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ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !
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M. Henry-Daniel Grayson
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✔ AGE : 28 ans
✔ SEXE : Féminin
✔ METIER : Professeur de psycho
✔ ETUDES : Psychologie
★ AVATAR : Matt Boomer (L)
© CRÉDITS : Ava : bazzart, gif : tumblr
✔ MESSAGES : 358
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 18/08/1984
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I would like to reach out my hand
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I would like to hold your little hand
Nobody safe, nobody on
How we will crawl, we will...
Send me on my way


✔ HUMEUR : Bonne, comme vous ?
✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet)
✔ SURNOMS : Henry qu'il rit et qui pleure, c'est la clé du bonheur ! -sort- Tout ce que vous voulez. Marshamallow pour les intimes ou Chocolove mais encore Loveur !
✔ LA CITATION : Exister est bon ; non pas meilleur qu'autre chose ; car exister est tout, et ne pas exister n'est rien.




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MessageSujet: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeLun 23 Avr - 14:23
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » Le temps couvre les blessures, cela faisait plus de deux semaines que nous avions perdus cet enfant ou même que je l’avais demandé en mariage. Qui pourrait se douter de la rapidité d’une vie sans y être lui-même confronté ? Il s’était passé tellement de truc entre nos chamailleries avec ma sœur ou même simplement nos crises de jalousies, nous avions un bon mois qui déjà pouvait contenir les malheurs d’une année de couples. Nous étions heureux pendant deux semaines à parler de la possibilité d’un enfant. Plus on en parlait et plus j’avais envie de pouvoir lui donner cet enfant. C’était disons magique… dans ma tête, c’était déjà fixé, je n’en doutais pas. Je n’en doutais déjà pas de trop. Certes, je doutais d’être un bon père mais j’avais encore plus de 9 mois pour me poser ce genre de questions, je mettais ça de côté en me disant que j’aurais le temps. Un enfant prend un temps pour arriver et ça ne se passe pas en une semaine donc au fond, je pouvais réellement y réfléchir et j’y comptais bien le faire cependant pas tout de suite, j’avais 9 mois pour me préparer à l’idée. L’idée de porter un enfant dans mes bras en me disant que je n’allais pas l’étouffer par la force, je n’étais pas non plus musclor mais tout homme au fond fait un peu se complexe. Un être humain tellement fragile qu’un bébé… si précieux, c’était ainsi. Ce matin, tout était cool, elle était descendue et son déjeuner l’attendait depuis que j’étais rentré de mon jogging, je m’étais réveillé assez tôt en la laissant dormir sachant que nous avions besoin de nous détendre avant ce rendez-vous. Je stressais un peu à ce que pourrait dire le docteur et pourtant j’avais besoin de me dire que cela allait être une bonne nouvelle… tout en le pensant… c’était étrange, j’avais besoin de me l’assurer mais au fond, je savais que cela se passerait bien… juste que je le sentais mais j’arrivais tout de même à stresser. J’avais ensuite profité de la matinée avec elle, une journée calme sans heure de boulots, c’était géant et on devait en profiter. Il fallut un petit moment pour qu’on soit prêt pour aller chez le docteur et je tenais réellement à l’accompagner car au fond, je voulais qu’elle sente qu’on le faisait à deux. Tout ça… tout ce suivi… Je voulais réellement être présent pour elle et ne pas la laisser seule. Je savais aussi que quand elle serait enceinte, cela serait pareil. Une fois là-bas, j’étais paniqué à l’idée que l’on nous dise que cela venait d’autre chose que les médicaments et que cela soit bien plus grave alors que pourtant les docteurs semblaient rassurant mais aussi rassuré. Je ne pouvais pas vraiment dire que je l’étais aussi. Une fois que tout se passait, ma panique se calmait car au fond, c’était juste un mauvais moment à passer et puis ça allait comme une rivière, je me la coulais douce. Une fois le rendez-vous terminé, nous avions juste une enveloppe avec les résultats à aller chercher à l’accueil. J’étais passé la prendre pendant qu’elle allait au parking et la rejoignant alors en souriant doucement. Je lui donnais l’enveloppe en la regardant avec tendresse. « Pour vous, madame mais… », je fis une petite moue en la regardant et ne sachant pas vraiment sur le coup si je voulais savoir le résultat mais haussant les épaules. « Préserves-moi encore un peu si c’est une mauvaise nouvelle, hein ? », je souriais doucement, je ne pensais pas que la nouvelle soit mauvaise mais on ne sait jamais. Je ne faisais pas attention à regarder si elle ouvrait l’enveloppe mais je regardais la route en conduisant sagement et mangeant un chocolat en même temps. Nous avions prévu un arrête shopping. Nous avions rarement vraiment eu des journées de libres depuis deux semaines et maintenant ? Il fallait en profiter alors pourquoi pas en allant faire les boutiques ? Des courses aussi ? Nous avions besoins de quelques petits trucs pour la maison mais aussi de se changer les idées. Je profitais de la moindre pause pour passer du temps avec elle. Les routines boulots, dodos, diners et boulots n’était jamais super simple pour tous les couples, nous avions besoin de pouvoir nous retrouver et c’est pourquoi nous étions là à deux en route vers le centre commercial tandis que je la regardais une fois garé au parking en lui souriant. L’attente était tellement difficile que je n’osais pas le demander. Je n’osais pas demander si elle était favorable à recevoir encore une grossesse ou même si tout allait bien enfin je ne voulais pas vraiment le savoir de peur de gâcher cette journée, je ne faisais même pas attention à l’état de l’enveloppe. « Nous y voilà ! », disais-je alors une fois ben garé. J’approchais pour déposant un baiser sur sa joue avant de prendre les clés sur le contact et sortir de la voiture. J’avais peur qu’elle ne pense que je m’en fichais ou même que je… enfin je ne savais pas réellement mais je sentais qu’il fallait que je le sache tout de même mais c’était étrange. Je n’avais pas envie de le savoir, bizarre ? Je lui souriais en lui prenant la main une fois que nous étions sortis de la voiture et verrouillant avec la clé à distance avant d’entrer le bruit annonçant qu’elle était bien fermée et mettant les clés dans ma veste. Je n’osais pas introduire le sujet des résultats et restant basique ment à regarder autour de moi le monde qui n’était pas nombreux en caressant un peu son épaule. Alors que nous marchions calmement en direction du centre commercial, je me demandais quand j’étais venu pour la dernière fois en regardant un peu autour de moi. Je n’étais pas souvent libre pour du shopping et comme tout homme, ce n’était pas ma tasse de thé mais je comptais bien changer un peu ça juste pour pouvoir profiter d’un bon moment. Nous entrions rapidement dans le centre et tout paraissait et bien commercial dans ma tête… les publicités, les boutiques et aussi les vitrines enfin cela faisait bizarre de tomber sur ce genre d’image. Je déposais alors furtivement un baiser sur sa joue en souriant et riant doucement. « Tu sais… c’est bien par ce que je t’aime que je suis ici ! », pour la taquiner, je regardais les boutiques et fronçant les sourcils. Il était vrai que je venais réellement rarement mais ça m’arrivait et bien sûr… pas seulement par ce que je l’aimais enfin c’était aussi une façon rapide et pratique mais une bonne excuse pour lui dire à nouveau que je l’aime. Mais comme je suis un vilain Henry, il fallait bien que j’en rajoute encore pour la taquiner encore plus. « Bon, bon… elles sont ou les boutiques coquines ? », je riais doucement en voyant plus vite un stand avec des gaufres ben délicieuse au parfum que je pouvais sentir… 7 mètres plus loin et la regardant. Je me léchais presque les babines en souriant. « Une petite faim ? T’en veux une ? », j’avais l’allure du gamin qui demande à sa maman s’il peut avoir une gaufre par ce qu’il a été sage et au final, je n’avais pas besoin de son avis, j’étais un grand garçon. Je riais doucement en attendant de savoir si elle en voulait une ou non pour finir par aller près du stand en lui souriant. « J’arrive ! », je prenais donc deux gaufres en revenant rapidement près d’elle et passant les bras autour d’elle en lui donnant sa gaufre et tenant la mienne. L’enlacer, comme ça ? J’aimais bien et publiquement ? Encore mieux, je montrais à la terre entière enfin pas vraiment mais presque… que j’étais amoureux de cette jolie brune. Je ne désirais plus me cacher, je ne voulais plus rien cacher… ni même tout ce que je pouvais ressentir ou tout ce qui me passait par la tête. Je ne la lâchais pas en allant chuchoter à son oreille par ce que je m’apprêtais à dire une chose qui était personnelle… entre nous. Dans le domaine du couple à peu près, c’était plus privé et je voulais que l’on soit les seuls à en parler. « Alors ? Tu as regardée ? », Demandais-je alors assez stressé et tentant de rester des plus moi-même devant elle en souriant et déposant un baiser sur sa tempe avant de me redresser et entrer dans le centre commercial rapidement. Je descendais alors ma main de son épaule à ses côtes en la chatouillant un peu et riant. « Et ne tournes pas autour du pot sinon pas de câlins, je ferais grève… je te préviens ! », je riais doucement en me disant que je ne tiendrais pas longtemps si j’en venais à faire grève mais arrêtant après une minute de la chatouiller surtout par que ce qu’il y avait un peu de monde enfin pas tellement car en plein milieu d’une journée et en pleine semaine… il se faisait vide. Depuis quelques jours, j’aimais assez la chatouiller et découvrir les zones qui étaient plus sensibles, surtout pour pouvoir l’ennuyer et m’amuser un peu à la faire tourner en bourrique puis c’était pratique quand elle me piquait mes chocolats. Les récupérer était devenu un pur plaisir. Un vrai petit monstre, dès que j’en avais l’occasion, je sortais mes chatouilles même parfois simplement pour la détendre quand je la sentais tendue. C’était un peu disons : pratique. Je finissais pas lâche un peu l’étreinte en croquant un morceau de ma gaufre.
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Evangeline Z. G. Grayson
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✔ SEXE : Féminin
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✔ LA CITATION : La vie est surprenante, mais surement pas autant que l'amour, car quand il frappe tout peut changer d'un bout à l'autre, même vous. Surtout vous. On subit la vie, mais l'amour on l'attend.




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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeLun 23 Avr - 16:40
La vie et ses aléas. Rien n’est jamais tout rose ou tout noir. Tout est toujours ponctué de taches d’une couleur ou d’une autre. On rencontre toujours de nouveaux éléments qui créent des situations particulières. On se retrouve toujours face à de nouveaux problèmes des embuches sur votre chemin ou des coups de pouce du destin. Depuis quelques temps Evangeline ne savait plus ce qui était sensé être une embuche ou un coup de pouce. Tout s’accumulait, se suivait et à chaque fois elle semblait en ressortir plus forte, plus sure d’elle et plus convaincue que la vie qu’elle mène est celle qu’elle veut. En arrivant à Sydney elle avait juste à l’esprit de découvrir une nouvelle ville, un nouveau pays, voir de nouvelles choses comme toujours. Mais dans un coin de son esprit elle espérait que ce serait sa ville, que ce serait enfin celle où elle se sentirait à sa place et celle qu’elle ne voudrait plus quitter ensuite. Et si les premières semaines ne laissaient pas vraiment présager cela, à présent tout avait changé et elle savait que sa vie serait ici. Ici réellement ? Elle se posait encore la question de temps en temps, mais en fait un seul élément comptait : être avec Henry. S’il décidait de partir, où que ce soit elle accepterait, elle s’en moquerait du moment qu’ils pouvaient rester ensemble. C’était tout ce qui comptait pour elle depuis quelques temps. Elle savait que leur rencontre ne datait pas de très long dans le passé et qu’ils pourraient, qu’ils devraient même prendre leur temps, mais elle n’en avait plus besoin. Elle avait traversé de nombreux pays, rencontré encore plus de personnes et tout fait pour réussir à se fixer et à trouver le bonheur, mais arriver ici était un changement, peut-être l’étape qu’elle attendait. Ca lui avait permis de découvrir certaines choses sur elle et pas que. Elle avait enfin trouvé un endroit où elle se sentait à sa place, qu’elle ne voulait plus quitter et où elle savait qu’elle pourrait rester peut-être même pour toujours. Tout cela elle n’y aurait pas crut en arrivant là, ni même dans les quelques semaines qui suivirent. Ce n’est que depuis qu’elle est en couple avec Henry, que sa vie semble avoir prit un virage totalement radical qu’elle se sentait ainsi. Et même si ca ne faisait que quelques semaines, même pas deux mois, qu’ils étaient ensemble, elle avait l’impression de voir son avenir, leur avenir se dessiner de plus en plus clairement devant elle. Elle savait à présent ce qu’elle voulait et ne voulait plus attendre pour l’avoir. Elle n’avait plus peur de rien, il lui suffisait de penser qu’Henry était à ses cotés pour se sentir presque invincible. Et c’était l’impression qu’elle avait de plus en plus depuis deux semaines. Ils avaient traversés un orage ensemble et s’en étaient relevés plus forts encore qu’avant. Ils étaient encore plus soudés depuis cette fausse couche et même s’ils devaient garder leurs distances le temps qu’elle s’en remette, elle n’avait pas l’impression que ce soit un véritable problème pour eux. Ils avaient appris à se rapprocher d’une autre façon et c’était certainement mieux que tout. Dans un moment comme celui-ci, elle aimait l’idée qu’il était là pour l’aider et la soutenir. Que les nouvelles soient bonnes ou mauvaises, ils étaient ensembles et c’était tout ce qui importait. Ce qui signifie que malgré les appréhensions quand à son état et sa crainte que cette fausse couche ait une autre raison que les médicaments qu’elle avait pris, elle se sentait forte et prête à affronter cela. Le passage par l’hôpital devait être rapide, un simple contrôle de quelques minutes avec un médecin et tout était terminé. Le temps qu’elle se rhabille et retourne au parking, Henry l’attendait déjà avec les résultats. Une petite enveloppe toute bête qui contenait une grande responsabilité sur leur avenir. C’était les quelques mots notés dans cette enveloppe, les résultats de ces examens qui donneraient ou non la confirmation des causes de sa fausse couche et de son état actuel. Un petit bout de papier allait être le facteur déterminant de leur futur. Elle récupéra l’enveloppe que lui tendait Henry alors qu’il demandait à être ménagé. Il préférait éviter d’être déçu de la réponse, mais elle devrait bien affronter tout cela. Elle l’observa l’espace d’un instant avant de poser les yeux sur cette enveloppe qu’elle gardait en main. « On verra ca. » Le jeune homme prit le chemin du centre commercial et tout ce sur quoi Evangeline parvenait à se concentrer c’était cette enveloppe. Cette enveloppe qui semblait peser si lourd à cet instant et qui représentait tellement de choses. C’était l’autorisation qu’ils attendaient, l’aval des médecins pour savoir s’ils pourraient avoir à nouveau un enfant et si elle était physiquement apte à retomber enceinte dès maintenant. Et découvrir les résultats semblaient rendre tout cela encore plus réel à cet instant. Si les résultats étaient positifs ils pourraient reprendre là où ils s’étaient arrêtés et concevoir cet enfant qu’ils semblaient vouloir tous les deux. S’ils étaient négatifs il faudrait attendre encore et selon le négatif découvert le résultat serait plus ou moins difficile à supporter. C’était certainement à cause de cela que malgré le temps du trajet et l’envie de savoir ce que recelait cette enveloppe Evangeline ne parvint pas à l’ouvrir, la glissant finalement dans son sac alors qu’Henry annonçait qu’ils étaient arrivés. Elle était restée de longues minutes focaliser sur cette enveloppe sans parvenir à l’ouvrir. Elle restait affreusement silencieuse, ne parvenant pas à parler et à penser à autre chose qu’à cette enveloppe qui semblait être une épée de Damoclès sur leurs têtes. Elle sortit de la voiture, avançant jusqu’au centrer commercial sans vraiment réagir à ce qu’il se passait autour d’eux. Pour tout dire elle ne savait plus vraiment pourquoi elle était là. Avançant vers l’entrée alors qu’Henry semblait se plaindre sans vraiment le faire de devoir se retrouver là. Elle se doutait bien qu’il ne faisait cela que pour la taquiner, mais elle ne put s’empêcher de réagir bien plus sérieusement. « C’est adorable, mais j’aurais put venir seule si c’est un tel problème pour toi. » Après tout elle comprenait bien qu’on ne soit pas fan de shopping. Elle-même n’en était pas forcément une grande accroc, mais elle avait envie de se faire un petit plaisir en s’achetant de nouveaux vêtements et si en plus ca pouvait plaire à Henry autant profiter de son avis. Sentant bien qu’il ne faisait cela que pour l’agacer, elle ne releva pas la seconde remarque concernant les boutiques coquines. Elle ne savait pas s’il pourrait être sérieux en pensant à ce genre de chose, mais cela mettait quelques idées dans la tête de la jeune femme, il fallait bien l’avouer. Elle ne put s’empêcher de rire alors qu’il remarquait rapidement un stand de gaufres et autres sucreries. Pire qu’un enfant, il lui demanda si elle était intéressée, même s’il paraissait plus comme le petit garçon qui demande l’autorisation. Elle sourit légèrement avant de lui tapoter légèrement la joue pour s’amuser. « Pourquoi pas ? » Elle n’avait pas particulièrement faim et il fallait bien avouer que son manque de courage quand à la réponse n’aidait pas vraiment, mais une gaufre ce n’était pas grand chose et elle pourrait bien avaler cela. Elle l’observait alors qu’il partait chercher ces deux gaufres et revenant plus rapidement qu’elle ne l’aurait pensé. Elle était un peu perdue dans ses pensées, ne sachant pas totalement quoi faire en premier. Elle savait que si les résultats étaient négatifs la journée serait gâchée et elle ne voudrait plus rien faire. Alors profiter de la journée pourrait bien passer en priorité et ils verraient le résultat une fois rentrés, mais elle resterait inquiète durant toute la journée et ca ne serait certainement pas mieux. Il n’y avait pas vraiment de solution miracle. Elle récupérait la gaufre qu’Henry lui donnait, restant très distraite et un peu dans les nuages. Elle coupait un petit morceau de gaufre avant de le manger sans véritable entrain et sans trop savoir quoi faire. Elle était là et ailleurs en même temps. Ca ne lui était pas arrivé depuis quelques jours, mais cette situation était certainement normale vu la situation. Elle ne tentait pas vraiment de le cacher alors, tentant plutôt de se reprendre en main. Elle était là avec Henry, il fallait qu’elle profite de cet instant et qu’elle cesse de se poser toutes ces questions. Elle ressortait juste de ses pensées lorsque Henry se pencha plus près d’elle pour demander. C’était la question qu’elle redoutait. Il s’attendait à ce que ce soit elle qui lui donne la réponse et elle craignait encore plus cet instant en sachant cela. Elle resta figée l’espace d’un instant et réagit lorsqu’il se mit à la chatouiller. Il avait trouvé cela pour l’agacer ces derniers temps et la faire réagir. Certes ce n’était pas ce qu’elle préférait, mais elle s’y habituait et trouvait amusant qu’il en joue lui aussi. Elle le regarda l’espace d’un instant sans croire même une seconde à sa petite menace avant de répondre le plus sincèrement possible. « Je n’ai pas regardé, je … crois que j’ai un peu peur de ce qu’il peut y avoir noté. » C’était la réalité, elle craignait de découvrir les résultats et que ce ne soit pas ceux qu’ils attendaient. Même si cette crainte semblait idiote et un peu infondée, même si elle savait que quoi qu’il arrive ils seraient toujours ensemble et que rien ne pourrait aller mal pour eux, elle redoutait cet instant. Elle l’observa un instant, faisant un signe de tête pour montrer les boutiques qui s’étendaient doucement autour d’eux. Elle ne voulait pas gâcher cet instant, pas tout de suite. Elle voulait avoir encore quelques heures d’ignorance ou même seulement quelques minutes. Ils flânèrent un peu devant les vitrines le temps de finir leurs gaufres avant qu’elle se décide, avisant une boutique qu’elle connaissait un peu et où elle savait qu’elle trouverait tout ce qu’elle pourrait vouloir. Elle entra dans la boutique, ne prenant pas garde à la seule vendeuse qui se trouvait dans les lieux, le reste du magasin était totalement vide. Elle fit un tour rapide des portants, récupérant par ci par là quelques affaires, allant de la robe à l’ensemble, passant par des pantalons, des sous vêtements et des nuisettes entre autres choses. Elle se fit sans difficulté une bonne petite sélection de vêtements en tous genres avec lesquels elle partit en cabine pour essayer. Et elle y resta quelques minutes, le temps d’essayer quelques tenues, mais ne sortant pas de la cabine pour laisser de la surprise à Henry, avant de ressortir une première fois avec une robe. Elle ne la voyait pas ainsi sur le cintre et le rendu était moins bien qu’elle ne l’aurait imaginé. Elle sortit malgré tout de la cabine pour s’observer dans un miroir plus grand et en s’en écartant un peu plus. C’était une robe assez simple faite d’une multitude de voiles dans des tons de blanc et beige, mais déçue par le résultat, elle rejoint rapidement la cabine pour changer. Elle prit le temps d’essayer à nouveau quelques petites choses avant de se décider pour une autre robe dont elle était beaucoup plus sure, pour l’avoir déjà essayé. Une robe rouge assez intéressante et qui, elle l’espérait, plairait à Henry. Une fois sure que sa tenue était bien mise, elle passa juste la tête par la porte en bois de la cabine, faisant signe à Henry d’approcher. « Viens voir là ! » Elle pouvait bien jouer le coup d’une fermeture à attacher ou quelque chose dans le genre, non ? Même si sur l’instant ce n’était pas du tout le cas. Attendant qu’il arrive devant la porte, elle saisit son sac, en sortant l’enveloppe qu’elle gardait dans une main attirant Henry dans la cabine de l’autre et refermant la porte derrière lui. Maintenant une main sur le torse du jeune homme et l’autre tenant l’enveloppe juste entre eux, elle le regardait l’espace d’un instant, la plus sérieuse du monde. Elle ne voulait pas connaitre la réponse longtemps avant lui et devoir la lui annoncer, ainsi ils seraient fixés et seraient ensemble pour cela. « Si jamais c’est bon, tu me fais l’amour là, maintenant. » Elle l’observa l’espace de quelques secondes, lui laissant tout juste le temps de comprendre ce qu’elle venait de dire avant d’ouvrir l’enveloppe et en sortir la feuille de papier mentionnant les résultats de tous les examens. Seuls deux lignes l’intéressaient. La première indiquait que la fausse couche était bien due aux médicaments et qu’elle n’aurait donc pas de problème pour assurer une grossesse. La seconde indiquait l’avis du médecin sur son état actuel et sur le fait qu’elle soit ou non remise de l’incident. Un résultat écrit en un simple mot et le voir écrit là elle ne voulait pas y croire. Elle ne laissait rien paraitre, restant aussi neutre que possible pour ne pas donner la moindre idée à Henry sur le résultat. « Je te laisse voir par toi-même. » Elle lui tendit alors la lettre, toujours aussi sérieux et se détendant progressivement à mesure que les yeux du jeune homme parcouraient le papier. Il ne semblait pas comprendre les mots qui étaient notés et après quelques secondes où il semblait avoir encore du mal à réagir, elle finit par décider d’éclaircir les choses. « Maintenant on n’a plus qu’à se remettre au boulot. » Elle le regarda avec un sourire entendu, s’attendant malgré tout à ce qu’il refuse de céder à ce qui ressemblait bien à cet instant à un caprice. Elle s’approcha malgré tout un peu de lui, venant l’embrasser avec douceur pour lui faire prendre conscience de la réalité et que tout allait bien à présent.
