✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: — ÊTRE PARRAINÉ - entrer dans la troupe des filleuls Sam 26 Fév - 16:28
POUVOIR ÊTRE PARRAINÉ entrer dans la troupe des filleuls
Pour devenir un filleul, rien de plus simple en fait. Vous devez premièrement et l’on s’en doute être inscrit sur le forum. Validé ou pas, vous pouvez même étant dit comme inactif suite à un manque de présence, vous pouvez (ce qui fera que nous vous remettrons automatiquement en actif). Il ne faut pas spécialement ne connaitre personne sur le forum ou en connaitre justement car vous pouvez très bien avoir du mal à l’intégration avec d’autres membres… ce qui est normal et humain car sur une centaine de membres… on ne peut pas connaitre tout le monde et puis l’on veut toujours en connaitre d’autres. Une logique en rejoignant une autre.
Le but d’être parrainé est simple : Aussi simple que bonjour… s’intégrer et découvrir le forum avec un minimum d’aide de la part des membres. Découvrir du monde sur celui-ci et apprendre à les connaitre (que ce soit la personne derrière l’écran ou bien le personnage). Briser la glace de la timidité suite à un peu de courage que pourrait procurer le parrain.
Quelques conditions
Pour devenir parrainé, il faudra réellement avoir envie de l’être et de s’intégrer… si c’est juste pour faire bonne impression et dire de « paraitre à vouloir s’intégrer » alors que vous abandonnerez après le deux ou troisième jour, cela ne servira à rien du tout. Je pense que c’est d’une logique qu’un filleul garde le contact avec son parrain.
Vous serez plus de 2 par sujet (ou voir deux) parrainés par votre parrain donc vous aurez également la chance de connaitre votre « frére » de parrainage ce qui ouvre aussi une complicité en plus et la chance de vous intégrer avec celui-ci en vous tenant la petite main. Si ce n’est pas cool ça ? Lors de l’inscription des membres, nous choisirons qui ira avec qui… cela par rapport à trois critères :
- Les liens : Donc si votre personnage a un bon lien avec l’un des parrains, il y a de fortes chances que vous soyez son filleul. Les liens des parrainés entre eux ne seront pas pris en compte. - Le niveau de rp : Nous allons vous demander un exemple de rp ainsi pouvoir vous permettre peut-être d’avoir un parrain qui a un plus haut niveau que le vôtre pour s’améliorer ou voir identique pour ne pas être perdu !
C’est ainsi alors que je vous laisse donc passer votre demande avec le petit formulaire que je vous donne gentiment. Une fois que c’est fait, il faudra simplement attendre l’acceptation de l’un des membres du staff qui sera rapide et dés cela… rejoindre le sujet de votre parrain qui sera désigné lors de cette acceptation en lui faisant beaucoup mais alors là, beaucoup de câlins.
Code:
[b]— SCENARIO OU PAS ? [/b] : [i] si votre personnage est un scénario de l'un des membres ou pas x) [/i] [b]— QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN [/b] : [i]à toi de nous le dire x)[/i] [b]— QUI CONNAIS-TU DÉJÀ ? [/b] : [i]pour nous aider à ne pas vous mettre avec lui/elle mais une autre personne ![/i] [b]— NIVEAU RP [/b] : [i]un exemple, je vous en prie. Récent si possible et pas spécialement de votre personnage si vous n'en avez pas encore.[/i]
Sujet: Re: — ÊTRE PARRAINÉ - entrer dans la troupe des filleuls Sam 26 Fév - 17:14
— SCENARIO OU PAS ? : Oui, de Lena — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN : Déjà pas ma soeur, sa serait pas géniale pour s'intégrer c'est ma soeur (a) — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ ? : Pandy, Lena, — NIVEAU RP :
Spoiler:
