Sujet: PANDORA&KAYA - what do you think about my clothes ? Dim 19 Juin - 16:10
What do you think about my clothes ?
Le premier défilé de Kaya avait été un véritable succès. Tout le public avait eu l’air d’apprécier ses créations et la conférence de presse s’était plutôt bien passée même si son baiser avec son meilleur ami avait fait la une du journal du lendemain. Plusieurs magazines de mode lui avaient assuré des articles très élogieux tandis que certaines femmes ne pouvaient s’empêcher de toucher les tissus des robes des mannequines. Kaya vivait depuis hier un véritable rêve éveillé. Même si elle était à Sydney depuis quelques mois déjà, elle n’avait pas encore fait parler d’elle jusqu’à hier. Elle commençait enfin à être connue et renommée dans ce métier très sélectif. C’était le couronnement de dures années de labeur. En effet, Kaya avait la particularité de dessiner ses modèles toute seule mais également de coudre toutes ses robes une par une. C’était un travail de titan qu’elle accomplissait chaque jour mais pourtant jamais elle ne s’était plainte. C’était sa passion et elle aurait accepté tous les sacrifices du monde pour pouvoir en vivre. Kaya avait profité du succès du défilé pour annoncer aux femmes présentes dans la salle que sa petite boutique allait ouvrir le lendemain matin dès 9h. L’emplacement n’était pas très grand étant donné que sa mère lui avait coupé les vivres, néanmoins, elle disposait de juste assez de place pour entreposer toutes ses créations. La particularité de cette boutique était sans doute le fait que chaque modèle était unique. Ses vêtements étaient modernes mais destinés à être porté tous les jours autant dire qu’il n’y avait pas vraiment de choses excentriques. Etant donné qu’elle passait des heures à coudre tous ses vêtements à la machine, il était clair que le prix final était assez cher mais elle espérait que le coup de cœur allait l’emporter sur la raison du portefeuille. Sa boutique n’était pas non plus hors de prix dans le sens où il y avait toujours moyen de trouver quelque chose de très abordable si on fouillait bien.
Kaya était sur place depuis six heure du matin afin de s’assurer que tout était parfaitement prêt. Elle avait décoré sa vitrine elle-même et avait pris soin de placer des vêtements extrêmement colorés qui reflétaient bien la personnalité de l’endroit. Elle regarda sa montre : 9h pile. Il était maintenant temps de voir si quelqu’un avait eu envie d’attendre l’ouverture de sa boutique. Elle leva donc le volet qui masquait la vitrine de son magasin et regarda les alentours. Pour le moment, la galerie était encore déserte mais elle songea que c’était principalement dû à l’heure assez matinale. Cependant, les minutes passaient et Kaya stressait de plus en plus. Même si elle avait un talent incontestable, elle doutait toujours d’elle se croyant inférieure aux autres. Les questions fusaient maintenant dans sa tête. Et si elle avait fait tout ça pour rien ? Et si personne ne venait ? Et si tout le monde avait détesté ses créations ? Et si sa mère avait engagé un public admiratif juste pour lui faire du mal par la suite ? Elle était maintenant entrain de faire les cent pas tout en se torturant l’esprit de questions futiles. Soudain, elle entendit la sonnette de sa boutique résonner. D’un bond, elle se retourna et arbora un magnifique sourire enjoué. « Bienvenue chez Kaya’s clothes ! Si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas à m’appeler, je serais juste ici » Kaya eut alors le loisir de remarquer une magnifique brune qui manifestement devait aimer la mode. Elle était assez bien habillée et incarnait la cliente que toute boutique de vêtements aurait aimé avoir. En effet, elle était très mince et par conséquent extrêmement facile à habiller. Tout en prononçant cette dernière phrase, Kaya marcha à reculons en indiquant du doigt qu’elle serait derrière sa caisse. Malheureusement, la jeune femme était si maladroite qu’elle fit tomber la pile de boîte à chaussures qui se trouvait derrière elle. Dans la panique, la jolie brune fit un geste pour aider Kaya qui lui fit signe que tout allait bien. « ça va aller, merci. Je suis très stressée car ma boutique vient juste d’ouvrir mais ça va aller » Kaya souriait toujours tout en allant s’asseoir derrière sa caisse. Immobile, elle ne ferait plus aucune bêtises. En vérité, elle avait surtout prononcé ces mots pour se rassurer elle-même. Elle avait tellement peur que sa boutique ne marche pas …
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: Re: PANDORA&KAYA - what do you think about my clothes ? Mer 22 Juin - 10:06
Le courage est la résistance à la peur : la maîtresse et non l'absence de la peur.
