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Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !
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Pandorà L. Stam
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Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Vide
MessageSujet: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeSam 2 Avr - 0:41
Les bébés doivent pleurer, on le sait tous. Les petites choses de quelques kilos qui ne font que 40 cm et parfois bien moins… sortis du bidon de la maman, ils pleurent déjà... hurlant en ne comprenant pas vraiment ce qui se passe et se calme lorsque la maman le serre dans les bras mais on parle rarement de l’ensuite… les insomnies avec les biberons nocturnes et les nuits difficiles ? Cela faisait 3 jours que Lena avait ramené le petit bout à la maison et je crois que sur les 3 jours, je n’ai même pas dormi pendant plus de 4 heures sans me réveiller en violemment sous les pleures de ce petit être. Allez-vous rendormir après sachant que Lena a du mal à dormir ailleurs que dans ma chambre et voulait aussi y garder le berceau car bien sûr au début, le bébé dort avec la maman au cas où. On ne laisse jamais un nouveau-né seul dans une pièce. Je n’avais pas le temps de vraiment rentrer dans un sommeil profond que directement j’en étais ressortie, j’étais un zombie et ça se voyait. Les cheveux en bataille et le maquille que je n’avais pas retiré barbouillé autour de mes paupières. Je me baladais dans la maison avec le bébé dans les bras alors que Lena dormait à moitié dans le canapé devant une chaine pour les enfants qui chantaient des berceuses de nuit, il dormait sagement et si j’osais le déposer… il se réveillait et hurlait. Je n’en pouvais plus et heureusement que j’avais le boulot ou même mes moments avec Gianni pour me sortir de là sinon je crois que je me serais écroulée de fatigue depuis hier… ou même avant même. Je n’avais déjà pas beaucoup dormi à l’accouchement, le répit fut seulement pendant qu’elle était à l’hôpital et là, je parlais au bébé alors qu’il dormait peut-être pour l’hypnotiser ? Je n’en savais rien, je lui parlais. « Dodo l’enfant do… l’enfant dormira bien vite », je baissais doucement la voix en continuant « Dodo, l’enfant do… l’enfant dormira bien vite ». Entre les couches et les diverses choses comme les tires lait ou les biberons, les tétines et tout ça qui commençait réellement par se balader partout dans la maison. Je faisais un pas… j’avais un bavoir à mes pieds… un autre ? Un Pyjama et ainsi de suite. Je devenais vraiment dingue. Regardant alors le berceau… qui vivre verra, je mettais le bébé dedans. Le regardant alors pendant un petit moment rêver… j’espérais de tout mon cœur qu’il n’allait pas se réveiller en regardant Lena et caressant doucement le visage de Lukas. C’était ma famille et je voulais en prendre soin. Cela me déchirait le cœur en me disant que le jour où elle partirait pour vivre sa vie allait arriver. Je savais qu’il m’attendait aussi de belles aventures, je le savais surtout depuis 2 semaines et j’adorais ça mais je comptais aussi les risques de perdre Lena bientôt. Je savais que cela devait arriver mais je ne savais pas comment cela se passerait et cela me déchirait le cœur. J’avais soudainement les larmes aux yeux en y pensant et laissant une larme perler sur ma joue.

Aussitôt, les pleurs reprirent et hop… je mettais les écouteurs de mon ipod sur mes oreilles pour masquer au possible et entendre de la musique qui pouvait me détendre. Après trois jours, vous prenez vos astuces et vos petits trucs. « Lukas »… disais-je en allant vers la cuisine et me préparant rapidement un café tout en retournant près du berceau. Appuyant mon coude dessus et y posant ma tête… lui tendant ma main pour qu’il joue avec mon doigt et buvant mon café de l’autre avec les yeux mi-clos. « Fais dodo, Lukas… », Disais doucement avant de soupirer un bon coup et baillant assez fort. Parfois… je voulais prendre mon oreiller et aller simplement à moitié endormie frapper à la porte du studio de Gianni rien que pour y passer une nuit… complète. Un gros dodo… bien loin des cris des bébés ou même dormir à la morgue parmi les morts qui ne pourraient pas me réveiller en pleurant enfin j’espère. Cependant j’étais là, pour Lena entre autres et je ne pouvais pas déserter de mon poste de Pandy… fidèle à sa petite sœur toujours là pour elle dès les premières larmes, à la dernière de la journée. « Dodo, l’enfant do… l’enfant dormira bien vite », chatonnais-je encore tout en caressant doucement son ventre, il pleurait toujours et je me disais que Lena avait dû vraiment être fatiguée car elle continuait à dormir. Mes larmes avaient cessées de couler et même séchées puis avec le barbouillent de mon maquillage l’on ne pourrait rien voir. Regardant alors l’heure sur l’horloge, je soupirais doucement et continuait à chantonner… « Dodo, l’enfant do… l’enfant dormira bien vite », le volume de ma voix diminuait alors que je commençais à m’endormir soudainement sur le bord du berceau et me réveiller aussitôt par les nouveaux pleures. « Bon dieu », maugréais-je alors… je buvais alors une nouvelle gorgée de café avant de le reprendre dans mes bras et voyant alors Lena se réveiller sur le canapé… « Vas dormir, je m’en charge », oui… je m’en charge mais Lukas, on sait bien ce qu’il veut… sa maman et les bras. Je me couchais alors dans le canapé en le gardant contre moi et le berçant au possible en ne voulant que son repos à elle mais aussi à lui, je passais après et je voulais passer après. Je voulais que ma sœur ne regrette pas son choix. Je voulais l’aider et être la substitut de mère que j’étais depuis 14 ans, je voulais qu’elle soit heureuse… je voulais tant de choses mais que voulais-je pour moi ? J’en voulais tant aussi mais Lena compte pour deux ! J’arrivais peu à penser à moi et je ne me l’autorisais qu’avec Gianni et qu’en sa présence, c’était étrange tout ce qu’il m’apportait et même en tant qu’ami. Oui, il est vrai que depuis 2 semaines, je me sentais bien plus épanouie et cela se voyait… j’étais heureuse et même si je l’étais déjà au départ mais là, c’était encore plus présent. C’était bizarre comme tout changeait autour de moi. Je regardais ce petit bout dans mes bras s’endormir doucement et je savais qu’un truc… un seul truc, le réveillera mais je ne pouvais pas le réveiller, non.
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Léna Stam
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Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Vide
MessageSujet: Re: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeMer 6 Avr - 16:48
3 jours, c'est quoi dans une vie trois jours ? Cela peut être parfait ou cela peut être l'enfer. Il y a trois jours j'avais cru que ma vie serait parfaite et que même si je ne l'avais pas réellement prévu pour maintenant elle le serait. Il y a trois jours j'avais mis au monde un petit garçon, un petit ange, si petit que j'avais encore peur de le casser, quelques petits cheveux bruns et un regard aussi bleu que l'océan. Il avait les yeux de son père, c'était sans doute la seule chose qu'il aurait de lui puisqu'il y a trois jours Cooper était parti, il avait laissé pour explication une lettre de quelques lignes à peine, expliquant qu'il n'était pas près à la vie de père, que ceci était beaucoup trop pour lui et que il ne souhaitait pas se priver et s'occuper d'un enfant qui d'après lui serait mieux sans son père, ces quelques ligne et un cheque histoire de ne pas être dans le besoin comme il disait et un message d'espoir expliquant que le jour ou il serait prêt il reviendrait mais ce qu'il ignorait c'était que ce jour la je ne voudrais sans doute plus de lui dans ma vie, quand à Lukas il ferait ces choix seuls si il en a l'âge bien sur. Je lu raconterais tout, avouant mes tords comme les siens, et à ce moment il ferait le choix de souhaiter le connaitre ou non. Grandir sans père je l'avais connu, je n'avais que six ans quand le mien était parti et je regrettais son absence chaque jour, il me manquait, pas un jour ne passait sans que je n'avais une pensée pour lui mais il n'était plus la et son absence faisait parti de ma vie. Etrangement c'était une des premières choses que j'avais faite après avoir quitté à l'hôpital, c'était aller au cimetière présenter Lukas à son grand père, qu'il me voit ou non. Trois jours, cela faisait juste trois jours et j'étais épuisée, telle une loque. Je n'osais même pas me regarder dans un miroir sans doute par peur de le casser. Rien que mon look en disait long sur la question, un jogging noir bien trop grand et trop usé, un vaste tee shift blanc ample et passé, mes cheveux attachés en bataille, mon teint pale sans maquillage et les grosses cernes bleus sous mes yeux. En trois jours, la fatigue s'accumuler et cela ne ressembler à rien à ces femmes dans les films, série ou téléfilm qui on un enfant calme le premier jour, qui ne pleure jamais, dit oui à tout, se montre adorable; Et je ne ressemblais plus à la mère parfaitement en forme, et sublime, je ne rêvais que d'une chose dormir. C'était la troisième nuit que Lukas hurlait, j'avais passé la journée à le bercer, à tenter de le calmer et dès qu'il se décidait à dormir et à fermer les yeux je planchais sur mes cours, ne voulant pas accumuler trop de retard, ce qui était fatal en médecine.

