« Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté
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MessageSujet: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeJeu 3 Fév - 20:50
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Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.



Je n’aurai probablement pas imaginer dire ça un jour. Je suis un incorrigible crétin. Je suis là, allongé à longueur de journée dans ce satané appartement, sur ce satané canapé. Marcher m’est interdit, plier la jambe l’est encore moins. Mettre une paire de chaussette est une épreuve presque insurmontable et lorsque finalement après m’être battu avec, je finis par arriver au bout, je retombe sur le canapé, essoufflé. Mes affaires s’entassent dans le salon, sans avoir la possibilité de les ranger. Je suis là, comme si je dépendais de quelqu’un, mais…il n’y a personne. Le plus comique dans l’histoire ? C’est que je suis censé être un grand athlète. Ne pas s’essouffler pour une simple paire de chaussette, pouvoir marcher, courir à une vitesse impressionnante, pouvoir transpirer en faisant de la musculation, pouvoir…En réalité, j’ai perdu le pouvoir, le contrôle de ma vie il y’a six mois. Quand j’ai laissé finalement fait apparaitre mes sentiments. Ils sont censés rendre fort, ils sont censés rassurés. Mais à cause d’eux, j’ai tout perdu. Ma vie est ruinée, et s’en est entièrement de ma faute. Si encore je pouvais atteindre les couteaux pour m’en enfoncer directement un dans le cœur…mais je ne peux même pas. A croire que le destin veut que je souffre. Encore et toujours. Je me souviens des dires de ma grand-mère. « N’abandonne jamais » me disait-elle. Mais en quoi abandonner était signe de faiblesse ? J’avais envie de me battre, mais tout me filait entre les doigts. Alors la seule chose que je pouvais faire c’était d’abandonner. Je n’avais plus la force, ni le courage de me tenir debout, tenter d’arranger les choses. Je n’étais pas l’homme que tout le monde percevait. L’athlète fort, courageux et protecteur. Celui qui devait être protéger n’était autre que moi et moi seul, mais j’avais perdu ce privilège depuis longtemps.

Allongé sur le petit sofa du grand salon, la tête droite vert le plafond, j’attendais. J’attendais que le temps passe vite, que cette blessure puisse se guérirai au plus vite. J’avais usé de toutes mes astuces pour tenter de m’occuper ; seulement à force de répétition, j’avais perdu toute notion de jours, de semaines et encore plus de date. Je ne voyais que le soleil défiler ; je n’entendais que le silence insurmontable. Soupirant, mon regard s’était tranquillement posé sur les différentes tâches du plafond et les avait automatiquement compter. Oui, mes journées se résumaient à ça et j’en était sacrément gavé. J’avais envie de sortir, de ressentir le vent caresser mon visage, de pouvoir entendre les klaxons de voiture non pas réduit par les doubles vitrages, de pouvoir sentir les gouttes de pluie me trempé au fur et à mesure, de pouvoir marcher…Oh je le désirais plus que tout. Et pourquoi ne pas le faire finalement ? Le docteur m’avait interdit de marcher, certes. Mais si je m’arrangeais de telle façon à ce que ma jambe ne soit jamais pliée. Le risque ? De rouvrir ma cicatrice. Longée au creux de l’articulation, un simple mauvais mouvement pouvait tout refaire foirée. Mais, en quoi cela pouvait être pire, hein ? J’avais perdu mon plus grand rêve. Les médecins m’avaient affirmés qu’une petite chance de pouvoir recourir en professionnel était minime mais elle existait toujours m’avait-il dit pour me rassurer. Minime ? Suis-je réellement censé me rassurer ? Mon rêve est parti en fumée. A quoi bon d’avoir même une jambe si je ne pouvais pas m’en servir ? En tenant ce discours, je revis le visage de ma grand-mère. Elle m’aurait sans doute taper en entendant de tel propos. Je délirais ou quoi ? J’avais une chance infime de pouvoir retrouver mon rêve ! Je ferai tout pour me donner cette chance. Mais là…je pétait juste les plombs. Il fallait que je sorte de ce satané appartement. M’asseyant, je récupéra tant bien que mal mes béquilles, je fila dans ma chambre en titubant pour prendre mes quelques affaires nécessaires, et je claqua la porte de chez moi. Heureusement que les ascenseurs existent. Je m’aurai sans doute arrêter devant la première marche. Mais ce gentil ascenseur m’emmena au rez-de-chaussée, et je sorti de l’immeuble. L’air frais me fouetta rapidement le visage. Qu’est ce que ça faisait du bien ! Il faisait un peu froid, mais je m’en fichais. Etre dehors était le plus important. M’appuyant sur mes béquilles je commença à marcher difficilement étant donné que je ne pouvais plié qu’une seule jambe. Mais qu’importe la vitesse à laquelle j’avançais, j’avançais et c’était tout ce qui comptait. Cependant avec tout ça, j’en avais oublié que Majandra allait bientôt me rendre visite pour ma blessure, j’en avait oublié qu’elle vivait en face de moi. Et je ne m’étais pas rendu compte que justement elle venait de commencer à me suivre, intriguée par le fait que je sois sorti sachant qu’il me l’était interdit.


Dernière édition par Gabriel Lewis Emerson le Ven 4 Fév - 10:14, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeJeu 3 Fév - 21:55
J'aurais aimé que les choses soit différente !


