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeVen 27 Mai - 14:43
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You make me feel like I’m living a teenage dream

« Moi je t’en donne moins, tu n’as jamais été réellement patient question sexe Gaylwen chéri… » Riant doucement, je lui adressais un regard taquin, sachant parfaitement pourquoi elle disait cela. Je ne pouvais que reconnaître qu’elle avait on ne peut plus raison. Il était on ne peut plus vrai que je n’avais jamais été patient concernant le sexe avec elle. Il fallait dire qu’elle avait toujours eu le don de m’exciter comme personne. Il suffisait de quelques mots bien précis, d’un ton de sa voix, d’un regard, d’un mouvement, d’un parfum, pour que je décolle et ais envie d’elle comme jamais. Il fallait alors que je réponde à mon désir le plus vite possible, n’étant vraiment pas patient dans un moment pareil. Aussitôt, nous devions trouver une solution et si pour cela, je devais l’entrainer dans un coin sombre pour la caresser et qu’elle me caresse en retour, eh bien je le faisais sans problème. Je ne comptais plus le nombre de lieux insolites que nous avions baptisés en dehors de sa chambre et de sa douche. Il y avait eut plusieurs toilettes du lycée, une salle de classe vide, un couloir pendant les cours, la cours derrière un bosquet, divers endroits du parc, mon jardin lorsque seule ma mère se trouvait dans la maison, la salle de cinéma, les toilettes du cinéma et encore un tas d’autres lieux de ce genre, tous plus farfelus les uns que les autres. Sans parler de la fois ou nous nous étions planqués sous ma couette en pleine journée, profitant qu’il n’y ait personne dans la maison. A l’arrivée de ma mère dans la maison, nous avions faits moins de bruits mais avions été incapables de nous arrêter pour autant. Et généralement … Oui c’était toujours moi qui craquais le premier lorsqu’elle se faisait elle-même un peu trop pressante et qu’elle avait les mains quelque peu baladeuses. Je n’ignorais pas qu’elle aimait me tester et voir mes réactions, lorsqu’elle plaquait sa cuisse contre mon entre jambe alors que nous étions en train de nous embrasser sagement dans quel que lieu que ce soit. Ou les repas partagés avec d’autre personne, lorsqu’elle s’amusait à me faire du pied sous la table jusqu’à poser son pied sur mon entrejambe pour le presser avec douceur et me lancer des regards taquins lorsque mon membre durcissait. Ou encore, lorsqu’elle posait une main directement sur mon entrejambe pour l’empoigner jusqu’à le faire durcir, avant d’ouvrir mon pantalon et y faufiler sa main et me caresser avec insistance sans que personne ne le voit. Soupirant doucement, je lui lançais un regard brillant de désir, me passant la langue sur les lèvres en luttant fortement pour ne pas lui sauter dessus, aussi rapidement. « Hm … On verra ça … » Dis-je d’une voix douce et caressante en sachant parfaitement qu’elle avait raison et que je finirais par craquer dans bien moins de cinq minutes.

Continuant la conversation qui tourna une nouvelle fois autour du sexe, je ne pu m’empêcher d’être un peu plus excité encore, lorsqu’elle mentionna le fait qu’elle m’enfermerait dans sa chambre si je venais à être méchant. Avec une telle promesse, comment ne pas vouloir être le plus méchant possible ? Surtout en comprenant le sens qu’elle donnait au mot méchant … Qui ne pouvait que tourner autour du sexe encore une fois. « Oh oui…Sois méchant… Je vais te séquestrer… t’enlever pour toujours… Faire de toi mon esclave sexuel, t’attacher aux barreaux de mon lit, te chevaucher comme personne ne te l’as fait… » On ne peut plus surpris et excité, je fermais les yeux en me mordant la lèvre, le souffle coupé par mon envie d’elle qui n’était que grandissante. Comment ne pas l’imaginer assise sur moi à me chevaucher d’abord lentement et tendrement avant de se faire sauvage, rapide et brutal, ses fesses claquant sur mon corps avec force, mon membre glissant inlassablement en elle, ses seins tressautant franchement. Merde elle allait vraiment me tuer … Rien qu’à l’idée je me mourais. « Devenir ton esclave sexuel … C’est un rêve de toute une vie ça. » Soufflais-je d’une voix étranglée par le désir, me passant une nouvelle fois la langue sur les lèvres en soupirant faiblement dans l’espoir inutile de retrouver mon calme. Mais je ne savais que trop bien qu’une fois lancés dans cet engrenage du désir, nous ne pouvions plus passer outre et faire mine de rien. Le désir ne partait pas aussi aisément que cela et je ne doutais pas que nous allions craquer avant mon départ de chez elle. Je doutais de pouvoir repartir sans même l’avoir embrassé. Comment résister à une telle tentation ? Elle était Eve, elle était elle-même le fruit défendu. Je ne pouvais tout simplement pas lui résister. Je n’en n’avais jamais été capable et je doutais de pouvoir l’être un tant soit peu, un jour. Résister au désir que provoquait la femme de notre vie, chez nous … Comment était-ce seulement possible ? Ca ne l’était pas. Non … C’était totalement et irrémédiablement impossible et j’en étais persuadé, intimement convaincu. Je n’avais jamais été capable de lui résister un tant soit peu et c’était fait pour durer ainsi, définitivement. Notre relation était ainsi et je ne tenais de toute façon pas à la changer d’une quelconque façon que ce soit. Pourquoi changer ce qui nous rend tellement heureux ? Ca aurait été bien bête … J’étais sans doute bête mais pas lorsque ça la concernait. Du moins, pas que je sache. Quoi que … L’amour et le désir rendent sans doute bête dans le fond. Mais là je ne voulais en rien changer ce fait. Être bête et tout ce qui s’ensuit, par amour ? Aucun problème là-dessus je l’assumais du tout au tout !

Mentionnant le destin qui était visiblement à nouveau de notre côté, je m’approchais d’elle en contournant le lit, pour lui rendre son téléphone portable qu’elle avait fait tomber et oublié chez moi. Quel coup du destin … A mes yeux, c’était gros comme une maison, même si elle-même ne voulait plus vraiment croire au destin mais plutôt penser que c’était un sacré hasard. Mais à mes yeux, trop de hasards, c’était bel et bien le destin. Et là … Je recommençais à l’aimer sacrément beaucoup ce sacré hasard. S’il recommençait à jouer en notre faveur, comment ne pas l’apprécier un tant soit peu ? C’était tout bonnement impossible bien entendu ! Tant qu’il faisait en sorte de nous rapprocher l’un de l’autre, Cassie et moi, cela me convenais plus que de raison. Et c’était bien ce qu’il semblait avoir comme projet pour tous les deux, depuis le retour de celle que j’aimais plus que tout, en ville, après huit trop longues années de séparation qu’elle avait elle-même passée aux Etats-Unis. Si le destin avait décidé de nous réunir à nouveau, je ne pouvais que croire que cela signifiait que nous étions toujours faits l’un pour l’autre malgré le fait que nous ayons changés et évolués tous les deux. Oui, malgré les changements, elle était toujours la femme de ma vie et moi, j’étais l’homme de sa vie. Changements ou pas changements ! En même temps comment aurait-il pu en être autrement alors que malgré les années qui venaient de passer, nous étions toujours aussi fous l’un de l’autre. Cette dure épreuve ne pouvait que fortifier davantage encore, notre lien pourtant si fort à l’origine déjà. La crainte de nous perdre l’un l’autre ajouté à notre amour des plus forts, ne pouvait que nous rendre plus inséparables que jamais. Plus encore que dans le passé ? J’ignorais si cela était possible. Mais nous verrions bien. Tout en lui rendant son téléphone portable, nous en vînmes à mentionner les texto qu’elle avait pu m’envoyer dans le passé, lorsque nous ne pouvions malheureusement pas nous voir, durant quelques soirées. A ce souvenir, une nouvelle flambée de désir s’empara de moi. Ses messages enflammés, ses promesses sexuelles, tout ce qu’elle me racontait à propos de ce qu’elle faisait et ce qu’elle voulait que je fasse. Je ne comptais plus le nombre de fois où j’avais du filer dans une salle de bains ou dans les toilettes de chez mes parents pour me soulager tant elle avait le don de m’exciter, même lorsque nous n’étions malheureusement pas physiquement ensemble. Cette fille était parfaite, j’étais fou d’elle et rien ne pourrait jamais changer cela. En même temps, comment ne plus aimer une telle merveille de la nature ? C’était tout bonnement impossible et c’était tant mieux car pour rien au monde je ne changerais mes sentiments ou le désir que j’avais à son encontre. Elle était ainsi, elle était mienne. Et rien ni personne ne pourrait jamais changer cela.

« Hum, je vois que tu n’as pas oublier les fameux sujets de nos conversations… Hum… J’opte pour les deux… Ma petite main sous ma culotte… Et toi… A faire ce que je te demande de faire… ça m’a toujours excitée tu le sais ça ? » Soupirant de bien être, je la laissais se coller à moi en me lançant un regard tout ce qu’il y a de plus aguicheur, la laissant faire en souriant faiblement en coin tant elle m’excitait et tant cette excitation me nouait la gorge. « Comment oublier hm ? Imaginer tes doigts se faufiler sur ton intimité … Dans ton intimité. Et ça m’a toujours excité aussi … » Répondis-je d’une voix caressante et rendue rauque par le désir que j’avais d’elle. Je crevais d’envie de la plaquer sur ce foutu lit pour lui faire l’amour comme j’en rêvais depuis des années. Ne plus me limiter à des préliminaires certes on ne peut plus excitantes et plaisantes, mais bel et bien aller jusqu’au bout et lui faire l’amour pour de vrai. Je voulais prendre pleinement possession de son corps, me l’accaparer, le faire mien comme jamais. Glisser en elle d’abord lentement et tendrement avant de me faire plus rapide et sauvage, la faire gémir et hurler de plaisir sous mes coups de reins, nos corps en sueur glissant sans fin l’un contre l’autre, nos souffles se heurtant, nos baisers enflammés et passionnés. Je voulais retrouver ce que nous avions déjà connu, et plus encore. Il était certain que je ne pourrais jamais me lasser de tout cela. La serrer contre moi, coller mon corps au sien, l’embrasser à en perdre haleine, lui faire l’amour encore et encore. Sentant ses lèvres sur les miennes, je ne pu que réagir aussitôt, l’embrassant alors avec fougue et ardeur, comme je ne l’avais pas embrassé depuis beaucoup trop longtemps à mon goût. Soupirant et gémissant faiblement, le baiser ce fit des plus ardant et sauvages, ma main ne tardant pas à libérer son corps de la serviette qu’elle portait, pour la laisser totalement nue et le corps offert à moi. Découvrant son corps du regard, je ne pu que gémir de désir et de surprise devant ce corps si différent de celui que j’avais connu et pourtant si parfait. Elle avait eut le temps de se former, de devenir une vraie femme en huit ans et ce n’était pas pour me déplaire. Une poitrine bien plus opulente, une taille fine, des hanches marquées, un bassin plus large … Comment ne pas avoir envie d’elle ? Sa main ouvrant alors mon jean après m’avoir retiré mon haut, je la laissais me pousser sur le lit pour s’allonger à demi sur moi, sa cuisse pressée contre mon membre totalement durcit par l’excitation qu’elle provoquait en moi. Incapable de rester de bois, je ne tardais pas à réagir en la plaquant à son tour contre le lit, l’embrassant plus sauvagement et ardemment que jamais.

Me plaçant rapidement entre ses jambes, je posais une main sur sa cuisse pour la remonter avec lenteur jusqu’à l’un de ses seins, caressant sa peau du bout des doigts avec extrême lenteur pour faire durer la torture. Gémissant doucement de désir, j’entrepris alors de donner de brefs coups de reins pour l’exciter davantage encore, sentant ses mains se poser sur mes épaules. Son sein durcissant sous ma main, je l’empoignais alors avec fermeté en lâchant un bref gémissement, ressentant le brutal désir d’y passer mes lèvres et ma langue, avant de le mordre avec force. Lâchant un bref gémissement, je posais ma main sous son sein en le maintenant toujours avec fermeté en passant lentement mon pouce sur sa pointe durcit, la laissant ouvrir franchement mon jean pour le faire glisser rapidement, me mordillant alors les lèvres avec force. Gémissant fortement d’excitation, j’en fis de même avec ses lèvres, me figeant franchement en sentant sa main se faufiler dans mon boxer pour empoigner fermement mon membre. Le souffle coupé, je redressais légèrement le visage pour plonger mon regard dans le sien, me passant rapidement la langue sur les lèvres, totalement rendu fou par le désir que j’avais d’elle. En cet instant, il n’y avait que nous. Nous, notre amour et notre désir. Oui, seul nous comptions comme jamais. Le monde extérieur n’était plus, il ne comptait plus et je m’en foutais royalement. Je voulais juste profiter pleinement de nos retrouvailles, voir même lui faire l’amour toute la nuit durant. Je ne voulais plus la quitter d’une quelconque façon que ce soit. Le souffle coupé, je fermais les yeux en gémissant longuement, totalement envoûté et excité, autant par elle et ce qu’elle provoquait en moi, que par sa main refermée et serrée sur mon membre qui ne demandait qu’à glisser en elle et le plus tôt possible. « Than… Huit ans… Tu… hum à bien évolué… hum… Gaylwen… Je t’aime…Hum… tu as tenu, quatre minutes, pas cinq au fait… » Le souffle coupé, gémissant doucement, j’entrouvris les lèvres en sentant son coup de langue sur celles-ci et les vas et vient qu’elle entreprit de sa main sur son membre. Souriant faiblement, je répondis à ses baisers en déposant tout autant qu’elle, de faibles baisers sur ses lèvres. « J’ai pris de la queue et toi de la poitrine Sissie chérie. Et pour ta gouverne j’ai tenu quatre minutes et seize secondes ! » Soufflais-je d’une voix rauque en lâchant rapidement un gémissement en la sentant glisser sous mon corps comme dans le passé, sachant parfaitement ce qu’elle allait faire. Fermant les yeux, je lâchais un long gémissement excité en me mordant la lèvre avec force pour me retenir de hurler tant tous ces gestes m’avais on ne peut plus manqué. Ses mains empoignant mes fesses, j’eu un faible sourire en coin en baissant la tête pour la regarder faire.

« Putain quel cul… Musclé, petit, ferme, bordel… » Riant doucement, je me mis à trembler d’excitation, frissonnant par avance. « Hm je suis parfait, fait pour toi. » Soufflais-je doucement d’une voix rauque, frissonnant en sentant son souffle sur mon membre, prêt à sentir ses lèvres se poser dessus avant de se refermer autour. Mais au même instant, des coups à la porte me firent me figer avec brutalité sur place, rouvrant les yeux sans vraiment comprendre ce que je venais d’entendre. « Shanae ? Tu es là ? Shanae ? Ouvre la porte, Shanae ou est ton père ? Et Luke ? » Soupirant de dépit, je la laissais remonter, déposant un bref baiser sur ses lèvres avant de basculer sur le lit pour m’allonger sur le dos et remettre en place mon boxer et mon jean, le refermant rapidement. Soupirant faiblement, je me redressais pour la suivre jusqu’à la salle de bains sans un mot, y entrant et m’adossant à un mur en posant la tête contre, fermant les yeux, totalement las et déçu d’avoir été coupé de la sorte, dans un moment pareil et par la mère de Cassie. Passant une main dans mes cheveux, je les tirais avec force en me passant la langue sur les lèvres, on ne peut plus dégoûté. « Nikkie, j’allais au lit quoi ? Papa et Luke ne sont plus ici… Morts, dégage stp… Non en fait dégage et vite ! » Totalement choqué par ces mots et cette voix si mauvaise, je rouvrais les yeux, les écarquillant franchement, tout en me redressant pour me décoller du mur. Jamais dans le passé, Cassie n’aurait été capable de se montrer aussi cruelle et méchante. Pas même avec sa mère … Comment était-ce possible, qu’elle ait pu changer à ce point ? C’était la faute de ses parents … Ils l’avaient poussé à bout et leurs décisions l’avait rendu bien trop mauvaise à mon goût. Mais elle restait la femme de ma vie et j’osais espérer qu’elle n’était ainsi qu’avec sa mère. Dans le cas contraire … Eh bien je la rendrais à nouveau comme elle avait un jour été, une jeune fille douce et calme qui, toutefois, ne se laissait pas marcher sur les pieds. « Je… Ou est ma chambre ? Ou suis-je ? » « Oh putain de merde t’as décidé de gâcher ma vie même après tout ce temps ? Putain mais… » Entendant la porte de la chambre claquer avec force, je sursautais quelque peu, serrant les dents en posant mon épaule en appuie contre le mur, face à la porte, ma tête tout autant contre le mur en attendant simplement son retour. Un instant plus tard, je l’entendis refermer la porte et la seconde d’après, je la regardais ouvrir la porte de la salle de bains. « Désolée… Que tu ... ais du assister à ça Than… Je… tu as pu voir quelle… est bien malade… vivement qu’elle se casse… » Soupirant doucement, je refermais mes bras autour d’elle pour la presser contre mon corps, répondant à son baiser avec lenteur et douceur, montant lentement une main sur sa joue pour la caresser doucement, pressant tendrement ma langue contre la sienne. Soupirant doucement, je mis fin au baiser, posant lentement mon front contre le sien. « Ma Sissie … Ils t’ont fait du mal. Beaucoup de mal … Mais maintenant qu’on est à nouveau ensemble on va s’en sortir hm …C’est fini l’époque où ils pouvaient encore nous détruire en nous séparant. Au final on a été plus fort qu’eux. » Soufflais-je doucement contre ses lèvres, posant alors mes mains sur sa taille en la faisant reculer avec lenteur jusqu’au lit. Une fois arrivé contre, je m’assis sur le bord de celui-ci. Posant mes mains sur les cuisses de Cassie, je relevais légèrement la serviette pour l’attirer à moi, qu’elle puisse s’asseoir à califourchon sur moi.

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R. Hallibel Snezava
Sexy Modératrice ♥
✔ AGE : 18 ans
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Car personne d'autre n'a le droit de changement mon univers !


✔ HUMEUR : Rêveuse
✔ EN JEUX : Pas pour le moment
✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre
✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."




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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeDim 29 Mai - 14:27
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Return me, make me has new dream.


