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Colleen Aurora O'Donnell - And god created the paradox.
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Colleen A. O'Donnell
Lose Without You
Fondatrice
✔ AGE : 31 ans
✔ SEXE : Féminin
✔ METIER : Garagiste, ex pilote.
✔ ETUDES : /
★ AVATAR : Amber Heard ♥
✔ MESSAGES : 48505
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 17/01/1986
Colleen Aurora O'Donnell - And god created the paradox. Tumblr_inline_npfvjvmQqp1r8cpzt_500

✔ HUMEUR : Amoureuse.
✔ EN JEUX : Possible (message privé)
✔ SURNOMS : Lily, Coco, Leen, C.
✔ LA CITATION : « Regarde moi, Touche moi, Effleure moi, Possède moi, Contrôle moi, Exalte moi, Ressens moi , Protège moi, Déteste moi, Quitte moi , Aime moi, Retiens moi. »




My Life
Relations Ship:

Colleen Aurora O'Donnell - And god created the paradox. Vide
MessageSujet: Colleen Aurora O'Donnell - And god created the paradox.   Colleen Aurora O'Donnell - And god created the paradox. Icon_minitimeSam 22 Jan - 19:53
Colleen Aurora O'Donnell
Feat « Amber Heard »

C’est un beau jour de « janvier » que je naquis et plus exactement le « 17.01.1986 à Miami ». Mes parents me nommèrent et je grandis. J’aime « l'honnêteté, mes amis, Nolaan ♥️ et les hommes et oui, je suis hétéro » et je porte en horreur « l'eau en grande quantité, les hypocrites et les femmes qui osent avorter (sauf les ado, ça se comprend) ». Parfois l’on me dit « dépressive, sensible, drôle » mais pourtant je suis « qu'une jeune femme qui a perdu son fiancé et qui ne cherche qu'à combler ce vide par l'humour ». Oh et vous saviez que j’ai aussi des histoires drôles ? Je vous raconte « une fois, j'ai fait pipi au lit et j'ai accusée mon chien Tamaro auprès de mes parents. La honte. ». Enfin voilà, vous devez déjà en savoir un peu et si nous passions à la suite ?


Les larmes coulaient sur ses joues alors qu’elle venait de quitter l’appartement de Lucas. Ils avaient certes bu tout les deux à cette soirée là mais elle était pourtant parfaitement consciente de ce qu’elle allait faire et lui aussi. Sans explication concrète et logique, elle avait été attirée par lui comme un aimant. Et cette nuit, ils avaient couchés ensemble, entre adultes parfaitement consentants. Elle ne pouvait nier qu’il se débrouillait bien, qu’il avait été doux et attentionné et pourtant, en se réveillant auprès de lui, elle avait eu comme du dégout. Pas envers lui, non, mais envers elle-même. Elle avait l’impression de s’être trahie tout en trahissant son défunt fiancé. Autant vous dire que ça l’avait surprise, tout comme ça avait surpris le jeune homme lorsqu’il s’est réveillé à son tour, observant la jeune femme en larmes. Il l’avait prise dans ses bras alors qu’elle tentait en vain de s’expliquer correctement. Il n’avait pas chercher à savoir pourquoi, il l’avait juste écoutée et au fond, c’était peut-être ça dont elle avait besoin à ce moment-là. Il lui avait ensuite raconté son histoire, autour d’un café qu’ils partagèrent ensemble, décidant de ne parler de cette nuit à personne ou presque.

Et finalement, lorsqu’elle sortit de chez lui, elle ne put s’empêcher de laisser des larmes couler de nouveau, se laissant glisser contre le mur. Comme si elle se sentait fautive de ce qu’elle avait fait, comme si elle s’en voulait d’avoir couché avec Lucas. Mais ça n’avait pourtant aucun sens de s’en vouloir. Elle avait beau se le répéter encore et encore, elle n’arrivait pas à comprendre. Elle ne pouvait pas garder ça pour elle. Alors, une fois dans sa voiture, Colleen trouve cela presque logique de se rendre chez sa psychologue que ses proches lui avait convier de voir depuis déjà plusieurs mois. La dite psychologue venait d’ouvrir son cabinet lorsque Colleen entra en trombe dans les locaux.

