Sujet: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Dim 11 Sep - 1:15
« Shanae & Gaylwen »
« Où tu vas comme ça ? » M’arrêtant en cours de route, je me tournais vers ma sœur pour la regarder sans trop comprendre, ressemblant sans doute à un gamin prit en faute. « Hum je vais … Retrouver Cassie. On va passer la soirée ensemble. » Répondis-je en détournant le regard, presque gêné malgré moi. Chose stupide. Ce n’était que ma sœur et je ne voyais pas ce qu’il y avait de mal à aller retrouver la femme que j’aimais, à cette heure ci. « La soirée ? Il est déjà vingt deux heures … » Soupirant longuement, je m’approchais d’elle pour déposer un bref baiser sur son front avant d’ébouriffer ses cheveux, la prenant par la suite quelque peu dans mes bras. « Eh bien c’est maintenant que commence la soirée pour moi, point. » La serrant brièvement contre moi, je ne tardais pas à la relâcher avant de me détourner rapidement d’elle pour filer en direction de la porte d’entrée. « Oh putain ! Si avec ça elle refuse, c’est que cette fille est folle et ne voit pas sa chance ! » Fronçant les sourcils sans comprendre, je m’arrêtais à nouveau pour me tourner vers elle, me figeant alors franchement en voyant ce qu’elle tenait à la main. Soupirant longuement et levant vaguement les yeux au ciel, je filais rapidement vers elle pour récupérer la boite et la ranger nerveusement dans la poche de mon gilet. « Voleuse ! » « Cachottier ! » « Je … Tu penses qu’elle va lui plaire ? » « La question ne se pose même pas. Dès que je l’ai vu je l’ai reconnu là dedans ! C’est tout elle ! » « Et tu crois qu’elle va … Accepter ? » « Que tu es con Gaylwen ! Elle a déjà accepté il me semble non ? Allez file va ! Ton destin t’attend. » Souriant faiblement au baiser qu’elle déposa sur ma joue, je lui lançais un bref regard avant de faire demi tour pour quitter l’appartement, sans perdre une seconde, par peur d’être en retard. Le destin m’attendais … Oui il était en train de m’attendre, j’allais le saisir et ne plus le relâcher. Tout comme je le faisais avec Cassie depuis son retour dans ma vie. Enfin … Pas depuis le premier jour où elle était arrivée dans mon bar bien sûr. Mais plutôt depuis que j’avais plus ou moins compris les raisons de son départ et de son absence complète. A présent, il fallait que nous allions de l’avant, quel que fut notre passé douloureux, à tous les deux. Une fois dans ma voiture, je ne pris pas le temps de réfléchir et fonçais à vive allure sur la route, en direction de ce foutu parc où j’allais l’attendre. Une fois arrivé, le temps de me garer et de filer au point de rendez-vous, me parut durer une éternité. Tout était bien trop long lorsque l’on attendait le moment crucial …
On inspire, on expire ! Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Il ne fallait surtout pas que je me tracasse pour un rien. Sans compter qu’il ne s’agissait que de Cassie après tout. Enfin … Par ‘que’, j’entendais que ce n’était que cette femme dont j’étais éperdument amoureux depuis toujours et avec qui j’allais faire ma vie. Je n’avais pas la moindre raison de me mettre dans un tel état de stresse et de nerf. Pourquoi étais-je dans cet état ? A croire que je m’apprêtais à parler devant une foule de milliers de personnes ou un truc de cet acabit. Pourtant ce n’était vraiment rien de tel. Je m’apprêtais simplement à retrouver mon âme sœur, dans notre parc fétiche. Pas de quoi être sur des charbons ardents donc. Pourtant c’était ainsi. Debout à notre endroit préféré dans le parc, j’avais les mains enfouies dans les poches de mon jean et je portais tout le poids de mon corps, d’un pied à l’autre puis revenant à l’autre pied et ainsi de suite. Bref, il était évident au premier coup d’œil, que quelque chose clochait chez moi. Etait-ce le fait que je ne connaissais pas du tout la suite des évènements ? L’émotion ? L’envie de rendre cet instant tout bonnement parfait et divin ? Aucune idée … Tout ce que je savais c’était que j’allais retrouver là, la femme que j’aimais et que je venais enfin de retrouver après huit années d’enfer insoutenable. J’allais la retrouver et … Et nous verrions bien ce que la nuit ferait de nous. Au mieux des fiancés … Au pire de simples amants. Car je ne doutais pas que cette nuit serait notre nuit. Il le fallait ! C’était une question de vie ou de mort à présent. Comment pourrais-je continuer à supporter ce besoin vital qui était de la faire mienne ? Après toutes ces années à nous chauffer puis ces huit années sans nous voir, il me semblait que nous avions bien assez attendus comme cela. Sans parler des quelques petites semaines qui venaient de passer, durant lesquelles nous n’avions pas eus de franc rapprochement physique, à part ce soir là chez elle, où nous avions été sur le point de faire l’amour dans sa chambre. Mais il semblerait que sa mère soit toujours là pour nous pourrir la vie puisqu’elle nous avait interrompus à deux reprises et qu’à la seconde fois, j’avais décidé de partir sans prévenir, las de voir que ce n’était sans doute pas notre soir. Et durant la semaine suivante, Cassie était venue passer de longues heures avec moi au bar, tous les soirs. Des moments intenses que j’avais aimé partager avec elle, même si là encore, nos échanges physiques s’étaient limités au strict minimum. J’avais principalement aimé le fait qu’elle puisse me voir travailler et ainsi découvrir ma toute nouvelle vie. Nouvelle vie dans laquelle elle était en train de trouver sa place, tout simplement. Il nous fallait simplement laisser le temps faire les choses ...
D’un geste nerveux, rapide et répété, je tapotais à répétition la poche de mon gilet gris, que j’avais enfilé par-dessus un tee shirt près du corps et à l’encolure en v profond, noir et avec lequel je portais un jean slim taille basse, tout aussi noir. Fronçant les sourcils, j’en arrivais alors à me demander si je n’aurais pas du enfiler des fringues plus classe, pour une telle occasion. Avant de songer que ce n’était pas si mal que cela tout de même, dans le fond. Soufflant longuement pour tenter de me calmer, je fermais les yeux en faisant lentement rouler ma tête pour me détendre un tant soit peu. J’étais nerveux, stressé et inquiet. Mon cœur s’emballant brutalement en voyant qu’il était vingt deux heures trente, l’heure à laquelle j’avais demandé à Cassie de venir, je posais une main instinctive sur la poche de mon gilet, refermant ma main sur la petite boite en cuir. J’avais beau me dire qu’elle avait déjà accepté une fois de m’épouser, cela ne m’empêchait pas d’avoir peur comme jamais, de sa réaction. A moins que ce ne soit simplement l’émotion à l’idée de lui faire, enfin, une vraie demande, dans les règles de l’art. Un solitaire qui n’attendait que son doigt, une nuit étoilée, un homme crevant d’amour et une couverture pour le cas où nous passerions la nuit ici, rien que tous les deux, en amoureux. Sans parler du reste, question nourriture et boisson. Bref, que demander de plus ? Rien, si ce n’est la femme dont j’étais amoureux et qui, j’osais l’espérer, serait à l’heure …
Dernière édition par J. Gaylwen Copeland le Jeu 5 Avr - 18:02, édité 2 fois
✔ HUMEUR : Rêveuse ✔ EN JEUX : Pas pour le moment ✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre ✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Mar 13 Sep - 10:17
Than & Sissi
Un seul mot résonnait dans ma tête, ou plutôt un seul prénom, qui n’était autre que celui de Gaylwen. Comment ne pas penser à lui ? Je me le demande bien. Je ne pouvais penser qu’à lui et tout faire en fonction de lui. Il était mon centre d’intérêt, je l’aimais depuis toujours… En fait, je ne me souvenais pas d’un seul moment entre nous deux, ou nous ne nous aimions pas… Notre relation avait évolué doucement… Elle avait su trouver sa place, surtout lorsque nous avions eu le brevet, ou nous avions échangés notre premier baiser… Un baiser intense, fantastique, sublime… Je me souvenais parfaitement de nos premières préliminaires, je me souvenais de chaque moment entre nous… Ces longs regards échangés… Ces longues douches nos gémissements, notre complicité … Je me souvenais de nos nombreuses heures dans notre parc ou nous nous cachions dans les bosquets pour se caresser, pour se déshabiller à moitié et rire de nos conneries, ne plus faire de bruits quand quelqu’un passait par là… C’était notre passé commun, c’était du nous tout craché et il était clair que j’aimais affreusement cela… Mais j’aimais encore plus depuis que nous nous étions retrouvés… Huit ans de perdus… Huit longues années et je ne voulais plus perdre une seule journée, je voulais passer ma vie avec lui, nous marier comme nous aurions dû le faire il y a surement six ans… Des enfants, nous devrions au moins avoir notre premier bébé et il fallait sincèrement que l’on s’y mette… Même si bordel, nous n’avions toujours pas couchés ensemble…
Pourquoi ? Car ma mère avait tout fait foiré, sans même s’en rendre compte… Et cette semaine passé avec lui avait été.. Riche en émotion… J’étais venu chaque jours le voir, j’étais venue lui apporter a manger, lui tenir compagnie, le regarder, le toucher l’embrasser… Nous nous étions certes rapproché mais pas assez au point d’avoir réessayé de coucher ensemble et j’étais pour ma part à bout… Je le voulais… Je me consumais il fallait vraiment que l’on fasse l’amour… Soupirant faiblement en me regardant longuement devant le miroir, je me mis de profil pour me regarder encore et encore. J’avais prit de la poitrine… Chose que je n’avais pas énormément à l’époque… Mon corps était devenu celui d’une femme, des hanches quelques peu marqué, un visage beaucoup plus femme aussi, non vraiment je m’étais tout de même embellit, je ne pouvais pas le nier… Enfilant rapidement un string de couleur noir tout en dentelle, je pris le soutiens gorge assorti, quelque peu push up, remontant bien ma poitrine la bombant au maximum. Attrapant mes jarretelles noires, je les enfilais rapidement avant de prendre une robe noire ample, décolleté carrément sexy. Ample au niveau des cuisses s’arrêtant juste en dessus des jarretelles laissant imaginer ce qu’il s’y cache dessous, je savais que ça plairait atrocement à Gaylwen… Je savais que ça le rendait fou quand il pouvait a peine voir et donc bien imaginer… Mes cheveux lâchés sur mes épaules et mon dos, les laissant boucler, j’entrepris alors de me maquiller de façon discrète mais a faire sortir mes yeux bleus, faisant alors un regard charbonneux. Mon cœur s’emballait au fur et a mesure que je me préparais et c’était franchement atroce… Enfilant mes bottines j’entendis tout a coup frapper a ma porte. Haussant un sourcil en allant ouvrir je tombais alors sur mon frère. « Tu sors petite sœur ? » souriant en coin en fermant la porte derrière moi j’hochais lentement la tête avant de ranger plus ou moins mes fringues ayant passé ma soirée à chercher quoi mettre. « Hum, oui je rejoins Gaylwen pour la soirée… Et toi ? »
L’entendant rire sur le coup, haussant un sourcil je me tournais vers lui sans trop comprendre pourquoi il riait. « J’ai envie de dire, que je te couvre comme au bon vieux temps, mais finalement tu n’as plus besoin de moi hum. » Riant à mon tour en levant les yeux au ciel, je m’approchais de lui pour m’assoir alors sur ces cuisses le prenant dans mes bras en soupirant longuement. « Oui j’ai grandit, et cette fois personne ne me séparera de l’amour de ma vie… » soufflai-je doucement en le serrant un peu plus fortement frissonnant de bien être tout en guettant le réveil pour ne pas être en retard, notre dernier rendez vous avait été malheureusement chaotique. Tout cela bien évidemment à cause de mes parents, rien de plus rien de moins… Et surement aussi la mère de Gaylwen… Puisqu’apparemment qu’il était chez lui le matin ou j’étais allé le voir pour le prévenir, pour lui demander de m’aider… On se serait enfouit, on aurait trouvé une fac loin de Sydney et on aurait simplement fait notre vie… « Oui, personne… Tu devrais filer, avant que ton prince charmant ne te file entre les doigts…. »[/color] Riant doucement en me levant je pris mon petit sac à main avant de prendre mes clés et mon téléphone. « La première qui le touche je l’a défonce et je l’a tue… C’est mon homme… Mon mien… Je mords… » Soufflai-je doucement en riant quelque peu avant de prendre un petit gilet au cas ou il ferait bien trop frais. Mais je savais parfaitement que les bras de Gaylwen me suffiraient largement. Sortant de ma chambre je descendis rapidement les escaliers avant de sortir de la maison. Frissonnant longuement, regardant alors la voiture, je poussais un faible soupire avant de partir finalement à pied. J’avais l’impression que cette soirée… Serait notre soirée a nous, celle que nous aurions du faire il y a huit ans. Touchant mon collier ou le cœur se logeait plus ou moins au creux de ma poitrine. J’avais la boule au ventre a la gorge, j’avais peur, peur de ce qui allait se passer cette nuit… J’étais telle l’adolescente qui connaissait son premier amour, ce qui dans le fond était le cas… Une fois que je serais avec lui tout irait bien je le savais parfaitement…
Soufflant en marchant dans la nuit, entendant quelques animaux de la nuit faire du bruit, je pris une cigarette, sans pour autant l’allumer la portant à a bouche juste pour l’avoir. Je n’avais pas réellement bu depuis longtemps… Et j’essayais tant bien que mal de cesser de fumer pour Gaylwen, pour lui, mais au bout de quatre ans, on ne peut pas tout stopper aussi facilement… Mon cœur s’emballant lorsque je vis sa voiture garé vers le parc, je passais instinctivement ma langue sur mes lèvres avant de m’arrêter pour le chercher dans le parc. Le voyant au loin un frisson s’empara alors de moi. J’avais envie de courir, de lui sauter dessus, je voulais crier et hurler, je voulais lui montrer l’amour que j’avais pour lui. Mais ce n’était pas aussi facile. M’avançant doucement je me postais dans le noir avant de regarder l’heure. J’avais encore le temps… Il était réellement beau … Je me sentais bien à le regarder là, la luminosité de la lune l’éclairant et le rendant franchement beau. Marchant lentement sans faire de bruit, je contournai alors sa voiture voulant arriver par derrière. Sans faire de bruit je le regardai, mon cœur s’emballant violemment. Inspirant profondément, je glissais lentement mes mains sur son visage comme pour lui cacher les yeux avant de rire doucement d’un rire enfantin et jovial, avant de le lâcher pour venir en face de lui. « Bonsoir beau mâle, vous vous êtes perdu ? Besoin d’aide féminine ? » Soufflai-je doucement en mordillant mes lèvres avant de me coller a lui posant mes mains sur ses joues venant effleurer ses lèvres des miennes, gémissant faiblement, mon visage étant on ne peut plus fragile au vu de ma zone érogène. « Tu vas bien mon Than ? » murmurai-je doucement en plaquant très doucement mes lèvres sur les siennes l’embrassant alors dans un doux baiser, chaste, pur, innocent, tel deux adolescents. Me détachant de lui en posant alors mon sac au sol, je frissonnais longuement avant de me tourner pour regarder circulairement le parc. Des souvenirs me submergeaient de part et d’autre, des tonnes de souvenirs, c’était notre lieu à nous, notre jardin d’Eden, notre tout… Nous avions grandit ici… Les larmes remplissant mes yeux, je les fermais lentement en soupirant longuement. « C’est ici qu’on aurait dû fêter notre bac… Faire la fête, entre nous… Ce parc m’avait manqué… Tu y étais retourné toi depuis mon départ ? » Demandai-je doucement en me tournant vers lui, plongeant alors mon regard brillant de larme dans le sien totalement envoutant et ravageur.
Dernière édition par C. Shanae Livinghon le Mer 14 Sep - 13:45, édité 2 fois
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Mar 13 Sep - 21:57
« Shanae & Gaylwen »
Des mains douces se posèrent sur mes yeux sans que je ne m’y attende franchement. Je n’avais ni entendu ni détecté la moindre présence autour de moi, raison pour laquelle ma première réaction fut de me figer sur place. Mais bien vite, tous mes sens autre que la vu, se sont mit en alerte. Ce parfum appartenait à Cassie, je l’aurais reconnu entre mille. Tout comme la douceur de ses mains, ses longs doigts fins et j’en passe. Ca ne pouvait qu’être elle bien entendu. Le rire qui ne tarda pas à fuser et interrompre le silence de la nuit, m’amena un doux sourire aux coins des lèvres et me fit doucement soupirer de bien être. Sans mot dire, je tournais la tête vers elle lorsqu’elle se détacha de moi pour se placer face à moi. Souriant en coin, je plongeais mon regard dans le sien, la regardant amoureusement et tendrement sans pouvoir m’en empêcher tant il m’était plaisant de la regarder tout simplement et de l’avoir ainsi rien que pour moi. A cette seule idée, mon cœur s’emballa fortement. « Bonsoir beau mâle, vous vous êtes perdu ? Besoin d’aide féminine ? » Frissonnant doucement, je me passais lentement la langue entre les lèvres avant de baisser le regard sur son corps pour la détailler longuement. Déglutissant avec difficulté devant la vu de son corps qu’elle m’offrait avec cette petite robe outrageusement sexy, je soupirais faiblement d’envie en remontant le regard vers son visage, tout aussi beau et plaisant à regarder que le reste de sa petite personne. Et dire qu’elle était mienne … Oui mienne, pour le restant de ma vie. Ma petite amie, ma fiancée, ma femme, la femme de ma vie, mon âme sœur tout simplement. Je ne risquais pas de la laisser filer de sitôt. Plutôt mourir même, que d’accepter de la perdre ne serait-ce qu’une petite journée ou même moins. J’avais besoin d’elle tous les jours à venir, durant le restant de ma vie. C’était aussi simple que cela. « Hm … Non … Je n’ai besoin que de toi. Tu n’es pas une femme … Tu es tellement plus … Une déesse. Ma petite déesse qui me rend fou. » Soufflais-je doucement, frissonnant quelque peu lorsqu’elle se colla à moi et posa ses mains sur mes joues pour frôler à peine mes lèvres des siennes. Gémissant doucement de frustration, je mourrais d’envie de sentir ses lèvres contre les miennes et ma langue dans sa bouche. Au lieu de cela, je la laissais faire sans bouger, frissonnant simplement à son corps tout contre le mien, à son parfum qui m’envoutait et à ses lèvres qui caressaient à peine les miennes, dans une danse taquine et excitante.
« Tu vas bien mon Than ? » Frissonnant longuement, je laissais échapper un long soupir de contentement contre ses lèvres lorsqu’elle y déposa un long et fort baiser. « A merveille depuis que tu es là. Et toi ? » Demandais-je doucement en la suivant du regard lorsqu’elle se détacha doucement de moi. La regardant avec envie, j’attrapais sa main pour la ramener rapidement contre moi, plaquant plus franchement mes lèvres contre les siennes. Soupirant doucement d’envie, je penchais lentement le visage pour entrouvrir mes lèvres que je plaquais bien contre les siennes, glissant alors franchement ma langue dans sa bouche. Trouvant la sienne, je me mis à la caresser longuement, franchement, glissant alors une main dans ses cheveux pour plaquer son visage bien contre le mien, nos lèvres pressées avec force et à la perfection. Je glissais mon autre main sur ses reins pour plaquer son corps divin contre le mien, sa poitrine fermement collée à mon torse. Tremblant longuement de plaisir et de bien être, je relâchais ses cheveux pour enrouler mon bras autour de ses épaules, la serrant bien contre moi et la faisant lentement se pencher en arrière sous la puissance et l’insistance de mon baiser qui se fit franchement passionné et débridé, ma langue se mouvant bien dans sa bouche, contre la sienne. Le bruit provoqué par le baiser me fit gémir doucement et l’embrasser de plus bel. Je mis de longues minutes avant de trouver enfin le courage d’interrompre ce baiser tant il m’envoutait plus que de raison. Difficilement, je me redressais, l’entrainant avec moi et interrompant le baiser, laissant échapper un bref soupir de contentement en me reculant l’air de rien et lui adressant un regard coquin. « Je crevais d’envie de te dévorer la bouche … » Lâchais-je l’air de rien, souriant alors comme un gamin qui vient de faire un tour de manège dans lequel il rêvait justement de monter depuis tant de temps. Je ressentais plus ou moins les mêmes choses dans cette relation passionnelle et fusionnelle que je vivais avec Cassie. La joie, l’excitation incontrôlable et un putain de bonheur fou que bien des gens nous envieraient à n’en pas douter. C’était certain aux yeux de tout le monde … Notre couple était parfait. Du moins, il l’était lorsque personne ne se mettait entre nous. Et à présent que nous étions adultes, je doutais que quiconque ait ce pouvoir là sur nous. Et c’était ce qui était si plaisant. Car malgré tous ceux qui avaient voulus nous voir séparés, à présent nous étions à nouveau unis et ce, pour le restant de nos jours.
Regardant à nouveau Cassie, je la détaillais longuement du regard alors qu’elle regardait circulairement le parc dans lequel nous nous trouvions. Sans un mot, je la regardais sans pouvoir me lasser, admirant ce qu’elle était devenue. Elle avait toujours été belle. Mais en tant que femme elle était tout simplement … Fantasmagorique. Un corps tout en rondeur et finesse, un visage aux traits fins et délicats, des yeux d’nu bleu ensorcelant et une masse de cheveux bruns d’une douceur incomparable. Non aucun doute, elle était parfaite. Elle était ma femme parfaite, faite sur mesure pour moi et personne d’autre. Comment ne pas aimer pareille chose ? « C’est ici qu’on aurait dû fêter notre bac… Faire la fête, entre nous… Ce parc m’avait manqué… Tu y étais retourné toi depuis mon départ ? » Soupirant faiblement en voyant son regard briller de larmes, je m’approchais d’elle pour la prendre à nouveau dans mes bras avec douceur, posant sa joue contre mon épaule et la mienne contre ses cheveux. La berçant lentement, je caressais longuement et tendrement ses cheveux soyeux. « Je suis revenu une fois, quelques semaines après ton départ. Je pensais que d’une certaine manière ce serait un peu comme être avec toi, te retrouver. Mais ça m’a fais beaucoup plus de mal qu’autre chose d’être ici sans toi. Alors je ne suis plus jamais revenu. Sans parc sans toi, perd toute sa magie et tout son intérêt. » Soufflais-je doucement en enfouissant mon visage dans ses cheveux pour inspirer son odeur, sa douce odeur qui eut le don de m’apaiser, me détendre mais surtout m’apaiser quant au fait qu’elle était là, dans mes bras, son corps contre le mien tout simplement. Cassie et Gaylwen à nouveau réuni, dans leur parc, celui dans lequel ils avaient tout vécut. Les souvenirs étaient toujours là, en moi, dans chacune de mes pensées, parfaits et précis comme n’importe quel autre souvenir dans lesquels elle n’apparaissait pas. « Ma princesse … Est-ce que tu sais pourquoi je t’ai demandé de venir ? » Demandais-je doucement en gardant mon visage enfouit dans ses cheveux, sentant alors mon cœur s’emballer férocement devant ce que je m’apprêtais à faire, enfin. Joie et trac se mêlaient pour former un cocktail détonnant qui allait me faire craquer et exploser d’une minute à l’autre. C’était beaucoup trop pour mon pauvre cœur qui n’était plus habitué à ressentir autant de joie et de bonheur qu’en cet instant. J’allais enfin lui demander de façon officielle et avec bague à l’appuie, de m’épouser. J’allais lui demander d’être mienne pour le restant de nos vies. Je n’avais jamais eus le moindre doute quant au fait que c’était à ses côtés que je voulais me réveiller tous les matins, que c’était avec elle que je voulais partager mes repas et mes douches, dans ses bras que je voulais m’endormir et dormir toutes les nuits. A elle que je voulais faire l’amour tous les jours, toutes les nuits, plusieurs fois de suite sans pause ni répit. Juste du sexe amoureux, deux corps faits pour fusionner encore et encore. C’était elle que je voulais voir en robe blanche à mes côtés le jour J, elle que je voulais voir changer physiquement durant des grossesses que nous aurions nous-mêmes provoqué de part nos incessants corps à corps passionnés, amoureux et débridés. C’était elle la femme de ma vie et ça ne changerait jamais. A quoi bon attendre pour l’épouser ? Nous avions déjà perdu que trop de temps à cause de ces huit foutus années. Si nous n’avions pas été ainsi séparés, nous nous serions mariés durant nos études et nous aurions eus notre premier enfant tout de suite à la sortie de la fac. Au lieu de cela, nous étions à présent plus près des trente ans que des vingt et nous n’étions ni mariés ni parents. Mais ce n’était à présent plus qu’une question de temps …
✔ HUMEUR : Rêveuse ✔ EN JEUX : Pas pour le moment ✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre ✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Mer 14 Sep - 14:54
Than & Sissi
« Hm … Non … Je n’ai besoin que de toi. Tu n’es pas une femme … Tu es tellement plus … Une déesse. Ma petite déesse qui me rend fou. » Gémissant doucement en posant mes mains en coupe sur son visage je le détaillais longuement avant de déposer de doux baiser sur ses lèvres lui lançant alors un regard dévastateur, sauvage, coquin… Amoureux… j’essayais de le tuer avec un simple et unique regard et je savais que je le pouvais, je l’avais déjà fait… Au bout de quelques petites secondes souriant faiblement je donnais un faible coup de langue sur ses lèvres. « Ta petite Déesse pour toi mon Dieu… J’iame te rendre fou… Tu sais que j’ai mis une heure a choisir une tenue convenable ? Je n’ai pas tant changé que ça hum… » Soufflai-je en souvenir de l’époque ou l’on perdait du temps a choisir mes tenues… Je voulais toujours lui faire plaisir et m’habiller de façon a le tuer… Combien de fois s’était-il allongé sur le lit a me regarder défiler pour que je puisse trouver la bonne tenue ? Je ne les comptais plus… Souvenirs, souvenirs… Rapidement je lui demandai alors comment il allait, chose qui m’intéressait quand même… « A merveille depuis que tu es là. Et toi ? » Mordillant ma lèvre en déposant un doux baiser sur ses lèvres mon regard planté dans le sien, je caressais doucement sa joue du bout de mes doigts. « A merveille depuis que je t’ai rejoins dans ce parc… » Soufflai-je avant de me détacher de lui. Me tournant je sentis alors sa main s’emparer de la mienne me plaquant fermement contre lui. Sa bouche heurtant la mienne, je poussais un faible cri de plaisir l’embrassant alors franchement à mon tour. Me figeant en sentant sa main dans mes cheveux je lâchais un franc gémissement d’envie, mon corps se mettant alors a trembler comme jamais.
Sa main libre se posant sur mes reins me plaquant contre lui, je sentis ma poitrine s’écraser contre son torse, ceux-ci durcissant tant l’envie était présente. Mes jambes tremblantes, je crus mourir… Il était en train de me tuer, ses doigts dans mes cheveux me tuaient… Ma langue se mouvant contre la sienne, j’essayais au maximum de bien la presser contre sa petite langue si douce et délicieuse. Son bras passant a mes épaules pour me tenir fermement, comme s’il avait peur que je m’en aille, mon dos se cambra alors suivant le mouvement et la force qu’il mettait dans notre baiser. Tel un baiser de cinéma et voir mieux, j’agrippais enfin son haut en le tirant bien contre moi ayant qu’une envie... Le dévorer ! Se reculant au bout de quelques minutes, je cru mourir… Mourir, de plaisir mais aussi de frustration, je ne voulais pas rompre ce baiser, je voulais recommencer encore et encore ! Je voulais ne plus quitter sa langue, ses lèvres, son corps… « Je crevais d’envie de te dévorer la bouche … » Soufflant fortement ayant du mal a respirer tant ce baiser avait été dévastateur, je passais une main ans ses cheveux en ronronnant faiblement attrapant sa lèvre inférieure de mes dents pour la lui mordiller. « Bon sang chéri… Tes baisers m’avaient terriblement manqué… J’en veux encore et encore ce soir… » soufflai-je le corps totalement tremblant tant ce baiser m’avait tué. Regardant circulairement le parc, en poussant un faible soupire, je lui demandais alors s’il était déjà revenu ici sans moi, la ou… Nous aurions dû fêter notre bac il y a huit ans… « Je suis revenu une fois, quelques semaines après ton départ. Je pensais que d’une certaine manière ce serait un peu comme être avec toi, te retrouver. Mais ça m’a fais beaucoup plus de mal qu’autre chose d’être ici sans toi. Alors je ne suis plus jamais revenu. Sans parc sans toi, perd toute sa magie et tout son intérêt. »
Frissonnant sous ces paroles mon cœur se serra violemment. Je ne lui en voulais pas d’être venue sans moi, après tout ce n’était pas un endroit que pour nous deux ensemble… C’était pour tout le monde… Mais il était vrai que ça devait faire bizarre d’y venir seul… a tel point que quand je suis revenu il y a quelques jours avant même de rencontrer Gaylwen dans son bar je n’avais pas été au parc, j’avais même tout fait pour le contourner… Comment être capable d’aller là ou l’amour de votre vie et vous-même avez passés la quasi-totalité de votre temps ensemble ? Je me le demande bien… Je me souvenais encore de nos premières préliminaires ici… J’étais en train de boire avant qu’il ne me touche le visage l’air de rien… J’avais vraiment failli m’étrangler… Je me souvenais de l’eau que je lui avais jeté dessus et la course dans le parc… La course folle, les rires, les cries et ses bras se refermant sur ma taille et mon corps rencontrant l’herbe humide de la nuit… C’était venu naturellement nous n’avions pas encore beaucoup d’expérience et je pouvais retracer l’exacte parcours de nos corps pour se cacher dans les buissons en roulant dans l’herbe entre deux baisers, deux caresses, des fringues enlevés à la volé… Ses doigts glissant en moi, sa langue sur mes seins, ma main sur son membre… Je me souvenais de toute la soirée… Absolument de tout… « J’allais dire que pour toi ça avait peut être été moins dure car tu avais tous nos points de repères… alors que moi non… Mais en fait, pas du tout… au contraires nos points de repères t’ont surement plus détruits… Un jour je suis allée sur central park… Je me suis dis qu’en allant dans ce parc, j’aurais comme l’impression d’être avec toi… A la vérité, sa puait la pollution, les gens hurlés, il n’y avait pas ce calme plat, les bruits des vagues au loin, l’odeur de l’iode qui remonte lors du temps marin… Ce parc m’a atrocement manqué… On a grandit ici… » Murmurai-je doucement en poussant un faible soupire sentant son visage dans mes cheveux me retenant pour ne pas le tuer tellement je crevais de désir pour lui. Il savait pourtant que mon visage et mes cheveux étaient mes zones érogènes… Il s’en était toujours joué… « Ma princesse … Est-ce que tu sais pourquoi je t’ai demandé de venir ? » Frissonnant en l’entendant m’appeler ma princesse, mon cœur eut un raté, gémissant faiblement alors en le serrant contre moi. C’était on ne peut plus plaisant.