« Lukas par pitié » je devenais déjà folle, si folle que je n’osais même pas imaginer les semaines à venir. Je sortis Lukas de son petit berceau blanc, et de sa chambre qui était communicante à la mienne, même si depuis deux jours j’avais pris l’habitude de dormir sur la chaise à bascule à coté histoire d’être prête dès qu’il se mettait à crier. Sortant de ma chambre pour ne pas réveillé ma sœur qui devenait totalement folle la pauvre ici, je ne pouvais pas m’empêcher de m’en vouloir de lui faire subir cet enfant, ces cris, ces larmes. Je fini rapidement dans le salon, Lukas dans mes bras un peu plus calme et Pandy arrivant. Dormant à moitié, je la sentis me le prendre mais mes muscles était bien trop faible pour protester Quelques secondes plus tard, épuisée je m’endormis, c’était si calme, je n’avais jamais imaginé qu’un enfant puisse être si lourd, il avait tout juste trois jours et je rêvais déjà de retrouver ma vie d’avant. Je me voyais dans cinq ans, alors que je commencerais les gardes et que j’aurais un bébé à gérer et je refusais de continuer à imposer des choses à ma sœur « Papa est en haut … il fait du gâteau » chantais-je dans mon sommeil, jusqu'à ce qu’un cris puissant de Lukas ne me réveille, surprise d’être dans le canapé, je m’étirais sentant que ces quinze minutes de sommeil ne serait jamais suffisante. Ma sœur était devant moi, fatiguée aussi avec Lukas dans ces bras « Non va dormir chérie, tu dois travailler demain » je tentais de sourire alors que je n’avais qu’une envie hurler de toute mes forces mon envie de revenir dans le passé. « Viens voir maman chéri » doucement je pris Lukas dans mes bras qui se calma quelques secondes, je poussais un soupire de soulagement. Je déposais mes grosses fesses dans le canapé, avec Lukas dans mes bras « Voila quand tu veux mon cœur » je tentais de rester calme, pitié reste calme je t’en prie. Je regardais pandy qui semblait aussi fatiguée que moi « Va dormir, je vais m’en sortir, il va reste calme pas vrai mon ange ? »
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MessageSujet: Re: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeDim 10 Avr - 22:31
Elle voulait que j’aille dormir et tout allait s’arranger ? Ben voyons. Je n’en revenais pas au fond s’était du n’importe quoi tout ce qui se passait surtout que je lui cachais une chose : Papa était vivant et avec le bébé et les évènements, je ne voulais pas lui dire. Je n’osais pas lui dire. J’étais bien trop heureuse aussi que pour y penser moi-même. C’était une chose dont je n’avais pas encore parlé sachant que je n’ai vu que Lena et un petit bout depuis… je ne voulais pas non plus risquer qu’elle tombe sur une conversation téléphonique. Je ne voulais pas ça, ce serait bien trop bizarre pour elle de se dire que notre père n’était pas mort et nous surveillais sans nous approcher. Je trouvais ça égoïste au plus profond de moi, nous regarder et savoir que nous allions bien en nous privant d’un père et seulement de sa présence. C’était égoïste de nous laisser croire qu’il était mort alors qu’il savait que nous allions bien. Je ne savais pas vraiment qu’en penser. Prenant alors mon téléphone portable et composant le numéro de la morgue afin de trouver la personne qui était de nuit et pouvoir dire que je ne viendrais pas demain, je ne voulais pas bosser à moitié endormie et me tromper de reins sur un cadavre. « Allo ! », disais d’une voix de zombie. « Je voulais seulement te demander de signaler que je ne viendrais pas bosser demain, le bébé fatigue et tout ça tout ça, je veux dormir et fermer les yeux pendant au moins 6 jours. » Somnolant alors sur le canapé tandis qu’elle me parlait, je répondais vaguement. « Je ne suis pas fatiguée. », oui… bon je venais de le dire au téléphone alors bon. Je m’endormais rapidement en entrant alors après une demi-heure dans un rêve. Je ne savais pas pourquoi mais je rêvais et parlais dans mon sommeil enfin c’était plus vite un cauchemar… « Non, lâches-moi. Lâches-moi, papa. Tu es mort, lâches-moi »… oui, je rêvais que mon père était un vampire ou un truc du genre, je ne savais pas réellement savoir ce qu’il était mais dans ma tête, il devait être mort. « T’es censé être mort, papa. Pourquoi tu reviens ? », Je gigotais dans tous les sens durant ce rêve, j’avais besoin de dormir et aussi de rêver. C’est un processus d’un long sommeil, je pleurais même en dormant ce qui pourrait surprendre mais non car je suis somnambule après tout enfin j’ai des tendances à l’être. J’ai déjà fait quelques petits trucs amusants lors de nuit de somnambules. Je continuais à gigoter sans m’en rendre compte, je déballais tous tes frayeurs de l’instant dans ce rêve. Et mince alors, j’avais fait quoi pour sortir tout ce que je ne voulais pas dire. « Je te déteste, tu nous as abandonné et tu es là »… je continuais à gigoter de murmure car oui, c’était des murmures alors que dans mon rêve, je hurlais de l’intérieur. Une chose que je ne ferais jamais devant lui mais là, si. « Lâches-moi, tu n’es pas vivant. C’est faux, tu n’es pas là. »… J’avais chaud, j’en transpirais presque en dormant dans ce fauteuil et en plus très mal mise. J’aurais des courbatures. Je dormais et laissait de longs blancs entre chaque choses que j’avais dites comme si je recevais de longues réponses et excuses. « Je t’en prie ne me dis pas que tu es vivant. J’ai donné tout à Léna, je ne veux pas qu’elle souffre mais cela voudra aussi dire que j’ai mis tout de côté pour ma petite sœur alors que tu étais là et que je n’aurais pas eu besoin de me priver. Ne me dis pas que tu es vivant », j’en disais trop mais je ne m’en rendais même pas compte c’était plus fort que moi et je ne contrôlais pas mon rêve, je ne contrôlais rien. Je contrôlais seulement mon sommeil qui restait profond. « Tu… tu… tu… je t’ai vu mourir ce jour-là, c’est impossible », je revivais aussi en image dans mon rêve la mort de mes parents enfin de ma mère ce qui me fit soudainement hurler et sortir de mon rêve comme à chaque fois que je revivais ce moment pendant mes nuits… « Non !!!! », criais-je en me réveillant subitement et attrapant tout ce que je pouvais attraper.

J’étais essoufflée et je cherchais à redescendre de mon nuage en allant vers ma chambre… « J’ai », je ne me doutais pas qu’elle avait tout entendu enfin comment s’en douter, Je ne pouvais pas le savoir. Je prenais une bouteille d’eau en passant. « J’ai fait un cauchemar ». J’allais en direction de ma chambre les yeux mi-clos et me prenait une porte. Je n’allais pas vers ma chambre mais vers un mur donc dans le sens inverse et retournais dans le bon sens en voyant le visage de Lena… « Qu’est ce qui se passe ? », disais-je alors assez surprise en baillant. « On dirait que tu as vu un fantôme », j’arquais un sourcil en espérant que non.