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeLun 23 Avr - 19:35
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » La journée était prévue pour être cool et relax, pas de prises de têtes après ce rendez-vous. C’était bien de penser que l’on pourrait se détendre. On avait tellement de tracas avec cette fausse couche que c’était totalement un besoin de passer un bon moment. La vie offre parfois des situations douloureuses et parfois des situations des plus confortables. La taquiner était certainement devenu un jeu que j’adorais. Je ne jouais cependant plus trop avec la jalousie pour tout vous dire. Là, la taquiner sur ma présence dans un centre commercial me fit rire. Je secouais juste la tête en l’entendant car j’étais content d’être là avec elle mine de rien et en plus : je l’avais proposé… signe que cela ne me dérangeait pas. Changer nos habitudes n’était pas vraiment des plus contraignants. Je sentis alors les gaufres et souriant alors qu’elle me répondit quand je voulais savoir si elle en voulait une… c’est alors que j’allais les chercher en la laissant quelques instants et revenant alors dans son dos pour finir par lui donner cette gaufre et en prenant un morceau. Je devais le demander… demander quel était la réponse, sans savoir si elle avait ouverte l’enveloppe, je m’inquiétais un peu. Je finis par faire une moue, la voyant figer, je ne savais pas du tout quoi faire. Et dans ma grande folie, je me mis à la chatouille au niveau des côtes avec une menace des plus amusantes alors que je venais à la faire enfin réagir. Je gardais ma moue en l’entendant, comment l’aider à ne pas avoir peur alors que moi aussi j’en avais peur ? Je ne savais pas vraiment comme on devait gérer et je me sentais un peu bizarre. Je devais être là pour elle et pourtant j’étais aussi faible, j’avais peur d’ouvrir cette fichu enveloppe. « Prends ton temps, on n’est pas pressé ! », c’était totalement vrai au fond, on avait le temps de savoir la réponse après tout même si on voulait cette réponse mais une heure ou même une journée ne changerait rien à cet idée. Nous allions faire la vitrine sagement en finissant cette gaufre et je la suivais en regardant aussi certaines vitrines masculines pour moi et étant concentré sur ma gaufre que je terminais alors qu’elle entrait dans la boutique. Je la suivais après avoir roulé le papier de ma gaufre en boule et l’avoir mis à la poubelle. C’est alors que je me rendis compte directement de la vendeuse qui me souriait, un peu crispée et amusée qu’un homme entre et moi, je faisais mine d’en rajouter en regardant comme ça ce que je voyais mais bien sûr, je laissais Evangeline choisir en ne regardant pas réellement, je préférais largement la bonne surprise. Je me laissais aller à me balader dans les allées et souriant en restant dans le coin des cabines alors qu’elle allait à son tour faire ses essayages. Je me tracassais un peu pour cette lettre et je voulais en savoir le résultat mais peut-être aussi au fond que je ne voulais pas le savoir, c’était étrange. J’avais peur que cette lettre soit un mauvais signe. Ce papier donnant juste un oui ou non enfin peut-être plus. Pendant qu’elle était occupée, je jouais encore le jeu du gars intéressés et prenant alors une robe sur son cintre pour le mettre devant moi et me regarder dans un miroir en faisant un grand sourire, le sourire bien loin d’être naturel qui m’amusait et riant aux réactions des vendeuses qui en fait : riait. J’étais assez dingue et peut-être que je m’occupais seulement mais quand j’entendis qu’elle m’appelait en voyait seulement après qu’elle faisait signe, je posais la robe au bon endroit et approchant alors en souriant. « Oui, Mademoiselle ? », disais-je en souriant. « Je peux vous aider ? », je souriais à la vue de sa robe en penchant doucement la tête en agrandissant mon sourire. « Je veux vous aider… », changeais-je alors en rajoutant un peu de malice mais je n’avais pas vraiment le temps de rajouter quoique ce soit que je me sentais kidnapper dans cette cabine et rien un peu sur le moment alors qu’elle refermait derrière. Je me retrouvais rapidement face à elle avec l’enveloppe entre nous et faisant une petite moue, je la regardais, sérieuse. Elle me faisait un peu peur… qu’est e qu’… en fait, elle venait de le dire ce qui me fit rire. « Oula… Tigresse ! », disais-je en me disant réellement qu’elle n’était pas sérieuse enfin j’étais surpris sans l’être mais ici, dans une cabine ? Ça serait un peu dingue, non ? Cela m’amusait à vrai dire et je la regardais ouvrir l’enveloppe avec le suspense et ça me semblait encore plus long que ça ne devait l’être… comme si on attendait le verdict d’un condamné à mort. Je voyais le ton neutre qu’elle avait et m’inquiétant sans m’inquiéter à la fois ce qui était assez étrange le tout en même temps, je dois bien l’avouer. Je la regardais alors en arquant un sourcil quand elle me tendait la lettre et riant doucement en hochant la tête. « Ok ! », je souriais, un sourire semi-crispé en lisant la lettre attentivement et relisant même plusieurs fois sans trop vraiment être sûr. Je n’étais pas certain de ce que je lisais… j’avais tellement des peurs que là, je me disais que je paniquais parfois pour rien… avant, je ne paniquais jamais, je n’avais jamais peur avant… sauf de moi-même mais maintenant j’avais Evangeline et j’avais peur, oui mais peur pour elle. Je souriais doucement en l’entendant et riant au final en la regardant. « T’es sérieuse ? », non mais vraiment… j’avais du mal à m’imaginer faire l’amour dans une cabine d’essayage surtout que je m’étais assez fais remarquer dans cette cabine et je souriais doucement en répondant alors au baiser avec autant de douceur et posant alors l’enveloppe sur le tabouret à côté en posant mes mains sur ses joues. Un peu de bonheur, une surcharge de bonheur m’envahissait un peu… une surcharge que je ne pouvais pas contrôler sur l’instant et approfondissant un peu le baiser avec passions pour juste… en fait, sans raisons. Juste par ce que je l’aime et que là, j’en avais envie, l’embrasser. Je faisais durer ce baiser jusqu’en perdre haleine et souriant doucement contre ses lèvres. « T’étais sérieuse pour te faire l’amour, ici… dans cette cabine… si on nous voit… tu sais qu’ils vont nous flanquer à la porte ? T’es complétement folle… », je riais doucement en me disant que l’on devrait être discret mais il fallait dire que cette robe n’était pas du tout pour me déplaire tandis que l’on de mes mains quittait sa joue pour descendre le long de son dos et s’y poser dans le bas en la rapprochant un peu de moi. Bon, l’embrasser dans une cabine d’essaye ? Ce n’était pas si mal au fond. Je reprenais alors ses lèvres avec encore plus de passion, une pointe de bien plus, un baiser intense comme nous en avions l’habitude. Un baiser qui disait bien plus qu’un simple baiser… un baiser mais pas seulement… c’était ce baiser. Celui que j’adore tellement par ce qu’il me provoque à lui seul tellement de sensation. Je quittais doucement ses lèvres en allant poser ma main derrière sa nuque pour lui sourire alors. « Quoique… je m’en fiche, je suis heureux, juste heureux… », il se passait tellement de choses dans ma tête depuis que j’avais découvert le résultat de cette lettre que là, j’étais un peu sur une autre planète… j’étais loin d’être sur terre. J’étais sur un petit nuage en fait ou peut-être même sur la lune. Je voulais tout simplement lui faire ce bébé de suite que l’on soit dans une cabine, une salle de cours ou n’importe quoi. Parfois c’est ainsi et pas autrement. On ne contrôle jamais nos envies. Je reculais l’espace de quelques secondes en retirant mon t-shirt aussi dit, aussitôt fait en la regardant ensuite et lui offrant un sourire des plus amoureux en la regardant. Descendant ma deuxième main dans son dos en allant les porter ensuite à ses cuisses, je la hissais alors à ma taille en passant ses jambes autour de mon buste et prolongeant encore un peu le baiser en finissant par descendre à son cou en laissant juste mes lèvres lui caresser et souriant. Mes mains quant à elle caressait ses cuisses, passant sous la robe légèrement tandis que je voulais peut-être un peu la torturer un peu en souriant contre sa peau. « T’imagines qu’on devrait dire à notre enfant qu’il fut peut-être conçu dans une cabine d’essayage ? On devrait avoir honte… », je chuchotais un peu pour être sûr que nous n’étions pas entendus en souriant et embrassant son cou. Une de mes mains remontait à son dos pour s’occuper de sa fermeture éclair alors que mes lèvres dérapaient vers son décolleté tandis que j’étais même plutôt à hauteur. C’est à ce moment-là que je pouvais donc avec douceur mais une pointe de fougue aussi la plaquer contre le mur celui qui avait une petite tablette et continuer mes baisers avec une petite flamme bien brulante que l’on pouvait sentir au moindre contact de mes lèvres sur sa peau. Restant un peu à son décolleté pendant un moment avec mes baisers, je remontais à ses lèvres en la regardant dans les yeux et souriant doucement en allant l’embrasser rapidement avec envie avant de rompre le baiser et rire un peu. « Hummmmmmm… tu te souviens qu’en général on a jamais de chance quand on tente de faire l’amour dans des endroits plus public ? », je riais doucement avec toujours la crainte qu’on nous surprenne. C’était plus fort que moi au fond mais je l’oubliais vite.
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Evangeline Z. G. Grayson
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeLun 23 Avr - 21:06
Ca faisait deux semaines que leur couple fonctionnait au ralentit en quelque sorte. Profiter de l’autre sans avoir droit à tout ce qui était plaisir charnel pouvait paraitre difficile à supporter, mais pour Evangeline étrangement c’était encore mieux. Pouvoir se dire que le sexe ne fait pas tout et que leur couple tient bien sans cela était un très bon point. Rien ne les en empêchait pourtant, d’après les médecins ce n’était que le coté conception d’enfant qui était légèrement troublé, mais il fallait avouer que l’un comme l’autre ils semblaient vouloir attendre d’être sur que tout allait bien avant d’aller plus loin et de tout reprendre comme avant. Ce simple avis de médecin ne disait pas s’ils étaient prêts ou non pour cela, mais il disait si elle était physiquement en état. Elle n’en doutait pas réellement, mais gardait une légère réserve, préférant faire durer les choses un peu plus longtemps s’il y avait eut un risque que tout n’aille pas comme il fallait. Et le fait d’avoir cette enveloppe sans l’ouvrir et connaitre les résultats lui semblait idiot. Ce n’était pas cela qui allait les arrêter, ce n’était pas l’avis des médecins qui leur gâcherait la journée. Elle ne le voulait pas, elle avait envie d’en profiter au maximum et même plus encore si la réponse était positive. Elle manigança alors un petit plan au fil des minutes. Elle avait volontairement sélectionné l’une des plus grandes cabines, y attirant Henry sans vraiment donner de raison et s’enfermant avec lui à l’intérieur. Certes ce n’était pas l’idéal et ils pourraient être surpris, mais la cabine fermait bien, le laissait rien voir par le sol et serait suffisamment grande pour qu’ils ne soient pas trop à l’étroit. Elle sourit un peu à la réaction d’Henry face à sa robe. Visiblement elle avait fait le bon choix, un choix qui pèserait peut-être, certainement même dans la balance. Elle exprimait alors assez clairement ce qu’elle avait à l’esprit et ce qu’elle attendait de la suite de la journée. Si les médecins donnaient leurs accords il n’y aurait plus de limite et ils pourraient alors mener leurs projets à bien. Ils pourraient faire en sorte d’avoir un enfant et elle voulait mettre toutes les chances de leur coté. Il ne sembla pas la prendre au sérieux, mais elle ne s’en formalisait pas du tout. Elle s’attendait à ce qu’il réagisse comme ca. Elle le laissait faire, prenant alors connaissance du résultat et restant comme figée l’espace de deux secondes. La confirmation était faite pour les deux points. Tout était normal et tout allait bien. A présent c’était à eux de voir comment procéder et si leurs idées restaient les mêmes ou non. Elle maintint un peu le suspens préférant le laisser voir par lui-même le résultat et ne pas prendre le risque qu’il ne veuille pas la croire. Elle l’observait alors qu’il prenait connaissance de tout cela et son sourire ne put que s’agrandir un peu plus encore quand il comprenait enfin ce qu’il en était. Et sa question la fit rire. Il semblait hésitant tout à coup, comme s’il n’arrivait vraiment pas à la prendre au sérieux et l’espace d’un instant la jeune femme se demanda si tout ce qu’il avait dit sur ses envies d’avoir un enfant, n’étaient pas que des paroles en l’air. « A ton avis ? » Elle l’observa un instant avant de l’embrasser avec douceur. Elle ne comptait pas forcer les choses et s’il refusait ils sortiraient de là, mais l’idée la tentait et à présent qu’ils savaient que c’était possible, elle ne voulait plus attendre. Peut-être aurait-elle dut le lire dans la voiture, ils auraient put rentrer et profiter de la nouvelle quelques heures avant d’aller faire les courses et de reprendre là où ils en étaient en rentrant. S’aurait certainement été la meilleure solution sur l’instant, mais à présent une autre s’imposait à son esprit, tout aussi tendance et bien plus dangereuse. Alors qu’Evangeline tentait de maintenir de la douceur et de l’amour dans son baiser, Henry y ajouta une dose de passion à laquelle elle ne put que répondre et dont elle se régalait. Elle ne parvenait plus à quitter les lèvres de son amant et ne voulait plus que cela cesse, même une seconde. Elle ne tenait plus niveau souffle tout de même lorsqu’Henry s’éloigna légèrement, demandant encore une fois si elle était sérieuse. Elle se sentait presque vexée qu’il ne la croit pas capable d’être sérieuse sur ce genre d’idée, mais elle avait encore bien des surprises à revendre et elle ne comptait pas se laisser découvrir si facilement. « Plus que jamais. Je crois que c’est toi l’autre jour qui disait qu’on était tous les deux fous. Et elles n’oseront pas, pas avec la somme qu’elles pourraient gagner avec ce que je compte acheter. » Elle avait déjà fait de gros achats dans cette boutique à son arrivée à Sydney et elle était convaincue que les vendeuses s’en souviendrait. Et si elle prenait tout ce qu’elle envisageait d’acheter, elles ne pourraient pas se permettre de la perdre comme cliente. Il fallait bien avouer qu’elle en jouait et qu’elle n’aurait pas forcément osé faire ca n’importe où, mais là le magasin était désert et les vendeuses étaient généralement assez gentilles et laxistes. Elle sentait bien malgré tout une légère résistance de la part d’Henry et durant les premiers instants elle crut que tout était perdu d’avance et qu’il n’entrerait pas dans le jeu. Mais il la colla un peu plus contre lui et ce simple geste lui laissa entrevoir une pointe d’espoir. Elle se laissa alors porter par le baiser qui suivit. C’était ce baiser, celui qui lance tout et qui permet de se dire que les choses n’en resteront pas. Ce baiser qu’elle n’avait jamais connu auparavant et qui selon elle représentait parfaitement leur couple. Ce baiser dont elle ne pourrait plus se passer à présent et celui surtout qu’elle cherchait constamment à retrouver. Mélange de tellement d’émotions qu’il était magique et déclenchait tout une série de sensations en cascade. Elle jouait avec ses lèvres alors qu’il s’écartait légèrement et à sa remarque elle sut qu’elle avait gagné. L’envie et le désir allaient l’emporter sur la raison et à cet instant elle ne voulait plus réfléchir. Elle ne voulait que se laisser porter par l’instant sans avoir à chercher à comprendre les choses ou à s’assurer que tout allait bien, qu’ils ne risquaient pas d’être découverts. Elle se laissait aller, cessant totalement de réfléchir et se laissant porter par l’instant. Elle eut à peine le temps de réagir qu’Henry s’était débarrassé de son t-shirt et qu’elle se retrouvait accrochée à son cou, les jambes autour de lui comme seule véritable maintient. Elle répondit avec plus d’ardeur à ce baiser, se laissant prendre au piège de ses lèvres dans son cou et de ses mains sur ses cuisses. Il cherchait à la rendre folle, à la faire attendre ? Ca semblait l’amuser, mais elle ne tiendrait pas à cet instant. Plus que l’envie de concevoir cet enfant à présent c’était l’envie de profiter de son amant qui prévalait. Qu’elle tombe enceinte ou non elle s’en moquait un peu et elle ne put que sourire à sa remarque. C’était possible. Peut-être qu’il concevrait leur enfant ici, mais peut-être pas auquel cas … « Rien ne dit que ca marchera déjà. Et pour en être sur il faudra réessayer … » Elle parlait doucement pour ne pas risquer d’être entendue, se rapprochant un peu de l’oreille d’Henry et s’amusant à souffler légèrement sur sa peau pour provoquer encore plus de frissons. « encore … et encore … et encore … et encore … » Qu’elle tombe enceinte du premier coup ou pas, elle ne comptait pas relâcher ses efforts et s’il le fallait elle irait jusqu’à l’épuisement pour tous les deux, pour le simple fait d’avoir cet enfant. Evangeline ne raisonnait plus logiquement. Elle n’était plus qu’une masse de désir qui ne demandait qu’à être comblée. Elle se retenait, faisant en sorte de masquer ses soupirs pour ne pas se faire remarquer tout de suite, mais elle ne put retenir un léger hoquet de surprise alors qu’Henry la plaquait contre le mur avec une passion mal contenu. L’espace d’un instant elle eut peur que leur abri de fortune ne cède, mais il semblait bien plus résistant qu’elle le pensait, tout comme la tablette sur laquelle elle se retrouvait partiellement installée. Elle se laissait porter par l’instant, laissant juste ses mains naviguer sur le torse nu d’Henry en se délectant de ce contact et des sensations que cela semblait provoquer chez le jeune homme. Elle répondit avec plus d’ardeur encore lorsqu’Henry revint à ses lèvres et plaquant une main dans le cou du jeune homme elle ne voulait plus le lâcher, voulait rester ainsi pour toujours. Elle ne put cependant empêcher un sourire à sa remarque. « Tu réfléchis trop mon amour. » La seule fois de ce genre avait été à l’université et ils étaient encore bien loin d’en être là même si la situation était légèrement hors de contrôle. Ils n’avaient pas réellement été surpris au mauvais moment, ils avaient juste eut la mauvaise idée de ne pas surveiller leurs arrières. Mais à cet instant ce n’était pas un vrai risque. La porte de la cabine était verrouillé, l’absence de bruit autour d’eux laissait présager que les vendeuses étaient en boutique et il ne semblait pas y avoir plus de monde que lors de leur arrivée alors ils disposaient bien de quelques minutes, voir même dizaines de minutes pour profiter de la situation. Plaquant finalement ses lèvres contre celle d’Henry avec une énergie qu’elle ne se pensait pas vraiment, ils reprirent là où ils en étaient et voyant bien qu’il comptait faire durer les choses elle décida de prendre la situation en main. Parvenant à glisser une main entre eux pour aller doucement détacher le pantalon du jeune homme, elle profita légèrement de l’occasion pour laisser sa main traine un peu au niveau de son boxer pour augmenter un peu l’envie de son compagnon. Elle savait que ce n’était pas très fair-play de jouer ainsi, mais elle ne voulait pas prendre le risque de trop faire trainer et de se faire remarquer. Se trémoussant légèrement pour accentuer le rapprochement de leurs corps et les quelques contacts déjà plus que possibles, elle finit par faire glisser ses mains jusqu’au boxer du jeune homme pour le lui retirer, lui laissant ensuite le contrôle de la situation. Elle ne comptait pas rester là à ne rien faire, mais elle n’avait jamais vraiment fait les choses de cette façon et ne savait pas comment ca se passerait. Elle craignait que sa fausse couche encore récente ait laissé quelques soucis qui disparaitraient avec le temps. Mais elle se rendit compte que ce n’était pas le cas lorsqu’il assembla leurs deux corps et qu’elle retrouva toutes les sensations auxquelles elle s’était habituée ces dernières semaines. Malgré tout ce qui pouvait aller de travers dans leur couple et les difficultés traversées, tout restait identique et l’idée de ne plus faire cela que pour le plaisir, si je puis dire, mais pour faire un enfant rendait la chose encore plus intense et forte. Elle gardait ses lèvres plaquées à celle d’Henry ou se retrouvaient obligées de mettre une main devant pour s’empêcher de soupirer ou de gémir de façon trop audible. Deux semaines. Déjà ? Seulement ? Elle n’aurait sut quoi dire. Les deux correspondaient tout à fait à ce qu’elle avait à l’esprit et elle aurait put attendre plus rien que pour que tout cela soit encore plus parfait. Et en même temps elle n’arrivait pas à se dire que ca faisait déjà deux semaines qu’ils n’avaient plus rien fait à cause de cette fausse couche. Et à présent ils étaient peut-être en train d’inverser les choses, de rétablir la situation et de tout ramener comme s’aurait dut être. Ils étaient peut-être en train de mettre en route un nouvel enfant, même si les chances étaient encore assez limitées pour l’instant et qu’il fallait le temps à son corps de reprendre un rythme normal, tout était possible et elle avait envie d’y croire à cet instant. Elle dut se retenir en atteignant le plaisir ultime, sentant Henry faire de même et se sentant étrangement bien à cet instant. Elle récupéra ses lèvres, l’embrassant avec passion et douceur mêlée, tentant de faire ressentir tout ce qu’elle avait ressentit et de lui faire comprendre à quel point elle l’aimait sans même le dire.
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M. Henry-Daniel Grayson
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I would like to reach out my hand
I may see you, I may tell you to run
I would like to hold your little hand
Nobody safe, nobody on
How we will crawl, we will...