Dans le passé il m’appelait constamment de la sorte même devant les gens, on se figeait que les autres puissent trouver cela niais, tant que nous, nous étions heureux et que nous n’avions aucun soucis entre nous. Mais à la vérité, non je ne savais pas pourquoi il m’avait demandé de venir ici… surement pour nous remémorer le passer, pour essayer de trouver un moment a nous comme nous le faisions a l’époque quand l’on sortait en douce de par nos fenêtre pour se rejoindre et fricoter alors dans un buissons en riant doucement. Je me souvenais parfaitement de nos nuits passés sous une grosse couette, collé l’un à l’autre a regardé les étoiles, parler, s’embrasser se chauffer, faire de longues préliminaires, tout cela était paradis… Et j’aimais atrocement que l’on ait pu vivre cela… Une complicité sans faille, jusqu’à ce que mes parents détruisent tout… Passant une faible main dans ses cheveux encore toute émoustillée par ses caresses, me tuant plus que nécessaire, il savait parfaitement mes zones érogènes… Il n’avait pas pu oublier tout de même… « Hum… Je ne vais pas mentir… Non… Mais je suppose que tu voulais qu’on se retrouve là ou toute notre adolescence s’est déroulée ? La ou l’on s’est confié l’un a l’autre, rapproché et j’en passe. Cet endroit signifie tellement pour nous… C’est notre jardin d’Eden… » murmurai-je doucement en enfouissant a mon tour mon visage dans son cou inspirant alors son odeur avec envie et délice. Mordillant sa peau je me collais encore plus contre lui en posant mes mains dans son dos, le lui caressant longuement avant de le serrer franchement contre moi en poussant un faible cri mordant alors franchement son cou comme a l’époque ou nous nous mordions sans ménagement. Bordel j’étais totalement en manque de lui, de câlin d’amour de tout… Huit ans… c’est bien trop long… Vraiment trop long…Le poussant faiblement, le plaisir me rendant totalement folle, une de mes mains se glissant dans ses cheveux que je tirais avec force et envie je me mis sur la pointe des pieds en gémissant franchement ayant comme l’envie de lui couper le souffle tellement je voulais serrer fort. « Mon Than… Bon sang… On est enfin seuls… toi et moi… moi et toi… Enfin réuni, j’ai envie de hurler, de sauter de ne plus te lâcher… Jamais… »
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Sam 22 Oct - 13:01
« Shanae & Gaylwen »
Lorsque Cassie posa ses mains en coupe sur mon visage, je la laissai faire en lui lançant un regard franchement amoureux. Un doux gémissement s’échappa d’entre mes lèvres, à ses doux et lents baisers. Quant à son regard, il me fit longuement frémir et gémir une seconde fois, sans pouvoir me retenir. Elle me rendait complètement fou. Fou d’envie d’elle et de son corps et fou d’amour. Et plus encore ! J’entrouvris les lèvres à son coup de langue, soupirant doucement de bien être. « Ta petite Déesse pour toi mon Dieu… J’aime te rendre fou… Tu sais que j’ai mis une heure à choisir une tenue convenable ? Je n’ai pas tant changé que ça hum… » J’eus un léger rire amusé en baissant un long regard sur son corps, prenant bien mon temps pour détailler son corps et sa tenue du regard. L’on pouvait dire qu’elle était plus que parfaite. Elle était tout simplement divine, comme à son habitude. Et plus encore ! Quel homme sain d’esprit, demeurerait impassible devant pareille beauté ? Aucune ! « Hm hm … Ca me rappelle toutes les fois où tu t’es mise à essayer un nombre incalculable de tenues. Et à chaque fois je craquais et te foutais sur le lit pour redécouvrir ton corps. Au final, on sortait toujours en retard. » Soufflais-je d’une voix coquine, le regard brillant d’amusement et de désir. Notre passé commun était si beau et si parfait, jusqu’à une certaine date terrible, que les souvenirs en ressortaient magnifiques. Et depuis que nous nous étions retrouvés, nous prenions bien garde à créer de nouveaux souvenirs tous plus parfaits les uns que les autres. Des souvenirs que nous garderions bien précieusement tout au fil de notre vie. Le genre que l’on pourrait raconter à nos petits enfants, lorsque nous serions bien vieux mais toujours aussi amoureux. C’était là le genre de vie dont je rêvais avec ma Cassie. Et nous allions pouvoir la réaliser, après huit terribles années de torture insoutenable. Il était plus que temps, voulais-je dire ! Lorsque Cassie me demanda si j’allais bien, je ne pu que lui répondre que j’allais à merveille depuis son arrivée. C’était toujours ainsi ! Ca n’allait jamais mieux que lorsque la femme de ma vie se trouvait dans les parages ! « A merveille depuis que je t’ai rejoins dans ce parc… » Un doux rire s’échappa de mes lèvres alors que je la regardais amoureusement.
Je la laissai par la suite se détacher de moi, pour commencer à s’éloigner en regardant autour de moi. Sauf que j’étais frustré par son chaste baiser et avais le besoin de l’embrasser véritablement. Raison pour laquelle je l’attrapai par la main et l’attirai à moi pour la plaquer franchement contre mon corps. Sans perdre de temps, mes lèvres trouvèrent les siennes et s’y placèrent parfaitement de sorte à faire glisser ma langue dans sa bouche pour trouver et heurter inlassablement la sienne. Son cri de plaisir me fit lâcher un doux gémissement et je glissai une main dans ses cheveux, s’y engouffrant avec douceur et légèreté, pour plaquer davantage encore, nos deux visages déjà soudés dans un baiser des plus enflammés. Mon autre main se logea sur ses reins, pour plaquer son corps contre le mien, avec force. Je relâchai par la suite ses cheveux, pour enrouler mon bras autour de ses épaules et ainsi la serrer contre moi avec plus de force et retenir son corps contre le mien, pour ce baiser franchement passionné et enflammé. J’y mis tant de fougue, que je la fis pencher légèrement en arrière, l’embrassant plus encore, tel un désespéré retrouvant son oasis. Un très long moment plus tard, alors que les minutes s’étaient écoulées à une vitesse folle, je fini par la relâcher lentement en interrompant le baiser plus que parfait, que nous venions d’échanger. Le souffle court et précipité, je la regardai longuement, en soufflant simplement que j’avais eus terriblement envie de lui dévorer la bouche. Chose on ne peut plus vrai puisque dès son arrivée, je n’avais plus rêvé que de ça. Et son faible baiser m’avait encore plus donné l’envie de perdre les pédales. Je frissonnai doucement sous sa main qui se glissa dans mes cheveux. Cheveux qui se trouvaient être toujours trop court à son goût, très certainement. Il faudrait quelques semaines avant qu’ils soient d’une taille qui lui convienne mieux. Je lâchai un faible soupir de bien être, lorsqu’elle mordilla lentement ma lèvre. Cassie me demanda ensuite si j’étais revenu dans ce parc durant son absence. Ce parc qui était le notre, il fallait bien le dire ainsi. C’était ici que nous nous retrouvions le plus souvent, après sa chambre d’adolescente. Ici que nous n’avions pas à cacher notre amour fou et puissant. Ainsi, je lui soufflai que j’avais tenté de venir une fois en espérant la retrouver d’une certaine façon. Mais que cela avait été bien plus difficile et douloureux que prévu.
« J’allais dire que pour toi ça avait peut être été moins dur car tu avais tous nos points de repères… alors que moi non… Mais en fait, pas du tout… au contraires nos points de repères t’ont surement plus détruits… Un jour je suis allée sur central park… Je me suis dis qu’en allant dans ce parc, j’aurai comme l’impression d’être avec toi… A la vérité, ça puait la pollution, les gens hurlaient, il n’y avait pas ce calme plat, les bruits des vagues au loin, l’odeur de l’iode qui remonte lors du temps marin… Ce parc m’a atrocement manqué… On a grandit ici… » Souriant faiblement, je la regardai un long moment sans parler, en portant alors une main à sa gorge pour la caresser faiblement sans la quitter de mon regard franchement amoureux et fasciné. Fasciné par elle, par sa beauté, par sa voix, par sa présence … C’était comme de me retrouver face à un être mythique dont personne ne croyait l’existence possible. Et cet être m’appartenait corps et âme. Doucement, j’enfouis mon visage dans ses cheveux en tentant de ne pas trop les bouger par peur de l’exciter de trop, pourtant conscient que cela risquait bien d’arriver tant elle était vraiment sensible. Je pris de longues inspirations de son odeur pour m’en délecter. « Ce parc n’était qu’un fantôme de notre passé, sans toi. Et tous nos repères me faisaient un mal fou. J’avais l’impression de te voir de partout, d’entendre ta voix, tes rires. Parfois je m’attendais presque à te voir débarquer en riant et en te moquant de moi pour avoir cru que tu m’avais vraiment quitté … J’aurai pu quitter cette ville pour aller vivre ailleurs … Mais j’aurai eus l’impression de te quitter toi t de faire une croix sur notre passé. Et j’ai vraiment bien fais de ne pas partir et de subir en silence … » Soufflais-je d’une voix faible, ma voix totalement cassée par la douleur apportée par ces souvenirs qui arrivaient en rafale. Choisissant par la suite de changer radicalement de sujet pour ne pas m’appesantir sur la douleur des huit dernières années, je lui demandai si elle savait pourquoi je l’avais fais venir. Il était temps de faire officiellement ma demande en mariage. Nous étions, certes, fiancés depuis toujours. Mais là ce serait pleinement officiel. Nous étions deux adultes, grands, qui savaient ce qu’ils voulaient. Autant dire qu’il était plus que temps de montrer pleinement notre amour aux yeux de tous. Et il était temps d’accélérer les choses. Fiancés ce soir, faire l’amour cette nuit et nous marier dans les semaines à venir, pour concevoir enfin notre premier enfant. C’était aussi simple que cela, la seule chose que je voulais ! Et j’étais intimement convaincu que c’était justement tout ce que voulait ma Cassie, à présent que nous nous étions retrouvés. Je la vis réagir à mon surnom, sans attendre. Elle lâcha un doux gémissement en me serrant plus encore contre lui. Je n’ignorais pas combien ce surnom de princesse, lui faisait de l’effet et lui plaisait.
« Hum… Je ne vais pas mentir… Non… Mais je suppose que tu voulais qu’on se retrouve là ou toute notre adolescence s’est déroulée ? La ou l’on s’est confiés l’un a l’autre, rapprochés et j’en passe. Cet endroit signifie tellement pour nous… C’est notre jardin d’Eden… » J’eus un faible rire en constatant qu’elle n’avait aucune idée de la raison qui m’avait poussée à la faire venir ici. Certes j’avais choisi ce lieu pour toutes les raisons qu’elle venait de citer, et plus encore. Mais la véritable raison pour laquelle j’avais voulu la voir là … Elle était loin de s’en douter. Autant j’étais nerveux, autant j’étais tout de même ravi de pouvoir la surprendre à ce point. J’eus un faible gémissement de bien être, lorsqu’elle enfouit son visage dans mon cou et je la laissai faire en la serrant fermement contre moi. « C’est pour ça que j’ai choisi ce lieu pour nous retrouver ce soir, oui … » Soufflais-je doucement, l’air de rien, confirmant ses paroles, sans pour autant lui en dire davantage. La faire languir, j’aimais terriblement cela. De toute façon le résultat serait le même. J’allais la demander en mariage, d’une minute à l’autre ! « Mon Than… Bon sang… On est enfin seuls… toi et moi… moi et toi… Enfin réunis, j’ai envie de hurler, de sauter de ne plus te lâcher… Jamais… » J’eus un léger rire devant sa réaction, sa morsure dans mon cou, sa main qui tirait franchement mes cheveux, sa façon de me serrer, de parler, d’agir. Je laissai échapper un long soupir de bien être en la serrant contre moi avec force et mordillant lentement son cou. « Grr chérie t’es en train de me faire perdre la tête au point où je vais finir par en oublier ce pourquoi je t’ai demandé de venir ! » Lâchais-je en riant doucement. Depuis son retour fracassant dans ma vie, j’avais plus ris qu’en huit années passées sans elle, c’était dire ! Lentement, je posai mes mains sur sa taille pour la faire reculer quelque peu, détachant faiblement nos corps l’un de l’autre. « J’ai le droit de faire un truc qui va te faire hurler et sauter encore plus ? » Demandais-je l’air de rien en me reculant d’un pas avec lenteur, sans la quitter de mon regard insistant. Je glissai mes mains le long de ses bras, pour m’emparer tendrement de ses mains, finissant par les relâcher avec lenteur, sans la quitter un seul instant du regard. « J’espère que ton cœur s’est emballé parce que c’est le cas du mien … » Marmonnais-je en plissant le nez. Je lâchai un long soupir pour tenter de me donner une bonne dose de courage. Après quoi, je me baissai avec lenteur, pour placer un genou à terre en restant devant elle et toujours sans la quitter du regard. Je ne voulais strictement rien manquer de ses expressions, de ses regards, rien du tout. Mon cœur battait à mes tempes, faisant violemment et rapidement pulser le sang dans tout mon corps. Mon souffle s’était totalement coupé et pourtant, je glissai une main dans la poche de mon gilet, pour en sortir la boite qui contenait la bague de fiançailles que j’avais pris le soin de choisir et d’acheter. « Shanae Cassie Livinghon, je te demande officiellement, si tu veux devenir ma femme … Dans les plus brefs délais je précise. »Ajoutais-je en plissant vaguement le nez, comme pour ajouter une touche d’humour pour tenter de dissimuler le trac démesuré que je ressentais.
✔ HUMEUR : Rêveuse ✔ EN JEUX : Pas pour le moment ✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre ✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Dim 23 Oct - 11:00
Than & Sissi
« Hm hm … Ca me rappelle toutes les fois où tu t’es mise à essayer un nombre incalculable de tenues. Et à chaque fois je craquais et te foutais sur le lit pour redécouvrir ton corps. Au final, on sortait toujours en retard. » Entrouvrant la bouche en fermant les yeux, un frisson s’empara tout à coup de moi. Des images me revenaient, des tas d’images… Des flashes black de notre jeunesse, de notre adolescence… Je me souvenais parfaitement de la première fois où il avait craqué en me prenant dans les bras pour me jeter sur le lit. Cette fois-là fut très, très intense… Ses mains sur mon corps, ses lèvres parcourant ma peau dans une délicatesse hors norme, ses gémissements, nos corps totalement nus sans aucune honte l’un envers l’autre… Je me souvenais de cette soirée ou finalement nous n’étions même pas allé à la fête… Préférant rester dans mon lit au chaud… Il avait découvert mon corps, j’avais fait de même jusqu’à jouissance. Je me souvenais encore des râles de ma mère qu’elle l’avait trop souvent mes draps… Mais je n’y pouvais rien… Nous ne retenions pas notre plaisir avec Gaylwen et les draps subissaient les salissures sexuelles que nous laissions derrière nous après jouissance… Puis en grandissant au fur et a mesure, nous avons évolués… Prenant des douches longues, sensuelle, sexuelles… sans pour autant faire l’amour… Les préliminaires nous consumaient et nous allaient à la perfection, comme si dans le fond, nous avions voulu profiter un maximum de ce désir pour ne pas réellement craquer et passer à l’étape supérieur… nous avions simplement prévu de le faire le jour du bac… Et malheureusement mes parents nous en avaient empêchés… Mon cœur se serrant un faible sourire apparaissant sur mon visage, je plongeais mon regard dans le sien. « Than chéri… ça me donne envie… J’ai encore tous ces moments en tête… Tu te souviens de notre première douche ensemble ? Je crois qu’on a vidé le ballon d’eau chaude… Tu m’avais plaqué contre le mur pour te frotter à moi… quand j’y pense, je me demande comment on n’a pas craqué pour faire l’amour… » Murmurai-je doucement en caressant faiblement ces lèvres du bout de mes doigts en gémissant longuement. Dieu tout puissant, j’avais envie de le violer…
C’était plus fort que moi, le désir qu’il suscitait en moi était très, très puissant. Me détachant faiblement de lui, il ne perdit pas une seconde pour me rattraper et m’embrasser franchement, ce baiser étant franchement des plus plaisant. Me faisant carrément pencher en arrière sous un intense désir insoutenable. Mon corps étant en feu, ne voulant qu’une chose son corps, je cru décéder, il me fallait me retenir et ce n’était pas une chose aisée loin de là même… Rompant petit a petit le baiser, a bout de souffler je le regardais avec envie. Mon cœur ne s’en remettant pas, on se mit alors doucement à parler du parc, je lui demandais alors s’il était déjà venu, lui susurrant que j’avais déjà essayé d’imaginer notre parc a la place du central parc de Manhattan mais que malheureusement ça n’avait jamais été pareil… « Ce parc n’était qu’un fantôme de notre passé, sans toi. Et tous nos repères me faisaient un mal fou. J’avais l’impression de te voir de partout, d’entendre ta voix, tes rires. Parfois je m’attendais presque à te voir débarquer en riant et en te moquant de moi pour avoir cru que tu m’avais vraiment quitté … J’aurai pu quitter cette ville pour aller vivre ailleurs … Mais j’aurai eus l’impression de te quitter toi t de faire une croix sur notre passé. Et j’ai vraiment bien fais de ne pas partir et de subir en silence … » Fermant brièvement les yeux, déglutissant alors longuement, mon cœur eut comme un raté, le sentant alors souffrir lentement. Cette période de ma vie, huit longues années, fut une période horrible. J’en faisais encore des cauchemars, il m’arrivait clairement de me réveiller la nuit en sueur et de pleurer… Pleurer de voir à quel point mes parents avaient été con de me séparer de l’amour de ma vie, tout simplement parce qu’ils n’aimaient pas les parents de Gaylwen et car ils avaient peur qu’il devienne comme son père. Hors moi je savais qu’il ne le deviendrait jamais, il ne buvait pas une seule goutte d’alcool, et même aujourd’hui en bossant dans un bar il n’en buvait pas pour autant. C’était moi qui étais devenu comme son père. Boire avait été l’une de mes plus belles conneries. La dépression qui m’avait envie avait été affreuse et je m’étais plus ou moins réfugier là où je le pouvais. A savoir la bouteille. Et malgré les cures que m’avait fait prendre Ashelina au cours de ces quatre dernières années rien n’avait changé. Certes depuis mon retour ici j’avais promis à Gaylwen de ne plus boire une seule goutte d’alcool et je l’avais fait, mais je mangeais énormément et je faisais du sport pour compenser.
J’avais d’ailleurs pris un peu de poids mais pour le moment ça ne se voyait pas tant que cela. Passant faiblement ma main sur son visage, le lui caressant doucement, je déposais un doux baiser sur son front tout en gémissant longuement. « Mon amour… Je suis à présent de retour… Ce parc va redevenir notre et on n’aura plus à souffrir je te le promets ! Je m’en veux tellement… J’aurais dû faire plus d’effort pour rater cet avion… J’aurai dû partir en courant une fois dedans… Si tu savais comme je m’en veux, c’est de ma faute si toi et moi on a subit huit ans de dépression… Huit ans à pleurer, à se sentir vide… J’avais perdu ma moitié… Je ne veux plus te perdre, je ne survivrais pas une seconde fois… » Murmurai-je doucement la voix coupée par l’émotion. Je ne me sentais pas le courage de vivre à nouveau sans lui, je me demandais même comment j’avais fait pour vivre huit ans sans lui… Peut-être que le fait que sa mère m’ait tout simplement annoncé qu’il allait se marier m’avait fait réaliser qu’il ne m’aimait plus… Mais pourquoi lui m’affirmait qu’il n’avait jamais été marié ? Peut-être qu’il s’était éclipsé avant le moment T … Peut être qu’il avait réalisé que la seule avec qui il pouvait se marier c’était moi et pas une autre… Mais je ne voulais pas en parler maintenant… Me demandant si je savais pourquoi il m’avait demandé de venir ici, je lui fis comprendre que non, je ne le savais pas, pour moi c’était une soirée comme les autres enfin seul et non au bar, c’était juste lui et moi, moi et lui avec le parc. Ce parc était notre jardin d’Eden… « C’est pour ça que j’ai choisi ce lieu pour nous retrouver ce soir, oui … » souriant en coin en profitant un maximum de lui, je me collais bien à lui en tournant un vague regard circulaire autour de nous. Le parc était toujours là présent, il était notre, il l’avait toujours été en fait… Nous avions grandi ici, nous avions passés des moments inoubliables… C’était ici même que je lui avais appris que j’avais eu mes règles, c’est ici que nous révisions nos cours… C’est ici que tout avait plus ou moins débuté… Je me souvenais de ces soirées passés allongés sur l’herbe à parler de tout et de rien, enlacés à regarder les étoiles… Nous avions vécut une idylle on ne peut plus parfaite… Malheureusement brisé bien trop tôt à mon gout, mais l’essentiel soit que nous nous soyons retrouvés… J’avais eu l’idée d’entrer dans son bar et dans un sens ce n’était pas plus mal… J’avais bien fait ! J’étais vraiment heureuse pour le coup…
« C’est notre parc à nous… Tu sais ce qui serait bien ? Faire notre enfant ici… ça serait… Hum… Tellement… Je n’ai même pas les mots pour te dire à quel point ça serait parfait… J’en tremble et tout… » Murmurai-je doucement en déposant de doux baiser sur ses lèvres tremblant comme jamais en léchant faiblement ses lèvres du bout de ma petite langue. Enfouissant ma tête dans son cou, je me mis alors à lui mordiller lentement la peau, cherchant plus ou moins à le rendre fou, comme moi j’étais en train de me rendre folle. Inspirant longuement en glissant une main dans ses cheveux que je tirais faiblement alors qu’ils étaient encore trop court à mon gout, je sentis ses bras se serrer franchement contre moi et une morsure douce et légère dans mon cou alors que je lui fis remarquer que nous étions enfin là, seul et que c’était tout ce qui comptait réellement à mes yeux. « Grr chérie t’es en train de me faire perdre la tête au point où je vais finir par en oublier ce pourquoi je t’ai demandé de venir ! » Riant doucement en le voyant si colérique de façon bien entendu ironique, je cru mourir. C’était plaisant de retrouver l’amour de sa vie, cette complicité qui nous unissait… Oh oui… Pinçant mes lèvres, je lui fis un regard innocent l’air de rien. Ses mains se posant sur ma taille me reculant lentement de lui, je le laissais faire en haussant un sourcil. « J’ai le droit de faire un truc qui va te faire hurler et sauter encore plus ? » Plissant les yeux en raclant ma gorge, je penchais ma tête pour le détailler longuement. Ma main se posant sur sa joue la lui caressant faiblement, j’hochais alors lentement la tête. « J’aime te faire perdre la tête, je l’ai toujours aimé hum… Mais euh… Oui vas-y fait moi hurler et saute moi, euh fait moi sauter … »[/color] Lâchai-je l’air de rien pour le taquiner en lui faisant un petit clin d’œil encore plus innocent. J’avais toujours cette complicité entre nous, elle avait toujours était de rigueur entre nous. Attrapant mes mains avant de les relâcher aussitôt, je compris plus ou moins que quelques choses le tracassé… Quoi ? Je n’en savais rien et c’était un peu intriguant.
« J’espère que ton cœur s’est emballé parce que c’est le cas du mien … » Mon cœur s’emballant violemment, je compris qu’il allait se passer quelque chose… Qu’allait-il faire, tout était flou dans ma tête, j’avais l’impression de savoir, de connaitre la réponse mais je n’arrivais pas a trouver quoi… Mon corps me laissait dans cette lutte acharnée sans que je ne comprenne ce qui allait se passer. Ayant du mal a respirer, un frisson s’empara alors de moi. J’avais l’impression de crever, impossible de répondre, je le vis se mettre sur un genou. Brutalement, je compris alors ce qu’il était en train de faire. Ma bouche s’entrouvrant, poussant un gémissement, je portais mes mains à ma bouche. Mes yeux se remplissant de larmes, j’avais envie de pleurer. Pas de tristesse, non loin de là ! Mais d’amour, de joie, d’émotion, car nous attendions cela depuis tellement d’années… On aurait dû s’épouser depuis huit ans… J’aurais voulu me marier avec lui après notre bac et fondé notre famille une fois prête… Mais il en avait été autrement à cause de nos parents… Mon cœur ayant des raté immense, je scrutais le moindre de ses gestes, le voyant plonger sa main dans son gilet en ressortant alors une boite. Mes jambes tremblantes, je me demandais combien de temps j’allais tenir. Je ne sentais plus rien, j’étais dans un autre monde… « Shanae Cassie Livinghon, je te demande officiellement, si tu veux devenir ma femme … Dans les plus brefs délais je précise. » Serrant encore plus les mains sur ma bouche, les larmes coulant à présent sur mes joues, mon regard totalement amoureux et envieux, je sautillais sur place ma gorge totalement nouée. Il venait de le faire, il venait de me demander en mariage dans notre parc ! Il venait d’officialiser enfin notre relation. Essuyant rapidement mes larmes d’un coup de revers de la main j’entrouvris la bouche, lâchant un faible gémissement. J’étais totalement émue, j’étais euphorique, j’étais dans notre bulle, tout simplement… Me laissant tomber a genoux pour être à sa hauteur, je fixais la boite contenant la bague avant de relever le regard vers lui. Mes mains glacées par l’émotion et le trac se posèrent sur ses joues, mes pouces caressant ses lèvres. « Gaylwen Jonathan Copeland, j’accepte d’être ta femme dans les plus brefs délais… Je te veux… » soufflai-je doucement en déposant un doux baiser sur ses lèvres avant de le pousser franchement pour rouler sur l’herber en riant doucement. Nous étions…. Fiancés ? Ok, nous l’étions déjà dans nos cœurs mais là… Là nous allions nous marier dans peu de temps ! C’était enfin vrai ! Officiel ! Roulant sur l’herbe, je le plaquais contre le sol en m’allongeant à moitié sur lui. « Demain on va à l’église ! On menace le gentil curé de nous marier dans le mois ! Et s’il ne veut pas on le flagelle ! On a trop attendu ! Je veux porter ton nom… Être madame Shanae Cassie Copeland… Je t’aime tellement Than… Je suis dingue de toi… Totalement dingue… » murmurai-je doucement en déposant de faible baiser sur ses lèvres avant de me reculer pour m’assoir sur l’herbe. « Perd pas la bague hein ! Et j’espère que tu ne t’es pas ruiné pour moi mon amour… » Soufflai-je en lui lançant un regard attendri.
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Jeu 3 Nov - 16:46
« Shanae & Gaylwen »
Discuter de notre passé commun, avec ma Cassie, c’était clairement une chose que j’aimais. Evidemment, nous évitions de plus en plus la douleur que nous avions tous les deux ressentis durant notre trop longue séparation. Cela en revanche, nous ne le supportions vraiment pas et préférions passer sur ce détail que nous jugerions totalement insignifiant d’ici à quelques années. Il nous fallait simplement le temps de passer là-dessus et l’oublier au maximum. A l’instant présent, alors que j’étais sur le point de la demander en mariage, je mentionnai les soirées durant lesquelles elle avait mit un temps fou à trouver des tenues à porter pour sortir, avant que je ne craque devant ce petit manège, pour la plaquer sur le lit et redécouvrir inlassablement ce corps divinement parfait et clairement fait pour moi, pour se loger contre mon propre corps. « Than chéri… ça me donne envie… J’ai encore tous ces moments en tête… Tu te souviens de notre première douche ensemble ? Je crois qu’on a vidé le ballon d’eau chaude… Tu m’avais plaqué contre le mur pour te frotter à moi… quand j’y pense, je me demande comment on n’a pas craqué pour faire l’amour… » Je frissonnai longuement en la regardant avec envie, sans pouvoir m’en empêcher, luttant pour ne pas craquer aussi rapidement. Si je n’avais pas prévu de la demander en mariage ce soir là, il était certain que j’aurai craqué et lui aurai fait l’amour sans tarder. Mais je devais me retenir encore un peu et le ferai. Après tout, j’étais parvenu à ne pas lui faire l’amour alors qu’à une époque, nous faisions des tas et des tas de préliminaires. Et depuis son retour, j’étais capable de me retenir alors je pouvais bien continuer encore un tout petit peu non ? J’étais sans doute plus fort que ce que je pensais, dans le fond. Je frissonnai quelque peu en sentant ses doigts sur mes lèvres, les entrouvrant à peine en réponse au désir que je ressentais pour elle, sans pouvoir m’en empêcher. « Hmpf comment oublier ? J’adorais te prendre par surprise. Enfin prendre … Façon de parler ! » Soufflais-je en riant quelque peu et lui adressant un regard coquin et taquin. J’aimais la taquiner sur ce plan là, c’était presque malgré moi. Façon de nous chauffer l’un et l’autre, encore et encore. Comment ne pas aimer d’ailleurs, alors que nous nous aimions véritablement et avions envie l’un de l’autre comme pas permit ? « On est restés très très longtemps dans cette douche. C’était … Jouissif ! » Ajoutais-je doucement en frissonnant franchement d’envie à ce souvenir, cette fois ci. Dieu que j’avais envie d’elle. C’était presque trop à vrai dire ! Tant d’ailleurs, que je craquai à moitié en la regardant, finissant par l’embrasser franchement sans pouvoir m’en empêcher. Cela faisait bien trop longtemps à mon goût, que je rêvais de l’embrasser véritablement, comme à l’époque. Sauf que depuis son retour, j’avais tendance à mettre une certaine distance physique entre nous, parfaitement conscient que je risquais de craquer si je l’embrassais de trop.