Six mois , six mois que tous cela c'est passé ! Il y à tellement de choses que j'aurai voulue changer , si j'avais une machine à remonter dans le temps je reculerais au soir ou ma vie à changer , ou toute ma vie à basculer ! Tomber amoureuse d'un homme est déjà incroyable pour moi , l'amour est un sentiment merveilleux mais tomber amoureuse de deux hommes sa l'est encore plus ! Je n'ai jamais voulue faire quoi que ce soit car ils sont les meilleur amis du monde , jamais je n'aurai pue tenter quelques chose avec l'un deux mais l'un deux à fait ce choix et c'est Gabriel ! Je ne lui en veut pas de m'avoir embrasser enfin je ne crois pas , je n'ai en tout cas aucune rancœur contre lui ! La preuve sinon je ne viendrais pas changer ces pansements tous les jours ... Quand à Ethan il ne veut plus me parler mais plus du tout et je crois que c'est sa qui me fou dans un rage folle ! Je n'avais pas choisie et je ne comptais pas choisir entre eux deux ! Et je ne veux toujours pas ! Je n'y arriverais pas , ils sont tout pour moi !

Alors que je suis dans mon appartement tranquillement à regarder la télé je me rend compte que c'est l'heur de changer les pansements de Gaby ! Mais avant même que je ne comprenne j'entends une porte claqué , pourtant Ethan ne rentre jamais aussi tôt enfin avant oui mais plus maintenant vue que d'après ce que j'ai pu entendre la seul fois ou il ce sont parler c'est qu'il ne voulait plus jamais voir Gaby malgré qu'ils soient toujours dans le même appartement ! Enfin tous sa pour dire que d'entendre cette porte claqué je ne m'y attendais pas ! C'est alors qu'une des voisines vint me voir en me disant qu'elle venait de voir Gabriel dans l'ascenseur et apparemment bien déterminer à sortir prendre l'air ! Mais il est inconscient ou quoi ? Il n'a pas le droit de sortir enfin si mais de marcher sa non , il pourrait ouvrir cicatrice ou même pire ! Ni une ni deux sans que je comprenne je me suis retrouver dans les escaliers à courir comme une cinglés pour le rattraper !!! Arriver en bas de l'immeuble je tourne la tête un peu partout pour voir ou il est et le vois enfin la à essayer de marcher difficilement ... Mais soudain je ne sais pourquoi il ce retourne et me vois , je pense qu'il a compris qu'il va passer un sale quart d'heure ! Le pire c'est que la dernière fois qu'on c'est parler c'était il y à quelques jours pour ce dire quoi 1 phrases à peine ! Étant à quelques mètres de lui je me met à crier « Gabriel Lewis Emerson tu as perdue la tête ou quoi ? » Alors que je viens sur lui je me a la place d'une de ces béquilles celle ou il ne peut poser la jambe pour le soutenir un peu plus , rien que d'être aussi prés de lui me rend complétement folle ! « Tu sais très bien que tu ne peut pas mettre la jambe part terre ! C'est super dangereux j'ai vraiment pas envie de t'emmener à l'hôpital en catastrophe » Le regardant droit dans les yeux faisant la fille super énerver alors que je peux comprendre qu'il est en est marre c'est normal ! Vous me direz si je doit l'emmener à l'hôpital aujourd'hui c'est pas grave j'ai un contrôle à faire pour mes cicatrices enfin non je blague
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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeLun 7 Fév - 20:49
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Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.



Je me suis toujours senti en homme libre. Avec le droit de s’exprimer, de pouvoir faire ce que je voulais faire quand je voulais le faire. Apparemment, c’était une idée que la démocratie avait obligé. Tous hommes étaient nés libres. Et pourtant, ces derniers mois, je n’avais pas songé être libre. Certes je pouvais ressentir ce que je pouvais, je pouvais m’exprimer. Mais être obligé de ne pas bouger, de rester en convalescence était une torture. Je ressentais ce qu’autrefois les esclaves ressentaient. Et je n’aurai jamais pu concevoir le ressentir un jour. J’avais dans l’espoir que ces efforts pour me rétablir correctement allait bien évidemment me ramener autour d’un stade. Je l’espérait du plus profond de mon âme. C’était la seule chose qui me restait ; bien que les chances soient minimes. J’avais perdu la seule famille qui me restait : Ethan. J’avais perdu mon seul véritable amour : Majandra. Alors avoir l’espoir de pouvoir retrouver ma passion me réchauffait un tant soit peu le cœur. Néanmoins, aujourd’hui était un autre jour. Je ne supportais plus l’idée de rester enfermer, allongé. Bloqué, immobilisé, déprimant et mélancolique. Bref, j’avais pris la décision d’aller faire un petit tours dehors. Et une fois dehors, je me senti envahit par une source de chaleur. J’étais à nouveau libre. Je venais de sortir de ma prison doré, et je n’avais qu’une envie c’était d’aller explorer. Explorer autant que possible, même si marcher m’ai été une tâche difficile. Le vent, aussi froid qu’il était, me procurait une certaine sécurité. Le bruit de la ville, qui m’était autrefois insupportable parfois, était une douce mélodie. Je n’avais qu’une envie s’était d’ouvrir mes bras à ce monde qui me manquais tant. C’était de pouvoir le croquer à pleine dent, sans être interrompu, sans se soucier des problèmes et conséquences. L’envie de courir m’était soudain apparu, mais les béquilles me rappelèrent rapidement que je ne pouvais plier la jambe. Je ne pouvais risquer les chances, aussi minimes soient-elles, de retrouver mon stade, ma piste.

