Sujet: LENA' ღ « savoir qu'on n'a plus rien à espérer n'empêche pas de continuer à attendre. » Mar 27 Sep - 17:36
« Lenaëlle Zofia Kowalski » feat - candice accola
NAISSANCE : 1 juillet 1990, à Varsovie en Pologne J'AIME : l'art, le shopping, les garçons, les langues et ragots JE DÉTESTE : le chocolat, les chiens et les pannes d'ascenseur et, accessoirement Jude. CARACTÈRE : lunatique, arrogante, méfiante, têtue, déterminée, ambitieuse, passionnée, arriviste, possessive et attachante. TIC/HABITUDE : passe son temps à chipoter à ses cheveux, à réajuster ses vêtements et ne supporte pas d'être à droite lorsqu'elle marche avec quelqu'un. ANECDOTE : elle s'est déjà retrouvée enfermer dans un musée.
PSEUDO : AlmostAlways AGE : 19 ans AUTRES : Je suis belge et je le vis très mal. VDM. TOI ET OST : J'vous ai trouvé sur PRD, mes lapins (a) DOUBLE COMPTE : Noop FRÉQUENCE : 4/7 QUESTIONS : Aucune. GROUPE : Scorpions STATUT DE FICHE : Finie
Dernière édition par Lenaëlle Z. Kowalski le Dim 2 Oct - 8:57, édité 6 fois
Sujet: Re: LENA' ღ « savoir qu'on n'a plus rien à espérer n'empêche pas de continuer à attendre. » Mar 27 Sep - 17:36
« C'est l'histoire de la vie (8) »
Pas de médaille pour cette femme d'honneur. 1 juillet 1989, point de vue d'Adrian. « Frans' ! Elle est où Mischa ? » Sautillant jusqu'à mon tuteur dans mon maillot rouge, je cherchais ma marraine des yeux. Aujourd'hui, c'était mon jour, mon heure de gloire. J'avais travaillé tellement dûr pour en arriver là que je ne pouvais pas concevoir qu'elle ne soit pas présente. « Elle ne se sentait vraiment pas bien, Adri', elle est donc restée à la maison. Mais ne t'inquiète pas, j'ai pensé à prendre la caméra. » C'est alors que je vis celui qui avait pris la place de mon père lever fièrement son caméscope en l'air avec ce sourire enfantin qui faisait sa particularité. J'avais toujours été très proche de lui, même avant l'accident de mes parents. On était pas de la même famille mais lui et Mischa, ma marraine avait pris soin de moi. Il était à la fois mon modèle, mon ange gardien et mon meilleur ami. Malgré tout, j'aurais eu besoin de ma marraine en cet après-midi où les regards allaient être river sur moi.. C'était la première fois que je jouais dans une salle qui accueillait autant de monde et la peur me nouait le ventre au fur et à mesure que le temps passait. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je me retrouvais sur cet immense gymnase à courir après ce ballon orangé en essayant tantôt de faire des passes, tantôt de marquer. Je n'étais encore qu'un enfant et pourtant, je connaissais mieux le basket que la plupart des adultes, je le pratiquais depuis que je savais marcher. C'était plus qu'une passion, c'était un rêve, c'était mon avenir, c'était ma vie et je prenais très mal le fait que Mischa ne soit pas présente sauf que j'étais loin de savoir ce qu'il se passait pour elle en ce moment même. Lorsque je rentrai à la maison, le soir même, elle n'était pas là, elle n'avait laissé qu'un mot à Frans' qui s'affola dès qu'il eut fini de le lire. Quelques jours plus tard, on me parla de bébé, d'une fille, d'un déni de grossesse, d'une complication. Comme si je savais ce que ça voulait dire surtout que Mischa était censée ne pas pouvoir avoir d'enfant. La seule chose que je vis, c'est cette espèce de petite crevette pleine de peau qui semblait porter les mêmes vêtements que les poupées des magasins et un grand cerceuil sur lequel Frans' pleurait. J'avais 5 ans, ma marraine venait de mourir, Lenaëlle venait de naître. Tu as détruit mon humanité. 