Girl just want fun c'est la chanson que je chante sous la douche, une bonne douche bien chaude pour me réveillée ce matin j'ai la pêche et je suis de bonne humeur. On m'a appelé pour me parler d'un boulot régulier okay je préfère la joué solo et intuition d'habitude mais un salaire tous les mois c'est loin d'être négligeable loin de la. Oui je continuerais a prendre des paysages des shootings régulier mais bosser avec mon amie journaliste c'est sympa. Bon notre première rencontre elle n'était pas au beau fixe évidement elle me parlait de mon ancien boulot lieutenant de police ... J'étais plus que réticente mais face à son acharnement j'ai fini par dire oui. Depuis ce jour on s'est pas mal rapprochées même si je n'ai toujours pas répondu a sa question : pourquoi j'ai quitté la police je ne suis pas prête à en parler. Cette fille est vraiment belle je lui ai laissé ma carte à l'occasion mais il faudrait déjà que j'ai un local pour ça....... Enfin je me suis fais une amie et de retour au pays depuis peur ç fait plaisir .
Enrouler de ma serviette je sors de la douche et vais dans ma chambre pour enfiler une tenue de sport adéquate, un jogging noir et un top rouge, Tybalt vient se coller contre ma jambe, le pauvre je suis en retard pour lui donner ses croquettes mais il sait me rappeler à l'ordre, une fois habillée je vais donc dans la cuisine lui remplie la gamelle un bol d'eau. Et pour moi un jus de fruit fraîchement pressé , j'adore les fruits la pub cinq fruit et légumes c'est mon truc y a pas à dire ! Je ne mange toujours pas, en buvant mon verre je consulte rapidement mes mails: ma mère qui veut de mes nouvelles, je lui réponds tout de suite que je vais bien qu'il ne faut pas qu'elle s'inquiète ; le fait que je sois de retour ici était dur pour elle. En effet ma famille entière avait quittée l'Australie pour les Etats Unis et New York elle a la sensation que je les fuit tous, comment le nier en un sens c'est vrai, je ne supporte plus ces souvenirs, ici je me vide la tête même si je sais qu'un jour je devrais y faire face mais pas pour le moment. Je suis bien ici je me sens à place plus qu'à New York ; finalement j'aurais peut être jamais du être flic qui sait . Une fois répondu a ma maman je lis le reste que des pubs je soupire et ferme mon pc .
Dix minutes plus tard je mets mes chaussures prends dans mon sac mon portable, une bouteille d'eau, une pomme et mon Ipod direction le parc quoi de mieux pour se vider la tête que courir?! Moi je ne connais rien de mieux ... De mon appart' je suis pas loin j'y vais donc a pieds. Après quelques étirements sur un banc je met ma musique dans les oreilles je commence a courir voulant faire le tour du parc . Je me concentre sur la musique et court jusqu'au moment ou je ne pense plus à rien, je regarde alors aux alentours les enfants joues et rit les amoureux sont eux aussi de sortie, j'avais oublier combien le parc était bondé pire qu'à Central park il faut dire que le temps n'est pas le même non plus . J'adore le soleil et ses température élevée ... regardant le ciel je m'arrête de courir allant en petite foulée pour pas refroidir trop vite les muscles je profites du moment .
Je cours je cours depuis un moment lorsque je m'écroule de douleur et pousse un hurlement, je m'assois par terre jambe tendue posant mes mains sur ma jambes blessée qui est tendue au plus haut point je ne peux plus la bouger..... Plusieurs personne me regarde mes yeux sont humidifiés tellement la douleur est forte et alors que je regarde ma jambe des paroles me reviennent " Souvenez vous votre blessure va mieux mais vous ne retrouverez jamais votre force physique d'avant, alors allez y doucement ou vous risqueriez d'empirer vraiment les choses..."