« Hm … On verra ça … » Passant lentement ma langue sur mes lèvres, je lui lançai un nouveau regard taquin et remplit de désir pour lui. Il me tentait affreusement, il était le diable en personne, l’ultime tentation de cette terre. Celle que je voulais depuis tant d’années… Huit ans que je n’avais pas eu droit a un baiser, une caresse, un soupire, un regard, une parole, tout son corps entier, je bouillonnais, je le voulais… oui je le désirais ardemment. Cinq minutes, ce n’était pas si long que cela. Non dans cinq minutes nous serions sur ce putain de lit pour faire ce qui nous plaisait, sans aucune limite, oh ça non… Des baisers, des caresses, des soupires, des gémissements, on se ferait plaisir comme jamais… Et c’était ça qui était plaisant… Oui, je voulais jouir dans ses bras, sentir mon dos se arqué sous la puissance de ses coups de reins… je voulais qu’il glisse inlassablement en moi, je voulais entendre nos corps claquer comme jamais, je voulais sentir la sueur couler sur nos corps, nos deux corps glisser l’un sur l’autre… Tant de chose… Frissonnant quelque peu rien que de penser à cela, je lui lançai un regard des plus torride avant de lui demander d’être méchant, oui très méchant pour que je puisse le séquestrer l’enfermer chez moi et en faire un esclave sexuel… Je ne demandais que cela… Oh oui… « Devenir ton esclave sexuel … C’est un rêve de toute une vie ça. » Sans qu’il ne dise autre chose, j’avais déjà des images en tête… oui de sacré belles images de lui en tant que mon esclave sexuelle et ça en valait largement la peine. Gaylwen, soumis… Mon dieu je disais oui ! Oui, oui et encore oui. Attaché aux barreaux de mon lit essayant de se défaire de l’emprise de menottes bien trop fermés sur ses poignets… Son corps nu, totalement nu et offert a mes yeux, mes mains et mon corps… Je voulais le regarder longuement lui caresser la peau du bout de mes doigts, faire naitre des tonnes de frisson sur son corps, sentir et voir son membre durcir sous mes caresses, je voulais l’entendre gémir voir ses regard me supplier de le chevaucher avec franchise et sauvagerie… Je voulais qu’il me supplie de sa voix rauque et cassé lorsqu’il a envie de moi… oui sa petite voix qui change lorsqu’il me désir intensément… J’aimais cruellement ce coté la chez lui, cette voix qui change d’intonation… son regard qui se voile de désir… Ses lèvres qui tremblent doucement, sa langue qui passe de plus en plus sur ses lèvres, rose, fine légèrement pulpeuse…

J’imaginais parfaitement ses poignets tirer sur les menottes comme pour se dégager, mon corps se mouvant contre le sien l’embrassant avec douceur, léchant lentement et longuement son corps, descendant sur son point sensible l’éraflant de ma langue avant de le prendre longuement en bouche, faire de nombreux vas et vient le tuer plus que de raison… Oui le tuer et encore le tuer… Je voulais l’achever par ma simple bouche, mains, le voir jouir avant de le chevaucher pleinement, mes fesses claquante sur ses cuisses, mon buste bien cambré, ma tête penchant en arrière, mes mains sur ses mâchoires les lui caressant pour le rendre totalement fou. J’avais toujours aimé abusé de sa zone érogène… Et il le savait parfaitement… Je ne me gênais pas… jamais ! Pourquoi se gêner d’abord ? moi j’aimais être franche et il le savait … « Ah oui ? Tu en rêves ? Tant mieux car tu vas vite le devenir… Je vais t’attacher aux barreaux… Te faire souffrir comme je ne t’ai jamais fait souffrir… Je vais t’épuiser… Et te pomper toute ton énergie… » Soufflai-je doucement en le regardant alors de façon plus que coquine. J’aimais terriblement le provoquer et c’était là une façon de le faire. Le regardant de haut en bas je ne pu m’empêcher de me mordiller les lèvres en plongeant par la suite mon regard dans le sien cherchant à le provoquer plus que de raison. J’aimais terriblement le tuer… il n’y avait pas photo sur ce côté-là. Le laissant approcher de moi, je le laissais faire sans le quitter du regard, le détaillant une nouvelle fois, comme pour lui montrer qu’il me plaisait atrocement et que j’étais a deux petits doigts de le dévorer tout cru, chose qui n’était pas si loin de la vérité… J’étais affamé, je voulais le manger tout cru… Lui enlever ses vêtements et ne faire plus qu’un pour toute la nuit… Simplement lui et moi se retrouver comme au bon vieux temps en poussant bien plus loin que de simple préliminaires… Me rendant mon téléphone, je marmonnais alors que je ne m’étais même pas aperçu que je l’avais oublié et qu’en plus je comptai bel et bien lui envoyer un message, donc sa aurait été dommage que je ne puisse pas. Me demandant quel type de message je comptais lui envoyer, on commença alors a se rappeler des bons vieux souvenirs de l’époque, nos messages super chaud l’un envers l’autre. « Comment oublier hm ? Imaginer tes doigts se faufiler sur ton intimité … Dans ton intimité. Et ça m’a toujours excité aussi … »

Entrouvrant la bouche, je ne pus m’empêcher de repenser a nos nombreux messages, ces nombreuses fois ou nous ne pouvions pas nous voir en soirée retenu par des repas familiaux ou tout autre empêchement, vacances, bref, des choses qui nous empêchés de bouger… Les messages fusaient en masse de nos téléphones. Je me souvenais parfaitement des repas ennuyeux avec la famille mes cousins à table face a moi mon frère me jetant du pain alors que les parents eux, étaient en train de discuter tranquillement. Moi mes mains sous la table pour envoyer des messages a Gaylwen… Mon frère qui se fichait de moi comme pas permit, et Felice et Roméo qui eux me foutaient des coups de pieds sous la table pour que je cesse d’envoyer des messages a mon amoureux. Mais je les emmerdais tous autant qu’ils étaient ! Moi je ne voulais que Gaylwen, je ne pouvais pas me détacher de lui, que ça soit ensemble, ou pas. On était comme liés, deux aimants… Oui, deux aimant qui fusionnaient a merveilles et comme jamais. La ou il était je devais forcément y être. On ne nous voyait pratiquement jamais séparé, c’était ainsi, Gaylwen se trimballait toujours Cassie, et Cassie se trimbalait toujours Gaylwen ! C’était une question de principe. Oui, il ne pouvait en aller autrement. Combien de fois on nous avait surpris a arriver ensemble au collège ou bien même lycée ? Et partir tout aussi ensemble, et si jamais l’on ne nous voyait pas ensemble, la bizarrement les gens se retournaient surpris, et même venait nous voir pour savoir si nous étions toujours ensemble… alors a l’époque nous n’étions pas réellement ensemble… C’était plus des petites passes… Puis ça c’est réellement concrétisé… Nous ne nous montrions rarement en première année de lycée… Les baisers et tout ce qui s’en suit non… ce fut en première et terminale qu’on s’est surement le plus lâché en s’embrassant en publique, se chauffant sans aucun gène, c’était a qui arrivera le plus vite à tuer l’autre… Se mettre toujours au fond, dernier rang, seuls, bien sous la chaise derrière des personnes bien grande pour pouvoir glisser a merveille ma main sous son jean l’air de rien et le branler jusqu’à ce qu’il devienne dur et stopper tout mouvement et enlever ma main une fois bien dur rien que pour le tuer. C’était ça notre quotidien de l’époque, se tuer et encore se tuer. Combien de fois avait-il glissé ses mains sous ms jupes en plein cours pendant un contrôle par exemple ? Je ne les compte plus… Décalant à la vitesse lumière mon string pour glisser légèrement le bout de son doigt et le retirer l’air de rien. On était fous, on aurait pu se faire surprendre mais jamais nous n’avions eu ce souci, nous étions bien trop perfectionnés et habitués… soit on était parfait soit on ne l’était pas, et sur ce point là il était clair que Gaylwen et moi était on ne peut plus parfait !

« Je sais que ça t’a toujours excité… Tout comme quand je le faisais devant toi et que tu me sautais dessus pour remplacer mes doigts par tes doigts et ta bouche… » soufflai-je doucement en me collant un peu plus contre lui l’air de rien pour le provoquer plus que de raison. J’aimais terriblement le tuer et si il fallait que je parle ou que je fasse certaines choses alors je ne me gênerai pas et il le savait parfaitement et j’aimais user de ses zones érogènes que je ne connaissais que trop bien. Nos lèvres se rencontrant enfin en huit ans de séparation, je cru mourir sur place. M’enlevant la serviette on ne perdit pas de temps à aller alors sur le lit. Le fameux lit où tout s’est déroulé… Le début de notre aventure, de nos préliminaires, de tout en fait… Ce fameux jour où il m’avait embarqué sur le lit pour me faire longuement découvrir les joies des préliminaires… Sentant son corps contre le mien, sa main remontant sur ma cuisse passant alors sur mon sein l’air de rien, je me fis plus ou moins plaqué sur le lit son corps entre le mien. Entreprenant alors de défaire son jean, je glissais ma main défaisant ses bouton le lui poussant rapidement a mi cuisse, sans perdre de temps alors qu’il caressait lentement ma poitrine, j’attrapai son membre de ma main avec poigne et envie, me figeant en lui murmurant alors qu’il avait… sacrément changé… Huit ans… Huit putain d’années… « J’ai pris de la queue et toi de la poitrine Sissie chérie. Et pour ta gouverne j’ai tenu quatre minutes et seize secondes ! » Ecarquillant les yeux, choquée de voir comment il me sortait ça, je ne pu m’empêcher de rire quelque peu. Que ça m’avait manqué cette franchise si inné entre nous, ses sujets sans tabou, nos nombreuses discussions sans aucune ambigüité… sans aucun problème, c’était ça notre quotidien a nous… Des soirées entières sans tabou, parlé de tout et de rien ouvertement. C’était ça qui était on ne peut plus plaisant avec l’homme de ma vie, aucun tabou, jamais… que ça soit sexuellement ou autre… « J’aime comme tu me dis ça mon Than d’amour… J’espère que ma nouvelle poitrine te plait au moins… elle a enfin poussé… il était tant … » soufflai-je doucement en tenant son membre de ma main le serrant avec franchise sans me retenir, n’ayant aucune gène, étant même habitué à lui faire ce genre de chose à l’époque… Faisant de lent vas et vient tout en l’embrassant sans pouvoir m’arrêter, je lâchais doucement son membre, me laissant alors glisser sous son corps, arrivant près de son intimité, je pris son boxer pour le lui baisser rejoignant alors son jean regardant alors son membre en gémissant. Empoignant ses fesses, je ne pu m’empêcher de dire a quel point son cul était tout bonnement parfait a mes yeux et surtout pour mes petites mains d’anges. Soupirant franchement sur son membre l’éraflant quelque peu de mes lèvres j’inspirais grandement pour prendre mon temps.

« Hm je suis parfait, fait pour toi. » Oh oui il était parfaitement fait pour moi. Nous étions conçu pour être ensemble, on nous avait créés pour que l’on soit ensemble, pour la vie, Shanae et Gaylwen, il n’y avait pas photo c’était ainsi ! On s’était rencontré petit et on ne se quitterait plus jamais même si nous avions eut une séparation de huit ans par la faute de mes parents, qui en avait décidé autrement a déjouer alors le destin qui à l’époque faisait tout pour nous unir… Aujourd’hui nous étions a nouveau plus ou moins réuni est ce que cela allait continuer ? Très bonne question je ne voulais pas réellement me la poser, il fallait vivre au jour le jour… Et c’était assez dur comme cela, la souffrance de ces huit dernières années étaient toujours présente… Affreux… soufflant sur son membre je m’apprêtai à le prendre en bouche quand tout a coup on frappa a la pote. Ma mère. Me redressant sans perdre de temps, je planquai son haut sous la couette le poussant alors vers la salle de bains fermant la porte en lui faisant signe de m’attendre. J’enfilais alors rapidement la serviette en entrouvrant alors ma porte, heureusement que je m’enfermai a clé tous les soirs… Demandant alors a ma mère de partir, je dû la prendre avec force pour la descendre et la faire aller dans sa chambre. Je ne la supportais plus et l’ambiance à la maison était on ne peut plus pourri… Il fallait vraiment qu’elle parte et sous peu… Remontant rapidement dans ma chambre je claquais la porte fermant a nouveau a clé revenant alors vers Gaylwen en ouvrant la porte de la salle de bains, le regardant longuement tout en m’excusant du fait qu’il ait du assister à la scène entre ma mère et moi. C’était assez dérangeant et gênant en fait… Me collant a lui, je l’embrassais doucement en soupirant quelque peu. Me prenant dans ses bras pour me coller bien contre lui, je plongeai mon regard dans le sien. « Ma Sissie … Ils t’ont fait du mal. Beaucoup de mal … Mais maintenant qu’on est à nouveau ensemble on va s’en sortir hm …C’est fini l’époque où ils pouvaient encore nous détruire en nous séparant. Au final on a été plus fort qu’eux. » Lui lançant un regard attendrit et amoureux, j’inspirai doucement en penchant lentement la tête sur le côté. Oui c’était fini ce temps, il était révolu mais ma mère était toujours là, elle continuerait de me pourrir la vie j’en étais plus que consciente et c’était frustrant… Frustrant de voir que même après huit ans, elle est toujours la même, elle ne voulait toujours pas que je sorte avec lui, même si je ne l’avais jamais écouté… Oh ça non… Gaylwen était l’homme de ma vie et je ne le négligerais pour rien au monde ! Le laissant nous sortir de la salle de bains, je le laissais faire en inspirant doucement.

Plissant quelque peu le nez je me collais à lui en tournant un vague regard sur ma chambre comme si je n’y étais pas rentrée depuis longtemps… Le laissant s’assoir sur le bord de mon lit, je sentis alors ses mains sur mes cuisses, frissonnant quelque peu, je déglutis longuement en souriant en coin le laissant me pousser vers lui sentant alors ses mains remonter quelque peu ma serviette signe que je devais m’assoir sur lui. Posant mes mains sur ses épaules, je ne me fis pas prier plus longtemps. M’installant à califourchon sur lui, je me collai alors contre son torse en défaisant ma serviette l’air de rien, la laissant tomber à même le sol. Ma poitrine durcit par le plaisir je plaquai alors avec sensualité mes lèvres sur les siennes tout en soupirant de bien être. Mes mains sur son cou, mon pouce passant l’air de rien sur ses mâchoires, je bougeai lentement le bassin en le poussant contre le lit pour l’allonger, m’allongeant alors sur lui, plaçant ma cuisse sur son membre bougeant très lentement pour le faire durcir à nouveau. « On va s’en sortir oui… Toi et moi c’est pour la vie, plus personne ne pourra nous séparer… Je veux vivre avec toi… je veux devenir ta femme, avoir des enfants avec toi… ce qu’on devrait avoir a l’heure actuelle… Je veux tout ça Than… » soufflai-je doucement en posant mon front contre le sien tout en gémissant quelque peu, m’excitant toute seule. Tremblant quelque peu, je glissais ma main sur son torse le lui griffant doucement en allant alors attraper son jean le lui déboutonnant a nouveau l’air de rien. Inspirant doucement me mettant a l’embrasser en même temps, je bougeais toujours ma cuisse son membre totalement durci a nouveau. « Me semble que j’allais faire quelque chose tout a l’heure… L’envie est toujours présente pour moi… Et toi ? A moins que tu veuilles que j’arrête et qu’on dorme… Tu restes cette nuit ? » Demandai-je doucement en lui lançant alors un regard des plus aguicheur comme pour qu’il flanche et qu’il dise oui… Je ne voulais pas le laisser partir, je voulais qu’il reste, qu’il dorme a mes côtés après m’avoir fait l’amour comme une bête… Je voulais qu’il me fasse l’amour lentement, sensuellement puis de plus en plus violent, sauvage, nos corps claquant comme jamais… Oh ça oui j’en rêvais, je le voulais et pas qu’un peu…
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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeMar 31 Mai - 23:26
Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] J-z-2786294

You make me feel like I’m living a teenage dream

Etre dans la chambre de la femme de ma vie, enfin, après huit années de séparation, il était plus que temps ! Totalement incapable de détourner mon regard d’elle, je jouais avec elle à notre petit jeu favori, à savoir celui de la séduction. Depuis toujours nous aimions nous plaire et nous séduire encore et encore, sans jamais nous lasser. Nous donner envie l’un de l’autre, nous lancer des regards coquins, nous tourner autour de l’un et l’autre pour finir par craquer en nous jetant littéralement dessus pour répondre à un désir tueur et dévastateur qui nous prenait tout entier. Si nous attentes avaient changés à présent, je ne doutais pas que le désir était intact. Toujours cette envie de faire se rencontrer nos corps, ce besoin de nous satisfaire tous les deux, nous embrasser, nous caresser, pousser les caresses à se faire plus intimes encore. Bref, l’envie était toujours aussi puissante pour ma part et de toute évidence il en allait de même pour elle et c’était loin d’être fait pour me déplaire. A cet instant là, à la voir nue sous cette serviette, je ne rêvais que d’une seule chose, faire tomber cette foutue serviette qui gâchait le tout en cachant son corps de déesse, et la plaquer sur le lit pour retrouver ce tout nouveau corps qui était à la hauteur de mes souvenirs et plus encore. Je voulais parcourir chaque parcelle de sa peau du plat de mes mains avec lenteur, combler les vides, passer sur les pleins. Le tout, avant de prendre le relais de mes lèvres, y déposer de tendres et humides baisers, passer la pointe de ma langue sur chacune des zones sensibles de son corps pour la faire frémir et frissonner longuement de bien être et d’excitation. Je voulais la mordiller ou la mordre plus franchement pour lui arracher de francs gémissements de désir et d’envie. Je voulais descendre une main sur son intimité pour la caresser et la taquiner du bout des doigts avant de glisser deux en elle comme dans le passé, pour lui donner envie de plus, bien plus. Je voulais passer ma langue sur le passage de mes doigts pour qu’elle me supplie de lui faire l’amour, la faire frissonner d’envie et de frustration à me supplier de la combler. Et ensuite me placer au dessus d’elle pour répondre enfin à nos envies des plus puissantes, pour placer mes jambes entre les siennes et glisser enfin en elle avec lenteur et profondeur, pour démarrer par la suite des coups de reins d’abord lents et sensuels, avant de les accélérer petit à petit jusqu’à les rendre franchement rapides, puissants et sauvages pour faire claquer nos corps et secouer le sien sans ménagement sous ma violence grandissante. Je voulais la faire hurler de plaisir, qu’elle s’accroche à moi et griffe ma peau sous la violence du plaisir en elle. Je voulais la faire jouir avec violence, à plusieurs reprises et finir en elle en criant de plaisir avant de coller mon corps en sueur contre le sien, pour continuer de bouger en elle avec lenteur et douceur, en l’embrassant tendrement, pour retrouver nos souffles.

A l’entendre me dire qu’elle voulait faire de moi son esclave sexuel, je ne pu m’empêcher de fantasmer à cette idée, des milliers d’images toutes plus excitantes les unes que les autres, arrivant à mon esprit. Moi, totalement nu sur son lit et offert à ses bons désirs. La connaissant, je ne doutais pas qu’elle désirerait m’attacher aux barreaux du lit pour m’empêcher de craquer et la plaquer sur le lit pour reprendre le dessus et lui faire l’amour comme j’en aurais forcément l’envie. Je ne doutais pas qu’elle parcourait lentement et longuement mon corps du regard avant d’y passer ses mains, son souffle, ses lèvres, sa langue. Elle ferait tout pour me tuer pleinement en me donnant envie comme jamais, me regarder durcir d’excitation sans me quitter de son regard coquin. Je l’imaginais parfaitement souffler sur mon membre pour que je la supplie de le prendre en bouche, avant d’y déposer de brefs baisers puis de lents coups de langue, l’air de rien, avant de refermer enfin ses lèvres autour pour le faire glisser longuement et lentement dans sa bouche. Pourquoi étais-je persuadé qu’elle ferait des vas et vient de plus en plus rapides jusqu’à me faire jouir de la sorte avant de se placer sur moi pour me chevaucher avec franchise et sauvagerie pour empêcher le désir de redescendre et me faire l’amour comme jamais, griffer mon torse en donnant des coups de reins précipités et violents pour faire claquer nos corps avec force, me regarder de son regard sensuel et provocateur pour jouir en gardant son regard plongé dans le mien et me faire suivre tout aussi rapidement, pour prendre autant de plaisir avec violence, au même moment. Le souffle coupé par toutes ces pensées, je gardais le regard brillant de désir, rivé sur elle. Je l’imaginais à la perfection dans ces deux situations et plus encore. « Ah oui ? Tu en rêves ? Tant mieux car tu vas vite le devenir… Je vais t’attacher aux barreaux… Te faire souffrir comme je ne t’ai jamais fait souffrir… Je vais t’épuiser… Et te pomper toute ton énergie… » Son regard coquin et provocateur plongé dans le sien, je me mordillais lentement la lèvre avant d’y passer lentement la pointe de ma langue, sans la quitter du regard tant l’envie de l’embrasser et lui faire l’amour était grande et puissante en moi. « C’est bizarre … Mais j’imaginais justement que tu voudrais m’attacher. C’est tout toi ça hm … » Souriant en coin, je parcourais inlassablement son corps de mon regard, avec lenteur, pour ne rien manquer de la perfection de son corps, de la tête aux pieds. « Et comment tu comptes t’y prendre pour m’épuiser hm ? J’espère que tu ne te contenteras pas de pomper mon énergie … » Soufflais-je d’une voix taquine en souriant franchement devant mes propres dires, sans la quitter du regard, m’approchant alors d’elle avec lenteur tout en gardant mon regard plongé dans le sien.