3 avril 2004, point de vue de Lenaëlle. « Non mais tu n'aurais pas pu faire attention, petite idiote ! » En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je montai les escaliers quatre à quatre pour m'enfermer dans ma chambre, mon père à mes trousses. Plus rapide que lui, je réussis à fermer la porte de ma chambre à clé avant de pousser ma caisse à jouets devant pour être persuadée qu'il n'entre pas. Je sautai ensuite dans mon lit et attrapai le cadre qui était déposé sur ma table de nuit, il contenait une photo de ma mère, la seule qu'il me reste, mon père ayant pris possession de toutes les autres. Je la serrai contre moi en essayant de ne pas pleurer mais les larmes dégringolaient déjà sur mes joues. Elle était morte en me donnant naissance et dans la famille, on avait tous vécu ça à notre façon. Frans', mon père, a remis toute sa frustration sur moi. On peut encore voir les conséquences de sa souffrance sur ma peau blanche, j'ai tué la femme qu'il aimait et je crois bien qu'il ne me le pardonnera jamais. Adrian, le filleul de ma mère, a vécu ça d'une façon très différente. Pour lui, je suis un peu la réincarnation de ma mère. On a toujours été très proche, il m'a toujours protégé comme il le pouvait même si c'était loin d'être facile. Il a vu mon père se détériorer, il l'a vu devenir un homme mauvais. Moi, je n'avais jamais connu que cette facette de lui et j'avais l'impression que c'était normal. J'avais tort. Assise sur mon lit, les larmes dégoulinant sur mes joues, j'entendais mon père tambouriner à la porte en me criant des injures. J'avais envie de mourir. J'avais envie de mourir et de leur rendre ma mère mais c'était impossible.. Le bruit semblait avoir cessé, mon père devait s'être calmé, tout ça pour une assiette de pâtes renversées. Je commençais à me rassurer lorsque j'entendis à nouveau tambouriner à la porte. Je sursautai de peur avant de resserrer un peu la couverture contre moi. « Lena', ouvre-moi. C'est Adri'. » Au son de la voix douce de mon ami, mes battements de coeur reprirent un rytme normal. Je me précipitai vers la porte, poussai mon bac avant d'ouvrir et de sauter dans ses bras. C'était tellement apaisant d'être contre lui, à ne penser à rien d'autre. Vous savez, on dit que lorsque l'on est petite, on tombe amoureuse de son père, moi, c'était de mon frère de coeur dont j'étais amoureuse. Après une courte étreinte, il s'engouffra dans ma chambre et commença à mettre des tonnes de vêtements dans un grand sac avant de prendre ma petite main et de me faire descendre les escaliers. « Eh ! Adri'' ! Tu comptes faire quoi là ? » « On part, Frans. On part parce que tu n'as jamais été capable de prendre soin de nous comme maman et Mischa auraient aimé que tu le fasses. C'est bien beau de pleurer sa mort mais c'est encore mieux de l'honorer. On va poursuivre la vie que nos mères auraient voulu qu'on poursuive. Au revoir, Frans'. On t'aime mais tu nous as fait trop de mal. » Cette mine déconfite fut la dernière image que j'eus de mon père alors qu'Adrian m'emmenait je ne sais où. J'avais 14 ans, Adrian devenait un homme, mon père devenait un déchet. Je vais bien, ne t'en fais pas.. 27 décembre 2010, point de vue de Lenaëlle. "Cela fait maintenant cinq ans que je vis avec la famille Filligan. C'est pas toujours facile, j'ai un peu de mal avec la mère et le fils mais mise à part ça, j'suis vraiment adoptée par eux.. Je travaille comme serveuse, mais je continue quand même mes études. Quoi que.. Tu dois certainement t'en foutre. On n'est jamais sûr de rien dans la vie, hein papa ? Je fais des études de langues, j'aimerais devenir interprète. Et oui, j'ai de l'ambition, en même temps quand on a eu une vie comme la mienne, on n'a pas trop le choix. Quand on t'a quitté, Adri' et moi, on s'est retrouvé à la rue, on y est d'ailleurs resté