COLLEEN ♦️ « Il faut que je vous parles… je vous en prie. »
PSYCHOLOGUE ♦️ « Mais j’ai des clients qui vont arriver Mademoiselle O’Donnell. »
COLLEEN ♦️ « J’en ai rien à foutre, j’ai besoin de parler, MAINTENANT ! »

Les perles salées roulaient sur ses joues devenues rouges, la peine avait laisser place à la colère. Si elle était venue c’était pour parler sur le champ. Elle en avait besoin maintenant, pas dans trois jours. Elle avait mal comme personne d’autre auparavant.

PSYCHOLOGUE ♦️ « D’accord, d’accord, allongez-vous et racontez moi votre histoire comme à chaque séance. »

Colleen se dirigea vers le divan noir qui se trouvait devant elle. Quant à la psychologue, elle prit son carnet et s’arma de son crayon avant d’aller s’asseoir dans un fauteuil derrière Colleen. La jeune femme essuya ses larmes et entre sanglots commença son histoire…

COLLEEN ♦️ « Je m’appelle Colleen Aurora O‘Donnell, j’ai naquit un 17 janvier, celui de l’année 1986 à Miami, j’ai donc 25 ans aujourd’hui. J’ai vécu une enfance heureuse. Je n’ai pas à me plaindre particulièrement de celle-ci. Je ne m’en souviens pas vraiment mais lorsque j’avais trois ans c’était la fin du procès qui séparait mes parents. Je ne me souviens pas les avoir vu se chamailler ou s’envoyer des objets comme la plupart des couples font lorsqu’ils se disputent. Mes parents étaient en fait plutôt discrets la dessus. Il avait peut-être peur de me choquer, j’en sais rien après tout. C’est à ma mère qui a finalement eu ma garde. J’ignore pourquoi mais après tout, c’est comme ça dans toutes les familles, ou presque. Mon père pouvait néanmoins m’avoir un week-end sur deux et il avait bien évidement l’autorisation - cette fois par ma mère - de venir me voir quand il le voulait. Je voyais bien dans le regard de ma mère qu’elle en était encore amoureuse, elle ne l’avait pas voulu ce divorce mais elle voyait bien que mon père n’était plus heureux alors elle a préféré partir pour lui. »

PSYCHOLOGUE ♦️ « Ne vous éloignez pas de votre vie, racontez nous la vôtre, pas celle de vos parents. Je sais qu’elle est difficile mais il faut le faire. »

COLLEEN ♦️ « Je suis donc rentrée avec ma mère qui a décidé de faire sa vie ailleurs, loin de Miami. Sydney qu’elle appelait ça. J’étais intriguée, joueuse mais aussi apeurée. Je n’étais jamais partie de chez moi et je comprenais pas pourquoi elle voulait partir de Miami. Peut-être qu’enfin compte elle aussi avait trop de souvenirs douloureux à Miami enfin bref. Je suis donc arrivée avec elle là bas alors que je n’avais seulement que trois ans. Sans école c’est assez difficile de se faire des amis si ce n’est ceux des voisins avec qui ma mère discutaient de plus en plus au fur à et à mesure du temps. Et puis finalement, c’est lorsque j’eu 5 ans que je me fit un réel ami. Je m’en souviens bien, un gamin haut comme trois pommes qui pourtant était plus grand que moi, s’amusait à me mettre du sable dans les cheveux. Ma mère, toujours aussi persuadée que les gens ici sont tous bons pensaient qu’on jouaient alors qu’il m’emmerdait plus qu’autre chose. Et puis il est arrivé. Nolaan Dean Stinson, un petit caïd au grand cœur quoi qu’il en dise. Ce jour là il est devenu en quelque sorte mon héro d’enfance lorsqu’il s’est débarrassé de l’autre gosse. C’est à partir de ce moment que j’ai compris que ma mère avait tout de fait raison, les gens bien sont à Sydney, la plupart en tout cas. Elle me racontait toujours cette histoire d’un petit garçon extraordinaire qui avait le don de faire refléter sa bonne humeur sur les autres et dans le monde. Nolaan était ce petit garçon, à mes yeux en tout cas, il l’est encore aujourd’hui. On s’est toujours soutenu, on a fait les 400 coups ensemble et c’est même lui qui m’a aidée à me battre avec une fille à l’école quand j’avais 11 ans quitte à se faire sévèrement punir avec moi. »