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Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Vide
MessageSujet: Re: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeMer 13 Avr - 9:43
Je berçais Lukas avec le plus de tendresse possible, tentant de le rassurer et de lui faire comprendre que j’étais la. Il commença à s’endormir doucement alors que je luttais pour rester éveillé, je n’avais jamais autant bu de café de toute ma vie et pourtant ce n’était pas choses facile. Pour ne pas dormir et finir par ne plus ouvrir les yeux, j’attrapais mon IPOD sur la table, plaçant les deux écouteurs dans mes oreilles, le volume très bas, je laissais ce petit ange dormir et se décidé à me laisser profiter du calme quelques secondes. Je fermais quelques secondes les yeux tentant de me calmer alors que je sentais ce petit poids dans mes bras, cherchant la chanson idéal, je tombais dessus comme une évidence alors que je commençais à chantonner « I got a pocket, Got a pocketful of sunshine I've got a love and I know that it's all mine, oh Oh, oh,oh » je continuais, ayant plutôt l’air d’une vielle momie qui chante mais bon il fallait absolument rester en vie. Doucement je déposais Lukas dans son berceau, le couvrant de sa jolie couverture bleu, un ange. Tentant de ne pas faire de bruit, je marchais jusqu’à la cuisine, me servant une café de café noir et très fort « Toi t’es mon nouveau meilleur copain » dit-je à mon propre café, sans doute une once de folie qui commençait à me gagner. Avalant une gorgée, je me mis au sautiller « On ne dors pas Léna, on ne dors pas … » auto persuasion, ne pas dormir, ne surtout pas s’endormir. Je commençais à ne plus tenir et à sentir mon corps tout flasque et quasiment inexistant « Take me away … » alors que je me lançais dans un solo, le drame, plus de batterie.

Je soupirais, déposant l’Ipod sur la table du salon. Ma sœur pandorà dormait mais pas aussi bien que ce que je pensais. Je m’allongeais dans le canapé, cherchant la position parfait pour me reposer alors que Lukas dormait dans son joli berceau miniature. J’entendis une sorte de cris, assez étrange mais assez fort pour attirer mon attention, je marchais doucement en direction du bruit et me stoppais net « Et une sœur folle, une » puis ces paroles devinrent quasiment incohérente, je l’écoutais parler de la chose qui me touchait le plus, mon père. Je fronçais les sourcils « Papa … » murmurais-je tout bas alors que j’entendais ma grande sœur. J’avais cependant trop peur de la réveillais ; je ne bougeais désormais plus, c’était comme ci je vivais son rêve en même tant qu’elle sans comprendre ce qui se passait. Pourquoi rêver t’elle de notre père ? Il était mort ? Il était mort il y a quatorze ans ? Je l’avais vu, j’avais senti la douleur et j’avais vu le cercueil entré dans la terre, ces gens en noir, ma sœur pleurait. Tout s’embrouillait, un défiler de souvenir passait à cet instant dans mon crâne « Ce n’est qu’un rêve Léna, Pandy rêve tu entends elle rêve » je reculais, cela ne pouvait être vrai, c’était impossible même si je l’avais rêvée pendant longtemps. Le bruit se stoppa et je l’entendis se lève. Je couru rapidement jusqu’au canapé, ou je ne bougeais plus, mon teint était très pale et je tremblais, je commençais à paniquer et elle s’avança vers moi « Un fantôme ? A toi de me le dire … » je la regardais désormais dans les yeux, les yeux remplis de larme à la simple idée de la fin de cette conversation « Ca n’existe pas les fantômes on est pas dans un remix de Casper, Twilight et Ghost Whisperer … » mais en réalité je n’avais pas envie de rire à cet instant « Tu a crié, tu a crié que … » ma gorge se serra, je n’y arrivais pas, reprenant mes esprits « Tu a dit que papa était vivant … Tu a la dit qu’il était vivant !!! » j’haussais le ton sur ma dernière phrase « Dis moi que j’ai tord, qu’il est bel et bien mort, que c’était juste un rêve, c’est juste un rêve n’est ce pas ? Tu ne m’aurais pas menti, pas sur ça, par sur une chose si grave, surtout que tu sait que ça me blesserais … DIS LE MOI PANDORA » cela ne pouvait vraiment pas être vrai.
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MessageSujet: Re: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeJeu 21 Avr - 17:23
Je ne savais pas ce que j’avais fait ou dis pendant mon sommeil… comment seriez-vous que vous êtes somnambule ? On ne peut pas le deviner en claquant des doigts, c’est impossible. Je la voyais simplement là… debout devant moi à me parler et je me demandais quoi, elle me demandait de dire si elle avait vu un fantôme et haussant aussitôt les épaules « Comment je peux le savoir ? », je ne savais rien de ce que j’avais dit enfin je ne voulais même pas le savoir… Rien qu’à l’idée que je devrais lui dire que notre père est vivant, je ne savais que faire de plus. Je ne voulais pas le faire aussi tôt après la naissance de Lukas, c’était trop d’un coup. Je l’écoutais parler de Casper et d’autres trucs avec des fantômes mais encore Twilight avec des vampires en riant… je me demandais de quoi elle parlait en restant à moitié endormie debout au milieu du salon en cherchant simplement à savoir ou est ma chambre, j’avais un peu perdu le sens de l’orientation avec tout ça. Elle me dit alors que j’avais crié et j’arquais un sourcil. « Hein ? » et elle dit alors que papa était vivant et je me rendais peu à peu compte de ce qui se passait en maugréant doucement « J’ai parlé dans mon sommeil, encore ? », je soupirais doucement car oui, je n’aimais pas ce côté de mon sommeil qui parlait ou quand je me levais et faisais du n’importe quoi mais j’avais une routine stressante à la morgue mais encore à m’occuper de Lena depuis des années, elle ne m’avait pas facilitée les choses depuis des années. « Je… je… », Elle haussait alors la voix et me demandait si elle avait tort. Je regardais alors le plafond en grimaçant doucement et ne sachant que dire ou que faire… j’étais au pied du mur, je n’avais plus le choix de faire autrement et à l’instant précis… j’aurais aimée être partout mais ailleurs qu’ici… ailleurs… vraiment ailleurs. Les larmes montaient à mes yeux et mon cœur battait vite, très vite, je prenais alors une dose de courage en me demandant comme l’annoncer ou comment lui dire mais encore comment elle allait réagir à cette nouvelle. « Il… il… », Je ravalais alors ma salive en la regardant et laissant couler une douce larme sur ma joue, j’étais surtout perdue.

« Je sais ce que tu ressens », je la regardais dans les yeux en m’approchant d’elle et croisant mes bras sur ma poitrine. « Je l’ai ressentie aussi », je soufflais doucement en tentant de savoir que dire tout en finissant par éviter son regard et repensant au moment où j’ai croisé mon père dans ce cimetière, sur sa tombe. « Lena… je croyais aussi qu’il était mort, j’en étais certaine mais… », je ne savais que dire en regardant autour de moi et laissant un grand blanc entre nous… en attendant de trouver la suite de mes mots. C’était compliqué d’entrer dans ce genre de sujet et surtout totalement nouveau. Comment feriez-vous à ma place ? Apprendre à votre petite sœur que votre père mort depuis 14 ans est vivant ? « Il est vivant », je soupirais doucement en me rapprochant encore plus d’elle et la regardant avec un petit rire nerveux. « J’ai cru que ce n’était pas le moment de te l’annoncer, je voulais savoir aussi comment te le dire mais la fatigue et Lukas et tout… tu n’avais pas besoin de ça », je soupirais doucement en levant les yeux. Je sais qu’elle avait le droit de m’en vouloir de ne pas lui avoir directement dis mais je ne voulais pas lui faire ça, je ne pouvais pas lui dire au tac que notre père était vivant et nous surveillais depuis 14 ans, vous l’auriez dit comment vous ? Je veux bien vous voir à ma place. Je ne savais pas du tout comment réagir. Ne sachant pas quoi faire, je la prenais dans mes bras et sans savoir si elle allait me repousser ou pas, en fait… je me fichais complétement de sa réaction, je voulais seulement que tout se passe bien pour elle et qu’elle ne soit pas triste d’apprendre la nouvelle. J’en pleurais même mais c’était surtout sur la moment et aussi que cela me faisait toujours un grand coup d’avoir appris la nouvelle. A qui cela ne ferait pas un choc. « Je suis désolée que tu l’apprennes comme ça, j’ai tout gâché. Je voulais te préparer à l’idée et surtout le faire en douceur mais encore une fois, j’ai merdé », je soupirais doucement en frottant son dos pour la réconforter et tenter d’être là pour elle. « Je ne voulais pas te le cacher, je te jure… je voulais seulement que tout se passe bien et j’ai vraiment tout gâchée », je m’en voulais réellement d’avoir dit ça comme ça sans même avoir eu le temps de m’y préparé en plein cauchemar, je n’avais pas le droit. Je reculais doucement et la regardait dans les yeux en prenant son visage entre mes mains. « Lena… écoutes-moi », je lui souris doucement… « Tu es l’une des personnes les plus importantes pour moi, je ne voudrais jamais te blesser ou te faire du mal, je veux que tout se passe bien pour toi et lui aussi, je crois. Il a fait ça pour nous protéger », je la repris alors aussi tôt dans mes bras après avoir déposé un baiser sur son front.