Moi faire moins d'efforts moi le garçon manqué accro au sport comment me demander ça ?! C'est dans ma nature, c'est moi m'empêcher de vivre ça c'est m'enlever littéralement une part de moi! Je ne suis pas prête pour ses concessions; je sais que j'agis mal; mais autrement c'est impossible ... je sors de ma poche de pantalon un comprimé de vicodine et l'avale direct penchant la tête en arrière . ça fait plusieurs mois que je suis sous anti- douleurs et avec mes activités j'en prend plusieurs par jours je peux pas m'en passer sinon je boite , cinq minutes se passe et je peux enfin me lever je suis à bout de souffle tenant ma jambe enfin je me traîne plutôt sur un banc et me laisse choir dessus ! Avant de ranger mon MP3 et boire de l'eau à la bouteille les yeux clos vers le ciel j'attends que la douleur passe, sur mon visage on ne voit rien on pourrait même croire que je suis paisible mais à l'intérieur je hurle, ma main ce crispe sur ma jambe gauche...
Etre chassé par les paparazzis, c’est lourd. Une vie faite de plan B quand on est poursuivie enfin ça va, j’avais une carrière qui me permettait de respirer car on ne me prenait pas pour cible numéro un en général. La chance de ne pas être Nicole Kidman ou Brithney Spears mais encore Lady Gaga. J’étais chanceuse de n’avoir tourné que dans une petite série télévision pendant 7 saisons et puis aussi de quelques films donc je n’avais pas vraiment le statut de star, on dira que j’avais mon petit nom enfin je l’ai toujours mais il faut dire que mon « retour » interpelle les médias comme jamais et c’est parfois chiant. Je vous l’avoue. Je voulais revenir calmement aux devants de la scène et puis ma fille ne devait pas supporter ça, je ne voulais pas qu’elle supporte les photographes et tout ce qui allait avec, elle n’a que 11 mois. Ce qu’il y a de plus difficile dans cette vie, c’est surement de supporter les médias mais aussi ce qui suit ceux-ci. Quittant alors ma chambre d’hôtel au casino de Maxyne, ma meilleure amie… avec ma fille dans les bras qui ne voulait qu’une chose : en descendre pour marcher. Mais je n’osais pas vraiment la laisser aller à terre dans les rues de Sydney, vive la propreté surtout que les bébés mettent les mains partout. La mettant alors dans une poussette. Je me baladais alors dans ma jolie robe d’un bleu, très joli. Allant d’abord au supermarché, j’avais dans l’idée d’un petit pic-nic au parc avant d’aller faire la visite des villas pour trouver : ma villa, la nôtre pour être plus précise. Je n’étais de retour que depuis 1 semaines même pas et je voulais parfois repartir déjà quand je voyais que les magazines publiaient déjà mon retour et lançaient des rumeurs sur la paternité de Katelyn. Je savais qui était son vrai père mais eux… ils ont même sortis que Goerges Clooney pourrait l’être. Je vous jure et puis Leonardo Dicaprio pourquoi pas ? Non, Andrew Matthews était le vrai père. Je n’avais pas rencontrée d’autres hommes depuis que j’avais quitté Sydney, je ne voulais pas en rencontrer. Fouillant alors dans les rayons à la recherche d’un petit truc à manger rapidement, je pris simplement une petite potée de fruit pour Kat’ et une salade pour moi avec la vinaigrette assortis ainsi que des petits desserts. Elle n’avait pas toujours tout ce qui était à mâcher, elle préférait le plus liquide ce que je comprenais et ce qui était logique.