Lui rendant son téléphone sans me détacher d’elle tant j’étais merveilleusement bien à ses côtés, tout contre elle, mon regard plongé dans le sien, nos souffles se heurtant avec régularité. De façon logique, nous parlâmes alors de nos petits sms que nous nous envoyons à une certaine époque, lorsque nous ne pouvions physiquement pas être ensemble. Ces messages qui étaient alors un excellent moyen de nous tuer l’un et l’autre sans nous lasser un seul instant. A croire que les moments que nous passions ensemble, n’étaient pas encore suffisants pour satisfaire nos envies pour que nous en venions à nous envoyer des textos lorsque nous n’étions malheureusement pas ensemble. Nous donner envie comme jamais, simplement avec de petits messages on ne peut plus chauds et excitants, à toute heure du jour et de la nuit. Ces messages qui, pour ma part, me forçais à me soulager et le plus rapidement possible tant l’envie était alors grande. Dans ces moments je savais qu’une douche froide ou tout autre moyen de calmer mes ardeurs, de la sorte, ne serait pas utile. Et ce, pour la simple et bonne raison que, connaissant Cassie comme personne, je savais qu’elle ne me lâcherait pas avec ses messages excitants, jusqu’à ce que je me sois soulagé. Peu importait où, tant que je parvenais à faire passer l’envie, au moins pour quelques heures ou la journée à venir tant qu’à faire. Il lui suffisait de me dire qu’elle était en train de se caresser en m’imaginant à la place de sa main, pour que j’ai envie d’elle comme jamais. Au souvenir de tous ces sms, je ressentis une nouvelle bouffée de désir pour elle, me mordillant alors la lèvre en la regardant avec une franche envie, que j’étais bien incapable de lui cacher. Quand bien même j’aurais eu dans l’idée de dissimuler le désir qu’elle m’inspirait, elle aurait eut tôt fait de le découvrir d’elle-même, de par la bosse révélatrice qui s’était formée au niveau de mon entre jambe. Elle avait toujours eut cet effet fou sur moi et rien ne laissait à envisager que cela puisse un jour changer. Comment pourrait-ce être possible alors que je la désirais avec toujours autant d’entrain que dans le passé. Huit années avaient beau être passées, le temps n’avait en rien estompé le désir qui nous attirait inexorablement l’un vers l’autre, encore et encore. Pour en revenir à nos petits messages, je ne doutais pas que si elle n’avait pas oublié son téléphone chez moi et m’avait envoyé un sms durant la soirée, ou nuit, pour me chauffer comme elle avait eut la maîtrise de le faire dans le passé, je ne doutais pas que j’aurais rappliqué chez elle illico presto. Le fait qu’elle ait justement oublié son portable chez moi, m’avais forcé à venir plus rapidement que prévu, ni plus ni moins. Tout n’était question que de temps entre nous et rien ne semblait pouvoir changer cela, un tant soit peu. Ni le temps, ni les gens, ni quoi que ce soit d’autre. Certaines choses n’avaient pas de fin et notre relation faisait largement parti de ces choses en question. Je ne voyais pas pour quelle raison notre relation pourrait un jour s’arrêter. Certes nous avions du subir une pause forcée durant huit trop longues années mais ça s’arrêtait là. Tout ça c’était à présent définitivement terminé, je ne voulais plus que nous soyons séparés tous les deux et j’étais prêt à tout pour cela, pour éviter que nous souffrions à nouveau comme durant trop d’années déjà.

« Je sais que ça t’a toujours excité… Tout comme quand je le faisais devant toi et que tu me sautais dessus pour remplacer mes doigts par tes doigts et ta bouche… » Soupirant doucement d’envie à ce souvenir, je baissais un involontaire regard en direction de son intimité encore dissimulée par sa serviette, mourant d’envie de la retrouver de mes doigts et de ma langue, comme dans le passé. C’était fou comme j’aimais faufiler mon visage entre ses cuisses pour découvrir intimement cette partie là de son anatomie et la faire gémir de plaisir sous les assauts répétés de mes doigts fins et de ma langue taquine et inquisitrice. Lorsque nous commencions à répondre à nos désirs les plus inavouables, nous devenions rapidement deux amoureux totalement hors du reste du monde et du temps, bien trop occupés à se faire plaisir dans tous les sens possibles du terme, pour seulement s’occuper de tout ce qu’il pouvait se passer autour de nous durant ces moments d’extase totale et de pure merveille. Plus rien d’autre n’avait d’importance que nous, nous et encore nous ! Pourquoi accorder de l’importance à l’inutile et au futile alors que le plus important, c’était nous et seulement nous et notre plaisir qui nous consumait lentement mais sûrement, à petit feu ? « Tu l’as dis toi-même … Je n’ai jamais su être patient question sexe. Comment te résister ? Et comment résister à l’envie de te combler de plaisir quand c’était justement tout ce que tu attendais ? » Demandais-je d’une voix rendue rauque par le désir, et caressante à souhait, pour la taquiner et lui donner envie, plus encore, si tant est que ce soit possible. J’aimais l’exciter démesurément. J’aimais qu’elle crève d’envie et lutte de façon acharnée, pour ne pas me sauter littéralement dessus dans la seconde qui suivait. L’instant d’après, nos lèvres se cherchaient et se trouvaient dans une danse plaisante et envoûtante, semblant ne plus vouloir se quitter après une séparation bien trop longue à leur goût. Nos langues l’une contre l’autre, le bruit de notre baiser s’intensifiant tout autant que la fougue qui nous consumait, je la laissais me pousser sur le lit pour me rejoindre rapidement et plaquer sa cuisse sur mon membre, avant que je ne la plaque à son tour sur le lit pour l’exciter démesurément en donnant de brefs mais puissants coups de reins, comme pour lui faire clairement comprendre le plaisir que nous tirerions de par cette position excitante, par la suite. Empoignant l’un de ses seins dont j’avais ôté la serviette qui la recouvrait un instant plus tôt, j’entrepris de le masser avec douceur mais conviction, luttant encore contre l‘envie de le prendre en bouche pour le caresser de ma langue et le taquiner de mes dents. La sentant empoigner mon membre totalement durcit, je ne pu m’empêcher de lâcher un gémissement de plaisir tant il était bon de sentir sa main, la sienne, sur mon membre, après huit années passées sans tout cela, tous ces gestes bons à souhait. Mentionnant le fait que j’avais évolué de ce côté ci de mon anatomie, je lui répondis que pour sa part, elle avait évolué du côté de sa poitrine qui n’avait plus rien à voir avec la petite poitrine que j’avais connu quelques années plus tôt. « J’aime comme tu me dis ça mon Than d’amour… J’espère que ma nouvelle poitrine te plait au moins… elle a enfin poussé… il était tant … » Gémissant doucement, je baissais le regard sur sa poitrine, passant lentement ma langue sur mes lèvres sans même le réaliser, regardant ses seins avec gourmandise avant de relever le regard vers elle. « A ton avis ? Elle m’a toujours plu de façon insensée. Mais là … Là on peut faire bien plus de choses avec … Et elle est parfaite pour mes mains. » Soufflais-je doucement contre ses lèvres, mon souffle caressant inlassablement ses lèvres pulpeuses et parfaitement bien dessinées, qui appelaient au baiser. La sentant faire des vas et vient de sa main fortement serrée sur mon membre durcit, je lâchais un long gémissement de plaisir contre ses lèvres, tremblant tout autant de plaisir que d’excitation en la regardant ensuite glisser sous mon corps pour placer, comme dans le passé, son visage au niveau de mon entre jambe. Sachant parfaitement ce qu’elle s’apprêtait à faire, je fermais les yeux en me figeant, mon souffle se coupant longuement sous l’excitation et l’envie que j’avais de sentir ses lèvres se refermer sur mon membre. Mais au moment même où son souffle s’y déposait avec douceur, des coups frappés à la porte nous firent brutalement retomber sur terre. Dépité comme jamais, je me reculais pour remettre de l’ordre dans ma tenue, la laissant dissimuler mon tee shirt dans son lit avant de me conduire à sa salle de bains où je devais attendre son retour.

C’était comme de nous retrouver projetés huit années en arrière, comme si rien n’avait changé. Et pourtant tout était différent. Sa mère qui lui avait pourrit la vie durant bien trop de temps, était à présent malade et royalement folle. Cette mère que Cassie haïssait plus que tout et qu’elle eut tôt fait de ramener de force dans sa chambre, de ce que je compris en tout cas. Lorsqu’elle revint se blottir dans mes bras en s’excusant pour tout cela, je ne tardais pas à la serrer avec tendresse contre moi en lui soufflant qu’ils lui avaient fait bien trop de mal mais qu’à présent j’étais là. Nous étions à nouveau réunis et la douleur ne ferait plus parti de nos vies, je le refusais ardemment ! La ramenant avec lenteur jusqu’au lit sans me détacher d’elle, je m’asseyais sur le bord de celui-ci, avant de relever légèrement sa serviette pour lui permettre de s’asseoir à califourchon sur mes jambes. La sentant se coller pleinement à moi, une fois sur moi, tout en défaisant sa serviette l’air de rien, je déglutissais avec difficulté, baissant un vague regard sur son corps pleinement offert à moi, faufilant mes mains dans son dos pour les poser à plat sur sa peau et la caresser avec douceur et lenteur, inspirant longuement son odeur sans m’en lasser un seul instant, comme j’avais l’habitude de le faire dans le passé déjà. Ses lèvres contre les miennes, j’inspirais une longue goulée d’air frais sous l’afflux du bien être, pressant lentement sur son dos pour plaquer sa poitrine contre mon torse tout aussi nu, sentant alors ses seins durcit de désir. Sentant ses mains posées sur mon cou, je compris qu’elle allait en profiter pour passer lentement ses pouces sur mes mâchoires, comme elle aimait à le faire régulièrement dans le passé, ce qui ne tarda d’ailleurs pas à arriver. Gémissant à cette douce caresse, j’enfonçais mes doigts dans sa chaire en la serrant plus encore contre moi, remontant lentement une main dans le haut de son dos pour repousser lentement ses cheveux et les déplacer sur l’une de ses épaules, découvrant l’autre pour venir y déposer de lents baisers tandis que je sentais son bassin bouger avec lenteur sur moi, m’excitant à nouveau plus que de raison. Le souffle coupé par l’envie, mon membre durcissant déjà, je la laissais me rallonger sur le lit avec lenteur, la regardant alors en me mordillant les lèvres tant j’avais envie d’elle. Sentant sa cuisse contre mon entre jambe, frottant lentement pour m’exciter à nouveau, j’eus un bref gémissement excité en descendant mes mains sur ses hanches, les empoignant avec force pour lui communiquer toute l’envie que j’avais d’elle. « On va s’en sortir oui… Toi et moi c’est pour la vie, plus personne ne pourra nous séparer… Je veux vivre avec toi… je veux devenir ta femme, avoir des enfants avec toi… ce qu’on devrait avoir a l’heure actuelle… Je veux tout ça Than… » Fermant les yeux en souriant tant il était plaisant d’entendre ces mots sortir de ses lèvres, je lâchais un long soupir de bien être. A cet instant, tout était absolument parfait et rien ni personne ne pourrait nous arrêter cette fois. Je le refusais ! Sentant son front se poser lentement contre le mien, j’entrouvris les yeux en souriant en coin, remontant une main pour passer le bout de mes doigts sur l’une de ses joues avec lenteur, l’air de rien.[color=teal] « Oui … Ma fiancée, ma femme, la mère de mes enfants … La femme de ma vie, mon tout, ma vie … Je t’aime tellement Sissie, ma princesse. »/color] Soufflais-je doucement en déposant un lent baiser sur ses lèvres en tremblant de désir à sa main qui descendait sur mon torse, le griffant doucement, avant d’empoigner mon jean. Répondant au baiser qui suivit, je lâchais un doux gémissement en sentant sa cuisse remuer à nouveau sur mon membre qui n’attendait qu’une chose : qu’elle s’en occupe, de quelle que façon que ce soit tant que c’était plaisant. « Me semble que j’allais faire quelque chose tout a l’heure… L’envie est toujours présente pour moi… Et toi ? A moins que tu veuilles que j’arrête et qu’on dorme… Tu restes cette nuit ? » Souriant en coin en lui adressant un regard taquin, je m’enfonçais plus confortablement dans la profondeur du matelas et des couvertures, signe que je ne comptais pas en bouger de sitôt. M’emparant de sa main, je la fis la poser sur mon entrejambe, sous sa propre cuisse, pour la presser doucement sans la quitter de mon regard coquin et excité. « Je crois que ça veut tout dire non ? » Soufflais-je d’une voix rauque en commençant à mordiller lentement ses lèvres sans la quitter du regard. « A présent qu’on a commencé des choses intéressantes … Je pense que le mieux à faire serait d’aller jusqu’au bout. »


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R. Hallibel Snezava
Sexy Modératrice ♥
✔ AGE : 18 ans
✔ SEXE : Féminin
✔ ETUDES : Etudiante en droit
★ AVATAR : Kristen Stewart
© CRÉDITS : Satellite Haze & Crazy Bunny, le meilleur des lapinou **
✔ MESSAGES : 432
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 30/03/1995
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Car personne d'autre n'a le droit de changement mon univers !


✔ HUMEUR : Rêveuse
✔ EN JEUX : Pas pour le moment
✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre
✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."




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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeDim 5 Juin - 15:59
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Return me, make me has new dream.

« C’est bizarre … Mais j’imaginais justement que tu voudrais m’attacher. C’est tout toi ça hm … » Souriant en coin, je ne pu m’empêcher de lui lancer un regard avide de plaisir et d’envie. Oh que oui que c’était tout moi ça… Attacher Gaylwen aux barreaux de mon lit le laisser me contempler d’un regard avide de désir sexuel pour moi le laisser poireauter, lui faire un strip-tease comme jamais… Oui, le voir la tout nu offert à moi sur mon lit, voir son membre durcir sous la vue de mon corps si parfait a ses yeux. Oui, je voulais simplement le voir mourir à petit feu, sentir la sueur perler sur son front alors que je ne l’ai même pas encore toucher une seule fois. « Et comment tu comptes t’y prendre pour m’épuiser hm ? J’espère que tu ne te contenteras pas de pomper mon énergie … » Léchant très lentement mes lèvres en plongeant mon regard dans le sien, je ne pus m’empêcher de baisser très lentement mon regard sur son membre pour le détailler longuement. Je ne pouvais pas m’empêcher de le regarder, de vouloir l’avoir contre moi, de le désirer ardemment, de vouloir lui sauter dessus pour enlacer mes jambes a sa taille, je voulais qu’il me porte, qu’il m’embrasse, qu’il me plaque contre un mur comme il savait si bien le faire pour me donner des coups de reins et me faire alors enfin l’amour… je voulais toute ses choses, je voulais vraiment que nous puissions mourir l’un dans l’autre, l’un contre l’autre… Je voulais qu’il puisse me faire jouir sous ses coups de reins… Mais moi je voulais le faire jouir sous mes coups de reins à moi… Oh oui, je voulais lui faire connaitre le plaisir de se faire chevaucher… Totalement assise sur lui, mon bassin bougeant franchement. Oui je voulais le faire jouir de la sorte. Mordillant lentement mes lèvres, je relevais mon regard bleuté dans le sien presque identique au mien tout en gémissant quelque peu de plaisir.

« J’ai toujours su m’enivrer de ton essence a la perfection et te retirer toute tes forces… Mais il est peut être temps de passer à autre chose comme tuerie… Du genre quelques chevauchement innocent devenant rapidement une vraie tuerie et d’une rapidité sans faille… » Soufflai-je l’air de rien en le regardant longuement avant de lécher à nouveau mes lèvres avec envie et délectation. Le voyant s’approcher de moi avec lenteur sans me quitter du regard, je le laissais plus ou moins se coller à moi tout en me rendant alors le téléphone que j’avais oublié chez lui. Heureusement qu’il était revenu me le rendre puisque je comptai bel et bien lui envoyer un message avant de me coucher, chose que je lui annonçai sans perdre de temps. Le genre de message que nous nous envoyions a l’époque, des messages totalement torrides, des messages destructeurs a tel point que nous étions obligés de nous enfermer dans la maison… Oui, le genre de messages qui vous excite sur place sans vous donner réellement le choix… Mais nous, nous avions le choix et nous savions parfaitement que nous aimions faire cela… Tout comme lorsque nous étions ensemble, combien de fois avions nous rater des cours le matin car en se relevant nous préférions plonger dans les méandres des préliminaires que de partir ? Je me le demande bien… Cette routine qui nous habité… Le réveil très tôt pour qu’il puisse rentrer chez lui sans que ces parents ne le sache, s’habiller et déjeuner, laisser mes parents partir au boulot, le faire revenir et s’enfermer dans la chambre. Il nous resté toujours une trentaine de minutes pour partir au lycée… Le lycée n’étant pas si loin que cela, puis de toute façon, quand nous étions a l’heure Lukes nous y amené en voiture… Mais sinon nous partions a pieds… Vingt minutes de marche on ne peut pas dire que sa soit dur… Mais en général… On restait sous la couette totalement nue à rire et à se faire plaisir, se découvrir, comme une soif sexuelle insatiable… Rapidement je lui murmurais alors que j’avais toujours aimé me caresser devant lui… Oui, me caresser le faire craquer sans pouvoir me retenir. Le fait qu’il baisse son regard vers mon intimité, j’avais en tête ces visions incessante de sa tête se glissant entre mes jambes pour dévorer mon intimité de sa bouche de sa langue de ses dents, mes cris, mes soupires, mes gémissements, un quotidien sans faille… Un quotidien qui a l’époque se faisait tous les jours… Un quotidien qui date de huit longues années…

« Tu l’as dis toi-même … Je n’ai jamais su être patient question sexe. Comment te résister ? Et comment résister à l’envie de te combler de plaisir quand c’était justement tout ce que tu attendais ? » Non il n’avait jamais été patient, en même temps moi non plus je n’avais jamais su être patient, pourquoi le serions nous dans un sens ? Je me le demande bien, la patiente s’était tellement nul, je préférais amplement craquer dans ses bras, lui faire une misère intense et le voir craquer comme jamais comme a l’époque, je voulais simplement le rendre fou tout comme lui aimait me rendre totalement folle, après tout ça nous savions le faire c’était même devenu une sorte de spécialité, on connaissait les zones érogènes de chacun, on savait quoi faire et ne pas faire suivant les moments. Comme quoi dire et ne pas dire. J’avais toujours aimé voir dans son regard le désir flamber du plus profond de lui… J’aimais le voir se retenir, un tant soit peu essayer d’être légèrement fort, vraiment légèrement… J’aimais le voir craquer… Sentir ses mains se presser sur mon corps, ses gémissements, sa langue se glisser dans ma bouche dans une perfection totale, son gout m’enivrer, son odeur me délecter, non vraiment j’aimais tous ces moments que nous avions passés ensemble. Mon corps qui tremble contre le sien, mon dos qui se cambre mes yeux qui se ferment, son corps frottant contre le mien avec conviction et envie, son membre glissant sur le mien sans pour autant entrer, simplement nous faire du bien, jouir de la sorte ensemble, nous savions déjà avoir des orgasmes en même temps, nous savions quand l’autre aller monter au septième ciel, nous savions tout, nous nous connaissions mieux que quiconque c’était cela qui était magique et beau dans un sens, oui, parfaitement beau, une osmose des plus intense, une jouissance commune que personne d’autre ne pouvait connaitre appart nous… Nous étions Cassie et Gaylwen, nous étions fait pour être ensemble et cela s’arrêtait là, personne d’autre n’avait le droit de prendre ma place, tout comme personne n’aurait la place de Gaylwen dans mon petit cœur tout tendre et amoureux de lui. « Hum…Je n’ai jamais été patiente non plus… Tu le sais… J’ai toujours aimé braver les interdits pour te voir pleinement jouir…Nos corps sont dans une alchimie indéfinissable et éternel… Nous ne pouvons pas résister mon amour... » soufflai-je doucement en me collant un peu plus à lui.