Les choses s’arrangeaient pour moi enfin si l’on veut. J’avais Lukas, le fils de ma sœur qui pleuraient presque 24 heures sur 24 et aussi le retour d’entre les morts de mon père enfin si l’on veut comme il n’était pas vraiment mort… youppie. 14 ans de mensonges mais le meilleur dans tout ça était que j’étais amoureuse. Oui, je pensais à lui au réveil en sortant de mes couettes. Que faisait-il ? Pensait-il à moi, là ? Je souris doucement en regardant notre photo que j’avais fraichement fait mettre en cadre sur ma commode avant d’aller dans la salle de bain. C’était nouveau pour moi de tel sentiment. Je n’étais jamais tombé aussi amoureuse. Est-il le grand A ? Je devais me le sortir de la tête surtout depuis qu’il m’avait donné la clé de chez lui cela prenait un sérieux qui ne m’effrayait pas vraiment mais m’excitait enfin c’était euphorisant. Il fallait que je me change les idées et que j’arrête de ne penser qu’à lui… enfin autant dire : chose impossible, il me hante. J’allais alors de suite prendre ma douche, hummmm… un bon moment détente du type serait parfait. Profitant alors bien de l’eau chaude réchauffant ma peau. Enfin bref en gros : je prends ma douche et oui et oui. C’est un bon moment et je ne veux le donner à personnes d’autres pour l’instant. Sortant alors pour enfiler rapidement un jeans et un chemisier rouge assez décolleté mais bien sûr, nous devons nous douter de mes plans de la journée quand on voit ce chemisier. Je ne ferais pas d’autres commentaires. Je me contentais de me maquiller légèrement, vraiment légèrement car je ne voulais pas ressembler à un pot de peinture comme 80% des jeunes femmes de notre époque. Je prône le naturel et la simplicité ce qui en soit est « la même chose » mais pas pour moi qui ai une conception bien différente des deux expressions mais nous en parlons dans un prochain épisode cela dit. Je ne savais pas trop ce que j’allais faire alors que j’étais prête, il ne restait qu’à enfiler des bottes pour affronter une journée shopping. J’aurais bien pu aller bosser ou d’autres mais c’était mon jour de congé donc autant en profiter, non ? Prenant alors mon sac et mes clés pour partir directement le centre commercial, je n’oubliais pas mon portable et ma pomme, important car il faut manger, Pandy.
Ma voiture, chose essentielle mais pourtant catastrophique… conduire ? C’était une chose qu’on aurait jamais dû me laisser faire enfin je ne compte pas les gens que j’ai failli renverser en route car ce serait une grande perte de temps. Enfin bon l’important n’était pas ma façon de conduire et tout mais simplement que j’allais en direction du centre commercial et j’aimais ça car le shopping et moi, nous ne faisons pas deux contrairement à la voiture. Oui, on fait même 5 ou 6 dans ce domaine. Me garant alors rapidement sur un petit parking, je décidais de d’abord faire un petit passage en ville, les boutiques d’extérieur offrait un charme : l’inédit. C’était souvent des boutiques plus simples et pas de grandes marques dont on entend parler partout comme Gucci mais encore Prada, elles étaient souvent des marques plus basics qui gardent leur charme aussi. Mettant alors mon ipod dans mes oreilles tout en me baladant avec mon sac dont un appareil était bien sur attaché en cas de pluie. La ville était bien ensoleillée mais comme l’hiver se rapproche et bien qu’ils ne soient pas vraiment totalement froid, je devais m’accoutumer donc au cas où, j’avais toujours ma protection bien qu’adorant la pluie, je l’ouvrais qu’après en avoir un peu profité, cela faisait un bien fou quand il pleuvait. Je suis bizarre ? Non mais vous ne pouvez pas dire ça de moi, tsss. Je prenais alors rapidement une gaufre au sucre en route… miamm oui malgré la pomme mais je pouvais me le permettre, je fais du sport et du sport en chambre aussi mais bon, j’ai dit que je ne dévoilerais pas ma vie privé au grand public donc je ne vais point la dévoiler (ouhhh la bavarde). Finissant alors ma gaufre après avoir dégoté un superbe foulard en cashmere qui irait parfaitement avec l’une de mes robes de soirée et réchauffer les épaules de la frileuse que je suis. On trouve parfois des choses magnifiques chez les petits commerçants, oui. Je vous l’assure et le prix ne me dérangeait pas spécialement car je gardais mes limites. Je ne suis point une dépensière et je peux me permettre quelques plaisirs de temps à autres.