Après un long et franc baiser passionné, je finis par la relâcher avec lenteur, le souffle encore court et précipité devant la fougue de ce baiser. Nous parlâmes alors de ce parc dans lequel je lui avais demandé de me retrouver et dans lequel nous avions tant de souvenirs tous les deux. Je lui fis donc remarquer que j’avais tenté une seule fois de revenir en son absence mais que cela était bien plus douloureux qu’autre chose, finalement. J’ajoutais par la suite que j’aurai pu quitter cette ville devant la douleur que c’était de rester là où nous avions tant de souvenirs mais que j’en étais parfaitement incapable d’en un même temps, devant la sensation que cela aurait été de la laisser tomber définitivement. Et il était évident qu’il s’agissait d’une chose que je n’aurai jamais pu supporter. Même en sachant que j’avais pourtant toujours cru qu’elle m’avait elle-même plaqué en partant de la sorte du jour au lendemain, sans prévenir. Parler de cette période, était véritablement douloureuse et j’eus bien du mal à le lui cacher. Même s’il était évident que je ne voulais en rien la blesser ou la faire souffrir. Je ne cherchais pas à me venger d’elle ou quoi que ce soit. Dans notre relation amoureuse, nous n’étions pas de la sorte l’un avec l’autre. C’était évident. L’amour fou que nous avions l’un pour l’autre, était tel, que lorsque l’un souffrait, l’autre souffrait aussi. Elle déposa un lent baise sur mon front, qui me fit quelque peu frissonner de bien être. « Mon amour… Je suis à présent de retour… Ce parc va redevenir notre et on n’aura plus à souffrir je te le promets ! Je m’en veux tellement… J’aurais dû faire plus d’effort pour rater cet avion… J’aurai dû partir en courant une fois dedans… Si tu savais comme je m’en veux, c’est de ma faute si toi et moi on a subit huit ans de dépression… Huit ans à pleurer, à se sentir vide… J’avais perdu ma moitié… Je ne veux plus te perdre, je ne survivrai pas une seconde fois… » Je pris une moue boudeuse devant ses paroles, faisant quelque peu ressortir ma lèvre inférieure en posant mes avant bras sur ses épaules pour la garder contre moi sans la quitter du regard. Si j’aurai aimé l’entendre me dire ce genre de chose le jour de son retour, dans mon bar, je n’étais pas franchement heureux d’entendre ça maintenant. L’entendre se jeter les torts dessus, ne me faisait pas l’effet que j’aurai aimé. Ca me faisait plus de mal que de bien à vrai dire. Nous n’étions coupables ni l’un ni l’autre puisque tout était de la faute de ses parents qui ne m’avaient jamais aimé, persuadés que je finirai alcoolique comme mon père. Et ils avaient eut clairement tort, l’un comme l’autre. J’étai certes le propriétaire d’un bar mais ça ne faisait pas de moi un alcoolique, de près ou de loin. « Mon amour s’il te plait tais toi. Je ne veux plus t’entendre prendre tous les torts sur toi. Et moi j’aurai pas du imaginer une seule seconde que tu aies pu profiter d’une telle occasion, pour me quitter ou autre connerie du genre. Et j’aurai du bosser pour me payer un billet d’avion et trouver le moyen de te retrouver. Mais oui c’est terminé tout ça. On ne sera plus jamais séparés et on ne souffrira plus. Au contraire, on sera même foutrement heureux. » Soufflais-je doucement en l’attirant un peu plus contre moi pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres, du bout des miennes.
Par la suite, je lui demandai l’air de rien, si elle savait pourquoi je l’avais faite venir ici précisément. Elle mentionna le fait qu’il s’agissait de Notre lieu et je ne pu que confirmer. C’était pour cette raison que je voulais la demander en mariage ici, évidemment. Mais je ne voulais pas lui apprendre de la sorte, que je comptais l’épouser. En effet, je voulais plutôt qu’elle l’apprenne par surprise, au moment même de ma demande. Je voulais lui faire la surprise, bien conscient qu’elle allait forcément adorer cela. « C’est notre parc à nous… Tu sais ce qui serait bien ? Faire notre enfant ici… ça serait… Hum… Tellement… Je n’ai même pas les mots pour te dire à quel point ça serait parfait… J’en tremble et tout… » J’eus un léger sourire en coin en songeant que ses envies étaient clairement semblables aux miennes. La demander en mariage ici, faire notre enfant ici … Bref, ce parc était vraiment très important pour nous deux, de la même façon. Et c’était vraiment plaisant ça ! Ce n’était qu’un détail parmi tant d’autres mais ça montrait bien que nous étions fais l’un pour l’autre, même dans ce genre de petits détails. « Hm on va faire les choses les plus importantes de nos vies, dans ce parc. C’est notre parc ! » Soufflais-je doucement en la laissant déposer de lents baisers sur mes lèvres avant d’y glisser faiblement la pointe de sa langue. J’entrouvris légèrement les lèvres en frissonnant longuement, sans la quitter du regard. Elle enfouit ensuite son visage dans mon cou pour me mordiller lentement la peau et je ne pus m’empêcher de lâcher un léger gémissement sous cette excitante torture. Je la pris dans mes bras pour la serrer contre moi avec force, sentant alors l’une de ses mains se glisser dans mes cheveux pour les tirer quelque peu. Je plissai le nez en songeant qu’elle avait toujours aimé que je garde une certaine longueur pour qu’elle puisse y enfouir ses mains et les tirer. « Je te promet de les laisser pousser. » Soufflais-je d’une voix caressante en souriant de bien être. A sa morsure, je me forçais à me sortir de ma torpeur en lui faisant remarquer d’une voix faussement énervée, qu’elle allait me faire oublier ce pourquoi je l’avais fais venir ici, si elle continuait de la sorte. Lentement, je posai mes mains sur sa taille pour la repousser en douceur, détachant son corps trop tentant, du mien. L’air de rien, je lui demandais alors si je pouvais faire une chose qui allait forcément la combler de joie comme pas permit. Elle posa sa main sur ma joue en douceur et je penchai légèrement la tête pour sentir un peu plus sa caresse, fermant les yeux en soupirant longuement de bien être.
« J’aime te faire perdre la tête, je l’ai toujours aimé hum… Mais euh… Oui vas-y fait moi hurler et saute moi, euh fait moi sauter … » Je fis mine de grogner doucement entre mes dents, devant ses paroles. « Ca c’est la suite du programme. Si tu es sage … » Soufflais-je d’une voix douce et caressante, en glissant une main sur son décolleté, la faisant descendre sur l’un de ses seins que j’empoignai en douceur avant de le relâcher l’air de rien, sans la quitter un seul instant du regard, pour constater la moindre de ses réactions. Lentement, je pris ses mains des miennes avant de les relâcher, réfléchissant à mille à l’heure pour tenter de savoir comment j’allais m’y prendre pour la demander enfin en mariage, pour de vrai. C’était plus compliqué que ce à quoi je m’étais attendu, je devais bien le reconnaître. Je ne la quittai pas un seul instant du regard, tentant de voir la moindre de ses réactions. Alors, je me laissais tomber avec lenteur au sol, pour y déposer un genou. Mes intentions étaient forcément plus claires tout à coup. Je la regardais sans broncher tandis qu’elle entrouvrait les lèvres comme totalement sous le choc, y portant alors une main, les yeux se remplissant de larmes sans attendre. Lentement, je sortis la boite contenant le solitaire, de mon gilet, sans la quitter un seul instant du regard. Je ne voulais pas manquer ses petites expressions qui montraient combien elle était heureuse et émue par ma demande. Prenant mon courage à deux mains, je lui fis enfin ma demande sans trop tarder, regardant les larmes couler sur ses joues. Je la regardai se mettre à genoux devant moi, pour être à ma hauteur, en souriant faiblement en coin. Elle posa alors ses mains glacées sur mes joues et je la regardais amoureusement. « Gaylwen Jonathan Copeland, j’accepte d’être ta femme dans les plus brefs délais… Je te veux… » J’eus un franc sourire émerveillé en la regardant amoureusement, avant de sursauter lorsqu’elle se jeta sur moi pour rouler au sol dans mes bras. Je la laissai faire en gémissant de bien être et enroulant fortement mes bras autour de son corps. « Ma Cassie, mon amour, ma fiancée. » Soufflais-je doucement en gémissant fortement de bien être tant j’étais de plus en plus heureux, grâce à elle. « Demain on va à l’église ! On menace le gentil curé de nous marier dans le mois ! Et s’il ne veut pas on le flagelle ! On a trop attendu ! Je veux porter ton nom… Être madame Shanae Cassie Copeland… Je t’aime tellement Than… Je suis dingue de toi… Totalement dingue… » Je ris franchement en lui adressant un regard on ne peut plus amoureux et émerveillé. J’aimais la voir aussi pressée que moi. Cela me rendait carrément dingue et plus encore ! « Hm le plus tôt possible oui. De toute façon on n’aura pas des masses d’invités alors on n’a pas à attendre trop longtemps pour tout préparer. » Dis-je doucement en la regardant amoureusement et glissant une main dans ses cheveux pour presser son visage contre le mien en l’attirant à moi pour l’embrasser avec tendresse et lenteur. Je lâchai un bref grognement de dépit lorsqu’elle se redressa en se détachant de moi, pour s’asseoir à mes côtés. Je tournai le regard vers elle en plaçant un bras sous ma nuque, la détaillant du regard avec amour. « Perd pas la bague hein ! Et j’espère que tu ne t’es pas ruiné pour moi mon amour… » Cette fois, je lâchai un franc rire amusé en me redressant pour me placer à genoux devant elle, attrapant sa main gauche que j’attirai à mes lèvres pour y déposer un tendre baiser. « J’avais pas prévu que tu me sautes comme ça dessus mais normalement l’homme qui fait la demande, doit passer l’alliance à l’annulaire de sa fiancée. Enfin il me semble hm ! Je ne suis pas un habitué de la chose. Je n’ai fais que deux demandes dans ma vie. Et j’étais vachement jeune à la première demande. Difficile d’acheter une bague alors. Quoi que j’aurai pu trouver une solution. Genre … Te passer une capsule de cannette au doigt ? » Demandais-je en lui adressant un regard taquin, avant de récupérer le solitaire dans la boite, pour le lui glisser au doigt avec lenteur. Une fois là, je gardai sa main dans la mienne en relevant le regard à son visage, un franc sourire aux lèvres. « Cette fois tout le monde saura que tu es prise et bien prise ! » Soufflais-je doucement en me penchant pour l’embrasser lentement. Lâchant un bref gémissement, je la repoussais avec lenteur pour l’allonger au sol, sans cesser de l’embrasser. « Faut vraiment qu’on passe à la seconde partie du programme. Au risque de te surprendre, je serai pas capable d’attendre le mariage pour te faire l’amour. » Soufflais-je d’une voix ironique en lui adressant un regard franchement coquin. Je ne pu m’empêcher de l’embrasser plus sauvagement sous un afflux important de désir, glissant alors une main sur sa cuisse que je caressai avec lenteur. « Faut qu’on file derrière le bosquet. J’ai apporté une couverture. Cette nuit est la notre … » Soufflais-je contre ses lèvres avant de glisser entre, ma langue, pour trouver la sienne et la caresser avec insistance.
✔ HUMEUR : Rêveuse ✔ EN JEUX : Pas pour le moment ✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre ✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Mar 8 Nov - 23:21
Than & Sissi
« Hmpf comment oublier ? J’adorais te prendre par surprise. Enfin prendre … Façon de parler ! » Gémissant faiblement, je lui lançais un regard coquin en le détaillant longuement de bas en haut. J’avais encore les images de cette foutue douche en moi. Autant dire que je mourrais intérieurement… « On est restés très très longtemps dans cette douche. C’était … Jouissif ! » Grognant lentement je me collais à lui en le prenant franchement dans mes bras. « Cette douche… Fut la meilleure de ma vie… Mon dieu… Les frottements… Nos jouissances… Nos cris retenus… Je me souviens encore de ta main plaquée sur ma bouche pour ne pas que j’hurle trop fort… Gaylwen… Va falloir qu’on se rattrape en douche aussi… » Murmurai-je doucement l’air de rien en tremblant comme une feuille sous le désir qui m’envahissait de plus en plus. M’embrassant franchement comme dans les films, voire mieux ! Non c’était même beaucoup mieux, me faisant pencher en arrière, mon souffle totalement coupé, je l’embrassais à mon tour répondant à cette grande envie, avant qu’il ne rompe doucement le baiser. Parlant alors doucement de ce parc, j’en vins bizarrement a parler de Manhattan du fait que j’avais voulu y aller comme pour retrouver une part de ce parc. Chose idiote, rien ne pouvait le remplacer… J’en vins alors à parler de ces huit ans de séparation… Une horreur. J’en vins même à dire que tout était de ma faute, j’aurais dû trouver un moyen de rater ce foutu avion… J’aurais vraiment du… Le voyant faire une mine boudeuse, sa lèvre inférieure ressortant, je passais instinctivement ma langue sur mes lèvres en me sentant partir en vrille. Ses avants bras sur mes épaules, me rapprochant de lui, je posais mes mains sur sa taille en frissonnant longuement de bien-être. « Mon amour s’il te plait tais toi. Je ne veux plus t’entendre prendre tous les torts sur toi. Et moi je n’aurai pas du imaginer une seule seconde que tu aies pu profiter d’une telle occasion, pour me quitter ou autre connerie du genre. Et j’aurai du bosser pour me payer un billet d’avion et trouver le moyen de te retrouver. Mais oui c’est terminé tout ça. On ne sera plus jamais séparés et on ne souffrira plus. Au contraire, on sera même foutrement heureux. »
Lui lançant un regard attristé, je le laissais me coller à lui ses lèvres rencontrant alors les miennes avec délicatesse et envie. Parler de tout cela me faisait encore mal, la blessure était toujours belle et bien présente… Posant lentement ma main sur sa joue, je fermais les yeux en frissonnant lentement. « Bébé… La blessure est profonde mais un jour elle disparaitra… J’en suis sûre… Il faut vraiment qu’on arrête d’en parler…Pour le moment. Ça me rend dépressive… » Soufflai-je doucement en retirant doucement ma main de sur son visage lui souriant faiblement sans le quitter du regard. Peu de temps après, il me demanda si je savais pourquoi il m’avait fait venir ici… C’était notre parc et nous n’étions pas venus depuis plus de huit ans… Autant dire longtemps… Je ne pus m’empêcher de répondre que ce qui serait bien, serait que l’on fasse nos enfants ici… Oui là ou tout à réellement commencé… « Hm on va faire les choses les plus importantes de nos vies, dans ce parc. C’est notre parc ! » pinçant mes lèvres, je tournais un vague regard circulaire sur tout le parc avant de pousser un long et lent soupire. Ce parc c’était bel et bien le nôtre, on y avait grandit, on y avait fait les cent coups… Je ne pourrais jamais l’oublier, et j’espérais de tout cœur que nos enfants pourraient eux aussi passer des moments dans ce parc. « Notre parc… Qui sait, nos enfants l’appelleront peut être aussi notre parc… » Murmurai-je doucement en mordillant mes lèvres m’approchant alors de lui pour l’embrasser, glissant mon visage dans son cou, une main dans ses cheveux cherchant a les tirer comme je pouvais, vu qu’ils étaient bien trop court… « Je te promet de les laisser pousser. » Riant doucement je donnais un franc coup de langue sur son cou avant de me redresser l’air de rien. « Merci mon ange… » dis-je en riant doucement avant de venir le mordre dans le cou, gémissant franchement de plaisir l’entendant me dire que j’allais lui faire oublier le pourquoi de sa venue… J’aimais lui faire perdre la tête et ce n’était pas nouveau… Posant ses mains sur ma taille me repoussant doucement, je posais ma main sur sa joue la lui caressant en disant que j’aimais donc lui faire perdre la tête et qu’il avait intérêt à me faire hurler et me sauter… Bien évidemment je me rattraper en disant me faire sauter de joie… Puisque ce qu’il avait a faire aller me rendre heureuse.
« Ca c’est la suite du programme. Si tu es sage … » Entrouvrant la bouche, en penchant la tête, je le regardais longuement avant de me figer franchement. Sa main passant sur mon décolleté, je le sentis la baisser franchement. Déglutissant avec difficulté, je baissais vivement le regard pour voir sa main s’emparer de l’un de mes seins, le massant lentement et franchement. Ma poitrine durcissant sur le coup, je poussais un faible soupire, en fermant alors les yeux. Ma tête se penchant en arrière, j’essayais de me contrôler pour ne pas le pousser à même le sol et le violer sans aucun remord. « J’ai toujours été sage… Je mérite amplement les caresses… Au pire si je ne suis pas sage, tu caresseras mes fesses sous une position dominante ! » Lâchai-je l’air de rien en sous entendant une levrette, ni plus ou moins. Peu de temps après, il prit mes mains, les serrant doucement. Mon cœur s’emballant j’avais comme ce pressentiment qu’il allait faire quelque chose qui allait à tout jamais changer nos vies. Le voyant se mettre à genoux, je portais lentement mes mains sur ma bouche. J’avais imaginé cette scène à multiples reprises, constamment tous les jours… Me demandant alors en mariage, je me laissais tomber à genoux face à lui étant alors a présent plus ou moins à sa hauteur. Pleurant de joies, j’annonçais un oui, oui je voulais être sa femme et dans les plus brefs délais ! Me jetant sur lui roulant alors dans l’herbe je l’embrassais franchement sans aucune retenue, ne voulant pas me retenir de toute façon… C’était littéralement impossible… Posant mes mains glacées sur son visage, je lui murmurais alors que je l’aimais, oui, j’étais folle de lui, je ne pouvais que l’être… C’était lui l’homme de ma vie… Et nous étions à présent fiancés… « Ma Cassie, mon amour, ma fiancée. » Le serrant de plus en plus contre moi, j’enfouissais lentement mon visage dans son cou, déposant alors de doux baiser humides sur son cou, léchant lentement sa peau. J’étais au paradis, oui c’était ça. On m’avait enlevé tout à coup et je n’étais plus sur terre, j’étais ailleurs dans un autre monde avec l’homme, l’amour de ma vie. Autant dire que j’étais pour ! Souriant en coin, je glissais une main sur son visage le lui griffant lentement mon corps se mouvant contre le sien, dans un espoir infime de le rendre fou.
« Je t’aime Gaylwen… Je t’aime depuis le premier jour où je t’ai vu… » soufflai-je doucement en frissonnant longuement me rappelant aisément de chacun de nos moments… De cette journée à la maternelle ou alors il m’avait demandé si je voulais bien être sa fiancée… Je me souvenais de tout, de nos regards de nos gestes, de nos paris, de nos jalousies… De notre premier baiser de tout… Peu de temps après, je lui fis alors remarquer que nous irions menacer le gentil petit curé du quartier pour que l’on puisse se marier assez rapidement… Je voulais être sa femme ! Oh que oui… « Hm le plus tôt possible oui. De toute façon on n’aura pas des masses d’invités alors on n’a pas à attendre trop longtemps pour tout préparer. » Inspirant profondément, je me figeais en sentant sa main dans mes cheveux, mon dos s’arquant sous l’afflux de plaisir. Zone extrêmement sensible, je lâchais un bref gémissement de plaisir en serrant mes mains sur ses épaules essayant de me contenir un minimum. C’était tout de même dur, je devais l’avouer, dès que l’on me touchait les cheveux je partais en vrille… J’étais même obligé de me couper les cheveux et de me faire les couleurs… « Personnellement j’aurais que deux invités… Mon frère et Ashelina ! Le compte est vite fait… » Murmurai-je doucement en souriant en coin avant de déposer un doux baiser sur ses lèvres si tentante et dévastatrice. Me relevant d’un coup, pour m’assoir face à lui, je le regardais longuement en lui demandant à ce qu’il ne perde pas la bague ! D’une se serait atrocement con… Et deux il avait dû se ruiner pour moi, chose qui avait tendance à me mettre mal à l’aise, moi qui était pauvre et n’avait pas de sous… Le voyant se redresser et se mettre à genoux face à moi, je le laissais faire plongeant mon regard azur dans le sien tout aussi azur. On aurait pu croire à un frère et une sœur, mais non et encore heureux ! Attrapant ma main gauche la portant à ses lèvres il déposa un doux baiser, créant en moins une flopé de frissons on ne peut plus terrifiant. « J’avais pas prévu que tu me sautes comme ça dessus mais normalement l’homme qui fait la demande, doit passer l’alliance à l’annulaire de sa fiancée. Enfin il me semble hm ! Je ne suis pas un habitué de la chose. Je n’ai fait que deux demandes dans ma vie. Et j’étais vachement jeune à la première demande. Difficile d’acheter une bague alors. Quoi que j’aurai pu trouver une solution. Genre … Te passer une capsule de cannette au doigt ? »
Riant doucement à ce souvenir, mon rire ce coupa net lorsqu’il prit ma main gauche dans la sienne. Me mettant à trembler en le voyant faire, j’entrouvris la bouche les larmes montant rapidement aux yeux. C’était plaisant atrocement même, de le voir faire. Mordillant mes lèvres en sentant alors la bague passer le long de mon doigt, mon cœur s’emballa violemment fixant la bague avant de relever le regard vers lui, souriant longuement et de façon amoureuse. « Cette fois tout le monde saura que tu es prise et bien prise ! » hochant doucement la tête, j’avais la gorge nouée, nouée par l’émotion, le trac, par tout. Ce moment j’en rêvais depuis toute petite, j’avais toujours imaginé la demande dans le parc et aujourd’hui il venait de le faire. Comment ne pas être heureuse ? Comment ne pas aimer ? Il faudrait être folle. Je pouvais parfaitement comprendre que certaines personnes ne puissent pas comprendre l’amour que l’on se portait lui et moi… Mais c’était ainsi, depuis tout petit on s’aimait et ce n’était pas prêt de changer. On s’était donné nos cœurs, à la vie à la mort, l’un sans l’autre on se consume mourant à petit feu… « Than…Tu rigoles mais une capsule de coca m’aurait rendu heureuse et fière ! tout ce qui vient de toi ne peut que me rendre heureuse… » Murmurai-je doucement en baissant mon regard sur ma main, clignant plusieurs fois des yeux. « J’ai envie de pleurer… On est enfin officiellement fiancé mon amour… » soufflai-je doucement en le sentant s’approcher de moi pour m’embrasser. Posant ma main sur sa joue la lui caressant lentement, je le sentis m’allonger, mon cœur s’emballant à nouveau, comme ayant compris réellement ce qui allait se produire. Je n’étais pas idiote, je savais pertinemment que nous allions enfin pouvoir passer à l’étape supérieure… Ne plus se contenter de préliminaires mais faire réellement l’amour… M’embrassant longuement et franchement je le laissais faire en crevant littéralement sur place. Il était en train de mettre mon petit cœur à rude épreuve, comme si c’était la première fois que l’on s’embrassait réellement… « Faut vraiment qu’on passe à la seconde partie du programme. Au risque de te surprendre, je ne serai pas capable d’attendre le mariage pour te faire l’amour. » Riant doucement je le regardais longuement en me redressant l’air de rien comme si je n’étais pas d’accord avec ce qu’il était en train de dire. Son regard coquin me fit fondre sur place, lâchant un bref grognement de plaisir en sentant mon regard se voiler de désir. N’importe quelle femme serait comblée et aurait envie de lui pour le coup. Gaylwen avait ce don, ce charme qui savait faire fondre une femme. En espérant qu’il n’en ait pas abusé pendant ces huit ans… Mais ce n’était pas le moment d’y penser… Non vraiment pas ! Sa main se posant sur ma cuisse la caressant lentement je cru crever. Penchant ma tête en arrière, mon dos s’arquant, je relevais lentement la jambe le long de son corps en tirant ses cheveux avec franchise. « Faut qu’on file derrière le bosquet. J’ai apporté une couverture. Cette nuit est la nôtre … » Grognant lentement je le repoussais doucement l’air de rien en le plaquant à mon tour sur le sol, passant une jambe sur son corps, ma robe remontant sur ma fesse découvrant alors ma jarretelle. Passant ma main sur son torse, je soupirais longuement en déposant une multitude de baiser sur ses lèvres franchement bruyant en aspirant lentement sa lèvre inférieure avec envie. « Mon amour… Mon doux amour, mon Than chéri… Au risque de te décevoir… Je comptais attendre le mariage, au point où on en est… Genre... Ça serait beau… Attendre le mariage, tu ne trouves pas ? » Demandai-je en le regardant droit dans les yeux, sans cesser mes baisers, avant de presser mon genoux sur son membre, bougeant alors celui-ci comme dans un espoir de le faire durcir. Autant dire que je le taquinais franchement pour ce qui était d’attendre le mariage… Je voulais juste lui faire un peu peur. Je savais qu’il me sauterait dessus… Me reculant lentement, en enlevant ma jambe de sur son corps, je me redressais sur mes genoux face à lui soulevant faiblement ma robe dévoilant mes portes jarretelles. « Tu m’as sincèrement cru ? J’espère que non… Mon string en peut plus il a envie de rencontrer ta main… » soufflai-je doucement avant de me jeter sur lui en riant doucement, le faisant tourner sur l’herbe. Tel deux enfants, je nous fis tourner jusqu’au bosquet qu’il m’avait montré avant de trouver une couverture souriant en coin. Il avait tout prévu… Attrapant celle-ci, en lui lançant un regard coquin et taquin, je nous fis rouler dedans, comme une bonne grosse momie, nous collant l’un à l’autre plus que de raison. Nous aurions donc, un rapport on ne peut plus intime… « On est… vraiment… Très … Proche … toi et moi… Très proche… Je te… Veux... Entre… mes cuisses… Je … Veux mourir… Sous tes mains… ton corps… ton membre…. Gaylwen Jonathan Copeland… Faut… que tu fasses… L’amour à ta fiancée… » soufflai-je en déposant de long baiser bruyant à chaque fois que je parlais, ne pouvant pas m’arrêter, cherchant alors à défaire ces vêtements.
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Ven 2 Déc - 13:11
« Shanae & Gaylwen »
« Cette douche… Fut la meilleure de ma vie… Mon dieu… Les frottements… Nos jouissances… Nos cris retenus… Je me souviens encore de ta main plaquée sur ma bouche pour ne pas que j’hurle trop fort… Gaylwen… Va falloir qu’on se rattrape en douche aussi… » Je lâchai un bref soupir d’envie, tandis qu’un long frisson excité me parcourait de la tête aux pieds. Comment refuser une telle proposition ? Je me souvenais parfaitement de notre première douche puis de toutes les autres par la suite. Nous pouvions faire davantage de bruits que sous la couette mais devions tout de même nous contenir un tant soit peu pour ne pas être entendu par ses parents. Nul doute que nous aurions eus de très gros problèmes, si son père ou sa mère nous avait entendus puis découvert. Que ce soit sous la douche ou dans son lit. Dans les deux cas, ce que nous faisions n’aurait jamais été accepté par ces deux personnes là très précisément. La seule idée que nous soyons ensemble, les dérangeait grandement. Alors s’ils avaient apprit que nous passions notre temps à faire des préliminaires pour découvrir le corps de l’un et l’autre … Ils s’y seraient prit bien plus tôt pour nous séparer comme ils étaient parvenu à le faire après l’obtention de notre bac. « Ma main plaquée sur ta bouche, que tu as mordu avec application, pour évacuer le trop plein de plaisir. » Soufflais-je d’une voix rendue rauque par l’envie que ces souvenirs suscitaient en moi. Comme si la voir là, en face de moi, toujours aussi belle, n’était pas suffisant comme tentation extrême. Comment faisais-je pour lui résister ? Je ne le comprenais pas moi-même mais je me trouvais vraiment très fort pour le coup. Pas sûr toutefois, que cela puisse perdurer dans le temps. J’avais bien trop envie d’elle pour cela. Changeant radicalement de sujet, parlant alors de ce parc qui était le « notre », j’entendis Cassie prendre tous les torts sur elle. Chose que je n’aimais pas franchement pour le coup, je devais bien le reconnaître. Ainsi, je posai mes avant bras sur ses épaules pour l’attirer davantage à moi et prit une mine boudeuse. Le genre de mine qui la faisait toujours craquer de par le passé. Et je compris sans mal que c’était toujours le cas, lorsque je vis se passer la langue entre les lèvres, avec lenteur. Comme si elle luttait de toutes ses forces pour ne pas venir goûter à mes lèvres. Songes qui me firent longuement frissonner alors que je regardais ses lèvres avec envie, à mon tour.