J’avais pris soin de prendre une petite couverture et quittais ensuite le magasin quand on me demandait un autographe et qu’une des personnes regardait ma fille d’un regard tout mignon en lui parlant « T’es aussi jolie que ta maman, toi », je riais doucement. C’était mignon et un compliment pour moi, je n’aimais pas trop rapprocher ma fille de mes fans mais j’avais toujours été naturelle avec eux et amis… pas froide du tout. Je n’étais point une diva et je ne le serais jamais, je suis comme eux sauf que mon métier n’est pas pareil. Katelyn appela alors la jeune femme « Papa » ce qui me faisait sourire doucement mais m’attristait. Depuis qu’elle regardait la télévision et que la chaine diffusait un dessin animé basé sur le papa et son enfant, elle appelait tout le monde « papa » c’est tout ce qu’elle disait et pas vraiment de « maman » pour l’instant mais « papa », c’est éducatif ce genre d’émission mais j’aurais bien fais sans car son papa… il serait temps que je prenne mon courage à deux mains pour aller lui annoncer la nouvelle, un jour… peut-être. J’étais courageuse mais j’avais peur de sa réaction. Peur de sombrer si je le revois. Je l’aime et je l’aimerais toujours. Lui et pas un autre. « Non, ma douce ce n’est pas papa », disais-je en passant la main sur sa tête alors que je m’apprêtais à signer le dernier autographe et j’entendais en m’éloignant « Elle est mignonne ». Je ne sais pas si Katelyn se rendait vraiment compte de ce qu’était un papa, elle ne comprenait pas vraiment tout ce qu’on lui disait enfin oui et non cela dépendait. On dira qu’elle commençait à comprendre. Elle apprend vite la petite comme sa maman.
Je nous baladais vers le parc en buvant un petit café prit sur la route d’ailleurs le gars au café enfin le vendeur de café ambulant m’avait demandé un autographe aussi pour sa fille apparemment qui était fan depuis l’enfance de ma série, j’adorais ce genre de personne qui venait à moi pour une autre. C’était si gentil et mignon mais aussi très rare car en général les gens ne pensent qu’à eux et puis l’homme s’excusait de me déranger et tout, c’était d’un gentil que j’avais envie de faire une photo avec lui et c’est ce que j’avais fait… je l’avais même autorisé à prendre Katelyn en photo car il était trop chou. Il devait avec la quarantaine mais c’était chou. Je prenais alors place sur un terrain d’herbe au par cet mettait la couverture sur le sol enfin un plaid plus vite avant d’y poser Katelyn que je détachais de sa poussette doucement. Je devais aussi me battre avec ma robe qui s’envolait sous des coups de vent pour laisser se voir mon bikini. Je n’aimais pas trop ça mais c’était un bikini donc bon, je me battais mais sans plus. « Attention chérie, tu ne vas pas dans l’herbe… », Je connais les enfants… ils veulent toujours gouter à tout et je ne voulais pas qu’elle mange de l’herbe ou de la terre. Heureusement les chiens étaient interdits dans ce parc mais bon, on ne sait jamais puisque les gens n’ont bien souvent pas de respect. Je lui déposais alors quelques jouets sur le sol mais je sentais qu’elle voulait se lever et marcher cela se voyait, elle n’attendait que ça. Mettant alors mes lunettes de soleil pour éviter au minimum que l’on ne me reconnaisse… je me levais et attrapait ses mains pour l’inciter à se lever « Allez mon bouchon, debout. Il est l’heure de faire un peu de sport avec tes petites gambettes bien potelée », je riais doucement en commençant à la faire marcher sur le terrain d’herbe de ses petites jambes qui se levait comme si elle tentait de monter des escaliers, c’était mignon tout plein. « Fais attention, tombes pas hein ? », disais-je d’une petite voix un peu paniquée alors qu’elle allait un peu plus vite, je devais la suivre et avec le dos courbé ce n’était pas facile de regarder ou nous allions. C’est alors que je reconnu du coin de l’œil la joli Shannon, mon photographe favoris lorsque je devais faire des petits séances. Je conduisais alors la petite à sa rencontre la laissant marcher et gambader jusqu’à elle. Elle posait alors ses mains sur le banc juste à côté d’elle en me lâchant et tomba alors sur ses fesses en riant. « Hop… par terre, le popotin de Kat’ », disais-je en riant et la prenant dans mes bras. « Bonjour, la sportive », disais-je à l’attention de Shannon qui était apparemment à l’aise sur son banc. Je mettais alors le regard de Katy vers Shannon et souriais « Katelyn, je te présente Shannon et non… ce n’est pas non plus ton papa mais une amie à maman »… je souriais doucement. « Tu peux l’appeler Tata par contre si tu veux, ce n’est pas loin d’être une tata ». Je me marrais doucement et la regardais en souriant et lui faisant la bise. « Comment ça va depuis le temps ? », j’arquais un sourcil en riant… « Tu es rousse maintenant ? », oui la dernière fois que je l’avais vu, elle était brune enfin il y a deux années… J’espérais aussi qu’elle n’ait pas lue Cosmopolitan et ne me demande pas si ma fille était née de mon aventure avec Goerge Bush.