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Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Vide
MessageSujet: Re: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeMer 27 Avr - 14:17
Je n'étais qu'une petite fille à l'époque, le genre de petite qui rêve d'évasion, d’aventure et de poésie lorsqu'elle joue avec sa poupée. A l'époque je croyais en la bonté de la vie et à tout ce qu'elle pouvait m'apporter, je n'avais pas vraiment peur de l'avenir, j'étais une enfant, simplement une petite fille qui profitait de son innocence et de sa magie. J'avais six ans à cette époque et je voulais être une chanteuse ou peut être une danseuse classique mais dans chaque partie de mes rêves, je ferais ce que bon me semble avec les gens que j'aimais. J'étais pleine d'espoir comme ce soir d'ailleurs, depuis l'arrivé de Lukas, je me sentais plus que bien, prétendant enfin à être heureuse et à faire les choses pour lui et moi, rien n'était simple, et tout mes rêves d'enfant avait disparu un soir de mes six ans. Alors que je n’écoutais plus vraiment ma sœur je fus replongé dans ce qui était le pire souvenir de ma vie. La nuit tombait doucement et comme souvent le samedi mes parents étaient sorti, ce soir c'était un diner entre amis, maman portait une robe rouge magnifique qui comme toujours lui allait à la perfection, maman était la femme la plus belle que je n'avais jamais vu, ces cheveux bruns tombaient sur ces épaules et ces yeux sombre la rendait mystérieuse, à son bras papa dans son costume était aussi des plus élégant mais ce soir il y avait quelques choses de différent. Espérant qu'il me laisse venir avec lui, mais j'étais trop petit pour ce genre d’événement alors je restais avec ma grande sœur et l'une de ces copines qui était restée pour diner sans plu s'attarder pourtant. Elle avait cuisiner pour moi comme elle le faisait souvent, n'ayant pas le droit de toucher le four et tout se qui pouvait me mettre en danger, puis Pandy était vraiment douée pour ça alors pourquoi l'en privé. Nous avions passé une soirée sympathique, regarder un film avant que je ne m'endorme dans le canapé, souhaitant absolument avoir un bisou de mon papa et de maman, alors je m'étais allongé entre les gros coussin du canapé, pendant que Pandy discutait avec sa copine au téléphone. Je fus réveille quelques heures après par un son à la porte, impatiente de serrer mon papa, j'ouvris et je découvris Katherine la voisine, je ne comprenais pas vraiment pourquoi elle semblait si triste et pourquoi les larmes ne cessait de couler sur son visage elle qui d'ordinaire était si souriante. Et Pandy été arrivé derrière moi, elle semblait plus comprendre ça que moi qui regardait la scène l'air perdu, un homme était arrivé, il portait un uniforme comme dans les séries policière, il était tellement grand que je m'étais demandé si oui ou non il allait pouvoir passé la porte il avait marmonnée des excuses et des choses que je ne comprenait pas puis tout le monde c'était mit à pleurer et je ne comprenais absolument rien, il me fallut plusieurs jours que comprendre que je ne reverrais jamais papa et maman.

Mes yeux se remplirent de larmes à se souvenir, et je fus de retour à le réalité en entendant ma sœur me parlait, chaque mots prononcé de sa part me rappelait un peu plus ma douleur de petite fille, j'étais si perdu que je le serrais dans mes bras à mon tour, je la laissais me frotter le dos alors que mes larmes coulaient sur son pull « Pandy ... » je ne savais pas quoi faire, j'étais perdu entre deux sentiments une sorte de joie qui me gagnait, mon père vivait, il n'était pas mort comme ce que je pensais, mais quatorze ans, c'était si loin pourquoi tant de mensonge, pourquoi tant de peine et de larme coulait un rien, et mon second sentiment la colère, j'en venais à me demander depuis quand elle savait la vérité « Me préparer à l'idée ? C'est une blague ? C'est mon père autant que le tien » j'avais la sensation de ne plus sentir mes joues, bon dieu ce que c'était douloureux de revivre tout cette chose, ce n'était juste pas possible. Je me revoyais à l'enterrement, je l'avais vu, j'avais vu le cercueil se glissais dans la terre sombre, je l'avais vu de mes yeux, cette image était encore gravé dans ma tête à cet instant précis. Je ne lui en voulais pas, pas autant que ce que je pensais du moins, au fond j'essayais de la comprendre, je ne savais pas comment j'aurais réagis à sa part mais je ne pouvais pas m'empêcher d'être blesser « C'est pas possible, dis moi que c'est une blague ... Je l'ai vu mourir, je l'ai vu j'étais la quand on lui a dit au revoir ... Pourquoi ? Pourquoi ? » j'avais réellement la sensation d'être au centre d'une histoire, les bras liée sans que je puisse faire quelques choses, j'étais un personnage sans vie, je la regardais et je ne pouvais ni bouger, ni crier, ni hurlais parce que toute cette histoire me semblait impossible. Je reculais de son étreinte, je la laissais embrassé mon front avant de reculais un peu brutalement « Je t'aime, ce n'est pas la question, et tu compte aussi pour moi mais je n'ai plus dix ans, je ne suis plus une petite fille et tu a pas le droit de me cacher ça comme ci j'allais m'effondrer sans jamais me relevée ; je suis une grande fille et c'est mon père autant que le tien, t'avait pas le droit ... Tu aurais du me le dire tout de suite » bien sur je tentais de ne pas crier trop fort pour ne pas réveille Lukas qui semblait s'être enfin endormi « Maintenant tu va me dire la vérité et je ne veux aucun mensonges on est d'accord ? » je m'assis de nouveau près d'elle, la regardant dans les yeux, je voulais la vérité ni plus ni moins.
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MessageSujet: Re: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeDim 8 Mai - 13:09
Je la voyais pleurer en me disant parfaitement ce que je me disais en voulant la protéger encore un peu de ce secret « elle n’était pas encore totalement prête pour l’assumer avec l’esprit net », la fatigue du bébé devait encore plus la rendre sentimentale enfin je me comprenais moi-même dans mes pensées et assez pour savoir qu’elle aurait pu réagir autrement si elle avait dormit complétement et qu’elle avait peu de soucis en tête. Je l’entendais dire mon prénom et pleurer dans mes bras. C’était dingue et oui, je dois l’avouer que je ne m’imaginais pas faire ça un jour enfin je veux dire « annoncer à ma sœur que notre père est vivant » car il est mort enfin vous me comprenez mais ça fait 14 ans qu’il est parti. Cela fait 14 ans que la mort l’a emportée. La préparer à l’idée… oui enfin non ce n’était pas une blague mais je voulais vraiment qu’elle soit prête et je la laissais finir sa phrase et parler sagement sans même oser ouvrir la bouche et prendre la parole, je savais que je pourrais dire une chose qui aggraverait la situation si je ne la laissais pas terminer. « Je sais que c’est notre père mais tu es plus fragile. L’idée de t’annoncer ça alors que tu as déjà Lukas qui te pompe ton énergie serait et était une mauvaise idée. Je ne voulais pas que tu l’apprennes pareillement, je voulais que cela se passe bien pour que tu comprennes mieux tout ça. Il fallait aussi que je m’adapte… moi aussi je viens de retrouver mon père et excuses-moi de vouloir aussi m’en remettre avant de mettre les pieds dans le plat et te mettre dans le même état que le mien. » Oui, je ne m’en étais pas encore trop remise, je le savais même si je ne voulais pas l’admettre, j’étais fragile et c’était une chose que je ne voulais jamais dire ou jamais faire. J’aimais cette force dont je convainquais les autres et peu de personnes pouvaient voir mes faiblesses sauf une seule personne. Je n’étais pas prête à me confier à ma sœur et je savais que cela en suivrait cette discussion, je n’aime pas faire ça. Je l’écoutais à nouveau entre ses larmes qui coulaient sur ses joues et commençait à couler sur les miennes, je n’aimais pas lui faire autant de mal, je n’aimais pas ça. Je me sentais mal à l’idée qu’elle ne souffre à cause de moi ou à cause de lui. Je ne voulais pas ça pour elle, je voulais qu’elle soit heureuse.