PSYCHOLOGUE ♦️ « Continuez. »

COLLEEN ♦️ « Au cours de ma quinzième année, ça a été assez difficile. J’étais en pleine adolescence plutôt… rebelle. Ce jour là il faisait assez beau dehors, le soleil se cachant néanmoins derrière des nuages par moment. L’air était lourd mais une petite brise le rafraichissait. J’étais encore en train de dessiner dans ma chambre et envoyer quelques textos à Nolaan pour savoir ce qu’on allait faire ce soir. Et comme d’habitude ma mère est rentrée pour se plaindre que je ne sors jamais, que je devrais profiter du soleil. Elle avait raison mais comme une imbécile j’étais dans ma bulle d’ado à problèmes qui aime se prendre la tête pour pas grand chose. Alors une fois de plus, j’étais partit de ma chambre en hurlant plus fort que ma mère… mais cette fois-ci j’ai peut-être été trop loin… non pas peut-être, j’ai vraiment été trop loin. Je l’ai insultée de tous les noms d’oiseaux que je connaissais et je lui ai même collée une claque qui résonna dans toute la maison. Autant vous dire qu’à ce moment là je pensais qu’elle l’avait méritée mais en fait elle voulait simplement me protéger. Je regrette aujourd’hui amèrement mon geste mais ça, elle ne pourra jamais le savoir parce que ce jour là, elle est… partit. »

PSYCHOLOGUE ♦️ « Dites le, Colleen, il le faut… »

COLLEEN ♦️ « Elle est morte par ma faute cette nuit-là. J’étais partit tout l’après-midi avec Nolaan et le soir, au lieu de rentrer chez moi j’ai traîné seule dans les rues avec mon portable éteint. J’ai traversée la ville entière à pied, m’enfonçant dans des bois brumeux. Sans que je le sache, ma mère a fini par appeler la police pour partir à ma recherche. Elle avait mobilisé la ville entière - ou presque - pour retrouver sa petite fille chérie… J’ai vraiment été idiote. Et puis finalement, lorsqu’elle passa au feu vert à un carrefour, une autre voiture lui coupa la route, écrasant la sienne contre un mur de magasin. Quand on m’a retrouvée, elle n’était déjà plus parmi nous. Je n’ai même pas pu m’excuser, lui dire à quel point je l’aimais. Les médecins m’ont dit qu’elle n’avait pas souffert, morte sur le coup. Je n’y croit pas. Elle n’avait peut-être pas souffert physiquement mais moralement j’avais commis une erreur irréparable. Je l’avais frappée, j’avais osé lever ma main sur elle… »

PSYCHOLOGUE ♦️ « Vous n’étiez qu’une adolescente Colleen, ce n’est pas votre faute. »