Cela faisait à peine que quelques instants que j’étais sorti, et pourtant j’avais l’impression que cela était plus long. Bien que j’avais envie d’en profiter encore un long moment, j’entendis une voix familière m’appeler. Non, m’intercepter. « Gabriel Lewis Emerson tu as perdue la tête ou quoi ? » Je m’étais retourner, et je l’avais aperçu. Et comme à chaque fois que je la voyais, mon cœur faisait un boom dans ma poitrine, mais c’était une chose que je devais apprendre à maitriser maintenant. J’avais perdu la tête, moi ? Jamais. Je savais ce que je faisais. Je savais ce que j’avais envie de faire. Et je comptais le faire. Elle s’était précipiter vers moi et s’était glisser sous mon épaule afin que je m’appuie sur elle et non sur ma jambe. Seulement, bien qu’elle était si prêt et que cela faisait plus de six mois que je n’avais pas été aussi prêt, aujourd’hui, je n’avais pas envie de l’avoir auprès de moi. Pas cette fois. Comment pouvais-je l’oublier si elle se montre à chaque fois pour me protéger. C’était censée être l’inverse. Comme toujours. Mais elle était toujours là, et je ne voulais pas de son aide. « Tu sais très bien que tu ne peut pas mettre la jambe part terre ! C'est super dangereux j'ai vraiment pas envie de t'emmener à l'hôpital en catastrophe »m’avait-elle dit. Elle avait raison. Mais j’étais assez malin et assez futé pour faire attention. Elle m’avait tendrement pris ma main droite dans la sienne pour m’aider à me soutenir. Et aussi doucement qu’elle l’avait fait, je l’enleva. Me remis droit, et repris calmement ma béquille. Je la regardais, elle semblait surprise. « Je n’ai pas besoin de toi Majandra. J’ai peut être perdu la tête, mais j’en ai surement besoin. » lui avais-je répliqué. J’avais lancé ça dans un ton assez sec. Peut être la rancune de ce qu’il s’était passer entre nous ? Ou peut être parce que ça trahissait l’envie qu’elle reste justement. Quoi qu’il en soit, je m’étais retourner à contre cœur et j’avais continuer à avancer doucement. Je la laisser en plan, presque interloquée que je la plante comme cela. L’envie de la liberté étant plus forte que celle de rester auprès de Majandra. J’allais surement recevoir un savon de sa part, mais au moins ca en valait le coup.
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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeMar 8 Fév - 0:17
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J'aurais aimé que les choses soit différente !


Il était là devant moi à essayer de marcher , du moins il marche difficilement certes , faire un mètre toutes les 10 minutes bon j'exagère un peu mais presque hein ! Il croit vraiment qu'il va pouvoir marcher comme sa longtemps ? D'ici vingt minutes il sera à bout de force et va galérer a revenir à l'appartement ! D'accord je le surprotège peut-être un peu trop mais le médecin ma bien expliquer qu'il ne fallait surtout pas qu'il pose le pied part terre et qu'il face le moins d'effort possible avant que son genoux se remette ! D'accord je ne suis pas sa mère ou même son père ou qui que ce soit d'autre mais je suis moi tous simplement , je ne peux pas le laisser la tout seul à ce balader alors que sa jambe risque de lâcher à tout moment , que sa cicatrice s'ouvre et qu'il saigne ! C'est peut-être débile mais j'ai juste peur qu'il lui arrive encore quelques choses ! Je sens que mon rendez-vous à l'hôpital va être vite annulé car hors de question que je le laisse comme sa , tous seul ! Alors que je mettais mise en dessous de lui pour l'aider c'est limite si il ne me poussa pas en répliquant Je n’ai pas besoin de toi Majandra. A ce moment la j'ai bien crue que mon cœur aller s'arracher en deux , il na pas besoin de moi ? Avant même que je me remémore ce qu'il venait de dire et enchaina J’ai peut être perdu la tête, mais j’en ai surement besoin. J'avoue que j'ai pas trop fais attention a sa dernière phrase mais plutôt a la première qui ne fait que résonner dans ma tête ! Il na pas besoin de moi ? C'est bien sa qu'il a dit ? Alors pourquoi depuis six mois je viens tous les jours lui changer ces bandages , alors pourquoi tous les jours aussi je suis la première à l'aider pour ce lever que sa soit pour aller au WC ou se laver !

Mais avant même que je me rende compte il c'était remit à marcher doucement certes , quand à moi j'étais la comme une idiote à regarder dans le vide les yeux qui commencer drôlement à être remplis de larmes avant de les fermes pour laisser échapper quelques larmes pour enfin les essuyer et li courir derrière ! Et de me mettre droit comme un piquet devant lui « Tu na pas besoin de moi ? Tu est sûre Gab !!!! » J'ai une tel rage en ce moment , comment il ose dire sa ! Comme si depuis six mois ce que je fais ne compte pas ! « Si c'est le cas je vois pas pourquoi je suis encore la à essayer de te convaincre d'arrêter de marcher vue que tu na pas besoin de moi ! » Alors que je me met à marcher pour retourner devant l'immeuble je me retourne il est a quelques mètres de moi « Six moi que je te soigne ! Du moins que j'essaye et toi tu me dit que tu na pas besoin de moi ! Ba DEMERDE TOI MAINTENANT ! T'aura cas appeler une infirmière qui coûte au dessus de tes moyens pour te changer et t'aider ! Moi c'est FIIINIIIII » Répliquai-je à moi en hurlant dans la rue ! Il n'y a rien à dire mais je crois que la je suis vraiment blesser de chez blesser ! Me mettant devant l'immeuble sortant une cigarette pour en fumer une , moi qui essaye d'arrêter c'est foutue la ! Je suis à boue les larmes qui remonte encore et encore je sens que je vais craquer ! Six mois que je me retiens sa va faire mal je crois
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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeDim 13 Fév - 20:19
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Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.