deux mois et crois-moi, ça nous a forgé un caractère. Malgré ça, je crois que j'aurais préféré y rester parce que lorsque les services sociaux ont mis la main sur nous, ils nous ont séparé avant de nous mettre dans une famille d'accueil. Je n'ai plus entendu parler de lui depuis. J'ai donc débarqué en Amérique sans comprendre un mot de ce qu'ils disaient, j'ai mené la vie impossible à ma famille d'adoption, mais ils ne m'ont pas lâché. Je ne suis pas leur sang mais eux, ne m'ont pas lâché. Mais je ne vais pas m'en plaindre, j'y ai rencontré ma meilleure amie, c'est grâce à elle que je suis ce que je suis aujourd'hui, tu sais ? C'est la petite dernière de la famille, on se ressemble et on se comprends. Puis.. On menne la vie impossible à Jude. Je t'ai parlé d'ambition toute à l'heure, pour ça, je peux te remercier. Parce que depuis le calvaire que tu m'as fais enduré, je suis absolument prête à tout pour réussir dans la vie. Et comme l'argent et le sexe sont les deux choses qui gouvernent le monde, je les associe. Certains appèleraient ça du chantage, de la corruption, moi, j'appelle ça les affaires. Je sais user de mes charmes pour obtenir ce que je veux et c'est le plus important dans la vie, non ? Obtenir ce que l'on veut. Après tout, si l'on peut mélanger l'utile et l'agréable, pourquoi se priver ? Tu vois, papa, j'y suis arrivée. Toute seule. Comme une grande. Je ne suis certainement pas ce que tu voulais que je sois, je ne suis certainement pas ce que maman voulait que je sois mais je suis quelqu'un. Sans Adrian, je serais certainement morte sous tes coups. Mais je te pardonne, papa. Je te pardonne parce que je te comprends et parce que je t'aime. Par contre, il va falloir que tu fasses quelque chose pour moi, papa. Retrouve-le. Tu es son tuteur légal, retrouve-le. J'ai besoin de lui, je t'en prie.. Tu me dois bien ça. Lena."
Dernière édition par Lenaëlle Z. Kowalski le Mar 27 Sep - 19:33, édité 9 fois
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: Re: LENA' ღ « savoir qu'on n'a plus rien à espérer n'empêche pas de continuer à attendre. » Mar 27 Sep - 17:41
Livia ? "Bonne chance et bon courage pour ta fille ma jolie." Ta fille ? LENA O.O t'es maman ? ! *sort en courant* Je frappe pas mais je me moque... Olivia =D !
Sujet: Re: LENA' ღ « savoir qu'on n'a plus rien à espérer n'empêche pas de continuer à attendre. » Mar 27 Sep - 17:50
Pandora t'es une garce, tu vois que j'ai raison de pas saquer le TVD cast. Vilaine Je voulais dire fiche of course. Mais mon lapsus est intéressant, Livia elle veut bien un bébé aussi...
✔ HUMEUR : Bonne. ✔ SURNOMS : Nono ϟ Doudou ϟ Mon canard ϟ N² ✔ LA CITATION : Parfois dans la vie, se forme un lien indestructible entre deux personnes, et parfois vous finissez par rencontrer cette personne sur qui vous pouvez compter quoi qu'il arrive, il peut s'agir d'un être avec qui vous vous unirez lors d'un mariage de rêve, mais il se peut aussi que la personne sur qui vous pourrez compter pendant toute votre vie, la seule qui vous connaisse vraiment, peut-être encore plus que vous même, soit la même personne qui est à vos cotés depuis le tout début.
✔ HUMEUR : Plutôt bonne ✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet) ✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors ! ✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.
Sujet: Re: LENA' ღ « savoir qu'on n'a plus rien à espérer n'empêche pas de continuer à attendre. » Dim 2 Oct - 16:31
Chui Belge et je le vis très bien, on est faite pour s'entendre ! (je le vis pas très bien x) ahah mais vive le chocolat !) Je te valide petit cœur, joli personnage (a) et je veux toujours mon lien ! N'oublies pas de recenser ton avatar x)