COLLEEN ♦️ « Si, c’est ma faute, j’aurais dû comprendre, j’aurais dû me mettre à sa place. Mère courageuse, seule, élevant son enfant rebelle qui n’a que faire de la vie. Elle ne méritait pas ça. Tout comme mon père ne méritait pas de me récupérer après avoir perdu la femme qu’il aimait toujours. Le jour même de l’enterrement, il emménageait à son tour à Sydney, pour ne pas me perturber qu’il disait. Mais je n’avait qu’une envie : partir ! Loin d’ici, loin de ce souvenir douloureux et de ce geste regrettable. Je me suis renfermée sur moi-même, entrant presque dans un mutisme. Deux and après la mort de ma mère - j’avais donc 17 ans - Nolaan a réussi à me sortir de ma bulle, à me faire aimer la vie comme je devais l’aimer. J’ai recommencé à m’ouvrir, à m’amuser. Et je connaissais enfin les premiers amours. Mais le véritable, celui avec un grand A, je l’ai trouvé alors que j’avais 19 ans. Je m’en souviens comme si c’était hier. C’étais au moins d’août, en plein vacance scolaire. J’étais avec Nolaan et notre bande d’amis lorsqu’il arriva pour savoir qui avait du feu. Et non, contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas moi qui en avait. Je fumais bien mais je l’avait oublié à la maison enfin bref. Et pourtant je n’ai pas pu m’empêcher de le détailler dans les moindres détails. Il semblait un peu plus âgé que moi mais je m’en fichais, c’était un véritable coup de foudre. Et puis finalement, on a vite remarqué que sa bande d’amis et la notre était souvent au même endroit. Alors on a commencé à ne faire plus qu’un groupe d’amis, à discuter de tout, a voir des couples se former et puis finalement ce fût nous. Notre premier baiser, je m’en souviens de les moindres détails. Ses vêtements, son odeur, son visage, ses expressions. On avait décidé de faire du covoiturage pour aller au cinéma. Chaque garçon de la bande devait aller chercher une fille et la ramener ensuite. C’est en me ramenant chez moi qu’il m’a avoué que dès la première seconde où il m’avait vu il avait craqué. Alors en guise de réponse je l’ai embrassé et c’est main dans la main qu’on a rejoint notre bande d’amis le lendemain. »

PSYCHOLOGUE ♦️ « Ensuite Colleen ? »

COLLEEN ♦️ « Et bien, au bout de deux ans de liaison, on a tenté d’habiter ensemble. On avait eu des hauts et des bas mais on était persuadé que ça pouvait marcher. Alors on a trouvé une petite maison, toujours à Sydney, et on a emménager ensemble. Mais cette année à été une dure épreuve, aussi pour lui que pour moi. Ça a commencé par des évanouissements réguliers et puis finalement à l’hôpital. On a appris bien vite que j’étais atteinte d’une malformation cardiaque qu’il fallait vite guérir avant qu’elle ne mène au point de non retour : la mort. Passionnés de voiture de course tout les deux, on a fini par augmenter notre participation aux courses illégales dans beaucoup de ville. Mickael s’est ruiné pour moi, pour me sauver la vie et encore aujourd’hui je serais en train de le remercier. C’était vraiment une opération coûteuse et il la fait, il l’a payée pour moi, qu’émendant parfois parce qu’avouons tout de même que le travail de garagiste ne paie pas des milles et des cents. On a dû se serrer la ceinture parfois en fin de mois mais il a toujours été là, comme un ange gardien. Plus le temps passait et plus je l’aimais et lui aussi visiblement puisque lorsque j’avais 23 ans et lui 25, nous avions tout deux une grande nouvelle à annoncer à l’autre. C’est donc le soir, en rentrant du travail que j’ai eu la surprise d’une magnifique maison aux lumières tamisées, des bougies partout, un parfum envoûtant et lui, au milieu de la pièce. Il avait une petite boîte à la main qui était ouverte et présentait une magnifique bague et juste au dessus de lui, une banderole où il était marqué « épouse moi. » J’ai fondu en larmes et il s’est tout de suite demander ce qu’il se passait. C’était assez drôle comme scène quand j’y pense. Ces temps-ci, j’étais d’une sensibilité extrême sans savoir pourquoi, jusqu’à ce que j’aille voir le médecin. Mickael m’a prise dans ses bras, pensant que j’étais peut-être apeurée par cette idée. Et finalement j’ai fini par lui dire que c’était des larmes de joie et de soulagement. Il fut étonné lorsque je lui annonça que j’étais enceinte… Agréablement surpris pour mon plus grand bien… Je… je peux pas vous raconter la suite, c‘est trop dur encore. »