Pourquoi me demandait-elle ? C’est vrai, pourquoi ? Je me le demandais quand je l’ai appris et pourquoi 14 ans avant de réapparaitre ? Ce n’était pas logique voir même illogique et égoïste. On avait besoin d’un père autant que lui avait besoin de savoir que ses filles allaient bien… on était dans le besoin qu’il soit là… je voulais qu’il soit là quand elle en avait besoin ou quand elle pleurait dans mes bras. Je ne savais que dire, j’ouvrais la bouche mais les mots ne sortaient pas du tout. Qu’auriez-vous fait à ma place ? Sérieusement ? J’inspirai légèrement en levant les yeux vers le plafond et cherchant les mots corrects, je me disais beaucoup de choses mais loin d’être ce que je devais dire. « C’est exactement ce que j’ai pensé que je l’ai vu devant moi mais si c’est vrai et ce n’est pas une blague. J’étais là aussi, je l’ai vu… je te promets mais il est bien vivant et il parle, il touche… ce n’est pas un fantôme. ». Je l’avais ensuite embrassée sur le front et tant de choses avant qu’elle ne reprenne la parole et je voulais seulement qu’elle m’écoute. Je l’écoutais à mon tour me dire que je n’avais pas le droit, c’était vrai mais comment le dire ? Elle était fatiguée et venait d’avoir un bébé… elle ne dormait plus vraiment enfin c’était une catastrophe et je voulais surtout que tout aille bien pour elle. Je voulais qu’elle puisse être heureuse et profiter de son fils avant de découvrir ça. « Désolée, je suis désolée mais comment voulais-tu que je te le dise ? J’étais autant choquée que toi. Cela ne fait que 3 jours que je le sais, ça va… on ne va pas en faire un drame… moi aussi je devais accuser le coup. J’aurais dû le dire de suite, oui et tu aurais fait quoi ? Tu venais juste d’avoir un bébé, on rentrait et tu ne dors pas beaucoup. J’ai pensée à toi et à ton fils. ». Je laissais un long blanc alors qu’elle me demandait de dire la vérité et rien que la vérité… haussant les épaules doucement je me demandais quelle vérité je devais dire.

Réfléchissant doucement à ce qui se passait, je voulais surtout la faire sourire et rire un peu en attendant de dévoiler tout ce que je savais que je lui cachais ou cachais simplement depuis longtemps enfin je voulais tout dévoiler et je dévoilerais tout avant d’en venir à l’essentiel. Prenant alors la parole en souriant doucement malgré les larmes qui coulaient sur nos joues. « Je suis amoureuse, je suis amoureuse de Gianni… ça, je te l’ai pas encore dis, je crois ? On est en couple en plus, enfin je crois que tu as du le remarquer… t’es douée pour ça. T’as le flair pour deviner ce qui se passe autour de toi en général. » Je riais doucement en levant les yeux… je prenais alors un regard plus crispé mais souriant tout de même « … et il m’a sauvé. Après le départ de Jayden, je n’étais point un modèle pour toi. Je suis devenue une vraie petite… » j’hésitais un peu mais si les mots pouvaient la décontracter, je devais le dire. « Une vraie petite salope qui couchait avec les mots avant de les lâcher avant même qu’ils ne se réveillent. »… j’haussais les épaules. « Je crois que je ne voulais pas changer la façon dont tu me voyais pour que tu me penses aussi Bitche que je pouvais me le sentir. » Oui, je ne voulais pas que l’on me voit comme je me torturais déjà à me sentir quand je pensais à cette sombre période mais oui, il m’en avait sauvé car je crois que cela m’aurait tué si je continuais sur cette voie. Je devenais folle à cette époque et cela faisait un bien fou de pouvoir oublier ça. Je riais doucement et tentais d’oublier cette confession, ce secret avant de reprendre… « Oh et mon premier jour à la morgue lorsque j’étais en stage… j’avais un superbe ensemble jupe, tailleur et tout mais j’avais oublié de mettre mon shorty tellement je stressais, c’est stupide... non ? Mais je ne l’ai jamais dit à personne. Honte à moi. », Je souriais en continuant mes bêtises et réfléchissant à ce que je pouvais dire encore. « J’ai aussi volé, une fois mais je culpabilise à mort… c’était un paquet de Chewing Gum au supermarché, j’avais oublié mon porte-monnaie et je l’ai toujours dans un tiroir, celui de mes sous-vêtements, je crois. J’avais tellement honte que je ne l’ai jamais ouvert. ». Je venais de lâcher des bêtises sans même m’autoriser à regarder sa réaction… je ne savais pas comment elle réagissait et je ne voulais pas encore le savoir, je me contentais de passer en revue ce qui pourrait la faire rire ou sourire même un brin, je m’en fichais. Je secouais la tête énergiquement en soupirant. « Je sais que tu parlais de cette histoire avec papa mais je ne sais pas comment te l’expliquer c’est encore confus pour moi tout ça. Je m’en remets à peine et je pense seulement que tu devrais aller lui demander par toi-même. Tout ce que je sais... C’est que c’était soi-disant pour notre protection alors que nous laisser sans père n’était pas de la sécurité. ». Je pensais qu’il pourrait mieux lui expliquer que moi. « Saches que je ne t’ai pas menti et je te l’ai juste caché pour un court moment… seulement le temps d’être prête moi aussi et je ne le suis pas. », je n’étais pas prête à en parler avec elle, c’était un fait.