Send me on my way


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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMar 24 Avr - 1:13
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » Je ne savais pas si son idée d’aller aussi vite après l’ouverture de l’enveloppe était sérieuse mais non pas que je ne la savais pas capable au fond car nous étions plus que capable de le faire. Il fallait que je m’assure seulement qu’elle l’était avant de me décider, j’étais un peu hésitant. Il fallait dire que j’avais peur d’être sur ma faim si l’on était interrompu. C’est pour cela que j’avais crainte. Il était arrivé une fois ou même presque deux pendant une journée de cours ou l’on était interrompu et ça, c’était bien embêtant. C’était stupide alors que je ne devrais pas réfléchir. Les choses étaient trop tentante et je devais l’avouer, j’avais très envie d’elle dans cette robe mais je devais être fort et ne pas céder enfin on sait toujours que je cède car je suis faible. Je m’écartais alors en souriant à son jeu de lèvres et finissant par avouer qu’elle avait gagnée. J’étais encore le perdant mais gagnant à la fois, retirant mon t-shirt pour aussitôt la soulever et ainsi l’accrocher à moi en reprenant ses lèvres avec ce baiser tellement magique qui était encore actuel dans nos échanges. J’étais totalement épris du moment et prolongeant le baiser avant de descendre à son gout et ainsi laisser mes mains découvrir les parcelles de sa peau sous la robe. J’osais alors taquiner le fait que nous pourrions peut-être avoir conçus un bébé dans cette cabine d’essayage ? Cela me semblait royalement dingue mais cela me fit automatiquement sourire tandis que je déposais plusieurs baisers dans son cou et sentant plusieurs longs frissons me parcourir l’échine à son souffle sur ma peau en fermant les yeux et me concentrant sur mes baisers tandis qu’elle me fit rire en chuchotant alors plusieurs fois que nous allions le faire encore et encore. Je sentais pertinemment qu’elle allait m’épuiser pour que nous puissions avoir et enfant puis au fond… cela ne me dérangeait pas vraiment. Me laissant emporter par mes frissons, j’avais approché le mur en la plaquant, peut-être avec bien trop de fougue et je m’inquiétais assez peu que ce mur cède mais il semblait réellement bien stable, j’étais rassuré en continuant mon œuvre dans son coup et profitant un peu de ses soupirs comme encouragements à continuer. J’adorais l’entendre juste soupirer et sentir qu’elle avait envie que je passer à la vitesse supérieur. Une fois que je retrouvais ses lèvres, l’ardeur qu’elle mettait dans notre baiser ne pouvait que m’emporter encore plus tandis que mes mains remontaient doucement sa robe et qu’elle profitait du toucher de sa peau. Je réfléchissais trop, je le savais et c’était bien mon soucis mais là, je risquais vraiment la bonne douche froide si ça s’arrêtait. C’est alors que je me laissais aller sous l’envie et l’ambiance qui régnait en tentant d’oublier et d’arrêter de réfléchir à ce qu’il pourrait se passer, le pire qu’il pourrait se passer. Je tentais alors de me concentrer et souriant contre ses lèvres en laissant durer le moment juste pour la faire bouillir mais je savais que comme toujours, elle n’allait pas vraiment vouloir que je sois trop lent, je m’en amusais à chaque fois. Je fronçais les sourcils en sentant l’une de ses mains se glisser à mon pantalon tandis que celui-ci prenait la piste de mes jambes ce qui me fit sourire et approfondir le baiser, crispant un peu mes mains sur ses cuisses au toucher de ses mains sur mon boxer ce qui avait le don de me rendre un peu plus fou et fonctionnait réellement. Je la sentais se trémousser en riant doucement tandis que mes lèvres retournaient à son cou et que je la laissais s’occuper de son boxer en voulant me montrer des moins négociateur et mordillant sa peau doucement, je laissais le boxer tandis à son tour en redressant mon regard vers elle et reprenant ses lèvres avec autant d’ardeur et d’envies que je ne pourrais le montrer. Je gardais le contact de ses lèvres en me mettant alors à m’occuper de son sous-vêtement avant de reprendre les caresses sur sa cuisse et ainsi la rapprochant encore de moi et finissant par mettre fin à son supplice que je sentais de plus en plus difficile pour elle ainsi que pour moi. Deux semaines ? C’était énorme, c’est vrai qu’il était fortement impossible de céder à la tentation. J’avais parfois réellement eu du mal à me retenir plusieurs fois pendant les semaines qui étaient passées. Il suffisait parfois de peu et d’autres de beaucoup mais quand vous aimez une femme, il est encore plus difficile d’y résister. Je la maintenais alors tout en donnant les mouvements de bassins adéquats, me laissant envahir pas nos vagues de sensations et en profitant en étouffants mes soupirs dans son cou ou juste contre ses lèvres, l’embrassant rapidement quand j’en avais la possibilité et refusant un peu de lâcher cette sensation juste d’avoir ses lèvres contre les miennes. Chaque sensation, chaque bouffée de plaisir, toutes étaient comme décuplées, comme si je sentais que c’était même encore plus attendu qu’avant, peut-être cette sensation qu’il y avait bien plus derrière. Progressivement, j’atteignais la zone de non-retour, me retenant encore un peu pour faire encore durer son plaisir même si je sentais qu’elle avait du mal à le contenir sans que l’on ne se fasse remarquer et peut-être que ça m’amusait même encore plus sur le moment sans vraiment que je ne me rende compte de cela car là, je ne calculais rien du tout, j’étais juste avec elle. Et plus le plaisir grimpait et grimpait encore… il fallait que ça arrive… cela atteignait réellement l’arrivé tandis que enfin… ben bam… els chocopics se firent et les étincelles dans ma tête se laissaient briller tandis que j’avais réellement du mal à ne pas m’ébruiter de truc et mordillant légèrement son épaule sur le moment. C’est alors que je restais encore en elle que je n’avais pas eu le temps même de mettre fin à notre étreinte qu’elle m’embrassait avec un baiser tellement intense que j’en souriais doucement en y répondant avec autant d’amour et de passion, je lisais rapidement le message et finissant par lâcher l’étreinte de nos corps sans pour autant la poser sur la sol et prolongeant encore ce baiser sans vouloir le lâcher. Bon dieu… qu’est-ce que je l’aimais cette jeune femme, plus les jours passaient et plus je me rendais compte que notre amour devenait encore plus fort, je ne voulais pas l’échanger pour quoique se sont et là, c’était l’amour qu’elle me procurait de ce baiser dont j’avais besoin. Finissant par sourire contre ses lèvres et reculer en la regardant dans les yeux et lui volant quelques baisers en la reposant alors sur le sol et remontant en même temps son sous-vêtement en caressant ses cuisses en même temps et profitant du dernier toucher de sa peau avant la sortie de la cabine avant de me rhabiller et me disant que si ce n’était pas dans une cabine, je recommencerais bien tout de suite, oh oui. Je l’aurais bien fais juste par ce que j’en avais envie mais il fallait attendre et c’était peut-être mieux ainsi. Je refermais alors mon pantalon avant de chercher un peu ou j’avais foutu mon t-shirt et le retrouvant à mes pieds en le prenant avant de l’enfiler et lui sourire en l’attirant à nouveau à moi et reprenant ses lèvres avec tendresse avant d’y chuchoter. « Fais attention, je pourrais bien recommencer dans la cabine voisine… », disais-je une mordillant ses lèvres et allant déposant un baiser sur sa joue avant de le regarder dans les yeux et poser mes mains sur ses joues. « Je t’aime… je te dis ça… on sait jamais que la sécurité nous attendrais derrière la porte… », je souriais doucement un peu amusé en déposant un baiser sur ses lèvres. C’était magnétique, je ne pouvais pas les lâcher. J’aimais bien trop la câliner à la suite et même sachant que je pourrais le faire une fis sorti de cette cabine, je n’y arrivais mais rien doucement, je finissais par déverrouiller la porte et lui sourire. « Je t’attends ! », malgré moi en sortant, je me faisais tout petit comme une mouche et ne regardant pas vraiment les vendeuses et arrêtant de me faire prendre pour spectacle du fait que je sois une comme. Me regardant alors rapidement dans le miroir près de la cabine, je riais en voyant que mes cheveux n’étaient pas vraiment bien placés et les remettant alors correctement. Je souriais en attendant qu’elle sorte et lui prenant la main aussitôt qu’elle fut prête en lui volant un baiser et allant à la caisse. Je souriais doucement en restant calme et sentant que les vendeuses paraissaient naturellement. Elles n’avaient rien entendues ? C’était disons : rassurant et amusant. Cela me détendait un peu et j’en passais payait même la note à la caisse en regardant Evangeline et lui souriant. « Même pas la peine de négocier ! », je riais doucement en mettant le code de ma carte de crédit et attendant que la jeune femme nous donnes l’accord de quitter le magasin en prenant aussi le paquet de la jeune femme et voulant être des plus chevaleresque. Tout en marchant et passant devant les boutiques, je souriais en gardant sa main mais me déplaçant pour aller aussitôt derrière elle, marchant bien lentement et l’entourant un peu de mes bras en allant embrasser son cou et souriant en soufflant doucement contre sa peau et allant chuchoter à son oreille. « Je peux te manger ? », disais-je en riant et retournant à son cou en la mordillant alors légèrement pour finir par sourire et chuchotant. « Je suis carnivore… », je la chatouillais alors légèrement, une fraction de seconde en continuant mes baisers et finissant juste par poser un baiser sur sa tempe avant de sourire et reprendre la marche à côté d’elle. La regardant du coin de l’œil, je souriais. « On a plus qu’à passer faire les courses, c’est au-dessus ? », je riais doucement, pas trop habitué à celle galerie quand nous allions faire les courses.
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMar 24 Avr - 8:57
La folie peut se manifester en tant que violation des normes sociales, incluant la possibilité d'être un danger pour soi et pour les autres, et impliquant également certains autres actes considérés comme faisant partie de la folie. La folie peut être passagère ou perdurer, être provoquée ou exister à l'état de base. Voilà l’une des définitions qu’on peut trouver dans un dictionnaire pour le terme de folie. Alors étaient-ils vraiment fous ? En quelque sorte oui. Étaient-ils des dangers pour eux ou les autres ? A première vue non, mais ils avaient bien choisit de faire les choses ici, à cet instant. C’était réfléchit et à la fois simplement basé sur l’envie. Ils avaient attendus deux semaines et pourraient bien tenir encore quelques heures, mais l’idée était bien trop tentante et la nouvelle qu’il venait d’apprendre était elle bien trop bonne pour qu’ils ne veuillent pas en profiter. Evangeline avait proposé, mais elle laissait encore la possibilité de ne pas aller si loin et de rester raisonnable. Elle n’en avait pas envie, elle voulait profiter de la vie là maintenant, mais elle aurait accepté de reporter cela à plus tard si Henry n’avait pas voulu tenter la chose. Mais bien entendu, même s’il se laissait tenter, il n’arrêtait pas de réfléchir pour autant et il pensait beaucoup trop. Plutôt que de profiter de cet instant et faire en sorte de ne pas trop trainer, lui faisait l’inverse. Il s’amusait à faire trainer les choses, et en temps normal dans d’autres conditions elle aurait laissé faire, elle aurait été beaucoup plus patiente, mais pas là. Ils risquaient d’être surpris à chaque seconde et elle voulait éviter cela pour qu’ils se sentent tous les deux frustrés d’être coupés en plein élan. Elle avait envie de profiter de cet instant au maximum, mais le faire durer trop longtemps ne faisait pas vraiment partie du plan. Elle n’avait pas besoin d’une confirmation pour savoir l’effet qu’elle pouvait lui faire à cet instant et rien que ses baisers le laissait savoir et elle préférait prendre les choses en main quelques instants que d’attendre qu’il se décide et prendre le risque d’être surpris sur le fait. C’était assez amusant et excitant de tenter le diable de cette façon. Jusqu’à présent ils n’avaient jamais tenté d’aller aussi loin dans ses lieux publics et l’anecdote de l’université était bien loin de tout cela. Ils étaient restés encore très sages cette fois là, ce qui n’était déjà plus du tout le cas. La crainte de découvrir une mauvaise nouvelle avait laissé la place à la joie de savoir que tout allait bien et l’envie de concrétiser un peu plus tout ce dont ils avaient parlé ces derniers temps. L’idée de faire un enfant restait gravées dans l’esprit de la jeune femme depuis cette fausse couche, grandissant progressivement et même si deux semaines plus tôt elle avait encore quelques doutes, à présent elle n’en avait plus un seul et comptait bien tout faire pour concevoir cet enfant. Alors pourquoi attendre pour commencer ? La boutique était vide et les vendeuses ne semblaient pas réellement intriguées de ne pas les voir alors autant profiter de la situation. Et l’idée de pouvoir être surpris rendait les choses encore un peu plus intenses en fin de compte. C’était complètement dingue, ils étaient complètement fous de faire les choses ainsi, ici, mais ils n’étaient certainement pas les premiers et ne seraient surement pas les derniers. La jeune femme devait faire de gros efforts pour rester silencieuse, parvenant de moins en moins à se retenir et ne voulant pas pour autant prendre le risque de se faire remarquer. Elle ne put retenir un soupir assez profond en atteignant le point de non retour et sentant Henry y venir aussi. Elle ne voulait pas que tout se coupe déjà, elle voulait profiter encore au maximum de cet instant et lança un baiser qui se voulait plus calme que les précédents mais qui ne l’était pas vraiment en fait. L’espace d’un instant avec ce baiser elle crut bien que les choses allaient repartir de plus belle, mais Henry sembla rester raisonnable, la posant finalement au sol non sans profiter de la situation. Il fallut quelques instants à Evangeline pour revenir à la réalité, observant Henry qui se rhabillait avec l’envie de l’en empêcher. Elle ne marchait plus tout à fait normalement à cet instant et elle ne parvenait plus à coordonner ses mouvements, encore sous le coup de tout ce qu’ils venaient de retrouver tous les deux. Elle tentait de se reconnecter à ce qui les entourait et s’apprêtait à ôter sa robe pour reprendre ses vêtements normaux quand Henry l’attira à nouveau à lui et qu’elle perdit le fil de ses pensées une fois de plus. Elle répondit au baiser du jeune homme, ne tentant pas de le transformer pour en lancer un totalement différent, même si l’idée la tentait alors qu’il parlait de recommencer dans la cabine voisine. Elle l’observa une seconde alors qu’il venait l’embrasser sur la joue, répondant le plus sérieusement du monde. « Pas cap ! » Elle avait dut forcer un peu les choses la première fois, mais elle se doutait qu’elle n’aurait pas forcément besoin de grand chose de plus pour le convaincre à présent. Elle sourit légèrement, se doutant que même s’il pouvait en avoir envie, il n’irait pas aussi loin, riant légèrement à sa remarque. Il n’y avait pas le moindre bruit en provenance du magasin ou de la salle où se trouvaient les cabines alors il y avait peu de chance pour qu’ils aient des problèmes. Et même si la sécurité décidait de les faire sortir, ils se retrouveraient dehors. Elle se laissait aller à profiter de ces baisers. Ils avaient dut se contenter de cela depuis deux semaines et c’était devenu quelque chose de bien plus fort et significatif pour eux durant ce lapse de temps. Elle sentait bien qu’il avait du mal à la lâcher et à quitter la cabine, mais elle n’en jouait même pas sur l’instant. Il se posait suffisamment de problèmes et de questions tout seul pour qu’elle n’ait pas besoin d’en ajouter. Elle lui adressa un sourire alors qu’il sortait finalement de la cabine, ne pouvant s’empêcher de jouer avec ses lèvres et de se demander s’ils avaient été repéré ou non. Il n’y avait pas le moindre bruit suspect alors que la jeune femme se changeait pour retrouver sa tenue du jour. Elle regroupa les affaires qu’elle comptait prendre avant de sortir de la cabine et rejoindre Henry pour passer en caisse. Elle avait restreint un peu son choix pour ne pas faire exploser sa note et n’eut pas le temps de protester qu’Henry s’avançait déjà pour la payer. Elle fit une légère grimace avant de passer derrière lui, lui volant un baiser avant de chuchoter à son oreille. « Merci mon amour. J’espère que ce que j’ai choisit te plaira. » Elle commençait à savoir quoi choisir pour lui plaire et parmi ces achats elle comptait tenter de nouvelles possibilités dont elle ne doutait pas une seule seconde. Elle sourit alors que la vendeuse les saluait, visiblement elle n’avait rien remarqué et elle ne manqua pas de le faire remarquer. Sortant progressivement de la boutique, elle se tourna légèrement vers Henry pour que lui seul entende. « Ni vu, ni connu … Je suis sure qu’on aurait put remettre ca … » Elle le regarda d’un air entendu et avec un sourire qui en disait long sur ce qu’elle avait à l’esprit, avant de s’écarter très légèrement, préférant ne pas se mettre trop d’idées dans la tête. Elle devait garder les idées claires pour profiter au maximum de cette journée et de ce qui leur restait à faire. Avec les achats qu’elle venait de faire dans cette boutique, elle n’aurait pas besoin d’en faire d’autre, mais ils avaient quelques courses à faire pour la villa. Elle gardait cet objectif là en tête lorsqu’Henry se plaça derrière elle, la prenant dans ses bras et la tenter encore un peu. C’était de la triche et elle savait qu’il profitait de la situation, mais elle se laissait faire, tentant malgré tout de garder son calme pour ne pas se laisser déborder. Elle rit légèrement à ses mots, elle se doutait bien qu’il ne parlait pas vraiment sérieusement et qu’il voulait juste rattraper un peu ce qu’ils avaient loupé en sortant de la cabine. Mais l’observant le plus sérieusement du monde, elle finit par lâcher. « Là c’est du cannibalisme et je crois que c’est puni … » Mais à peine avait-elle finit de parler qu’il se remettait à la chatouiller et qu’elle tentait de se défaire de son emprise. Elle n’aimait pas lorsqu’il utilisait cela contre elle et même si ca pouvait être amusant quelques fois, ca ne l’était pas dans ce genre de situation. Il retrouva finalement son calme, mettant le doigt sur ce qui leur restait à faire. Les courses n’étaient pas forcément une partie de plaisir, mais c’était rare pour eux de les faire ensemble et ce serait l’occasion de voir si tout marchait aussi bien qu’ils le pensaient. « Allons pour les courses. » Elle acquiesça prenant la direction de l’étage pour rejoindre le magasin principal et fouillant dans ses poches en arrivant à l’entrée du magasin pour récupérer le papier où elle avait reprit les choses à ne pas oublier. « Alors, alors … voyons cette liste. » Avançant dans le magasin avec un panier, elle observait sa liste, prenant dans les rayons ce qui y était noté. La liste n’était pas vraiment conséquente, mais à chaque rayon elle récupérait deux ou trois choses qui n’y étaient pas inscrites. Le panier était déjà bien remplit lorsqu’ils arrivaient au bout du magasin et elle à la fin de sa liste. « Il faudrait du lait, des céréales et des fruits … Et on devrait avoir le tout. » Volant un baiser à Henry elle partit en direction des fruits, prenant un peu n’importe quoi, ce qui lui faisait envie sur l’instant et revenant alors avec des pommes, des poires, des oranges, des fraises et des bananes. Elle voulait se résoudre à mieux manger et à tenir certains points importants de l’alimentation à présent. Si elle voulait avoir un bébé, autant faire en sorte d’avoir une alimentation qui soit la meilleure possible pour lui. Déposant tout cela dans le panier, elle remarquait le lait et les céréales récupérées par Henry, mais aussi des tablettes de chocolat. Les récupérant et les montrant au jeune homme, elle l’observait un instant. « Encore du chocolat ? Tu as déjà une grosse réserve d’avance de celui là en plus. » Elle savait que c’était celui qu’il préférait et qu’il en avait toujours une réserve avec lui, mais cette obsession pour le chocolat devenait presque maladive. Elle attendait sa réaction pour aller reposer tout cela en rayon, mais visiblement il ne semblait pas d’accord. Le chocolat avait été un point de départ pour eux en quelque sorte, mais à force le lien d’Henry avec cet aliment devenait presque étrange. « Je te préviens tout de suite … il est hors de question que nos enfants soient aussi accroc au chocolat que toi … » Elle disait cela avec un grand sourire malgré tout. Il était intraitable et elle ne pouvait pas le priver de son chocolat elle le savait. Elle reposa les tablettes dans le panier, abandonnant la partie pour cette fois en réalisant qu’il y avait quelque chose qui manquait à sa liste. « D’ailleurs j’ai oublié quelque chose. » Volant un rapide baiser à Henry, elle partit en direction de la partie pharmacie du magasin. A présent que tout était possible il valait mieux se munir de certaines petites choses. Alors que plus tôt elle aurait fait une réserve de préservatif, cette fois c’était avec des tests de grossesse et d’ovulation qu’elle quittait la sous-boutique, retrouvant Henry juste devant, encore une fois face au rayon des chocolats.
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M. Henry-Daniel Grayson
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I would like to reach out my hand
I may see you, I may tell you to run
I would like to hold your little hand
Nobody safe, nobody on
How we will crawl, we will...
Send me on my way


✔ HUMEUR : Bonne, comme vous ?
✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet)
✔ SURNOMS : Henry qu'il rit et qui pleure, c'est la clé du bonheur ! -sort- Tout ce que vous voulez. Marshamallow pour les intimes ou Chocolove mais encore Loveur !
✔ LA CITATION : Exister est bon ; non pas meilleur qu'autre chose ; car exister est tout, et ne pas exister n'est rien.