J'avais besoin de courir de me vider la tête de tout oublier, après tout c'était bien pour cela que j'étais de retour en Australie; mais il semblerait que les fantômes ne veulent pas me laisser en paix , avec moi même , avec ceux que j'ai laissé derrière moi! Normalement je ne devrais pas courir je ne devrais pratiquer le sport comme je le faisait avant ... juste les arts martiaux qui détendent et plus les combats. Depuis toute petite je suis casse cou et j'aime le sport même si certain disent que c'est un truc de "mecs" élevée avec deux grands frères que voulez vous que ça donne d'autre qu'une femme très sportive hein? Mais ça le médecin il s'en fou royalement ce qui est dès plus normal lui se qu'il voit c'est que si je continue a ce rythme , je passerais ma vie a boiter voir pire, car il reste un éclat près de l'os du devant de mon mollets . Toutes les semaines je me rend à l'hôpital pour voir le suivit et un peu de réduc' mais mon médecin traitant a vite vue que j'étais une vraie tête de mule a mes risques et périls ! Alors ce matin je vais courir c'est la seule chose qui me vide la tête entièrement , je ne pense plus à rien, et là en peu de temps je suis détendue et bien dans ma peau. En plus le parc ici est génial il fait beau et il y a du monde , je me retrouve alors a pensé au cliché que je pourrais faire ici, pas mal de vues très belles avec le soleil et ce que je préfère prendre des illustres inconnus .
Capturer l'instant présent , saisir une émotion , un sentiment c'est ça que j'aime dans la photographie, car on fond parfois un instant de bonheur même s'il dur une seconde il vaut mieux s'en souvenir à jamais avec ce souvenir on peut effacer des années de souffrances . En parlant de souffrance , ma jambe se rappelle à moi, je me retrouve par terre à hurler, évidement tout le monde me regarde et lorsque quelqu'un se propose pour m'aider je le remercie mais refuse assez sèchement: j'aime pas avoir besoin des autres, j'aime pas demandé de l'aide et encore moins depuis cet incident je ne supporte pas d'être une assistée. Je finis par réussir à aller m'assoir sur un banc, je m'avales un cachet et reste à regarder le ciel la musique dans les oreilles .
D"un seul coup je sens des petites mains me frôler la jambe je baisse alors les yeux et vois une petite qui ne dois pas avoir encore un an, qui est sur les fesses et rit je la regarde en souriant enlevant mes écouteurs .
Bonjour toi !
Je vois sa maman Lily, ça fait un moment que je ne l'avais pas vue, c'est une fille adorable que j'ai déjà prise en photo une actrice assez talentueuse il faut le dire elle semble épanouie et souriante . Je la regarde touchée quand elle dit à la petite qu'elle peut m'appeler "tata" , c'est vrai qu'elle est moi sommes assez proches , mais la dernières fois qu'elle m'a vu c'était avec Gill et je pense déjà aux questions qu'elle pourrait me poser a ce sujet, mon estomac se noue alors légèrement je ne veux pas en parler .... Je prend la petite dans mes bras et la soulève au dessus de ma tête comme pour jouer à l'avion je souris a la petite en lui disant :
Enchantée petit ange tu sais que tu as une super maman ?!
Je la fais redescendre la posant sur mon genoux elle est donc ce profil je regarde Lily et répond :
comme tu vois je vais bien de retour chez moi ! Eh oui tu me connais j'adore changé de tête et de coupe cette fois c'est la couleur et toi quoi de neuf a part ce petit ange ?!