C’est alors que mon attention se braqua sur cette boutique, nouvelle. Je ne l’avais jamais vu avant et je pouvais l’affirmer alors que je connaissais Sydney comme ma poche. Je ne savais pas encore quel genre de vêtements je pourrais y trouver mais j’espérais bien y rentrer. Mettant alors à la corbeille mon papier de la gaufre et me frottant doucement les mains avant de faire des petits pas assurés vers l’entrée, je regardais la vitrines. Finissant dès lors par rentrer en entendant le petit bruit de la sonnette qui me fit aussi sursauter car je ne m’y attendais peut-être pas. Une jolie jeune dame me disait alors bienvenue ce qui me fit sourire et je la regardais avec un petit hochement de tête. « Merci et j’y penserais. C’est gentil », j’aimais bien ce genre de petite action des vendeuses ou propriétaires enfin je trouvais ça agréable, l’on n’avait pas l’impression de tomber dans une boutique que l’on peut appeler : usine. On était plus vite chez eux, plus intimes. Je me comprenais dans ma pensée, je vous l’assure. Je la vis alors un peu nerveuse et basculer sur les boites, n’hésitant donc pas à l’aider… je lui souris alors qu’elle me dit que ça allait. Je la voyais alors se poser derrière sa caisse en me disant que ça allait aller. Je ris doucement et hochais la tête en fronçant un peu le nez. « Le stress, la peur que cela ne fonctionne pas ? Je comprends ça », j’haussais les épaules tout en regardant un peu tous les articles et finis par la regarder avec un petit air rassurant pour l’aider à se détendre. « C’est tout à fait normal en fait. On s’acharne pour construire notre avenir et l’on a peur que tout dérape d’un claquement de doigts. C’est un peu comme l’amour, c’est un peu comme un enfant. Vous pouvez le dire si ça ne va pas. Je crois que l’on vous comprendrait. », je souris tout en continuant ma petite ronde, oui… c’était une ronde même si au fond et bien je m’inquiétais surtout pour elle que pour les fringues. Je me retournais alors en la regardant. « C’est très joli ce que vous faites. C’est fait main ? C’est rare et vous pouvez en être fière. », je sentais comme un besoin de sa part d’entendre des choses compatissante, c’était presque normal même. Je me devais d’être assez chaleureuse en tant qu’apparemment première cliente, je ne voulais pas du tout être la client : chiante ce que je n’étais point. Je continuai alors à regarder en allant vers le petit coin de mes péchés mignons donc la lingerie. Flashant doucement sur deux ou trois petits ensembles. C’était plus fort que moi et même si c’était certains qu’ils ne resteraient pas longtemps si je ne les mettais que pour appâter une proie, me seule proie à appâter. Je ne vais pas voir ailleurs, ahah ben c’est bien de le préciser. Cependant mon regard se figea sur une nuisette de couleur parme d’un tissu doux de léger. Je ne pouvais pas en décoller mes yeux. Je la regardais attentivement en souriant. « C’est même merveilleux. Cela doit demander un temps fou. Vous savez quoi ? Je vais regarder tout ça de plus près, vraiment et je vais être la première cliente en or. », oui… je le pensais, je voulais lui montrer que ses créations me plaisaient réellement et surtout pas par pitié, je pensais vraiment tout ce que mes yeux voyaient, tout ce qu’il disait et je pensais réellement que ses créations valaient le prix ou le coup d’œil. Je lui fis un petit clin d’œil et rit doucement, « Vous croyez que mon petit ami attendra combien de temps avant de me retirer cet ensemble ? », je lui montrais alors un des ensembles noirs en riant. Oui, je plaisantais pour la faire rire un peu… ou est le mal ?