Je m’étais pris souvent des gifles en pleine poire. Les nombreuses fois où la déception m’envahissait lorsque je m’apercevais que mes parents n’étaient toujours pas venus pour cette énième compétition. La fois où ma grand-mère mourut subitement et que j’avais réalisé qu’elle ne m’avait pas laissé seule, comme je le pensais. La fois où j’avais vu Majandra pour la première fois ou encore la fois où j’avais réalisé qu’Ethan l’aimait aussi. Et apparemment, cela n’allait surement pas changé. Je venais encore de m’en prendre une. Qu’est ce que ça faisait mal, bordel ! Je m’étais enfin senti bien, pendant quelques secondes et voici que finalement, elle se pointe et me remette tout en mémoire, qu’elle en avait finit avec moi et qu’elle affirme qu’effectivement je n’ai plus besoin d’elle. Mais ce qui m’a encore plu rendu la gifle violente c’était ses larmes. Pour moi, voir des perles s’échapper de ses yeux m’était insupportable, et elle le faisait à cause de moi. Je n’avais rien demandé. Je n’avais pas besoin d’elle, sur le moment. Mais oh, combien j’avais besoin d’elle, de la sentir près de moi. Après tout, c’était elle. Juste elle qui faisait battre mon cœur depuis des nombreuses années. Juste elle qui illuminait mes journées par un simple sourire. C’était probablement elle, la femme de ma vie. « « Six moi que je te soigne ! Du moins que j'essaye et toi tu me dit que tu na pas besoin de moi ! Ba DEMERDE TOI MAINTENANT ! T'aura cas appeler une infirmière qui coûte au dessus de tes moyens pour te changer et t'aider ! Moi c'est FIIINIIIII » Apparemment, je l’avais bien mérité.
En larme et probablement énervée, elle s’était retournée et était retournée devant l’entrée de l’immeuble. Sortant de sa poche un paquet, elle finit par en allumer une et la fumer tranquillement. N’était-ce pas censé arrêter de fumer ? Après tout ce qu’on a vécu ? La vie ne vaut pas de mourir à cause d’un cancer des poumons. Moi, j’étais resté planté là. En pleine rue. Toujours appuyés sur mes béquilles. Je sentais même mes mains me faire mal à force de rester dans la même position. Des ampoules ? Surement. Les passants me regardaient bizarrement, moi avec mon jogging froissé, cette chemise indécise à moitié en dehors du pantalon, des marques d’oreillers sur la joue. Effectivement, je n’étais pas si « normal » dans le tableau. Je soupirai lentement. J’étais à bout de nerfs, j’avais envie de fuir. Et pourtant, je commençai à tituber vers elle. Je m’arrêtai devant elle, quelques minutes plus tard. Elle ne me regardait pas. Moi non plus. J’avais besoin de sortir tout ce que j’avais sur le cœur. Même si cela allait être dur à entendre. Pour elle ou pour moi. Je me sentirai beaucoup mieux après et n’est ce pas ce que j’avais voulu rechercher ?
Je finis par la regarder. Des larmes continuaient de rouler sur ses joues, mais son regard trahissait sa colère. Brisant le silence qui s’était installé, quoi qu’un peu dérangé par les bruits de la rue, je m’étais posté devant elle. « J’étouffe… » Murmurais-je. Elle fit mine de me regarder mais son regard se replongea dans le néant. « J’étouffe … » continuais-je « La haut, sur ce putain de canapé, j’étouffe. J’en ai marre. Je ne supporte plus cette situation. Envers Ethan. Et encore plus envers toi...J’ai perdu un frère, ma seule famille. J’ai perdu ma passion, et je t’ai perdu… Et le pire dans tout ça, c’est entièrement de ma faute. Je vois ma vie s’écrouler chaque jour, sans pouvoir y remédier. Et c’est à cause de moi ! Tout est à cause de moi ! Je…j’aurai préférer mourir dans cet accident que de me réveiller face à cette putain de réalité ! » Explosais-je. J’avais dit tout haut ce que je pensais. J’aurai préférer mourir. Ne plus rien ressentir hormis la paix. Retrouver ma grand-mère, qui elle ne m’aurait jamais laissé tomber. Oui, j’aurai voulu y laisser ma vie. Je ressentais de la colère, j’étais désespéré. J’avais parlé et pourtant je me sentais encore bien plus mal.
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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeLun 14 Fév - 17:54
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J'aurais aimé que les choses soit différente !