Je lui fis remarquer avec douceur, que nous ne serions plus séparés, avant de craquer et me pencher, pour l’embrasser avec lenteur. Un doux et tendre baiser tout autant destiné à répondre à une envie de l’embrasser, que destiné à la rassurer un tant soit peu sur notre avenir qui ne pouvait qu’être rose, à mes yeux. Je penchai légèrement ma tête vers sa main, lorsqu’elle la déposa sur ma joue avec lenteur. « Bébé… La blessure est profonde mais un jour elle disparaitra… J’en suis sûre… Il faut vraiment qu’on arrête d’en parler…Pour le moment. Ça me rend dépressive… » J’eus un faible sourire en fermant les yeux et en hochant lentement la tête en soupirant quelque peu. « N’en parlons plus alors, mon amour. Je veux juste te rendre heureuse. » Soufflais-je d’une voix douce en entrouvrant les yeux pour lui lancer un regard franchement amoureux. Comment ne pas l’aimer de toute façon ? C’était tout bonnement impossible. Elle était clairement la femme de ma vie, celle qui m’était destinée, celle avec qui je passerai le restant de mes jours. Il ne pouvait tout bonnement pas en aller autrement ! Nous parlâmes encore un instant de ce parc et du fait qu’il était le notre. « Notre parc… Qui sait, nos enfants l’appelleront peut être aussi notre parc… » J’eus un léger rire, tandis que j’hochai lentement la tête. J’imaginais parfaitement cela pour ma part. Je voyais très bien nos enfants faire, à leur tour, les quatre cent coups ici. Je les voyais bien rencontrer leurs âmes sœurs ici et faire toutes les étapes importantes de leur vie, ici, eux aussi. Mais sans doute n’était-ce là qu’une rêverie irréalisable, parmi tant d’autres. Peut-être que d’ici là, ils trouveraient cela ringard comme pas possible alors que pour nous, cela avait une grande importance. « Hm … Peut-être qu’ils ne comprendront même pas ce qu’on a pu trouver à ce parc ou notre folie qui nous pousse à vouloir y vivre les choses les plus importantes de nos vies. » Lui fis-je doucement remarquer, sans me départir de mon sourire amoureux et attendri. Peut-être qu’ils se fouteraient de nous. Qui sait ? Mais cela n’avait pas la moindre importance pour moi. Ils pourraient bien penser de cela, ce qu’ils voudraient. Ca n’empêcherait pas que ce parc comptait énormément pour leur mère et moi. Ce parc était un pilier commun de notre vie, le centre de notre relation en quelque sorte.
Alors que nous nous embrassions, une nouvelle fois, je sentis la main de Cassie se glisser dans mes cheveux. Je n’eus aucun mal à comprendre qu’elle était frustrée de les retrouver aussi court. Difficile d’oublier combien elle aimait y engouffrer ses mains et les tirer avec insistance, dans le passé. Doucement, je lui promis donc de les laisser pousser. C’était bien le moins que je pouvais faire pour elle ! « Merci mon ange… » Je lâchai un bref soupir de bien être, qui se transforma en franc gémissement de plaisir, lorsqu’elle glissa son visage dans mon cou pour me mordre avec insistance. Je du prendre sur moi pour ne pas partir en vrille et lui sauter dessus sur le champ. Et ce n’était pourtant pas l’envie qui manquait. Je lui fis rapidement remarquer qu’elle allait me faire oublier ce pourquoi je l’avais fais venir. Elle mentionna alors l’idée que je la saute et, tout sourire, je lui rétorquai qu’il s’agissait là de la suite du programme. Uniquement si elle était sage bien entendu. Tout en parlant, je glissais une main le long de sa gorge, l’engouffrant dans le décolleté de sa robe, pour m’emparer de l’un de ses seins, sans la moindre hésitation. Je me mordis fortement la lèvre, lorsque je le sentis durcir sous ma caresse insistante, luttant pour ne pas me pencher et le dévorer avec gourmandise. Sa réaction ne m’aida pas dans cette voie là, tandis qu’elle se penchai en arrière en soupirant d’excitation. « J’ai toujours été sage… Je mérite amplement les caresses… Au pire si je ne suis pas sage, tu caresseras mes fesses sous une position dominante ! » J’eus un sourire taquin alors que je lui lançais un regard on ne peut plus provocateur. L’idée me plaisait plus que de raison. Une levrette, ses fesses contre mon bas ventre. Dieu que c’était tentant comme pas permit. Je le voulais clairement et pas qu’un peu ! « T’es sûre que je devrai me limiter à de douces et gentilles petites caresses, dans une telle position ? » Demandais-je l’air de rien en lui adressant un regard on ne peut plus charmeur. Si je cherchais à la déstabiliser, à la faire craquer et à la séduire plus que de raison ? Ce n’était clairement pas mon genre voyons ! Quoi que … Par la suite, alors que je venais de prendre ses mains dans les miennes avec douceur, je finis par me mettre à genoux devant elle, pour lui demander enfin si elle voulait m’épouser. La réponse, je la connaissais déjà bien entendu. Mais je voulais lui faire une véritable demande, digne de ce nom, depuis tellement d’années … Que cela devait se faire et au plus vite. Raison pour laquelle je lui avais donné rendez-vous dans notre très cher parc, bien entendu. Je voulais vraiment que nous fassions toutes les choses importantes de nos vies, dans ce parc là. Il représentait tant pour nous que c’en était presque choquant … Totalement émue, comme j’avais toujours rêvé de la voir devant ma demande, Cassie se plaça à genoux devant moi pour me prendre dans ses bras en pleurant. Je préférais tellement la voir pleurer de joie devant notre amour et notre vie à venir, plutôt que triste de notre séparation trop longue et insoutenable.
Me soufflant plusieurs fois de suite sa réponse, elle glissa de lents baisers humides dans mon cou. Je la laissai faire en frissonnant longuement de bien être, alors qu’elle s’amusait ensuite à se mouvoir tout contre moi, avec insistance. « Je t’aime Gaylwen… Je t’aime depuis le premier jour où je t’ai vu… » Je gémis faiblement de bien être en la serrant contre moi avec plus de force encore, comme si je tentai de la retenir. Or, je savais pertinemment qu’elle ne chercherait jamais à me quitter de façon volontaire. C’était même terminé, l’époque où elle disparaissait de ma vie. Elle y était revenue et ce, pour toujours. « Je t’aime aussi mon amour. Je t’ai toujours aimé. » Soufflais-je doucement en la regardant amoureusement, glissant alors une main dans ses cheveux sans trop réfléchir. Mais en avisant ses réactions, son dos qui s’arquait sur le coup, son gémissement et ses mains qui se resserraient sur mes épaules. Je me mordillai lentement la lèvre en l’observant, continuant de caresser ses cheveux avec douceur, l’air de rien. Quelle idée d’avoir une telle zone érogène. J’aimais trop ses cheveux pour pouvoir me retenir de les caresser, même quand je ne cherchais pas particulièrement à l’exciter plus que de raison. « Personnellement j’aurais que deux invités… Mon frère et Ashelina ! Le compte est vite fait… » J’eus un faible sourire en coin en hochant lentement la tête. Je n’aurai pas des masses d’invités non plus. Nous n’avions, l’un comme l’autre, pas de véritable famille. Quant aux amis … Certes, nous en avions plus qu’avant, je n’en doutais pas. Mais ça n’empêchait pas que nous avions trop longuement été exclusifs l’un à l’autre, sur tous les plans, pour faire qu’à présent, nous puissions véritablement être entourés par quiconque. « Et moi mes sœurs. Et on devrait bien trouver quelques amis à inviter. » Soufflais-je doucement sans la quitter de mon regard heureux, amoureux et émerveillé. Alors qu’elle venait de me demander de ne pas perdre la bague que j’avais acheté pour cette demande en mariage, je me plaçai à genoux devant elle pour lui faire remarquer que je la lui aurai passé au doigt, si elle ne m’avait pas sauté dessus sans m’en laisser le temps. Ainsi, je récupérai la boite et en sorti le solitaire, pour la lui passer à l’annulaire gauche, avec extrême lenteur, en un geste symbolique qui fit s’emballer férocement mon cœur déjà tout chamboulé par cette demande en règle.
Une fois cela fait, je gardai sa main dans la mienne, en la contemplant longuement, comme si je la voyais pour la première fois. Nous étions fiancés. Pour de vrai cette fois ci. Je la caressais avec lenteur, en relevant le regard vers elle, un immense sourire aux lèvres. « Than…Tu rigoles mais une capsule de coca m’aurait rendu heureuse et fière ! tout ce qui vient de toi ne peut que me rendre heureuse… » J’eus un faible rire étouffé par une forte envie de pleurer tant je n’arrivais pas à croire mon bonheur. Lentement, je montai une main à sa joue, que je frôlai à peine, les larmes brillant dans mes yeux tandis que je la regardais avec amour. « Je le sais ma princesse … J’aurai pu te faire cette demande en te passant une capsule de cannette autour du doigt, que t’aurais réagis de la même façon que maintenant. Mais tu mérites plus que cela. Tu mérites le meilleur mon amour. » Soufflais-je d’une voix étranglée par les larmes que je ravalais avec difficulté. Je me penchai pour déposer un lent baiser sur ses lèvres, du bout des miennes, sans la quitter un seul instant du regard. « J’ai envie de pleurer… On est enfin officiellement fiancés mon amour… » Je lâchai un bref rire en la détaillant du regard avec insistance, comme si je guettais l’arrivée de ses pleurs. « Si tu pleures, je risque de craquer chérie. » Lui fis-je remarquer d’une voix douce, un sourire attendri au coin des lèvres. Sans perdre de temps, je l’embrassai alors avec davantage d’insistance, tout en l’allongeant avec lenteur à même le sol, lui faisant clairement comprendre que j’avais terriblement besoin de passer à l’étape supérieure. Et je n’étais plus en mesure de me contenter de préliminaires, aussi bons soient-ils. Je voulais faire l’amour à la femme de ma vie, qui était à présent ma fiancée, tout simplement. D’une voix taquine, je lui fis alors remarquer que je ne serai pas capable d’attendre le mariage, pour lui faire l’amour. J’accompagnai mes paroles d’un regard on ne peut plus coquin, parfaitement conscient qu’elle était incapable d’y résister. Elle ne tarda d’ailleurs pas à lâcher un bref gémissement, tandis que son propre regard se remplissait d’un désir mal contenu. Nous étions en train de nous rendre fous, comme à notre bonne habitude. Comme pour la faire un peu plus craquer, je posai une main sur sa cuisse, que j’entrepris de caresser avec extrême lenteur et délicatesse. En réponse, elle arqua le dos et leva sa jambe avec lenteur, le long de mon corps. Réponse explicite, qui montrait combien elle me désirait. Tout autant que moi-même je la désirais. L’embrassant plus encore en me collant à elle, je lui soufflai qu’il fallait vraiment qu’on file se planquer derrière le bosquet où nous attendait une couverture que j’avais apporté exprès pour cela.
Comme si elle perdait littéralement patience, elle me fit pivoter pour me plaquer sur le sol, remontant une jambe le long de mon corps et posant une main sur mon torse. Je lâchai un long gémissement de plaisir lorsqu’elle s’amusa à déposer de longs baisers sonores sur mes lèvres, aspirant ma lèvre inférieure avec insistance. Je posai une main sur sa cuisse pour la caresser avec lenteur, découvrant des jarretelles sous mes doigts. Juste de quoi m’exciter plus encore, comme si je ne l’étais pas assez. « Mon amour… Mon doux amour, mon Than chéri… Au risque de te décevoir… Je comptais attendre le mariage, au point où on en est… Genre... Ça serait beau… Attendre le mariage, tu ne trouves pas ? » Je lâchai un bref rire ironique devant ses paroles. Comme si j’allais la croire … Comme si elle pouvait me la faire, à moi. Certes c’était très beau et honorable de vouloir attendre le mariage. Mais dans notre relation c’était tout bonnement impossible. Certes, nous n’étions plus à quelques semaines près. Mais je ne pourrai tout simplement pas le supporter, c’était certain. Mon envie d’elle était beaucoup trop intense. J’allais lui répondre, lorsque je sentis sa cuisse se poser sur mon membre et se presser avec insistance. Je lâchai un bref grognement en fermant les yeux, sentant mon corps répondre aussitôt à son appel insistant. Comment lui résister ? C’était impossible, comme toujours ! Elle ne tarda pas à se redresser et à se placer à genoux devant moi. Je lâchais un long soupir en tournant le regard vers elle, ne me privant pas pour parcourir inlassablement son corps du regard, avec une envie grandissante. « Tu m’as sincèrement cru ? J’espère que non… Mon string en peut plus il a envie de rencontrer ta main… » Elle ne me laissa pas le temps de répondre, que déjà, elle me sautait dessus et me fit rouler sur l’herbe. Je lâchai un bref rire en sentant qu’elle nous faisait rouler ainsi jusqu’à ce que nous atteignions la couverture. Une fois là, elle nous fit rouler dedans pour nous enrouler avec. Je la laissai faire en me retrouvant alors au dessus d’elle. Tout sourire, je plaquais bien mon corps contre le sien, mon bas ventre pressé contre le sien avec insistance, preuve de mon désir intense pour elle. « Ce string ne va pas survivre bien longtemps … Et comment j’aurai pu croire que tu sois capable d’attendre le mariage hm ? Tu as trop envie de moi pour ça mon amour. » Soufflais-je doucement, l’air de rien, en lui adressant un nouveau regard coquin.
« On est… vraiment… Très … Proches … toi et moi… Très proches… Je te… Veux... Entre… mes cuisses… Je … Veux mourir… Sous tes mains… ton corps… ton membre…. Gaylwen Jonathan Copeland… Faut… que tu fasses… L’amour à ta fiancée… » Je gémissais longuement sous ses longs et forts baisers, sans la quitter un seul instant du regard. Je ne tardais pas à la plaquer franchement sur le sol en penchant le visage pour plaquer mes lèvres sur les siennes avec fermeté et glisser ma langue dans sa bouche, partant à la rencontre de la sienne, que je pris soin de caresser avec insistance. Se faisant, je glissai une main dans la couverture pour remonter sa robe le long de ses cuisses, avec rapidité et fougue, incapable de prendre mon temps pour le coup. Une fois sa robe remontée, je glissai franchement mes jambes entre les siennes et me redressai pour lui retirer totalement sa robe. Je grognai doucement en baissant le regard sur sa poitrine que j’empoignai avec force. « Tu sais quoi ? On prendra plus notre temps une fois chez moi, dans mon lit. Toute une nuit, un week-end, non stop. Pour l’instant … Pour l’instant j’en peux plus d’attendre pour te faire l’amour. » Soufflais-je doucement en retirant simplement mon haut, pour plaquer mon torse nu contre sa poitrine. J’abandonnais nos vêtements près de nous avant de glisser une main entre nos corps, pour baisser les dernières rempares qui nous empêchaient de nous unir enfin. Une fois cela fait, je redressai simplement le visage pour la regarder, comme si j’hésitai à faire ce que nous attendions depuis tant de temps. C’était presque un choc de voir que cette fois ci, nous allions véritablement le faire. Une surprise bien trop grande, une envie immense et incontrôlable. Après cette brutale envolée, je pris le temps de presser mon membre contre son intimité, sans la quitter du regard, comme je le faisais par le passé. Sauf que cette fois ci, j’entrai en elle dans un brusque coup de reins et me figeai aussitôt en lui lançant un regard à la fois choqué, surpris, amoureux et émerveillé. Je fus totalement incapable de bouger, durant de longues minutes, tant le simple fait d’être en elle était bon et plaisant à souhait. « Je pensais que ce moment n’arriverait jamais … » Soufflais-je d’une voix étranglée par le plaisir et le désir. Après un long moment, je finis par bouger lentement le bassin pour glisser en elle avec lenteur, sans la quitter du regard, mon regard se faisant presque perdu et trop excité devant l’importance de mon plaisir. Ce n’était pas le simple fait de faire l’amour. C’était le fait de le faire avec la femme de ma vie, celle que j’avais attendu pendant trop de temps, celle avec qui je n’avais jamais pu faire l’amour malgré des rapprochements physiques très importants. Presque aussitôt, je me mis à trembler fortement et mon souffle se coupa, tandis que j’entrouvrai les lèvres devant un afflux de plaisir important.
✔ HUMEUR : Rêveuse ✔ EN JEUX : Pas pour le moment ✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre ✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Sam 10 Déc - 11:40
« Ma main plaquée sur ta bouche, que tu as mordu avec application, pour évacuer le trop plein de plaisir. » Inspirant longuement en tremblant sous ce souvenir plus que parfait, je fermais les yeux en entrouvrant la bouche. C’était on ne peut plus plaisant. « Je risque de la mordre à nouveau… Pendant longtemps, très longtemps… De nombreuses années… tu risques d’avoir la marque de mes dents à vie sur ta peau… » soufflai-je l’air de rien en haussant alors un sourcil. Ce serait on ne peut plus excitant à vrai dire… M’embrassant rapidement le laissant faire en lui retournant alors le baiser, j’en frissonnais longuement avant de parler encore et toujours de notre séparation, je ne pus m’empêcher de lui dire qu’il fallait vraiment qu’on cesse d’en parler car ça me blessait plus qu’autre chose et cela me rendait dépressive comme jamais. « N’en parlons plus alors, mon amour. Je veux juste te rendre heureuse. » Hochant doucement la tête, je fermais les yeux, ne répondant pas, pour clôturer alors le sujet. J’en vins à parler du parc… Oui peut être que nos enfants auraient dans l’idée de découvrir ce par cet de vivre qui sait, les mêmes expériences que nous… De vivre pareil… D’avoir un lieu à eux… Comme nous nous avions ce parc, qui était le nôtre… « Hm … Peut-être qu’ils ne comprendront même pas ce qu’on a pu trouver à ce parc ou notre folie qui nous pousse à vouloir y vivre les choses les plus importantes de nos vies. » Plissant le nez, je tournais un regard autour de notre parc. Comment ne pas comprendre l’intérêt de ce parc ? J’étais persuadée que si on expliquait à nos enfants l’histoire, ils comprendraient… Ou se foutraient de nous… Sale gosses ! Passant faiblement ma langue sur mes lèvres je me tournais vers Gaylwen en haussant alors les épaules. « Tant pis ! Ils ne savent pas ce qu’ils perdront… C’est bien ce parc pour amener son mec et faire des cochonneries sous un buisson… quoi que… Imaginer ma fille ou mon fils faire de même… Hm… » Marmonnai-je en plissant à nouveau le nez. Je voulais profiter d’eux bébés avant tout… Avant qu’ils ne grandissent et fassent leurs crises d’adolescences… Berk ! Glissant une main dans ses cheveux, trop court à mon gout, il m’annonça alors qu’il allait les laisser pousser. Enfin ! Je le remerciais l’air de rien tout sourire aux lèvres. Me penchant pour mordre franchement son cou, il m’annonça que j’allais lui faire oublier ce pourquoi il m’avait faite venir.
Je ne pus m’empêcher de lui dire de me sauter, l’air de rien bien évidemment. Sa main passant sur ma gorge, pour attraper alors un de mes seins, j’écarquillais les yeux en le sentant durcir sous sa main, grognant lentement en léchant alors mes lèvres avec envie. Si je n’étais pas sage, il n’avait qu’à me caresser les fesses dans une position dominante et puis c’est tout… « T’es sûre que je devrai me limiter à de douces et gentilles petites caresses, dans une telle position ? » Frissonnant lentement en lui lançant un regard franchement entendu, je passais lentement ma langue sur mes lèvres sans pouvoir détourner le regard du sien. Tandis que de nombreuses images remplissaient ma tête. Je l’imaginais parfaitement derrière moi, en train de me faire sauvagement l’amour comme jamais, ses mains sur mes fesses à me les caresser, empoigner et j’en passe… Terriblement tentant. « Hum oui… Juste pour te frustrer et t’empêcher de rendre mes jolies petites fesses toutes rouges... graou ! » soufflai-je l’air de rien lui tirant alors la langue pour le taquiner. Le voyant prendre mes mains pour se mettre à genoux devant moi, je compris ce qu’il était en train de faire. Me demandant alors en mariage et ce pour le plus rapidement possible, je me laissais tomber à genoux devant lui pour l’embrasser à plusieurs reprises, soufflant longuement ma réponse pour qu’il l’a comprenne. C’était oui ! Oui, oui et encore oui, je voulais l’épouser et devenir madame Copeland… J’étais totalement prête à le devenir… Je ne pouvais pas m’empêcher de lui dire que je l’aimais, oui je l’aimais comme une barge, comme une folle, je voulais faire ma vie avec lui… Avoir des enfants, des tas d’enfants… « Je t’aime aussi mon amour. Je t’ai toujours aimé. » Souriant en coin, en penchant la tête sur le côté, je le fixais longuement, comme si c’était la première fois que je le voyais alors que pas du tout. Autant dire que c’était plaisant d’entendre ces mots de la bouche de l’homme que l’on aime… Il n’y avait pas à redire… Oh que non… Glissant une main dans mes cheveux je le laissais faire en arquant mon dos, lâchant un bref gémissement de plaisir. Nom d’un chien c’était terriblement plaisant…Il n’avait pas le droit de me faire ça, de m’exciter de la sorte… autant dire que c’était… Trop bon, est ce que je touchais ces zones érogènes moi ? Non…changeant de sujet, je lui fis remarquer alors que pour ma part je n’aurais que deux invités au mariage… Mon frère et Ashelina. Ni plus ni moins… Je crois…
« Et moi mes sœurs. Et on devrait bien trouver quelques amis à inviter. » Souriant faiblement au souvenir de ses sœurs, j’haussais faiblement la tête en mordillant lentement mes lèvres. « Oui tes sœurs ! On envoie un faire-part à nos mères ? Juste pour les prévenir… sans invitation… Je ne veux aucune des deux… » soufflai-je doucement en plissant lentement le nez. Lui faisant remarquer qu’il n’avait pas intérêt à perdre la bague, il me répliqua rapidement que si je ne lui avais pas sauté dessus il me l’aurait déjà mise au doigt. Le laissant la prendre, il me l’a mis alors au doigt. Mon cœur s’emballant, je fixais longuement ma main on ne peut plus heureuse. Même une capsule m’aurait plus et il le savait parfaitement ! Sa main frôlant lentement ma joue, je fermais les yeux poussant un faible gémissement de plaisir. Il savait que mon visage était on ne peut plus sensible… Je lui fis alors remarquer qu’une capsule aurait été parfaite. N’importe quoi l’aurait été, tout ce qui venait de lui m’allait parfaitement… Et me rendait heureuse ! « Je le sais ma princesse … J’aurai pu te faire cette demande en te passant une capsule de cannette autour du doigt, que t’aurais réagis de la même façon que maintenant. Mais tu mérites plus que cela. Tu mérites le meilleur mon amour. » Souriant faiblement en voyant ses larmes, je sentis ma gorge se nouer franchement. Déglutissant longuement je posais mes deux mains sur ses joues, tremblante faiblement je cherchais tant bien que mal à respirer normalement, comme pour couper les larmes, autant dire que ce n’était pas facile… Loin de là même… Glissant mes mains dans ses cheveux j’approchais dangereusement de lui pour déposer de doux baisers avant qu’ils ne deviennent des baisers désespéré, comme si j’allais le perdre à nouveau. Plaquant mon corps contre le sien, je ne le quittais pas du regard en souriant faiblement. « Je t’aime Gaylwen, et sache une chose, que l’on soit riche, pauvre, à la rue, mourant, et autre, je t’aimerai toujours… Je ne mérite pas le meilleur… Je te mérite toi, tant que je t’ai dans ma vie, ça me suffit, parce que j’aurais à mes côté mon âme sœur, ma moitié, mon tout, mon homme, le meilleur de toute la galaxie… Un nouveau livre s’ouvre, des pages blanches à remplir… Than et Sissi scène deux acte un mon amour… » Soufflai-je à voix basse, la voix totalement détruite par les larmes qui me submergeaient faiblement. Sans perdre de temps, je lui fis comprendre que j’allais craquer, pleurer, tellement c’était un jour fabuleux…
« Si tu pleures, je risque de craquer chérie. » Frissonnant faiblement je plongeais mon regard dans le sien, essayant de ne pas craquer. Je ne pouvais pas craquer, je me devais de rester sereine. C’était là, le plus beau jour de ma vie, je n’allais pas le gâcher en pleurant non ? Certes ce serait des pleures positif, de joies, et non des pleures négatifs et remplit de malheurs et de tristesses… Remplissant totalement mes poumons, j’essayais de ne pas trembler sous son corps, j’essayais réellement afin de ne pas craquer, les larmes remplissant alors mes yeux. Les fermant tout en clignant des paupières, je les chassais comme je le pouvais avant de déposer de longs baisers sur ses lèvres. « J’ai toujours aimé te faire craquer, voir tes yeux remplit de larme… ça m’a toujours affecté dans tous les sens du terme, j’aime voir que tu n’as aucune honte avec moi, aucune fierté de ce côté-là… Nous sommes nus l’un devant l’autre dans tous les domaines et je t’aime encore plus pour cela mon Gaylwen… Mon amour… » murmurai-je doucement en caressant alors lentement sa joue du bout de mes doigts. M’allongeant clairement sur le sol, comme pour me faire comprendre qu’il ne pouvait plus attendre, je le laissais donc faire. Nous étions deux, je ne pouvais plus attendre pour ma part. J’attendais ce moment depuis huit ans… Huit longues années… voulant le taquiner, je le poussais franchement pour nous faire rouler et me faire alors venir sur lui. L’embrassant lentement en remontant mes jambes le long de son corps, je le regardais avec amour. Gaylwen était à moi… Oui rien qu’à moi et autant dire que ça me plaisait plus que de raison… Sans perdre de temps je lui fis comprendre que pour ma part je voulais attendre le mariage… Oui, c’était ce que je voulais… Ou pas ! L’entendant rire, je compris qu’il savait que je plaisantais. L’avantage, ou l’inconvénient de se connaitre depuis tout petit, faisait qu’on connaissait l’autre franchement par cœur… C’était plaisant… Terriblement plaisant. Quand nous étions au lycée, notre jeu favori pour faire chier les profs c’était de finir la phrase de l’autre, nous ne cessions jamais de couper la parole à l’autre pour terminer sa phrase, et jamais nous ne nous étions trompés… Comment se tromper quand on connait son âme sœur par cœur ? Posant ma jambe sur son membre le frottant avec insistance, je lâchais un bref cri de plaisir en sentant alors la dureté de celui-ci. Il avait… Tellement changé, j’avais encore un peu de mal mais je savais que je m’habituerai, ce n’était qu’une question d’adhérence et de temps ! Grognant faiblement je l’embrassais alors franchement pour le faire à nouveau rouler vers le buisson, mais surtout les couvertures… Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Nous enroulant dedans, nous nous retrouvâmes on ne peut plus serrer dedans, lui lançant alors un regard sauvage, je lui demandais s’il m’avait cru, car je n’avais qu’une envie réelle… Que mon string rencontre sa petite main… Je le voulais, je voulais que nos corps se complète a la perfection, je voulais faire l’amour longuement avec Gaylwen.
« Ce string ne va pas survivre bien longtemps … Et comment j’aurai pu croire que tu sois capable d’attendre le mariage hm ? Tu as trop envie de moi pour ça mon amour. » Grognant faiblement fermant alors les yeux, j’avais des visions de ses mains arrachant mes strings. Combien de fois j’avais dû racheter des strings tellement il m’en avait détruit à l’époque ? Je ne saurais le dire… Mais je me souvenais parfaitement de cette force qu’il utilisait sur moi pour me les enlever… « Arrache le moi, détruit le, je n’en aurais plus besoin de toute façon… C’est vrai… J’ai trop envie de toi… faut que tu viennes vite… Me faire l’amour… » soufflai-je doucement en l’embrassant longuement, déposant de fort baiser sur ses lèvres tout en lui disant qu’il fallait vraiment qu’il me fasse l’amour… Je n’en pouvais plus d’attendre… Le sentant alors m’embrasser, je le laissais faire, ses mains se glissant sous la couverture pour remonter alors ma robe. Mon corps tremblant de plus en plus je cherchais plus ou moins l’air. M’enlevant totalement la robe, je sentis alors ses mains sur mes seins, ceux-ci durcissant sous le coup, aimant sentir ses mains là. Ça faisait extrêmement longtemps que je n’avais pas réellement senti ses mains sur mon corps… Même si la dernière fois dans la chambre nous avions était sur le point de le faire… Là c’était surement l’effet du fait que nous allions enfin le faire… « Tu sais quoi ? On prendra plus notre temps une fois chez moi, dans mon lit. Toute une nuit, un week-end, non-stop. Pour l’instant … Pour l’instant j’en peux plus d’attendre pour te faire l’amour. » Souriant en coin, en plongeant alors mon regard dans le sien, je passais faiblement ma main sur sa joue, le caressant, cherchant à voir s’il était vraiment réel. Comme si ce moment n’était en fait qu’une image de ma tête, comme s’il n’était pas là. Comme un rêve. Nous avions tellement voulu vivre ce moment, tellement attendus, que j’avais comme le gout amer dans la bouche que cela ne soit que fictif. Inventif, tout était peut-être dans ma tête, tant que nous ne l’aurions pas fait, je ne pouvais pas dire que ce moment était réel. Passant faiblement ma langue sur mes lèvres, je tentais tant bien que mal de le regarder, de ne pas pleurer, de ne pas avoir ces foutues larmes dans les yeux. J’étais heureuse, j’étais au paradis, tout simplement, comme une impression de pouvoir enfin vivre pleinement ma vie tout simplement, et je pouvais aisément remercier, Gaylwen d’être aujourd’hui présent dans ma vie. Enfouissant mes mains dans ses cheveux je cherchais son regard du mien, ayant les mots totalement bloqué dans ma gorge. Je ne savais pas quoi dire, ni que faire. Autant dire que c’était dérisoire, vu que nous n’avions aucun secret l’un pour l’autre… Serrant faiblement mes jambes autour de sa taille je ne cessais de le regarder, de peur de ne plus le voir. « Ça me va ! Ça me va amplement même ! On aura tout notre temps… La prochaine fois… » murmurai-je doucement en déposant de doux baiser sur ses lèvres profitant pleinement de ce moment, fermant alors lentement les yeux lorsqu’il se mit à bouger contre mon corps. C’était bon, c’était totalement parfait ! Paradisiaque sous tous les points même. Nous enlevant les derniers remparts qui nous empêchaient de faire l’amour, je sentis tout à coup, son membre se frotter alors contre mon intimité.