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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMar 24 Avr - 14:51
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » T’es cap ? Pas cap ? De te rouler dans la boue… t’es cap, pas cap… mais si t’était cap, tu serais… cap… étais-je capable ? Je n’en savais rien. Mais oui, peut-être, je riais doucement à ce qu’elle disait en haussant les épaules. Bien sûr que j’en aurais été capable mais bon, je ne voulais pas abuser des bonnes choses en public car c’est toujours comme ça qu’on attire les ennuis. J’étais un gentil garçon, faut pas croire. Sage comme une image. Zavez-vous pas vus mon auréole sérieux ? Enfin bref, j’étais sur un petit nuage et sachant pertinemment qu’elle l’était encore, je m’en amusais assez ave les baisers dont je profitais amplement avant de quitter la cabine mais à regret car j’y serais bien sûr resté encore longtemps si ce n’était pas une mauvaise idée. Je devenais donc ensuite un peu parano du regard des vendeuses avant qu’Evangeline ne me rejoigne, j’en étais amusé aussi. Payant alors les achats, je ne pouvais pas m’empêcher de sourire en l’entendant et tournant la tête vers elle pour lui voler un baiser en souriant. Je me demandais ce qu’elle préparait ou ce qu’elle avait pris seulement ceci… juste l’idée qui réussissait à me faire sourire. J’étais amusé simplement en me disant que tout ça allait être peut-être bien sympathique. Au fond, je n’étais pas super compliqué en question de gout avec les femmes. Je n’aimais juste pas trop la provocation surtout que possessif comme je l’étais, je surveillais tout de même le regard des autres hommes. Il ne fallait pas qu’elle ose de trop en compagnie d’autres, ça pourrait me faire ronger mon frein sans pourtant que je ne puisse lui interdire. Au fond, c’était drôle de dire que l’on pouvait se réserver encore bien de nombreuses surprises. Une fois dehors la boutique, je ne pouvais m’empêcher de rire en l’entendant alors et voyant son petit sourire. Je secouais la tête en levant les yeux et souriant doucement. « Coquine ! », disais-je juste en étant amusé et surement bien plus tenté qu’amuser mais non, on devait être sérieux. On avait des courses à faire mais m’amusant un peu pour reprendre la main, surtout qu’elle ne me laissait pas vraiment arrêter de penser à la tenter avec ce qu’elle me susurrait à l’oreille. Passant mes bras autour d’elle, je prenais un peu son coup d’assaut et riant en disant que je voulais la manger mais qu’est-ce que j’étais gourmand, non mais sérieusement ? Je voulais être un petit cannibale et dévorer cette jeune femme même si c’était assez métaphorique sur le coup, je riais doucement en l’entendant et me vengeant par de brèves chatouilles. Ouhhhh, je savais que c’était loin d’être juste et un vrai supplice pour elle mais aussi qu’elle trouverait surement vengeance car elle ne sait point encore que moi aussi, je suis chatouilleux. On dit même souvent que les hommes et garçons sont bien plus chatouilleux que les filles sauf que certains font comme si cela ne faisait rien. Le jour où elle le découvrirait, je me disais déjà que la vengeance serait rude mais au fond, il faudrait qu’elle tente pour le savoir. Je souriais. « Tu ne vas pas me punir, je le sais ! », je riais ensuite doucement en passant sur le côté et reprenant la route normalement en me demandant ou se trouvait le supermarché. Nous allions alors à l’étage et je la suivais en souriant alors qu’elle regardait la liste et je souriais en la regardant faire et la suivant avec le panier tandis qu’elle semblait absorbée par la liste, c’était charmant à voir. Je m’amusais à voir tout ce qu’elle chopait dans les rayons et fronçant les sourcils. « Ben dis-donc ! », je souriais doucement en me disant qu’elle était surement assez gourmande sur le coup mais ça m’amusait plus qu’autre chose. C’est dans de simples moments comme ceux-ci que l’on se dit que nous sommes littéralement amoureux, des moments du quotidien ou vous regardez juste la personne et que cela vous fais sourire. Je souriais à ce baiser qui me sortait un peu de ma rêverie et hochant la tête. « Je me charge du lait et des céréales ! », vaillant et tout, j’allais en rayon du lait pour commencer et prenant ce dont on avait besoin pour finir par prendre également route des céréales. Il fallut une bonne minute pour que je décide lesquels nous devions prendre car c’était toujours tellement compliqué, on avait des gouts différents et il y avait aussi des marques différentes et certains étaient dégueulasse tout simplement si je puis dire donc c’était compliqué de faire mon choix.

Après tant d’efforts pour choisir mes céréales, je sentais avoir besoin d’une petite consolation et c’est pourquoi je passais au rayon des chocolats. Je méritais bien un petit chocolat, non ? Je le léchais les babines en souriant et prenant deux ou trois tablettes de mon chocolat favoris. Il était succulent et fondant après avoir été d’un croquant. Sa texture… miam et puis fondu, il était encore mieux avec des fraises ou sur le corps d’une charmant jeune femme… je n’ai pas besoin de la citer, vous avez deviné enfin je n’avais jamais testé depuis l’hôtel… donc je n’en savais rien mais je n’en doutais pas. Je revenais alors vers elle en souriant et lui montrant mon panier en haussant une petite épaule alors que je l’entendis. « Ben… on en aura jamais assez ! », je fis une petite moue en la regardant et me disant que oui, quand y en a plus, y en a encore si j’en prends aussi. Je ne pouvais pas me passer de chocolats même si j’en mangeais bien moins depuis que nous étions ensemble, peut-être pas que ce j’avais simplement d’autres occupations ? Oui surement. J’approchais en lui souriant et riant même doucement alors qu’elle disait que nos enfants ne devraient pas être accroc au chocolat, cela m’amusait assez et je fronçais le nez en lui volant un baiser. « Promis, mon ange ! », je ne savais pas vraiment contrôler ce qu’ils aimeraient mais ça m’amusait de même penser qu’ils pourraient l’être contre l’avis de leur mère. Je me retenais de dire que la drogue du chocolat de papa serait surement mieux que celle de Tatie mais ce n’était pas drôle sur le moment et me ramenait un peu à la dure réalité sur le fait que Shibhoan soit accroc. Enfin je ne lâchais pas prise sur mon chocolat comme un garçon capricieux et riant doucement. « D’accord, je t’attends ! », je retournais alors comme un crétin au rayon chocolat et la laissant filer à la pharmacie en souriant et contemplant juste le rayon, je voyais alors la dame qui s’occupait du rayon et lui souriait en lui demandant un marqueur et une fois que je l’avais, je prenais une tablette de chocolat et j’y ajoutais… « A l’Evangeline », je prenais une autre et mettait aussi « Saveur femme que j’aime ! ». Une fois fait, je rendais l’indélébile pour débile à la dame du rayon et j’attendais qu’elle revienne en contemplant juste les chocolats et souriant doucement alors que je la regardais du coin de l’œil entrer dans le rayon… m’attendant de suite à une remarque, je souriais et prenais un air de gamin. « Hey… t’as vu, ils font de nouvelles saveurs… », je retournais les tablettes en lui montrant et souriant. « Je crois que cela sont mes favorites, je me souviens… j’en ai déjà gouté mais pas vraiment la même marqué… je peux les prendre ? Allez dis-oui ! », je la regardais d’un air implorant en riant doucement. « Allez… mon cœur ? Juste un peu de chocolat à la Evangeline et à la saveur… femme que j’aime… », je souriais doucement en le regardant bien du genre : c’est un peu malicieux en fait mais j’aurais vraiment envie de le gouter sur toi. C’était disons une invitation à recommencer l’expérience qui était bien entendu… pas bien cachée. Je prenais les tablettes qu’elle ne m’autorise ou non par ce que j’avais écrit dessus et je ne voulais pas qu’un crétin pense qu’Evangeline était vraiment une saveur au chocolat. Imaginez 5 minutes que cet abruti de Dimitri passe dans le coin et prenne la tablette ? Ah non, hein. Je ne voulais pas du tout ça mais j’étais content de ma petite plaisanterie ou mon petit sketch si je puis dire. Je regardais alors son panier en souriant et penchant la tête, assez amusé. « Hummmm… des fraises ? Tu les prévois peut-être rapidement ? », je riais en penchant la tête e souriant. « Je ne me suis même pas encore demandé comment tu serais… tu ne vas pas me faire tourner en bourrique pour un pot de glace qu’on n’a pas à 3 heures du matin ? Et me faire ratisser la ville pour en trouver ? », je souriais en me disant que je le ferais volontiers même si je devais m’avouer qu’au fond, je n’avais pas vraiment envie de me faire réveiller à 3 heures pour de la glace même si je ferais n’importe quoi pour elle. Je m’en amusais en faisant une moue. « Aie… », je voyais alors les tests divers et reprenais cette moue en la regardant. Une moue de petit garçon mais je ne faisais que m’amuser et jouer un peu la comédie depuis le chocolat en fait. J’approchais et allait à son oreille. « Dis… mon ange… on va pas seulement faire l’amour quand tu ovules, hein ? », disais-je assez amusé en souriant et mettant une main dans son dos que je descendais progressivement en l’attirant un peu à moi et allant mettre cette main presque sur ses fesses mais plus sur ses anges et la caressant en mordillant son oreille. « Par ce que je ne suis pas certains de tenir en attendant qu’il soit positif, je serais même capable de tester sur moi pour voir si moi… je pourrais être positif ! »,je disais des bêtises mais profitant que le rayon soit vide, je partais embrasser rapidement son cou en continuant un peu mes caresses et les remontant alors à sa nuque en l’approchant pour l’embrasser avec tendresse et sourire contre ses lèvres. Je reculais en la regardant avec une certaine tendresse. « On a tout ? », je penchais doucement la tête en lui volant un baiser et reculant pour finir par rire. « Non, on n’a pas tout… j’ai besoin de mousse à raser… », je lui prenais alors la main en souriant. « Je t’emmène… je ne voudrais pas que t’aille chercher d’autres fraises. », je riais doucement en allant vers le rayon des produits pour la peau et tout en prenant ce dont j’avais besoin et lui souriant.
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMar 24 Avr - 19:41
Faire les courses en amoureux. Une expérience à faire et à éviter en même temps. C’était assez difficile à décrire, mais c’était ce genre de moment où on pouvait découvrir de nouveaux traits de la personnalité de celui ou celle qui partageait notre vie et ca pouvait être plus effrayant encore pour certain qu’un véritable engagement. Partager la vie d’une personne peut être simple, mais percevoir certains de ses défauts au travers des achats qu’il peut effectuer est totalement autre chose. La liste faite par Evangeline ne comptait pas que des choses qu’elle voulait pour elle, mais aussi et surtout des détails importants pour la villa et leur vie commune. Elle avait toujours eut l’habitude de faire une liste pour être sure de ne rien oublier et même si elle pouvait parfois s’en passer, c’était une sécurité qu’elle n’oubliait que très rarement. Accumulant les rayons et les articles qu’elle prenait à droite à gauche, elle ne s’étonna pas vraiment de la réaction d’Henry. Il ne semblait pas avoir réellement besoin de quoi que ce soit et pour tout dire, elle avait un peu l’impression de faire les courses seule. Pas que cela la dérangeait, mais la simple présence du jeune homme était un bon point. Elle ne se laissait pas déconcentrer et arrivait au bout de sa liste en l’espace de quelques minutes s’occupant des fruits et laissant à Henry la charge du lait et des céréales. Ils se retrouvèrent à peu près au milieu et après avoir tout déposés dans le panier, elle remarquait les tablettes de chocolat, ne pouvant bien entendu s’empêcher de réagir. Henry était un accroc au chocolat et elle le savait déjà bien avant qu’ils sortent ensemble et même s’il semblait s’être calmé il en gardait toujours une réserve effrayante à la villa. Il devait y en avoir une dizaine de tablettes, mais ca n’était pas encore suffisant et il fallait qu’il en rachète tous les quatre matins. Elle espérait bien que ce ne serait pas le genre de gout alimentaire qui se transmettrait à leurs enfants car sans cela elle serait perdue. Le chocolat n’était pas particulièrement mauvais pour la santé, mais à trop grosse dose et pour des enfants il y avait beaucoup d’aliments bien meilleurs. La jeune femme cessait de lutter, le laissant prendre ses tablettes alors qu’il acceptait ce qu’elle venait de dire et qu’elle réagissait à ce qu’elle oubliait. Ce n’était pas forcément nécessaire aujourd’hui et il faudrait certainement attendre un peu pour que l’usage de ces petites choses se fasse, mais ca n’empêchait pas d’en acheter d’avance et de prévoir les choses. Il ne lui avait pas fallut plus de deux minutes pour aller jusqu’à la pharmacie et y récupérer le nécessaire, mais à son retour, elle retrouvait encore Henry dans le rayon des barres chocolatées et elle sentait qu’elle allait devoir intervenir. Mais il ne lui en laissa pas le temps. L’air qu’il affichait laissait penser qu’il avait quelque chose en tête et ca n’était pas forcément très bon signe pour elle. Elle l’observait un instant alors qu’il parlait de nouvelles saveurs et rien que sa façon de parler laissait penser qu’il comptait faire un caprice de petit garçon. Elle le regardait fixement, attendant d’en savoir plus et de comprendre ce dont il était question lorsqu’il en vint à jouer l’enfant en plein caprice. « Pire qu’un gamin … » La remarque était sortie d’elle-même alors qu’elle observait les tablettes qu’il tenait dans ses mains sans comprendre la différence. Pour elle ces tablettes étaient les mêmes que celles qu’il avait prit un peu plus tôt. Elle l’observait en attendant la suite et de comprendre où était le coté amusant, jusqu’à ce qu’il termine par lui expliquer les choses et qu’il change visiblement d’air. Elle restait là une seconde pas totalement sure de comprendre avant de voir la face des tablettes qu’il cachait depuis le départ. « Sérieusement… tu as vraiment fait ca … j’y crois pas. » Henry était vraiment infernal lorsqu’il s’y mettait et avait parfois des idées toutes plus grotesques les unes que les autres. Elle ne pouvait cependant plus rien dire, elle n’avait plus d’autre choix que d’accepter, à présent qu’il avait dégradé les tablettes … « Prends-les, mais tu reposes les autres. » Deux tablettes supplémentaires à la villa ce serait bien suffisant, pas besoin d’en faire encore une réserve monumentale. Elle le laissait faire les échanges et mettre les tablettes dans le panier, parcourant encore sa liste une dernière fois pour s’assurer qu’elle avait tout. Et bien entendu il fallait qu’Henry fasse remarquer la présence des fraises, soulevant par la suite une question intéressante et un sujet dont elle pourrait profiter un peu. Les envies des femmes enceintes étaient connues pour être subites alors aller lui affirmer comment elle pourrait réagir était impossible, mais malgré tout elle ne comptait pas exagérer de trop. « Les fraises sont des fruits comme les autres et ce n’est pas parce qu’elles me font envie qu’il y a autre chose à comprendre … Et je ne peux pas te dire ce que ca donnera, je n’ai pas la réponse à ca moi-même. Mais je ferais en sorte de rester gentille et raisonnable. » Elle ne pouvait pas prévoir ce genre de situation et d’envie. Elle ne pouvait pas s’assurer de toujours avoir tout ce qui pourrait lui faire envie. Elle ferait son possible pour combler ses possibles envies avec ce qu’ils auraient à portée de main. Et après tout toutes les femmes enceintes n’avaient pas forcément toujours des envies compliquées ou bizarres. Ils verraient quand le moment sera venu comment les choses se passeraient et ce qu’ils devraient faire l’un ou l’autre. Elle se doutait bien que malgré ce qu’il semblait se dire par cette question il n’hésiterait pas à combler au maximum les envies qu’elle pouvait avoir, mais elle ne voulait pas risquer d’abuser de la situation d’une façon ou d’une autre. Elle était encore un peu dans ses pensées et ne remarqua pas tout de suite le manège d’Henry alors qu’il s’approchait d’elle et posait alors une question à laquelle elle ne s’attendait pas… Elle le regarda attentivement l’espace d’un instant, voyant bien que sa question était sérieuse malgré tout. « Je ne pense pas que ce soit la meilleure façon de faire. Tu sais c’est assez court comme délai donc … je crois que pour bien faire … le plus souvent serait le mieux. » L’attitude d’Henry et ce sujet confondu n’était pas non plus faits pour l’aider à garder son calme. Elle le regardait avec un air entendu alors qu’il se rapprochait de son oreille pour préciser qu’il ne pourrait pas tenir l’attente. Elle savait bien que ces dernières semaines avaient été difficiles à supporter et elle ne pensait pas renouveler l’expérience de si tôt. Mais delà à ce qu’il tente de faire changer les choses en faisait lui-même les tests … elle n’était pas convaincue du tout. « Ce serait du gâchis d’utiliser un test sur toi … mais s’il en reste quand je serais enceinte, tu pourras t’amuser avec … » Elle ne put s’empêcher de rire à cette histoire. Cette idée de grossesse devenait de plus en plus obsédante pour eux apparemment et les questions et les idées semblaient de plus en plus spéciales et parfois même étranges. Et comme si la situation ne suffisait pas, il fallait qu’Henry tente de la convaincre un peu plus encore par des caresses et des baisers auxquels elle ne pouvait résister. Elle se laissait doucement emporter sans la moindre envie de mettre fin à cet instant lorsqu’il s’écarta finalement d’elle, demandant s’ils avaient tout récupéré. « Oui, c’est bon. » Sa liste était complète et dans son esprit rien d’autre n’était nécessaire. Bien entendu elle ne pensait pas forcément aux choses dont Henry pourrait avoir besoin et elle acquiesça légèrement lorsqu’il précisa qu’il manquait quelque chose. Elle lui suivrait bien volontiers, ne pouvant que rire légèrement à sa remarque. Elle ne comptait pas faire une cure de fraises et elle était convaincue que ce n’était qu’une idée reçue qui laissait croire que les femmes enceintes avaient toujours envie de fraises. Elle ne répondit rien malgré tout, préférant ne pas lancer le débat sur ce sujet. Elle suivait Henry sans vraiment trainer dans les rayons, pas totalement présente lorsqu’ils arrivèrent au rayon qui intéressait Henry. Elle était un peu ailleurs lorsqu’elle remarqua une silhouette qui lui parut étrangement familière. Mais ce n’était pas possible. La personne à laquelle elle pensait devait se trouver à l’autre bout du monde ou presque et elle n’envisageait pas de pouvoir le revoir un jour. Cependant lorsque le jeune homme se tourna à moitié vers elle, elle comprit qu’elle avait raison et qu’elle ne rêvait pas. « Matt ? » Elle s’approcha de quelques pas de lui, laissant Henry s’occuper de ce qu’il avait à récupérer. « Eva ? C’est bien toi ? » Et le passé refaisait surface une fois de plus, mais pour une fois c’était de bons souvenirs et c’était pour elle que cela prenait place. L’habitude de réagir ainsi la poussa à le prendre dans ses bras comme ils le faisaient à l’époque. Matthew avait fait partie de sa vie pendant quelques années quand elle était en Italie et il avait eut une place importante dans son cœur. La seule relation à peu près sérieuse qu’elle avait eut c’était avec lui. Mais à l’époque ils étaient très jeunes, elle avait voulu partir et il ne le souhaitait pas… Ils se sont quittés assez brutalement sans vraiment se donner de nouvelles par la suite. « Qu’est-ce que tu fais là ? Je croyais que tu n’envisageais plus de quitter l’Italie ? » Il fallait avouer qu’elle avait faillit renoncer à ses envies de voyages pour lui, mais elle n’avait pas put s’y résoudre et elle avait voulu voyager encore, découvrir d’autres endroits. Finalement il avait changé d’avis, avait décidé de quitter ce pays qu’il avait tellement adoré et était repartit à l’aventure. « Il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis. En fait je suis juste de passage en ville. J’avais envie de découvrir l’Australie, mais Sydney est trop vaste pour moi. Je passais juste faire un coucou à Aly avant de me trouver une autre ville. » Donc c’était vrai, il était bien là, avait bien décidé de changer de vie une fois de plus et de repartir en quête de nouveautés et de choses à découvrir. C’était dans son tempérament et elle n’avait pas compris son désir de rester en Italie lorsqu’elle avait voulu en partir. Ca n’avait pas eut de sens à l’époque et à présent il fallait bien avouer qu’elle n’en chercherait plus. « J’y crois pas ca fait ... 5 ans quelque chose comme ca … » Ils étaient encore jeunes à l’époque et après cette étape elle était partie pour l’Amérique où elle était restée jusqu’à se décider à venir à Sydney. Elle ne regrettait pas tout le parcours qu’elle avait fait pour en arriver là, c’était certainement pour cela qu’elle allait si bien aujourd’hui et qu’elle trouvait sa vie si parfaite, mais il était certain qu’imaginer la vie qu’elle aurait put avoir dans certaines conditions était assez intriguant. Elle se prit à rêver légèrement, ne parvenant toujours pas à croire que c’était bien Matthew qui se trouvait là devant elle. « Quelque chose comme ca, oui … Aly ne m’a même pas dit que tu étais en ville. Ca fait combien de temps et quoi de neuf ? » Alyzéah n’avait pas mentionné sa présence ? C’était étrange, mais dans un sens elle le comprenait. La jeune femme était déjà folle de Matt à l’époque et elle avait eut du mal à se faire à l’idée qu’ils étaient ensemble. Le fait qu’aujourd’hui l’histoire se soit quelque peu répétée avec Henry laissait clairement comprendre les difficultés de la jeune femme à admettre la situation et la réalité. Evangeline sentit une présence dans son dos, réalisant qu’elle s’était un peu écartée d’Henry pour parler à Matthew et faisant un point sur tout ce qu’elle pourrait avoir à dire. Ca semblait totalement dingue, mais c’était la réalité, sa vie était totalement différente de celle qu’elle avait à l’époque où elle avait connu Matt et elle se doutait qu’il ne la croirait pas forcément sur tous les points. Se retournant vers Henry elle attrapa une de ses mains pour la garder dans la sienne, posant l’autre sur son torse avant de se lancer dans les présentations de rigueur. « Et bien … Matt je te présent Henry mon … fiancé, je crois que c’est ca ? Chéri, voici Matthew, un ami avec qui j’ai passé quelques années en Italie. » Elle n’avait pas put retenir un léger rire après sa question. Tout changeait tellement vite qu’elle ne savait plus comment présenter les choses et elle ne se voyait pas le présenter comme son futur mari … Ca sonnait bizarre. Alors que fiancé paraissait un bon compromis, comme la décision qu’ils avaient pris de laisser un peu de temps avant de se décider à se marier. Elle observait les deux hommes sans trop savoir quoi ajouter sur l’instant, les laissant se jauger sans trop rien dire. Préférant rompre ce silence qui devenait presque difficile à supporter, elle tenta de montrer les différences qu’il y avait encore entre eux. « Comme quoi tout change. Moi posée ici sans la moindre envie d’en partir, fiancée et bientôt maman. Et toi qui repart à l’aventure après toutes ces années … » C’était bizarre de faire cette remarque. Fiancée et bientôt maman. Elle n’était même pas enceinte, mais au moins les choses étaient claires et Henry seraient certainement rassuré. Elle restait un peu là sans savoir s’il fallait partir ou rester et s’il restait quelque chose à dire sur l’instant.
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M. Henry-Daniel Grayson
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✔ AGE : 28 ans
✔ SEXE : Féminin
✔ METIER : Professeur de psycho
✔ ETUDES : Psychologie
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I would like to reach out my hand
I may see you, I may tell you to run
I would like to hold your little hand
Nobody safe, nobody on
How we will crawl, we will...
Send me on my way


✔ HUMEUR : Bonne, comme vous ?
✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet)
✔ SURNOMS : Henry qu'il rit et qui pleure, c'est la clé du bonheur ! -sort- Tout ce que vous voulez. Marshamallow pour les intimes ou Chocolove mais encore Loveur !
✔ LA CITATION : Exister est bon ; non pas meilleur qu'autre chose ; car exister est tout, et ne pas exister n'est rien.