Qui aurait crue que moi Majandra Rose Middelton je m'emporte comme je viens de le faire , même pas moi je l'aurais crue ! Moi qui suis d'habitude une fille plutôt calme et réserver , depuis quelques mois pourtant je suis loin d'être cette jeune fille qu'Ethan & Gabriel connaissaient à l'époque ! Enfin pour ma part depuis cette accident , je bois de plus en plus , je fume de plus en plus alors que j'avais promis aux garçons d'arrêter de fumer ! Enfin tous sa pour dire encore une fois que je ne suis plus cette fille toute gentille ! Mais la c'est vrai que sa me choque , la façon dont je viens de péter un câble m'étonne vraiment car j'ai beau avoir changer je suis quand même choquer de la façon dont j'ai exploser , je pense que c'est toute cette pression qui ressort d'un coup , j'en avais besoin je pense même si j'aurais préféré ne pas exploser devant Gabriel et m'en prendre à lui à moitier car malgré sa je pense tous ce que je viens de lui dire ! Alors que je suis de retour devant l'immeuble à fumer ma cigarette je le voit revenir vers moi pour enfin me parler « J’étouffe… » Murmura t-il ! Mon regard ce mélangea avec de la compréhension et de l'incompréhension en même temps ! Même moi je ne comprend pas ce que j'essaye de dire « J’étouffe … » Oui et bien j'ai compris tu étouffe j'ai compris Gabriel ! « La haut, sur ce putain de canapé, j’étouffe. J’en ai marre. Je ne supporte plus cette situation. Envers Ethan. Et encore plus envers toi...J’ai perdu un frère, ma seule famille. J’ai perdu ma passion, et je t’ai perdu… Et le pire dans tout ça, c’est entièrement de ma faute. Je vois ma vie s’écrouler chaque jour, sans pouvoir y remédier. Et c’est à cause de moi ! Tout est à cause de moi ! Je…j’aurai préférer mourir dans cet accident que de me réveiller face à cette putain de réalité ! » A ce moment la mon regard ce fais énorme , mes paupières qui s'ouvre au plus gros avant de le regarder droit dans les yeux ! Sa faute ?

La de suite je ne sais même pas quoi dire , comment ose-t-il dire que tout est de sa faute , alors que c'est de la mienne aussi ! Oui de la mienne , si je n'étais pas tomber amoureuse d'eux deux , si je n'avais pas bue ce soir la jamais Gabriel ne m'aurai embrasser surtout que je me souviens clairement lui avoir rendue ce baiser si magique d'ailleurs ! Si il crois que je m'en fou de cette situation il se trompe , sa me ronge de l'intérieure ! Ethan ne m'adresse même plus la parole , ne me regarde même plus quand à Gabriel je n'en sais rien je sais juste que je me sens tellement coupable que j'ai étais la ces six derniers pour peut-être soulager cette culpabilité ! « Parce que tu croit que tout est de ta faute ? Et moi alors si je n'étais pas tomber amoureuse de deux meilleurs amis hein , si je n'avais pas bue ce soir la aussi , je t'aurai jamais autorisé à m'embrasser qui sais ! Mais sa c'est passer c'est tout on ne peut pas retourner en arrière Gab même si la seul chose que je changerai sa serai l'accident » Je viens de dire clairement que je ne regrette pas notre baiser même si sa a suivie des conséquence catastrophiques ! Je suis la a le regarder le regard imbiber de larmes en fumant ma cigarette ! Essayant tant bien que de mal de me calmer pour ne plus pleuré , je me sens encore plus coupable « Si on ne ce seraient jamais rencontré rien de tous sa ne ce serai passer ! Peut-être que sa aurait était mieux pour nous trois ! » Renversement de situation je ne me comprend plus ! Tous ce que je sais c'est que je suis perdu sans eux deux ! Mais bon l'orage ce lève pourtant ils ont annoncer une journée magnifique je suis folle ?

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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeVen 18 Fév - 16:26
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Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.


Je me souviens quand j’étais petit la façon dont ma grand-mère me regardait avec des yeux tendres. Je savais, à l’époque, que ma vie allait bien se passer tant elle restera à mes côtés. Tout allait bien, j’étais en sécurité. Il ne fallait donc que je grandisse, avec tout l’amour du monde, même si ce n’était pas celui de mes parents. A l’époque, je pensais que ca allait être éternel, que j’allais être épaulé dans toutes les situations possibles, dans les coups durs, et les coups heureux. Qu’est ce que j’ai été idiot ! A croire que la vie était un doux plateau d’argent qui pouvait être servis comme ça ! La vie était loin d’être facile, la mienne en particulier. Et aujourd’hui, je comprenais que j’avais perdu l’envie de me battre et de me donner les moyens d’y arriver. J’avais tout perdu. Certains affirmeront que je suis dans une phase de dépression. Peut être bien. Je suis dans la merde, ma vie n’a plus aucun sens et je me dis parfois que vivre n’a plus aucun grand intérêt. Peut être est-ce réellement la dépression ? Quoi qu’en soit le problème, je suis seul pour l’affronter cette fois-ci. Et c’est surement ça qui m’effraie le plus.
A présent je la regardais, tentant de déchiffrer ce qu’elle pensait après mon discours. J’avais peur de sa réaction, pour une fois. Peur que mes paroles aient un impact trop important que j’aurai encore du mal à gérer. Elle était appuyée sur la rambarde des escaliers de l’immeuble, toujours sa cigarette à la main. Elle semblait perplexe, les yeux rond, comme si elle ne comprenait pas mes dires. Peut être que je l’avais choquée ? Ou pis encore. Et puis finalement elle me balança ça à la figure. « Parce que tu croit que tout est de ta faute ? Et moi alors si je n'étais pas tombé amoureuse de deux meilleurs amis hein, si je n'avais pas bue ce soir la aussi, je t'aurai jamais autorisé à m'embrasser qui sais ! Mais sa c'est passer c'est tout on ne peut pas retourner en arrière Gab même si la seul chose que je changerai sa serai l'accident » Je baissai les yeux à terre. J’étais énervé, désespéré et rancunier. De sa faute ? C’était la notre ! Si on n’était pas tombé amoureux de la même fille, si on avait tenu tous deux notre promesse…l’accident ne se serait jamais produit. Ni même le baiser. Et pourtant, je ne le regrettais pas. J’avais rêvé de ce moment pendant plusieurs années ; il me hantait. Et il s’était enfin produit. Aussi magique qu’il avait été. « Si on ne ce seraient jamais rencontré rien de tous sa ne ce serai passer ! Peut-être que sa aurait était mieux pour nous trois ! » Avait-elle ajouté, quelques larmes aux yeux continuant sa cigarette. Ne jamais s’être rencontré ? NON ! C’est quoi cette connerie maintenant ? Mieux pour nous trois ? Et elle en faisait quoi de tout ce qu’on avait pu faire ensemble ? Nos meilleurs souvenirs ? Hochant la tête, je lui récupérai la cigarette de sa main et la jeta à terre avant de l’éteindre avec ma béquille. Elle avait promis d’arrêter, ca risquait de la tuer et ça je ne l’autorisais pas. Elle semblait ne pas être d’accord sur les bienfaits de la cigarette. Certes, elle pensait peut être que ca l’aider à ce moment précis, qu’elle était mieux. Mais elle avait tord. J’ajoutai finalement : « Mais…Majandra…Comment tu peux dire une chose pareille ? » Je pris une grande respiration, comme pour avouer ce que je pensais depuis longtemps. « Tu es l’une des meilleures choses qu’il soit venu dans ma vie. Une personne étonnante qui m’a beaucoup appris…Sans toi…Ma vie n’aurait pas été mieux. Et celle d’Ethan aussi ». Il fallait que je le dise. Elle avait été pendant longtemps le rayon qui illuminait mes journées. Et cela avait été aussi celui d’Ethan. Je ne lui en voulais pas sur ce fait là. Comment lui résister c’est vrai ? Mais…Après tout ce qui s’est passé…tout ce que j’ai perdu…C’est à cause de lui et de cet accident. Toujours debout, je fini par me rencontre compte que ma jambre qui supportait tout mon poids commençait à trembler. C’était encore peu visible, mais je le sentais. J’étais fatiguée. Je comprenais maintenant que mon idée d’aller plus loin avait été stupide. M’avançant, je finis par me laisser tomber sur les marches des escaliers, ma jambe tendus, l’autre pliée qui supportait mon bras et ma tête. Avec beaucoup de chose en tête, ca me donnait le tournis, comme si cette situation était interminable. On tournait tous les droits en rond, comme des chiens dans une cage, et avec aucune issus.
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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeSam 19 Fév - 13:33
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J'aurais aimé que les choses soit différente !