Plongeant mon regard dans le sien, comme pour immortaliser un moment qui s’était trop fait attendre, je le sentis, dans un brutal coup de rein, entrer en moi. Entrouvrant la bouche, comme choquée, qu’il puisse enfin entrer en moi, unir nos corps après tout ce temps, j’attrapais ces cheveux pour les lui tirer franchement. Nos yeux ne se quittant pas une seule seconde du regard, je le sentis rester inerte quelques secondes, surement choqué lui aussi que nos corps puissent enfin être accouplés. « Je pensais que ce moment n’arriverait jamais … » Frissonnant lentement en collant alors mon front au sien, je le regardais sans pouvoir détourner le regard un seul instant. Non, je ne le pouvais pas, il me fallait le regarder, comme pour être réellement sûre que c’était bien vrai, tout simplement. Sentant son corps frotter le mien, son membre glissant alors à nouveau en moi avec lenteur, je cambrais le dos avec perfection, allant jusqu’à ce que ma colonne me dise tout simplement stop. Ma tête, totalement penchait en arrière, je poussais un faible cri de plaisir, mon corps, tremblant comme jamais, je sentais un plaisir non connu envahir totalement mon corps. Sentant faiblement une couche de sueur se former sur mon front, j’enfouissais mon visage dans son cou pour le mordre lentement mes ongles s’immisçant dans sa peau, le griffant sans même pouvoir me contrôler, essayant de retenir mes cris, n’y arrivant pas du tout à vrai dire. Entrouvrant les yeux, je me reculais pour plonger mon regard dans le sien caressant alors sa joue de mon index allant sur sa lèvre pour l’effleurer longuement. « Il est pourtant arriver, mon amour, nous sommes enfin unis… » murmurai-je doucement en venant l’embrasser alors doucement, sans le quitter du regard, glissant ma langue dans sa bouche pour titiller la sienne fermant alors les yeux, commençant à l’embrasser franchement, bougeant le bassin sous l’afflux de plaisir. Un plaisir tellement nouveau, un plaisir qui naissait de plus en plus en moi, créant de francs spasmes dans tout mon être. Inspirant profondément, cherchant de l’air, je lui lançais un regard horrifié et totalement paniqué, le plaisir augmentait bien trop vite, trop vite, c’était là un plaisir que je ne connaissais pas. Me crispant sous le coup, je me mis à mordiller lentement sa lèvre inférieure. « Than… Je… Oh… » Soufflai-je en me laissant rapidement envahir par l’orgasme, me figeant sous le coup, ne le quittant pas du regard, poussant de franc cri. Je me fichais que l’on puisse nous entendre, que l’on puisse savoir que deux personnes étaient en train de clairement faire l’amour dans le parc… Ce n’était pas comme si nous étions en pleine journée… L’orgasme me dévastant à part entière, je sentais la sueur couler sur mon corps, son corps glissant franchement contre le mien, ma peau se laissant envahir par la chair de poule, mon intimité se contractant. J’étais en train de vivre le meilleur moment de toute ma vie… M’approchant de son oreille je pris le lobe de celle-ci dans ma bouche le lui suçotant longuement bougeant faiblement le bassin. « Tu sais quoi ? J’ai arrêté la pilule… » Murmurai-je lentement en sentant le plaisir ce décupler toujours présent en moi.
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Lun 12 Déc - 0:40
« Shanae & Gaylwen »
« Je risque de la mordre à nouveau… Pendant longtemps, très longtemps… De nombreuses années… tu risques d’avoir la marque de mes dents à vie sur ta peau… » Je frissonnai faiblement à cette idée. J’étais bien conscient que cela aurait plus du me faire peur, qu’autre chose. Mais c’était plus fort que moi pour le coup, je ne pouvais m’empêcher de ressentir une énième bouffée de désir, à l’idée qu’elle puisse me marquer à vie. Même si ce n’était qu’une morsure et que ce n’était que sur ma main. Après tout, c’était une marque venant d’elle, faite par elle. Et cela suffisait amplement à me faire perdre les pédales et à m’exciter plus que de raison. Comment pouvait-ce ne pas être le cas d’ailleurs ? « Marque moi … Marque ton territoire, je ne demande pas mieux. » Lui soufflais-je doucement, en la regardant de façon on ne peut plus amoureuse. J’étais complètement fou d’elle. Je la voulais à vie, pourquoi tergiverser quand je savais que c’était ça que je voulais plus que tout au monde ? Je la voulais à mes côtés, encore et encore, jour après jour. Je voulais vieillir à ses côtés, la trouver toujours aussi belle que huit ans plus tôt, dans trente ou quarante ans. Je voulais lui faire une ribambelle d’enfants, les regarder grandir, les élever du mieux possible et être fier d’eux. Je voulais une petite maison tranquille dans un coin de nature on ne peut plus parfait, tous les deux sous le porche à regarder venir nos enfants et leurs propres enfants. Dieu … Tout ces rêves d’avenir étaient à nouveau possibles et se réaliseraient, petit à petit. Ma vie reprenait tout son sens depuis que l’amour de ma vie, était de retour … Faire des projets à deux, avait toujours été une chose divine pour nous. Et nous étions justement en train de reprendre cette merveilleuse habitude, en imaginant nos enfants, faisant la même chose que nous. A savoir, choisir ce parc pour y vivre les plus belles choses de leur vie, tout comme nous. Nous avions tant batifolés derrière les bosquets de ce parc, que je me demandais presque si nous n’avions pas marqué définitivement notre passage par ici. Et si tel était le cas, ce n’était véritablement pas pour me déplaire en tout cas ! « Tant pis ! Ils ne savent pas ce qu’ils perdront… C’est bien ce parc pour amener son mec et faire des cochonneries sous un buisson… quoi que… Imaginer ma fille ou mon fils faire de même… Hm… » A cette idée, je plissai faiblement le nez avant de rire de bon cœur et lever les yeux au ciel. Cassie était déjà très possessive à l’encontre des enfants que nous n’avions même pas encore conçus. J’étais clairement curieux de voir ce que cela donnerait par la suite, lorsque nos enfants seront en âge de connaître leurs premières histoires d’amour. J’imaginais à l’avance, son sourire forcé devant les enfants et son explosion de jalousie par la suite. Ce caractère que j’aimais tant chez elle … « Notre fils pourra dès l’âge de quinze ans. Notre fille … Pas avant ses vingt et un ans. On est bien d’accord ? » Lui demandais-je d’une voix taquine, tant j’étais persuadé qu’elle était pleinement contre cela et risquait bien de m’engueuler pour ça. Et à vrai dire je n’attendais que ça puisque je l’avais dis uniquement pour la taquiner. Comme à ma bonne habitude d’ailleurs !
Tout en continuant de discuter avec elle, tel deux amoureux avides de se retrouver, que nous étions, elle en vint à parler de sexe de façon ouvert et sans pudeur. Je me mordillai les lèvres avec envie, tandis que ma main venait se loger sur l’un de ses seins. Si je fus désorienter durant les premières secondes, devant l’importance qu’ils avaient prit en huit ans, cela fut de courte durée. Déjà, je m’habituai à cette nouvelle poitrine qui n’était pas pour me déplaire et tâtai son sein avec franchise. Elle parla alors de caresses sur ses fesses lors d’une position de domination pure et dure. Frémissant d’envie à cette idée, je lui demandai si je devrai vraiment me limiter à de simples caresses. Je me voyais déjà les claquer et les empoigner avec force et sauvagerie, sous une envie d’elle bien trop pressante pour lutter contre. « Hum oui… Juste pour te frustrer et t’empêcher de rendre mes jolies petites fesses toutes rouges... graou ! » Je lâchai un bref grognement en la regardant sans lui cacher combien j’avais envie d’elle et ce, de plus en plus. Et j’avais la sensation que c’était pire encore qu’avant, tant je songeais au fait que nous étions vraiment sur le point de faire ce que nous attendions depuis beaucoup trop longtemps à mon goût. Ce que nous aurions du avoir déjà fais à l’heure actuelle. « Pas besoin de mes mains pour faire rougir tes fesses dans une telle position chérie. Des coups de reins bien bien sauvages et le tour est joué … » Soufflais-je doucement en lui lançant un regard brillant de désir et remplit de promesses. Je nous imaginais à merveille dans une telle position et cela m’excitait terriblement. L’instant d’après, après avoir parlé cul pour ne pas changer, je me retrouvai à genoux devant et la demandai en mariage, comme j’en rêvais depuis beaucoup trop longtemps. Il était plus que temps, bordel ! Dans les bras l’un de l’autre à même le sol, je lui soufflais combien je l’aimais avant de mentionner les invités que nous aurions forcément à notre mariage. Autant dire pas grand monde. Son frère, sa meilleure amie et mes sœurs. Sans doute quelques amis aussi, que nous avions en commun pour la plupart. Bref, peu de gens à vrai dire. Mais c’était largement assez pour nous. Nous avions toujours été du genre à demeurer juste tous les deux, ou presque. Et ce n’était pas pour changer maintenant que nous allions nous marier. « Oui tes sœurs ! On envoie un faire-part à nos mères ? Juste pour les prévenir… sans invitation… Je ne veux aucune des deux… » Je ne pu m’empêcher d’afficher un franc sourire devant cette douce vengeance de notre part, à l’encontre de ces parents qui nous avaient volé une partie de notre vie, une part immense de notre bonheur. « Bon sang ouais … Leur envoyer des faire parts après le mariage, pour leur montrer combien notre amour aura tout vaincu, même eux. Jouissif … » Soufflais-je d’une voix rêveuse, avant de la regarder avec amour et envie. L’instant d’après, je fini par lui glisser la bague au doigt. Pour le coup, je pris tout mon temps, pour bien immortaliser cet instant dans ma mémoire. Je voulais être sûr de me souvenir de cela, jusqu’à la fin de mes jours. Elle n’hésita pas à me faire remarquer que même une capsule de cannette aurait suffit pour cette demande et je lui souris franchement en caressant amoureusement sa joue. Certes, j’en étais parfaitement conscient. Toutefois, comme j’avais amplement le moyen d’acheter une vraie bague à sa hauteur, je l’avais fais sans regarder le prix. Je me foutais de dépenser des milliers et des milliers, pour elle. Je la laissai déposer de brefs baisers sur mes lèvres, avant qu’ils ne se fassent franchement pressants et désespérés et que son corps se plaque contre le mien avec fermeté.
« Je t’aime Gaylwen, et sache une chose, que l’on soit riche, pauvre, à la rue, mourant, et autre, je t’aimerai toujours… Je ne mérite pas le meilleur… Je te mérite toi, tant que je t’ai dans ma vie, ça me suffit, parce que j’aurais à mes côtés mon âme sœur, ma moitié, mon tout, mon homme, le meilleur de toute la galaxie… Un nouveau livre s’ouvre, des pages blanches à remplir… Than et Sissi scène deux acte un mon amour… » Je lâchai un bref gémissement de plaisir en fermant les yeux et souriant franchement. Je déglutis avec difficulté en posant ma main sur sa gorge pour la caresser faiblement de mon pouce, demeurant silencieux durant de longues secondes. Après un moment, je la regardai à nouveau, les yeux brillants de larmes, sans que je n’en éprouve la moindre gêne. Lentement, je redessinai ses lèvres de mon index. « Je sais ma chérie, mon amour, mon âme sœur. Mais tant qu’on a de l’argent autant en profiter non ? Mais quoi qu’il arrive, je t’aimerai toujours aussi. Riches, pauvres, en pleine santé, malades … Je t’aime chérie. Je t’aime, je t’aime, je t’aime. Je n’aurai jamais assez d’une vie pour te le dire et te le répéter encore et encore mon amour. Than et Sissie, le début d’une nouvelle vie. » Soufflais-je doucement en souriant de plus en plus, tandis que les larmes emplissaient davantage nos yeux. Alors qu’elle venait de me dire qu’elle allait pleurer, je lui fis remarquer que ce serait aussi mon cas, si elle craquait. J’avais déjà bien envie de pleurer, sans en plus ajouter ses larmes dans la partie. Comment se retenir avec cela ? Impossible ! Je la regardai cligner des paupières à plusieurs reprises pour chasse les larmes de ses yeux, avant de déposer de longs baisers sur mes lèvres. Frissonnant et tremblant quelque peu, je les entrouvris pour déposer de lents baisers humides sur les siennes. « J’ai toujours aimé te faire craquer, voir tes yeux remplit de larmes… ça m’a toujours affecté dans tous les sens du terme, j’aime voir que tu n’as aucune honte avec moi, aucune fierté de ce côté-là… Nous sommes nus l’un devant l’autre dans tous les domaines et je t’aime encore plus pour cela mon Gaylwen… Mon amour… » Je souris faiblement en la regardant toujours aussi amoureusement et les yeux brillant faiblement de larme. Avec difficulté, je déglutis avant de lui répondre. Il était certain que je n’avais jamais eus la moindre honte de ce côté-là, par rapport à elle. « Avec toi, je suis entièrement moi. Sans apparences, sans masque, sans fierté, sans honte. Je suis totalement à toi, entièrement … » Soufflais-je doucement sans parvenir à me détacher d’elle. Je ne le voulais, de toute façon, pas ! Sans parvenir à nous empêcher, nous roulions bientôt sur le sol pour nous embrasser vivement et elle s’amusa à me dire qu’elle voulait attendre le mariage. Bien entendu, je ne la cru nullement. J’étais bien consciemment de son désir aussi puissant que le mien.
Sans tarder, elle nous fit rouler jusqu’au bosquet derrière lequel j’avais planqué une couverture qui abriterait nos ébats mouvementés. Elle me demanda alors si je l’avais cru concernant son besoin d’attendre notre mariage pour faire l’amour, avant de mentionner son string. Je me moquai faiblement d’elle avant de lui dire que son string ne survivrait pas bien longtemps. « Arrache le moi, détruit le, je n’en aurais plus besoin de toute façon… C’est vrai… J’ai trop envie de toi… faut que tu viennes vite… Me faire l’amour… » Je grognai faiblement en remontant rapidement sa robe pour la lui retirer au plus vite, avant de faire de même avec mon haut pour plaquer mon torse contre sa poitrine divinement parfaite. Bien collé à elle, je glissai la main sur son string que j’empoignai avec force pour le lui retirer, sans chercher à le faire glisser le long de ses jambes. Au lieu de cela, je l’arrachai ouvertement et l’abandonnai sur l’une de ses cuisses. « Plus de rempart entre ton corps et le mien. Juste nous et notre désir, mon amour. » Soufflais-je doucement en déposant de forts baisers sur ses lèvres et ouvrant puis baissant mon pantalon et mon boxer. Totalement excité et incapable de patienter, je lui soufflai que nous prendrions davantage notre temps plus tard mais que dans l’immédiat, j’avais trop envie d’elle et attendais cela depuis trop longtemps, pour en être capable. « Ça me va ! Ça me va amplement même ! On aura tout notre temps… La prochaine fois… » J’hochai faiblement la tête en frottant alors mon membre contre son intimité avec lenteur, avant de donner un bref coup de reins pour entrer vivement et entièrement en elle. Totalement subjugué par une brusque flambée de plaisir, je demeurai immobile en conservant mon regard planté dans le sien, incapable de ne pas la regarder. Je voulais partager ce trop plein de plaisir avec elle tout simplement. Je lâchai un long gémissement de plaisir lorsque je démarrai de faibles vas et viens et la vis cambrer franchement le dos. Le souffle totalement coupé, je me penchai pour donner un faible coup de langue sur l’un de ses seins, l’air de rien, avant de redresser la tête pour la regarder amoureusement. Ses ongles dans ma peau et sa morsure me firent fortement gémir de plaisir, en réponse à ses propres cris qui me faisaient trembler avec intensité. J’étais clairement en train de mourir sous le plaisir qui n’avait de cesse d’augmenter petit à petit en moi. Elle glissa un doigt de sa joue à mes lèvres et je refermai mes dents sur celui-ci, pour le mordiller avec lenteur. « Il est pourtant arrivé, mon amour, nous sommes enfin unis… » Je gémis doucement en posant mon front contre le sien avec extrême lenteur, sans la quitter un seul instant du regard. Je voulais conserver cette puissante magie pour notre première fois si merveilleuse à souhait. « Enfin unis ma Sissie. » Soufflais-je d’une voix douce et rendue rauque par un plaisir non contenue. Elle plaqua ensuite ses lèvres contre les miennes et je les entrouvris pour accueillir sa langue insistante. Celles-ci se trouvèrent et se pressèrent l’une contre l’autre avec une franche insistance et une passion folle et incontrôlable. Lorsqu’elle entreprit de bouger vivement le bassin, j’amplifiai franchement les miens pour les rendre plus rapides, plus longs, plus souples et sensuels. Je lâchai un bref gémissement de plaisir en sentant ses brefs spasmes qui se faisaient ressentir dans tout son corps, songeant que c’était foutrement plaisant de la voir prendre autant de plaisir. J’eus un faible sourire attendri devant son regard clairement paniqué. « Than… Je… Oh… » Je grognai doucement en la voyant jouir pleinement, ma propre jouissance s’accordant alors à la sienne pour que nous ne fassions plus qu’un, enfin. Je me contractai avec force sous la puissance de mon plaisir, mes coups de reins se faisant plus rares et plus difficiles mais bien plus violents et brutaux, tandis que j’empoignai fortement la couverture de mes mains, à m’en faire blanchir les jointures de mes doigts.
Une fois les vagues de plaisir estompées, je cessai mes mouvements en restant au dessus d’elle, le regard totalement perdu et choqué tant le plaisir avait été brutal et dévastateur. La sueur perlait sur mon corps et me fit glisser contre le sien, tout autant en sueur, lorsque j’entrepris de bouger légèrement, à peine. « Tu sais quoi ? J’ai arrêté la pilule… » Je lâchai un doux rire en la regardant amoureusement, incapable de lui en vouloir pour le coup. Je déglutis longuement en me penchant pour déposer un long baiser sur ses lèvres, me contentant de les presser des miennes, avec insistance. « C’est parfait alors … Parce que je veux te faire un enfant au plus vite. On a perdu assez de temps comme ça mon amour. Je veux voir notre enfant se former en toi et le voir grandir par la suite. Je veux fonder notre famille. La notre … » Soufflais-je doucement en roulant avec lenteur pour me retrouver sous elle et la serrer vivement contre moi. « J’espère que tu es prête mon amour. Notre vie ne fait que commencer. Tout comme cette nuit d’ailleurs. » Soufflais-je doucement en l’attrapant faiblement par les hanches pour la faire bouger à peine sur moi, tout en déposant de brefs baisers sonores sur ses lèvres.
✔ HUMEUR : Rêveuse ✔ EN JEUX : Pas pour le moment ✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre ✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Mar 27 Déc - 21:10
« Marque moi … Marque ton territoire, je ne demande pas mieux. » Léchant faiblement mes lèvres je luttais pour ne pas le mordre partout, je ne voulais pas déjà le marquer alors que nous ne faisions même pas l’amour … Il fallait que je sois patiente, ne pas le mordre maintenant…. « Je vais le marquer…. T’inquiète pas pour ça… tu seras marqué à vie… » soufflai-je doucement en souriant en coin. Parlant par la suite du parc, j’en vins a dire que nos enfants aimeraient peut être le parc comme nous on l’aime et qu’ils feraient certainement les mêmes choses que nous avions pu faire sur ce parc… Qui sait… Mais le fait de savoir qu’ils allaient faire l’amour alors qu’ils n’étaient même pas nez me donner des frissons ! « Notre fils pourra dès l’âge de quinze ans. Notre fille … Pas avant ses vingt et un ans. On est bien d’accord ? » Fronçant les sourcils, je me reculais faiblement en lui lançant un regard interrogatoire avant de lui foutre une pichenette sur la tête. « Arrête ce n’est pas drôle ! Ils le feront… à l’âge qu’ils le feront… Mais merde, il ne faudra pas que notre fille emmène son copain chez nous… Je vais…. Rahhh notre bébé… Hein tu penses comme moi bébé ? » Demandai-je doucement en plongeant mon regard dans le sien souriant faiblement pour avoir son avis sur le sujet. Par la suite, faisant des sous-entendu on ne peut plus sexuels j’en vins à lui dire que même dans une position en levrette, il n’aurait pas le droit de me taper, juste de les caresser pour le frustrer tout simplement, alors qu’il tâtait mon sein avec franchise, celui-ci durcissant faiblement sous la pauma de sa main. « Pas besoin de mes mains pour faire rougir tes fesses dans une telle position chérie. Des coups de reins bien bien sauvages et le tour est joué … » Mordillant lentement mes lèvres à cette phrase, je fermais lentement les yeux pour imaginer notre corps à corps dominant. Son bas ventre heurtant férocement mes fesses, mon corps partant en avant sous la puissance de celui-ci, mes fesses rougissant rapidement comme jamais. J’en rêvais, oh que oui j’en rêvais mortellement ! « J’espère que tes coups de reins valent le coup alors… va falloir me prouver cela… » soufflai-je d’une voix on ne peut plus taquine. Rapidement il se mit à genoux devant moi me demandant en mariage et ce, le plus rapidement possible. Lui sautant dessus je dis oui, oui et encore oui ! L’embrassant franchement a en perdre haleine, je lui fis la remarque alors que nous ne devions pas envoyer de envoyer de faire part à nos mères, ou du moins après… Histoire de ne pas réellement les inviter… Il était hors de question qu’elles soient là… « Bon sang ouais … Leur envoyer des faire parts après le mariage, pour leur montrer combien notre amour aura tout vaincu, même eux. Jouissif … »
Riant doucement en imaginant la scène, je fermais lentement les yeux en imaginant parfaitement la scène que me ferais ma mère. Elle hurlerait, me dirait de le quitter sur le champ, elle ferait en effet tout pour que je ne reste pas avec l’homme qui n’était pas fait pour moi. Mais malheureusement pour elle, il était clairement fait pour moi. Oui il l’était parce que je l’aimais et qu’il m’aimait lui aussi. Elle n’avait pas à choisir l’homme que je devais aimer, épouser, c’était à moi de le faire, c’était ma vie après tout… C’était à mon cœur de choisir et non pas ma génitrice. Et mon cœur avais choisi depuis le début, c’était Gaylwen Jonathan Copeland que j’allais épouser. « Je ne sais pas la tienne, mais la mienne va me faire une scène terriblement sanglante ! Mais bordel je jouirais de lui rire au nez en lui montrant ma main… Les photos… nous deux heureux… Je t’aime Than… » murmurai-je doucement en déposant un rapide baiser sur ses lèvres. M’attrapant la main, il entreprit alors de mettre la bague à mon doigt. Le laissant faire et surtout le regardant faire, mon cœur s’emballa encore sous cette vue des plus parfaite. J’immortalisais ce moment, je le devais oui car ce n’était pas tous les jours que l’homme qu’on aime nous passe la bague au doigt. Lui murmurant qu’il aurait très bien pu m’offrir une capsule de canette ça m’aurait tout aussi plus, je lui fis comprendre que j’étais sincère. Tant que je l’avais auprès de moi… Il voulait le meilleur pour moi, mais moi tout ce que je voulais c’était lui… Simplement lui ! « Je sais ma chérie, mon amour, mon âme sœur. Mais tant qu’on a de l’argent autant en profiter non ? Mais quoi qu’il arrive, je t’aimerai toujours aussi. Riches, pauvres, en pleine santé, malades … Je t’aime chérie. Je t’aime, je t’aime, je t’aime. Je n’aurai jamais assez d’une vie pour te le dire et te le répéter encore et encore mon amour. Than et Sissie, le début d’une nouvelle vie. » Frissonnant sous cet afflux de parole, je plongeais mon regard dans le sien, sentant mon cœur s’emballer comme jamais. C’était terriblement plaisant à entendre, je ne pouvais pas le nier, oui, Gaylwen était en train de me tuer de bonheur, tout ce qu’il pouvait me dire avait le don de soulever mon cœur dans le bon sens.
Les larmes aux yeux, je fermais ceux-ci, dans un espoir vint de ne pas pleurer. Je n’avais pas à pleurer, il ne le fallait pas. Pas que ce soit une question de honte, bien au contraire, mais pour ne pas que l’on pleure tous les deux sans pouvoir s’arrêter comme deux petits idiots… Ses paroles me touchaient profondément, d’autant plus qu’il oubliait quelque chose d’important… Il avait de l’argent, moi je n’en avais pas, j’avais toujours vécut avec peu d’argent, j’avais toujours manqué d’argent, au point de devoir faire du strip-tease pendant quatre ans pour essayer de me sortir de cette misère et me payer pas mal de chose. Je n’étais pas comme lui à avoir pas mal d’argent, une voiture de luxe et un bel appartement… Non, je n’avais rien, la preuve, je bossais encore en tant que serveuse dans une boite de nuit… C’était loin d’être glorieux dans le fond … « Chéri… Tu as de l’argent, moi je n’en ai pas, ne m’inclus pas dedans, ne dit pas nous, car ce n’est pas mon argent Than… Et tu le sais parfaitement, je ne peux pas… Je ne pourrais pas vivre sur ton argent, je ne veux pas de cela, tu connais ma réponse sur ce sujet-là… Je t’aime, terriblement, dans la richesse comme dans la pauvreté mais… Je ne peux pas… Faire ça… Profiter de ton argent, tu as une bonne situation, pas moi et ça me gênerait de vivre sur ton compte… » murmurai-je doucement en plongeant mon regard dans le sien, essayant de lui faire comprendre que je ne voudrais pas de cela. On en avait déjà parlé chez lui et il savait que l’argent était un sujet on ne peut plus sensible chez moi… Je ne voulais pas passer pour une profiteuse, je savais vivre avec le strict minimum, je ne voulais pas être Shanae, celle qui vit au dépend de son mari… Dans un sens c’était bien ce que j’allais devenir… Après tout nous étions fiancés à présent, nous n’allions tout de même pas vivre séparément non ? Tout se bousculait dans ma tête, j’étais a présent totalement perdue. Lui murmurant alors que j’étais à deux doigts de pleurer tellement j’étais heureuse de partager enfin ce moment avec lui, il me fit remarquer que lui aussi était pas loin de pleurer… Il ne fallait pas que l’on craque, ni l’un ni l’autre, et ce que j’aimais chez lui c’était bien le coté non pudique envers moi. Dans tous les sens du terme. Je l’aimais terriblement… « Avec toi, je suis entièrement moi. Sans apparences, sans masque, sans fierté, sans honte. Je suis totalement à toi, entièrement … » Inspirant profondément en plongeant mon regard dans le sien, je posais lentement ma main sur sa joue, comme pour profiter de ce moment. Sa peau si douce sous ma main, je lâchais un bref soupire de bien-être. Ce moment devenait unique, il se gravait en moi comme jamais aucun autre moment ne s’était gravé en moi. Je vivais un paradis, tout simplement, et Gaylwen y contribuait franchement pour le coup.
Le fait qu’il n’y ai aucune barrière entre nous, que nous n’ayons pas de honte vis-à-vis de l’un comme de l’autre me faisait plaisir. J’avais l’impression de vivre un conte de fée. On savait pertinemment que beaucoup d’homme ne montraient jamais leurs faiblesses, et ça Gaylwen il s’en fichait et c’était là, à mes yeux une des plus belles preuves d’amour qu’il ait pu me faire. Posant mon autre main sur sa joue, je le regardais en souriant de plus belle, déposant de long et lent baisers humides sur ses lèvres. C’était plaisant à souhait, terriblement plaisant. Inspirant profondément je collais mon front au sien en faisant abstraction du plaisir que cela me procurait. « Et j’aime voir ta réaction… J’aime savoir que tu t’adonnes entièrement à moi mon amour ça me plait démesurément… Je t’aime, on n’a pas besoin de se cacher l’un à l’autre… Jamais… » murmurai-je doucement en plongeant bien mon regard dans le sien, souriant en coin avant de le pousser pour rouler sur le sol m’allongeant alors sur lui. Je voulais le faire marcher, je voulais lui faire croire que je ne voulais pas faire l’amour, mais attendre le mariage, et je le fis l’air de rien, lui intimant alors que vu notre attente, autant attendre le jour J pour faire réellement l’amour. Bien sûr c’était une petite blague de ma part, il était hors de question d’attendre… Je crevais trop d’envie pour attendre ! Nous allions mourir sous la frustration si cela continuait… Rapidement je lui fis comprendre que je rigolais, de toute façon, il le savait déjà, on se connaissait que trop bien pour savoir l’un l’autre quand l’un de nous plaisantait ou pas… Roulant sur le sol pour filer vers la couverture, je nous enroulais dedans avec le plus de force possible de façon à être on ne peut plus serrer l’un et l’autre. Me déshabillant lentement je le laissais faire, sentant mon string partir de mes cuisses avec une rapidité et une force déconcertante. L’abandonnant sur ma cuisses le déchirant sans aucune gêne, je souriais franchement, aimant le voir faire. « Plus de rempart entre ton corps et le mien. Juste nous et notre désir, mon amour. » Frissonnant de bien être, en passant ma langue sur mes lèvres, je le laissais se déshabiller totalement, caressant sa peau du bout de mes doigts. Plus de rempart, plus rien, nous étions à présent, totalement nus comme des vers et j’aimais cela. « Juste toi et moi… Et notre désir ! » soufflai-je doucement en lui lançant un regard on ne peut plus amoureux. Oui, je l’aimais et je ne voulais plus me cacher. Je voulais l’embrasser devant tout le monde, faire la folle avec lui, rire, pleurer, crier, hurler, je voulais tout faire avec lui, tout simplement. Partager des moments sans penser à nos parents, sans se dire que si l’on se fait griller tout pourrait cesser… Non, absolument pas, aujourd’hui nous pouvions tout faire sans aucun souci ! Et c’était bien ce que j’aimais. Oui Gaylwen et moi sans aucune barrière, encombre ou tout autre empêchement du genre ! Le sentant se frotter contre moi, je poussais un faible petit cri avant de le sentir entrer en mot dans une violence mal contenue.