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Léna Stam
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MessageSujet: Re: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeLun 23 Mai - 15:38
Je restais là à la regarder dans les yeux alors qu’elle m’avouait que notre père était vivant, c’était presque impossible pour moi, j’avais vu cet homme mourir, et nous l’avions enterré, j’avais assisté à ça et ce souvenir était presque intacte dans mes souvenirs. Comme toutes les gamines j’avais rêvé qu’il puisse être là, qu’il rentre à la maison un jour et que notre vie de famille revienne. J’avais imaginé pleins de chose, que je rentre à la maison un soir d’école et que comme par magie il soit la devant moi, je me voyais presque courir dans ces bras, comme une enfant et je profiter juste de notre instant à lui et moi à moi. L’écoutant à moitié, je repensais à nos dimanches en famille, je me marchais toujours rapidement le rejoindre dans son lit le dimanche matin et câliner mes parents comme une petite fille en me glissant entre eux. J’avais toujours accroché à ma famille, j’en étais assez fier, j’avais un père formidable sans doute le meilleur de tous, toujours à l’écoute et me traitant comme une petite princesse ; maman elle était la femme la plus douce que le monde ai porté, elle était vraiment belle et quand je la regardais, je voyais tout ce que j’aurais voulu être. L’admirons que j’avais pour elle, le sourire qu’elle portait sur moi me rendait heureuse et tous les quatre nous formions une famille, quelques choses au quel je tenais puis tout s’était effondré, en à peine une soirée nous étions passé d’une famille de quatre personne à Pandy et moi et c’était étrange. En la regardant dans les yeux je réalisais que la seule chose qu’elle désirait vraiment c’était de ne pas me blesser et a au fond je savais que comme depuis toujours elle était là pour moi. En déposant mes yeux dans les siens je lui pris la main « Je sais. Je n’ai pas été des plus sympa avec toi toute à l’heure et je suis désolée si j’ai été froide et si j’ai crié mais ça semble tellement irréaliste, on a vécu tous ces trucs toi et moi et tu me dis qu’il est là, qu’il n’est pas mort et je me sens … j’ai peur, j’ai vraiment peur » en réalité j’étais tétaniser à la simple idée de ne plus pouvoir gérer cette situation, c’était une chose dont je n’étais pas capable, j’avais tant de chose à faire depuis la naissance de Lukas et j’étais épuisée, je rêvais juste de dormir et c’était encore une chose qui s’accumulait, et j’avais peur, j’avais totalement peur, mais surtout de ne plus être à la hauteur. Ma main c’était arrêter de trembler et je regardais ma sœur dans les yeux légèrement humide « Il est comment ? Il a changé ? Ou c’est toujours le même homme ? » je souris doucement, j’avais presque oublié le son de sa voix en quatorze ans, c’était des détails dont je n’arrivais plus à me rappeler et parfois cela me rendait dingue d’avoir oublié, je culpabilisé même à cette simple idée. « Je sais que tu es désolée, et ne t’en fais pas, je ne suis pas fâchée enfin plus, j’aurais pu dû réagir comme ça et je ne suis même pas sure que j’aurais eu le courage de te le dire moi aussi. J’aurais sans doute été tétanisé ou j’aurais je ne sais pas fuie c’est une de mes spécialité parfois » dit-je en souriant. Tout aller trop vite dans ma vie parfois, mes parents, mes histoires d’amour, mon bébé, et mes parents de nouveau c’était l’enchainement de toutes sortes de choses qui me rendait fragile elle avait raison « J’ai un bébé tu y crois ? » bon dieu ce que c’était étrange au fond. J’écoutais ma sœur partir dans ces explications, elle se mit à parler de Gianni et je ne comprenais pas vraiment pourquoi à cet instant, je me contentais de la regardais de façon incompréhensible, la dernière fois que j’avais vu la jeune homme c’était la maternité, et en y repensant je revoyais ce petit baiser sur le front et leur regard complice, j’avais déjà senti ça quand je l’avais vu dans le lit de ma sœur ce matin-là, après avoir eu la brillante idée d’embrasser ce dernier. Arquant un sourcil je repris « Non non ! Ne dis surtout pas ça chérie, tu es un modèle pour moi, tu es ce que j’ai de plus cher et si un jour je t’arrive à la cheville j’en serais vraiment fier » c’était la pure vérité, j’aurais tant aimer être comme elle, c’était l’une des raisons qui avait fait que j’avais choisis médecine, je voulais être aussi bien et aussi parfait que ce qu’elle était pour moi-même si j’adorais aussi vraiment ça « Tu as vraiment oublié ta culotte ? » en quelques secondes elle me fit oublié le sujet de Gianni et j’imaginais la scène en riant. Je ris quand elle me parla de ces petites vole inoffensif « Une fois, j’avais plus d’argent pour te faire un cadeau génial pour ton anniversaire, et il y avait un Geek en ville qui ne me lâchais pas alors je lui ai vendu mes sous-vêtements pour te faire un cadeau » je ris en repensant à cette histoire stupide, c’était un truc bête mais je voulais tellement lui faire plaisir que je n’avais rien trouvé de mieux pour avoir un peu d’argent puis ce n’était au fond que quelques boxer banales. Après quelques rires je la regardais plus sérieusement « Je t’aime tu sais ça ? Je ne veux pas que tu penses que tu as échouée avec moi par rapport à Lukas et tout ça … Tu a été fantastique et je ne sais pas comment je pourrais te remercier pour tout … T’es la meilleure grande sœur au monde » je la pris délicatement dans mes bras et le serrais tendrement avant d’avoir comme un flash. Je reculais et la regardait dans les yeux « Minutes Pandorà Lily Stam, tu a bien dit être amoureuse Gianni … Le Gianni ? Comme le Gianni Calzore ? L’italien trop canon qui été dans ton lit l’autre jour ? » je la regardais faussement sérieux, tentant de garder mon sérieux « Sur une échelle de 1 à 10 à quel point tu es sérieuse ? » je souris trouvant la situation assez drôle. Je la pris dans mes bras avant de rire, c’était tellement étrange comme situation mais c’était une bonne chose, et il était un type bien « Est-ce que ca veut dire que je n’ai plus le droit de le draguer ? Parce qu’il faut dire que c’est un truc assez drôle à faire … mais je te préviens je continuerais à l’appeler papy ou mon amour si je veux » je ris lui donnant un petit coup de coude.
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MessageSujet: Re: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeMar 24 Mai - 0:11
Elle me regardait dans les yeux et je lui souriais tout simplement sans plus, cela me suffit pour comprendre ce qu’elle allait dire avant qu’elle ne le dise… comme deux et deux font 4 ou un et un font 2 enfin logique, non ? Ou… est ce qu’il y a une logique dans tout ça ? Découvrir l’existence de mon père que je croyais mort n’étais-ce déjà pas une chose illogique en soi ? C’était flippant en quelques sortes. Elle me disait ne pas avoir était sympa mais je m’en fichais, je comprenais sa colère enfin sur le moment, je le comprenais et je ne lui en voulais pas répondant simplement d’un signe de tête pour lui faire comprendre que ce n’était rien et qu’il y avait bien pire que ça dans la vie, non ? Elle avait criée mais pas si fort et puis elle n’était pas si froide sinon elle ne m’aurait pas laissée la prendre dans ses bras et d’autres petits choses. Elle avait peur mais moi aussi, j’avais peur. Ce n’était pas croyable voir dingue. Je me disais que je ne pouvais pas seulement être heureuse et qu’il devait toujours y avoir une zone d’ombre à chaque fois que le bonheur frappait à ma porte. Je devenais dingue à penser à ça donc j’en changeais vite de sujet après qu’elle ne me pose des questions sur lui. Je soupirais doucement et levais les yeux. « Lena ? Faut voir par toi-même… j’ai plus de souvenir que lui et je peux dire oui mais tu ne pourrais peut-être pas le reconnaitre comme moi…. Je l’ai reconnu », il était vrai que 10 ans était simples pour se faire à un visage même avec les années de plus. Au début, je n’y croyais pas réellement mais peu à peu, j’ai finis par m’y faire à ce visage de mon père en face de moi et bien vivant… j’avais peur de voir un fantôme et de parler à Casper mais au fil du temps, j’ai fini par me dire que c’était bien lui, c’était bien lui. Je lui souris alors qu’elle me disait encore qu’elle était désolée… encore et encore, je le savais. Elle était autant perdue que moi je l’étais ou que je le suis mais à la seule différence, elle n’a réellement que moi là, j’ai eu plus d’une personne pour en parler avant d’en parler avec Lena (enfin je suppose hein). « C’est notre spécialité, la fuite… je sais que j’aurais dû le dire plus tôt mais je pensais réellement bien faire. », je le pensais oui et si je devais le refaire ? Je ferais pareil car je pense que c’était bien mieux. Elle me demandait si j’y croyais qu’elle avait un bébé, je ne pus m’empêche de rire en faisant non de la tête « Je n’y crois pas, tu es si jeune et si innocente », oui pour moi ma petite sœur était encore une innocente, un enfant enfin je la voyais comme telle et cela ne changerait pas. Je la voyais douce et fragile qui venait se blottir contre moi quand elle faisait des cauchemars ou qu’elle allait mal.