L’harmonie était alors de retour, pendant un bref moment, la jeune fille effarouchée du début, allongeait sur l’herbe mouillée la rosée du matin, caressant cette douceur du bout des doigts. Souriant a la vie, comme en retour, elle lui rendait le bonheur chaque matin. Alors empruntant le même chemin, que chaque nuit, je regardais droit devant moi, écoutant une mélodie imaginaire berçant mes oreilles. Levant mes yeux, vers le ciel, j’admirais cet instant infini et immortelle avec une légère impatience, dans le creux du ciel, apparaissait une nouvelle fois une phrase, gravée a l’intérieure des nuages, comme une mélodie sans fin, qui resterait a jamais dans nos pensés : « Je n’ai plus que toi sur mon chemin, j’ai laissée mon cœur entre tes mains ». Mes pupilles, s’agrandissait, je regardais autour de moi, le décor devenait inerte, avide de sens, comme quelque chose qui brisait en quelques temps, l’instant privilège que cet endroit imaginaire me donnait envie de vivre un peu plus chaque jour. Le ciel devenait gris et on pouvait y voir apparaître petit a petit, doucement le visage de mes parents décédée. Dans un cri d’effraie et de sursaut, je me réveillais regardant partout autour de moi, retrouvant seulement les murs de ma nouvelle chambre a laquelle j’avais tant de mal a me faire. Tendrement, la porte s’ouvrit, affichant le visage souriant de mon frère qui venait réveillait sa petite sœur qui lui avait tant manqué cette nuit. Il s’approchait, tirant tendrement, les couvertures, et se glissant dans les couettes, regardant sa petite sœur et la prenant dans ces bras. Relevant ma tête, je la posais sur son torse, mais très vite, les larmes commençait a coulait sur mes joues, comme jamais, mes parents me manquaient, je n’en pouvais plus, tout ce que j’aurais aimé, un seul moment entre leur bras, même si alors, j’aurais du partager mon frère avec son ancienne promise, celle que je détestais mais qu’il adorait. Au fond de mon âme, je le savais, que même si ce moment immortelle et infini et privilégié lui faisait plaisir, tout ce qu’il aurait voulu, c’était partir a Paris, retrouvait sa promise. Une nouvelle fois, la chambre s’ouvrit et voyant la tête passait, d’une dame de compagnie si je puis dire, celle qui venait me coiffée, m’habillée, comme si je ne savais le faire tout seule. Mon frère, me lâchant et me laissant retomber sur le lit, je le regardais, les yeux plein de larmes, mais il claquait alors la porte si fragile de ma chambre. La jeune femme, sortait alors d’un placard, une belle robe blanche, accompagnée d’un gilet de la même couleur, je devais le mettre, soupirant, cette robe appartenait a maman plus jeune. « Mademoiselle, il est tant de vous lever! ». La regardant, j’hochais la tête d’un signe négatif, depuis mon arrivée je me morfonds dans mon lit, effondré par cet accident. Elle n’en entendait pas un mot, s’approchant de moi, surement beaucoup trop, elle tirait mes couvertures, et attendait ma sortie. Ce n’est qu’au bout de plusieurs minutes que je sortie, la regardant j’enfilais la robe et alors qu’elle commençait a coiffée mes cheveux, je voyais par la fenêtre, mon frère partant vers le village. Quand elle eu enfin, fini d’ondulée mes cheveux blanc, je pris un livre, très connue qui portait le même nom que moi-même : « Roméo et Juliette ». Sortant, accompagnée d’un sac très charmant et d’un vélo, je me dirigeais je ne sais ou, loin de tout mes ennuies, qui ne censée d’augmenter depuis mon arrivée.
Non loin du manoir, je tombais sur un champ, d’une somptuosité et d’une grandeur si majestueuse qui ferait taire les plus bavard d’entre nous et grâce a lui, depuis bien longtemps, un sourire se glissait sur mon visage. Je pénétrais dans cette splendeur que la nature peut nous donner et regarder autour de moi, désert j’étais enfin tranquille, entourée de personne, je pouvais enfin vivre des émotions sans avoir peur de personne. Posant doucement mon vélo, sur le coté, je m’asseyais doucement comme une fille de bonne famille, et posant mon livre, a coté de moi, j’admirais le soleil lumineux que cette magnifique journée nous offrait, mais voyant le ciel, je baisais de nouveau les yeux, j’avais eu assez de mauvaises nouvelles ces temps ci. Reprenant le livre, j’ouvris a la page ou j’étais arrivée et me plongeais dans une lecture, tendre et passionnée avec de la fougue, de la tristesse et du drame.