Son corps totalement bouillant de plaisir pour moi, tout contre le mien maintenu dans une simple serviette légèrement humide par la douche que je venais de prendre. Nos lèvres se rencontrant enfin, dans un baiser totalement désespéré et amoureux, nos souffles se coupant sous l’émotion, je me plaquai plus contre lui tout en me mouvement quelque peu contre son corps, mes mains redécouvrant alors son corps, sentant la serviette quitter ma peau la laissant tomber sans rien dire me retrouvant nue devant lui sans aucune gène. Allant sur le lit a moitié sur lui, il prit alors le dessus en se mettant sur moi pour me donner des coups de reins puissant et excitant, ce qui eut le chic de me faire trembler encore plus, les gémissements sortant de ma bouche en masse tant j’étais on ne peut plus désireuse de lui enlever ce foutu pantalon qui ne faisait que séparer nos corps qui ne demandaient qu’une chose, être unis, enfin après plus de huit ans de séparation… Oui il était tant… Nous devions nous unir, faire l’amour, faire des enfants, se marier, être ensemble… N’importe quel ordre m’allait à la perfection. Mais il est clair que j’allais cesser la pilule sous peu, d’ailleurs je ne l’avais pas encore prise… autant profiter de ce moment on ne peut plus parfait. Glissant ma main sous son corps, entre le mien et le sien plus exactement, je défis alors avec conviction son jean pour pouvoir enfin glisser ma main sous son boxer et attraper avec conviction et désir son membre totalement durci de plaisir. Un membre totalement changeait, totalement évolué… Je ne perdis pas de temps pour lui en faire la remarque, m’annonçant alors que pour ma part j’avais tout autant évolué que lui en prenant de la poitrine. Je ne pus m’empêcher de lui faire alors la remarque et lui demander s’il aimait bel et bien ma poitrine tout de même. Se serait un comble non s’il ne l’aimait pas ? Je n’aurais plus que mes yeux pour pleurer, mais il l’avait tellement aimé a l’époque alors que je n’avais presque rien… alors là il devait forcément l’aimer et au vu de comment il la regardait, j’en déduisis de par moi-même que oui il l’aimait terriblement ma petite poitrine… enfin… Grosse. « A ton avis ? Elle m’a toujours plu de façon insensée. Mais là … Là on peut faire bien plus de choses avec … Et elle est parfaite pour mes mains. » Sentant son souffle sur mes lèvres, je m’en délectais comme si c’était la dernière fois que j’allais le sentir… alors que je venais tout juste de le retrouver, je préférais m’enivrer de lui et faire comme si c’était bel et bien la dernière fois que nous allions nous voir, nous toucher, nous découvrir à nouveau…

C’était on ne peut plus bizarre comme sensation mais dans un sens il valait mieux pour nous faire de la sorte. Une déchirure c’était horrible alors je n’osais pas imaginer une seconde, en espérant qu’il n’y en ait pas tout court… la se serait tout de même le paradis. Nos lèvres s’effleurant, un frisson s’emparant de mon corps tout entier mon dos se cambrant ma poitrine ne cessant de durcir de plaisir sous cette annonce si intense qu’il venait de faire, je savais parfaitement de quoi il parlait, je n’étais pas complètement dupe, avant nous en parlions souvent, ma poitrine était mon plus gros complexe, un complexe d’adolescente, ce qui était tout à fait compréhensible après tout… qui n’avait pas de complexe dans ces âges là ? On se le demande bien… Surtout pour une fille. « Elle t’a toujours plu parce que c’est la mienne… Mais oui là on pourra faire plus de choses avec… Beaucoup plus de choses… Tes mains sont parfaites pour ma poitrine… Totalement parfaite, je ne veux plus qu’elles touchent d’autres seins que les miens… » Soufflai-je doucement en l’embrassant lentement, ma main se serrant alors sur son membre on ne peut plus durci dans ma main. Faisant de franc vas et vient comme pour le rendre totalement dingue de moi, je me laissais glisser par la suite sous son corps afin de me retrouver sous son membre. Depuis combien de temps n’avais-je pas fait cela ? Huit ans… Huit longues années, bien trop longues à mon gout. Soupirant dessus, je me figeai franchement lorsque l’on toqua à la porte et que la voix de ma mère s’éleva alors dans la pièce. Il fallait toujours qu’elle gâche tout… C’était vraiment une habitude chez elle de tout gâché. Le poussant doucement en cachant son débardeur sous la couette, je le poussais alors doucement vers la salle de bains fermant alors la porte pour ne pas qu’elle le voit là. J’en avais déjà marre qu’elle puisse nous déranger mais si en plus elle venait à le voir, je n’ose a peine imaginer le clash que cela produirait. Ouvrant alors à ma mère, la laissant plus ou moins parler, je lui demandai par la suite de partir et de retourner dans sa chambre, mais malheureusement pour m’écouter ce n’était pas aussi facile que cela… Mais alors pas du tout… Ce qui m’exaspérait plus qu’autre chose. La prenant par le bras je la tirais alors en bas pour la faire rentrer dans sa chambre. Claquant franchement la porte et essayant de me calmer, je revins alors dans ma chambre quelques instants plus tard. Ouvrant la porte de la salle de bains, je le vis devant moi lui lançant alors un regard désolée en le prenant alors dans mes bras. Me rassurant quelque peu, il me tira alors a nouveau vers la chambre. Se laissant tomber sur le lit, je sentis ses mains remonter plus ou moins ma serviette afin que je puisse m’assoir sur ses cuisses. Ne me faisant pas prier pour le faire, je me collais contre lui en détachant l’air de rien ma serviette la laissant tomber à même le sol me retrouvant nue devant lui.

Ma poitrine totalement durcit de plaisir, je me collais a lui pour l’embrasser longuement. J’avais envie de lui, je le voulais, je le désirais ardemment, je voulais unir nos corps, je voulais le sentir glisser inlassablement en moi, je voulais mourir sous ses coups de reins, je voulais jouir dans ses bras, je voulais mourir de plaisir. Lui demandant alors sur le coup s’il était toujours partant pour que l’on puisse continuer, tout en le poussant pour l’allonger, je sentis sa main prendre la mienne la posant alors sur son membre extrêmement durcit de plaisir. Il n’y avait pas photo, il avait on ne peut plus envie de moi, tout autant que moi j’avais envie de lui, c’était cela qui me plaisait atrocement. « Je crois que ça veut tout dire non ? » Sentant son membre plus que durci contre ma main, je me mis à soupirer longuement tout en fermant les yeux. Il était terriblement bien foutu, il avait… Prit du grade… si je puis dire. « A présent qu’on a commencé des choses intéressantes … Je pense que le mieux à faire serait d’aller jusqu’au bout. » Entrouvrant la bouche, tout en passant ma langue entre mes lèvres avec douceur et lenteur, je lui lançai un regard totalement remplit de désir en pressant franchement son membre de ma main. Déglutissant longuement je tirais franchement sur son jean le lui enlevant alors en me levant. Le faisant lentement glisser le long de ses jambes je souriais fortement. « Oui… passons aux choses sérieuses… J’allais te faire une petite gâterie si mes souvenirs sont bons… » Soufflai-je doucement en jetant son jean dans la chambre me fichant d’où il pouvait atterrir… Attrapant son boxer je fis de même en regardant alors son membre avec envie.

Gémissant longuement tout en léchant mes lèvres je me laissais tomber sur lui m’allongeant contre son corps, son membre sur mon bas ventre. Mes lèvres contre les siennes je l’embrassais alors longuement en caressant quelque peu son visage du bout de mes doigts tout en caressant ses jambes des miennes en les bougeant quelque peu contre son corps. Ma main se posant sur son épaule je me redressais quelque peu pour le tirer nous faisant alors tourner sur le lit. Son corps se retrouvant alors sur le mien, je cambrais lentement le dos en relevant quelque peu mes jambes mes mains tâtant son corps un peu partout comme pour retrouver le gout de celui-ci, je voulais caresser son corps je voulais a tout prix le redécouvrir, je voulais le sentir, je voulais voir a quel point il avait évolué, et il avait sacrément évolué… Oh ça oui… Mes mains passant dans son dos, le caressant du plat de celle-ci, je me laissais alors a nouveau glisser le long de son corps, embrasant alors très lentement son torse, léchant plus ou moins un de ses tétons laissant plusieurs filet de bave sur celui-ci, voulant marquer mon territoire, oui son corps était a moi, son corps m’avait manqué, et je n’osais pas imaginé ce qu’il avait fait avec les autres femmes, moi qui a l’époque ne me souciait guerre de ce genre de choses, aujourd’hui je souffris presque de savoir qu’il avait donner son corps a d’autre… J’avais attendu quatre longues années, j’avais attendu de le retrouver mais lorsque je l’avais fait il allait se marier… Histoire qui soit disant n’a jamais eu lieu d’être…Mais pourquoi me dire une telle chose alors ? Pourquoi me l’avoir dite ? Tout ça pour que je parte ? J’avais été donc si stupide que cela de l’avoir cru ? Il faut croire que oui… Mais comment aurais-je pu qu’elle mentirait sur un sujet pareil ? Le passé était ce qu’il était et je devais faire avec… Mais lui combien de temps avait-il attendu avant de toucher une autre femme… J’avais peur qu’il l’ait fait rapidement, j’avais peur qu’il ait pu goutter au sexe quelques mois seulement après mon départ… Sa prouverait bien qu’il ne tenait pas réellement a moi… Pourquoi est ce que je pensais cela maintenant ? Dans un moment pareil ? Je n’en savais rien, j’étais surement blessée et vexée. Fermant lentement les yeux, ms mains glissant sur sa taille la lui griffant avec conviction comme voulant le marquer et lui faire comprendre ce que je faisais et ce que j’allais bien entendu faire je descendis de plus en plus bas ne m’arrêtant pas de lui faire des baisers plus ou moins humides sur son ventre, arrivant à son bas ventre lui mordillant lentement la peau. Mes mains se posant sur ses fesses avec douceur je me rapprochais dangereusement de son intimité en y déposant alors mes lèvres dessus. Mon cœur s’emballant fortement je déglutis longuement caressant alors son membre de mes lèvres, redécouvrant lentement son sexe tout en soupirant et gémissant longuement. « Putain que tu m’as manqué… ton corps m’a manqué… Than… Mon Than d’amour… » Soufflai-je doucement contre son membre le prenant alors très lentement en bouche faisant de lent vas et vient sans aucun soucis sur celui-ci, un plaisir immense envahissant alors mon corps tout entier tremblant franchement sous l’émotion.
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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeMer 22 Juin - 0:05
Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] J-z-2786294

You make me feel like I’m living a teenage dream

« J’ai toujours su m’enivrer de ton essence a la perfection et te retirer toute tes forces… Mais il est peut être temps de passer à autre chose comme tuerie… Du genre quelques chevauchement innocent devenant rapidement une vraie tuerie et d’une rapidité sans faille… » Le souffle coupé par l’excitation grandissante, je me mordillais la lèvre avec insistante en la regardant avec une envie qui ne faisait que croitre en moi. Jamais je n’aurais pu imaginer que cela puisse être possible et pourtant j’avais bel et bien de plus en plus envie d’elle. Elle me rendait complètement fou et je n’avais pas le moindre doute au sujet du déroulement des minutes, heures, à venir. Si nous n’en venions pas à faire l’amour de façon sauvage et débridée dans son foutu lit, ce serait que quelque chose clochait vraiment. L’un comme l’autre, nous semblions sur le point de craquer comme jamais mais de lutter plus que tout pour faire les choses de façon bien et correct. Je ne voulais pas que tout aille trop vite et que par la suite, nous regrettions d’avoir consommé notre amour de la sorte, en sachant que dans le passé, nous avions toujours pris excessivement notre temps. Sans doute devrions-nous faire de même à présent, un tant soit peu. Mais après huit années de séparation et de frustration extrême, il était normal que nous ne parvenions pas à tenir le choc de façon tout à fait normal et presque naturelle. Le moment où nous allions craquer comme jamais et perdre totalement les pédales, n’allait plus tarder et nous serions aux premières loges pour y assister bien entendu. Sans compter le fait que tous les deux, nous avions grandis et muris et que par conséquent, nous ne jouions plus dans la même cours que huit années auparavant. A présent, nous ne pourrions nous contenter de simples préliminaires pour nous satisfaire. Oh non … Il nous fallait plus, beaucoup plus. Sous peine de nous voir nous consumer à feu lent, nous tuant plus que de raison. « Je suis pour que tu me chevauches ! Mais pas avant que je n’ai eus le droit de te faire l’amour en premier ! Tu parles à un homme frustré là ! » Lâchais-je en souriant en coin et lui lançant un regard coquin. « Imagine … Moi sur toi … Qui te taquine en frottant mon corps contre le tien … Avant d’entrer en toi sans prévenir et démarrer des coups de reins tout ce qu’il y a de plus rapide et puissant … ! » Ajoutais-je en la regardant longuement, le regard brillant de désir pour elle.

Parlant toujours quelque peu avec elle, je m’approchais lentement mais surement d’elle sans la quitter un seul instant du regard. Me collant à elle plus qu’il ne le faudrait réellement, je relevais son téléphone de ma main pour qu’elle le récupère, souriant en coin en la détaillant longuement du regard sans la moindre gêne, toujours aussi fou de son corps malgré les années passées. Me passant la langue sur les lèvres, je du lutter de toutes mes forces pour ne pas la pousser et la faire tomber sur le lit, pour la prendre sans attendre. S’il n’en n’avait tenu qu’à moi, je lui aurais fais l’amour sur le champ, sans même prendre le temps des préliminaires. Après tout, nous n’avions fais que cela durant deux longues années sans jamais arriver au bout de nos envies, avant d’être séparés par des parents égoïstes et sans cœur. Il était clair que je crevais d’envie pour elle et que ce fait était parfaitement réciproque. Comment aurait-il pu ne pas l’être de toute façon ? C’était tout bonnement impossible. Nous avions bien trop besoin et envie l’un de l’autre pour pouvoir nous mentir à l’un comme à l’autre sur ce fait indéniable. De toute façon, nous nous connaissions beaucoup trop pour pouvoir nous cacher quoi que ce soit de ce genre là. D’ailleurs il était parfaitement impossible que nous ayons le moindre secret l’un pour l’autre, quel qu’il soit. Nous nous connaissions trop pour cela et j’osais espérer que ça n’avait pas le moins du monde changé en huit trop longues années de séparation. Mentionnant le fait que je n’avais jamais été patient question sexe dans notre relation, je ne pu m’empêcher de sourire en coin en demandant alors comment faire pour lui résister. Comment lui résister alors que c’était très justement là tout ce qu’elle attendait, que je la comble ? Ca non plus je ne pourrais jamais le lui refuser. Et je pouvais encore moins résister à ses appels incessant en sachant parfaitement que c’était très précisément ce que moi-même je voulais avec force. C’était même là la seule que je voulais réellement dans le fond. Elle me rendait complètement fou de désir pour elle et rien ni personne ne pourrait jamais changer cela. Pas même le temps, c’était dire ! La preuve, malgré huit années passées l’un sans l’autre, nous nous retrouvions sans le moindre mal et ça avait le don de me tuer de plaisir et de bonheur tant c’était plus que parfait. « Hum…Je n’ai jamais été patiente non plus… Tu le sais… J’ai toujours aimé braver les interdits pour te voir pleinement jouir…Nos corps sont dans une alchimie indéfinissable et éternel… Nous ne pouvons pas résister mon amour... »

Gémissant faiblement en la regardant avec envie, j’eus un faible sourire en coin en soupirant doucement de plaisir et de bien être à ces quelques mots. Que j’aimais l’entendre me dire ce genre de chose. Ca avait le don de me rendre complètement fou et elle le savait très certainement, sans le moindre doute possible. Elle aimait se jouer de moi pour me voir perdre définitivement la tête et la raison. Tout autant que moi j’aimais lui faire ce genre de choses, simplement pour le plaisir de la voir perdue et excitée comme jamais, à chaque fois. « Et encore … Nous n’avons pas encore totalement fait l’amour ma Sissie. » Soufflais-je d’une voix légèrement rauque, la regardant avec envie avant de l’embrasser avec insistance et fougue, comme j’en rêvais depuis beaucoup trop longtemps pour pouvoir passer outre ce besoin impérieux. En cet instant, plus rien ne comptait qui n’était pas nous et le besoin, le désir, qui nous poussait l’un vers l’autre et nous collait l’un à l’autre. Tout le reste n’avait plus guère d’importance dès cet instant où nos lèvres se rencontrèrent et où nous langues se cherchèrent avec avidité. Le temps était comme arrêté, nous étions dans notre bulle et nous ne semblions plus avoir le moindre raccord avec le monde réel. Nous étions deux et c’était là tout ce que nous voulions, tout simplement. Ni plus ni moins. Gémissant longuement, je ne pu m’empêcher de défaire la serviette qui recouvrait encore son corps, de mes doigts, pour la faire glisser à même le sol et ainsi découvrir son corps absolument parfait et merveilleusement féminin. Comment ne pas avoir envie d’elle ? Comment ne pas perdre la tête à la seule vue de son corps ? C’était tout bonnement impossible. Elle était beaucoup trop parfaite et excitante pour qu’une telle chose soit seulement envisageable. La laissant nous faire basculer sur le lit, je ne tardais pas à reprendre le dessus sous le coup de l’excitation, glissant mes jambes entre les siennes pour donner de brefs mais puissants coups de reins, pour presser mon membre contre son intimité avec insistance, lui faisant plus clairement comprendre encore, combien j’avais envie d’elle en cet instant. Sentant sa main se faufiler entre nos corps pour se glisser sous mes vêtements et empoigner mon membre, je laissais échapper un long gémissement contre ses lèvres, l’embrassant toujours avec fougue et ardeur sans parvenir à m’en lasser tant c’était bon et plaisant de la retrouver pleinement, enfin, après tout ce temps ! Riant doucement lorsqu’elle me fit la remarque que de ce côté-là j’avais bien évolué, je lui fis remarquer qu’il en allait de même pour sa poitrine, souriant quelque peu en coin lorsqu’elle me demanda si j’aimais sa nouvelle poitrine. Quelle question ! Elle était merveilleuse comme tout le reste de sa petite personne bien entendu. Comme si j’avais pu penser le contraire alors qu’elle était tout simplement faite pour moi, à mes yeux.