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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMar 24 Avr - 23:52
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » J’étais pire qu’un gamin avec un indélébile enfin j’étais même peut-être un débile pour seulement avoir cette idée qui me trottait dans la tête. Non mais sérieusement ? Comment pouvais-je être aussi crétin. Non d’une pipe en carrousel ? Mais je m’amusais. Voyant qu’elle revenait, je lançais mon sketch et au milieu, j’hochais vivement la tête quand elle disait que j’étais pire qu’un gamin. Au fond, oui. J’étais bien pire qu’un gamin et je m’en fichais car j’étais un gamin… certes mais un gamin heureux qui s’amusait un peu avec son chocolat en plaisantant à propos de sa saveur. J’hochais vivement la tête, tout sérieux quand elle me demandait si j’avais réellement fait ça. J’allais me gêner… la vie était bien trop courte pour que je rate une occasion de m’amuser un peu. Je fis une moue d’enfant alors qu’elle me disait de les prendre et de reposer les autres. Je fis vraiment une moue de chien battu en feintant presque de dire : Oui, maman mais je me retenais, c’était bien trop drôle sur le moment de jouer un peu avec elle et pour tout vous dire : je m’en amusais. J’adorais la rendre folle par moment avec mes bêtises et comme tout homme ou presque… j’avais une petite âme d’enfant. J’adorais la voir en colère même si elle ne l’était jamais mais j’adorais juste ça, c’était assez stupide au fond mais bon, c’était pourtant sympathique. Je finissais bien sûr par reposer les autres et reprendre celle que j’avais griffonné comme un petit homme super docile et surtout souriant, je voulais juste la taquiner… c’était bien amusant d’ailleurs. Je voyais alors les fraises et ne manquant pas de parler de ses envies de femmes enceintes que je comprenais tellement même si j’avais l’habitude de les stéréotypés assez et peut-être même trop. Je ne devais pas faire cela et je le savais au fond mais c’était bien plus fort que moi. Il fallait toujours que tout finisse par un stéréotype. C’était plus fort que tout chez les hommes quand ils allaient vers l’inconnu. Ils ne savent à quoi s’attendre rien que par les stéréotypes au fond. Je fis une petite moue en l’entendant et le prenant un peu comme un petit cours sur les envies des femmes. « D’accord… donc si t’en avale trop, t’es peut-être pas enceinte… juste gourmande mais je te fais confiance, tu ne vas pas me rendre tout fatigué avec des envies nocturnes… tu m’aimes trop pour ça, hein ? », je la regardais avec le petit air implorant pour ne pas qu’elle ne me réveille à des heures à laquelle je ne veux même pas pensée en ce moment-même… c’était un peu stupide mais oui, c’était ainsi… j’aimais mon sommeil même si parfois il était entrainé de mauvaises choses mais j’aimais mon sommeil même si je l’aimais encore plus et ainsi que cela ne me ferait rien du tout de me réveiller à des heures logiquement bien trop tardive. Non, cela ne me dérangeait pas et pourquoi ? Par ce que je l’aime. C’est tout simple et pas vraiment compliqué. L’amour est vraiment dingue mais je lui promettais en me lançant dans l’aventure de cette grossesse avec elle… en quelques sortes de m’y impliquer et pour un homme c’est un peu tout ça comme implication : s’occuper d’elle quand elle ne peut pas faire un truc comme porter des objets trop lourds ou monter en hauteur… lui trouver tout ce qui comblera ses envies… préparer la chambre du bébé au moment opportun… être présent aux rendez-vous chez le docteur… en gros cela demandait juste peu de choses, elle faisait tout le reste enfin bien sûr, il fallait faire l’enfant aussi et c’est surement la plus grosse étape du père. J’approchais au final avec cette question qui en quelques sortes : valait de l’or… cela me fit d’ailleurs sourire tandis que je la regardant en posant cette question assez stupide au fond qui me fit rire surtout à sa question. « Hum hum… », Disais-je en entendant que le plus souvent serait le mieux, cela m’amusait doucement que là, je tentais un peu le diable au milieu d’un rayon. Bien sûr, c’était juste pour la taquiner et pas réveiller des envies, je ne voulais tout de même pas pousser le vice au milieu d’un magasin mais surtout au rayon chocolat, non mais… c’était mon rayon favoris... je veux bien que cela soit une idée mais quand même. Cependant je m’amusais juste de tendres baisers et de caresses anodines sans l’être réellement en prenant d’assaut son coup avant de récupérer ses lèvres et ayant souris en l’entendant alors à propos des tests. Reculant alors, je riais. « Non merci pour les tests, ça ira ! Tu les passeras à Dimitri… », je me pinçais les lèvres en levant les yeux du genre : je n’ai rien dit. Je me moquais un peu de Dimitri de temps à autres surtout pour le fun car je trouvais qu’il se comportait comme un imbécile avec une allure de fillette en ce moment. Il me faisait rire à filer et changer de couloirs à chaque fois qu’il nous voyait genre… voilà le vilain petit Henry. Je l’imaginais parfois avec la cape du chaperon rouge. C’était bien amusant. Je parlais alors des courses en demandant si nous avions terminés et allant vers le rayon des produits de beautés, produits pour la peau et tout. En général, je n’étais pas vraiment du genre à faire les courses pour moi, je me contentais de ce que j’avais ou de la liste sauf dans ce genre de cas quand je manquais réellement d’un truc. Une fois dans le rayon, je ne savais pas trop laquelle choisir, je me perdais dans les sortes sans trop me souvenir de celle que j’avais sur l’instant. Je regardais les flacons et je me demandais : punaise c’est laquelle ma fichue bombe ? Je souriais doucement en ne remarquant pas tout de suite qu’Evangeline papotait avec ce gars, non… je lisais comme un abruti les étiquettes. C’est alors que je finissais par en sélectionner une et prenant alors aussi un après-rasage qui me semblait rendre la peau douce d’après l’étiquette… enfin, on allait tester… qui ne teste rien, n’a rien, non ? Si je ne testais pas, je n’aurais pas la peau douce et au fond… si je testais et que cela ne faisait rien… j’aurais quand même la peau normale. Sauf si cela déclenchait une réaction allergique mais prions que non. C’est alors que je me retournais pour la voir papoter avec un gars qui avait une silhouette que l’on dirait… un peu plus proche de la mienne, moi de celle de Dimitri, la fillette… Je souriais doucement en approchant sans oser m’infiltrer dans la conversation. Une fois qu’elle remarquait ma présence derrière elle et se retournait pour prendre ma main et se poser contre moi, j’étais un peu plus rassuré… avec une sorte de petite fierté comme quand vous vous rendez compte que vous êtes l’homme qu’elle l’a choisie et qu’elle le prouve. Elle le prouvait d’ailleurs. Je l’écoutais alors faire les présentations en riant un peu en l’entendant et serrant sa main pour entrelacer mes doigts avec les siens, juste en l’entendant me dire… son fiancé, c’était la première fois et c’était même agréable à entendre. Cela me perdait un peu dans mes pensées pendant un cours instant mais je regardais le jeune homme en lui serrant par politesse la main et lui souriant. « Enchanté ! », disais-je tout de même mais ce silence tandis que lui ne semblait pas enchanté me fait froncer les sourcils. Je me doutais progressivement qu’un truc s’était passé entre eux et me disant un peu qu’il ne l’avait pas vraiment digéré. En entendant Evangeline, je souriais doucement quand elle disait bientôt être maman, c’était la première fois qu’on le disait à une personne extérieure au couple d’avoir mes souvenirs sauf Ali si elle lui avait dit mais moi, je l’avais gardé pour nous. Comme un secret bien au chaud. Je souriais doucement en posant rapidement un baiser sur sa joue et regardant Matt en souriant. « Comment trouvez-vous Sydney ? », lui demandais-je surtout pour tenter d’être réellement poli sur le moment tandis que lui ne m’adressait pas un mot. J’haussais les épaules en regardant Evangeline tandis qu’il semblait se demander quoi dire. Je m’interrogeais assez mais il finissait par parler en souriant ou feintant un sourire. « En fait… disons que je venais surtout pour une fille mais… maintenant je vois ce que j’ai raté donc… », il baissait le regard légèrement et moi, je comprenais en lâchant juste un petit… « Oh ! », tout en serrant un peu plus la main d’Evangeline et lui caressant pour lui montrer qu’en fait, j’avais confiance en ce gars car là, apparemment il semblait juste envier et pas vraiment dire de vouloir faire comme Dimitri et d’en faire sa chose. « Je suis désolé pour vous… parfois… on trouve la bonne sans vraiment s’y attendre, elle est peut-être dans le rayon d’à côté ou simplement dans la rue. Je l’ai trouvé, je sais ce que je dis ! », il me regardait et puis regardait Evangeline en souriant. « Vous avez la perle rare, ne la laissez pas filer ! Je vous souhaite une bonne journée et je laisserais mon numéro à Ali si tu veux des nouvelles ! », il souriait à nouveau en regardant Evangeline et lui faisant un petit signe tandis que je le regardant. « Bonne journée et j’y compte bien ! », une fois qu’il s’éloignait, je volais alors un baiser à Evangeline en souriant et restant contre ses lèvres. « Dis donc, ma fiancée fait des envieux ! », disais-je juste pour pouvoir placer le « fiancée » dans un coin et souriant doucement en prenant sa main et prenant le panier de ses mains en souriant. « Donnes, ça commence à faire lourd ! », je la fis alors tourner sur elle-même une fois que la panier était en ma possession et souriant doucement. « Je ne t’ai pas encore montré ma technique de séduction… la danse ! », je riais doucement amusé en la regardant et oui, c’était la petite surprise en plus du genre, j’adorais danser et surtout les danses latines mais je n’avais pas encore eu l’occasion de réellement lui montrer… bien étonnant mais c’était surtout l’occasion qui avait manquée. Je comptais bien rapidement me rattraper et j’allais alors en direction des caisses en étant assez ravis de cette rencontre qui m’assurait que je pouvais avoir confiance en elle. Une fois au caisse, j’attendais sagement que vienne notre tour dans la fil et posant les articles sur le tapis, je lui offris un joli sourire. « On mange quoi ce soir ? », je riais doucement. « Je cuisine ! », j’étais de bonne humeur et heureux, j’avais envie de lui faire plaisir. Dans ce genre de journée, j’étais… toujours taquin mais aussi disons affectueux et attentionné, je voulais faire un petit repas pour l’élu de mon cœur et j’y comptais même assez. Je rajoutais alors sur le tapis un paquet de chewing-gum en souriant et sortant ma carte en m’arrêtant de toute activité pendant que la fil diminuait pour l’embrasser rapidement et aller chuchoter à son oreille. « Et exclusivement ce soir, j’accepte d’être du dessert rien que pour toi ! », je souriais, un peu amusé par ma bêtise et secouant la tête avant de lever les yeux. J’étais de bonne humeur, je voulais un peu le montrer à la terre entière mais surtout à elle. C’était comme ça et pas autrement. Vous n’avez jamais eu le genre de journée ou tout ce qui comptait était de profiter de ce bonheur et oubliant juste le reste. Je voulais vivre cette journée et rapidement nous étions à notre tour pour la caisse, nous mettions donc rapidement les articles dans le sac tandis que l’heure venait de payer la note ce que je fis car c’était simplement mon tour mais aussi par ce qu’on vivait à deux et que j’étais un peu l’homme, j’avais envie de le rester. C’était un égo masculin, bonjour mais normal pour moi, surtout si nous fondions une famille. Je souriais alors en la regardant une fois les courses dans nos mains et prenant le plus lourd. « Hummmmm… on va pouvoir aller à la voiture et ensuite à la maison… », je la regardais en souriant. « Tu as des plans ? », j’étais malicieux mais elle m’avait un peu mise l’eau à la bouche avec ces chuchotements à la caisse de la boutique, je voulais savoir si j’aurais droit à une sorte de défilé et peut-être que j’en aurais même pas besoin pour craquer rapidement.
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMer 25 Avr - 9:48
Ces courses étaient nécessaires et malgré les petits jeux d’Henry, Evangeline ne regrettait pas de les avoir fait avec lui. Elle s’amusait bien malgré toutes les bêtises qu’il pouvait sortir et cela lui donnait un léger aperçu de ce que pourraient être les courses avec un mini-Henry s’il était aussi capricieux que son père. Mais il y avait une différence : elle ne pouvait pas résister avec Henry elle savait que quoi qu’il fasse ou qu’il dise elle finissait par craquer, mais pour leurs enfants elle devrait tenir bon et elle commençait à s’y entrainer dès maintenant avec leur papa. Elle ne le privait pas de quoi que ce soit, elle ne le pourrait pas de toute façon, mais elle laissait la possibilité à un refus. Et cette discussion sur ses envies la laissait un peu surprise. Henry tenait beaucoup à son sommeil c’était certain, mais delà à ne pas réaliser le moindre de ses caprices à elle ?? C’était étonnant et elle se doutait que malgré ce qu’il pourrait en dire il n’hésiterait pas longtemps à faire ses quatre volontés. Mais avant de pouvoir en arriver aux envies de femme enceinte il fallait déjà qu’elle tombe enceinte et ca n’était pas encore fait. Ils avaient tout ce qu’il fallait et toutes les chances de leurs cotés, mais il faudrait certainement travailler un minimum pour y arriver. Ils ne savaient pas précisément à quand remontait cette première grossesse et il fallait avouer qu’ils n’avaient pas vraiment été attentifs à l’éviter. Peut-être était-ce la première fois, peut-être était-ce une autre … ce qui signifiait qu’ils ne devraient certainement pas relâcher leurs efforts s’ils voulaient avoir cet enfant rapidement. Et ce n’était pas pour déplaire à la jeune femme qui mettait déjà tout en œuvre pour y parvenir. Ces tests semblaient intriguer Henry et c’était certainement la rapidité avec laquelle ils pourraient concevoir qui devait l’inquiéter, mais la jeune femme restait convaincue que tout se ferait en temps utile et elle ne put retenir un sourire en proposant qu’il s’amuse avec les derniers tests, elle se demandait quel pourrait être le résultat et il aurait été amusant qu’il y ait une réponse prévu pour les hommes qui faisaient le test. Elle ne put cependant s’empêcher de lui lancer un regard mi-amusé mi-contrarié alors qu’il parlait de les passer à Dimitri. Ca se voulait drôle et il fallait bien avouer que depuis quelques temps on pouvait se demander ce qui arrivait au jeune homme, mais delà à en arriver là. Elle se retint de lui donner une tape dans l’épaule alors qu’ils rejoignaient assez rapidement le rayon soin du corps pour ce qui semblait être le dernier détail à acheter. Et quelle ne fut pas la surprise de la jeune femme de se retrouver face à Matthew dans ce magasin. Elle doutait un peu d’elle, craignait de rêver et que ce ne soit pas lui, mais si, c’était bien lui. La discussion était assez naturelle et légère avec lui, comme à l’époque où ils se voyaient tous les jours. L’espace de quelques instants tout sembla disparaitre autour d’eux et elle eut l’impression de revenir en Italie il y a des années de cela. Jusqu’à ce qu’Henry arrive derrière elle et qu’elle se reconnecte à la réalité, se rapprochant volontairement de lui pour clarifier les choses dès le départ. Elle connaissait bien Matthew et il avait souvent tendance à s’accrocher au passé. Avant de sortir ensemble tous les deux, le jeune homme avait semblé comme obsédé par son ancienne petite amie qu’il avait tenté de récupérer bien des fois sans jamais y parvenir. Et Evangeline était toujours là pour le ramasser à la petite cuillère et c’est certainement ce qui a finit par les rapprocher. Ils étaient sortis ensemble durant quelques mois et pendant tout ce temps, la jeune femme se demandait régulièrement pourquoi leur couple marchait. Ce n’était pas vraiment un couple en réalité. Ils étaient proches comme deux amis qui couchaient ensemble de temps en temps. C’était plutôt cela leur relation et ca n’avait jamais vraiment plut à la jeune femme. C’était surtout pour cela qu’elle n’avait pas insisté pour qu’il la suive lorsqu’elle avait décidé de quitter l’Italie. Présentant rapidement les deux hommes, elle s’amusait assez de la façon dont elle parlait d’Henry. Son fiancé… C’était étrange de le dire, c’était la première fois en fait qu’elle le disait à voix haute et ca avait un coté réellement agréable qu’elle ne parvenait pas à expliquer. Devant la façon que Matthew avait de la regarder, elle préféra mettre carte sur table, n’hésitant pas vraiment à étaler son bonheur en accentuant des détails qu’il n’avait pas forcément besoin de connaitre, mais qui le ferait certainement reculer. Matthew n’avait jamais été un grand fan des engagements dans les couples et parler de mariage et d’enfant serait certainement rédhibitoire pour lui. La froideur du jeune homme avec Henry laissait bien voir qu’il était déçu qu’un autre ait prit la place et alors que son compagnon se montrait poli en tentant d’engager la conversation, son ancien ami semblait la fuir. Elle observait le jeune homme l’espace d’un instant, comprenant d’avance ce qu’il avait à l’esprit mais s’étonnant malgré tout qu’il ose le dire. Elle s’étonnait de sa façon de faire et si Alyzéah ne lui avait pas dit qu’elle était en ville pourquoi disait-il cela ? Elle ne répondit rien, regardant un peu dans le vide en réfléchissant. Aly était le seul lien qui restait entre eux, la seule à avoir gardé contact avec les deux, la seule à être suffisamment stable pour pouvoir demander et avoir des nouvelles de tout le monde. Matthew serait-il venait la voir juste pour en savoir plus sur l’endroit où elle se trouvait ? Evangeline préférait ne pas s’imaginer cela sinon sa meilleure amie allait encore se retrouver déçue et blessée dans cette histoire. Elle préféra donc laisser les garçons discuter de cette histoire et elle ne s’étonnait pas vraiment de voir son ami reculer et prendre la fuite. C’était tout à fait son genre et s’il était vraiment là pour elle, il avait perdu son temps alors autant passer rapidement à autre chose. La jeune femme ne put retenir un sourire alors qu’il parlait d’elle comme d’une perle rare et sans même s’en rendre compte, elle s’accrocha un peu plus encore à Henry. Lequel d’eux était la perle rare ? Elle n’en savait rien au fond, mais elle comptait bien suivre le conseil de son ami. Elle ne laisserait pas Henry filer et elle ne comptait pas le laisser tomber. Elle offrait un dernier sourire à son ami, avant de lui répondre en le regardant s’éloigner. « Bien sur ! Bonne journée à toi aussi. » Elle n’était pas sure que rester en contact avec lui serait une bonne chose, et elle attendrait certainement un peu pour demander des nouvelles à Aly. Elle se retournait juste vers Henry lorsqu’il s’approcha pour lui voler un baiser, la laissant là, surprise l’espace d’une seconde. Elle ne put s’empêcher de sourire en entendant Henry prononcé le mot de fiancée. C’était la première fois qu’ils se présentaient ainsi et ca faisait un peu bizarre à dire et à entendre, mais c’était tellement bon dans le fond. « Il semblerait … tu devrais peut-être faire attention alors … » Elle ne put retenir un sourire malicieux, elle le taquinait bien entendu, elle ne comptait pas le laisser filer, bien au contraire, mais l’idée de le faire douter une seconde et qu’il se pose des questions était assez amusante il fallait dire. Elle lui vola un baiser à son tour, alors qu’il prenait sa main et récupérait le panier. Elle n’était pas encore enceinte et il prenait déjà soin d’elle comme si elle l’était, qu’est-ce que ce serait lorsque ce serait le cas ? Sans vraiment réfléchir elle se laissa faire, suivant le mouvement alors qu’il la faisait tourner sur elle-même. Se retrouvant finalement face à lui, elle restait un peu surprise à propos de cette histoire de danse. « Ah ? Tu danses ? Tu n’as pas eut besoin de ca pour me séduire pourtant. » Elle ne doutait pas qu’il sache danser, mais il était vrai qu’ils n’avaient pas eut l’occasion de tenter cela ensemble. Surtout qu’elle ne savait pas et n’aimait pas danser. Elle préférait malgré tout taire ce détail encore quelque temps, attendant de voir comment lui se débrouillait. Les deux jeunes gens prirent assez rapidement la direction des caisses y patientant pour payer leurs courses et une fois les articles posés sur le tapis, Henry posa une question intéressante. Il faudrait bien manger, mais la question était quoi. Elle l’observait l’espace d’un instant alors qu’il parlait de s’en occuper. « Tu cuisines donc c’est à moi de proposer c’est ca ? » Elle sourit légèrement, ce n’était pas forcément une mauvaise chose, mais sur l’instant elle ne savait pas ce qui pourrait lui faire envie. Elle réfléchissait encore à tout cela, tentant de faire un menu un minimum équilibré tout de même, lorsqu’Henry se rapprocha pour lui chuchoter son idée pour le dessert. Elle ne put s’empêcher de jouer avec sa lèvre inférieure en s’amusant de ce qu’il venait de proposer. Le regardant dans les yeux, elle ne put s’empêcher de sourire avant de murmurer face à lui. « Intéressant … Mais quel serait ton dessert à toi ? » Il ne serait certainement pas en reste s’ils repartaient sur un dessert de ce genre et il était certain qu’il ne resterait pas là à attendre que les choses se fassent, ce n’était surement pas son genre, mais parler de celui lui donnait des idées et elle n’était pas sure de réussir à attendre jusqu’à ce soir. Le sujet en resta là pour l’instant alors qu’ils passaient enfin pour payer leurs achats et prendre ensuite la direction du parking. La journée avait été particulière il fallait bien l’avouer et elle avait hâte de pouvoir retrouver la villa et se poser un peu pour réaliser enfin tout ce qu’il venait de se passer. Ils étaient en route pour la voiture qu’Henry demandait si elle avait des plans. Elle prit une seconde pour réfléchir en l’observant, elle n’avait pas forcément eut quoi que ce soit de spécial à l’esprit, mais elle sentait bien que lui avait une idée en tête. « Aurais-tu des idées par hasard ? » Elle se doutait bien que ce qu’elle avait put dire finirait par ressortir et ca l’amusait beaucoup. Elle avait bien envie de le faire attendre un peu malgré tout. Se décidant à parler une fois arrivés à la voiture, elle lança l’idée qu’elle pensait qu’il avait déjà en tête. « Tu voudrais peut-être voir ce que j’ai acheté ? » Elle montra rapidement le sac avant de le déposer dans la voiture avec le reste des courses, voler un baiser au jeune homme et d’aller rejoindre son coté de la voiture. « Il va falloir attendre encore un peu … » S’amusant de la situation elle prenait un air un peu enjôleur pour lui mettre l’eau à la bouche avant même de monter dans la voiture. Et une fois assise, elle restait calme et bien trop sérieuse. Réfléchissant à comment elle pourrait faire et ce qu’elle pourrait lui montrer ou non. Le trajet de retour fut plutôt rapide et totalement silencieux, ils déchargèrent les courses de la voiture et une fois à l’intérieur tout fut posé dans la cuisine, à l’exception du sac de vêtements qu’elle laissa au pied de l’escalier. Revenant dans la cuisine pour aider Henry à ranger ses courses elle s’amusait à lui voler un baiser à chaque fois qu’ils passaient à coté l’un de l’autre. Elle s’amusait un peu et profitait de ce moment. Pouvoir se retrouver seuls tous les deux à la villa était une habitude, mais il valait mieux qu’ils en profitent car lorsqu’il y aura un bébé avec eux ce serait certainement bien différent. La jeune femme s’installa comme à son habitude se le bout du plan de travail de manière à ne pas trop déranger. « Alors que nous propose le chef pour le repas ? » Elle n’avait pas envie de quoi que ce soit en particulier et c’était généralement elle qui choisissait quoi manger alors pour une fois elle avait envie de le laisser décider. Elle le regardait tourner à la recherche de ce qu’ils pourraient manger et commencer à préparer le repas. Elle l’attira à elle avant qu’il ne se soit trop avancé dans sa préparation, l’embrassant avec tendresse, passant doucement ses mains sous le t-shirt du jeune homme et sur son torse. Elle devait avouer qu’elle avait une idée en tête, mais elle ne s’attendait pas à se laisser elle-même embarquer par ce baiser. Remontant doucement le t-shirt d’Henry elle finit par le lui enlever avec un sourire. « J’aime te regarder cuisiner alors autant joindre l’utile à l’agréable … » Elle savait que ce n’était pas idéal, mais elle aimait l’idée de profiter de la vue et du corps de son bel Apollon torse nu. Elle sourit légèrement avant de récupérer ses lèvres, se rapprochant doucement de lui et du bord du plan de travail sur lequel elle était installée. Elle savait qu’elle jouait avec le feu, mais elle s’en fichait, au contraire elle avait envie de jouer pour une fois. S’écartant finalement un peu de lui, elle regarda autour d’elle ce que le jeune homme était en train de préparer avant qu’une idée s’installe dans son esprit. « Je me charge du dessert, tiens … Des cookies, ca te dis ? » En apparence l’idée était banale et normale, mais comme à son habitude elle cachait quelque chose derrière et sentait qu’elle s’amuserait bien de la situation une fois encore. Descendant du plan de travail, elle se mit à la recherche du nécessaire pour préparer sa pâte à cookies, s’étonnant qu’Henry n’ait pas réagit plus que cela.