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Sujet: Re: — ÊTRE PARRAINÉ - entrer dans la troupe des filleuls Sam 26 Fév - 17:17
NUMBER ONE ! MERCI... je t'aime x) Donc... comme pas ta sœur et comme je te connais et que cela ne servira à rien... le premier à postuler en parrain sera le tien et tu pourras automatiquement rejoindre son sujet donc reste à l'affut de sa postulation x) et parrain... notez donc que vous aurez cette petite dans vos filleuls !
Sujet: Re: — ÊTRE PARRAINÉ - entrer dans la troupe des filleuls Sam 26 Fév - 17:19
J'imagine que c'est ici
— SCENARIO OU PAS ? : Non — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN : Peu importe, je ne connais personne — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ ? : ... x) — NIVEAU RP : J'en ai aucun, ça doit faire plus d'un an que je n'ai pas RP
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Sujet: Re: — ÊTRE PARRAINÉ - entrer dans la troupe des filleuls Sam 26 Fév - 17:26
October P. Kristorzky a écrit:
J'imagine que c'est ici
— SCENARIO OU PAS ? : Non — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN : Peu importe, je ne connais personne — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ ? : ... x) — NIVEAU RP : J'en ai aucun, ça doit faire plus d'un an que je n'ai pas RP
Aujourd'hui c'est jour de chance comme au lotto... choisis le numéro gagnant et rejoins-le donc si tu veux Lena en parrain... *pleure* vas-voir ma sœur mais si tu me préfère *fait un grand sourire*... passes me voir. En gros, tu choisis x) car on n'arrive pas à se mettre d'accord *out* !
Lullaby S. Pierce a écrit:
Je t'aime aussi ma Lily
Je t'aime, je te couvre d'or et de bijoux. Nous faut un sujet (ben... c'est pas l'endroit pour le dire mais bon) !
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Sujet: Re: — ÊTRE PARRAINÉ - entrer dans la troupe des filleuls Sam 26 Fév - 17:51
— SCENARIO OU PAS ? : Non ;p — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN : et bien pourquoi pas Pandora, d'après ce que j'ai compris on est passionné par l'infographie toute les deux — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ ? : et bien..pas grand monde à vrai dire :/ — NIVEAU RP :
Spoiler:
Aujourd'hui, quelques jours après la St Valentin... Ce matin là, Avalon se réveilla en retard, cause : elle avait oublié de ré-enclencher son réveil...Bêtise qu'elle regretta le matin même, elle avait plus d'une demi heure de retard et elle était encore en pyjama. Dès qu'elle avait vu son réveil afficher 7h30 elle avait sauté du lit, s'était dépêché de s'habiller et avait pris les premières fringues qui lui tombait sous la main. Aujourd'hui nous aurions donc droit à une Avalon décontracte ; sweat couleur cerise, slim et converse assorti. Une fois prête, elle s'était noué les cheveux en une tresse, avait fourré ses affaires dans son sac de cours, et avait couru jusqu'à la cuisine pour prendre un petit truc à déjeuner. Puis s'était précipité jusqu'au lycée... Super, il était 8h30...elle venait de louper une heure de cours, et le début d'un second...alors qu'elle se dirigeait jusqu'au bureau des surveillants pour faire signer son mot de retard, elle tomba nez à nez avec le proviseur...Comme si ça ne pouvait pas être pire...Elle eu droit à un sermon de plus de 15 minutes, autant vous dire qu'elle n'irait pas non plus à son seconde cours. 9 heures, elle arriva enfin en cours, heureusement c'était un cours qu'elle appréciait, elle pourrait s'aérer l'esprit quelques instants...Alors que le cours commençait tout juste, elle eut l'impression d'être transporté ailleurs...une vision. Il faisait nuit, elle courait dans une ruelle faiblement éclairé par de vieux réverbères, essoufflée elle s'arrêta quelques instants, regardant derrière elle l'air inquiète et nerveuse. Soudain quelque chose se faufila derrière elle, et la mordit à la nuque...elle hurla...
« Avalon...tous va bien ? »
Ça y est, elle était de retour en cour, elle regarda autour d'elle, l'air perdu...Cette vision était plutôt bizarre...d'habitude elle avait un point de vue externe de ses visions, mais là...c'est comme si c'était elle qui avait été mordue...