Poussant un franc cri de plaisir en cambrant le dos, mon corps se mit à trembler sous l’afflux déjà intense de plaisir. Sentant alors sa langue sur l’un de mes seins, un simple coup rapide donné à l’un d’eux, je le sentis se durcir sous le coup, tremblant violemment en gémissant franchement. C’était le paradis, il n’y avait pas mieux, je ne pouvais pas rêver mieux… « Enfin unis ma Sissie. » Frissonnant de bien être à ses douces paroles, je fermais lentement les yeux comme pour profiter au maximum de ce moment. Nous étions enfin unis oui. Nous ne faisions plus qu’un ! C’était comme un rêve qui se réalisait enfin. Arquant mon dos sous ses coups de reins, je le laissais dominer la cadence, avant de bouger à mon tour le bassin. Bougeant franchement, comme jamais je ne m’étais investi je sentis le plaisir monter petit à petit me faisant bien comprendre que j’allais avoir un orgasme. Le sentant bouger encore plus ayant compris lui aussi que je n’allais vraiment pas tarder, je me sentis partir dans une déferlante grandiose. Mon corps envahit de spasmes incontrôlable, je me mis a gémir comme jamais, le sentant alors jouir en moi. Nous étions accordés même pour l’orgasme. Totalement envoutée et épuisée alors que je n’avais rien fait contrairement à lui, je m’approchais de son oreille pour lui dire tout doucement que j’avais arrêté la pilule. Petite phrase pour lui faire aisément comprendre qu’à partir de maintenant, j’avais des chances de tomber enceinte… C’était à lui de jouer ! Son bref doux rire me fit frissonner de tout mon long. « C’est parfait alors … Parce que je veux te faire un enfant au plus vite. On a perdu assez de temps comme ça mon amour. Je veux voir notre enfant se former en toi et le voir grandir par la suite. Je veux fonder notre famille. La nôtre … » Frissonnant de bien être, je fermais les yeux en sentant à nouveau les larmes envahir mes yeux. Autant dire que c’était compliqué et intense. Nous étions enfin en train de vivre notre amour pleinement sans avoir à se soucier de nos parents… C’était fini tout cela… Me serrant contre lui, il nous fit tourner pour que je puisse me retrouver sur lui. Le laissant faire, je serrais mes jambes sur les siennes poussant un faible gémissement de plaisir. « J’espère que tu es prête mon amour. Notre vie ne fait que commencer. Tout comme cette nuit d’ailleurs. » Inspirant profondément, je fermais les yeux posant mon front contre le sien, mon souffle se coupant plus ou moins. Ses mains sur mes hanches me faisant bouger, je le laissais faire, sentant alors son membre glisser en moi. Entrouvrant la bouche sous le coup, je repliais mes jambes autour de son corps posant mes mains de part et d’autre de son visage déposant de long et lent baisés humide sur ses lèvres.
Paradis, j’étais au paradis tout simplement. Des tonnes d’émotions me submergeaient, je me sentais vivre, je me sentais bien au comble de mon bonheur. Tremblant quelque peu en bougeant un peu plus je passais le bout de ma langue sur ses lèvres montant vers son nez, son front, descendant sur ses pommettes, joues, le léchant longuement avant de venir dans son cou pour le mordre violemment sous une pulsion d’envie. Donnant un franc coup de reins, j’arquais mon dos, en gémissant fortement tirant sur sa peau avec force. « Va falloir que tu travailles beaucoup… Beaucoup pour me mettre enceinte… Tous les jours, plusieurs fois… » murmurais-je doucement en frissonnant de bien être, frottant longuement ma poitrine contre son torse. Je nous imaginais déjà au lit tout le week-end afin de pouvoir me mettre enceinte. Nos corps en sueurs, les cris, les hurlements de plaisir, le lit qui grince qui cogne contre le mur, nos corps fatigués, ayant du mal à continuer… Oh que oui, j’imaginais tout cela dans une perfection sans faille ! il me tardait même déjà, de voir le petit trait rose m’annonçant que je suis enceinte et partager cette joie avec mon homme, Gaylwen. Inspirant profondément en léchant ma peau de son cou, je remontais à ses lèvres plongeant mon regard dans le sien, faisant de lent vas et vient, sans pouvoir m’arrêter, c’était bien trop bon pour cesser, bien trop parfait. Faire l’amour avec Gaylwen était la meilleure chose qui pouvait nous arriver… Nous avions attendus trop longtemps et maintenant que nous avions franchis le pas, huit ans était à rattraper… huit ans ! Tirant sur la couette pour la tirer un peu plus, je me redressais comme je pouvais en tirant Gaylwen avec moi pour qu’il soit assis. L’embrassant alors langoureusement, je bougeais simplement le bassin de façon circulaire, suçotant sa langue avec envie, mon intimité se contractant sous la force, mon corps se laissant alors envahir par un doux orgasme. Cambrant le dos, je penchais la tête en arrière en gémissant franchement, ceux-ci, résonnant dans le parc vide, noir, notre parc.
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Jeu 26 Jan - 16:17
« Shanae & Gaylwen »
« Je vais le marquer…. T’inquiète pas pour ça… tu seras marqué à vie… » Je ris doucement en levant vaguement les yeux au ciel. Pour une personne de l’extérieure, de tels propos avaient de quoi faire peur tout de même, il fallait bien le reconnaître. Moi-même je n’avais pas peur puisque je savais parfaitement ce qu’ils signifiaient. A vrai dire, j’étais plus excité qu’autre chose à cette perspective. Car il ne s’agissait bien entendu pas de coups qu’elle pourrait me donner, mais bel et bien de blessures sexuelles. Griffures, coups de dents, pincements … Je disais oui et encore oui. Je voulais des suçons, de bleus, des traces de morsures et de griffures. Sur mon visage, dans mon cou, sur mon torse et mon dos … Bon sang et j’en redemanderai forcément par la suite ! Et évidemment, je lui rendrai la pareille sans hésitation. Je voulais déjà lui mordre chaque partie trop tentante de son corps, je voulais l’empoigner par les fesses, les cuisses, les hanches, la taille, les seins, les épaules. Le tout, dans des ébats sauvages, violents et débridés. Comment ne pas le vouloir d’ailleurs ? C’était tout bonnement impossible selon moi. « Je compte sur toi. » Soufflais-je d’une voix taquine, sans la quitter de mon regard coquin. Provocation sur provocation, comme dans le passé. Un passé plus que parfait que nous comptions bien conjuguer au présent et au futur, dès à présent. Alors que nous parlions de nos enfants à venir, je fus quelque peu surpris que nous mentionnions déjà leurs conquêtes. Mais plus précisément encore, du jour où ils en arriveraient à leur toute première fois. Bon sang, ces gosses n’étaient même pas encore en cours de conception ! Je ris doucement lorsqu’elle me fit une petite pichenette sur le nez, pouvoir émis l’idée que notre fille attendrait quelques années de plus que notre fils, avant de pouvoir en arriver à coucher avec qui que ce soit. Bien entendu, je la taquinais simplement. Pas de différence entre les deux sexes, dans notre famille, pour quoi que ce soit ! « Arrête ce n’est pas drôle ! Ils le feront… à l’âge qu’ils le feront… Mais merde, il ne faudra pas que notre fille emmène son copain chez nous… Je vais…. Rahhh notre bébé… Hein tu penses comme moi bébé ? » Je ris doucement en lui adressant un regard franchement amoureux et attendri. Tendrement, je passai le dos de mon index sur sa joue, avant de le retirer sans la quitter du regard. « Oui bébé, je pense comme toi ! » Lui répondis-je d’une voix taquine, en parcourant son visage du regard, sans me lasser un seul petit instant. « Hm tu préfères pas qu’on rencontre son copain ? Et pareil pour notre fils ? Et tu ne préfères pas être certaine qu’ils font ça dans un cadre normal et parfait tel qu’une chambre, avec capotes et tout, plutôt que d’imaginer qu’ils puissent le faire genre dans ce parc cet non protégés ? » Lui demandais-je ensuite d’une voix douce en souriant de façon attendrie. Attendri de la voir si protectrice à l’encontre d’enfants qui n’étaient même pas encore nés.
Par la suite, alors que nous parlions ouvertement de sexe, elle mentionna le fait que même dans une pure position de domination, je n’aurais pas le droit de lui taper les fesses. Tout en tâtant franchement son sein comme si c’était on ne peut plus normal, je lui fis remarquer que dans une telle position, mes coups de reins suffiraient amplement à lui faire rougir ses petites fesses si parfaites et plaisantes à regarder et toucher. Il me suffit de la voir fermer les yeux, pour comprendre qu’elle était en train de s’imaginer la scène et que celle-ci était loin de lui déplaire. « J’espère que tes coups de reins valent le coup alors… va falloir me prouver cela… » Je ris doucement en levant les yeux. Comme si elle n’avait pas pu s’en rendre compte dans le passé. Certes, nous n’avions pas véritablement couché ensemble. Mais je ne m’étais jamais privé de lui faire ressentir mon désir en donnant de francs coups de reins contre son intimité, qu’elle portât alors un pantalon, une jupe ou tout autre vêtement. « Hmpf … Tu es bien placée pour le savoir mon amour … » Lui fis-je remarquer d’une voix douce et caressante à souhait, en lui lançant un regard aguicheur et séducteur comme jamais. Je crevais d’envie d’elle et j’osais sincèrement espérer qu’elle était dans le même état. Mais dans l’immédiat, je devais d’abord faire une chose hautement importante, qui tournerait vraiment une grande page de notre vie dont une partie était clairement déplaisante. Je me retrouvai donc à genoux devant elle pour la demander en mariage comme j’aurais du le faire depuis bien longtemps déjà, de façon formelle. Un moment plus tard, je répondais à son baiser avec ardeur, tandis qu’elle pressait ses lèvres contre les miennes et glissait inlassablement sa langue dans ma bouche. Le souffle totalement coupé par le plaisir, je la regardais avec envie, alors que nous parlions du mariage à venir. L’un comme l’autre, nous avions envie de nous venger de nos parents respectifs. Ou du moins, de nos mères, puisque nos deux pères étaient morts. D’ailleurs, c’était tant mieux. « Je ne sais pas la tienne, mais la mienne va me faire une scène terriblement sanglante ! Mais bordel je jouirai de lui rire au nez en lui montrant ma main… Les photos… nous deux heureux… Je t’aime Than… » Je ris doucement en la regardant avec amour, avant de déposer un lent baiser sur ses lèvres, du bout des miennes. « Bof … Je pense que la mienne va se noyer dans un nouveau surplus de bouteilles de whisky et de vodka. » Répondis-je en plissant le nez, d’une voix qui trahissait un peu trop la haine que je ressentais pour ma part depuis qu’elle était elle aussi tombée dans l’alcool. « Et je t’aime aussi ma Sissie. Comme un taré. » Ajoutais-je d’une voix plus douce et clairement amoureuse en souriant franchement.
Je me redressai ensuite quelque peu, pour lui enfiler le solitaire que j’avais pris le soin d’acheter, exprès pour cette demande qui me tuais de bonheur, à elle toute seule. Mais tout de même bien moins que son acceptation évidemment. Je ne pu m’empêcher de rire quelque peu en apprenant qu’une capsule de canette lui aurait suffit en guise de bague. Il était certain qu’elle se foutait royalement de l’argent et c’était bien mon cas aussi. Quoi qu’il en soit, il était clair que j’aimais le fait qu’elle était bien loin d’être superficielle et matérialiste. Ce n’était vraiment pas elle ça. « Chéri… Tu as de l’argent, moi je n’en ai pas, ne m’inclus pas dedans, ne dit pas nous, car ce n’est pas mon argent Than… Et tu le sais parfaitement, je ne peux pas… Je ne pourrais pas vivre sur ton argent, je ne veux pas de cela, tu connais ma réponse sur ce sujet-là… Je t’aime, terriblement, dans la richesse comme dans la pauvreté mais… Je ne peux pas… Faire ça… Profiter de ton argent, tu as une bonne situation, pas moi et ça me gênerait de vivre sur ton compte… » Je me figeai franchement sur le coup, lui lançant un regard terriblement choqué et en même temps, déçu. Envolés les « ce qui est à moi est à toi et ce qui est à toi est à moi » ? Envolés l’amour qui comptait tellement plus que tout, au point où l’argent n’entrait pas en ligne de compte ? J’étais loin d’être millionnaire mais il était vrai que j’avais de l’argent. Je gagnais très bien ma vie parce que je m’étais donné les moyens pour cela. Rejeter mon argent, c’était comme rejeter une part de moi. Incapable de sourire et de soutenir son regard sur le coup, tant j’étais blessé d’apprendre cela, je détournai la tête un long moment sans parler.[colo=teal] « Alors l’amour ne passe pas au dessus de tout ? Ce qui est à moi n’est pas à toi ? Cassie, tu rejettes une partie de moi en disant ça, en refusant mon argent. C’était bien la dernière chose à laquelle je m’attendais dans notre couple. »[/color] Lâchais-je alors d’une voix faible et à peine audible, sans jamais la regarder. Je ne tenais pas à lui montrer combien elle m’avait atteint par de tels propos. Jamais je n’aurais pu imaginer que notre amour si parfait, sans nuage et notre relation si fusionnelle jusque dans les moindres détails, puissent ne plus compter lorsqu’il était question d’argent. L’argent n’avait pas sa place là, elle inventait un rempart d’elle-même. Je tentai pourtant de passer outre en ravalant des propos que j’aurai pu dire pour me venger, inconsciemment, de la peine qu’elle était parvenue à créer en moi. Je mentionnai alors le fait que je n’avais pas la moindre honte à pleurer devant elle, lorsque le besoin était trop pressant. Après tout, je n’avais strictement rien à lui cacher. Je fermai les yeux pour profiter pleinement lorsqu’elle posa son front contre le mien. « Et j’aime voir ta réaction… J’aime savoir que tu t’adonnes entièrement à moi mon amour ça me plait démesurément… Je t’aime, on n’a pas besoin de se cacher l’un à l’autre… Jamais… »
Je souris faiblement en coin en hochant la tête avec lenteur, avant d’entrouvrir les paupières pour la regarder amoureusement, sans jamais pouvoir m’en lasser. Son regard bleu ancré dans le mien, pouvait faire des miracles. M’apaiser, me rendre heureux et tout un tas d’autres choses bien sûr. « On ne forme qu’un toi et moi. » Soufflais-je d’une voix douce sans la quitter un seul instant du regard. Parlant ensuite du fait que je voulais lui faire l’amour, je ris doucement en l’entendant m’apprendre qu’elle voulait attendre le mariage. Du moins, elle voulait me le faire croire, puisque j’étais incapable de la croire pour le coup, tant nous avions envie l’un de l’autre et ce, depuis beaucoup trop longtemps à mon goût, sans pouvoir faire quoi que ce soit. Un bref moment plus tard, nous détrompions ses paroles, en nous enroulant dans la couverture que j’avais apportée exprès, étroitement serrés l’un contre l’autre. Sans pouvoir me retenir plus longtemps, je lui retirais alors sa robe. Son string, dans un piteux état par ma faute, connu rapidement le même sort, puis ce fut au tour de mes propres vêtements. Totalement nus l’un contre l’autre, je m’allongeai faiblement sur elle en lui faisant remarquer ce fait imparable, que plus aucun vêtement ne nous séparait l’un de l’autre. Enfin ! « Juste toi et moi… Et notre désir ! » Sans pouvoir me retenir une seconde de plus, j’unis nos corps avec force, en entrant franchement en elle. Je me figeai aussitôt et lâchai un bref gémissement à son franc cri de plaisir et à son dos qui se cambrait franchement en réponse à mon entrée … Fracassante. Je me penchai le temps de donner un franc coup de langue sur l’un de ses seins si tentant. L’instant d’après, je démarrai de francs coups de reins, sans pouvoir m’en empêcher, gémissant lorsque ses mouvements se joignirent aux miens. En sentant que son plaisir montait à une vitesse fulgurante, je provoquai son arrivée en accélérant franchement mes mouvements, sans la quitter un seul instant du regard. Malgré l’air doux, la sueur recouvrit mon corps sous l’effort et le plaisir trop intense. L’instant d’après, je jouissais en elle et mes gémissements se joignirent aux siens. Le corps secoué de brefs spasmes de plaisir, je m’allongeai pleinement sur elle, torse contre sa poitrine divine, nos corps tremblant l’un contre l’autre, en parfaite harmonie. Durant de longues minutes, nous ne bougeâmes ni ne parlâmes, trop occupés à tenter de redescendre sur terre après cet instant de pure magie. En apprenant de sa voix douce à souhait, qu’elle ne prenait pas la pilule, je ris doucement en lui faisant remarquer que c’était tant mieux, car je voulais un enfant d’elle au plus vite. Je resserrai alors mon emprise autour de son corps, pour nous faire basculer et ainsi la faire se retrouver sur moi. Mes mains sur ses hanches, je la fis bouger avec lenteur, tandis qu’elle resserra ses cuisses autour de mon corps et déposai de lents baisers sur mes lèvres. Tremblant, je l’embrassai avec lenteur. Je lâchai un bref grognement de plaisir en la sentant bouger un peu plus franchement et souris en coin lorsqu’elle glissa sa langue de mes lèvres à mon nez puis mon front, avant de redescendre sur l’une de mes pommettes puis ma joue. Je lâchai un franc cri, lorsqu’elle mordit mon cou avec force et souris franchement, tel le maso qu’elle faisait de moi pour le coup. Dans un même temps, elle donna un franc coup de reins, ce qui provoqua un retour fulgurant du plaisir en moi, me faisant trembler tandis que je resserrai mes mains sur ses hanches. « Va falloir que tu travailles beaucoup… Beaucoup pour me mettre enceinte… Tous les jours, plusieurs fois… » Je ris doucement en levant les yeux au ciel, avant de tâter faiblement ses fesses sous un afflux de désir. « Hm … Mais même enceinte et après, je te ferai l’amour tous les jours, plusieurs fois par jour. » Lui soufflais-je d’une voix caressante et remplie de promesses. Comment me lasser d’elle et du plaisir qu’elle me procurait ? C’était tout bonnement impossible évidemment ! Je frissonnai à son coup de langue sur ma peau, avant qu’elle ne se redresse pour m’embrasser tout en faisant de lents vas et vient.
Elle tira ensuite la couverture pour s’asseoir et m’entrainer avec elle. Je gémis faiblement de plaisir en glissant mes mains sur ses reins pour l’aider dans ses mouvements circulaires et répondis à son baiser en pressant bien ma langue contre la sienne. Tremblant de plaisir, je lâchai un bref gémissement en entrouvrant les paupières pour la regarder amoureusement, tandis qu’elle suçotait ma langue avec lenteur et insistance. Je souris en coin en la voyant jouir avec douceur, se penchant en arrière et gémissant de plaisir. Tremblant doucement, je glissai ma langue dans son cou pour la caresser de la pointe de celle-ci avec lenteur, m’amusant alors de sa carotide où je sentais son sang pulser avec force, tandis que son cœur battait la chamade sous la main que je venais de poser sur son sein. Je les empoignai avec lenteur pour les tâter franchement, mordillant son cou avec tendresse. Je fini par la faire basculer avec lenteur, laissant la couverture se retirer un tant soit peu de sur nous. Je doutais qu’il y ait qui que ce soit dans le par et de toute façon, il faisait trop noir pour que l’on nous voit. Frissonnant de plaisir, je restai à genoux devant elle pour bouger lentement le bassin en me penchant pour embrasser lentement sa poitrine nue. « Tu sais que je t’aime ? » Demandais-je en souriant en coin et mordillant sa peau avec lenteur, sans cesser de glisser longuement et lentement en elle, pour prendre mon temps pour la tuer pleinement.
✔ HUMEUR : Rêveuse ✔ EN JEUX : Pas pour le moment ✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre ✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Sam 11 Fév - 22:06
« Je compte sur toi. » Gémissant longuement, je mordis un peu plus son cou, le marquant sans aucune gêne, aimant terriblement marquer mon territoire. Il était mien, et ça devait se savoir… Ne répondant rien, je continuais de le marquer, restant coller contre lui, remontant alors mon visage vers le sien, déposant de lent et doux baisers sur ses lèvres. Puis après ce moment si intense en baisers et morsure, j’en vins à parler d’enfant, les nôtres plus précisément… nos enfants, grand… Et je me montrais déjà très possessive à leurs égards… Je ne voulais pas perdre mes bébés… Des bébés qui n’étaient même pas encore nés… ni même en stade de procréation… « Oui bébé, je pense comme toi ! » Frissonnant à cette phrase, je me pinçais les lèvres en inspirant longuement. J’aimais que l’on puisse être totalement d’accord, ça me plaisait même démesurément… « Hm tu préfères pas qu’on rencontre son copain ? Et pareil pour notre fils ? Et tu ne préfères pas être certaine qu’ils font ça dans un cadre normal et parfait tel qu’une chambre, avec capotes et tout, plutôt que d’imaginer qu’ils puissent le faire genre dans ce parc cet non protégés ? » Plissant le nez, je m’apercevais que j’étais jalouse d’enfant qui n’existaient même pas… Pas jalouse d’eux, mais plutôt jalouse de ce qu’ils feront une fois grand… Je ne voulais pas les perdre rapidement, mais je savais que malheureusement cela arriverait bien un jour ou l’autre, comme nous deux avions grandis bien entendu…
« On verra… ça me stresse rien que d’y penser déjà… Je n’ai pas envie de les voir grandir trop vite non plus… » soufflai-je en faisant une petite grimace. Se collant à moi par la suite, j’en vins à lui dire qu’il avait intérêt à me donner des très bon coup de reins… mais surtout qu’il avait intérêt à me montrer cela… Je voulais les voir les sentir, je voulais que son corps claque contre le mien… Oui il m’avait excitée… « Hmpf … Tu es bien placée pour le savoir mon amour … » Passant rapidement ma langue sur mes lèvres, je lui lançais un de mes regards totalement fou. Oui, j’étais à présent totalement excitée, je le désirais ardemment, j’avais un besoin vital de l’avoir près de moi mais surtout de faire autre chose que des préliminaires… Je savais pertinemment bien entendu que ces coups de reins en valaient la peine… Même si nous n’avions jamais fait l’amour, on s’était frotté l’un à l’autre, on avait fait comme si nous faisions l’amour, en se frottant tout simplement. « Oui… Mais il me tarde réellement d’y gouter… » soufflai-je d’une voix quelque peu basse sous le coup. Le voyant se mettre à genoux par la suite, sa demande en mariage eut le don de me rendre folle. Acceptant sans même attendre une seconde, je lui sautais dessus à même le sol l’embrassant comme jamais avant de parler du mariage. Le plus tôt possible serait le mieux ! Et sans nos mères bien évidemment… D’ailleurs je me mis à dire que ma mère serait folle en apprenant le mariage, bien sûr je le lui annoncerai une fois totalement mariée… « Bof … Je pense que la mienne va se noyer dans un nouveau surplus de bouteilles de whisky et de vodka. » Plissant quelque peu le nez, je trouvais la situation totalement dérisoire. Comment sa mère pouvait-elle boire ? Être accro a la bouteille la taquiner avec autant de plaisir, alors que son mari l’avait battu de nombreuses reprises, buvait et faisait de la vie de leurs enfants une horreur ? Je me le demandais bien, et c’était je pense, ce qu’il y avait de pire pour les enfants… Je n’étais pas dans la tête de Gaylwen, nous n’en avions pas encore parlé, mais je me doutais aisément qu’il avait dû et devait en souffrir encore du fait que sa mère puisse taquiner l’alcool.
« Et je t’aime aussi ma Sissie. Comme un taré. » Souriant en coin, je posais lentement mes mains sur ses joues m’approchant de lui pour déposer un doux et lent baiser sur ses lèvres. Entrouvrant la bouche pour inspirer son odeur, un sourire se logea alors sur mon visage. Ses lèvres étaient d’une douceur extrême, j’aimais l’embrasser, j’aimais les caresser, j’aimais tout de Than, je l’aimais entièrement, il était mon âme sœur, mon homme, ma vie, mon tout… « Ta mère… Est totalement idiote… Comment tomber dans l’alcool quand on a eu un mari alcoolique ? Enfin… On s’en fout, ce qui compte c’est toi et moi et personne d’autre, notre famille que l’on fonde, la nouvelle famille des Copeland… Et on sera terriblement heureux avec nos tonnes de marmots ! » soufflai-je en déposant de doux baiser sur ses lèvres les attrapant pour les lui mordiller lentement. Tout était parfait, c’était parfait, la demande en mariage, lui, ce moment, c’était euphorique et grandiose, un moment comme je les aimais avec lui, tout simplement. Prenant ma main pour y mettre la bague je le laissais faire en souriant en coin. C’était tellement beau, magique, la bague était terriblement belle qui plus est… Parlant par la suite d’argent, je me sentis mal à l’aise. Je ne pouvais pas vivre sur son compte, je ne pouvais pas profiter de son argent, je ne pouvais pas rester sans rien faire et dépenser son argent, c’était impossible… C’était même inconcevable… Je savais parfaitement que je n’aurais jamais réagi de la sorte avant mais… les temps avaient changé et malheureusement en étant pauvre depuis huit longues années, je savais qu’avoir de l’argent qui n’est pas à soi est terriblement humiliant… Pouvoir gagner ma vie proprement me ferait un bien fou… Le voyant se figer lorsque je lui fis comprendre mon point de vue, je compris alors que je venais surement de le blesser, plus que je ne l’aurais cru…
« Alors l’amour ne passe pas au-dessus de tout ? Ce qui est à moi n’est pas à toi ? Cassie, tu rejettes une partie de moi en disant ça, en refusant mon argent. C’était bien la dernière chose à laquelle je m’attendais dans notre couple. » Entrouvrant la bouche, totalement surprise de le voir de la sorte mais aussi d’entendre ces paroles, je me sentis rougir, puis blêmir. Fut une époque où son argent ne m’aurait guère gêné… Mais aujourd’hui, les temps avaient changés, j’étais, je sortais de huit ans de misères, huit ans à essayer de m’en sortir pour avoir de quoi vivre payer un loyer, pouvoir manger… Il ne savait pas ce que c’était que de vivre pratiquement sans rien, de devoir montrer plus ou moins son corps pour vivre, danser tous les soirs… Bref, je ne voulais pas non plus lui en parler, il n’était en rien coupable dans tout cela… Posant lentement ma main sur l’une de ses joues je les caressais avec lenteur baissant à mon tour le regard comme coupable. « Je suis désolée… Tellement… Je… J’ai vécu huit ans de misère, je sais qu’on en parle jamais, mais je… Je sais que ce qui est à toi et à moi… Et sache que ce qui est à moi et à toi, même si aujourd’hui je n’ai plus rien…Chéri s’il te plait, ne soit pas triste… » murmurai-je lentement en griffant l’air de rien sa joue avec douceur comme pour l’interpeller. Je n’avais pas voulu le blesser et malheureusement c’était fait je ne pouvais pas revenir en arrière… Essayant de changer de sujet, on en vint à parler de larmes et de pleures, chose qui ne me dérangeait pas, il pouvait bien pleurer devant moi je n’allais pas le juger pour autant, loin de là ! « On ne forme qu’un toi et moi. »
souriant en coin j’hochais faiblement la tête, totalement d’accord avec ce qu’il était en train de dire, nous ne formions qu’un. Je voulais être sa femme, je voulais que nos corps soit unis, je voulais tout simplement ne plus vivre un jour loin de lui. J’avais besoin de Gaylwen, j’avais un besoin vitale de sentir son corps près du mien, de l’avoir dans mon champ de vision… Il était ma joie de vive, il était un tout, il l’avait toujours été et à l’époque il était rare que nous passion peu de temps ensemble… Il venait toujours en cachette dans ma chambre ou nous passions des heures et des heures à nous découvrir, nous caresser, nous rendre fou sans faire l’amour une seule fois… Nous avions décidés de prendre notre temps, parfois je le regrettais… mais si tout cela n’était pas arrivé, nous aurions fait l’amour ce soir-là… Le jour de la remise des diplômes… Il le savait je le savais, nous en avions convenus…mais à présent c’était aujourd’hui que nous allions faire l’amour. Il était temps, lui comme moi n’en pouvions plus d’attendre. C’était devenu à présent une nécessité que de faire l’amour. Rapidement je fis genre de vouloir attendre le mariage pour faire l’amour, mais peu de temps après, on se retrouva enroulés dans la couverture, totalement nue s’embrassant à en perdre haleine, le désir prenant totalement le dessus. Sans prévenir il entra en moi dans un coup de rein franc souple et parfait. Nous figeant tous les deux, je cru mourir sous cet afflux de plaisir si nouveau qui prenait part de la moindre parcelle de mon corps. Lui lançant un regard totalement envouté et remplit de plaisir je le laissais alors me faire l’amour, nous rendant tous les deux totalement fous. Ses mouvements terriblement franc et rapidement, je bougeais le bassin comme je le pouvais de façon circulaire en poussant de lents cris de plaisir. Me laissant envahir par l’orgasme, je me figeais en poussant un long cri, le sentant alors jouir en moi.