Tout de suite après avoir dis ce que j venais de dire je l'ai regretter , c'est vrai comment regretter de les avoir rencontrés ! Ils ont sauver ma vie en me sortant de ma hantise qu'était la drogue ! Mais ce que je dois regretter c'est sûrement le fait que je sois tomber amoureuse d'eux eu deux ! J'aurais vraiment aimer tomber amoureuse que d'un seul ou bien d'aucun mais c'est comme sa ! Ils ont chacun leur truc qui fait que je suis tomber sous le charme ! Ethan parce qu'il à ce côtés rebelle qui me rend dingue à longueur de journée et ce côté mauvais garçon qu'il met en avant quand il ne veux pas dire ce qu'il ressent ! Et Gabriel , lui il est tout le contraire ce qui me rend folle aussi même si parfois il ne veut pas dire ce qu'il ressent , il a eu une vie moins déchainé que celle d'Ethan mais tout aussi passionnante , lui il à ce côtés justement beau garçon qui a tout fait bien et pourtant il a souffert tout autant étant plus jeune et puis il est doux et attentif du moins avec moi il a toujours était comme ça !

Alors que je pensais qu'après son spitch il partirait il répliqua au miens tout en prenant ma cigarette et la jetant à terre pour l'écraser avec sa béquille « HEY ! J'ai peut-être dis que j'arrêterais de fumer mais je pense que la maintenant j'ai bien le droit d'en fumer une non ? » Mais bon que voulez vous ajoutez hein surtout qu'il répliqua vite fait sur ce que je venais de lui dire peu de temps avant « Tu es l’une des meilleures choses qu’il soit venu dans ma vie. Une personne étonnante qui m’a beaucoup appris…Sans toi…Ma vie n’aurait pas été mieux. Et celle d’Ethan aussi » Le regardant droit dans les yeux , ayant les yeux plus que remplis de larmes , comment arrivez t-il a me dire sa comme sa sans ce demander si Ethan n'allait pas débarquer ! Mais pourtant il faut du courage pour réussir a la dire car il à beau être tout pour moi jamais ô grand jamais je ne réussirais à lui dire comme il viens de me le dire ! Je ne sais même pas quoi répondre juste un sourire vite fait s'esquive de mes lèvres

Avant qu'il ne ce mette assis sur les marches j'avais pu remarquer sa jambe qui trembler , je le connait bien trop part cœur pour ne pas m'en apercevoir autant pour lui qu'il c'est assis de lui même si sa aurais était moi je l'aurai surement engueuler et l'aurai pousser pour qu'il ce mette assis ! Regardant cette jambe je pausa ma main sur cette jambe qui guérira un jour je le sais « Tu devrais monter te reposer ! Même si tu te sens bien j'en connais une qui dit stop à cette évasion ! » Répliquai-je en souriant avant de me lever et de lui tendre la main pour l'aider à ce lever ! Si seulement rien de tous sa n'était arriver !
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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeMar 22 Fév - 10:48
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Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.