PSYCHOLOGUE ♦️ « Il le faut Colleen, ce n’est que comme ça que vous réussirez à tourner la page. Aller, un effort. »

Colleen sentait déjà ses yeux qui commençait à la piquer, son cœur s’emmêlait rien qu’à l’idée de devoir évoquer ce passage de sa vie. Elle prit une grande inspiration, et continua, tant bien que mal, à conter sa désastreuse histoire…

COLLEEN ♦️ « Notre bonheur fut de courte durée… trop courte à mon goût. Le bébé avait hérité de ma malformation cardiaque selon les médecins. En réalité je suis persuadée qu’ils n’ont jamais su pourquoi cette bande de charlatans ! Après trois mois de grossesse, j’ai perdu le bébé au grand damne de Mickael qui se voyait déjà père. Nous étions toujours fiancés, on considérait qu’on avait toute notre vie pour nous marier, après tout il n’avait que 26 ans et moi je n’en ai que 25. Mais il y maintenant 7 mois, j’ai revu à la baisse notre soit disant longue vie… »

Colleen s’était redressée, comme prise d’une crise d’angoisse, des larmes se mirent à couler et entre deux sanglots, elle continua, s’obligeant elle-même à subir cette épreuve…

COLLEEN ♦️ « On devait participé à une course de voiture, légale cette fois-ci. Je devais courir, je voulais courir. Mickael semblait perplexe. Je pensais qu’il était simplement dans ses pensées. Mais au moment où j’allais monté il a fait signe aux garçons de l’équipe de me retenir. Il ne voulait pas que je cours, il ne voulait pas que je prenne des risques, pas cette fois. J’ai hurlé pour qu’on me lâche, pour qu’on me laisse monter dans cette voiture mais il avait été radical et catégorique comme à chaque fois. Il était monté dans cette voiture, avait mis son casque et s’était dirigé vers la ligne de départ. Tout le long de la course, le stress montait. On avait besoin de cet argent et en plus l’atmosphère était lourde. Pourquoi était-il aussi perplexe ? Pourquoi ne m’avait-il pas laisser courir ? J’ai compris quand… quand dans le dernier virage la voiture heurta le mur avant de faire plusieurs tonneaux. Les voitures de derrière n’ont pas pu l’éviter, il a été heurter plusieurs fois avant que la voiture ne se stabilise enfin, en miettes. Le temps fut plus que long. J’ai sauté les barrières de sécurité alors que les larmes coulaient sur mon visage. Quand je l’ai enfin rejoint il était… beau. C’était idiot mais il n’avait pas de bleu, pas de dents cassées, il saignait juste un peu de la bouche mais il semblait aller assez bien. Je lui ai retiré son casque et j’ai supplié pour qu’il ne me quitte pas. Ce jour là, j’ai perdu mon héros, il est …décédé dans l’ambulance d’une hémorragie interne. La partie gauche de son cerveau fut touchée et puis… plus rien. »

Colleen avait le regard vers le sol, les larmes coulaient de nouveau sur son visage… ce soir c’était décidé, elle irait se recueillir sur la tombe de son fiancé pour se confier de nouveau à lui, pour l’aimer et sentir de nouveau sa présence…


Et bah moi c'est Luna, c'est aussi un pseudonyme mais tout le monde, même dans la vraie vie, m'appelle ainsi. Pourquoi ? Tout simplement parce que c'est le diminutif de Lunatique et il parait que je le suis, donc voilà. fou Comment je suis arrivée ici ? Hin hin, vous êtes drôles, je suis l'une des fondatrices alors ça a pas été bien difficile de trouver le forum. Enfin bref, je peux dire beaucoup beaucoup, beaucoup de chose sur moi alors je vais m'arrêter là et si vous avez des questions sur ma petite personne, MPottez moi xD

©️ Cocaïne
« Ils vivent dans le passé. »
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