Totalement ailleurs, déconnecté de ce monde, sur un petit nuage avec l’homme de ma vie, je le laissais faire avant qu’il ne s’allonge totalement sur moi. Ne bougeant ni l’un et l’autre, on resta silencieux un moment, comme pour garder ce moment en nous pour toujours. La sueur perlant faiblement sur mon visage, je frissonnais longuement, encore plus lorsqu’il nous fit basculer me retrouvant alors sur lui. Amusée, je léchais lentement son visage, allant de ses lèvres à son nez puis son front pour descendre sur sa pommette. Sans perdre de temps, je lui annonçais l’air de rien que j’avais arrêté la pilule en sous-entendu donc qu’il devait rapidement me mettre enceinte, car c’était bien ce que je voulais… Et je savais que lui aussi le voulait ! « Hm … Mais même enceinte et après, je te ferai l’amour tous les jours, plusieurs fois par jour. » grognant longuement sous cette annonce, je bougeais lentement et longuement sur lui, comme pour lui démontrait que ce qu’il venait de me dire me plaisait, oh que oui ça me plaisait atrocement même ! Je voulais tomber enceinte et le plus rapidement possible, je voulais à tout prix avoir un bébé, ce petit être en moi, le fruit de notre amour tout simplement… Si seulement je pouvais tomber enceinte rapidement, il était clair que ça me rendrait on ne peut plus heureuse. « Quand j’aurais un gros bidon et que je ressemblerai à une baleine on en reparlera… » Murmurai-je doucement contre ses lèvres, le tirant alors pour le faire se redresser. Bougeant sur lui, le faisant lentement glisser en moi, je savais qu’une fois bien enceinte, on sera restreint, on ne pourrait pas faire grand-chose mais surtout… Peut-être qu’il ne me désirerait plus… Cambrant bien le dos sous l’afflux de plaisir, ses mains sur ma taille m’aidant à bouger sur lui, je me laissais envahir par une flopé de plaisir, l’orgasme me terrassant. Me poussant doucement pour m’allonger, je le laissais faire en poussant un petit cri de plaisir. Sa langue sur mon corps ma poitrine ou bien même mon cou, ses mains sur mes seins, tout cela me tuait plus que de raison. « Tu sais que je t’aime ? » Entrouvrant la bouche, j’hochais lentement la tête en soupirant quelque peu. Mes jambes bien écarté, je le laissais faire, mes seins totalement durci sous le plaisir qu’il créait en moi. Je n’aurais jamais cru faire tout cela a vrai dire pour notre première fois. Rien que cette position était nouvelle pour moi, et savoir qu’il avait autant d’expérience me faisait à ce moment terriblement mal. Souriant doucement, je fermais les yeux comme pour ne pas y penser, c’était malsain de lui en vouloir, je n’avais pas à lui en vouloir… Fourrageant doucement ces cheveux je les lui tirais avec lenteur mon dos s’arquant sous ses vas et vient d’une perfection sans faille. Contractant mon intimité, je poussais de lents petits cris relevant une jambe, laissant mon corps s’exprimer sous cet afflux de plaisir. Tremblant avec franchise je soupirais en sentant l’air frais sur mon corps contrastant avec la chaleur de celui-là, créant des frissons. La sueur perlant sur mon corps, je penchais ma tête sur le côté cherchant à attraper quelque chose. L’herbe passa sous mes mains. La tirant, je l’arrachais sans aucune vergogne la déchiquetant en tremblant de plus en plus, plus il bougeait plus le plaisir montait, j’avais l’impression d’être à fleur de peau. Je l’étais surement. Entrouvrant la bouche, je poussais un nouveau cri en cambrant le dos comme jamais, sentant le plaisir remonter en flèche en moi. Un orgasme doux, lent et terriblement dévastateur. Gaylwen était en train de me tuer. « Mon amour… Oh mon amour… » Lâchai-je d’une voix aigüe tant le plaisir me tuait, je ne reconnaissais même ma voix pour dire… Me contractant sur son membre, je poussais un dernier râle de plaisir avant de me relâcher totalement morte de plaisir.
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Ven 17 Fév - 20:02
« Shanae & Gaylwen »
« On verra… ça me stresse rien que d’y penser déjà… Je n’ai pas envie de les voir grandir trop vite non plus… » J’avais bien avoir conscience du fait qu’il était étrange de parler de nos enfants alors que nous n’étions même pas encore en train de les concevoir, je ne pouvais m’empêcher de le faire, avec elle, bien entendu. Tout simplement parce qu’il était plus que temps que nous nous penchions, justement, sur la conception de nos enfants mais aussi, notre mariage. Pour ma part, j’étais d’avis à ce que nous accélérions les choses, maintenant que nous nous étions enfin retrouvés. Oui, il était plus que temps. Et c’était bien pour ça que je la demandais en mariage de façon officielle, avec la bague et tout ce qui s’ensuit. « Hm il est trop tôt pour s’inquiéter de toute façon. On n’a même pas encore fait quoi que ce soit pour les concevoir ces enfants. » Lui fis-je remarquer, d’une voix taquine, en souriant quelque peu en coin. Il était trop tôt, oui. Mais nous avions perdu huit années et c’était une sacré perte de temps que nous avions subis, selon moi. Dire qu’à l’heure actuelle, nous devrions être parents au moins une fois et mariés… Par la suite, nous changeâmes de sujet, pour parler ouvertement, de sexualité. Entre nous, bien entendu. Et je ne me privai pas pour lui faire remarquer qu’elle savait parfaitement ce qu’il en était de la force de mes coups de reins. Certes, nous n’avions encore jamais fais l’amour. Mais les préliminaires que nous avions fait à mainte et mainte reprise dans le passé, nous avaient permis de nous connaître plutôt … Enormément, sur le plan sexuel. Presque dans les moindres détails, étais-je tenté de dire. « Oui… Mais il me tarde réellement d’y gouter… » Je soupirai d’aise en la regardant longuement, sans chercher à lui cacher combien j’avais envie d’elle, plus que de raison. Je frissonnai faiblement et me penchai quelque peu, juste le temps de déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Après quoi, je me redressai pour mieux me mettre à genoux devant elle et lui demander, enfin, de m’épouser. Elle ne me laissa pas le temps de lui passer la bague au doigt, que déjà, elle me sautait dessus pour me faire tomber à terre et m’embrasser plus que de raison.
Alors que nous parlions du mariage, mais plus précisément encore, de nos mères, je lui fis remarquer que la mienne allait vraisemblablement, se noyer un peu plus dans les bouteilles, pour tenter de faire passer le choc de l’annonce de notre mariage. Je lui soufflai ensuite combien je l’aimais, la laissant déposer ses mains sur mes joues, pour m’embrasser avec insistance. Je souris franchement sans pouvoir m’en empêcher et me délectai de la vision parfaite qu’elle m’offrait, son visage parfait si proche du mien et ses lèvres douces, contre les miennes. « Ta mère… Est totalement idiote… Comment tomber dans l’alcool quand on a eu un mari alcoolique ? Enfin… On s’en fout, ce qui compte c’est toi et moi et personne d’autre, notre famille que l’on fonde, la nouvelle famille des Copeland… Et on sera terriblement heureux avec nos tonnes de marmots ! » Je soupirai longuement d’aise, en la regardant amoureusement, sans jamais détourner le regard. J’ignorais totalement comment il était possible d’en arriver à un tel stade. Comment pouvions-nous sombrer dans l’alcool, alors que notre épouse ou époux, nous avait battu des années durant, justement à cause de cette tendance à taquiner trop aisément de la bouteille ? Je n’en savais strictement rien et je me posais la question depuis pas mal de temps, déjà. Depuis que ma mère s’était laissée tomber là dedans, plus précisément. Je ne pourrais jamais lui pardonner d’avoir fait un truc pareil, même si elle venait à cesser tout cela pour de bon. Chose qui me faisait fortement douter pour le coup, je devais bien le reconnaître. Comment une alcoolique, pouvait-elle tout arrêter, du jour au lendemain ? C’était parfaitement impossible, je n’avais pas de doute sur ce point. « Je ne comprendrai jamais ce qui lui est passé par la tête. Mais c’est comme ça et je ferai rien pour l’aider. » Marmonnais-je faiblement avant de soupirer de lassitude. Ma mère ne faisait plus partie de ma famille, depuis quatre ans déjà. Comment la considérer comme telle, alors qu’elle faisait la plus belle connerie qui soit, depuis tout ce temps ? « Et oui mon amour. La nouvelle famille Copeland est en construction et n’aura strictement rien à voir avec l’ancienne. » Ajoutais-je en souriant franchement, sans pouvoir m’en empêcher. A quoi bon me limiter de toute façon ? Tout au contraire, j’avais besoin d’exprimer mes sentiments et de lui montrer combien je l’aimais et étais heureux avec elle.
Malheureusement, elle parvint à me blesser lorsqu’elle rejeta en bloc mon argent. Totalement stupéfait et peiné, je lui fis remarquer que c’était une part de moi qu’elle rejetait, en agissant de la sorte. Chose qui m’était tout simplement insupportable, tant je n’étais pas habitué à cela, dans notre couple qui m’avait toujours parut d’une perfection inégalable. Je réagis à peine en la voyant rougir puis blêmir, tant j’étais moi-même trop occupé à vouloir remettre de l’ordre dans mon esprit, après le mal qu’elle venait de m’infliger, sans trop réaliser sans doute. Ne voyait-elle pas combien il pouvait être difficile pour moi, d’encaisser un truc pareil ? « Je suis désolée… Tellement… Je… J’ai vécu huit ans de misère, je sais qu’on en parle jamais, mais je… Je sais que ce qui est à toi et à moi… Et sache que ce qui est à moi et à toi, même si aujourd’hui je n’ai plus rien…Chéri s’il te plait, ne sois pas triste… » Je soupirai doucement en lui lançant un regard peiné. Je souffrais terriblement de voir qu’elle avait eut aussi peu de chance, contrairement à moi. J’étais déçu de voir que ma moitié n’avait pas du tout été heureuse pendant ces huit ans. Certes, moi non plus. Mais contrairement à elle, concernant le travail et l’argent, j’avais eus bien plus de chance qu’elle, ce qui n’était tout de même pas négligeable. Quoi qu’il en soit, je ne pouvais pas accepter qu’elle refuse mon argent à présent, sous prétexte qu’il n’était pas directement le sien. A mes yeux, notre amour voulait que tout ce qui était à moi, était à elle et inversement. Même si ce n’était pas équitable, ce n’était en rien un souci pour moi. Loin de là même. « Je ne veux plus qu’il soit question d’argent, entre nous, Cassie. Je serais prêt à donner tout mon argent à des assoc’ pour ne vivre qu’avec le strict minimum, si c’est ce que tu me demandais. Tu as peut-être vécut dans la misère pendant huit ans mais moi, financièrement, je m’en suis sorti. Alors laisse moi t’en faire profiter s’il te plait. » Soufflais-je doucement, en lui adressant un regard presque suppliant sur le coup. Je craignais vraiment de l’entendre me dire qu’elle ne le pouvait ni le ne voulait. Ce que je n’étais pas certain de pouvoir digérer d’ailleurs. J’avais besoin qu’elle soit prête à vivre avec moi sans qu’elle ne se sente obligée de payer quoi que ce soit, alors je la préparais par avance, à cela. Même si elle l’ignorait peut-être encore. Mais il était certain que je ne comptais pas la laisser vivre encore bien longtemps, avec sa mère. Il était grand temps que nous vivions ensemble, aucun doute là-dessus. Et j’osais espérer que nous étions sur la même longueur d’ondes, au moins un minimum. Quoi qu’il en soit, nous ne tardâmes pas à changer de sujet, pour en arriver à de bien plus réjouissants. Entre autre, le fait que nous ne faisions qu’un. Ca avait toujours été le cas d’ailleurs et ce, même lorsque nous vivions chacun sur un continent, fort loin l’un de l’autre. Ne se passait pas un jour sans que je ne pense à elle et j’osais espérer que c’était aussi son cas. Mais pourquoi est-ce que ça ne le serait pas d’ailleurs ? Tout portait à croire que ça l’était.
Bien vite, le désir reprit le dessus et nous nous enroulâmes dans la couverture apportée exprès pour cela, nous déshabillant et nous embrassant avec fièvre et ardeur. Sans pouvoir me retenir plus longtemps, je finis par unir nos corps avec force, pour ensuite démarrer de francs coups de reins, nous faisant franchement hurler de plaisir. Nous nous fichions royalement du lieu où nous nous trouvions, tant notre amour et notre plaisir, étaient plus forts et plus importants que tout le reste. Contre toute attente, notre plaisir plus que dévastateur, arriva au même instant, dans un concert de gémissements, soupirs, grognements et cris de plaisir. Totalement en sueur, je demeurai immobile sur elle, le souffle court et précipité et le cœur battant encore la chamade. Après un long moment de silence durant lequel nous savourions l’instant présent, l’un comme l’autre, je finis par basculer lentement pour qu’elle se retrouve sur moi, à son tour. J’affichai un franc sourire et fermai les yeux, lorsqu’elle me lécha le visage, le plus naturellement du monde. Pas la moindre limite entre nous, comme avant, tout simplement. Il fut alors de nouveau question d’enfants. Mais cette fois ci, de façon bien plus officielle, puisqu’elle m’apprit sans détour, qu’elle ne prenait plus la pilule. Ce qui me surprit quelque peu sur prit et me laissa sans voix, avant que je ne lui apprenne que j’étais totalement pour, avoir un enfant avec elle, au plus vite. Il était temps, après tout ! Je ris quelque peu, quand elle me souffla que j’allais devoir lui faire l’amour le plus souvent possible, tous les jours et j’en passe. Ce à quoi je répondis que, même enceinte et même après, je lui ferais toujours l’amour plusieurs fois par jour, tous les jours, encore et encore. Je gémis faiblement à sa réaction qui ne se fit pas attendre, puisqu’elle entreprit alors de bouger sur moi, me faisant glisser en elle avec lenteur, pour mon plus grand plaisir. Je me passai faiblement la langue sur les lèvres, en la regardant amoureusement. « Quand j’aurais un gros bidon et que je ressemblerai à une baleine on en reparlera… » Je ris doucement en levant les yeux au ciel. Qu’elle était bête, pour le coup. Comme si j’allais moins la désirer, pour un tour de taille bien plus large et quelques kilos en plus. Tout au contraire, je ne doutais pas que la voir porter mon enfant, me donnerait tout autant envie d’elle qu’avant. Et qu’elle prenne des kilos ou qu’elle en perde, ne m’empêcherait jamais de l’aimer. Je n’étais pas amoureux d’elle pour son physique, même si beauté me faisait perdre les pédales. « J’aurai toujours envie de toi mon amour. Même avec trente kilos de plus ! » Lui fis-je remarquer d’une voix taquine mais sérieuse.
Alors qu’elle était toujours sur moi, je posai mes mains sur sa taille pour la faire bouger avec lenteur mais insistance, frissonnant et gémissant longuement de plaisir, sans pouvoir m’en empêcher. En la voyant jouir sans trop tarder, je souris faiblement avant de la faire basculer avec lenteur, pour me placer à genoux entre ses jambes. J’entrepris de caresser et embrasser tantôt son cou et tantôt ses seins, en profitant pleinement de son corps qui était enfin mien pour de bon et entièrement, sans la moindre petite limite. Je frissonnai et tremblai longuement de plaisir, en la voyant cambrer franchement le dos, en réponse au plaisir qu’elle ressentait sous mes vas et vient. Je me redressai bien à genoux devant elle, en empoignant ses cuisses, tantôt ave douceur et tantôt avec force, sans pouvoir m’en empêcher, finissant par enfoncer franchement mes doigts dans la chaire ferme de ses cuisses. Je gémis faiblement de plaisir en accélérant peu à peu mes mouvements, sans jamais la quitter du regard, la regardant alors chercher quelque chose à quoi se retenir sous le plaisir trop puissant, tandis que de brefs cris s’échappaient régulièrement d’entre ses lèvres. Durant de longues minutes pendant lesquelles je n’eus de cesse d’accélérer au fur et à mesure, je la vis jouir en poussant un franc hurlement. Le souffle court et précipité et le corps en sueur, je relâchai ses cuisses pour me pencher en avant et poser mes mains sur la couverture, de part et d’autre de son corps, en rendant mes coups de reins le plus rapide et le plus violent possible, pour la rejoindre rapidement dans une jouissance extrême et destructrice. Je cessai totalement de bouger sur le coup, me contractant avec force en fermant les yeux, le corps secoué de brefs spasmes de plaisir. « Mon amour… Oh mon amour… » Je soufflai longuement en gardant les yeux fermés, sentant la sueur couler longuement sur mon visage. Je restai ainsi durant de longues secondes et fini par délier lentement nos corps, pour me laisser tomber à ses côtés, totalement épuisé. « C’est ce qu’on appelle des fiançailles dignes de ce nom … » Soupirais-je faiblement en essuyant la sueur de mon visage, du plat de mes mains, avant de rouler pour m’allonger sur le côté, contre Cassie. Je tirai la couverture pour nous recouvrir, avant de passer un bras autour de sa taille et ainsi la serrer doucement contre moi. « Demain on s’occupe d’organiser le mariage et tu emménages avec moi … C’est bien ce qui était prévu non ? » Finis-je par demander l’air de rien, en déposant de lents baisers dans son cou et sur sa joue.
✔ HUMEUR : Rêveuse ✔ EN JEUX : Pas pour le moment ✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre ✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Lun 5 Mar - 16:22
« Hm il est trop tôt pour s’inquiéter de toute façon. On n’a même pas encore fait quoi que ce soit pour les concevoir ces enfants. » souriant en coin, je baissais un vague regard sur mon ventre posant alors mes mains dessus en soupirant de bien-être. Il me tardait d’avoir un enfant dedans, ou des, je prenais ce qui viendrait… Je voulais le sentir grandir, me donner des coups de pieds… Je voulais simplement profiter de ces doux moments avec lui à mes côtés je savais qu’il saurait gérer la situation. « Non… Mais bientôt tu vas planter ta graine pas vraie ? Ou tes graines à ta guise, j’en veux plein ! » Soufflai-je en riant doucement lui lançant un regard taquin. Peu de temps après, il fit sa demande en mariage et je ne pus m’empêcher de lui sauter clairement dessus. L’embrassant tout en étant heureuse, au bord des larmes, de joies, je le laissais passer cette magnifique bague autour de mon doigt. Nous plongeant dans l’organisation et de comment l’annoncer à nos mère on vint à parler de la sienne, devenue alcoolique depuis quelques années à présent… Une déception pour Gaylwen ce que je pouvais parfaitement comprendre dans le fond…
« Je ne comprendrai jamais ce qui lui est passé par la tête. Mais c’est comme ça et je ne ferai rien pour l’aider. » Soupirant faiblement, je n’avais pas besoin de faire des études ou de demander quoi que ce soit pour voir que Gaylwen n’appréciait pas que sa mère se soit mise à boire. Moi-même je ne comprenais pas, mais dans le fond qui j’étais pour en juger ? Pour en parler ? Alors que moi-même je buvais depuis quatre ans ? C’était la seule chose que j’avais su faire quand j’avais appris le soit disant mariage de Gaylwen… Ce mariage dont je ne comprenais toujours pas grand-chose… « Et oui mon amour. La nouvelle famille Copeland est en construction et n’aura strictement rien à voir avec l’ancienne. » Souriant franchement, je plongeais mon regard dans le sien, totalement amoureuse et heureuse de l’entendre me dire ce genre de chose. La nouvelle famille Copeland, oui, nous allions la faire, et le former, faire des enfants… Je voulais en avoir pleine, je voulais voir notre famille heureuse, comme elle devrait déjà l’être… Nous avions perdu tant de temps que s’en était déroutant… « On s’en fout de nos mères… Vivons nos vies c’est le principale chéri… Notre famille sera parfaite et nous serons de bons parents… » murmurai-je lentement en déposant un doux et lent baiser sur ses lèvres.
Peu de temps après, on en vint à parler d’argent, et lorsque je lui annonçais que je ne voulais pas qu’il m’aide en quoi que ce soit, je ne voulais pas dépendre de lui en fait… Il ne savait pas ce que c’était que de vivre dans la pauvreté… Et je vis bien que cela le blessait un tant soit peu, c’est pourquoi j’essayais de le rassurer… Il le fallait, je n’aimais pas le voir si mal en point… « Je ne veux plus qu’il soit question d’argent, entre nous, Cassie. Je serais prêt à donner tout mon argent à des assoc’ pour ne vivre qu’avec le strict minimum, si c’est ce que tu me demandais. Tu as peut-être vécut dans la misère pendant huit ans mais moi, financièrement, je m’en suis sorti. Alors laisse-moi t’en faire profiter s’il te plait. » Frissonnant longuement, son regard totalement suppliant me faisant alors détourner le regard. Il n’avait pas le droit de faire cela, il n’avait pas le droit de jouer sur les sentiments et les petits regards pour que je puisse flancher… C’était… ça ne se faisait pas… Frissonnant encore plus, je posais lentement mes mains sur ses joues en soupirant de bien-être. « Ne fait pas ça… tout donner alors que tu mérites tout cet argent mon amour… Moi je n’ai pas eu de chance… Ce n’est pas grave…Mais d’accord je ferais comme si c’était mon argent, parce que c’est toi, parce que je t’aime… Parce que c’est nous… » Murmurai-je faiblement en plongeant mon regard dans le sien souriant en coin.
Rapidement nous laissâmes nos envies parler. Nous enroulant dans la couverture ne pouvant plus tenir, ni l’un ni l’autre, on se mit à se déshabiller ne voulant plus se regarder sans pouvoir rien faire. Nos corps étroitement enlacé dans la couverture, une fois nus, il se mit à unir nos corps. Cris et râle de plaisir s’entremêlant, nous restâmes collés l’un à l’autre. Faisant l’amour avec envie et rapidité. Huit ans de frustration, ce n’était pas rien… Oh non c’était même trop ! Le plaisir nous submergeant assez rapidement, je le caressais avec force en soupirant de bien-être. Nous faisant rouler, je me retrouvais bien vite sur lui. Bougeant longuement sur lui, ne voulant pas m’arrêter, tout comme lui d’ailleurs, le plaisir parlait pour nous. Il était de notre devoir de continuer, de profiter pleinement de ce moment. Depuis quand attendions nous cela ? Encore plus depuis que nous nous étions retrouvés… Me mouvant contre lui en caressant son corps de mes mains, je lui avouais que j’avais cessé la pilule, hors de question que je la continue, je voulais tomber rapidement enceinte, alors autant commencé dès ce soir ! Il ne fut même pas surprit, et je ne pus m’empêcher de dire que quand j’aurais le ventre d’une baleine on viendrait en reparler du désir qu’il pourrait avoir à mon encontre… Je savais que je ne serais pas forcément belle à voir… avec un énorme bidon, on serait restreint à certaines positions et ne pas assouvir nos envies comme on le voudrait.
« J’aurai toujours envie de toi mon amour. Même avec trente kilos de plus ! » Souriant en coin en posant lentement mon index sur ses lèvres je les lui caressais sans le quitter du regard. Je ne pouvais pas regarder ailleurs, il était mon centre d’intérêt tout simplement. « Je t’aime mon homme parfait… » murmurai-je avant de me laisser envahir par l’orgasme. Une fois l’orgasme à bout, je le laissais m’allonger sur le sol, celui-ci se mettant à genoux pour empoigner mes cuisses et me faire l’amour longuement, fortement, tendrement et rapidement à la fois. Il perdait pied, tout comme je perdais pied. Essayant de m’agripper à quelque chose, je poussais de long râle de plaisir, avant de sentir le plaisir me submerger une nouvelle fois. S’allongeant sur moi, me rejoignant dans le plaisir, je nous sentis partir dans un plaisir totalement fou et inconcevable. Cessant ses mouvements au bout d’un long moment, je le laissais s’allonger à mes côtés, le souffle totalement coupé, j’essuyais à mon tour la sueur le voyant faire de même. Nous étions en nage, comme si nous venions de prendre la douche. « C’est ce qu’on appelle des fiançailles dignes de ce nom … » Riant faiblement, je poussais un long soupire de bien être en m’étirant lentement cambrant le dos, mes articulations craquant quelque peu. Totalement sonné pour parler ou faire quoi que ce soit, je le laissais rabattre la couverture sur nous se collant alors à moi, sa main, son bras passant autour de ma taille me collant bien contre lui. « Demain on s’occupe d’organiser le mariage et tu emménages avec moi … C’est bien ce qui était prévu non ? » Gémissant franchement en tournant le regard vers lui, je le regardais longuement avant de sourire franchement. Il me rendait terriblement heureuse, s’en rendait-il compte ? Je l’espérais sincèrement… Passant le bout de mes doigts sur son visage, je les glissais dans ses cheveux les tirant en arrière sentant la sueur dans mes mains et quelque peu goutter sur mon visage. Souriant en coin en je me blottis encore plus contre lui, enfouissant alors mon visage dans le creux de son torse. « Oui c’est bien ce qui était prévu… ça ne va pas gêner ta sœur ? Elle va devoir nous subir… Je doute qu’on reste sage tous les soirs une fois dans le lit… » Murmurai-je doucement l’air de rien. Passant doucement ma main sur sa taille, je la lui caressais avant de poser ma main sur l’une de ses fesses. Dieu qu’elles m’avaient manqué. Frissonnant en me collant bien contre lui, je restais là, un moment sans parler, réfléchissant un peu à tout et à rien. « Qu’est-ce qu’on fera après le mariage ? Je veux dire, est ce qu’on fait notre lune de miel de suite après ? Ou on attend quelques mois ? Tu as le bar à gérer mon amour… » murmurai-je sans parler d’argent. Car je savais que je ne pourrais pas participer à la lune de miel. Du moins financièrement. Je serais bel et bien présente tout de même… Soupirant lentement je me redressais quelque peu en le regardant, l’embrassant du bout des lèvres en souriant en coin. « Je n’ai pas envie de te quitter cette nuit Than… »
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Lun 19 Mar - 17:52
« Shanae & Gaylwen »
« Non… Mais bientôt tu vas planter ta graine pas vraie ? Ou tes graines à ta guise, j’en veux plein ! » Je ris en lui lançant un regard taquin à souhait et me penchai pour déposer de forts baisers sonores sur ses lèvre. C’était fou comme elle me plaisait de plus en plus et comme j’avais hâte de fonder ma petite famille, avec elle et rien qu’elle. Elle qui était la femme de ma vie, tout simplement. Elle avec qui je voulais me marier et avoir tout un tas d’enfants. C’était bien pour démarrer enfin cette nouvelle vie, que je l’avais fais venir. Pour la demander enfin mariage, bien sûr. Et je ne doutais pas qu’elle allait accepter. Il ne pouvait pas en aller autrement d’ailleurs … N’est-ce pas ? « Autant que tu en voudras ! Mais un par un, ce serait quand même mieux, tu ne crois pas ? » Demandais-je d’une voix douce, en lui lançant un regard quelque peu taquin. Je n’aurais rien contre le fait d’avoir des jumeaux ou des triplés. Mais il ne fallait surtout pas oublier le fait que nous étions deux pauvres innocents, qui ne connaissons encore rien à la maternité. Du coup, avoir plusieurs enfants en une seule grossesse, risquerait fortement, de devenir compliqué. Je n’osais imaginer les dégâts tant j’étais bien conscient que ça pourrait aller loin. « Tu nous imagines avec deux bébés d’un coup, tiens ? Rien que l’idée me fait peur ! » Lâchais-je en riant doucement et levant les yeux au ciel sur le coup. Je ne voulais même pas imaginer dans le fond. Après ma demande en mariage et après que je lui eus enfilé son solitaire, au doigt, nous parlâmes vaguement de ma mère et de son alcoolisme inexpliqué et totalement inattendu et choquant. L’un comme l’autre, nous ne comprenions pas comment elle avait pu tomber là dedans, avec un ancien mari totalement alcoolique, qui l’avait battu pendant des années. Et autant dire que maintenant, je me foutais qu’elle s’en sorte ou non. Elle avait sombré seule et ne devait surtout pas s’imaginer qu’elle nous entrainerait avec elle … Plutôt que de m’attarder sur elle, que je voulais oublier le plus possible, je mentionnai la famille que nous allions faire ensemble, rien que tous les deux, en amoureux.