Je parlais alors lâchant plusieurs secrets et choses que je ne lui avais pas encore dites enfin rapidement et sans vraiment m’en contrôler pour changer de sujet et changer l’ambiance qui était trop lourde avec l’état de fatigue dans lequel nous nous trouvions, je devenais dingue. « Je ne suis pas un modèle et tu m’arriveras à la cheville. Tu es forte et courageuse. » Oui, j’avais besoin de lui dire car parfois cela fait bon à dire, non ? C’était plus fort que moi de l’aider à prendre confiance en elle et oui, je n’avais jamais confiance en moi pourtant… allez savoir. Je riais alors qu’elle finit par me demander si j’avais réellement oubliée ma culotte. Haussant alors une épaule et détournant mon regard je soupirais. « Oui et je n’en suis pas fière en fait mais j’étais nerveuse enfin tout ça, quoi », je riais en me disant que je devais paraitre dingue ou folle d’avoir dit des conneries pareils enfin oui et non car j’étais toujours dingue ou folle, je vous jure. J’écoutais alors son secret en riant et même bien plus, j’étais morte de rire. « Tu as vendu tes sous-vêtements pour moi à un geek qui doit faire surement bien des choses perverses avec eux ? Ça fait un peu peur, non ? Même pour me faire un cadeau, c’est louche. Très louche. »… oui, ben quoi ? Cela me marquait un peu mais je ne voulais pas vraiment m’en affairer et passer à la suite. Riant alors qu’elle venait me dire qu’elle m’aimait et d’autres choses. Je levais les yeux en riant… « il y a bien mieux mais tu ne les connais pas donc bon… voila », et oui. Comment pouvait-elle le savoir ? Elle ne connaissait que moi dans la matière donc elle n’avait pas réellement la chance d’avoir une image pour m’y comparer. Oui, encore cette malheureuse envie de me battre avec mes idées et mon manque de confiance en moi enfin tout ça quoi. « Je t’aim… », elle me prit alors dans ses bras ce qui m’amusait alors qu’elle était simplement là à reculer et me parlait rapidement de Gianni ce qui m’amusait tellement… Je la laissais parler et délirer toute seule avec ses questions et tout avant de la regarder en riant et montrant un doigt « Tout d’abord, oui… le Gianni… on en connait qu’un seul et je crois bien qu’il est italien mais tu sais, il n’est pas seulement italien maintenant mais il est aussi mon petit copain », cela me faisait bizarre de le dire mais c’était tellement bien qu’il fallait que je le case dans une phrase par ce que oui, j’adorais le dire, je suis dingue ? Non, amoureuse alors ne pas vous moquer de moi, non mais oh. Je souriais en montrant le deuxième doigt… « Oui, c’est l’italien trop canon qui était dans le lit, mon lit mais on n’était pas encore en couple à ce moment-là… t’en fais pas… tu n’as donc pas été en cause d’une tromperie », je riais et je n’aimais pas repenser à cette matinée car le déroulement n’était pas vraiment des meilleurs souvenirs même si c’était bien amusant en fait et puis bref, j’arrête de raconter des bêtises. Je la regardais en montrant le troisième doigt… « Je n’ai pas l’air sérieuse quand je dis que je suis… », J’insistais bien sur les mots que j’allais dire « … amoureuse de Gianni Calzore ? »… la regardant alors droit dans les yeux et lui laissant un grand sourire « Je l’aime », oui je repensais un peu à la soirée et notre première journée en tant que couple devenant alors aussitôt un peu rêveuse et secouant alors la tête en le regardant et la pointant alors du doigt avec le quatrième… « Tu ne le dragues plus… sans quoi, je te ferais une grande crise de Pandysie », le mot n’existait pas mais j’y mêlais Pandy et jalousie même si je n’étais pas encore réellement jalouse enfin si mais je n’allais pas le dire à Lena, ahah. J’haussais alors les épaules en montrant mon cinquième doigt… « Et tu peux l’appeler come tu le veux sauf… mon amour car ça », j’hochais la tête en grimaçant… « cela ne me plait pas de trop, tu sais ? », je riais doucement avant de m’assoir sur le canapé et la regardant en riant. « Tu vas t’en remettre au fait de cette nouvelle ? C’est pas ça mais je suis fatiguée et puis si je continue à en parler… je vais me transformer en fleur bleue et devenir toute puppy. ».
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Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Vide
MessageSujet: Re: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeJeu 9 Juin - 17:27
Je souris doucement au fond c’était presque une bonne nouvelle même si j’avais la sensation de me retrouver dans un monde parelle que je ne contrôlais pas vraiment mais au fond que pouvais-je faire d’autre, ces derniers temps ma vie se montrait totalement incontrôlable et je n’avais pas la sensation d’être le maitre de mon destin et de mon avenir. J’avais presque la sensation de me retrouver dans un film, et j’étais là à regarder le monde dans lequel je vivais. Je regardais ma sœur réalisant qu’encore une fois notre vie aller changer et que notre père n’était finalement pas mort et qu’au fond nous avions l’occasion de refaire quelques choses de bien elle et moi « Tu sais que ça semble totalement surréaliste tout ça ? J’ai un peu la sensation de vivre dans un monde totalement fou et j’ai même l’impression de rêver, avoue que c’est assez dingue non ? » je souris doucement, étrangement j’avais totalement hâte de le retrouver, j’avais des centaines de choses à lui dire, j’étais le genre de fille qui avait besoin d’une famille autour d’elle et mon père était la chose la plus précieuse que j’avais avec ma mère, c’était tellement improbable, j’avais rêvé de ce moment pendant des journées, chaque jour depuis quatorze ans j’avais voulu serrer de nouveau mon père et ma mère près de moi, je rêvais éveillé et j’en venais presque à me demande si ma mère était là aussi, mais j’avais peur de lui demande, par peur d’entendre une réponse négative et de ne pas savoir quoi lui dire, Je me demandais comment il était, si il faisait toujours ce boulot, si je me sentirais toujours en sécurité dans ces bras et comment nous irons tous les deux, mais surtout est ce que nous allions retrouver notre relation si proche « Je ne suis pas faché ne t’en fais pas » il y avait un réel lien entre elle et moi, nous ne formions qu’une malgré nos différentes. Je ne pus m’empêcher de rire à la remarque de ma douceur et de mon innocente.

Pendant plusieurs secondes nous nous perdîmes dans des délires d’enfant, j’avais ce côté impulsive et j’aimais faire tout ce qui était interdit. C’était peut-être bête mais comme tous les adolescentes, j’avais ce besoin d’enfreindre les règles et d’atteindre mes limites, et parfois je dépassais les bornes, et je réalisais que ma sœur avait dû supporter toutes mes flasques en tout genre « Oui il s’appelle David ou peut être Dave bref il a fait ce qu’il voulait, il a payé 50 euros pour une simple culotte … Mais tu sais c’était le type qui vivait au coin de la rue, un brun à lunette, il avait toujours un crayon ridicule dans sa poche, il faisait de la lumière » je ris en me souvenant de ce garçon qui vivait, il était souvenant seule et toujours dans ces ordinateurs et ces trucs bizarres que seul lui comprenait. Il n’avait pas l’ait méchant mais il était vraiment bizarre comme garçon, alors que je n’étais qu’une gamine il me faisait totalement paniquer. « Allez sourit, si on cherche on peut peut-être la retrouver sur Ebay » je souris en entendant son je t’aime, c’était toujours bon à prendre même si parfois je me rendais compte que je ne lui disais pas assez, il m’arrivait de regretter nos tensions et toutes ces choses qui nous unissait mais au final nous étions toujours l’une avec l’autre et l’une là pour l’autre. Je ris à la petite phrase sur Gianni, il est vrai que nous n’en connaissions qu’un, c’était une question idiote mais j’avais eu besoin de la lui poser « On sait jamais que ce serait je sais pas Gianni, le roi de la pizza ou je ne sais pas quoi » en réalité je n’imaginais pas du tout ma sœur avait Gianni pour la bonne raison que j’avais l’impression qu’il n’était pas le genre d’homme à aimer les relations sérieuse et toutes ces choses de couple mais en y repensant il m’avait demandé ce qui pourrait lui faire plaisir à noël, peut être un signe ? Bref je tentais de mon concentrer « Il est mignon » en fait c’était plus que ça, c’était un homme qui attirer plus d’une fille, et je n’étais moi-même je le trouvais mignon « Wahou t’es amoureuse Pandorà Lily Stam ? » c’était un peu un choc après l’épisode Jayden je ne pensais pas qu’elle se trouverait un garçon rapidement mais c’était un type bien et j’espérais qu’il ne lui brise pas le cœur car dans ce cas, je me devrais de le tuer et il était trop mignon pour mourir. Je fis la moue « Mais laisse-moi l’appeler mon amour … C’est le mien avant le tiens d’abord » je souris doucement en lui donnant un coup de coude tout gentil, bien sûr que je plaisantais « Sans être indiscrète et en tout bien tout honneur il est comment au lit ? » je plaisantais ou pas en réalité mais bon elle ne pouvait pas le savoir. Je lui souris et la pris dans mes bras tendrement « C’est cool pour toi, je suis contente » murmurais-je en m’étirant dans le canapé totalement épuisée.