« Avalon... ? » « Eh...oui, excusa moi mademoiselle...je...est-ce que je peux sortir quelques instants ? » « Bien sur, il n'y a aucun soucis. » « Merci... »
Avalon sortit de la salle de cours, et s'adossant contre un mur, elle s'asseya à terre...Pris sa tête dans sa main et fit le vide....
Il était à présent midi pétante, les cours étaient terminés, alors qu'elle allait rentrer chez elle, elle reçu un texto de Connor, il lui demandait si un bowling la tentait. Elle ne put refuser, malgré cette matinée fatigante, elle lui répondit qu'elle arrivait dans quelques instants. Peu après elle était au bowling, et cherchait Connor des yeux, c'est alors qu'un jeune homme lui murmura quelque chose à l'oreille. Elle se retourna toute souriante, en faisant attention de ne rien faire tomber.
« Oh tu tombes bien toi ! Je meurs de faim ! Je n'ai mangé qu'une pomme ce matin ! »
Elle lui prit un hot dog des mains et en prit une bouchée.
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: Re: — ÊTRE PARRAINÉ - entrer dans la troupe des filleuls Sam 26 Fév - 18:04
— SCENARIO OU PAS ? : Pas^^ — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN : Heu... Je connais personne donc je sais pas — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ ? : Personne donc ça va être facile^^ — NIVEAU RP : Je viens de l'écrire et je compte le poster dans le forum mais je vais attendre d'en papoter avec mon parrain ou ma marraine
Spoiler:
Elle avait ouvert les yeux en découvrant son plafond. Un beau plafond, bien blanc, bien opaque et avec la lumière éclatante qui se dégageait de sa fenêtre… Ca lui pétait littéralement les yeux. Une vive douleur derrière les yeux termina de la réveiller pour de bon. Son corps portait un nouveau nm : douleur ; et dans ses veines ne coulaient plus que des aiguilles aiguisées s’accrochant à chaque paroi pour lui faire d’autant plus ressentir la violence de la veille. Ses pieds lui hurlaient littéralement dessus en faisant remonter un arc de douleur dans toute sa jambe. Son ventre la prévenait déjà, avec quelques soubresauts et contractions nauséeuses que si elle se levait trop vite, elle reteindrait ses draps d’une couleur dégradée d’automne. Ses seins râlaient aussi. Elle se rendit compte qu’elle avait dormit habillée, encore avec un soutient gorge très serrée. Les pauvres. Elle aurait mal au buste certainement encore pas mal de temps. C’était dingue. Elle ne savait même pas vraiment où elle avait mal, tellement la douleur se manifestait partout. Et en particulier, dans sa boite crânienne. Le fait qu’elle ne se souvenait plus le nom de tous les alcools qu’elle avait bu devait certainement lui donner un indice sur la cause de son état déplorable.
Elle se passa une main sur le visage et se massa les tempes. Ca la calma momentanément. Que s’était-il passé ? Ha oui… Elle avait été à cette putain de répétition de théâtre – de merde. Ca durait généralement de 5 à 6 heures non-stop. Echauffements, entraînements de la voix et ensuite la vraie répétition. Elle jouait une greluche en arrière plan. Une sorte de décors. Ha oui, elle avait du texte : - Bonjour, vous avez l’heure s’il vous plais ? Woua ! On applaudit s’il vous plait, le rôle de sa vie. Elle s’attendait à quoi en fait ? Elle ne savait pas. Mais elle était déçue. Non pas parce qu’elle avait un rôle de merde et que jouer l’armoire aurait largement été préférable à ça ; mais surtout parce qu’elle s’était fait une idée assez gigantesque du théâtre et que ce qu’elle voyait en ce moment lui ruinait totalement le peu de respect qu’elle avait pour cette discipline. Déjà le théâtre où ils jouaient n’était pas climatisé et une chaleur atroce – renforcée par les projecteurs – envahissait la pièce à chaque fois. Cara était irlandaise, elle était plus habituée au froid et à la pluie. Elle supportait mal tout ça et elle avait faillit tomber dans les pommes un bonne dizaine de fois. Ensuite les acteurs. Mais… Mais… Mais quels espèces de gros bobos ! Elle n’avait jamais vu autant de gens s’auto-masturber en savourant leur propre manière de jouer. Et vas-y que je suis la meilleure dans mon costume pourri ! Et vas-y que je dis mon texte comme si je révélais au monde la vérité sur l’humanité ! Elle était presque écoeurée. Et encore, les rôles principaux n’étaient largement pas les pires. Les plus pathétiques c’étaient ce de son ‘rang’ qui essayaient quand même de se faire bien voir en en faisant des tonnes.