Sujet: Re: PANDORA&KAYA - what do you think about my clothes ? Mer 29 Juin - 20:32
Kaya était donc toujours postée derrière son comptoir n’hésitant pas à épier chaque geste de la jeune femme. Après tout, c’était sa première cliente et elle voulait absolument voir sa réaction en live. Bien qu’elle savait que ça pouvait la mettre mal à l’aise, elle ne pouvait détacher son regard de la brunette malgré tous ses efforts. Ah, elle regardait ses vêtements en général mais ne s’arrêtait sur rien en particulier. Est-ce un mauvais signe ? Non apparemment car elle s’arrêtait quand même de temps en temps. Ouf, elle avait l’air de trouver des choses qui lui plaisaient. Tout en regardant ses vêtements, la brune fit la conversation à Kaya, ce qui la détendit légèrement. « Le stress, la peur que cela ne fonctionne pas ? Je comprends ça. C’est tout à fait normal en fait. On s’acharne pour construire notre avenir et l’on a peur que tout dérape d’un claquement de doigts. C’est un peu comme l’amour, c’est un peu comme un enfant. Vous pouvez le dire si ça ne va pas. Je crois que l’on vous comprendrait.» Kaya esquissa un large sourire. Sa cliente avait l’air plutôt sympathique. En vérité, Kaya se reconnaissait énormément dans ce qu’elle venait de dire même si, personnellement, elle n’avait jamais vraiment connu l’amour. Elle se garda bien de le mentionner à la brunette qui était une très belle femme qui pouvait avoir absolument tous les hommes qu’elle voulait. Kaya ne voulait pas paraître « bizarre » en lui avouant qu’elle n’avait jamais eu de relation sérieuse. En effet, elle était même encore vierge étant donné qu’elle attendait toujours son prince charmant. Elle savait qu’elle aurait du mal à le trouver mais elle ne désespérait pas de pouvoir le rencontrer un jour. Evitant soigneusement de parler d’amour et d’enfants, Kaya lui répondit sur le champ étant donné qu’elle était très bavarde et encline à la discussion. « Oui c’est exactement ça. J’ai passé énormément d’années à bosser sur cette collection. Je ne suis douée que pour le stylisme donc si ça ne marche pas, je ne sais pas du tout ce que je vais faire de ma vie. Comme vous avez pu le constater, j’ai deux pieds gauches donc c’est encore plus difficile d’arriver à gérer tout ce qui se passe en ce moment. Enfin, j’espère que ma collection marchera comme ça je n’aurais pas à me chercher un boulot merdique qui ne me plaira pas » Kaya aurait pu continuer son monologue longtemps encore mais elle se résigna à se taire. Elle ne voulait quand même pas assommer sa première cliente. Elle ne voulait surtout pas paraître pour une vendeuse embêtante qui s’obstinait à rester derrière vous pour vous aider à la moindre question. Ces vendeuses devenaient gênantes et allaient même jusqu’à faire fuir leurs clients, elle ne voulait donc pas devenir comme elles.
« C’est très joli ce que vous faites. C’est fait main ? C’est rare et vous pouvez en être fière. C’est même merveilleux. Cela doit demander un temps fou. Vous savez quoi ? Je vais regarder tout ça de plus près, vraiment et je vais être la première cliente en or. » Kaya ne put s’empêcher de rire. « Oui, tout a été créé par mes petites mains car je travaille seule, je n’ai aucun employés. Sans doute parce que je n’aime pas déléguer. Merci beaucoup pour le compliment ! En tous cas pour le moment vous êtes vraiment une cliente en or » Kaya sourit de nouveau pour la mettre à l’aise. Bien qu’elle était toujours derrière son comptoir, elle ne perdait pas une miette de ce que faisait sa cliente. Elle s’arrêtait de temps à autre s’émerveillant des créations de Kaya pour son plus grand plaisir. A un moment, elle attrapa une nuisette qui plaisait aussi beaucoup à sa créatrice. Elle l’avait vu dès qu’elle était entrée, elle avait vraiment de très bon goûts. « Vous croyez que mon petit ami attendra combien de temps avant de me retirer cet ensemble ? », Kaya rit de manière assez gênée et se força quand même à répondre à cette question même si elle n’avait jamais eu l’occasion de se faire déshabiller par un homme. Cette présence masculine lui manquait énormément dans sa vie mais elle arrivait quand même à s’en accommoder, de toute manière elle n’avait pas le choix. « A mon avis, pas très longtemps. Vous êtes vraiment magnifique et tout vous va à merveille » Kaya réfléchit après coup sur ce qu’elle venait de dire. Elle espérait que la brunette n’ait pas mal interprété ses propos. Elle n’était pas entrain de la draguer juste de la complimenter. Réalisant pleinement la portée de ce qu’elle venait de dire, elle éclata de rire. « Enfin sans ambigüités hein » Rire la détendait légèrement même si elle était toujours très stressée. Allait-elle ressortir avec un achat ou non ?