« On s’en fout de nos mères… Vivons nos vies c’est le principale chéri… Notre famille sera parfaite et nous serons de bons parents… » J’hochai la tête pour lui dire que oui, en la regardant franchement amoureusement, incapable de lui cacher mes francs sentiments amoureux. A quoi bon essayer d’ailleurs ? Elle était bien consciente que je l’aimais depuis toujours et que ça ne tendait aucunement à changer ! Malheureusement, j’eus un peu plus de mal à accepter sa grande réticence, concernant mon argent, que je désirais pourtant partager avec elle. Apparemment, elle pensait que ça ne se ferait pas, si elle venait à en profiter un tant soit peu alors qu’à mes yeux, cela était d’une logique imparable. Je le pris d’ailleurs assez mal et ne me privai pas pour le lui faire comprendre. Elle n’avait tout simplement pas le droit de refuser mon argent ! Parce que tout ce qui m’appartenait, lui appartenait aussi ! C’était d’une logique foutrement imparable. Presque malgré moi, j’en vins à lui lancer un regard presque suppliant et la vis détourner un moment la tête, avant de prendre mon visage entre ses mains, avec lenteur. Je plongeai alors mon regard dans le sien, sans me départir de mon air tristounet. « Ne fait pas ça… tout donner alors que tu mérites tout cet argent mon amour… Moi je n’ai pas eu de chance… Ce n’est pas grave…Mais d’accord je ferais comme si c’était mon argent, parce que c’est toi, parce que je t’aime… Parce que c’est nous… » Je soupirai d’aise et me penchai à nouveau, pour l’embrasser du bout de mes lèvres, humidifiant franchement les siennes l’air de rien. « Toi et moi c’est tout ce qui compte. L’argent ne compte pas du tout mon amour. C’est simplement ce qui va nous permettre de vivre. » Soufflais-je tout contre ses lèvres, sans la quitter de mon regard amoureux.
Nous ne tardâmes pas à nous retrouver serrés l’un contre l’autre, sous la couette, pour faire l’amour. Enfin ! Des mouvements rapides, souffles et puissants, qui nous laissèrent bien vite pantelants et haletants de plaisir. L’un contre l’autre, je ris doucement à son annonce, concernant le fait qu’elle ne prenait plus la pilule. Ce qui, dans le fond, n’était pas pour me déplaire. Je devais bien le reconnaître … Je ris doucement quand elle mentionna le fait que j’aurais forcément moins envie d’elle, lorsqu’elle aurait prit un gros ventre de femme enceinte. Taquin, je lui fis remarquer que j’aurais toujours envie d’elle, contrairement à ce qu’elle pensait. Je soupirai d’aise à son doigt sur mes lèvres et gardai mon regard amoureux, rivé sur elle. « Je t’aime mon homme parfait… » Je soupirai d’aise et resserrai mes mains sur ses hanches, en la voyant jouir pour la seconde fois, avant que je ne la fasses lentement retomber sur la couverture, pour me redresser à genoux entre ses jambes et ainsi reprendre mes puissants et rapides coups de reins. Je grognai de plaisir en la voyant tenter de s’accrocher à quelque chose et finis par la rejoindre dans une puissante et parfaite jouissance, qui nous laissa une nouvelle fois, à bout de souffle. Lentement, je m’allongeai sur elle, le corps secoué de brefs spasmes de plaisir. Après un moment, je me laissai tomber à ses côtés, le corps terriblement en sueur. Je tirai ensuite la couverture pour nous recouvrir tous les deux et vins me blottir contre elle, pour la prendre bien dans mes bras. Le souffle encore coupé, je soufflai combien j’appelais ça, des fiançailles parfaites. Je souris en coin en la voyant cambrer le dos pour s’éteindre et plaçai une main sur l’un de ses seins, l’air de rien, pour l’empoigner avec douceur mais fermeté, frissonnant fortement en réalisant qu’il entrait à merveille dans ma main. D’une taille plus que parfaite, bon sang. Je mentionnai ensuite de l’organisation de notre mariage, sans quitter ma main de sur son sein et souris franchement et paresseusement, lorsqu’elle glissa une main dans mes cheveux, ceux-ci demeurant quelque peu en arrière du au fait qu’ils étaient encore trempés de sueur. Je soupirai de bien être lorsqu’elle enfouit son visage dans mon torse et posai une main sur ses cheveux, pour les lui caresser avec lenteur et tendresse. « Oui c’est bien ce qui était prévu… ça ne va pas gêner ta sœur ? Elle va devoir nous subir… Je doute qu’on reste sage tous les soirs une fois dans le lit… » Je ris quelque peu en réalisant qu’elle disait plus que vrai et glissai bien mes doigts dans ses cheveux, pour les lui démêler avec lenteur et les reposer sur la couverture, derrière elle.
« Ca va la faire fuir … Tant pis. Je pense qu’elle sera ravie de quitter l’appartement pour vivre seule. Je crois qu’elle vivait avec moi … Plus pour moi que pour elle. » Marmonnais-je en plissant légèrement le nez. J’étais bien conscient que, dans le fond, c’était moi qui avais eus besoin de sa présence et non pas l’inverse. Je frissonnai longuement de bien être, sous sa caresse sur ma taille, avant que sa main ne vienne se loger sur mes fesses, ce qui me fit sourire en coin. Soupirant de bien être, j’enroulai une jambe autour des siennes, pour me coller plus encore à elle. « Qu’est-ce qu’on fera après le mariage ? Je veux dire, est ce qu’on fait notre lune de miel de suite après ? Ou on attend quelques mois ? Tu as le bar à gérer mon amour… » Je glissai une main sous son menton, pour lui faire relever la tête et posai lentement mon front contre le sien, pour plonger mon regard dans le sien. Je continuai de caresser sa joue du bout de mes doigts, que je glissais ensuite dans ses cheveux, avec lenteur et tendresse, sans jamais la quitter du regard. « Je trouverai quelqu’un pour gérer le bar en mon absence. Ou je le fermerai le temps que ça durera, tant pis … Je ne veux penser qu’à notre lune de miel qui devra durer au moins un mois ! Tu as déjà une idée de où on pourrait aller ? » Lui demandais-je d’une voix tendre, en me projetant déjà à cette lune de miel qui, je n’en doutais pas, serait paradisiaque. Avec lenteur, je déposai mes lèvres sur les siennes, sans la quitter du regard. « Un coin ensoleillé où se dorer la pilule ? Dans un cabanon en pleine forêt pour vivre au bord d’une rivière à pêcher et pique niquer constamment ? Ou un chalet sous un mètre de neige, à faire l’amour sur des peaux de bêtes devant un feu ? » Demandais-je tout contre ses lèvres, en déposant parfois, de tendres baisers sur ses lèvres. « Je n’ai pas envie de te quitter cette nuit Than… » Je ris doucement en enroulant mes bras autour d’elle, pour la serrer avec force contre moi. « C’est bien pour ça qu’on va dormir à la belle étoile mon amour. Par contre il va falloir qu’on enfile quelque chose, si on ne veut pas être coffré pour attentat à la pudeur demain matin … »
✔ HUMEUR : Rêveuse ✔ EN JEUX : Pas pour le moment ✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre ✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Mar 27 Mar - 21:14
« Autant que tu en voudras ! Mais un par un, ce serait quand même mieux, tu ne crois pas ? » Haussant un sourcil, je me mis doucement à rire. Un par un, bien sûr ! Je ne comptais pas les faire deux par deux, sinon nous serions rapidement envahit de petits monstres à nourrir et j’en passe ! Et puis je savais que je serais une mauvaise mère et que je ne pourrais pas savoir qui est qui. Je le pressentais. « Tu nous imagines avec deux bébés d’un coup, tiens ? Rien que l’idée me fait peur ! » Riant doucement je me mordis les lèvres avant de lui pincer faiblement la joue, venant déposer un doux et lent baiser, faiblement humide sur ses lèvres, me collant alors contre lui. « Un bébé c’est parfait ! Deux bébés d’un coup, c’est le suicide assuré ! On s’en sortirait pas, surtout que bon, on n’y connait rien, alors t’imagine ? Les deux ont faim en même temps, les couches et tout ça… Brrr ! » soufflai-je en grimaçant avant de rire doucement. Une fois la demande en mariage faite, nos embrassades et nos regards amoureux, on parla de nos mères mais je passais rapidement le sujet. Non pas que je m’en foute. En fait si, mais je n’aimais vraiment pas parler de nos mères au vu de ce qu’elles nous avaient fait. Par la suite, on en vint à parler d’argent. Et l’argent, je n’aimais pas trop devoir utiliser le sien, je compris que ça le blessait, c’est pour cela que je me rétractais en disant que j’utiliserai son argent, oui, après tout il ne devait pas y avoir de honte ou autre entre nous… Non, ce qui était à lui était à moi et vice versa.
« Toi et moi c’est tout ce qui compte. L’argent ne compte pas du tout mon amour. C’est simplement ce qui va nous permettre de vivre. » soupirant longuement essayant de ne pas lui faire transmettre le fait que je n’aimais pas du tout cela, je le regardais longuement, avant d’hocher la tête. Oui l’argent c’était ce qui allait nous faire vivre, nous allions pouvoir nourrir notre futur enfant, pouvoir payer le loyer, la nourriture et j’en passe, oui avec son argent. J’espérais de tout cœur me trouver un boulot assez rapidement, pour pouvoir l’aider, car il était clair que je n’allais pas me laisser choyer par ses soins question argent. Je ne voulais pas dépendre de lui, je voulais avoir plus, je voulais participer à notre vie, je voulais l’enrichir, nous enrichir. Même si je reprenais mes études, je savais que je pourrais bosser à côté je l’avais déjà fait lorsque j’étais en école de danse, alors un peu plus ou un peu moins. J’étais jeune, je pouvais faire des journées de quinze heures voire plus si c’était nécessaire ! « Oui, tu as raison, toi et moi, juste Gaylwen et Shanae ! Puis ce n’est pas comme si j’allais jamais bosser, donc bon. » Marmonnai-je doucement en souriant, sans pouvoir le quitter du regard un seul instant. Rapidement, sans perdre de temps même, nous nous retrouvâmes totalement dénudés, sans fringue pour faire l’amour dans une envie immense et incontrôlable. Jouissance et plaisir étant les mots d’ordre, je le laissais me faire l’amour avant de jouir ensemble, totalement terrassé par le plaisir. Me retrouvant rapidement sur lui, je lui appris sans perdre de temps que j’avais arrêté la pilule, donc que nous étions en train surement de concevoir notre premier enfant ! Jouissant à nouveau, nous roulâmes à nouveau pour qu’il puisse se retrouver sur moi, surtout entre mes cuisses pour me faire sauvagement l’amour avant que nous ne nous perdions dans les méandres du plaisir.
S’allongeant à mes côtés, totalement épuisé l’un comme l’autre, je m’étirais fortement alors qu’il disait que c’était des fiançailles parfaites. Sa main attrapant un de mes seins, je poussais un faible cri de surprise et de plaisir en le sentant durcir, lui lançant un regard totalement fiévreux et envieux. J’aimais terriblement quand il me touchait les seins. Parlant par la suite de sa sœur, dû au fait que j’allais aménager chez lui, je lui demandais si ça n’allait pas la déranger. Car je doutais fortement que nous puissions rester sages tous les soirs… « Ca va la faire fuir … Tant pis. Je pense qu’elle sera ravie de quitter l’appartement pour vivre seule. Je crois qu’elle vivait avec moi … Plus pour moi que pour elle. » Levant les yeux au ciel, je ne pus m’empêcher de sourire franchement. Mais ce que je ne comprenais pas, c’était la fin de sa phrase. Pourquoi vivrait-elle avec lui plus pour lui que pour elle ? Avait-elle des problèmes ? Ou eu des soucis ? Je me rendais de plus en plus compte que j’étais partie huit ans à cause de mes parents et que je ne savais pas réellement ce qu’il s’était passé ces foutues huit ans. Encore moins pour Billie. Mon cœur se serra à l’idée qu’il ait pu lui arriver quelque chose de grave. Non pas elle, c’était impossible, c’était une chouette fille, rien ne pouvait lui arriver, pas vrai ? « Certes, mais quand tu dis qu’elle vit avec toi plus pour toi que pour elle… pourquoi ? Il lui arrivait quelque chose ? Ta phrase m’intrigue… » soufflai-je lentement sans le quitter du regard un seul instant. Nous blottissant bien l’un contre l’autre, sans pouvoir réellement se détacher, j’en vins à parler de la lune de miel, du fait que nous allions la faire comment. Il avait le bar à gérer, il ne pouvait décemment pas l’abandonner de la sorte… C’était tout de même son gagne-pain. Même si je devais l’avouer j’avais encore du mal à m’y faire. « Je trouverai quelqu’un pour gérer le bar en mon absence. Ou je le fermerai le temps que ça durera, tant pis … Je ne veux penser qu’à notre lune de miel qui devra durer au moins un mois ! Tu as déjà une idée de où on pourrait aller ? » Une idée ? Je ne savais même pas ou l’on pourrait faire cela, certes j’y avais pensé de nombreuses fois, mais là, tout de suite, j’étais à cour d’idée, j’étais tellement euphorique de ce moment qui venait de se produire que j’avais l’esprit ailleurs.
Le laissant m’embrasser, je plongeais mon regard dans le sien en souriant en coin. « Un coin ensoleillé où se dorer la pilule ? Dans un cabanon en pleine forêt pour vivre au bord d’une rivière à pêcher et pique-niquer constamment ? Ou un chalet sous un mètre de neige, à faire l’amour sur des peaux de bêtes devant un feu ? » Ecarquillant les yeux, je le regardais surprise de ces idées en gémissant, me collant alors franchement à lui sans pouvoir m’en empêcher. Dieu que c’était tentant ! Tout l’était ! Je voulais tout faire ! J’étais une gourmande pour le coup, et puis on avait qu’une lune de miel ! Alors autant se faire plaisir. Mais si déjà un des trois étaient possible alors ça serait le pied ! « Les trois ? Je suis gourmande oui ! J’assume entièrement, mais c’est toi ! T’es idées sont graou ! Tout me plait… J’imagine le feu crépité dans la cheminée, nos corps en sueurs sur la peau à faire l’amour de façon lente et épuisé tellement on n’aurait pas arrêté de la journée… Je nous imagine au bord de la rivière faire l’amour et s’empêcher de hurler pour ne pas faire fuir les poissons ! Puis dans l’océan, toi me faire l’amour, et rire de nos brulures intimes le soir à cause du sel… » soufflai-je doucement en caressant sa joue du bout de mes doigts, totalement envouté par ses idées et ses visions. Je voulais à tout prix le faire et le plus rapidement possible. L’embrassant de plusieurs baisers humides, je lui fis comprendre que je ne voulais pas le quitter cette nuit, il en était hors de question même. Je voulais rester avec lui, ne pas avoir à rentrer chez moi. Se collant bien à moi, je le laissais faire en souriant en coin. « C’est bien pour ça qu’on va dormir à la belle étoile mon amour. Par contre il va falloir qu’on enfile quelque chose, si on ne veut pas être coffré pour attentat à la pudeur demain matin … » Fronçant les sourcils, je fis mine de regarder vers son membre avant de rire doucement sans pouvoir m’en empêcher. Attentat à la pudeur. J’imaginais parfaitement les gosses nous regarder, alors que nous étions nus endormis dans le parc. On se ferait tuer par les parents surtout ! Soupirant faiblement, je me mis à déposer de lent et long baiser sur ses lèvres avec envie en grognant lentement. « Range moi cette bête oui ! Je ne la partage pas ! Pas même avec quelques enfants ! » Soufflai-je l’air de rien avant de le pousser en riant. Attrapant ma robe non loin de nous, je l’enfilais rapidement en frissonnant, lui attrapant son boxer et son jean les lui donnant avant de me mettre bien sous les couvertures pour m’emmitoufler dedans. Lui lançant un regard clairement amoureux je soupirais en restant silencieuse un moment. « Tu m’as manqué Gaylwen… » Soufflai-je en plongeant mon regard dans le sien lui faisant un baiser de loin en souriant doucement de façon amoureuse.
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Mer 4 Avr - 23:24
« Shanae & Gaylwen »
« Un bébé c’est parfait ! Deux bébés d’un coup, c’est le suicide assuré ! On s’en sortirait pas, surtout que bon, on n’y connait rien, alors t’imagine ? Les deux ont faim en même temps, les couches et tout ça… Brrr ! » Je ris doucement sur le coup, en levant vaguement les yeux au ciel. Cette fille était complètement givrée et c’était bien là ce que j’aimais chez elle. Entre autres choses bien entendu, car c’était loin d’être la seule chose. J’aimais absolument tout chez elle, il ne fallait pas être grand Clerc pour le comprendre selon moi. Ce n’était pas pour rien si nous avions grandit l’un avec l’autre et évolué ensemble. Quoi qu’il en soit, nous étions toujours sur la même longueur d’ondes, concernant le fait de faire notre vie ensemble et de quelle façon la faire. A savoir, que l’un comme l’autre, nous étions d’accord sur le fait que nous devions y aller par étape. Principalement concernant le fait d’être parents ou non, quand et comment. Et c’était là un point non négligeable, puisque nous allions faire toute notre vie ensemble. « Déjà un … Ca va être folklo mon amour … Tu nous images parents ? Le bébé qui pleure … Les parents trop occupés à rattraper le sexe perdu pendant la grossesse … » Lâchais-je l’air de rien, en laissant échapper un bref rire sur le coup, sans pouvoir m’en empêcher. Oui, j’avais de bien drôles de pensées, je devais bien le reconnaître. Mais dans l’immédiat, j’avais tant envie d’elle et ce, depuis tellement longtemps, que j’étais presque incapable de penser à quoi que ce soit d’autre. Même si penser à notre avenir et nos enfants à venir, était bien loin d’être pour me déplaire. Tout au contraire même ! Un bref instant plus tard, elle commit la bêtise de mentionner le fait que j’avais beaucoup d’argent et qu’elle ne devait, soit disant, pas en profiter du tout. Choqué que cela puisse représenter un tel obstacle entre nous, alors que rien n’était censé se mettre en travers de notre route. Mais il semblait que je parvenais à la rassurer là-dessus et à lui faire comprendre qu’elle devait accepter l’argent, avec moi. Ca allait de paire, à mes yeux. « Oui, tu as raison, toi et moi, juste Gaylwen et Shanae ! Puis ce n’est pas comme si j’allais jamais bosser, donc bon. » Je soupirai doucement et baissai un long et lent regard sur son corps, pour prendre le temps de la détailler avec insistance, avant de revenir à son visage. « Quand y’aura un petit Copeland dans ton ventre, tu penseras plus à bosser, va … Et en attendant, j’ai de la place au bar … » Lâchais-je l’air de rien, en lui adressant un regard tout à fait innocent. Je devais reconnaître que l’idée d’être séparé d’elle lorsqu’elle irait bosser je ne savais trop où, était loin d’être pour me plaire. Tout au contraire même, ça me faisait presque peur. Je ne voulais surtout pas être détaché d’elle, d’aucune façon que ce soit.
Le moment où nous fîmes l’amour, arriva bien vite. Nous laissâmes enfin parler notre désir totalement dingue et incontrôlable, en faisant l’amour de façon précipitée et débridée. Une fois que nous eûmes jouis de concert, elle nous fit rouler sur la couverture, pour reprendre le dessus et me faire l’amour à son tour. Lorsqu’elle eut jouit, je roulai à nouveau, pour lui faire une nouvelle fois l’amour, sans pouvoir m’en empêcher. Trop de temps passé à attendre qu’arrive enfin cet instant et il était enfin là. C’était encore meilleur que tout ce à quoi je m’étais attendu … Et ça me tuait plus que de raison, bon sang. Oui, ça me tuait terriblement et j’en voulais encore et encore. J’ignorais comment je ferais pour m’arrêter après avoir enfin gouté à son corps. Une fois étendus bien l’un contre l’autre, je ne pu m’empêcher d’empoigner vivement, l’un de ses seins. J’avais toujours aimé sa poitrine. Et c’était toujours le cas, même si elle avait foutrement changé. Elle avait prit un beau volume et c’était loin d’être pour me déplaire. Tout au contraire même ! Je soupirai doucement d’aise et mentionnai alors mon appartement, le fait que je voulais qu’elle vienne y vivre au plus vite, mais aussi parler de ma sœur. « Certes, mais quand tu dis qu’elle vit avec toi plus pour toi que pour elle… pourquoi ? Il lui arrivait quelque chose ? Ta phrase m’intrigue… » Je soupirai quelque peu et plissai le nez. Je me redressai en appuie sur un coude pour l’observer longuement, sans pouvoir m’empêcher de malaxer lentement son sein, bien trop ravi de pouvoir le faire, pour m’arrêter aussi vite. Et je n’étais pas prêt de le lâcher ! « Je pense qu’elle ne m’en voudra pas, si je te le dis à toi … Mais elle … Elle a été violée il y a quelques années. Je pense que je le vis plus mal qu’elle-même … » Marmonnais-je faiblement en baissant le regard sur le coup, encore trop sonné par tout cela. C’était beaucoup trop douloureux, je ne supportais pas de me remémorer de tout cela tant ça m’était foutrement douloureux. Nous parlâmes ensuite de notre lune de miel. Sujet beaucoup plus plaisant et sur lequel je pris le temps de m’attarder, en émettant quelques idées de lune de miel, qui pourrait bien nous plaire, à l’un comme à l’autre. Des idées toutes plus différentes les unes que les autres d’ailleurs. Je laissai échapper un franc rire, lorsqu’elle me lança un regard totalement surprit et choqué et me sauta littéralement dessus, pour se blottir contre moi. Je la serrai avec tendresse en soupirant doucement d’aise sur le coup.
« Les trois ? Je suis gourmande oui ! J’assume entièrement, mais c’est toi ! T’es idées sont graou ! Tout me plait… J’imagine le feu crépiter dans la cheminée, nos corps en sueur sur la peau à faire l’amour de façon lente et épuisée tellement on n’aurait pas arrêté de la journée… Je nous imagine au bord de la rivière faire l’amour et s’empêcher de hurler pour ne pas faire fuir les poissons ! Puis dans l’océan, toi me faire l’amour, et rire de nos brulures intimes le soir à cause du sel… » Je lâchai un franc gémissement sur le coup, en lui adressant un regard totalement heureux, amoureux, envoûté et excité. Je me passai la langue sur les lèvres en lâchant un bref grognement, sur le coup. « Deux semaines en bord de mer, deux semaines en forêt avec une rivière pas loin et deux semaines dans un chalet sous un mètre de neige. Et les deux dernières semaines ici, pour nous remettre un peu … Marché conclu ? » Demandais-je doucement, en lui adressant un regard on ne peut plus excité et heureux pour le coup. Tout cela me plaisait beaucoup trop. C’était un véritable euphémisme même, bon sang ! Je me détachais ensuite d’elle, l’air de rien, pour lui faire remarquer que nous devrions vraiment nous rhabiller, si nous ne voulions pas avoir des problèmes pour attentat à la pudeur. Je souris en coin sous ses baisers et lâchai un gémissement de contentement, lorsqu’elle-même lâcha un grognement. « Range moi cette bête oui ! Je ne la partage pas ! Pas même avec quelques enfants ! » Je ris franchement sur le coup et la laissai faire lorsqu’elle me poussa pour récupérer sa robe et me balancer mon boxer et mon jean. « Pauvres mioches tiens … J’imagine leur tête s’ils voyaient … Ca ! » Lâchais-je l’air de rien, en riant de plus bel. J’enfilai ensuite rapidement mon boxer et mon pantalon, sans un mot de plus. « Tu m’as manqué Gaylwen… » Je tournai le regard vers elle et ne pris pas la peine de refermer mon pantalon, que déjà je roulais sur la couverture et me plaçais sur elle, pour enfouir mon visage dans son cou, mon bassin posé sur le sien. « Tu m’as manqué aussi mon amour ! Même si, peu à peu, j’ai l’impression que ces huit dernières années n’ont pas existées … » Soufflais-je d’une voix douce, avant de me déplacer pour m’allonger contre elle et nous enrouler dans la couette. Je me blottis un peu plus confortablement dans ses bras, pour la serrer contre moi. « Demain je te kidnappe et te séquestre chez moi. On a eut huit à rattraper, dans tous les sens du terme. » Soufflais-je d’une voix douce en enfouissant bien mon visage dans son cou, pour inspirer longuement son odeur. Un lent sourire étira mes lèvres tandis que le sommeil arrivait à vive allure. « Notre première nuit ensemble, dans notre nouvelle vie … » Soufflais-je d’une voix endormie, avant de sombrer pour de bon.
✔ HUMEUR : Rêveuse ✔ EN JEUX : Pas pour le moment ✔ SURNOMS : Hal' ; Babibel ; Kiki : Lili : Bibine : Ru' et tant d'autre ✔ LA CITATION : "Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi... je suis toujours amoureuse du ciel."
Sujet: Re: Will you marry me ? [pv Shanae] -HOT- [terminé] Jeu 5 Avr - 17:15
« Déjà un … Ca va être folklo mon amour … Tu nous images parents ? Le bébé qui pleure … Les parents trop occupés à rattraper le sexe perdu pendant la grossesse … » Plissant doucement le nez, je frissonnais lentement en déposant un lent et doux baiser sur ses lèvres. J’avais envie d’un enfant, mais il était clair et net qu’entre avoir envie et en avoir un et s’en occuper c’était bien différent ! « Pas encore mais j’ai trop envie, alors, on verra bien… » soufflai-je doucement avant de continuer de parler de bébé et de boulot. « Quand y’aura un petit Copeland dans ton ventre, tu penseras plus à bosser, va … Et en attendant, j’ai de la place au bar … » Posant lentement mes mains sur mon ventre, je lui lançais un regard amoureux, joyeux, pétillant de vie en gémissant, me retenant de pleurer de joie. « Un petit Copeland… J’ai envie d’en avoir un de suite mon amour… Oh oui ! Ton bar ! En plus quand j’y suis venue la première fois, c’était pour postuler ça tombe bien ! » Soufflai-je l’air de rien en gardant mes mains sur mon ventre. Peu de temps après, on s’emballa, demande en mariage, bonheur, pleurs, puis sexe. Nous mettant totalement nu l’un comme l’autre, on en vint à faire l’amour pour la première fois ensemble. Dévastateur, jouissif et j’en passe. Tout était parfait, réellement parfait. Après multiples orgasmes, on en vint à s’allonger et parler de mon emménagement chez lui et du fait à savoir si Billie serait gênée ou pas, il en vint à me dire quelque chose d’intriguant et je lui demandais une explication. « Je pense qu’elle ne m’en voudra pas, si je te le dis à toi … Mais elle … Elle a été violée il y a quelques années. Je pense que je le vis plus mal qu’elle-même … » Choquée, j’écarquillais les yeux sans savoir quoi dire. Mon cœur s’arrêtant de battre, mon souffle se coupant, je n’arrivais pas à imaginer ce qui s’était passé en mon absence. Billie avait été… Je me sentis tout à coup mal, pour elle, pour lui, pour eux. Je pouvais aisément comprendre qu’il puisse le vivre mal, il était son frère, il était là pour la protéger, et ça avait dû lui faire plus de mal qu’autre chose. Le prenant doucement dans mes bras, je le serrais fortement en soupirant faiblement. « Je vois… Je suis tellement désolée pour elle, personne ne mérite de vivre ce genre de chose… Mais si tu as besoin d’en parler, tu sais que je suis là, pas vrai ? » soufflai-je doucement en déposant de lent baiser sur ses lèvres. Parlant par la suite de la lune de miel, et des idées qu’il avait, je ne pus m’empêcher de dire que j’aimais toutes ses idées et qu’on avait qu’à les faire. « Deux semaines en bord de mer, deux semaines en forêt avec une rivière pas loin et deux semaines dans un chalet sous un mètre de neige. Et les deux dernières semaines ici, pour nous remettre un peu … Marché conclu ? » Si je suivais bien le fil de ses paroles, ça nous menait à… Deux mois ? Mais il était terriblement fou ! Deux mois ça allait lui couter une véritable fortune… Je me sentais honteuse, mais je ne préférais pas ne pas y penser, sinon, j’allais encore tout gâcher et il m’en voudrait… « Deux mois de lune de miel ? T’es malade ! Mais j’aime terriblement cela… Oh que oui ! » soufflai-je doucement en lui caressant lentement la joue avant qu’il ne me dise qu’il faudrait s’habiller. Histoire qu’un enfant ne nous trouve pas nus. Je ne pus m’empêcher de rire, et de dire que la bête était à moi et qu’il devait vite la ranger ! Je n’étais pas partageuse, oh que non ! « Pauvres mioches tiens … J’imagine leur tête s’ils voyaient … Ça ! » Riant doucement, je baissais un vague regard vers « ça » avant de rire encore plus. M’habillant rapidement, je me blottissais alors contre lui sous la couverture. « Personne n’a le droit de la voir, sauf moi ! » soufflai-je doucement en me collant bien contre lui, enfouissant mon visage dans son cou, avant de lui dire qu’il m’avait terriblement manqué. « Tu m’as manqué aussi mon amour ! Même si, peu à peu, j’ai l’impression que ces huit dernières années n’ont pas existées … » soupirant de bien être en fermant les yeux, un sourire se logea alors sur mon visage, contente, comme jamais. Le laissant nous enrouler dans la couverture, je restais silencieuse, sans savoir quoi dire, la gorge totalement nouée. « Demain je te kidnappe et te séquestre chez moi. On a huit ans à rattraper, dans tous les sens du terme. » Gémissant lentement à ses allusions, je lui donnais un faible coup de coudes, comme pour le faire taire. Il ne fallait pas parler de sexe, pas maintenant alors que nous allions dormir… Hors de question, sinon, j’allais lui sauter dessus… « Notre première nuit ensemble, dans notre nouvelle vie … » souriant en coin, je soupirais avant d’ouvrir la bouche, et voir qu’il dormait déjà. Riant doucement, j’ébouriffais avec lenteur ses cheveux fermant les yeux, avant de sombrer à mon tour.
HS : N'oublie pas de modifier le titre et mettre terminé, j'allais le faire mais c'est toi qui l'a créé