Sans me faire prier, je lui fi alors remarquer que ses seins étaient absolument parfaits pour mes mains et qu’en plus de cela, le fait qu’ils aient grossis, nous permettait de faire bien plus de choses, sans pour autant préciser quoi. Elle comme moi savions parfaitement de quel genre de choses je pouvais bien parler à cet instant là. Je n’oubliais pas que dans le passé, sa poitrine avait longtemps été source de complexes pour elle. Mais à la regarder à présent, je doutais qu’elle ait encore la moindre raison d’avoir un quelconque complexe. « Elle t’a toujours plu parce que c’est la mienne… Mais oui là on pourra faire plus de choses avec… Beaucoup plus de choses… Tes mains sont parfaites pour ma poitrine… Totalement parfaite, je ne veux plus qu’elles touchent d’autres seins que les miens… » Souriant en coin devant son sous entendu on ne peut plus clair sur le fait qu’elle était bel et bien jalouse comme de part le passé, je déposais un lent baiser sur ses lèvres en soupirant longuement de plaisir à sa main resserrée sur mon membre. « Mes mains sont faites pour tes seins et ne veulent plus aucune autre poitrine que la tienne. » Soufflais-je d’une voix rauque contre ses lèvres en bougeant très légèrement le bassin pour l’inciter à continuer sa caresse sur mon membre qui n’attendait rien de plus que de glisser en elle et le plus vite possible. La sentant se glisser sous mon corps comme dans le passé pour placer son visage à hauteur de mon entre jambe, je laissais échapper un long gémissement de plaisir et d’excitation en serrant les poings, sachant parfaitement ce qu’elle s’apprêtait à faire. Son souffle contre mon membre vint confirmer mes doutes, me faisant frissonner de tout mon long sans pour autant chercher à l’arrêter. Bien au contraire évidemment, je ne voulais surtout pas qu’elle s’arrête en si bon chemin ! Malheureusement pour moi, signe sans doute que ce n’était toujours pas le bon moment, des coups frappés à la porte vinrent la stopper dans son élan. Gémissant de frustration, nous furent contraints d’interrompre tout ce que l’on était en train de faire. Soupirant doucement, je remettais de l’ordre dans ma tenue, la laissant mettre mon tee shirt dans son lit avant de la suivre jusque dans sa salle de bains où j’allais devoir attendre son retour. Entendant la porte se refermer derrière elle, je soupirais longuement en m’adossant à un mur de la pièce et fermant les yeux pour attendre son retour patiemment. Me retrouvant rapidement avec elle, à nouveau, dans sa chambre, je l’attirais contre moi sur le lit sans pour autant penser sexe, me contentant de la serrer contre moi pour qu’elle sache que j’étais bel et bien là pour elle.

La laissant s’installer sur moi à califourchon, j’eus bien du mal à déglutir lorsque je la vis retirer à nouveau sa serviette pour se retrouver totalement nue sur moi, son corps aux courbes envoûtantes, offert à moi. La sentant se coller à moi pour m’embrasser franchement, je pressais mes mains dans son dos pour la coller totalement contre moi, sa poitrine pressée contre mon torse. Souriant en coin à sa question lorsqu’elle me demanda si j’étais partant pour reprendre là où nous nous en étions arrêtés, je m’emparais de sa main pour la poser sur mon entre jambe, mon membre étant pleinement durcit par le désir qu’elle suscitait en moi. Manifestation physique qui suffisait très certainement à répondre à sa question tant la réponse me paraissait des plus évidentes. Nous allongeant tranquillement sur le lit, je lui soufflais qu’à présent que nous avions commencé des choses intéressantes, il fallait que nous les continuions. Dans l’immédiat, je ne voyais pas d’autre fin possible à notre petit tête à tête que celui, le besoin de se retrouver enfin pleinement, étant on ne peut plus puissant pour l’un comme pour l’autre. Je savais qu’il était tout bonnement impossible que je reparte à présent de chez elle, sans lui avoir fais l’amour comme j’en rêvais depuis beaucoup trop longtemps à mon goût. L’attente était devenue tout bonnement insupportable comme ce n’était pas permit, j’en devenais fou ! Sa main se pressant sur mon membre avec insistance, je gémissais doucement en souriant en coin lorsqu’elle entreprit de me retirer mon jean, la laissant faire sans la quitter du regard. « Oui… passons aux choses sérieuses… J’allais te faire une petite gâterie si mes souvenirs sont bons… » Gémissant longuement, je fermais à demi les paupières sans pour autant la quitter du regard, soupirant de plaisir en la laissant retirer mon boxer, me retrouvant ainsi tout aussi nu qu’elle-même l’était. « C’est fou comme tu as bonne mémoire ma princesse. » Soufflais-je doucement, d’une voix franchement rauque sous l’afflux du désir qui ne faisait que grandir de minute en minute. Gémissant doucement en la sentant s’allonger sur moi de tout son long, je faufilais mes doigts dans ses cheveux pour presser son visage contre le mien avec force pour l’embrasser avec plus de fièvre et de fougue, le souffle totalement coupé et le cœur battant la chamade. Tout cela me paraissait être beaucoup trop beau pour être vrai. J’étais tout simplement en train de vivre un rêve éveillé, je n’avais pas le moindre doute là-dessus. Et pourtant, un rêve qui était on ne peut plus réel. La sentant basculer en arrière en m’attirant tout contre elle, je basculais sur le lit pour me retrouver à nouveau sur elle, fermant les yeux en l’embrassant presque sauvagement, ma langue trouvant et caressant la sienne avec fougue et ardeur, ma main se posant sur son visage pour la caresser avec lenteur, remontant doucement à ses cheveux. Ses parcourant inlassablement mon corps, je la laissais faire sans broncher et sans interrompre notre baiser, frissonnant longuement de plaisir et de bien être sous ses mains qui semblaient me redécouvrir et redessiner mon corps comme dans le passé. A croire que huit années ne venaient pas réellement de s’écouler durant lesquelles nous ne nous étions pas vu une seule fois sans même avoir la moindre nouvelle de l’un et de l’autre.

Le baiser prenant fin, j’entrouvris légèrement les paupières pour la voir se glisser rapidement sous mon corps, ses lèvres et sa langue retrouvant sans attendre mon corps pour le parcourir lentement et le recouvrir de salive. Gémissant faiblement, je croisais mes avant bras sur le lit, posant mon front dessus pour baisser le regard sur elle, la regardant faire en tremblant longuement d’envie et d’excitation, aimant la voir garder un tant soit peu son calme pour ne pas s’emballer et tout terminer trop rapidement. La sentant griffer ma peau, je frissonnais avec force en serrant les dents, soupirant longuement pour garder un tant soit peu le contrôle de moi-même, ne la quittant pas du regard tandis qu’elle continuait de descendre le long de mon corps tout en y déposant de lents et humides baisers. Sentant ses mains se poser par la suite sur mes fesses, me faisant comprendre qu’elle était arrivée à son but ultime, je me mordillais les lèvres avec insistance en fermant les yeux et déglutissant difficilement. Le souffle coupé, je serrais les dents dans l’attente presque insoutenable, de la caresse de ses lèvres sur mon membre. Les sentant enfin s’y déposer avec extrême lenteur, je me figeais franchement comme surpris par ce contact pourtant encore si simple. Ses lèvres parcourant inlassablement mon membre, je la regardais faire en me passant la langue sur les lèvres, le souffle me manquant et mon cœur n’ayant de cesse de battre à une vitesse effrénée. Laissant échapper un faible gémissement presque torturé en voyant qu’elle prenait tout son temps, je bougeais lentement le bassin pour l’inciter à le prendre en bouche, serrant moi-même les dents pour tenter de me calmer et revenir un tant soit peu à moi ce qui, comme je pu m’en rendre compte de moi-même, n’était véritablement pas chose aisée lorsque la femme de sa vie était sur le point de reprendre des préliminaires que nous avions du interrompre lors d’une séparation forcée, huit longues années plus tôt. « Putain que tu m’as manqué… ton corps m’a manqué… Than… Mon Than d’amour… » Son souffle contre mon membre, je me passais lentement la langue entre les lèvres en fermant à demi les paupières sous l’afflux de l’excitation, sans pour autant la quitter du regard, lâchant un long et fort gémissement tout à fait involontaire lorsqu’elle referma enfin ses lèvres sur mon membre pour entreprendre des vas et vient. « Oh … Bon sang … Ma Sissie ! » Soufflais-je d’une voix rauque en grinçant franchement des dents tant je les serrais sous l’afflux du plaisir et dans ma lutte acharnée pour ne pas hurler franchement de plaisir, sentant mon corps se recouvrir aussitôt d’une fine couche de sueur. Déglutissant longuement, je bougeais légèrement le bassin pour l’inciter à continuer ses vas et vient, comme je le faisais un an plus tôt, gardant tout de même une certaine retenue en sachant que j’avais bien trop changé de ce point de vu là de mon physique, pour faire comme dans le passé, de façon tout à fait insouciante. Même si dans l’immédiat, j’étais grandement surpris de voir avec quelle facilité elle parvenait à faire exactement les mêmes choses que dans le passé. A croire que dans le fond, rien n’avait changé. Ce qui, dans le fond, n'était pas bien loin de la vérité après tout. N'étions nous pas à peu de choses près, les mêmes que dans le passé ? En tout cas, nous étions bien Cassie et Gaylwen, deux personnes éperdument amoureuses l'une de l'autre. Nous étions toujours aussi fou amoureux et persuadé de faire notre vie ensemble et de fonder notre famille comme nous le voulions depuis toujours ou presque. Oui, nous étions toujours les mêmes et il y avait bien peu de choses dans le fond, qui avaient vraiment changées. Gémissant longuement, je redressais la tête pour mordre mon bras avec violence pour me retenir de hurler franchement de plaisir en sachant parfaitement que sa mère pouvait parfaitement entendre si nous venions à faire trop de bruit, se trouvant alors elle aussi dans la maison.

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R. Hallibel Snezava
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✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."




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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeDim 3 Juil - 16:50
« Je suis pour que tu me chevauches ! Mais pas avant que je n’ai eus le droit de te faire l’amour en premier ! Tu parles à un homme frustré là ! » riant doucement en croisant son regard coquin, je ne pus m’empêcher de lécher lentement et longuement mes lèvres comme pour le provoquer un tant soit peu. « Imagine … Moi sur toi … Qui te taquine en frottant mon corps contre le tien … Avant d’entrer en toi sans prévenir et démarrer des coups de reins tout ce qu’il y a de plus rapide et puissant … ! » Entrouvrant la bouche en lui tournant un regard brillant de désir, la bouche ouverte sous le coup du choc, je ne pus m’empêcher de déglutir franchement en poussant un faible cri de plaisir. Il venait de me tuer, il venait de m’achever et ceux pour de bon ! il n’avait pas le droit de me faire subir une telle chose ! Il n’avait pas le droit de me dire ça alors que je crevais littéralement d’envie de lui ! « Bon sang Gaylwen ! Tu n’as pas le droit de me faire ça ! Merde ! HEY ! Tu parles à une femme frustrée chéri… Je te chevauche en premier et tu me prends par la suite… T’en dis quoi beau mâle ? » soufflai-je d’une voix des plus provocatrice avant de le laisser venir près de moi pour me rendre alors mon téléphone. Téléphone que j’avais oublié chez lui sans faire exprès, je ne m’étais même pas rendu compte que je l’avais oublié c’était pour dire…Le destin, oui c’était le destin qui faisait que l’on devait se retrouver chez moi dans ma chambre comme il y a huit ans… Sans attendre je ne pu m’empêcher de lui dire que je n’avais jamais été patiente, comme lui dans un sens, nous étions deux impatients sexuellement, lui plus que moi et nous avions toujours du mal a nous contenir… C’était ce qui faisait le charme de notre couple, est ce qu’aujourd’hui on pouvait appeler cela un couple ? je me le demande bien… J’espérais bel et bien que oui, tout de même car je l’aimais à en crever ! « Et encore … Nous n’avons pas encore totalement fait l’amour ma Sissie. » Non, nous n’avions pas totalement fait l’amour, nous ne l’avions même jamais fait… Combien de fois avait-il eu la possibilité de rentrer en moi ? De me faire simplement l’amour pendant de longues minutes ? Beaucoup de fois, mais a chaque fois nous prenions notre temps, nous ne voulions en rien précipiter les choses. Nous étions tellement dans notre bulle que l’idée d’être séparé un jour ne nous avait jamais traversé l’esprit… Nous ne nous attendions pas à avoir des parents totalement mauvais et sans cœur, et pourtant c’était bien ce que nous avions eux… Pas de chance… Dans le fond, nous devions peut être connaitre un quota de malheurs pour vivre pleinement heureux notre vie de couple. Oui, mais non, puis de toute façon maintenant nous étions enfin réunis, c’était tout ce qui comptait… Oui tout…

« Pas encore, mais ça ne serait tarder… Je te veux Than, tu es tout ce que j’ai, je ne veux que toi, je m’adonne à toi… Pitié dis moi qu’on ne se perdra plus de vu… Plus jamais… » soufflai-je doucement en sentant alors ses lèvres sur les miennes. Tout se déroula tellement vite, tellement rapidement… Nos deux corps sur le lit lui sur moi, ses jambes s’immisçant entre les miennes pour me les écarter je le laissais faire en cambrant parfaitement le dos. J’aimais qu’il puisse être si proche de moi, tout en caressant ma poitrine de ses mains. Parlant alors de celle-ci comme quoi elle avait changé, mais qu’elle était toujours sienne et que par conséquent le fait qu’elle soit devenu plus grosse lui laisse la possibilité de faire plus de chose. J’avais rapidement compris les sous entendu… « Mes mains sont faites pour tes seins et ne veulent plus aucune autre poitrine que la tienne. » Gémissant faiblement en resserrant ma main sur son membre, je ne pus m’empêcher de déglutir sous l’intense plaisir qui me submergeait. Je ne voulais qu’une chose, faire l’amour avec lui, le sentir glisser en moi avec douceur et lenteur pour par la suite me faire l’amour longuement et de plus en plus violemment, je voulais entendre nos corps claquer, je voulais simplement faire l’amour avec lui. Pourquoi nous ne l’avions jamais fait dans le passé ? Car nous pensions avoir le temps, car nous savions que si nous commencions a faire l’amour nous ne ferions que cela et nous voulions prendre le temps de nous découvrir, dans un sens toutes les préliminaires que nous avions faite avait été un pur délice, nous ne pouvions pas cracher dessus, loin de là. Et maintenant, maintenant nous ne voulions qu’une chose unir nos corps, pour rattraper huit ans perdus… Huit longues années ou nous aurions dû faire nos études ensemble, se trouver un petit appartement, vivre notre vie de jeune couple mariés, car je savais que l’on se serait mariés une fois a l’université, et une fois les études arrivés à terme nous aurions conçu notre premier enfant. En clair nous devrions avoir un enfant en ce moment même, une petite fille ou un petit garçon, je n’en savais trop rien, mais il était clair que je ne voulais plus perdre de temps… Si nous nous remettions ensemble, au revoir la pilule, bonjour grossesse, nausées matinal et gonflement de ventre ! Je voulais a tout prix un enfant et plus rapidement que prévu pour lui surement. Est-ce qu’il voulait toujours fonder une famille avec moi au moins ? Non, je ne pouvais pas douter de ses envies… « Nos corps sont fait l’un pour l’autre de toute façon… Moi je ne veux que ton sexe et pas un autre, toi mes seins… Nos corps sont en parfaite harmonie… Ne surtout pas les séparer une seconde fois… » soufflai-je doucement en glissant alors le long de son corps pour me mettre a niveau de son membre totalement durci et changé. Oui, il avait changé, tout comme moi, en huit ans, nous avions bien prit le temps de grandir. Soufflant sur son membre, prêt a le mettre en bouche, des coups se firent tout a coupe entendre a la porte. Nikkie.

Le destin… elle était toujours là pour tout faire foirer… J’allais pleurer, j’allais m’énerver, je ne voulais pas être dérangé alors que j’étais en train de retrouver l’amour de ma vie, merde ! Me relevant en le poussant dans la salle de bains pour ne pas qu’elle le voit, non qu’elle puisse le reconnaitre, enfin si, il avait grandit, changé, mais on le reconnaissait tout de même… Ouvrant la porte, on se mit plus ou moins a se disputer. Sans perdre de temps, et perdant le contrôle de moi-même je la tirais en bas la foutant alors dans sa chambre en claquant franchement la porte. Merde à la fin ! Revenant rapidement en haut, je fermais ma chambre a clé par simple précaution allant retrouver alors mon tendre et unique amour. Me consolant comme il pouvait, on filait vers le lit, se laissant tomber dessus. Lui assis sur le bord du lit, je ne pus m’empêcher de me mettre a califourchon sur lui faisant alors a nouveau tomber la serviette me retrouvant nue sans attendre. Je ne pus m’empêcher de murmurer que nous allions faire quelque chose avant d’être déranger… Du moins j’allais lui faire quelque chose en l’occurrence. « C’est fou comme tu as bonne mémoire ma princesse. » souriant en coin en le regardant longuement, je le poussais alors doucement pour nous allonger sur le lit. Tout en le déshabillant. Si j’avais bonne mémoire ? Toujours quand ça nous concernait ! Je n’avais pas deux ans d’avance pour rien tout de même… Non, j’étais une fille intelligente, j’étais parfaite en tout point… tout ce qui nous concernait était au fond de ma tête bien enfouit et je n’oubliais rien, jamais, absolument jamais ! Plutôt crever que d’oublier un seul moment passé avec l’amour de ma vie, c’était impensable… Qui pourrait oublier de tels moments ? Personne, non personne on ne pouvait pas oublier l’amour que l’on a vécut, on ne pouvait pas mettre simplement de côté et se dire que le prochain le remplacera… Non car il n’y avait pas de prochain ! Non moi c’était seulement lui que je voulais, lui et personne d’autre, Gaylwen et pas un homme de substitution ! Simplement mon bébé, mon amour, ma vie, mon tout ! Parce que je n’envisageai pas ma vie sans lui et que dans le fond, je préférais mourir que de devoir faire ma vie sans lui ou bien même avec un autre. Inspirant longuement ma langue percutant alors la sienne, je poussais un faible gémissement tout en lui mordillant la lèvre avec sensualité par la suite. Le regardant droit dans les yeux, un regard bleu si envoutant et si différent du mien qui pourtant est tout aussi bleu que le sien, je ne pus m’empêcher de lui sourire en léchant alors ses lèvres. « Tu sais que quand il s’agit de toi et moi j’ai toujours une bonne mémoire… Tu es ma source d’inspiration mon prince, je ne peux que tout retenir… » soufflai-je doucement en l’embrassant alors a nouveau d’un baiser enflammé, un baiser amoureux, sensuelle, passionnel, un baiser qui disait clairement que je ne voulais pas m’arrêter là !