Dernière édition par Kaya R. Nichols le Sam 9 Juil - 15:40, édité 1 fois
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Sujet: Re: PANDORA&KAYA - what do you think about my clothes ? Jeu 30 Juin - 14:04
Je lui souris alors qu’elle me répondait et confirmait sur le fait que c’était exactement ça. Il faut dire que je n’avais pas réellement l’habitude de taper la discussion comme ça avec les vendeurs de tous les magasins sinon cela me prendrait un temps fou pour faire mon shopping mais là, c’était intéressant. Elle avait passée des années à bosser tout comme moi pour devenir légiste… à fond dans mes études et ne voulant pas en décrocher sauf pour Lena et ses 25000 rebellions. Je n’étais cependant pas douée seulement pour mon boulot, je n’avais pas cette malchance heureusement car la musique était importante pour moi et si ma mère n’était pas décidée aussi tôt, je crois que j’aurais suivis cette voie. Je lui adressais un petit sourire et hochais la tête, « J’ai aussi deux pieds gauches si cela peut rassurer, je suis une maladroite de première mais je pense qu’il faut seulement croire en ses rêves enfin si c’est bien un rêve et seulement y croire. Il ne faut pas penser à la défaite ». Oui, je le pensais totalement après tout car si elle pensait déjà au fait que sa collection ne pourrait pas fonctionner et bien ce serait surement sans aucuns doutes qu’elle pense que tout pourrait dérailler en un claquement de doigt et terminée la collection et les rêves mais non, il fallait y croire jusqu’au bout sans craindre la chute même si l’on craint toujours la chute. Je continuais donc à regarder autour de moi ce que je pouvais trouver en tombant admirative de certaines articles, oui. Je ne pouvais pas dire que je manquais de coups de cœurs, j’en avais déjà plusieurs alors que je parlais en même temps et manquait de concentrations sur ma sélection. Je grimaçais quand elle dit ne pas vouloir déléguer « Je comprends, je comprends… c’est comme un bébé donc vous enfin tu car je pense que nous ne devons pas avoir beaucoup de différence d’âge… devriez tout de même car à partir d’un moment, il le faudra. », j’haussais doucement les épaules en regardant ma montre. « Là, il est encore tôt pour dire si ça va marcher ou pas, il faut attendre et puis la semaine… », je fronçais les nez « Ils sont au boulot aussi ». Oui, trouver les arguments pour la rassurer sur le peu de visites était un peu normale et puis logique, ils tenaient la route mais petits arguments chéris (et sachant que la joueuse a déjà été vendeuse, elle sait ce qu’elle dit... Ahah). « Et pourtant je ne suis pas d’or mais de chair et d’os », disais-je en souriant, oui… la petite dose d’humour, bonjour. C’était tout moi enfin bref, je riais après cette question à propos d’un ensemble. Pandorà ne pouvait pas du tout se douter que Kaya n’avait pas d’hommes dans sa vie enfin comment s’en douterait-elle ? Elle venait tout juste de la rencontrer ce qui était une bonne rencontre en plus même si elle n’avait pas encore prit le temps de faire connaissance avec elle enfin du moins amplement comme les présentations car même si la boutique portait son prénom, elle ne pouvait pas se douter.
Je ne pus m’empêche de sourire à sa réponse en y pensant un peu. Je n’y voyais aucunes ambiguïtés. Je ris à son rire, communicatif après tout et secouais la tête doucement. « Merci, c’est gentille mais je ne pense pas que tout m’aille tellement à merveille », roh ben oui, Miss Modestie et qui n’a pas confiance en elle, ne fallait pas y couper à ce petit détail. Je ne pense pas vraiment être parfaite ou que tout m’aille à merveille. J’ai une petite poitrine, des bras assez fins et d’autres détails que je n’aime pas spécialement chez moi mais personne ne s’aime après tout, non ? « Et ne vous en faites pas, je ne l’ai pas pris avec ambiguïtés », je lui souris. Ben après tout, je n’étais pas du genre à prendre au mauvais degré ce qu’on me disait. Cela serait ridicule de ma part, non ? Je continuais alors à regarder autour de moi quelques petits trucs, je n’avais pas encore mis de côté certains articles enfin non, pas mettre de côté mais je voulais dire que je n’avais pas encore choisis, je ne faisais que regarder pour l’instant. Peu à peu, cela commençait car je sélectionnais déjà cet ensemble pour le place contre mon bras et regardais alors les tailles des nuisettes, elles étaient sublime même si je savais que si elle devait rester sur moi autant qu’elle soit portée chez moi avec Lena dans le coin qui pourrait me demander ou je l’ai acheté et donc faire du bouche à oreille, Lena était douée pour ça (tu devrais lui demander un lien d’ailleurs). Enfin bref, je continuais à regarder et trouvais quelques autres petits trucs que je vais éviter d’expliquer par écrit sinon j’en ai pour la nuit. Je lui souris et me demandait tout de même comment elle pouvait s’appeler ou quel était son âge, c’était plus fort que moi car c’était bien tout de même de faire connaissance et l’aider un peu. « Je me présente », disais-je en allant vers la caisse et proposant ma main par politesse, non… je ne veux pas dire que je la demandais en mariage mais pas du tout… vous êtes bêtes si vous pensez ça. « Pandorà, Pandorà Lily Stam. Votre première cliente en or. », je riais doucement. Oui, je voulais qu’elle se détente et surtout qu’elle se sente proche de sa clientèle car les vendeuses qui font la gueule et ne pété pas un mot sont parfois à donner l’impression qu’elles se font chier d’être là alors que je voulais montrer que moi, je trouvais bien cet accueil. Je trouvais ça chaleureux. Approcher sa clientèle était une bonne idée. « Je suis fan, totalement fan et je compte bien le montrer. », je lui souris en allant continuer ma petite ronde et aux aguets des petits articles splendides que je pourrais acheter. Je ne ferais peut-être qu’une seule boutique mais on s’en fiche. Jetant alors un œil sur les robes, oui… je cherchais une jolie robe de soirée car toutes celles que j’avais… avait déjà été mise ou vue enfin je n’allais pas ressortir des vielles robes. « Tu pourrais me donner un petit avis ? Il me faudrait une robe de soirée ou deux pour les soirs à venir et je suis un peu difficile. J’ai un peu de mal quand c’est trop provocant mais j’aime aussi que cela ne soit pas trop sage », je ris doucement car oui, je n’aimais pas abuser de mes atouts comme beaucoup de femmes de notre générations.