Quelques instants, je semblais perdu dans mes pensées. Je regardais la fourmilière de passants devant moi. Tous semblaient serein, ou presque. Des hommes d’affaires passèrent, quelques peu débordés, des secrétaires avec des cafés et donuts. Quelques couples passèrent aussi. Ils semblaient heureux, en toute simplicité. Pourquoi est-ce que cela ne pouvait pas être aussi simple ? Fallait-il qu’on soit dans un film pour qu’on ai le droit à une happy ending ? C’était peut être vrai, après tout. On en avait tous bavés dans notre vie. Ethan…Majandra…et moi. On en avait vraiment bavé dans notre vie, et plus on avancé, confiants, plus on se réduisait à néant. C’est fou à dire, mais notre destinée était peut être de se mutiler mutuellement ? De se détruire ensemble ? J’osais penser le contraire ; que tout allait redevenir comme avant. Mais rien que de voir comment Ethan me fuyait, comment notre amitié s’était réduite à néant me révulsait. Il avait promis d’être là pour moi, il avait promis, bon sang ! Et même si je lui en voulais de m’avoir privé de tout ce dont je rêvais, j’avais espérer qu’il puisse être là, à mes côtés pour m’aider, à avancer. Mais non. Il se défilait. Et au moment où j’avais le plus besoin d’une bouée de sauvetage, cette fois, il ne me restait que d’un canapé vide et poussiéreux.
Toujours assis sur les marches de l’immeuble, je n’avais pas osé regarder Majandra dans les yeux. Je n’aurai pas supporté de savoir ce qu’elle penser après ce que je venais de dire. J’avais encore ouvert mon cœur, et c’était encore un grand risque. D’autant plus si elle avait les larmes aux yeux, je ne l’aurai probablement pas supporté. Soudainement, je regardai à droite et à gauche, comme pour me rassurer. Il n’était pas là, derrière nous à nous espionner pour encore mieux gâcher tout. C’était mon meilleur ami, un frère et pourtant j’avais peur qu’il me voit avec Majandra. Rapidement, elle posa une main sur ma jambe et me lança : « Tu devrais monter te reposer ! Même si tu te sens bien j'en connais une qui dit stop à cette évasion ! » Elle s’était levée et me tendait la main comme pour m’aider à me relever. Mais j’étais resté bloqué, à ce contact de sa main sur ma jambe. Cela fait plus de six mois qu’elle m’aide à enlever ces bandages et à les remplacer et pourtant ces contacts ne m’avaient jamais autant bouleversé. J’avais senti des frissons dans le dos, une vague de chaleur. Je rougissais probablement, quoi que j’aimais penser le contraire au cas où elle le remarquerai. Immobile devant moi, elle attendait. Finalement, je mettais rendu compte que c’était ma jambe qui commençait à me faire mal, et non ce contact. Peut être avais-je trop forcé dessus ? Je n’en savais rien, et j’avais peur de me lever pour…retomber aussitôt. Surtout devant elle. Lui souriant, je la regardai et fini par lui lancer : « J’aurai préféré profiter un peu de l’air libre avant de remonter. Maintenant que je suis là, autant en profiter… » J’avais tenté de lui dire ça, d’une manière convainquant. « Après tout, ma jambe est immobile là » avais-je ajouté en souriant. Elle était immobile, certes. Mais elle commençait à me donner un mal de chien. L’incitant à s’assoir à côté de moi, j’attendais sa réponse. Je regardai finalement autour de nous, le soleil semblait combattre les nuages obscurs qui arrivaient au loin. Il avait annoncé du beau temps aujourd’hui et pourtant, la noirceur arrivait rapidement. Tempi, je raccourcirai ma liberté. En espérant que ma jambe allait pouvoir me supporter afin de me lever tranquillement et de ne pas alarmer Majandra. Après tout, je n’avais pas envie qu’elle me hurle dessus qu’elle avait raison, que j’avais inconscient et idiot de me lever de mon canapé. Non, je n’en avais pas envie.



ps: minable, je sais. J'avais pas d'inspiration ><
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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeMar 22 Fév - 12:43
Intégration àl'intrigue n°1
Oh Sydney's Temtaption

La brise fraiche tant espérée par Gabriel se voit alors souffler un peu plus fort que d’habitude. Bien vite le vent se lève et les feuilles virevoltent dans tous les sens. L’ouragan arrive… rentrer pour se protéger ou se cacher ? Après tout, on ne sait jamais, l’immeuble pourrait bien se faire la malle non ? Difficile de choisir et pourtant il va falloir le faire et vite parce que le vent commence vraiment à se faire violent…

Spoiler:

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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeMar 22 Fév - 20:05
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J'aurais aimé que les choses soit différente !


Plus les minutes passent et plus je me rend compte que le temps se dégrade à une vitesse incroyable ! Pourtant ils avaient bien dit qu'il ferait beau aujourd'hui enfin qu'il n'allait pas pleuvoir du moins car la c'est clair qu'on va avoir le droit à un orage même ! Étant avec Gabriel sur les marches de noter immeuble je me rend compte très vite aussi qu'il vaut mieux qu'ont rentrent au chaud car sa va pas être jolie à voir ! Mais que voulez vous je préfère rester sous la pluie avec lui que de le ramener à l'appartement et rentré dans le mien car connaissant Ethan si il nous voit tous les deux il péterait surement un câble et c'est pas du tout ce que je veux loin de la , car justement tous ce que je veux c'est que tous s'arrange entre nous , enfin la n'est pas la question , va bien falloir qu'on rentre de toute façon « J’aurai préféré profiter un peu de l’air libre avant de remonter. Maintenant que je suis là, autant en profiter… » Euh il me prend pour qui la ? Je sais qu'il veut à tout prix être dehors prendre l'aire mais la je vois très bien que c'est sa jambe qui flanche je ne suis pas folle et puis je le connais trop part coeur pour savoir quand il me ment ! Enfin même si monsieur me prend la main pour m'assoir je le regarde en sourcillant gentillement m'inquiétant de plus en plus du temps voyant les feuilles voler et tournoyer tout en le regardant avant de lui balancer « Ta fini de me prendre pour une poire la ? » Mais même si quelques secondes avant je m'étais assise la je me lève d'un coup et il rajouta « Après tout, ma jambe est immobile là » Ne faisant plus trop attention a ce qu'il me dit j'ajoute juste un « Hum hum ! » Avant de me retourner vers lui en catastrophe !