Non, je voulais bien plus qu’un baiser, j’étais bien trop excitée pour m’arrêter là ! Je voulais plus toujours plus et je ne voulais pas faire ma timide. De toute façon je ne l’avais jamais fait et je ne le ferais jamais ! Le tirant nous nous retrouvâmes alors lui sur moi. Relevant mes jambes pour caresser son corps de mes jambes, je poussais un faible gémissement en cambrant le dos, ma poitrine sur son torse, celle-ci durcissant quelque peu. Bougeant le bassin en sentant son membre effleurer doucement mon intimité, me baissant en me faisant glisser le long de son corps, je ne pus m’empêcher de prendre alors son membre légèrement en bouche, le léchant en soufflant longuement dessus tout ne lui murmurant alors que son corps m’avait terriblement manqué. Chose vraie… Refermant alors mes lèvres sur son membre je me mis a faire de lents vas et vient. « Oh … Bon sang … Ma Sissie ! » Gémissant longuement au surnom, je fermais vaguement les yeux tout en souriant en coin. Je l’aimais, je l’aimais terriblement, je ne pouvais pas le nier, l’oublier, ou le mettre de coté… C’était tout bonnement impossible pour moi de faire une telle chose… Même après huit ans de séparation, huit longues années, c’était difficiles, c’était terrible, nous avions passés des épreuves vraiment dures, du moins de mon côtés on ne peut pas dire que ça soit si facile que cela… Non ça ne l’était pas. Je m’étais mise à boire, alors que j’avais toujours rejeté l’alcool, en vue de ce que le père de Gaylwen faisait, boire a ne plus savoir ce qu’il faisait, boire, jusqu’au point de battre sa femme, et de s’en prendre plus ou moins à ces enfants… Non, je n’aurais jamais dû flancher, mais en même temps… comment faire pour le savoir ? Je ne lui parlais plus, il devait se marier, je n’aurais jamais du le revoir… Et si mon père n’était pas mort ? Je ne serais jamais revenu et je n’aurais pas revu Gaylwen, je serais surement en train de bronzer à la plage et de décuver comme je peux de la veille… Oui voilà ce qu’était mon quotidien depuis que je vivais sur Los Angeles. Pourquoi ne m’avait-il jamais rejoint ? J’étais tout de même venu voir sa mère pour lui dire qu’ils me larguaient sur New-York… Il aurait pu venir, il m’aurait trouvé, il suffisait, je ne sais pas moi… de demander mon adresse à la mairie par exemple ! Ou de chercher dans les facultés… J’avais si mal que parfois c’était a me demander s’il tenait réellement a moi, mais sa mère nous avait plus ou moins trahit aussi… Est-ce qu’elle m’avait réellement mentit pour le mariage ? Il fallait croire que oui, j’étais blessée, profondément vexée… Je voulais éclaircir les choses, je voulais la voir et je ne me gênerais pas pour lui faire clairement comprendre que si jamais elle m’avait mentit elle serait bien reçu… Mère de Gaylwen ou pas mère de Gaylwen… J’avais tellement changé… J’étais devenu beaucoup plus sauvage et violente… La perte de l’amour de ma vie m’avait rendu nerveuse et franche au point que s’en était parfois violent.

Comme si je me foutais de tout… Oui la provocation était tout ce qu’il m’était resté. Devenir agressive, répondre sans me soucier des conséquences ne pas hésiter a me servir des gens, non ne surtout pas hésiter, mais dans le fond j’avais tout aussi été dépressive… J’avais voulu mourir ce jour la a la banque et si j’avais pu mourir j’en aurais été contente… Et Gaylwen ne l’aurait jamais su… Il aurait refait sa vie, je n’en doutais pas une seule seconde de ce point là… Après tout il n’avait pas mis longtemps… Pour … Fermant les yeux préférant ne plus penser à cela alors que j’étais sous lui en train de caresser longuement son anatomie, je me mis a soupirer faiblement léchant alors tendrement cette partie pour lui donner un plaisir fou. Le prenant en bouche sans aucun soucie et entièrement, je me mis a faire de long et lent vas et vient, ms mains parcourant son corps, comme pour le redécouvrir. J’aimais faire cela, j’avais toujours aimé, et des flashs du passés ne cessaient de se faire dans ma tête lorsque nous étions encore deux simple adolescents. Ou on riait en essayant de ne pas se faire entendre de mon frère qui était dans la chambre juste en face… Ou alors que celui-ci venait frapper à la porte pour nous dire clairement de cesser ou du moins de faire moins de bruit. Combien de fois nous avait il couvert ? Je ne les comptais plus, c’était ça d’avoir un frère parfait ! Je l’aimais et pour rien au monde je ne le négligerais ! Ouvrant lentement les yeux, pour pencher un peu ma tête en arrière je regardais Gaylwen se mordre l’avant bras, signe qu’il se retenait de hurler puisque ma mère était là… Accélérant peu à peu mes mouvements, je ne pu m’empêcher de le mordiller avec lenteur tout en attardant ma langue sur son point sensible avec volupté et désir. Je voulais l’entendre frémir sous mes caresses, je voulais le sentir trembler de désir, crever totalement sous le plaisir intense dans son corps qui n’émanait que de mes simples petites caresses. Remplaçant ma bouche par ma main je le serrais fortement pour faire de long et plus ou moins rapide vas et vient avant de suçoter lentement son point sensible, avant de me redresser pour remonter le long de son corps. L’embrassant alors franchement, ma tête se penchant pour mieux coller mes lèvres aux siennes je glissais ma langue dans sa bouche la pressant contre la sienne tout en poussant de faibles gémissements de plaisir. Ma jambe remontant le long de son corps, je le caressai avec envie tout en le poussant nous retrouvant alors l’un face à l’autre allongé sur le côté. Ma main s’emparant a nouveau de son membre, je ne pus m’empêcher de frissonner tout en poussant un léger cri. « Than… Dis-moi que je ne rêve pas… S’il te plait, dis moi que tu es réel, que… Que tu n’es pas un rêve et que je vais me réveiller… » soufflai-je contre ses lèvres en lui lançant alors un regard remplit d’amour et de désir, mais se voilant peu a peu de tristesse dans la peur de ne faire qu’un simple rêve. Je ne voulais pas rêver, je ne voulais plus rêver, je voulais le vivre, je voulais qu’il soit la pour de vrai… Déglutissant longuement en passant ma langue sur mes lèvres, je posais alors avec délicatesse mon front contre le sien, tout en gémissant, ce simple contact me faisant vibrer comme jamais. Mon visage était une zone sensible et tous les deux nous le savions parfaitement … Inspirant longuement en déposant de multiples baisers humides sur ses lèvres, je ne le quittais pas du regard tout en souriant faiblement « Je t’aime Gaylwen. Je t’aime depuis toujours et je ne cesserai jamais de t’aime mon amour. » soufflai-je d’une voix basse et sensuel, comme un secret chuchoté.
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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeMar 19 Juil - 23:35
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You make me feel like I’m living a teenage dream

« Bon sang Gaylwen ! Tu n’as pas le droit de me faire ça ! Merde ! HEY ! Tu parles à une femme frustrée chéri… Je te chevauche en premier et tu me prends par la suite… T’en dis quoi beau mâle ? » La détaillant longuement du regard, je ne pu m’empêcher de rire doucement en croisant son regard brillant d’un désir à l’état brut. Celui là même qu’elle me lançait de part le passé lorsqu’elle avait terriblement envie de moi. Certes un désir qui ne finissait jamais par un rapport sexuel dans le vrai terme du mot. Mais bel et bien par des préliminaires sans fin et d’une absolue perfection. Ce bref cri d’excitation qu’elle venait de lâcher à mes paroles des plus excitantes et faites justement pour lui faire perdre la tête pour de bon, avait eut le don de me faire frissonner d’envie à mon tour. J’étais complètement dingue de l’effet que nous nous faisions l’un l’autre et ça ne changerait très certainement jamais. Même après huit putains de longues années de séparation, le désir et l’amour entre nous semblaient toujours aussi intact et c’était presque trop bon pour être vrai. Jamais je n’aurais pu imaginer une seule seconde qu’un jour, je pourrais recroiser son regard brillant de désir pour moi. Un désir que rien ni personne ne pouvait et ne pourrait jamais effacer, je n’avais pas le moindre doute là-dessus. La détaillant longuement du regard en parcourant lentement son corps du regard sans ciller, allant de ses pieds à son visage, je fis exprès de me passer lentement la langue entre les lèvres sans la quitter du regard, sachant que ce petit geste d’aspect banal, avait le don de lui faire perdre les pédales. Dans ces moments là, elle avait toujours un mal fou pour se retenir de me sauter littéralement dessus pour attraper ma langue de ses lèvres et la suçoter franchement ou simplement m’embrasser en pressant longuement et fougueusement sa langue contre la mienne. C’était là encore un témoignage de notre amour et de notre désir violent, qui nous consumait petit à petit sans jamais nous laisser le moindre répit. « Et alors ? Je suis tout autant frustré que toi Sissie … Et non je ne suis pas d’accord. Moi le premier sinon je boude et je te prive de sexe… » Lâchais-je d’un ton franchement taquin en souriant en coin et lui lançant un regard à la fois tendrement moqueur et franchement coquin.

Sans trop attendre, je m’approchais par la suite d’elle pour lui rendre son téléphone qu’elle avait oublié chez moi. Heureux hasard que, pour ma part, je préférais appeler destin. Oui, je voulais véritablement croire que le destin avait enfin retrouvé la raison et décidé de nous réunir à nouveau et ce, pour de bon. Cet enfoiré avait plutôt intérêt à ne plus jamais vouloir nous séparer car cette fois, je ne le laisserais pas faire. Je comptais bien m’accrocher à Cassie comme jamais je ne l’avais fais. Plutôt crever que de la laisser disparaître hors de ma vie une nouvelle fois. J’avais bien trop besoin d’elle pour faire une chose pareille, elle m’était tout simplement vitale et personne ne pourrait jamais remettre cela en doute. Je n’avais d’ailleurs jamais douté un seul instant de ce fait véridique même alors que je l’avais laissé filer comme l’abruti que j’étais, intimement convaincu qu’elle avait accepté de me quitter. Comment aurais-je pu en douter alors que jamais elle n’avait cherché à me joindre ? Du moins pas à ma connaissance. Elle avait tout de même toujours eus mon numéro de téléphone et mon adresse. Et même lorsque moi-même je tentais de l’appeler, c’était pour m’entendre dire que ce numéro n’était pas attribué. Qu’aurais-je pu croire d’autre que le fait qu’elle avait tiré un trait définitif sur notre histoire ? En tout cas, j’avais été tout bonnement incapable de trouver une autre raison à ce départ et cette absence pesante. Sans doute que j’aurais du me douter un moment tout de même, que ses parents étaient forcément derrière tout cela. Mais pour le coup, je n’avais pas franchement pris le temps de réfléchir tant j’étais blessé, vexé, frustré, mais surtout détruis pour de bon. « Pas encore, mais ça ne serait tarder… Je te veux Than, tu es tout ce que j’ai, je ne veux que toi, je m’adonne à toi… Pitié dis moi qu’on ne se perdra plus de vu… Plus jamais… » Souriant en coin sous ses paroles, je m’approchais plus encore d’elle pour coller franchement mon corps au sien et approcher lentement mon visage du sien, son souffle caressant lentement mon visage. « C’est fini, totalement fini mon amour. Maintenant qu’on s’est retrouvés, je ne laisserais personne se mettre en travers de notre route. On est ensemble et c’est à vie ! Et oui … Ca ne saurait tarder … On va bientôt faire ce qu’on aurait du faire il y a bien longtemps … » Soufflais-je doucement, mon souffle frôlant lentement ses lèvres avant que je ne l’embrasse franchement, gémissant presque aussitôt sous le plaisir intense que je ressentis à l’embrasser enfin après autant d’années de frustration extrême. Plus jamais ça. Oh non, plutôt mourir que de supporter une vie sans elle.

La suite aussi surprenante soit-elle, s’enchaina bien rapidement. Avant même que je n’ai eus le temps de vraiment comprendre ce qui nous arrivait, nous roulions sur le lit, l’un prenant le rôle de dominant avant d’inverser nos places, le tout sans cesser de nous embrasser de façon éperdue tant nous étions terriblement heureux et ravis de nous retrouver. Le plaisir était déjà là sans parler du désir qui semblait nous ronger longuement et violemment l’un comme l’autre. C’était presque trop bon pour être vrai et à vrai dire, aucun de nous ne semblait vouloir arrêter le cours des évènements. Gémissant longuement de plaisir, nous parlions alors de nos corps. Mais plus précisément, des changements qui s’étaient opérés du côté de sa poitrine et de mon sexe. A savoir, que l’un comme l’autre nous avions bien évolués de ce côté-là. « Nos corps sont fait l’un pour l’autre de toute façon… Moi je ne veux que ton sexe et pas un autre, toi mes seins… Nos corps sont en parfaite harmonie… Ne surtout pas les séparer une seconde fois… » Gémissant longuement de plaisir, je l’embrassais de plus bel sans plus pouvoir m’arrêter, le souffle totalement coupé par le plaisir et le désir qu’elle parvenait encore et toujours à susciter chez moi. La laissant par la suite glisser le long de mon corps pour approcher son visage de mon membre, je fermais les yeux en me figeant franchement à la pensée de ce qu’elle était sur le point de faire. Malheureusement le destin ne semblait pas être près à nous laisser tranquille de sitôt puisque c’est justement cet instant là très précisément, que choisit sa mère pour arriver et frapper à la porte, la coupant dans son élan. Malgré l’envie de la retenir ici avec moi, je me reculais et remettais en place mon boxer et mon pantalon pour la laisser filer après m’avoir indiquer la salle de bains où je devrais rester le temps qu’elle s’occupe de ramener sa mère dans sa chambre. Je n’eus d’ailleurs pas bien longtemps à attendre puisqu’en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, elle était revenue et me conduisait jusqu’à son lit où rapidement, il fut à nouveau question de ce qu’elle s’apprêtait à faire avant d’être dérangée par son abrutie de mère. Dieu que je pouvais la détester celle là. Autant que mes propres parents à vrai dire. Cela signifiait franchement énormément ! Gémissant quelque peu lorsqu’elle me fit m’allonger sur le lit pour me déshabiller, je la laissais faire sans broncher en souriant faiblement et soupirant longuement de bien être, mon cœur s’emballant fortement à l’idée de ce qu’elle allait enfin faire ! « Tu sais que quand il s’agit de toi et moi j’ai toujours une bonne mémoire… Tu es ma source d’inspiration mon prince, je ne peux que tout retenir… » Souriant quelque peu, je répondis à son baiser des plus passionnés, sans me faire prier un instant, soufflant longuement de plaisir en laissant échapper un bref gémissement sans pouvoir me retenir tant j’aimais tout cela. Ces retrouvailles inespérées étaient encore mieux que tout ce que j’aurais pu m’imaginer jusque là. Certes nous venions d’être coupés par l’arrivée de sa mère. Mais c’était pour mieux reprendre par la suite puisque de toute évidence, c’était absolument parfait dès à présent. « Oh oui que j’aime ça bon sang ma Sissie … Ma princesse Sissie … » Soufflais-je doucement en souriant en coin et lui lançant un regard amoureux entre deux baisers avant de me figer franchement lorsqu’elle glissa à nouveau sous mon corps pour s’approcher de mon membre qui n’attendait qu’elle et depuis bien trop longtemps.

Sentant son souffle, ses baisers, sa langue et enfin ses lèvres sur mon membre, je ne pu m’empêcher de gémir longuement de plaisir en fermant les yeux et tremblant fortement presque malgré moi. J’avais l’étrange impression que c’était la première fois de ma vie que l’on me faisait cela. Et dans le fond ce n’était pas tout à fait faux puisque jamais personne n’aurait pu me procurer autant de plaisir que pouvait m’en procurer Cassie. Et ce, pour la simple et bonne raison qu’elle était elle tout simplement et que je l’aimais éperdument. Or, ces sentiments étaient tout et signifiaient absolument tout. C’était parfaitement ce qui faisait toute la différence, je n’avais pas le moindre doute là-dessus. La sentant faire de longs et lents vas et vient de mon membre entre ses lèvres, je ne pu m’empêcher de me mordre fortement l’avant bras pour m’empêcher de gémir trop fortement voir même de hurler sous l’afflux important de plaisir qui grandissait en moi. Cela me rappelait étrangement notre passé, à cette époque où nous devions faire le moins de bruit possible pour ne pas être surpris et découverts par ses parents. Généralement, c’était son frère qui nous entendait et qui venait frapper à la porte pour nous faire cesser ou simplement faire moins de bruit, conscient que si leurs parents nous découvraient tous les deux dans le lit de Cassie, ça serait terminé pour de bon de nos moments plus que parfaits que nous partagions l’un avec l’autre. Or à cette époque là, alors que nous nous découvrions tout juste, je doutais franchement que nous aurions pu nous passer de tels moments de perfection ensemble. Non à vrai dire il était même clair que nous n’aurions jamais pu. Et que plutôt que de s’arrêter pour de bon, nous aurions tout simplement trouvé une nouvelle façon de nous retrouver pour répondre pleinement à notre désir débordant. La sentant alors accélérer franchement les vas et vient de sa bouche, je ne pu m’empêcher de lâcher un fort gémissement, fort heureusement largement étouffé par la morsure de plus en plus forte que je faisais subir à mon avant bras depuis de longues minutes. Sentant ses mordillements, j’eus du mal à déglutir tant tout cela était bien trop bon et bien trop puissant d’un seul coup, je fermais fortement les yeux en tremblant et frissonnant longuement de plaisir, laissant échapper un nouveau faible gémissement lorsqu’elle entreprit de suçoter mon point sensible tout en faisant de francs vas et vient sur mon membre, de sa main. Soupirant faiblement lorsqu’elle remonta le long de mon corps, je répondis à son baiser sans me faire prier, penchant à mon tour le visage pour glisser franchement ma langue dans sa bouche, trouvant et caressant longuement et fougueusement sa langue, sans pouvoir me retenir.