Je ne précise pas que je me suis coupée de cheveux et les teints après ma rupture avec Gill une façon de dire qu'une nouvelle page se tourne . Je sais que Lily niveau professionnel a était moins présente quand on est maman, je connais aussi toutes ces rumeurs qui courent sur le père de kathlyn mais je m'en fiches et je vois pas pourquoi en parler même . La presse People ça n'a jamais était mon truc moi je crois les choses quand une personne en qui j'ai confiance me le dit ... Un point c'est tout!
Katelyn marchait en direction de Shannon, elle ne pouvait pas rester en place cette petite, pire que tout… elle gambadait partout et allait faire un coucou à tout le monde. Heureusement que je ne me cachais pas de mes fans ou du monde car elle m’en apporterait bien d’un souci mais ce qui y a bien à Sydney, c’est surement et sans aucuns doutes que l’on ne tombe pas nécessairement sur des fans partout qui veulent des autographes contrairement à Los Angeles ou New-York. Paris était plus calme, les Français ne faisaient pas attention à savoir qu’ils pourraient tomber sur moi car après tout, ils ne savaient même pas que j’y étais. La couverture et l’anonymat était parfait pour se « cacher ». Katelyn répondait à son bonjour par un petit rire bien à elle. Ce petit ange ne parlait pas encore, ma fille était maligne mais pas Einstein, normal quoi. Je la voyais touché par le mot « tata » alors qu’elle prenait ma fille dans ses bras pour la faire voler dans les airs ce qui me faisait peur mais m’amusait aussi. J’avais comme toutes les mères normalement constituée… peur qu’elle ne tombe ou qu’elle ne se fasse mal, les poteaux… on en voit partout, hein ? Et poufff, une belle bosse. Elle lui disait que j’étais géniale ce qui me faisait rire car un enfant trouve toujours sa maman formidable surtout qu’elle ne connaissait réellement que moi et parfois sa nounou mais je n’étais pas trop du genre à accepter qu’elle voit sa nounou enfin tout ça quoi… comme toutes les stars qui ont des gosses, je ne voulais pas que ma fille finisse star ou délaissée par ma carrière mais encore éduquée par une autre femme ou un homme qu’elle nommerait « nounou » ou « nany » enfin tout ça. Elle fit alors redescendre ma fille, une sorte de soulagement car j’avais réellement peur qu’elle ne se fasse mal, c’est plus fort que moi. C’est dingue, peureuse que je suis mais non, je veux que ma fille vive longtemps. Elle venait de me répondre à la question classique du « comment ça va » hummmm, un classique… toujours bonne à poser et toujours facile pour y répondre car on sait à coup sûr comment on va… on le sait toujours enfin presque ou pas. « Hum hum, oui… j’adore cette couleur, c’est très flamboyant », disais en riant pour me moquer un brin surtout que ça m’amusait car son roux tiraient vers un orange feu… avec la lumière du soleil ce qui était bien marrant. « Quoi de neuf ? Hummmm, je suis de retour à Sydney avec mon enfant. Elle est formidable. Je n’ai toujours pas contacté Andrew enfin il faudrait que je lui annonce qu’il est père, je crois. Ce n’est sans oublier qu’il faudra que je reprenne les tournages, les fans me réclament et j’aime mes fans. ». Oui, j’étais là pour mes fans… je répondais toujours à leur attente et leur demande d’autographe, c’est plus fort que moi. « Tu sais que tu n’aurais pas pu changer autre choses de couleur ou de coupe pour ta petite tête ? Je te vois mal avec hummm de la chirurgie et faire remonter tes joues, gonfler tes lèvres et tout ça pour changer de coupes. » Je ris doucement en la regardant. « Enfin, enfin et la photo ? », oui… je l’avais rencontré comme ça donc c’était l’important mais ce qui était assez fun étant aussi que je pouvais lui poser beaucoup de questions sans vraiment savoir le « quoi de neuf » puisque je sentais qu’elle ne disait pas tout donc j’allais lui tirer les vers du nez, on le sent quand on nous caches un truc… une actrice apprend à jouer sans qu’on voit qu’elle joue ou qu’elle ment… oubliant les yeux qui dérivent et tout ça donc elle connait les signes.