Et le roi parmi ce parterre de glandus ? Le metteur en scène bien évidement, Spence Delarnois. Et pour ne rien gâcher au personnage, il était aussi l’auteur de la pièce. Il avait de petites lunettes qu’il n’utilisait jamais parce qu’il regardait au dessus, une barbe de trois jours pour faire bohème, un pull et une écharpe négligemment passée autour du coup pour faire poète… Il fait 30 degrés dehors connard… Et enfin, il lorgnait sans cesse sur Cara. Elle lui avait parlé 2 minutes. 2 petites minutes mais qui lui avait largement suffit pour voir que c’était un gros glandus, le roi de tous les gus qui se trémoussés sur scène en espérant qu’ils allaient décrochés un rôle à hollywood. On se réveil les abrutis : ça n’existe pas et ça n’existera jamais espèces de manchots… En plus la pièce… Sa mère disait toujours : il ne suffit pas de faire caca dans une crêpe pour en faire du nutelas. Et bien là, Spence, tu nous a coulé un bien bel étron dans un tout petit pancake, chapeau bas l’artiste ! Qu’est ce qu’il avait dit encore ha oui ! : vous comprenez, c’est une autocritique de la société consumériste de l’Australie moderne en contradiction avec ses terres d’origine… Et blablabla et blablabla que je t’en chie une pleine brouette de merde pour toutes les crêpes d’une colonie de scouts débiles. Et le pire ? C’est qu’il avait suggéré à Cara qu’elle pourrait avoir un rôle meilleur – et donc le cachet qui allait avec – si elle ‘faisait des efforts’ je vous le traduit en personnes normales : si tu couches avec moi, je te sors de ta merde. Mais franchement, être la reine des merdeux dans une pièce de glandus, qu’est ce qu’elle en avait à fichtre ? He ben finalement, elle en avait un petit peu à foutre quand même. La veille elle avait reçu un coup de téléphone de l’infirmière de sa mère lui donnant le montant de sa paye ainsi que le prix des nouveaux médicaments. C’était une blague c’est ça ? Une caméra cachée ? Ou une étude sur la manière de créer un ulcère chez quelqu’un de moins de 25ans ? Il faudrait qu’elle rallonge les fins de mois. Elle ne pouvait pas faire du gringue à son nouvel agent car c’était une femme et qu’en plus elle lui faisait un peu peur, alors elle allait peut être cédée à ce bobo totalement culcul. Il était bien du genre à vouloir une soirée complète avec restau, mots d’amour, préliminaires et tout le tutti. Ca allait être l’enfer. Bien nul et terriblement décevant à la fin, elle le sentait gros comme une maison.
Mais après la répétition d’hier soir, ils avaient reçu la nouvelle comme quoi ils avaient été acceptés dans une salle assez réputée dont le nom lui échappait totalement à présent. Ils avaient voulu faire la fête. C’était tous des glandus, mais des glandus qui invitaient les jolies filles alors l’irlandaise ne s’était pas fait priée, en plus elle n’avait pas encore eu le temps de visiter les environs. Ils étaient allés dans un coin peuplé, un bar branché avec des lumières à vous rendre épileptique et des serveurs homos. Ils avaient bu et Cara avait accepté tous les verres qu’on lui avait proposés. Elle avait carrément espéré que Spence serait chaud pour une partie au plumard, sachant que ça passerait mieux totalement bourrée, mais il s’était éclipsé en début de soirée. Les autres acteurs ? Tous casés et terriblement fidèles, bande de nazes…
Alors elle était rentrée pétée chez elle et avait dormit en vrac sur son lit. Elle se redressa et accusa douloureusement le coup. Elle soupira. Elle n’avait rien de prévu aujourd’hui. Ni photos, ni rendez-vous avec l’autre allemande nazie, rien que elle et rien. Chouette ! Elle se leva finalement et manqua de tomber. Il lui fallait une bonne douche. Elle retira ses habits et se mit directement dans la cabine avant de déclancher l’eau froide. Elle poussa un petit cri de surprise et grogna en sentant le contact glacé sur sa peau. Elle n’avait définitivement pas envie de rester seule aujourd’hui. Peut être aller marcher, aller se balader, repérer les lieux. Déjà