Je la laissais par la suite nous faire basculer avec lenteur sur le lit pour nous retrouver l’un en face de l’autre, sa main toujours refermée franchement sur mon membre. Soufflant longuement, lèvres entrouvertes, je la regardais sans broncher en frissonnant doucement de plaisir et la regardant de façon amoureuse et éperdue. « Than… Dis-moi que je ne rêve pas… S’il te plait, dis moi que tu es réel, que… Que tu n’es pas un rêve et que je vais me réveiller… » Souriant faiblement en lui lançant un regard attendri, je montais ma main à sa joue pour la caresser doucement et tendrement en déposant de lents baisers sur ses lèvres, lâchant de brefs soupirs de bien être et de plaisir. J’avais moi-même un mal fou à croire que tout cela était bel et bien réel. Comment croire avec certitude que nous n’allions pas nous réveiller l’un comme l’autre, chacun de notre côté, pour voir qu’en réalité, nous ne faisions que rêver ces instants de pure merveille. Difficile d’imaginer une seule seconde que tout cela était bel et bien vrai, que nous nous étions enfin retrouvés et ce pour de bon. Pourtant je voulais et pouvais le croire. Elle était là, tout contre moi, nous nous embrassions, étions nus l’un contre l’autre comme dans le passé. Nous connaissions exactement le même plaisir énormes et stupéfiants que huit trop longues années plus tôt. Malgré la distance, la souffrance et l’absence, nous étions de nouveau ensemble et cette fois c’était pour de bon. Nous étions tous les deux adultes et aucun doute que nous ne laisserions jamais personne nous séparer à nouveau. « Ma princesse … Je suis tout autant réel que toi et quand tu te réveilleras demain matin, je serais toujours dans ta vie. Peut-être pas dans ton lit parce que j’aimerais éviter de me faire tuer par ta mère maintenant … Mais tu pourras m’appeler ou venir me voir au bar, je serais là et bel et bien là. » Souriant faiblement lorsqu’elle déposa lentement son front contre le mien et déposa de lents baisers humides sur mes lèvres, je la regardais amoureusement en glissant mes doigts dans ses cheveux pour les caresser longuement, ravi de les retrouver bruns comme dans le passé. Certes ce n’était pas son brun naturel puisqu’elle les avait teints pour ne plus être blonde. Mais c’était toujours mieux que ce blond qui m’avait littéralement collé le frisson. Blond c’était bien trop différent de sa couleur naturelle, de ce qu’elle était véritablement. Et j’étais atrocement ravi de la retrouver petit à petit. Ma Cassie, ma Sissie, ma princesse, mon amour tout simplement. « Je t’aime Gaylwen. Je t’aime depuis toujours et je ne cesserai jamais de t’aime mon amour. » Soupirant doucement en la regardant longuement, j’eus un lent sourire en redressant la tête pour l’embrasser du bout des lèvres. « Et je t’aime aussi ma Cassie. Depuis toujours et pour toujours ma princesse, mon amour. » Soufflais-je lentement contre ses lèvres avant de la faire basculer avec lenteur sur le lit pour m’allonger sur elle, l’embrassant franchement en pressant amoureusement ma langue contre la sienne. L’embrassant un long moment, je finis par détacher mes lèvres des siennes pour enfouir lentement mon visage dans son cou, glissant avec lenteur en déposant de doux baisers sur sa peau. « Je t’aime … Et c’est à mon tour de retrouver ton corps … » Soufflais-je doucement contre sa peau. Arrivant à sa poitrine, j’empoignais lentement ses seins de mes mains en soupirant faiblement de bien être, relevant un regard amoureux et brillant de désir vers elle avant de les caresser longuement de mes lèvres et de ma langue, les mordillant avec lenteur avant de refermer avec douceur mes lèvres sur une pointe durcie, le suçotant longuement et franchement, fermant les yeux en soufflant doucement tant j’étais heureux et ravi de retrouver son corps. Certes différents, mais ça restait tout de même son corps.
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R. Hallibel Snezava
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Car personne d'autre n'a le droit de changement mon univers !


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✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."




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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeMer 3 Aoû - 23:32
« Et alors ? Je suis tout autant frustré que toi Sissie … Et non je ne suis pas d’accord. Moi le premier sinon je boude et je te prive de sexe… » Levant les yeux au ciel sous pareil calomnie je lui tirais lentement la langue en lui faisant les gros yeux pour me foutre bien de lui avant de rire doucement. Comme s’il pouvait me priver de sexe, lui. Il n’avait jamais pu me faire une telle chose… Ahaha… « Pourquoi toi le premier ? Guerre de sexe ! Ce n’est pas parce que tu es l’homme que tu dois me faire l’amour le premier… Mais putain je rêve que tu la glisse en moi, c’est tentant… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard des plus torrides pour le tuer sur place. S’approchant de moi pour me rendre le téléphone quelques minutes plus tard, on se mit alors a parler de destin et ainsi de suite. Mais aussi des messages que j’aurais pu lui envoyer si j’avais eu mon téléphone. Mais aussi je lui demandais de me rassurer et de me dire que l’on ne se perdra plus de vue, car il était clair que je ne le supporterais pas. « C’est fini, totalement fini mon amour. Maintenant qu’on s’est retrouvés, je ne laisserais personne se mettre en travers de notre route. On est ensemble et c’est à vie ! Et oui … Ca ne saurait tarder … On va bientôt faire ce qu’on aurait du faire il y a bien longtemps … » Inspirant fortement comme pour me donner du courage et de la force je le regardais longuement, nos corps se rapprochant l’un de l’autre avec rapidité je ne le quittais pas du regard n’en ayant pas le courage de toute façon. Comment le pouvoir alors que j’étais folle de lui ? Que je venais de le retrouver et qu’il venait de me rejoindre dans ma chambre pour me rendre mon téléphone que j’avais oublié chez lui. Comme il le disait si bien c’était là le destin.

Je voulais bien le croire, oui mais j’avais peur, peur que le destin ne retourne une nouvelle fois sa veste comme il l’avait fait il y a huit ans de cela… Huit ans de malheurs, huit ans sans que le destin ne soit avec nous, autant dire que ce n’était pas chose aisé… encore moins quand j’ai apprit qu’il allait se marier, il y a quatre ans de cela, un vrai choc émotionnel pour moi. Un poignard dans le cœur, oui c’était bien cela que j’avais eu droit… Une rupture brutale, un retour a la réalité, un message qui dit clairement que l’homme qui vous aimait, ne vous avait pas aimait autant que l’on pouvait l’espérer. Je me souvenais parfaitement de ce jour ou la mère de Gaylwen m’avait clairement annoncé que son fils se mariait. J’avais cru mourir sur place, les larmes, le désespoir, la descente en enfer… La clope, l’alcool, quelques fois la drogue, autant dire que c’était on ne peut plus clair j’avais été blessée et anéantit… Je me souvenais encore d’Ashelina qui avait essayé de me consoler lorsque nous nous étions connus alors que je pleurais encore le soir, et que j’essayais tant bien que mal d’oublier simplement l’amour de ma vie qui lui avait refait sa vie. Je voulais le croire quand il me disait ne jamais avoir été marié, il avait peut être dit non, le jour J, le jour du mariage… Peur par rapport a moi, notre promesse… Je n’en savais trop rien, puisqu’il n’avait jamais été marié, mais s’il avait failli, ça voulait dire pas mal de chose… Et je lui en voudrais toute ma vie, ça je le savais parfaitement… Essayant de me changer les idées, je sentis alors ses lèvres sur les miennes, dans un baiser ardant et violent, nous nous retrouvions rapidement sur le lit a rouler longuement avant qu’il ne soit sur moi me donnant de franc coup de reins sous l’afflux de plaisir. Gémissant fortement tout en déglutissant j’essayais tant bien que mal de m’en remettre. « Faut qu’on se marie… Je veux qu’on se marie ! Qu’on ait des enfants ! On devrait déjà en avoir un… Gaylwen… Dis moi oui… Dis moi oui et on fait un enfant on essaie d’en avoir ! Je suis prête… Totalement prête à mettre au monde notre enfant ! Tu as un emploie stable ! Moi aussi, tant pis pour mes études… Mais je veux un enfant de toi la de suite… » Soufflai-je rapidement sans pouvoir m’en empêcher comme pour lui faire clairement comprendre que moi, je voulais directement le tout. Je ne voulais plus attendre !

Il était hors de question que j’attende même ! Non, vraiment, je ne pouvais pas attendre, c’était tout bonnement impossible… Je voulais des enfants et rapidement, un petit garçon… Oh oui je voulais un mini nous, un enfant qui ressemble beaucoup à son père tout simplement. Sans perdre de temps nous nous embrassions à nouveau sans pouvoir nous retenir l’un l’autre avant que je ne glisse sous son corps. A deux doigt de franchir le cap ma mère frappa à la porte. Le poussant vivement une fois enfermé dans la salle de bains, je m’occupais rapidement de ma mère la ramenant alors dans sa chambre avant de revenir dans la mienne nous enfermant dedans. Une fois fait, nous revînmes alors sur le lit, assise à califourchon sur lui, nous basculâmes sur le lit pour le déshabiller lentement mais surement. Rapidement je lui annonçai alors qu’il était ma source d’inspiration et que je ne pouvais pas me passer de lui bien longtemps. « Oh oui que j’aime ça bon sang ma Sissie … Ma princesse Sissie … » Gémissant longuement a ses paroles je relevais un vague regard vers lui sans cesser ce que j’étais en train de faire, c'est-à-dire glisser le long de son corps, doucement mais surement. Embrassant son corps au passage, je me mis doucement à embrasser son membre avant de lui faire du bien avec ma bouche. Bouche qui était simplement refermée sur son membre des plus durcit. Durcit par un plaisir que je suscitais chez lui tout simplement. Cela faisait huit ans que je ne lui avais pas fait cela et il fallait l’avouer ça me manquait atrocement… Oui, et j’étais heureuse de pouvoir recommencer à nouveau, reprendre ces simples gestes qui dans le passé le tuait plus que de raison. Nous savions nous tuer, nous connaissions les points sensibles de l’un et de l’autre, nous savions les zones érogènes, nous savions tout, absolument tout, c’était ça de grandir ensemble, et d’apprendre à ce connaitre après tout. Je l’aimais, j’étais folle de lui tout simplement et c’était on ne peut plus parfait. Fermant lentement les yeux sous l’afflux de plaisir, je griffais lentement ses hanches sans me gêner continuant de faire des mouvements de vas et vient, faisant glisser longuement et lentement son membre, avant de déposer de doux baiser, simple, pur, chaste, des baisers qui provoquaient des frissons, des baisers qui provoquaient des onces de plaisir.

Caressant lentement ses fesses de mes mains je repris alors doucement ma caresse, mes lèvres, ma langue mes dents, tout y passait, je prenais franchement le temps de lui faire plaisir, de lui donner ce qu’il avait tant attendu depuis le temps… Fermant toujours les yeux pour profiter pleinement de ce moment, je bougeais de plus en plus vite avant de redevenir lente pour le tuer un peu plus, avant de le sortir de ma bouche, l’embrassant, tout en remontant le long de son corps. Son bas ventre, son nombril, son torse, je l’embrassais, je le léchais longuement, son cou, sa gorge, son menton, puis sa bouche tout en l’embrassant alors de plus en plus avec envie et ardeur, le baiser s’intensifiant quelque peu. Caressant ses cheveux avec envie tout en le poussant pour que l’on se retrouve face à face, je bougeais doucement le bassin tout en soupirant de bien être sans le quitter du regard un seul instant. Il était beau, parfait, magique, sublime et tant d’autre qualificatif pour le désigner… Sans plus perdre de temps, caressant lentement sa joue, je lui demandais alors de me rassurer et de me dire s’il m’aimait, et surtout si tout cela était bel et bien réel, car oui, j’avais besoin de voir que je ne rêvais pas, tout simplement. « Ma princesse … Je suis tout autant réel que toi et quand tu te réveilleras demain matin, je serais toujours dans ta vie. Peut-être pas dans ton lit parce que j’aimerais éviter de me faire tuer par ta mère maintenant … Mais tu pourras m’appeler ou venir me voir au bar, je serais là et bel et bien là. » Inspirant longuement en passant mes mains sur son visage, je le regardais longuement en fermant brièvement les yeux. Il serait là toujours là… Je voulais le croire, oh que oui, j’irais au bar, j’irais le voir, nous passerions de nombreuses journées ensemble. Je lui ferais les repas, je lui apporterais ces plats favoris, je ferais en sorte de le combler comme j’aimais tant le faire, comme j’avais toujours aimé faire. Nous avions toujours eu cette complicité folle entre nous et j’osais espérer qu’elle soit toujours présente, même huit ans après. Je ne voulais pas voir que j’étais avec un homme qui n’était plus le mien, je ne le supporterai pas, vraiment pas. C’était quelque chose d’affreux… Si l’on se mettait ensemble et que l’on voyait alors que nous ne nous correspondions plus… Autant repartir sur le champ, autant… en finir de suite, je ne voulais plus souffrir… Mais c’était en quelque sorte trop tard.

« Oublie Nikkie… Elle n’en vaut pas la peine… Elle ne te fera pas de mal si ce n’est t’insulter si elle te reconnait… Je ne veux pas t’appeler moi… Je veux te voir ! Te voir au bar, te voir bosser, voir mon homme faire ce qui lui plait, même si y’a huit ans je n’aurais jamais cru te voir barman… va falloir que je m’y habitue quand même… Gaylwen qui set à boire à des ivrognes c’est… Hum… On s’en fout ! Je t’aime… Je suis réelle, tu es réel et on vivra la vie qu’on a voulue ensemble ! Tu me le promets ? » Murmurai-je doucement en le regardant droit dans les yeux, collant mon front au sien, sans détourner un seul instant le regard, n’y arrivant pas de toute façon. C’était bien trop dur pour moi, son regard m’avait tellement manqué, je ne pouvais plus le quitter ne serait ce qu’une demi seconde, c’était bien trop dur… Passant ma langue sur mes lèvres, je lui murmurais alors à quel point je l’aimais, oui je l’aimais et il se devait de le savoir car c’était bel et bien vrai. « Et je t’aime aussi ma Cassie. Depuis toujours et pour toujours ma princesse, mon amour. » Gémissant franchement en sentant nos corps rouler, le sien se mettant alors sur le mien, je le laissais faire nous embrassant alors franchement. J’aimais, j’aimais terriblement qu’il puisse me dire ce genre de chose. Mes doigts se mouvant dans ses cheveux je l’embrassais de plus en plus en frissonnant de bien être. « Pour toujours… Oui toujours ! » Soufflai-je doucement en l’embrassant a nouveau l’envie étant toujours aussi présente en moi, voulant alors l’embrasser et avoir beaucoup plus avec lui, tellement plus… Sentant ses lèvres quitter les miennes, se dirigeant alors dans mon cou, je penchais la tête en arrière en léchant rapidement mes lèvres poussant de faible soupire. Dieu que je l’aimais ! Oui je l’aimais éperdument je ne pouvais plus me passer de lui, je ne voulais plus le perdre, je voulais faire ma vie avec lui et seulement lui, je ne voulais personne d’autre. Je l’aimais éperdument et ce pour toujours… « Je t’aime … Et c’est à mon tour de retrouver ton corps … » Entrouvrant les yeux en cambrant le dos, je les fermais rapidement en poussant un faible soupire de plaisir.

Ce moment était tout bonnement fabuleux, fantastique, génialissimes, il n’y avait pas de mot pour décrire a quel point Gaylwen me faisait un bien fou. Ses mains sur mon corps, sa bouche sur ma poitrine, j’allais mourir, la chaleur m’envahissait, les tremblements s’intensifiaient, je ne pouvais pas rester insensible, depuis combien de temps j’attendais ce moment ? Ce moment ou je pouvais retrouver ses mains, les siennes, sa bouche et personne d’autre ? Huit ans, huit longues années. C’était long très long oui… trop même a mon gout ! Inspirant profondément sous l’afflux de plaisir qui montait en moi, je sentis alors mes seins durcir totalement en cambrant à nouveau le dos, bougeant quelque peu en poussant de faible gémissement. Ms mains se posant sur sa tête je la lui appuyais bien contre ma poitrine signe qu’il se devait de continuer, oui il n’avait pas le choix ! Il devait bel et bien continuer de me faire un plaisir fou. La sueur perlant sur mon front j’avais l’impression que ces huit ans ne s’étaient pas déroulés, qu’au contraire, il était venu hier dans ma chambre et que nous recommencions simplement un moment de pur bonheur. Sauf que j’avais clairement prit des seins, nos deux corps avaient évolués puisque lorsque nous nous étions vu pour la dernière fois, nous étions tous les deux jeunes… seize et dix huit ans, des corps d’adolescent tout simplement. Aujourd’hui nous étions des adultes, de jeunes adultes. Passant ma langue sur mes lèvres en fourrageant alors ses cheveux, je les tirais doucement avec envie tout en bougeant doucement le bassin enroulant alors mes jambes a sa taille avec qu’une envie qu’il me fasse l’amour rapidement très rapidement. « Bon dieu, Gaylwen ! Ta langue, ta bouche, oh oui …. Oui » Soufflai-je doucement en poussant un faible cri attrapant le coussin pour le plaquer avec ardeur hurlant alors avec force dedans, le cri étant étouffé par le coussin. Cambrant encore et encore le dos en bougeant le bassin, cela voulait clairement dire que j’avais envie de lui, oui terriblement envie, je ne pouvais pas me retenir autant que je le pouvais. « Putain Than, chéri… Nom d’un chien… Je vais crever t’as pas idée depuis combien de temps j’attendais ça… Huit ans putain ! Huit ans!”
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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeMer 10 Aoû - 0:39
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You make me feel like I’m living a teenage dream

« Pourquoi toi le premier ? Guerre de sexe ! Ce n’est pas parce que tu es l’homme que tu dois me faire l’amour le premier… Mais putain je rêve que tu la glisse en moi, c’est tentant… » Croisant son regard, je me passais lentement et instinctivement la langue sur les lèvres en la regardant avec une franche envie. Il était clair que je ne pourrais guère tenir bien longtemps au vu de la façon qu’elle avait de me chauffer de la sorte. Cela ajouté au fait que nous nous trouvions tous les deux dans sa chambre, je ne doutais pas un seul instant que d’ici à quelques minutes la situation allait basculer et que nous ferions enfin, enfin, ce que nous n’avions malheureusement jamais fais. A savoir, faire l’amour. Et pour de vrai cette fois. Pleinement l’amour comme nous en rêvions depuis tellement longtemps mais que nous ne pouvions malheureusement pas faire, chose grandement frustrante pour le coup. De toute évidence, nous étions tous les deux dans le même état de frustration et n’étions nullement capable d’attendre plus longtemps pour répondre à ce désir fou et intenable qui nous poussait l’un vers l’autre encore et encore sans que nous ne puissions lutter contre, l’un comme l’autre. « Hm pourquoi moi ? Parce que je suis le mâle donc le plus fort et que j’ai une envie de toi terriblement violente et incontrôlable qui risque de me faire perdre les pédales au point où j’aurais cruellement besoin de te dominer chérie. Ca répond à ta question ? Hm … T’inquiète pas ça ne saurait tarder … » Soufflais-je d’une voix caressante en la regardant avec envie, ne lui cachant pas le moins du monde le désir fou qu’elle suscitait en moi. A quoi bon tenter de le lui cacher alors qu’elle me connaissait par cœur et ne doutait très certainement pas un seul instant de l’effet complètement dingue et incontrôlable qu’elle me faisait ? Lui mentir aurait été grandement stupide, c’était plus que clair à mes yeux. Raison pour laquelle d’ailleurs, je ne lui avais strictement jamais menti et ne comptais pas le faire de si tôt. Tout comme elle n’avait plutôt pas intérêt de me mentir. J’avais cruellement besoin de savoir que maintenant comme huit ans plus tôt, nous pouvions toujours autant nous faire confiance, aveuglement et sans la moindre hésitation. Je voulais que cela comme tout le reste, n’ait nullement changé dans notre relation qui avait toujours été des plus parfaite et sans le moindre nuage.