Sujet: Re: PANDORA&KAYA - what do you think about my clothes ? Sam 9 Juil - 19:54
Kaya, même si elle était toujours assez stressée du peu de visiteurs qu’elle avait en cette matinée, commençait peu à peu à se détendre. Après tout, sa boutique plaisait quand même à cette cliente ce qui n’était pas rien. Du moment que cela plaisait à quelqu’un, Kaya était heureuse ; elle n’avait pas fait tout ça pour rien. De fil en aiguille, la conversation continua. La brunette était très sympathique et Kaya très bavarde ce qui arrangeait bien les choses. Kaya avait le don de mettre à l’aise les gens que ce soit en parlant de tout et de rien ou en racontant sa vie dans les moindres détails. En général, ses conversations étaient un mélange subtil entre les deux. Kaya ne cessait de regarder les vêtements que sa cliente mettait de côté et se rappelait l’histoire de chaque vêtement en particulier. La nuisette choisie avait coûté de nombreux efforts à Kaya étant donné qu’elle n’arrivait pas à coudre les perles correctement. Le t-shirt lui avait également donné du fil à retordre étant donné qu’elle n’était jamais satisfaite de la longueur des manches. Soit, c’était trop court, soit trop long. Il avait fallu au moins trois jours à Kaya pour trouver le juste milieu. En effet, la jeune femme était perfectionniste et aimait le travail bien fait. C’était sans doute pour cette raison qu’elle ne désirait pas avoir d’employés. Elle pensait que si elle ne faisait pas les choses elle-même, ce serait forcément mal fait. Pour le moment, Kaya s’en sortait assez bien étant donné qu’elle ne voulait pas créer une chaine internationale de magasins. Sa petite boutique lui suffisait et il serait toujours temps de déléguer une fois que son ambition aurait légèrement grandit. Étant donné que sa cliente venait d’aborder le sujet, Kaya se lança dans quelques explications. « Je comprends, je comprends… c’est comme un bébé donc vous enfin tu car je pense que nous ne devons pas avoir beaucoup de différence d’âge… devrais tout de même car à partir d’un moment, il le faudra. Là, il est encore tôt pour dire si ça va marcher ou pas, il faut attendre et puis la semaine ils sont au boulot aussi » Kaya trouvait adorable que sa cliente essaie de la rassurer de cette manière. De plus, elle était d’accord sur le fait de la tutoyer. Elle ne tarda donc pas avant de lui répondre et de lui expliquer ses ambitions. « Pour le moment, je me contente uniquement de cette boutique donc je peux m’en sortir toute seule, sans employés mais c’est vrai que lorsque je voudrais agrandir ou ouvrir une autre boutique, je serais bien forcée de déléguer. Enfin, on verra à ce moment là, pour le moment, j’aimerais déjà que celle-ci fonctionne et après j’aviserais. Oui, tu as raison, les gens travaillent donc je vais prendre mon mal en patience » dit-elle en riant. Kaya était quelqu’un d’assez attachant qui avait le contact très facile avec les gens même si elle était assez timide derrière son apparence de femme bavarde.