quelques semaines qu’elle était là et elle ne connaissait personne à part les imbéciles de la troupe et son agent. Elle ne connaissait aucun lieu à part le supermarché près de chez elle et le théâtre. Il fallait qu’elle sorte sinon elle se tirait une balle dans deux jours. Elle sortit de sa salle de bain lavée, mais pas fraîche. Elle s’habilla d’une manière assez négligée : baskets, t-shirt noire, une paire de jeans, un coup de brosse dans ses cheveux en pagaille et c’était partit : elle prit son sac en bandoulière et sortit dans la rue. Elle était à jeun. Mais il lui fallait un remontant pour bien commencer la journée. Elle regarda sa montre enfin à l’heure de l’Australie : 10heures. Tant pis. Elle marcha quelques mètres et bifurqua plusieurs fois. Elle s’en foutait de se perdre au pire elle prendrait un taxi qui la ramènerait chez elle ou demanderait à un passant. Elle ne regardait pas vraiment les devantures en fait. Puis soudain une odeur singulière lui rappela quelque chose. Elle s’arrêta et leva la tête en cherchant la source de cette odeur.
Ses yeux se posèrent sur un pub… Un pub ? Mais… Ces glandus avaient des pubs ? C’était bien eux ça, à envier les bars irlandais ! Les leurs étaient tellement débiles avec leurs serveurs homos et leurs lumières bizarres. Elle s’approcha de la porte. Ca semblait ouvert, quelques personnes étaient déjà installées, prenant des cafés. Ouai, elle allait en prendre un aussi de cafés. Mais un irish café ! Sans café… Du whisky donc. Oui, du whisky, elle prenait du whisky le matin et elle vous emmerde bien bas la mademoiselle. Elle poussa la porte. Ouai… Ca avait beau se prônait irlandais, la localisation ensoleillée ne mettait pas dans l’ambiance sombre et cosy des établissements qu’elle avait fréquenté auparavant. Elle s’avança près du bar. Elle n’avait pas envie de se prendre une place assise à une table. Elle connaissait la technique du : on vous a posé un lapin ? C’est un connard… Je vous offre un vers ? Au moins accoudée au bar ils feraient peut être preuve d’imagination… Ou pas. Non, définitivement, elle n’avait pas envie de mec là maintenant tout de suite. Elle avait le mal du pays, le mal de la température, le mal du temps, le mal de l’alcool, le mal de tout tient. Elle se mit assise sur un tabouret et attendit que quelqu’un daigne se ramener. Une serveuse arriva enfin pour lui demander ce qu’elle voulait. Lorsqu’elle lui annonça qu’elle souhaitait un double whisky la femme stoppa en dévisageant l’irlandaise, attendant un trait d’humour sans doute. Mais n’entendant rien arriver, elle hocha la tête et sortit la bouteille d’alcool. He oui, ça arrive à tout le monde une mauvaise journée… Même à 10heures du matin. Elle lui tendit le verre et à peine avait il atteint le bois du comptoir que Cara le saisit et le but cul sec. Elle le reposa.
- Un autre s’il vous plait.
Ce n’était pas parce qu’on se mettait une murge à 10heures du matin qu’il fallait être impoli avec sa bienfaitrice. Même si la notion de bienfait concernant l’alcool était assez subjective, elle en avait besoin sinon elle allait dérouiller un pain à la première personne qui allait lui adresser la parole. Elle se souvenait de ses vers irlandais à propos de l’alcool : qui veut chasser une migraine, n’a qu’à boire toujours du bon. Et quoi de plus meilleur qu’un bon whisky dans un pub irlandais ? Je vous le demande ! Ensuite, quant à savoir si ça allait lui chasser sa migraine…
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: Re: — ÊTRE PARRAINÉ - entrer dans la troupe des filleuls Sam 9 Avr - 11:08
— SCENARIO OU PAS ? : si votre personnage est un scénario de l'un des membres ou pas x) Nop — QUI AIMERAIS-TU COMME PARRAIN : à toi de nous le dire x) Qui veut bien — QUI CONNAIS-TU DÉJÀ ? : pour nous aider à ne pas vous mettre avec lui/elle mais une autre personne ! Trey — NIVEAU RP : un exemple, je vous en prie. Récent si possible et pas spécialement de votre personnage si vous n'en avez pas encore.