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M. Henry-Daniel Grayson
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✔ SURNOMS : Henry qu'il rit et qui pleure, c'est la clé du bonheur ! -sort- Tout ce que vous voulez. Marshamallow pour les intimes ou Chocolove mais encore Loveur !
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMer 25 Avr - 12:18
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » Une bonne journée ? Cela signifie quoi au fond ? L’accumulation de plusieurs petites choses, de bonnes situations et surtout d’une bonne humeur ? Peut-être. Pour moi, une bonne journée est seulement : une bonne journée. Ce n’était pas vraiment compliqué de fonctionner ainsi. Une bonne journée ? C’est tellement complexe au fond. Je n’étais pas réellement étrange… juste comme ça. La rencontre de Matthew, elle… elle était étrange mais je ne m’étonnais pas. Il était normal pour tout le monde d’avoir ce genre de situation et ce gars ? J’en avais clairement plus confiance qu’en Dimitri bizarrement. Ce qui n’est pas vraiment bon signe en sachant que j’avais confiance en Dimitri quand je l’avais rencontré. Cette fillette… Je m’amusais encore rien qu’en me rappelant les réactions du jeune Russe dans l’université pendant les dernières semaines. J’étais un peu content qu’il parte sans l’être. Pour Evangeline, ça devait être sympathique de le croiser, je ne voulais pas qu’elle fasse une croix sur son passé rien que pour moi, c’était tout simplement égoïste de ma part. Je voulais qu’elle puisse avoir bien plus d’amis que moi. Le nombre de proche que j’avais se résumait à elle et ma sœur pour l’instant ce qui n’était pas vraiment : pratique sachant que je n’avais plus vu ma sœur depuis au moins plusieurs semaines. Louches, hein ? La taquinant sur le fait que ma fiancée… ce qui entre nous était bien plus que bizarre à dire mais tellement agréable enfin je la taquinais sur le fait qu’elle faisait des jaloux ou que j’en faisais ? Enfin c’était un peu complexe à penser et je n’avais pas vraiment envie d’y penser. Je pensais seulement à ce petit mot que je venais de prononcer et souriant doucement à sa réponse en espérant vraiment qu’elle me taquine même si je ferais réellement attention tout en ayant totalement confiance mais je n’avais pas confiance en les hommes. Ne voyons déjà rien que le cinéma de Dimitri ! Really ? Cet homme était un peu dingue, presque à faire peur… enfin cet homme. C’est alors que je prenais le panier, surtout par ce que je suis plus fort et pas spécialement par ce que je prenais déjà l’habitude de porter les trucs lourds… c’était bêtement aussi pour servir à quelques choses, si j’étais là… autant lui faciliter la vie, non ? J’allais souvent faire les courses avec maman quand j’étais ados et pour surtout pouvoir porter ses affaires quand elle en avait beaucoup. C’était un peu mon habitude. J’aimais bien, ça me rappelait les courses en famille. Certes, je n’étais pas capricieux à l’époque et c’était clairement pour l’ennuyer un peu mais c’était bien amusant de penser qu’elle croirait que les courses sont toujours comme ça. En temps normal, j’y suis sérieux et peut-être de trop. Minutieux comme pour les céréales sur mon choix. Réfléchis surtout et raisonnable. Je ne prenais jamais de trop sauf pour le chocolat. Je n’aimais en fait pas jeter la marchandise mais cette autre facette de l’Henry qui fait les courses ? Elle viendrait surement avec le temps. Peut-être quand je devrais aller lui acheter des couches en urgences dans 10 mois ? Je ne devais pas y penser. Je n’étais pas encore trop préparé à ce moment. Là, j’étais prêt pour la grossesse, c’était déjà bien. Pour tout vous dire : je ne m’y connais même pas en couche culote… vous me direz qu’ils font des modèles slips aussi qu’il suffit de juste retirer pour les plus grands… je vous dirais : ah ouais ? Alors que ça fait des années que ce système existe. Enfin passons… on n’en est pas réellement encore là mais c’est dans ma tête, je n’arrête pas d’y penser. C’est clairement un gros changement et petit à petit… je tente de m’y préparer. Je l’avais alors faite tourner en riant alors qu’elle me disait que je n’en avais pas eu besoin, j’hochais bêtement la tête et simplement parce que c’est vrai. « Pas d’artifice entre nous, t’as pas eue besoin de ça ! », il est vrai que pour séduire l’autre, nous n’avions pas vraiment fais quoique ce soit. C’était totalement naturel et je n’avais pour ma part mais aussi pour la sienne… rien tenté en particulier. C’était arrivé à force de vivre au quotidien et d’apprendre à se connaitre. C’était peut-être un peu la magie que j’adorais dans notre couple… tout était arrivé tellement vite mais tellement naturellement sans vraiment que l’on le cherche sauf cette grossesse mais encore une fois… cette décision était suivie d’un élan naturel. Enfin, rapidement nous allions donc aux caisses et même très rapidement. J’y proposais alors de cuisiner en riant à sa question. « Hum hum ! », disais-je simplement à ceci en hochant la tête car après tout, je n’avais aucune idées de ce que j’allais faire, c’était un peu embêtement mais elle semblait ne pas avoir d’idées ce qui ne me surprenait pas réellement. A force que je lui demande, elle doit surement épuiser ses idées donc je me contentais de faire tourner mes méninges et trouver un truc… hors du commun tout en me proposant en dessert ce qui me fit rire quand elle me demandait si j’aurais aussi un dessert, je fronçais le nez en la regardant et lui laissant un sourire malicieux sans réellement répondre, je voulais laisser une pointe de mystère. Nous quittions alors pour aller au parking. Je me demandais déjà quelle idée j’avais eu pour lui demander si elle avait des plans. Au fond, je n’en savais rien mais j’en avais juste une petite idée. Etrange ? Sans aucuns doutes mais c’était dans ma tête puis de toute manière, je savais que de toute manière… la soirée serait des plus agréables que nous explorions ses idées ou non. J’avais envie de passer un bon moment et la clore en beauté. « Moi ? », je riais doucement en secouant la tête et souriant mais finissant par la hocher vivement en élargissant mon sourire, presque comme un gamin quand elle me demandait si je voulais voir ce qu’elle avait choisie et c’était amusant car il fallait dire que oui, je voulais le voir mais j’en rajoutais peut-être un peu beaucoup volontairement dans ma réaction. Je voulais m’amuser et je comptais bien le faire jusqu’au bout. Abattons les vilains moments, c’était une journée magnifiques et profitons des sourires et des rires qu’elle peut nous apporter, non ? Je comptais bien en profiter jusqu’au moindre moment. Mais je ne pouvais m’empêcher de faire une petite moue en l’entendant alors dire qu’il faudrait attendre un peu mais lui lançant un regard assez indescriptible sur le moment en riant. « Pas juste… », disais-je en montant en voiture et conduisant alors des plus prudemment sur le chemin. Ce fut un trajet des plus simples, concentré sur la route comme à mon habitude. Quand je conduis : rien ne peut me déranger. J’aime bien trop conduire mais j’aime aussi ne pas faire d’accident. J’étais sérieux au volant sauf quand j’ai réellement besoin de me défouler… et là, je mets les gaz pour tout dire.

Une fois rentrés, je m’occupais bien sûr de quelques sacs et rangeant au frigo tout de qui devait y aller en riant à ses baisers volés à chaque fois qu’elle passait et la regardant à chaque coup en souriant. La voleuse quand même, c’était un crime grave de voler des baisers. N’avait-elle pas honte. Je la regardais en commençant à prendre ce dont j’avais besoin et me demandant réellement ce que j’allais faire car j’improvisais : royalement. Prenant juste des légumes, des morceaux de poulets et des grosses crevettes aussi, ça serait un petit mélange de tout avec de bonnes épices mais un bon mélange. Je coupais sagement les légumes en la regardant et lui offrant un beau sourire. « La surprise du chef… », c’était aussi une surprise pour le chef après tout. Tout en continuant les légumes, je préparais une petite sauce à la saveur tomate en même temps. Il fallait bien ou sinon parfois, c’est bien trop sec. J’avais pensée à une sauce ciboulette mais non, tomate cela serait mieux et nous changerais. Pleins de couleurs grâce aux légumes. Je mettais alors les légumes dans le wok et souriait alors que je me sentais attiré vers celle-ci en me demandant ce qui m’attendait bien à ce moment-là. Je riais doucement en répondant au baiser et me laissant aller à cette tendresse. J’adorais ce genre de baiser, un peu par surprise alors que j’étais occupé mais on s’en fiche, les légumes commençait à cuire comme des grands et le poulet aussi alors, je n’avais plus réellement grand-chose à préparer enfin j’avais le temps de cuissons, disons. Je frissonnais au contact de ses mains sur ma peau et la laissant totalement faire quand elle retirait ce t-shirt en souriant. Je ne savais pas ce qu’elle avait en tête alors que je devais cuisiner mais riant en l’entendant, je fronçais les sourcils. « Ah Bon ? », bon… je n’en doutais pas réellement mais sur le moment, faire l’innocent ? C’était ce que j’avais envie de faire pour jouer un peu le jeu. « Très agréable… », je répondais alors à la reprise de ce baiser en passant mes mains de ses cuisses à son dos en la caressant sur le route et mettant un peu plus de passion dans ce baiser mais vraiment une bride. Je fis cependant une petite moue quand elle finissait par reculer, restant un peu sur ma faim en lui souriant et hochant la tête pour me déplacer et la laisser ainsi passer. « Ce n’était pas toi ? Zut… », je riais doucement en la regardant. « Mais des cookies seraient parfaits ! », j’étais bien doué pour préparer les cookies mais la laisser faire me changerait un peu même si ma pâte valait de l’or. Je me souvenais sur le moment de notre rencontre quand je la vis utiliser la farine et la regardant en souriant, approchant pour aller poser un baiser dans son cou. « Prends soin de cette farine, elle est très importante à mes yeux ! », je ne savais pas si elle comprendrait ce que je voulais dire par là mais c’était dit. Oui, j’étais heureux que cette farine existe même si ce n’était pas le paquet de l’époque et même pas du tout mais c’était aussi la même marque enfin je m’en régalais sur le moment. Retournant alors à mes cuissons, je tournais dans le wok en découvrant la préparation. Punaise, ça sentait bon les légumes. Je suis vraiment un amateur de produit primeur, dis donc. On m’aurait dit qu’il était possible d’adorer les légumes et le chocolat, je n’y aurais pas crue mais en fait, j’aime les deux. C’est un peu dingue à se dire car ils sont un peu : contraire. Revenons donc à nos moutons. Je recouvrais le tout avant d’avoir un peu retourné et rajouté la sauce, je mettais à feu doux en m’approchant de la jeune femme avec un sourire un peu malicieux. Passant une main sur son haut en caressant alors son ventre pendant qu’elle s’occupait de la pâte, j’entreprenais alors de déposer plusieurs baisers dans son cou mais aussi sur son épaule. Y laissant mes lèvres la frôler en souriant, je m’appliquais un peu à la déstabiliser sur le moment et surtout pour préparer mon coup bien dingue. Je restais au moins 5 bonnes minutes comme ça en remontant même légèrement mes caresses au niveau de son soutien à gorge et riant un peu dans son cou de la situation. J’étais vraiment intenable, un petit monstre en puissance mais je n’allais pas dire le contraire : la situation m’amusait plus qu’autres choses. J’étais une vraie saloperie. Je me collais un peu plus à son tour en allant chuchoter à son oreille. « J’adore te voir préparer des cookies… » y murmurais-je donc avec un air assez malicieux dans la voix. Je prenais alors discrètement en profitant d’une seconde d’inattention… la cuillère en bois pleine de pâte à cookies sans vraiment qu’elle ne le regarde et entreprenant au possible de la déstabiliser encore plus en allant l’embrasser dans le cou et continuant mes caresses pour finir par étaler de la pâtes sur ses joues et reculer rapidement en la lâchant comme un petit con qui venait de le faire exprès. « Ahah… », je riais doucement en la regardant et souriant. « Cookies à l’Evangeline ! », je ne pouvais pas réellement m’empêcher de rire et me cachant un peu d’instinct en souriant. « Ou Evangeline aux cookies… comme tu veux mon ange ! », je la regardais alors en souriant, fière de mon cou, petit con que je suis. J’étais ravie de l’avoir déstabiliser juste pour ce petit manège. Même si j’étais encore plus ravie de ce petit jeu pour la déstabiliser que de lui avoir étalé de la pâte sur la joue car au fond c’était agréable. Je m’attendais à ce qu’elle se venge.
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMer 25 Avr - 13:58
La journée s’annonçait assez tranquille à son commencement. Le rendez-vous avec le médecin, une virée course et rentrer à la villa. Mais tout semblait plus amusant au fil des minutes. Tout s’était bien passé et ils semblaient trouver à chaque seconde un nouveau jeu à mettre en place pour profiter encore plus du fait d’être ensemble et de cette journée. Sans que ca paraisse cette journée allait finalement être un véritable far dans leur relation. C’est le jour où une bonne nouvelle a tout changé. Enfin tout, pas totalement, mais suffisamment pour que les choses évoluent à l’avenir et que tout semble soudain plus facile pour eux. Ils avaient l’accord des médecins pour avoir un enfant et c’était tout ce qui semblait compter à cet instant. C’était presque tout ce qui restait dans l’esprit de la jeune femme à cet instant. Cette envie de fonder une famille devenait bizarrement tellement forte ces derniers jours que rien d’autre ne semblait compter pour elle. Elle ne parvenait plus vraiment à se comporter normalement et à ne pas se focaliser sur ce détail, et encore plus maintenant que toutes les cartes étaient de leur coté et que c’était d’eux que tout dépendait. C’était une grosse responsabilité, mais finalement pas beaucoup plus que celle de se décider à avoir un enfant. Rien que la décision était une responsabilité, et elle était prête à le prendre à présent. Il n’était donc pas très étonnant qu’elle se laisse emporter par le moindre baiser et qu’elle s’amuse à le taquiner elle aussi. Ils n’avaient jamais vraiment eut besoin de quoi que ce soit pour se séduire, tout était venu naturellement, ils se comportaient normalement, sans artifice et ca leur avait plutôt bien réussit jusqu’à présent. Parfois bien entendu il peut être amusant, pour mettre un peu de piment d’utiliser des accessoires ou des petits détails un peu superflus, mais ils n’avaient pas réellement besoin de cela. Le retour à la villa fut rapide et une fois sur place, Evangeline rangea une partie des courses, laissant Henry s’occuper de celles allant dans la cuisine. Elle monta par la même occasion les vêtements qu’elle avait achetés avant de redescendre pour aider son compagnon à finir de ranger et à préparer la cuisine. Elle s’amusait bien, à tenter de le déconcentrer en lui volant des baisers dès qu’elle le pouvait, mais ca ne semblait pas réellement le déranger. Elle n’avait pas encore excessivement faim, mais elle devait manger, elle le savait et laissait alors à Henry le choix du repas. Et visiblement même lui ne savait pas vraiment ce qu’il allait faire. Généralement c’était elle qui donnait les idées et elle trouvait toujours quelque chose de différent, mais ca faisait quelques fois qu’elle avait plus de mal et qu’elle ne parvenait pas à savoir quoi faire ou proposer, alors pour une fois ce serait à lui de se creuser les méninges. Voyant qu’il avançait bien et que les aliments n’avaient plus vraiment besoin de lui pour cuire, elle l’attira à elle, le distrayant un peu et s’amusant par la même occasion. Elle avait envie de profiter de la situation et voyant qu’Henry ne résistait pas alors qu’elle lui retirait son t-shirt elle ne put que sourire. Ca ne le dérangeait visiblement pas et elle comptait bien en profiter encore un peu. Son sourire s’élargit alors qu’il répondait à son baiser et elle se laissait elle-même emporter par tout cela. Elle savait que si elle restait là, le repas finirait brulé et ils resteraient là à se déconcentrer mutuellement avant que la situation ne dégénère totalement. Et même si l’idée était tentante, elle savait qu’il ne fallait pas trop abuser pour l’instant. Elle proposa alors de préparer des cookies, convaincue que cela l’occuperait un petit moment et espérant qu’elle parviendrait à ne pas se laisser trop déconcentrer. Après tout c’était elle qui avait commencé et elle se doutait que le jeu ne s’arrêterait pas là. Elle prit assez rapidement ses distances, sachant qu’elle craquerait s’ils restaient ainsi et riant doucement à sa remarque. Bien entendu l’idée était tentante, mais dans ce genre de situation il fallait bien avouer qu’ils éliminaient plus qu’ils ne mangeaient alors autant préparer un vrai dessert avant de se remettre au sport. Récupérant alors ce qu’il fallait pour la faire, elle observa la farine qu’elle avait dans la main alors qu’Henry lui faisait remarquer qu’elle était importante à ses yeux. Il lui fallut un instant pour comprendre le lien avec cette farine, après tout il avait en partie raison. Sans cette histoire de farine ils ne se seraient peut-être pas rencontrés… Elle préféra ne rien répondre, l’embrassant juste une seconde avant de retourner à sa récupération d’ingrédients et qu’Henry se remette aux fourneaux. La préparation de la pâte à cookies n’était pas sa spécialité, mais elle avait envie de tenter pour une fois. Se mettant à la préparation, elle tentait de se rappeler comment elle avait apprit à les préparer. C’était une femme au village qui avait l’habitude d’en faire pour les enfants. Elle avait à peine dix ans lorsqu’elle en avait fait avec elle la première fois et il y avait des astuces que personne ne peut connaitre. C’était une recette un peu particulière qu’elle hésitait toujours à faire car ca pouvait parfois s’avérer compliqué à réaliser correctement. Elle était attentivement plongée là dedans, ne se préoccupant pas vraiment d’où en était Henry sur l’instant et c’était là son erreur. Elle ne réagissait pas vraiment en le sentant se placer derrière elle et glisser une main sur son ventre. Elle faisait en sorte de rester tranquille et concentrée, mais cela s’avérait plus difficile que prévu avec Henry qui faisait des siennes derrière elle. Elle avait un peu de mal à se souvenir de ce qu’elle avait fait et devait encore faire, mais elle tenait bon pour l’instant et encore durant quelques minutes et ca malgré les caresses et les baisers d’Henry. Elle avait envie d’en profiter mais elle savait comment cela se terminerait et sur l’instant elle voulait terminer ce qu’elle était en train de faire. Elle serrait les dents pour ne pas se retourner et lui sauter dessus, là tout de suite. Et plus il se rapprochait plus elle avait du mal à tenir. Elle sourit doucement alors qu’il disait qu’il aimait la voire préparer des cookies et elle ne put s’empêcher de répondre. « Mais ils risquent d’être loupés si tu continues comme ca. » Il était prévenu. Si elle ne pouvait pas se concentrer et faire les choses correctement ses cookies seraient communs et elle serait déçue. Mais elle ne précisait pas tout ca et c’était peut-être là une erreur. Elle ne fit pas réellement attention à ce qu’il faisait, tentant de se concentrer à nouveau sur ce qu’elle faisait et vérifiant les doses qu’elle avait préparé. Elle remarqua trop tard qu’il s’était emparé de la cuillère qui se trouvait dans le plat et était bien entendu plein de pate. Le temps de réagir et elle se retrouvait à en avoir partout sur la figure. « Qu’est-ce que … Non ! » Elle le regarda sérieusement et légèrement agacée sur le coup. Il était certain qu’il voulait s’amuser et peut-être se venger, elle avait lancé les choses alors pourquoi reculer … Mais là ce petit jeu ne l’amusait qu’à moitié. Pourquoi étrangement être la victime des jeux des autres était moins amusant que d’être celui qui décide du jeu ? C’était toujours ainsi. Evangeline aimait jouer c’était certain, mais être la victime de ces propres jeux n’étaient jamais totalement plaisant. Alors une chose était sur elle comptait bien se venger. « T’es vraiment pas possible hein ! » Elle l’observait alors qu’il se cachait tant bien que mal entre le frigo et le mur. Il était pris au piège là et si elle voulait elle pourrait lui retourner la pareille sans difficulté. Mais ce n’était pas le but, elle ne voulait pas jouer comme ca. Elle vida les restes de farine et de lait dans son récipient les mélangeant un peu avec la cuillère qu’elle avait récupéré, profitant du fait qu’il ne puisse pas la voir pour préparer l’offensive. Elle le surveillait du coin de l’œil gardant la main sur le saladier où elle préparait un petit rab de pâte pour jouer jusqu’au bout. Faisant mine d’avoir la bouche pleine et d’avoir gouté la pâte, elle tenta une première solution pour le faire sortir de son trou. « C’est bête, elle est plutôt bonne cette pâte … tu veux vraiment pas y gouter ? » Elle se doutait que ce serait bien trop simple et qu’il ne se laisserait pas avoir par si peu. Vérifiant que sa pate était à la fois assez collante et assez solide pour avoir l’effet escompté, elle en prit une poignée dans chaque main, s’approchant doucement de la cachette d’Henry avant de faire mine de se débarrasser de la pate qu’il lui avait collé sur la figure. Avant de pousser un soupir à la fois résigné et surpris, jouant le jeu jusqu’au bout.