La conversation continua. Sa cliente venait de dire à Kaya que tout ne lui allait pas à la perfection. Cela, Kaya en doutait fortement. Elle était mince, avait de longs cheveux, une taille parfaite. Bref, un physique à faire rêver tous les hommes et même les femmes jalouses. De son côté, Kaya enviait le physique de sa cliente même si elle n’avait pas réellement de complexes. Elle était assez bien dans son corps et se contentait de trouver certaines femmes plus belles qu’elle ce qui était totalement normal au fond. De temps en temps, elle remarquait une coupe qui allait merveilleusement bien à une femme mais ne poussait pas le vice jusqu’à refaire la même. De par son expérience, Kaya savait que tout n’allait pas à tout le monde et que, même si on avait un physique ingrat, on pouvait toujours le mettre en valeur en choisissant les bons vêtements. Par exemple, Kaya avait de petits seins mais elle parvenait toujours à les mettre en valeur en choisissant des robes ou des chemisiers qui lui serraient la taille. Tout cela était donc une question de pratique. Finalement, étant donné que le courant passait bien entre les deux femmes, sa cliente fit le premier pas et se présenta officiellement. « Je me présente. Pandorà, Pandorà Lily Stam. Votre première cliente en or. » Kaya sourit. Au moins, elle avait gagné une amie en plus d’une cliente, c’était toujours ça de pris. Elle sourit et serra la main que Pandorà lui tendait. « Enchanté, moi je suis Kaya Nichols » Heureusement, son nom de famille ne trahissait pas son lien de parenté avec sa mère qui était une grande styliste et critique vestimentaire dans un magazine. En vérité, Kaya était contente de porter le nom de son père car, au moins, les gens avaient du mal à faire le lien entre les deux femmes. Une fois les présentations faites, elles reparlèrent business. « Tu pourrais me donner un petit avis ? Il me faudrait une robe de soirée ou deux pour les soirs à venir et je suis un peu difficile. J’ai un peu de mal quand c’est trop provocant mais j’aime aussi que cela ne soit pas trop sage », Kaya avait exactement les robes qu’il fallait pour l’occasion. Certes, elles étaient un peu chère mais, étant donné qu’elles étaient faites main, elles épousaient parfaitement les formes de n’importe quel corps et, en plus, elles étaient uniques. Kaya fit un signe de tête et partit dans un rayon chercher deux robes de soirées assez différentes. L’une d’entre elle était bleu roi et laissait entrevoir le dos de celle qui la portait. Le décolleté n’était pas très prononcé étant donné que Kaya avait déjà appuyé sur le fait que c’était un dos nu. La robe était assez longue et allait jusqu’au niveau des pieds. C’était une robe classe et élégante qui ferait sensation étant donné la couleur de cheveux et de peau de Pandorá. Elle alla également chercher une robe rouge avec quelques paillettes noires. Cette robe bustier arrivait légèrement au dessus du genou pour laisser entrevoir les jambes de la personne qui la porterait. Le bustier était parfaitement adapté à toutes les poitrines et ne tombait pas étant donné que Kaya y avait ajouté un élastique. Des paillettes noires ainsi que de la dentelle noire étaient placées de ci de là pour rehausser le ton rouge de la robe. Il y avait également une grosse ceinture noire en tissu qui soulignait la taille. Kaya avait également préparé le sac qui allait avec. Elle posa tout cela devant Pandorá et attendit sa réaction. Étant donné qu’elle avait plein de modèles différents, elle n’aurait qu’à lui dire ce qui n’allait pas jusqu’à ce qu’elles trouvent la robe parfaite. « Tu peux les essayer, les cabines sont juste là. Si la robe est trop longue ou s’il y a un détail que tu n’aimes pas, je pourrais toujours la modifier si tu le souhaites. Etant donné que tu es ma première cliente, je le ferais gratuitement bien sûr » Kaya souriait de plus en plus. Le fait d’avoir sorti ces robes qu’elle affectionnait beaucoup lui montrait que, tout compte fait, son magasin rencontrait son petit succès.