Spoiler:
Je ne savais pas si j'avais fait le bon choix, la faire revenir dans son passé, vers le souvenir le plus sombre qu'elle ai même si elle a tout refoulé aujourd'hui. Réveiller une si veille blessure était risquée comme elle me l'avait dit si ça ne marchait pas je devrais lâcher l'éponge et la confiée à un autre être de lumière; cette idée me déplaisait au plus au point de toute ma vie d'être de lumière je n'avais jamais connu d'échec envers mes protégées; et je ne comptais pas commencer aujourd'hui! Mais pour ne pas la contrarier d'avantage j'acquisai d'un simple signe de la tête pas la peine d'en rajouter . J'avais fait appel à un vieil ami si on peut dire , celui qui m'avait permit de me faire revivre un élément des plus douloureux mais c'est la aussi que j'avais découvert la première fois que je m'étais éclipsée question de survie . Mais je me rappelle aussi de cette douleur quand j'ai réalisé que je ne pouvais rien faire pour changer les choses, même si je le voulais de tout mon coeur et aujourd'hui je dois faire subir la même chose à Sarah.
Pourtant je n'avais pas le choix il fallait qu'elle connaisse l'origine de sa colère, oui elle était en colère contre moi mais cette source de colère qui l'animée était bien plus ancienne encore, je ne pouvais pas la laisser avec ce poids encore longtemps, si je voulais qu'elle soit en paix avec elle même pour pouvoir progresser. Je voulais qu'elle me refasse confiance certes mais aussi qu'elle se sente apaisé, je veux son bien être c'est mon rôle d'être de lumière même si je sais que ça va être un dur moment à passer. Elle me prit la main et nous franchissons la porte ; dans ce liquide bleu au reflet étoilé, j'avais oublié qu'elle sensation étrange cela faisait . Je restais muette la laissant revivre et redécouvrir sa maison d'enfance . Moi non plus je ne savais pas pourquoi au juste on se trouvait ici, mais la réponse a la douleur de Sarah si trouvait c'était sur! Inutile de dire que Léo ne m'en avait pas dit d'avantage pas par sadisme non il sait simplement que je dois découvrir par moi même les problèmes de mes protégées, c'est comme ça qu'on apprend pour être le meilleur ange gardien possible même si la encore je savais que j'allais être confrontée à la colère de ma jeune protégée....
Ce qui ne tarda pas quand elle se retrouva dans sa chambre en face du miroir elle avait environ dix ans a ce que je pouvais voir, elle se tourna vers moi furax c'était le cas de le dire je la prit dans mes bras telle une enfant qu'elle était finalement ce qui la fit râler d'avantage mais qu'importe je la plaça assise sur son lit avant de m'agenouille pour croiser son regard bleu azur :
Sarah je t'ai dis qu'on remontait à la source de ta colère, l'événement se trouve forcément dans ton passé et pas ailleurs je n'en sais pas plus que toi mais nous allons faire le chemin ensemble!
Je faisait face à son incompréhension et à sa colère le signe déjà qu'on était sur la bonne voie ! Je la regardais de la façon la plus douce possible ! Décidant de me confier à elle :
Moi aussi j'ai du retourner dans mon passé à l'époque ou je portais encore une appareil dentaire une vrai ado en pleine de rébellion ! Mais tout comme la fait Léo pour moi je serais la tout le temps , tu ne serais jamais seule , mais tu dois te conduire comme une petite de cinq ans sans chercher à comprendre , je t'en prie fait moi confiance si tu es la c'est qu'il y a une raison !
J'essayai de l'apaiser au maximum mais ce n'était pas une mince affaire quand j'entendis des bruits de pas je me leva subitement, la porte s'ouvrit de toute évidence c'était le père de Sarah je lui dis alors :
Avant que j'oublie tu es la seule a me voir ici ...
Je me rappelle quand j'étais passé pour une cinglée à parler seule lycée au moment ou les portables n'existait pas ... fut un léger fou rire , c'était le bon temps, l'époque ou je découvrais la magie parfois j'aimerais y revenir et tout oublier à jamais !