« Non ! C’est malin j’en ai partout moi … comment tu as put de débrouiller pour que j’en ai là aussi ? » Elle fit volontairement tomber un peu de pate sèche dans le champs de vision du jeune homme pour le pousser à sortir et une fois qu’il fut enfin devant elle, elle s’en donna à cœur joie. Etalant la pate qu’elle avait dans une main sur le torse du jeune homme et l’autre partant de sa joue et descendant dans son cou. « Je suis sure qu’elle sera bien meilleure comme ca … » Elle ne put s’empêcher de rire, tentant d’ôter ce qu’il lui restait de pate sur les mains en y goutant. Ce n’était que de la farine et du lait, mais c’était déjà un bon mélange. Bien loin du résultat final qui ne serait certainement pas pour cette fois. Elle était assez contente d’elle, finissant par ajouter une précision qui la faisait bien rire. « Après tout, je croyais que c’était toi le dessert … » C’était bien la proposition qu’il avait fait dans le magasin : être le dessert. Elle n’avait fait que prolonger son idée en le badigeonnant de pate à cookie. Levant les mains en signe de reddition, elle espérait que le petit jeu se terminerait là, mais elle se doutait qu’Henry n’en resterait pas là et qu’il relancerait les choses une fois de plus.
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMer 25 Avr - 16:19
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » La provocation ? Un peu de séduction ? Elle avait commencée dès l’instant où elle avait posé les mains sous mon t-shirt. Les frissons qu’elle me provoquait à chaque fois que ses mains touchaient seulement ma peau étaient indéfinissables. Il n’y existait tout bêtement aucuns mots pour les expliquer. Il suffisait réellement d’un rien pour les provoquer mais là, elle m’avait un peu provoquée avec e baisé et je me devais d’y répondre. Comment ? Alors que je lançais la cuisson définitive du repas, je me demandais comment. La voyant alors s’occuper des cookies, je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’elle était belle, c’était bête ? Non, simplement ce que je pensais. Sur le moment, dans des gestes encore tout bête du quotidien, je pensais qu’elle était juste magnifiques même avec un peu de farine sur la joue ce qui me donnait alors cette belle idée. Je m’approchais alors discrètement et peut-être de trop en allant derrière elle et m’autorisant à mon tour de la provoquer un peu mais avec bien sûr : une idée derrière la tête. De caresses et baisers pas des plus sages… Je tente de la déconcentrer au possible et laissant durer alors que je voyais qu’elle tenait réellement bon mais ne pouvant m’empêcher de rire quand elle rajoutait risquer de louper cette pâte ce qui me fit au final sourire dans son cou et froncer le nez en la frôlant de mes lèvres. « Hum hum… », je restais évasif en préparant alors mon mauvais coup. J’étais vraiment dingue et je savais qu’elle ne serait pas amusée sur le coup, je commençais à la connaitre mais ce petit jeu m’amusait réellement sur le moment. C’était alors que je lui étalais la pâte sur sa joue en riant doucement et la regardant rapidement en l’entendant avant d’aller me planquer dans mon coin et restant discret mais parlant aussi donc il n’était pas bien compliqué de trouver ma cachette. Je savais que de toute manière, elle n’aurait pas vraiment une chance manquée pour me rendre l’appareil… sachant que c’était le jeu, ma petite Lucette mais me cacher faisait malgré tout parti du jeu pour lui rendre la tâche plus difficile. Nous étions de vrais enfants, vraiment enfin surtout moi mais j’adorais ça. Je restais sage dans mon coin en attendant qu’elle arriver et l’entendant aussi faire des trucs de son côté avec des potes, de la farine et tout en voyant son ombre bouger, je me retenais de rire enfin non pas longtemps car je riais en me disant que j’étais un vrai petit con sur le moment et que je méritais cruellement qu’elle ne se venge. J’adorais réellement me cacher et pourtant je commençais à me demander si elle ne continuait pas sa pâte en me laissant me cacher comme un idiot. Ben voui, elle aurait bien plus me laisser jouer tout seul mais non, ce n’était pas normal. Je savais qu’elle allait trouver un truc pour se venger et je doutais de cette vengeance qui commençait à refroidir surement dans sa tête. Après tout : la vengeance est un plat qui se mange : froid. Je me trompe ? Je n’étais vraiment pas possible, elle avait raison après tout mais je ne pouvais pas m’empêcher de l’être. C’était comme ça, j’étais un vrai dingue mais surtout dingue d’elle. Autant profiter de ce genre de jeu car une fois enceinte ou même quand nous aurions des enfants, nous pourrions moins faire les gamins et nous devrions montrer une image : adultes. Pour moi, c’est un peu mal parti mais l’embarquer dans mes conneries en ce moment était un peu amusant. Je riais en l’entendant me dire que la pâte était bonne et me disant qu’elle me cherchait ? Je me disais ça, oui. « Sans façon, chérie ! », disais-je alors en souriant et secouant la tête en me demandant ce qu’elle préparait et si j’allais devoir rester cacher encore longtemps car ce n’était pas ça mais c’était loin d’être pratique de se planquer. Le fait qu’elle soupire et approche, je savais qu’elle n’était pas loin en voyant son ombre… se dessiner un peu plus ce qui m’amusait et je me doutais que le plan allait bientôt être lancé. L’entendant alors râler enfin faire mine, je riais en fronçant les sourcils et tentant de sortir de ma cachette juste pour voir ou elle en avait et souriant. « Je peux m’en occuper, si… », c’est alors qu’elle m’étalait de la pâte sur le torse et la joue que j’en restais bouché bée en la regardant et faisant une moue. « C’est malin, je suis tout sale maintenant ! », disais-je un peu comme l’enfant qui n’aimait pas vraiment être sale après se rouler dans la boue mais qui pourtant le faisait à chaque fois comme s’il oubliait toujours l’effet que s’y rouler pouvait faire. Je riais alors en la regardant dire que c’était meilleur et souriant doucement. « Oh… la chipie ! », disais-je alors en français sur le moment. Des petites expressions françaises et des mots parfois me revenaient naturellement quand je ne pensais pas réellement sur l’instant. C’était presque comme ça. Je la voyais alors gouter la pâte en riant et fronçais les sourcils quand elle disait que j’étais le dessert, approchant alors en regardant ses mains se lever et riant doucement. « Oh.. tu sais quoi ? Le dessert à curieusement envie d’être collant. », je savais qu’il fallait bien sûr que je finisse par l’attraper et donc c’était que j’entrepris mais était bien plus rapide et plus grand aussi, ce n’était pas compliqué. Rapidement, je pu attraper sa taille par surprise et l’attirer à moi. Plaquant de pâte, j’approchais dangereusement en prenant ses mains dans les miennes et les passants autour de ma taille en riant et me collant à elle. La regardant dans les yeux, je souriais doucement. « On fait quoi maintenant, mademoiselle ? Toute plaquée… contre monsieur cookie ! », je souriais en fronçant les sourcils et allant mordiller ses lèvres. « J’ai bien envie de gouter aussi à mon dessert… », je n’avais après tout pas dit ce que serait mon dessert, je me trompe ? Je m’en amusais alors en l’embrassant alors avec passion et la faisant reculer vers le plan de travail en la soulevant pour l’y assoir mais bien sûr, pas bien loin du plat de cookies. Tentant de jouer encore la carte de la séduction et surtout faire comme si nous arrêtions de jouer ce qui était un peu le gars aussi même si j’avais une petite finale dans ma tête. Je prolongeais le baiser en passant ses jambes autour de moi et l’embrassant avec de plus en plus d’ardeur, me perdant même dans ce baiser dans réellement m’en rendre compte, je commençais même à en oubliant la pâte et la serrant un peu contre moi en passant mes mains sous son haut et le remontant progressivement pour finir par lui retirer une fois que je rompis le baiser juste pour ce laps de temps et les reprenant aussitôt avec autant d’ardeur si même plus. Je n’étais plus réellement connecté avec le jeu pendant un brève instant descendant mes baisers à son cou en partant de sa joue, je pus gouter à la pâte à cookies au milieu d’un baiser des plus enflammés contre sa peau ce qui me fit afficher un petit sourire malicieux en coin tandis que je partais à son cou, continuant mes baisers et tentant encore plus que la première fois de la déconnectée tandis que l’un de mes mains partaient vers la pâte pour en prendre une poignée et venir s’étaler d’abord dans son dos et terminer le long de son bras tandis que je quittais son cou en reculant et souriant doucement. « Vengeance… », je revenais alors à ses lèvres en souriant et la regardant avec un brin de tendresse avant de rire. « Ce n’est pas grave, on ira prendre une douche… hein ? », je fis une moue en la regardant sans fuir et déposant un baiser sur ses lèvres en allant caresser ses cuisses du peu de pâte qu’il me restait et souriant doucement en la regardant. « Tu plaques ! », je riais doucement en l’approchant et la serrant contre moi sans même la laisser filer ou filer aussi. Je ne voulais pas trop la lâcher sur le moment et caressant son dos en contournant la pâte, je souriais doucement en la regardant dans les yeux et jouant un peu avec ses lèvres. « Je t’aime mon petit cookie ! », je lui disais ces mots en français, dessinant un sourire sur mes lèvres tandis que mes mains allaient explorer ses hanches et qu’un sourire s’affichait. « A la douche ? », disais-je juste en l’embrassant avec passion et revenant progressivement à cette ardeur tout en la gardant contre moi, trop tard, je ne pouvais plus la lâcher. Pour finir, je n’avais même pas envie de monter à la douche, là, tout de suite… je la portais alors en m’abaissant pour poser un genou à terre et la posant alors sur le sol en lui souriant. C’était peut-être une erreur de la lâcher à ce moment-là car elle pourrait fuir ou continuer sur les raisons qui m’avaient donnée l’envie de la poser sur le sol mais je n’avais pas réfléchi sur le moment… Je priais alors secrètement à mon tour.
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Evangeline Z. G. Grayson
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMer 25 Avr - 17:41
Tout cela devenait du grand n’importe quoi. Ils avaient passé la journée à se provoquer l’un l’autre en quelque sorte et ca ne semblait pas terminé du tout. Evangeline pensait que la soirée serait bien plus calme, mais elle réalisait rapidement qu’elle avait eut tout faux et qu’Henry n’était visiblement pas décidé à passer une soirée tranquille. La préparation du repas avançait tranquillement, mais il fallait bien que les choses dérapent et ils ne pouvaient pas rester tranquilles très longtemps. La jeune femme ne comprit pas tout de suite ce qu’il pouvait avoir en tête. Elle se laissait gentiment faire au départ, ne réalisant que trop tard ce que son compagnon avait en tête et ne parvenant pas à l’en empêcher. Il aimait jouer et elle le savait, elle aimait cela aussi en général, mais jouer avec la nourriture n’était pas son fort. Quand on voit que des gens meurent de faim partout dans le monde, eux étaient là à gaspiller ce qui aurait put suffire à ces personnes là. Bien entendu sur l’instant elle n’y pensait pas vraiment et imaginait donc plus rapidement la vengeance qu’elle allait lancer. Préparant un peu de pate supplémentaire ou plutôt mettant les fonds de doses qu’elle avait prévu pour avoir un peu plus de matière, elle préparait déjà la contre attaque et elle savait qu’il tomberait facilement dans le panneau si elle utilisait un peu ses charmes. Mais elle n’avait même pas besoin qu’il la voit finalement. Il lui avait suffit de parler et de laisser penser qu’il pouvait en avoir dans des endroits intéressants pour qu’il sorte de sa cachette et qu’elle puisse avoir sa revanche. Il n’eut même pas le temps de voir venir le piège qu’il tombait direct dedans. Elle savait qu’ils n’étaient pas à égalité, qu’il trouverait le moyen de se venger à son tour et qu’elle se retrouve couverte aussi de pate, mais elle n’en avait pas peur, convaincue qu’elle parviendrait à l’arrêter avant qu’il ait put faire quoi que ce soit. Elle s’amusait bien de la situation, restant quelque peu à distance comme pour rester en sécurité. Elle regardait Henry en souriant, un peu surprise de l’entendre parler en français. Ce n’était pas courant et à vrai dire ca n’était jamais arrivé jusqu’à présent. Mais après tout c’était sa langue maternelle alors ca n’aurait pas dut être plus étonnant que cela. Reprenant alors le cours de la situation, elle gouta légèrement la pate, rien de bien formidable, mais la façon de faire comptait beaucoup sur l’instant. Et elle ne fut pas très étonnée de la réaction d’Henry. Elle recula légèrement alors qu’il parlait de devenir collant. « Tu ferais pas ca qu’en même ? » Elle se doutait bien que si et que c’était le but, mais elle tenta de lui échapper, en vain étant finalement bloquée dans la cuisine, Henry se trouvant le plus proche de la sortie. Mais il fallait bien avouer qu’elle se laissait un peu faire alors qu’il l’attrapait et ne luttant pas non plus alors qu’il faisait en sorte que ses mains se retrouvent autour de la taille du jeune homme. Se débattre n’aurait pas été réellement amusant et à cet instant, si proche de lui, elle n’avait plus totalement envie de jouer. L’observant l’espace d’un instant, elle dut se retenir de l’embrasser, attendant quelques instants de voir ce qu’il décidait de faire. Elle restait bien plus sérieuse alors qu’il demandait quoi faire. « Une idée ? » Elle se doutait bien qu’il en avait une même si elle ne savait pas vraiment ce qu’il avait en tête et qu’elle craignait qu’ils ne pensent pas à la même chose. Mais visiblement il se laissa tenter l’espace d’un instant au moins et la tentation devint alors plus forte que le reste. Elle restait un peu figée, surprise par la passion qu’il mit dans ce baiser et ne sachant plus si le jeu était terminé ou si c’était encore une diversion. Elle se laissait faire, reculant sans vraiment faire attention à ce qui l’entourait et se laissant emporter une fois de plus par ce baiser. Le jeu était terminé pour elle et elle n’avait plus envie que d’une chose : profiter de cet instant au maximum. Ils n’avaient pas put profiter de l’après dans la cabine d’essayage un peu plus tôt, alors autant faire en sorte d’inverser la tendance dès à présent. Se retrouvant finalement installée sur le plan de travail, elle n’était qu’à moitié assise, se plaquant au maximum contre Henry qu’elle ne voulait plus lâcher. Cet instant semblait parfait et elle voulait qu’il se prolonge encore même si elle se doutait qu’elle ne resterait pas sage et raisonnable bien longtemps. Surtout lorsqu’il entreprit des baisers plus forts que les précédents et qu’elle sentit ses mains contre sa peau. Elle ne put retenir un sourire alors qu’il quittait ses lèvres pour lui retirer son haut, se rapprochant et les reprenant aussi tôt fait pour ne rien manque de ce baiser. Elle perdait progressivement pied et savait que les choses ne resteraient pas raisonnables bien longtemps. Henry avait rapidement appris ce qui la faisait craquer et il en jouait beaucoup, bien trop même à présent et elle ne savait plus comment lui résister alors. Elle ne remarquait rien alors qu’il descendait vers son cou et en même temps vers le bol de pate. Elle se laissait porter par l’instant, revenant un peu brutalement à la réalité en sentant la main d’Henry se poser dans son dos. Mais ce n’était pas sa main chaude, mais plutôt une substance un peu trop collante à son gout et elle comprit alors qu’il avait réussit son coup et qu’elle se retrouvait à son tour avec de la pate partout. « Pas encore. » Elle tenta légèrement de s’échapper, ayant perdu l’envie de continuer de jouer, quel que soit le jeu en fait. Elle n’aimait pas perdre et le fait qu’il utilise ses faiblesses contre elle ne lui plaisait pas du tout. Et alors qu’elle se sentait gênée de la situation et qu’elle pensait y mettre fin, son regard tomba sur celui d’Henry et elle oublia tout cela en l’espace d’une seconde. Elle n’était certes plus tout à fait dans le même état d’esprit que tout à l’heure, mais elle ne parvenait plus non plus à lui en vouloir. Elle le détailla l’espace d’un instant avant de regarder l’ampleur des dégâts chez elle. « Je crois que ca va être obligatoire. » Il était certain que sans cela ils allaient avoir quelques problèmes c’était certain. Mais sur l’instant elle ne savait plus trop quoi faire. Restant là face à Henry, les mains gentiment posées entre eux pour l’instant, elle ne savait plus sur quel pied danser et si le jeu était finalement terminé ou non. Elle avait un peu l’impression de s’être pris une douche froide même si en fin de compte il ne lui faudrait pas grand chose pour repartir. Elle répondit doucement à ce baiser, ne sachant pas vraiment ce qu’il cherchait à faire et le regardant l’espace d’un instant alors qu’il se plaignait qu’elle colle. « Ca c’est ta faute. » C’était lui qui avait commencé le jeu et c’était finalement lui qui en avait sur le torse et qui collait le plus. Certes c’était elle qui lui avait étalé cette portion de pate, mais il l’avait cherché et ce n’était qu’une vengeance. Elle se laissa faire alors qu’il la serrait contre lui, le regardant sans trop savoir quelle serait la suite des évènements. Elle sourit en l’entendant parler une nouvelle fois en français. Elle avait déjà entendu beaucoup de monde parler différentes langues, mais certaines langues, parlées d’une certaine façon et par certaines personnes donnaient des réactions différentes. Elle tenta alors à son tour de répondre dans sa langue. « Je t’aime. » Elle s’entendit parler, se rendant rapidement compte que l’effet était très différent de celui produit par Henry. « Ca fait beaucoup moins romantique en russe alors … te quiero. » Elle aurait bien put le dire en italien, mais sur l’instant ce n’était pas tout à fait l’effet qu’elle voulait produire et elle savait que « te quiero » ne signifiait pas tout à fait je t’aime, mais plus je te veux. Elle s’amusait un peu de la légère différence sur l’instant. Le regardant dans les yeux, elle eut à peine le temps de réagir à sa proposition d’aller à la douche qu’il reprenait déjà ses lèvres. Ce baiser n’était plus tout à fait comme le précédent, mais il en prenait bien le chemin, redevenant de ces baisers intenses qu’elle aimait et dont elle ne parvenait plus à se lasser et à se détacher. Elle n’avait plus la moindre envie de le laisser s’éloigner ou de reprendre ces petits jeux avec la pate à cookies. Elle restait sur ses gardes quelques instants avant de réaliser que cette fois il était tout à ce baiser et à cette étreinte. Elle se laissa faire, s’accrochant à lui lorsqu’il sa souleva du plan de travail et fut surprise de remarquer qu’il n’avançait pas. Il avait parlé d’aller prendre une douche et c’était en grande partie ce à quoi elle s’attendait. Mais ce n’était pas ce qu’il fit. Elle ne tentait pas vraiment de comprendre pour autant, peut-être avait-il juste une autre idée en tête et il suffit de peu pour qu’elle comprenne qu’il ne comptait pas attendre d’arriver sous la douche. Elle sourit alors qu’il la déposait au sol, ne tentant pas de profiter de l’occasion pour s’échapper, n’envisageant même pas l’idée et attirant au contraire Henry à elle. Ils avaient suffisamment attendu ces dernières semaines et elle n’avait plus envie d’attendre. Le sol avait beau être un peu dur et froid elle s’en fichait, elle était convaincue que ces impressions ne seraient pas si dérangeantes que cela. Et la fraicheur du carrelage lui provoqua plutôt une série de frisson, accentués un peu plus encore par l’instant et par les baisers d’Henry. Elle se laissait faire, n’opposant pas la moindre résistance à cet instant et poussant même les choses un peu plus loin et à aller plus vite. En l’espace de quelques secondes et en quelques mouvements seulement elle détacha sa jupe, le pantalon d’Henry et son soutien gorge. Elle se moquait bien de l’endroit où ils étaient, d’être couverte de pate à cookies et de tout ce qu’il pouvait y avoir d’autre de dérangeant car pour l’instant elle ne pensait à rien d’autre qu’à l’amour qu’elle ressentait pour le jeune homme et à son envie d’aller plus loin. Elle ne se montrait pas patiente et elle se doutait que cela amuserait Henry, mais sur l’instant elle ne pensait pas qu’il puisse être aussi pressé qu’elle. Terminant d’enlever tout ce qui les séparait encore en ne parvenant pas à quitter ses lèvres, elle le laissait assembler leurs corps, ne tentant même pas de retenir ses soupirs cette fois.