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Pandorà L. Stam
I Shall Believe
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✔ AGE : 25 ans
✔ SEXE : Féminin
✔ METIER : Médecin Légiste
✔ ETUDES : .
★ AVATAR : Nina Dobrev
© CRÉDITS : Crazy Bunny
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10/01/1987
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✔ HUMEUR : Plutôt bonne
✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet)
✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors !
✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.




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MessageSujet: Re: Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena !   Les bébés ont parfois besoin de pleurer || Lena ! Icon_minitimeMer 15 Juin - 14:18
C’était vrai pourtant mais oui, c’était surréaliste enfin à sa façon. Je ne savais pas vraiment quoi penser de tout ce qui se passait. Mon père, son retour surtout et le fait que c’était pour un potentiel danger. Courrions-nous encore des risques ? Je n’en savais rien et peut-être que je ne voulais même pas le savoir. Je ne voulais pas vivre dans la peur, non du tout. Un monde totalement fou ? Oh oui, un monde dingue. Je ne disais rien à ses questions car je ne pouvais pas y répondre, j’hochais simplement la tête. Je ne voyais pas réellement la nouvelle comme elle la prenait enfin oui et non mais je ne m’y faisais pas encore assez que pour oser le dire devant elle, comme ça. C’est peut-être par ce que je suis Pandy, je suis une Stam… je garde tout pour moi et je ne dis rien. Mes sentiments restent mes sentiments et ne quittent jamais mon cœur ou ma tête. C’était totalement fou mais je ne rêvais pas, pas du tout, je voulais seulement oublier pendant quelques temps ce que j’avais appris et m’y faire petit à petit… comme cela aurait dû être le cas. Comment réagiriez-vous ? « Oui, c’est fou », me contentais-je de rajouter simplement d’une petite voix presque inaudible mais je ne pensais pas que c’était fou, je ne pensais pas du tout. C’était plus simple. Je ne lui en voulais pas, oh non et je ne voulais pas qu’elle ne m’en veuille, on n’avait rien fait de mal en fait. Rien du tout et je n’avais fait que la préserver de tout ce qui pourrait arriver autour de nous alors qu’elle était loin d’être prête pour qu’on accumule. Je n’en pouvais plus de tout ce qui se passait alors que tout commençait à aller bien. Tout retrouvait une harmonie et pouf, finie l’harmonie. Je n’en revenais pas mais au fond, je pensais à autres choses sans le vouloir. C’était automatique comme pour me protéger. Le retour de mon père n’était en rien un problème pour l’instant… je faisais comme s’il n’était jamais revenu, c’était bizarre.

Nous dérivions vers des choses plus joyeuses, des anecdotes. Peut-être que je voulais éviter le sujet ? Oui, c’était le cas. Je ne voulais pas vraiment commencer à en parler et peut-être pas avec Lena aussi. Pourquoi n’arrivais-je jamais à parler avec elle ? Je n’en savais rien et je ne l’avais jamais su mais c’était plus fort que moi. Là, elle me parlait du geek à qui elle avait vendu ses sous-vêtements pour 50 euro, une simple culotte, je devenais dingue en écoutant ça et laissait un grand rictus apparaitre sur mon visage, je ne voulais rien dire et je ne savais pas ce que j’aurais pu dire en fait, rien. Il n’y avait rien à dire, elle était inconsciente, c’est vrai. Je voyais très bien ce gamin, je n’en revenais toujours pas. « T’es tarée… dieu sait ce qu’il fait de ta culote », je lâchais ensuite un « Erk » assez écœurée d’apprendre ça en fait c’était plus fort que moi d’imaginer ce qu’il pourrait faire avec la petite culotte de ma petite sœur. « Et puis je croyais que tu ne portais jamais de culotte », oui… important à dire car c’était vrai, elle me disait toujours qu’elle ne portait pas et je fais la lessive donc je le sais pertinemment ce qu’elle porte. Je faisais non de la tête… « Crois-moi… il l’utilise encore ou il l’a tellement usé qu’elle doit être dans la poubelle ou ses trophées », cela m’amusait de parler de ça avec Lena mais pourtant je me disais : une mère se cache là-dessous ? Je trouvais ça irresponsable même si cela datait mais je ne pouvais pas m’empêcher de trouver que ce n’était pas judicieux.

Sa question idiote à propos de Gianni quant à savoir lequel c’était m’avait fait rire et directement reprendre en disant que nous n’en connaissions qu’un seul mais quand elle me dit que cela pourrait être le roi de la pizza… j’hochais la tête. « Oh, il est le roi de la pizza et bien d’autres choses… », Que voulais-je dire par là ? Rien du tout mais il y avait tellement de sens possible. Dans tous les cas, je n’en dirais pas plus et elle savait pertinemment que je ne lui en dirais pas plus si elle le demandait. Elle me connaissait au fond, je gardais et je garde toujours ma vie amoureuse pour moi. Je ne suis point le genre de vie qui déballe tout. Je souris en la regardant « Très mignon et il te surprendrait, il n’est pas comme il le montre… »… j’haussais les épaules. « Le gars qui n’est pas sérieux enfin tu vois ce que je veux dire. Il m’a surpris », je me marrais alors qu’elle me demandait si j’étais amoureuse et la regardait en souriant. « Tu crois ? », je ris et levais les yeux en finissant par la regarder. « Tu veux un scoop ? Il l’est aussi enfin il ne me l’a pas encore dis mais il n’en a pas besoin. Je le sens. Il faut y être pour le sentir », je souris. « Il me regarde comme papa regardait maman », ahah… oui, c’était tout ce que me venait à l’esprit mais peut-être que j’y pensais beaucoup et le dire à une personne me faisait du bien car je n’en parlais pas vraiment avec d’autres non plus. Je pensais à lui et directement mes yeux brillaient et je prenais une petite couleur rouge. Je me sentais comme un ados mais c’était tellement nouveau pour moi et puis c’était tellement bien, j’avais l’impression de revivre… et Lena me donnait souvent la jeunesse quand j’étais avec elle donc me comporter comme une adolescente en sa présence était presque habituelle. Je ris doucement et fis non de la tête. « Je t’en prie, évites… je n’aime pas trop. Même si c’était d’abord le tien. », J’arquais alors un grand sourcil à sa question et la regardait du genre : pardon ? Je n’allais pas répondre et je snobais totalement ce détail de la conversation. Je ne répondrais pas à ça. Elle me prit alors dans ses bras avant de s’allonger dans le canapé alors que je me contentais d’aller dans le frigo me servir un verre de jus de fruit. Je riais doucement et prenais Lukas. « Venez, vous faites dodo avec moi. », oui… mon lit me manquait non d’une carotte et je voulais retrouver un bon matelas, non un canapé. Je lui souris doucement en l’attirant vers la chambre et la regardais. « A cause de toi, j’ai envie d’être avec lui, là… tout de suite », je riais. « Saleté, moi qui arrive à m’en détacher pour ne pas m’en languir ». Oui, c’était vrai que je voulais être avec lui mais j’attendrais patiemment que nous nous voyons car ma petite sœur devait dormir, moi aussi et Lukas aussi même s’il dormait dans mes bras. Je fis signe à Lena de s’allonger dans le lit et couchait Lukas entre nous deux tout en allant sous les couettes car il commençait à faire frisquet. « Bonne nuit, les Stam », disais d’une douce petite voix pour masquer le silence et laisser aussi dormir le petit bout. Lukas avait l’air stable à gigoter un peu dans son sommeil mais rien de choquant… totalement naturel même. C’était normal qu’il bouge. Je regarde Lena et lui caressait les cheveux. Fermant alors les yeux pour trouver mon sommeil.


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