Car en effet le temps se dégrade vraiment beaucoup et sa m'inquiète ! Et la de suite j'entends même les sirènes qui annonce un ouragan , oh mamamia on est pas dans la merde ! Prenant brusquement la main de Gabriel je le regarde en ayant dans mon regard tout de même un peu de panique ! « Ecoute je sais que ta jambe te fait mal mais la faut qu'on bouge et vite !! On peut pas rentré dans les appartements c'est risquer !!!! » Mais soudain je pensa à Ethan , espérant qu'il est déjà a l'abri ou même qu'il enverrait juste un sms pour dire qu'il va bien au pire je le ferais un peu plus tard si sa s'aggrave vraiment « Tu m'aime hein !!!!! » Marquant une pause « Prend sur toi Gab faut que tu marche , viens je vais t'aider » Le prenant part le bras pour l'aider à marcher je me fait nous diriger vers la cave , on a pas vraiment le choix ! Et puis franchement il a que nous dans ce petit immeuble je sais que sa va pas être drôle ce bordel et c'est le cas avant même d'arriver a la porte pour aller dans la cave le vent souffle tellement fort qu'il fait s'envoler certains meubles enfin des petits meubles mais ce qui me fis glisser et tomber , et bien sure Gabriel tomba aussi ! J'ai mal bizarrement mais je sais pas encore ou !
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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitimeDim 6 Mar - 21:15
« Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté 110204111647402045

Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.


Le temps se dégradait vivement. Le ciel s’assombrit très rapidement, le vent se souleva, faisant virevolter les feuilles et autres papiers qui trainaient dans les rues, de petites goutes avaient débutés à tomber. Et j’avais proposé qu’on reste dehors ? Profiter de l’air ? Mais quel imbécile, je fais ! C’était certain, elle avait compris pourquoi j’avais voulu rester dehors, d’ailleurs elle m’avait lancé un furtif « tu as fini de me prendre pour une poire là ? » Effectivement, je n’étais pas malin. Peut être était-ce les nombreux médicaments que je prenais qui me faisait perdre la tête ? Ou peut être tout simplement que j’étais fou ou idiot ? L’un des deux, au choix. Bref, quoi qu’il en soit, nous étions dehors alors que des sirènes retentissaient dans toute la ville. La regardant, je savais qu’elle commençait à paniquer ; après tout un ouragan approchait et on devait filer d’ici ! Elle se leva et tenta de me convaincre de me lever, malgré la douleur. Pour qu’on se mette à l’abri certainement. Je me mordillai la lèvre et me leva, malgré la douleur qui me prenait maintenant toute la jambe. Majandra m’aida et mis mon bras autour de ses épaules. « Pas si vite, Majandra ! » lui avais-je lançait alors qu’elle tentait de nous faire rentrer à l’intérieur. Ma jambe ne suivait pas, j’avais plus l’impression d’avoir un boulet accroché et que je devais trainer. La douleur me rendait ma jambe si lourde que je la trainer, plutôt qu’autre chose. Finalement, après quelques minutes, nous arrivâmes dans la cave. Nous étions seuls, et au moment d’y arriver, le vent fit claquer plusieurs portes, souleva plusieurs petits meubles. Majandra, s’en prenant un sur le côté, bascula en avant et m’entraina dans sa chute. Je hurlai de douleurs. Bordel, qu’est ce que ça faisait mal ! J’avais pris pourtant mes antidouleurs ce matin, mais finalement, ils ne faisaient sans doute plus effet. Sur le ventre, je me retournai difficilement et tenta de me tenir la jambe, par réflexe. A côté, Majandra était toujours à terre et semblait elle aussi avoir mal. En boule, je me tourna sur le côté, et je lâcha ma jambe. Lui soulevant les quelques cheveux sur son visage, je la regardai et entre deux souffles courts je réussis à dire : « Majandra, ca va ? Tu t’es fais mal ? » Faisant mine d’avoir entendu mais incapable de répondre, elle grogna un peu. « Majandra ! Réponds… » avais-je dis paniqué. J’avais atrocement mal à la jambe, et je commencer à sentir un petit liquide couler le long de ma jambe. En un instant, je paniqua totalement. Regarda mon jean, une tâche rouge commença à s’agrandir de plus en plus. Je tenta de me redresser. Les points de suture avaient probablement lâchés. Je savais que mes espoirs de rétablir correctement et vite venaient de partir en fumer et pourtant, ce n’était pas si qui m’inquiétait le plus pour l’instant. Je finis par me retourner vers elle et la pris tant bien que mal dans mes bras. « Majandra…où as-tu mal ? Réponds moi ! » avais-je lancé, paniqué. Le vent soufflait terriblement, et on l’entendait s’infiltrer dans n’importe recoin, ce qui provoquait des sifflements très aigue. Des gros bruits sourds se firent entendre un peu partout, probablement dans la rue, ou au dessus de nos têtes, mais qu’importe on était tout les deux. Enfin, j’avais quand même une pensée pour Ethan…
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MessageSujet: Re: « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté   « Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté Icon_minitime
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« Majandra & Gabriel » Il n'est point de bonheur sans liberté

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