La rejoignant sans tarder de l’autre côté du lit pour lui tendre son téléphone qu’elle avait oublié, nous ne tardâmes pas à nous embrasser à en perdre haleine, roulant alors sur le lit pour que je m’allonge sur elle et donne alors de francs coups de reins pour l’exciter plus encore. « Faut qu’on se marie… Je veux qu’on se marie ! Qu’on ait des enfants ! On devrait déjà en avoir un… Gaylwen… Dis moi oui… Dis moi oui et on fait un enfant on essaie d’en avoir ! Je suis prête… Totalement prête à mettre au monde notre enfant ! Tu as un emploi stable ! Moi aussi, tant pis pour mes études… Mais je veux un enfant de toi la de suite… » Me figeant quelque peu à ses propos, je me redressais légèrement pour la regarder amoureusement en souriant faiblement. Je laissais échapper un bref soupir en caressant lentement son visage du bout des doigts et souriant plus franchement. « Sissie depuis le temps que j’attends ça … On aura tout ça très rapidement je te le promet. Mais on va le faire dans l’ordre d’accord ? D’abord le mariage et ensuite on fera un tas d’enfants, nos enfants, enfin … On n’aura pas à attendre longtemps. A quoi bon alors que c’est ce qu’on veut depuis toujours. Je t’aime tellement ma princesse … » Soufflais-je doucement avant de reprendre le baiser avec fougue et envie, sentant une bouffée de bien être et de bonheur m’envahir comme jamais. J’avais comme l’impression de remettre play sur ma vie après une trop longue et insupportable pause de huit années. Notre baiser prenant à nouveau de l’ampleur, je gémissais fortement en la sentant se faufiler sous mon corps tout en ponctuant sa descente de brefs baisers, sachant pertinemment ce qu’elle allait faire. Oh oui je le savais pour avoir déjà eus droit à cela à maintes et maintes reprises dans le passé. Frissonnant et tremblant longuement et fortement, je la sentis ouvrir mon pantalon sans tarder pour souffler lentement sur mon membre et se figer franchement en entendant alors sa mère frapper à la porte. Gémissant de frustration, je ne tardais pas à aller m’enfermer dans sa salle de bains comme un adolescent surprit par ses parents ou un amant surprit par l’époux, attendant quelques minutes le temps qu’elle raccompagne sa mère à sa chambre avant de revenir. Sans tarder une seconde de plus, nous filions à nouveau sur son lit et comme si nous n’avions pas le moins du monde été interrompus par qui que ce soit, elle glissa à nouveau son mon corps pour ouvrir rapidement mon pantalon et cette fois, refermer franchement ses lèvres sur son membre qui n’attendait qu’elle.

Sans le moindre mal, elle retrouva les gestes qui savaient me faire un effet fou et me faire perdre la tête comme jamais et comme personne ne savait le faire à n’en pas douter. Chose que, dans le fond, j’ignorais bien, puisqu’elle était la seule et unique à me faire cela. Pour la simple et bonne raison que ça lui avait toujours été réservé et que je me serais haïs de laisser une autre qu’elle faire cela. Déjà que je m’étais senti coupable durant les premières années où j’avais couché avec d’autres qu’elle. Mais j’avais été tant persuadé de ne jamais la revoir, que j’avais songé qu’il était bien inutile de ne jamais coucher pour l’attendre, certain que je risquerais bien d’attendre jusqu’à ma mort. Gémissant fortement en sentant ses vas et vient s’accélérer franchement, je la laissais faire en serrant fortement les dents pour ne pas hurler carrément de plaisir, la sentant ralentir par la suite ce qui eut le don de me faire sourire en coin, la connaissant assez pour ne pas être surpris par ses agissements. La sentant relâcher mon membre pour remonter avec lenteur le long de mon corps en déposant de longs baisers sur mon corps, je soupirais longuement de bien être en souriant faiblement. Répondant à son baiser lorsque ses lèvres se posèrent sur les miennes, je la laissais nous faire basculer pour que nous nous retrouvions sur le côté et l’un en face de l’autre, le baiser prenant à nouveau de l’ampleur et se faisant des plus passionnés. Sans cesser de l’embrasser alors qu’elle me demandait de la rassurer franchement quant à notre amour et le fait que nous ne nous perdrions plus, je le fis sans me faire prier, ayant le besoin de me rassurer moi-même tout en parlant de la sorte pour faire disparaître chacun de ses doutes. Je voulais croire que tout cela était derrière nous et que nous avions à présent champ libre, totalement libre, pour être enfin pleinement et définitivement heureux comme avant. Plus rien ne pourrait se mettre en travers de notre route, je voulais sincèrement le croire, j’avais besoin de le croire tout simplement. « Oublie Nikkie… Elle n’en vaut pas la peine… Elle ne te fera pas de mal si ce n’est t’insulter si elle te reconnait… Je ne veux pas t’appeler moi… Je veux te voir ! Te voir au bar, te voir bosser, voir mon homme faire ce qui lui plait, même si y’a huit ans je n’aurais jamais cru te voir barman… va falloir que je m’y habitue quand même… Gaylwen qui sert à boire à des ivrognes c’est… Hum… On s’en fout ! Je t’aime… Je suis réelle, tu es réel et on vivra la vie qu’on a voulue ensemble ! Tu me le promets ? » Souriant faiblement, je hochais lentement la tête en caressant doucement sa joue du bout des doigts et la regardant amoureusement un long moment avant de lui répondre d’une voix douce et caressante pour la tuer plus que de raison. « Tu verras on s’y fait, tu t’habitueras à mon emploi. C’est pas si terrible que ça hm. Hormis les ivrognes … On rencontre beaucoup de gens et il faut être bon psy pour écouter les confidences de tous les clients un peu trop ivre qui se livrent comme jamais. Et tu as raison, on s’en fout de Nikkie, totalement ! Seuls nous comptons mon amour. Et je te promet, je te promet qu’on aura la vie qu’on a toujours voulu ! » Répondis-je doucement contre ses lèvres sans me lasser de la douceur et du gout de celles-ci, l’embrassant de temps à autre en soupirant doucement de bien être.

Souriant quelque peu lorsqu’elle me répéta doucement combien elle m’aimait, je ne tardais pas à lui répondre que je l’aimais aussi, depuis toujours et pour toujours. Il ne pouvait tout bonnement pas en aller autrement, c’était clairement impossible. Comment cesser d’aimer son âme sœur, la personne qui nous était prédestinée ? Ce n’était pas possible, tout simplement. « Pour toujours… Oui toujours ! » Souriant en la regardant amoureusement, je ne tardais pas à la faire basculer sur le lit pour la plaquer sur celui-ci et l’embrasser franchement, ma langue percutant et se jouant de la sienne encore et encore sans que je ne puisse me lasser, gémissant quelque peu sans cesser de l’embrasser avec fougue et ardeur. Après de longues minutes passées à l’embrasser de la sorte, je finis par relâcher lentement ses lèvres pour glisser les miennes dans son cou avec lenteur. Doucement, je parsemais son cou de doux baisers en soupirant de bien être, la voyant réagir tout comme dans le passé, en penchant la tête en arrière. Sans tarder, encouragé par sa réaction, j’empoignais franchement sa poitrine de mes mains en frissonnant longuement sous sa perfection, ne tardant pas à la mordiller et la suçoter avec envie. Reprenant les mêmes gestes que dans le passé, ceux qui l’avaient tant fait gémir et frissonner de plaisir, je parcourais inlassablement ses seins de mes mains, de mes lèvres, de ma langue et de mes dents. Ses mains ne tardèrent pas à se poser sur ma tête pour la presser plus encore sur sa poitrine et ainsi m’inciter à ne surtout pas m’arrêter, ce que je fis sans me faire prier en soupirant doucement de bien être. . « Bon dieu, Gaylwen ! Ta langue, ta bouche, oh oui …. Oui » Continuant ainsi un long, je glissais ma main sur son intimité pour la parcourir longuement de mes doigts, gémissant fortement d’envie, parfaitement conscient que son désir était tout aussi intense et pressent que le mien. Sentant ses jambes s’enrouler autour de ma taille et son bassin bouger avec envie, je laissais échapper un bref gémissement excité, me redressant lentement au dessus d’elle. Repoussant franchement l’oreiller dans lequel elle venait de hurler, je sentis mon souffle se couper sous l’envie puissante que j’avais d’elle, la détaillant longuement du regard en faisant quelque peu peser mon corps sur le sien. « Putain Than, chéri… Nom d’un chien… Je vais crever t’as pas idée depuis combien de temps j’attendais ça… Huit ans putain ! Huit ans! » Gémissant faiblement, empoignant avec fermeté l’un de ses seins pour le masser franchement, je me penchais pour l’embrasser à nouveau avec franchise et sauvagerie. « Huit ans sans toi, sans ton corps. J’ai trop attendu Sissie. J’ai cruellement envie de toi … » Soufflais-je doucement en m’allongeant sur elle, pressant mon torse contre sa poitrine et posant mes bras sur le lit, mes mains glissant dans ses cheveux sans attendre, frottant alors lentement son intimité de mon membre avec lenteur sans la quitter du regard, mon souffle se faisant court et précipité sous l’excitation grandissante et devenant franchement insupportable. Gémissant quelque peu, j’entrepris de faire de doux vas et vient comme dans le passé, prenant mon temps en sachant pertinemment que cette fois j’allais clairement lui faire l’amour comme j’en rêvais depuis bien longtemps. Allant pour glisser en elle dans un ultime coup de reins, je me figeais avec brutalité en entendant à nouveau des coups à la porte et la voix de Nikkie derrière celle-ci. Grimaçant de frustration, je restais un long moment totalement immobile et silencieux avant de rouler sur le lit sans un mot, me redressant pour récupérer mes vêtements et les enfiler en soufflant longuement. Restant torse nu, je me penchais pour déposer de brefs baisers sur les lèvres de Cassie, filant l’air de rien dans sa salle de bains en songeant que ce n’était de toute évidence pas notre nuit.
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R. Hallibel Snezava
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Car personne d'autre n'a le droit de changement mon univers !


✔ HUMEUR : Rêveuse
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✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."




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MessageSujet: Re: Like two kids in love ... [pv Shanae *-*]   Like two kids in love ... [pv Shanae *-*] Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 1:07
« Hm pourquoi moi ? Parce que je suis le mâle donc le plus fort et que j’ai une envie de toi terriblement violente et incontrôlable qui risque de me faire perdre les pédales au point où j’aurais cruellement besoin de te dominer chérie. Ca répond à ta question ? Hm … T’inquiète pas ça ne saurait tarder … » Ecarquillant les yeux en riant doucement devant de telle paroles, je lui lançais un regard des plus taquin avant de passer ma main dans mes cheveux. J’aimais terriblement voir Gaylwen si impatient de me faire l’amour, si … sauvage et avoir des envies on ne peut plus explicites ! J’aimais vraiment le voir perdre le contrôle. « Que tu sois le mâle ne change rien ! Espèce de machiste ! Mais hum pour cette fois je te laisserai un semblant de domination mon amour… » Peut de temps après alors qu’il me rendit mon téléphone que j’avais sans faire exprès oublié chez lui, nous nous embrassions franchement, nous retrouvant enfin. Nous embrassant comme jamais, arrivant alors vers le lit sans perdre de temps nous tombions dessus afin de nous chauffer plus que de raison avant de monter sur moi pour me faire de long vas et vient à travers nos vêtements ou du moins ma serviette pour ma part. Lui annonçant alors que je voulais me marier avec lui et tout je ne pu m’empêcher de m’emballer franchement. « Sissie depuis le temps que j’attends ça … On aura tout ça très rapidement je te le promet. Mais on va le faire dans l’ordre d’accord ? D’abord le mariage et ensuite on fera un tas d’enfants, nos enfants, enfin … On n’aura pas à attendre longtemps. A quoi bon alors que c’est ce qu’on veut depuis toujours. Je t’aime tellement ma princesse … » Léchant lentement mes lèvres je le regardais longuement avant de caresser faiblement son visage du bout de mes doigts en souriant faiblement. Le mariage, j’allais donc m’appeler Copeland, dans peu de temps, dans un sens je l’avais toujours voulu, j’avais toujours voulu m’appeler comme Gaylwen… C’était un rêve, c’était … Plus qu’un fantasme ou je ne sais quoi, c’était telle une évidence…

L’embrassant franchement sans répondre, je glissais le long de son corps défaisant alors son pantalon avant d’être stopper par ma mère qui frappait à la porte. Le poussant plus ou moins se rhabillant rapidement pour l’enfermer alors dans la salle de bains, je m’occupais rapidement de ma mère l’amenant alors dans sa chambre en bas avant de revenir en haut pour nous enfermer dans ma chambre. Reprenant rapidement nos baisers et nos caresse, je ne perdis pas de temps à le déshabiller pour filer sous son corps et reprendre ce que j’allais faire quelques minutes plus tard, soit lui faire du bien de ma bouche. Faisant de franc vas et vient pour le rendre totalement fou tout en le touchant de partout pour retrouver plus ou moins son corps, je m’arrêtais alors au bout de moment avant de remonter pour déposer mes lèvres sur les siennes en souriant en coin. Parlant de notre bonheur, de nous tout simplement je le rassurais sur le fait que plus personne ne nous séparerait et surtout que pour ma part j’étais on ne peut plus surprise de son boulot mais que j’allais m’y habituer, oui, avoir un Gaylwen barman a la maison…. Je n’aurais jamais cru cela possible… « Tu verras on s’y fait, tu t’habitueras à mon emploi. C’est pas si terrible que ça hm. Hormis les ivrognes … On rencontre beaucoup de gens et il faut être bon psy pour écouter les confidences de tous les clients un peu trop ivre qui se livrent comme jamais. Et tu as raison, on s’en fout de Nikkie, totalement ! Seuls nous comptons mon amour. Et je te promet, je te promet qu’on aura la vie qu’on a toujours voulu ! » sa voix me tuant plus que de raison, je poussais un faible soupire de bien être en déglutissant longuement. Il était juste en train de me tuer, oui, c’était bien ça, il me tuait plus que de raison pour le coup, et il n’avait pas le droit de me faire subir cela ! Non, personne n’avait le droit de me faire subir ça… Léchant lentement mes lèvres en le détaillant le regardant avec amour et envie je souriais faiblement en me mordillant alors les lèvres avec douceur. « Oui, je m’y ferai, même si bon ça va être un tant soit peu dur pour moi… Je sais comment il faut être mon ange, je suis serveuse depuis des années tu sais, et oui oublions Nikkie… Toi et moi c’est pour la vie… » soufflai-je doucement en le laissant alors faire, son corps se pressent plus ou moins contre le mien. J’aimais atrocement qu’il puisse me faire ce genre de chose, son corps contre le mien, ses caresses, ses baisers, je me sentais parfaitement bien.

J’aimais atrocement sentir ses mains sur mes seins, le sentir s’occuper simplement de moi. Sa main descendant le long de mon ventre pour se loger sur mon intimité et me le caresser longuement je cambrais encore plus le dos, sous l’afflux de plaisir… Gaylwen était fabuleux, intense, magique… La sueur parlant sur mon corps du a l’intensité du plaisir que l’on prenait tout les deux, je lui caressais faiblement le visage tout en le contemplant avant de lui dire que ça faisait bien trop longtemps que nous n’avions pas fait cela, plus exactement huit longues années malheureusement… « Huit ans sans toi, sans ton corps. J’ai trop attendu Sissie. J’ai cruellement envie de toi … » Gémissant longuement mes seins totalement durcit de plaisir sous sa main pressant mon sein, je le laissais alors s’allonger sur moi. J’allais devenir folle, je l’étais déjà dans un sens, il était clairement en train de me tuer je le sentais en moi, la mort était proche, réellement proche et n’allait pas tarder à m’emporter avec elle dans les abysses… de l’enfer ? Du paradis ? Je n’en savais trop rien, mais c’était foutu j’allais mourir sous peau… Cambrant faiblement le dos, sous l’afflux de plaisir, je me sentis comme tout à coup stressée, tout ça pourquoi ? Car je n’avais pas fait l’amour avec lui, jamais et qu’aujourd’hui nous allions enfin le faire et ce n’était pas rien, non c’était loin d’être un truc à la légère… Déglutissant longuement en léchant mes lèvres, je baissais un regard sur ses lèvres avant de l’embrasser doucement mordillant longuement sa lèvre inférieure avec envie et sensualité. « On a trop attendu, c’est trop douloureux, huit ans c’est vraiment trop long… Bon dieu je vais mourir mon ange… » Murmurai-je en sentant alors son membre glisser sur mon intimité, me faisait de longues caresses, comme dans le passé, et dieu que j’aimais cela… Oui j’aimais atrocement cela, car c’était bon, oui très bon. Cambrant le dos a chaque coup de reins qu’il donnait, je poussais de faible soupire de bien être en le sentant longuement glisser me faisant un bien fou. Mon corps se couvrant légèrement de sueur, j’écartais faiblement les cuisses en les frottant à son corps tout en cherchant l’air sans forcément le trouver tellement j’avais chaud. Le sentant faire un plus grand vas et vient, j’avais le pressentiment qu’il allait enfin unir nos corps dans un ultime coup de rein. Entendant un coup à la porte, nous nous figeâmes en même temps.

Entrouvrant la bouche choquée, surprise et dégoutée d’être coupé dans un élan si parfait et intense, je lâchais un faible râle de dégout, avant de le sentir rouler sur mon corps pour se rhabiller. Restant quant à moi allongée sur le lit je poussais un faible soupire en sentant alors ses baisers sur mes lèvres. Je ne voulais pas que cela se finisse de la sorte, il fallait que l’on reprenne, il ne pouvait pas le laisser de la sorte. Le voyant filer vers la salle de bains, je ne dis rien me relevant pour attraper ma serviette et me diriger alors vers la porte de ma chambre. Tournant la clé en fronçant les sourcils j’ouvris la porte sur ma mère avant de la claquer franchement sans même lui laisser le temps de dire ou faire quoi que se soit. « Tu me gâches la vie, j’aimerai que tu sois mortes ! Meurs putain ! » L’attrapant par le bras, je claquais la porte derrière moi pour dire a Gaylwen que je descendais pour mettre ma mère dans sa chambre. La tirant en la laissant hurler de douleur sous ma poigne, mes doigts marquant plus ou moins son bas sous la force que j’exerçais sur elle. La poussant alors dans sa chambre, je ne pris même pas la peine de lui parler, attrapant la clé pour claquer la porte et la fermer a clé. Au moins cette fois nous ne serions pas dérangés ! Merde à la fin ! Me frottant le visage, je montais alors lentement les escaliers avant d’ouvrir la porte de ma chambre. La fermant elle aussi à clé, je fis tomber ma serviette l’air de rien avant de me diriger vers la salle de bains. Poussant la porte je la trouvais vide. Me figeant violemment sur place, sentant mon visage se décomposer j’entrouvris la bouche en reculant pour me tourner vers la chambre, non, il me faisait une mauvaise blague… tirant les couvertures de mon lit pour chercher son haut, je ne le trouvais pas. Ouvrant même le placard, pas de Than. Allant alors sur le balcon, je ne vis personne, personne pas même sa voiture dans la rue. Il était donc parti ? Il me laissait comme ça ? Le cœur lourd, l’envie de pleurer étant présente, je rentrais à nouveau dans ma chambre fermant la baie vitrée derrière moi. Me laissant tomber sur le lit, je restais un long moment inerte cherchant a me remettre du départ de Gaylwen. J’avais l’impression de le perdre une seconde fois… Ne s’était il pas dit qu’en partant de la sorte il me ferait atrocement mal ? Non bien sur que non, il n’avait pensé qu’à lui… Frissonnant longuement j’attrapai mon téléphone pour lui écrire alors un message les mains tremblant franchement sous les pleures qui me submergeaient sans pour autant sortir. « Tu aurais dû rester…Bonne nuit. » jetant mon téléphone sur la table de nuit je me laissais glisser le long de mon lit la couverture tirée sur moi pour m’endormir dans un sommeil affreux.


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