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: Re: PANDORA&KAYA - what do you think about my clothes ? Jeu 21 Juil - 0:19
Pour moi, il était naturel de papoter avec cette jeune femme qui paraissait totalement stressée et me montrer accueillie mais aussi charmée puis j’étais franche. Je ne dirais rien que je ne pensais pas. C’était tout moi, gentille, douce et surtout à l’écoute. Je souris en l’écoutant me parler de sa boutique. Je la trouvais courageuse de bosser seule. Elle n’avait pas l’air d’avoir réellement confiance en elle quand elle en parlait. Je tentais de la rassurer par de simples petites raisons mais cela ne donnait pas tant d’effet. « C’est tout en votre honneur. Il en faut du courage pour débuter sans aide et se lancer un peu dans l’aventure. », J’étais vraiment charmée par ce courage qu’elle ne devait peut-être pas voir elle-même. Elle ne devait surement pas se douter du courage dont elle faisait preuve ce qui m’amusait un peu d’ailleurs mais je ne le montrais pas trop car nous ne savons pas comment les gens vont réagir. Je lui souris simplement et hochait la tête, « Je suis persuadée que les clients ne vont pas tarder, ils devront faire la queue pour rentrer dans cette boutique ». J’étais totalement sincère enfin peut-être que j’exfoliai mais on s’en fiche, hein ? L’important était simplement de dire ce que j’avais à dire et ce que je pensais tout bêtement. Je ne voulais pas lui cacher que cela serait compliquée pour arriver à bout du calme mais au fond, elle s’en doutait qu’il faudrait du bouche à oreille mais aussi un peu de publicité pour venir à bout des manques de clients. Je ne savais pas si le dire était mon rôle mais démoraliser n’était pas mon choix. Je voulais la faire positiver et la voir se rassurer. Je venais de me présenter après un peu de conversations simples et bien placées pour une cliente. Je ne voulais pas imposer ou déranger en fait et j’espérais que mon approche ne passe pas trop inconvenant car au fond, je ne voulais pas être prise pour une impolie ou une curieuse mais encore pour une femme qui va trop rapidement près des gens au point de les faire paniquer. Cela existe… oui, les gens qui se méfient de ceux qui se montrent trop rapide d’approche et trop curieux mais encore s’immisce dans la vie. L’on en a tous connu une fois dans notre vie. Je souris une fois qu’elle me répondit et se présentait en regardant l’enseigne du magasin et souriant doucement. « Donc, vous donner votre nom à la marque. Je trouve ça très ingénieux. Votre touche, la vôtre et pas celle du voisin », oui je trouvais que c’était bien plus pratique qu’un nom qui étouffe l’anonymat sur la personne qui se trouve derrière les vêtements. « Enchantée également », finis-je par dire en riant doucement. Oui, tellement charmée que j’en oubliais carrément les bonnes marnières. Ce n’est point digne de Pandorà Stam, voyons. Il fallait que je reprenne mes esprits.
Je souris et puis ne tardais pas à lui demander de l’aide pour une robe de soirée. Je ne savais pas vraiment quand je pourrais la porter mais à force, je remettais toujours les mêmes. Un petit changement ne ferait jamais de mal, non ? Et puis cela ferait un brin de publicité pour la marque de la jeune femme, une promotion. Je voulais vraiment pouvoir l’aider et même si c’était par de bête petits coups de mains. Je voulais faire un truc bien pour cette jeune femme qui débutait. On débute tous par une petite chose, non ? Je souris alors qu’elle me faisait signe de tête et la suivait dans les rayons puis je regardais ce qu’elle m’indiquait. « Elle est magnifique » disais-je en premier lieu devant la robe bleu roi. Elle était sublime bien que trop longue, j’aimais en général montrer mes jambes, oui. J’avais peu de confiance en moi mais j’appréciais particulièrement mes jambes et puis elles avaient un pouvoir assez dingue. Je le connais ce pouvoir mais je ne vous en parlerais point. Si vous voulez en savoir plus, il faudra attendre que j’en dise plus et surement pas en public. Je coupe les caméras durant ce genre de pouvoir. La deuxième n’était pas mal du tout bien un peu trop décorée ou voir kitch à mon gout mais elle était pas mal. Je souris et la regardait avec des yeux doucement brillant « Difficile de choisir, c’est de la torture ». Je souris en l’écoutant et prenais les robes pour aller les essayer. « Je vais essayer et je te dirais mais je ne veux surtout pas de traitements de faveur. Je suis une cliente comme une autre bien que première. Les bons comptes font de bons amis, non ? », Je ris doucement car bon nous n’étions pas amis mais le proverbe était le même. Je n’allais pas le change pour autant. Je prenais alors les robes et lui affichait un joli sourire en pointant du doigt les cabines pour indiquer que j’allais les essayer et y rentrait pour tenter alors la première robe. Je retirais mes vêtements et enfilais rapidement la robe bleu roi. Elle était sublime et je l’adorais. Le point bien dommage était qu’elle était trop longue mais ça, je m’en fichais encore car la descente de la chute de reins était parfaite enfin le dos nus mais j’adorais aussi ma chute de reins enfin elles sont toutes pareilles. Je ne suis pas peu modeste mais j’aime certaines parties de mon corps même si je ne les trouve pas parfaite. Sortant alors de la cabine pour me regarder dans la glace, je souris. « Elle est sublime et je crois que je me répète mais je le pense vraiment. », je le pensais oui et j’adorais cette robe qui paraissait tellement simple avec sa beauté aussi. Elle était légère enfin dans le sens des décorations et le tissu était parfait ainsi que doux. J’adorais. « Vous enfin tu… », J’avais encore un peu de mal, c’était plus fort que moi mais j’étais comme ça même si je savais que je devais tutoyer « … en aurais des plus courtes qui peuvent être portée en boite de nuit ? », Oui… j’allais souvent en club aussi et pour danser, c’était plus facile. Je continuais à me regarder dans la glace sans me dire que mon budget serait vite dépassé, je m’en fichais. J’ai les moyens pour des plaisirs de temps à autres.