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M. Henry-Daniel Grayson
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I may see you, I may tell you to run
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeJeu 26 Avr - 1:24
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » Le ferais-je ? Oserais-je ? Hummmm tenter de l’attraper fut en fin de compte assez rapidement même. Je me doutais sur le moment que je n’y étais pas totalement pour quelques choses mais je m’en fichais, je l’attrapais juste et me collait à elle comme prévu. Oh oui, j’étais dingue. J’étais totalement dingue de vraiment réellement me battre avec de la pâte à cookies. Je n’étais pas vraiment du genre à jouer avec la nourriture mais nous sommes jeunes encore pour peu de temps : autant en profiter. Je me demandais alors ce que nous devions faire avec toute cette pâte mais une idée ? En avais-je une ? En fait, j’en avais des tas. J’avais des tas d’idées à l’instant et j’étais réellement dingue de cette fille car aussitôt… Je pris alors assaut de ses lèvres avec cette passion bien forte et totalement engagé sur un terrain qui était pourtant censé être bien différent. Mes lèvres étaient des plus collées aux siennes au fur et à mesure. Tout prenait une ampleur que je ne contrôlais plus par rapport à mes idées… c’était dingue, j’étais royalement perdu dans le désire. Les choses évoluaient, tout évoluait mais réellement tout. Je tentais de reprendre mon contrôle pour terminer ce que j’avais réellement prévu et alors que mes lèvres descendaient à son cou… mon coup tordu arrivait avec cette pâte… Je riais doucement et faisait une petite moue en la regardant. « Si encore… », je lui fis une petite moue, désolé de mon coup mais il fallait que je le fasse mais pourtant ça ne gâchait pas mes envies à moi cependant je me doutais un peu que pour elle, non. C’est pour ça que je me calmais le temps que nous puissions juste calmer le jeu. La regardant avec tendresse pour me faire pardonner et surtout par ce que je voulais qu’elle me pardonne mais au fond, mon regard semblait être efficace ce qui me rassurait. Je souriais quand elle disait que la douche serait obligatoire, hochant doucement la tête. Je riais doucement quand elle me disait que c’était ma faute et penchant la tête. « Désolé… », je me rapprochais alors sous le gentil français que j’employais en fronçant les sourcils à sa réponse mais riant doucement quand elle disait que c’était bien moins romantique mais moi ? Je secouais la tête. Je trouvais ça romantique simplement par ce que ça venait d’elle et de ses lèvres mais cependant, je ne pus m’empêcher de rire quand je l’entendais alors me dire les deux petits mots. Comprenant parfaitement ce qu’elle venait de dire et proposant la douche sans vraiment avoir envie d’y aller de suite donc je prenais juste ses lèvres d’abord avec tendresse et ensuite… l’embrassant avec bien plus de passions, bien plus de fougue et moins de retenue. Je prolongeais alors ce baiser en finissant par nous déplacer et aller nulle part d’autres que sur le sol. Ce sol, froid. Je m’attendais à ce qu’elle file. Je m’attendais vraiment à ce qu’elle parte en courant. Je m’attendais bêtement à ce qu’elle tente une esquive mais non, elle m’attirait à elle et j’en souriais doucement en allant chercher ses lèvres et posant mes mains en appuie de part et d’autres d’elle. Je m’attardais alors à son cou en déposant des baisers des plus enflammés sur sa peau, les descend même à son ventre, j'étais là, concentré en me disant qu’elle ne devait pas être des mieux installées. Je pensais rapidement à ce que l’on se déplace sur le canapé mais non, elle semblait bien plus entreprenante au moment où cette idée me traversait l’esprit tandis que j’avais rejoint ses lèvres. Je m’étais légèrement redressé pour la laisser s’occuper de sa jupe et caressant ses jambes pendant qu’elle semblait bien occuper à s’occuper ensuite de mon pantalon, elle semblait pressée. Cela me fit rire, elle en avait autant envie que moi ? J’aurais pu être plus pressé tellement la tension était forte sur ce coup que je ne pourrais même pas la faire patienter cette fois. J’en serais incapable. Retirant alors rapidement nos derniers sous-vêtements en tentant de rester des plus calmes sur le moment et des plus doux, caressant sa peau en même temps avant de me rapprocher d’elle et l’embrasser dans le cou avec une certaine tendresse avant de fusionner avec elle si l’on veut. Tout était dingue, l’amour que je ressentais pour elle à ce moment-là semblait même décupler que d’habitude… peut-être l’effet même du bonheur. J’étais bizarrement encore plus heureux… totalement plus heureux. Je ne savais pas à quel moment de la journée ça c’était passé mais à un moment… c’est devenu bien plus intense. Peut-être le fruit des projets ? Le fruit d’avoir entendu le fait d’être juste présenté comme son fiancé ? Beaucoup de choses étaient en train de se passer et cette lueur que je voyais… la lueur du plaisir qui arrivait à l’évolution de nos mouvements. Ses soupires que j’entendais sans m’en passer. Le regard que je portais au sien en la regardant par moment dans les yeux et l’embrassant avec une tendresse… peu croyable. C’est à force de ce mélange d’amour et de plaisir… que je touchais le septième ciel… laissant encore un peu le plaisir monter en me retenant encore un brin pour laisser encore tout ça… augmenter tandis que je m’occupais principalement de l’envoyer dans les étoiles, peut-être même toucher la lune. C’était tout ce qui comptait pour moi sur le moment… la sentir partir aussi bien loin. Et c’est là… que paf, ça fait des chocapics et les chocapics, ils se mettaient au travail… peut-être que les machines magiques arriveraient à faire le chocapics ? Le bon chocapics et celui que l’on désirait ? Peut-être pas aussi… peut-être que tout notre destin ce définissait dans la cuisine ? Peut-être qu’il était déjà défini dans la cabine d’essayage ? Je ne retenais en tout cas aucuns de mes soupirs durant ce moment et me laissant aller dans les nuages en calant la tête dans son cou et l’y embrassant avec une tendresse des plus douce, remontant mes baisers à ses lèvres en retournant un peu la situation durant un baiser des plus tendres, c’était froid mais je m’en fichais. Elle serait bien mieux sur moi que sur le sol, je prolongeais ce baiser en caressant son dos et tout ça avec tendresse, machinalement. Je fermais doucement les yeux en finissant par déposer de tendres baiser sur ses lèvres et levant une main en profitant de la proximité des plaques de cuissons pour arrêter le wok et sourire contre ses lèvres. Restant comme ça, je caressais toujours son dos et lui souriant en la regardant avec tendresse et la regardant dans les yeux. « Ignores juste qu’on se déplace ! », je souriais doucement en reprenant ses lèvres avec tendresse et sans rompre ce baiser, je me redressais en descendant juste ma main à ses genoux pour tenter de la porter et vraiment en l’embrassant, ce n’était pas gagné mais je m’en fichais un peu. Heureusement que je connaissais assez bien la maison car là, c’était un peu les yeux fermés que je la portais en montant les escaliers et ne rompant pour rien au monde ce baiser. Je souriais doucement contre ses lèvres en ouvrant la porte de la salle de bain et la regardant avec tendresse tandis que je reculais doucement pour ouvrir la porte de la douche et finir par y entrer alors qu’elle était encore dans mes bras. Toute une technique d’ailleurs et c’est alors que je souriais en la regardant. « Maintenant, c’est juste parfait. », je lâchais alors ses jambes en la posant doucement sur le sol de la douche et allumant l’eau en posant mes mains dans son cou et m’approchant pour ensuite l’embrasser avec tendresse. L’après ? Il était parfait dans la cuisine mais là, l’après ? Je voulais qu’il soit exceptionnel pour elle et quoi de mieux qu’un câlin sous une douche ? Profitant de l’eau qui coulait, je souriais à nouveau sur ses lèvres et lui offrant un baiser, le baiser magique et tendre surtout, bien plus tendre que d’habitude. Progressivement, les minutes passaient et je trouvais ça juste, fabuleux. Je ne voulais pas gâcher le moment, c’était bien trop beau comme ça. « Mademoiselle… vous gagnez un massage ! », disais-je un peu calme et zen ! Je me détachais alors doucement en prenant le gel douche et en mettant un peu sur mes mains avant de les frictionner. J’allais alors faire le contour d’elle et me placer dans son dos en déposant plusieurs petits baisers dans son cou et souriant doucement. Je commençais alors à masser son dos avec une application assez certaines et chuchotant doucement à son oreille. « Je crois que je vais adorer ça… prendre soin de toi ! », disais-je simplement en souriant moi-même à ce que je disais et pourtant ? Je n’avais pas vraiment de raisons, j’avais besoin de le dire. Je rajoutais alors en souriant. « Pendant de longues, longues, longues années et encore quand nous serons vieux et ridés ! », je riais doucement à la fin de ma phrase en rajoutant. « Pas tout de suite, bien sûr ! », j’étais prêt à le faire pendant longtemps. Je lui promettais un peu du durable sans réellement m’en rendre compte au début. Je tiendrais ma promesse surtout. Je savais que je le voulais. Je laissais durer le moment dans ce message, je ne voulais pas rompre cette tendresse que je mettais en œuvre. Je ne voulais rien rompre, je voulais lui offrir ce que nous n’avions pas eus l’occasion d’avoir après la cabine d’essayage et souriant doucement en me disant qu’il faudrait que je me lave avant d’être ridé mais qu’elle aussi, je la regardais en souriant. « Promis, ce n’est pas fini mais faut se décrotter ! Mais ensuite, je te promet de nettoyer la cuisine et finir le repas avant l'heure de manger et pouvoir ensuite etre tout à toi. Bon programme ? Des idées pour le modifier ? », j’avais encore envie d’être tendre et juste l’avoir dans mes bras mais oui, il fallait que l’on retire toute cette pate ce que je mis donc à faire en me lavant.
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✔ LA CITATION : La vie est surprenante, mais surement pas autant que l'amour, car quand il frappe tout peut changer d'un bout à l'autre, même vous. Surtout vous. On subit la vie, mais l'amour on l'attend.




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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeJeu 26 Avr - 12:13
Se bagarrer avec de la nourriture … C’était bien la première fois qu’Evangeline le faisait et même si c’était quelque peu contre ses principes et ses habitudes il fallait bien avouer que c’était amusant. A condition que ce soit elle qui ait le dessus. Elle n’aimait pas se faire attaquer et que ce soit elle la victime, mais c’était normal, tout le monde réagissait comme ca en général. Elle était un peu mauvaise perdante c’est sur, mais elle en était consciente et tentait de vaincre cela en se laissant faire malgré tout. Elle aurait bien entendu dut s’attendre à ce qu’Henry veuille se venger et qu’il le fasse même, mais pas après le baiser qu’il venait de lancer, ce n’était pas possible. En tout cas dans l’esprit de la jeune femme il n’en serait pas capable. Jusqu’à ce qu’elle réalise qu’il pouvait encore la surprendre et réagir différemment de ce qu’elle attendait. Elle l’observait sérieusement l’espace d’un instant alors qu’il semblait content de lui et faisait en même temps mine de regretter et de vouloir se faire pardonner. Elle ne tenait pas longtemps face à cette moue et il le savait à force et il en jouait bien trop. Elle devrait apprendre à mieux se contrôler et à ne plus se laisser avoir par ce genre de réaction. Et pour renforcer son charme il fallait qu’il accentue certains mots en les disant en français. C’était ses origines et il savait qu’elle parlait cette langue alors il ne profitait, mais en même temps il ne semblait pas avoir conscience de l’effet que cela pouvait produire sur elle. C’était étrangement attirant et séduisant dans sa bouche et elle avait beau savoir que c’était naturel et que c’était sa langue maternelle, elle se demandait si elle ne serait pas tombée dans ses bras plus rapidement s’il avait parlé français dès les premiers temps. Peut-être que ce n’était qu’un petit plus qui s’ajoutait à présent, qui était dut à la relation qu’ils avaient déjà tous les deux, mais elle n’était pas sure de cela. Elle ne trouvait pas que le parlé russe était aussi séduisant et elle fut peut convaincue de son je t’aime, préférant alors tenter une autre façon de le dire. Une autre façon qui eut visiblement l’effet escompté. Elle se laissa faire dans un premier temps alors qu’il revenait à l’assaut de ses lèvres. Un baiser qui ne resta pas le même bien longtemps, reprenant la piste de celui qui avait été quelques minutes plus tôt et qui semblait en fin de compte tellement différent. Ce genre de baiser qui vous transporte totalement ailleurs, à tel point que vous en oubliez tout et que vous ne prenez plus rien en compte. La fin du monde pourrait se déchainer autour de vous que vous ne vous en rendriez même pas compte. Vous avez déjà eut cette sensation ? Et bien c’était exactement celle que ressentait Evangeline avec ce baiser et lorsqu’Henry la déposa au sol. Elle le regarda l’espace d’un instant, cherchant à comprendre ce qu’il attendait avant de se rendre compte qu’il pensait qu’elle filerait. Mais elle était bien là, étrangement même et elle ne comptait pas bouger d’un pouce, enfin presque. Se redressant légèrement et attirant le jeune homme à elle, elle reprit ce baiser et relançait les choses une fois encore. Se laissant faire alors qu’il descendait ses baisers à son ventre, elle dut se retenir de l’attirer à elle une nouvelle fois pour ne plus le lâcher. Elle avait l’impression de devenir quelqu’un d’autre à cet instant. Elle était totalement différente de l’habitude. Elle qui était toujours si réfléchie, si posée, si calme, à cet instant elle ne se contrôlait plus vraiment, devenant plus sauvage dans ses baisers et plus pressée dans ses actes. Une fois de plus, ne voulant plus attendre, elle prit un peu les choses en main, s’attaquant à ôter le plus gros des vêtements qui étaient devenus superflus. Elle se montrait de moins en moins patiente et il fallait dire que les deux dernières semaines avaient été assez difficile à tenir malgré quelques douleurs encore présentes par moment. L’envie était là, présente en permanence, mais sa raison la poussait à attendre pour être sure que tout allait mieux et ne pas précipiter les choses. Et maintenant que tout était réglé, elle ne voulait plus attendre même quelques minutes. Elle avait envie de profiter de la vie et d’Henry au maximum. Elle avait envie de pouvoir en profiter autant que possible avant de tomber enceinte. Elle se demandait même quelque fois si cette idée d’avoir un enfant n’était pas un peu bête. Ils étaient jeunes, avaient encore le temps devant eux et pourraient avoir des enfants d’ici quelques années sans pour autant avoir besoin de se précipiter. Se retrouver avec un enfant risquerait de poser des problèmes dans leur couple, ils ne pourraient plus avoir de moment dans ce genre là. A cet instant elle trouvait cela dommage, n’envisageant pas encore l’idée de réussir à se passer de ces petits moments qui, même s’ils restaient encore possibles, seraient moins fréquents et certainement bien moins spontanés et fous. C’était ca le plus amusant en fait. Pouvoir se comporter comme des enfants et s’amuser sans avoir à se soucier de rien. Avec un enfant ils ne pourraient plus faire l’amour n’importe où comme aujourd’hui, ils devraient être plus sérieux et plus adultes … Et cette idée traversa l’esprit de la jeune femme pendant quelques secondes à peine. Pas suffisamment pour la faire reculer et avoir envie d’arrêter les choses. Pourquoi se priver après tout et leur philosophie du « qui vivra verra » leur réussissait plutôt bien pour l’instant, alors pourquoi en changer ? Cette fois elle n’avait plus besoin de se retenir même si elle restait tout de même assez discrète, les voisins n’avaient pas besoin de savoir ce qu’il se passait chez eux. Elle ne restait pas à rien faire, bougeant légèrement pour accentuer certaines sensations, se cambrant parfois sous l’afflue de ses mêmes sensations. Elle ne pouvait s’empêcher de réagir par moment, resserrant un peu plus leur étreinte lorsque les sensations devenaient plus fortes, l’attirant à elle parfois un peu brusquement et ne réalisant pas sur l’instant qu’elle pourrait lui faire mal. Elle ne s’inquiétait de rien sur l’instant en dehors du plaisir qu’ils pouvaient prendre tous les deux. Et même là-dessus elle n’avait pas le moindre doute et la moindre inquiétude. Elle sentait monter progressivement cette dernière vague de sensations, la meilleure, ne cherchant même pas réellement à la faire durer alors qu’Henry si. Elle ne put retenir un gémissement en atteignant le point de non retour et sentant Henry faire de même. Ils étaient réellement bien assortis … Elle avait l’impression d’être totalement ailleurs, comme portée par un nuage bien confortable qui lui faisait totalement oublier l’endroit où elle se trouvait. Elle profitait de cet instant qu’ils n’avaient pas put avoir dans la cabine d’essayage. Se détendant doucement et se laissant faire lorsqu’Henry retourna les choses pour qu’elle se retrouve dessus. Elle ne cherchait pas à avoir plus qu’un simple câlin et quelques baisers bien plus calmes. S’installant le plus confortablement, avec une main sur le torse du jeune homme, s’amusant à y faire des dessins avec ses doigts et finissant par fermer les yeux quelques instants pour juste profiter du moment. Elle ne prêtait pas réellement attention à ce qu’Henry faisait à coté, se concentrant sur ce baiser et rouvrant les yeux quelques instants avant l’entendre parler sans comprendre ce qu’il voulait dire sur l’instant. Il relança le baiser et elle perdit le fil de ses pensées, ne réfléchissant plus vraiment à ce qu’il faisait. Elle se laissait faire alors qu’il semblait se lever en la gardant dans ses bras. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, ils se trouvaient dans la douche. Elle ne parvenait pas à réaliser à quel point un simple baiser pouvait parfois vous transporter. Elle avait bien remarqué les mouvements et le fait qu’il se déplaçait, mais ca ne l’avait pas dérangé le moins du monde. Elle sourit à Henry alors qu’il la posait au sol et allumait l’eau. Il pensait visiblement à tout. Il était vrai qu’il avait parlé de prendre une douche et ca ne leur ferait pas de mal vu l’état dans lequel ils étaient, mais prolonger ce moment par une douche à deux était pour le moins intéressant et agréable. Le retour à la réalité se faisait en douceur et c’était bien plus agréable comme ca que cet après-midi dans le magasin. Ce n’était pas vraiment comparable … vraiment pas comparable … Passant ses bras autour du cou d’Henry elle s’accrochait un peu à lui de cette façon, ne voulant pas risquer qu’il s’éloigne de trop. Le moment était juste parfait et elle ne voulait pas qu’il se termine avant un moment. Elle l’observa un instant alors qu’il proposait un massage, elle ne se voyait pas refuser et le regardait faire l’espace d’un instant. Passant rapidement sous le jet d’eau, elle profitait de la chaleur qui l’entourait pour se détendre un peu plus encore alors qu’Henry se mettait à lui masser le dos. Ils n’avaient encore jamais expérimenté cela, les massages, mais l’idée était plutôt intéressante et elle la gardait à l’esprit pour plus tard. Elle se détendait progressivement, ne pouvant retenir quelques soupirs alors que ce massage lui faisait un bien fou. Elle sourit légèrement aux remarques du jeune homme. Il fallait avouer que c’était agréable de se faire chouchouter de la sorte et elle n’était pas prête de s’en lasser, elle le savait. « Je suis sure que tu sauras faire ca à merveille. Et j’espère bien pouvoir faire de même. » Elle appréciait de se retrouver au centre de l’attention de celui qu’elle aimait ce n’était pas nouveau, mais avec Henry c’était différent. Elle avait encore plus envie d’en profiter et de lui rendre la pareille. Elle ne comptait pas se laisser coucouner en permanence sans rien faire et sans lui faire profiter de ce qu’elle pouvait faire. Elle ne se rendait pas totalement compte sur l’instant du fait qu’il propose quelque chose de réellement sérieux et durable. Lorsqu’ils seraient vieux et ridés ? Mais l’idée était plus que tentante et ca ne la dérangeait pas le moins du monde. Après tout s’ils s’engageaient dans un mariage et à avoir des enfants ca serait bien pour en arriver là et pas pour se séparer dans quelques années. Ca n’était pas la vision qu’elle avait de la vie, de l’engagement et du mariage, pas du tout même. Pour elle il fallait que ce soit durable et que tout le monde fasse tout son possible pour que les choses marchent le plus longtemps. Elle se détendait tellement qu’elle aurait put s’endormir là, mais Henry réagit juste à temps, proposant de se laver correctement avant de se charger du reste. Evangeline se tourna vers le jeune homme, l’observant un instant alors qu’il proposait le programme de la soirée. Elle fit mine de réfléchir l’espace d’un instant, voyant là l’occasion parfaite de mettre son idée en place. « Ca m’a l’air parfait … Mais comme tu seras tout à moi … c’est moi qui m’occupe d’organiser l’après diner. » Elle lui vola un baiser rapide avant de récupérer le gel douche et de se mettre elle aussi au travail, tentant d’enlever la pate qui pouvait rester collée sur elle et qui commençait à sécher. Passant également dans ses cheveux pour enlever les morceaux de pates qui s’y étaient glissés et qui s’avéraient difficiles à ôter. Henry se retourna légèrement, et elle remarqua alors une trace un peu étrange au niveau de son épaule. « Qu’est-ce que tu as là ? » Croyant d’abord que c’était un peu de pate elle tenta de l’enlever avant de réaliser qu’il s’agissait d’une griffure. Regardant ses doigts l’espace d’un instant elle restait un peu surprise. Comment aurait-il put se griffer de cette façon et à cet endroits ? Réalisant doucement qu’il n’y avait qu’une possibilité, à moins bien entendu qu’il ait une autre maitresse. « C’est moi qui t’a fait ca ? Ca fait mal ? » Passant du bout des doigts dessus, craignant de lui faire mal, elle fit une légère grimace. Elle avait réussit à le mutiler sans même s’en rendre compte. Ce n’était pas bien grave à première vue et ca ne semblait pas bien méchant, mais l’idée qu’elle ait put faire ca la surprenait plus qu’autre chose. Elle resta muette le temps de passer sous le jet d’eau et se rincer correctement avant de sortir de la douche en s’enroulant dans une serviette. Le retour à la réalité s’était fait en douceur, mais cette marque, même si elle n’était pas bien méchante la dérangeait. Comment avait-elle put le griffer de cette façon sans s’en rendre compte ? Elle s’habilla rapidement, enfilant juste un débardeur et un boxer avant de retourner dans la salle de bain, retrouvant Henry qui était en train de s’habiller. Elle le laissa faire, se plaçant alors dans son dos, les bras posés sur sa taille pour prendre appui et aller déposer un baiser sur son épaule, comme pour tenter de se faire pardonner. Elle lui adressa un léger sourire, récupérant quelques petites choses dans la salle de bain avant de rejoindre la chambre avec tout cela, se retournant pour le prévenir. « Descends, j’arrive dans une minute. » Elle lui adressa un sourire un peu plus convainquant avant d’entrer dans la chambre et s’y enfermer pour préparer son idée. Elle ne comptait pas tout mettre prêt pour l’instant, attendre serait plus prudent pour certains détails comme les bougies, mais elle mettait tout en place, le plus important en tout cas, avant de rejoindre Henry en bas. « Interdiction de monter avant moi et avant que je te l’ai dit. » Elle lui vola un baiser au passage, se sentant bien mieux à l’idée de ce qu’elle préparait qu’à la vue de cette griffure. Reprenant de quoi préparer des cookies, elle s’arrêta avant d’avoir réellement commencé. Se retournant vers Henry le plus sérieusement du monde en demandant finalement. « Je peux travailler sérieusement cette fois ? Tu ne vas pas me sauter dessus encore une fois ? » Elle ne put retenir un vrai sourire avant de se mettre finalement au travail, restant concentrée sur ce qu’elle faisait pour ne pas louper ses cookies et attentive en même temps à ce que faisait le jeune homme dans son dos.
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M. Henry-Daniel Grayson
Viens demander un rang
✔ AGE : 28 ans
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I may see you, I may tell you to run
I would like to hold your little hand
Nobody safe, nobody on
How we will crawl, we will...
Send me on my way


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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeJeu 26 Avr - 13:59
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » C’était dingue la plénitude qui était dans l’air tandis que nous calmions nos esprits sous cette douche des plus tendres et calmes. Ca faisait un bien fou, se retrouver juste à deux ce qui n’était en soi pas vraiment rare mais ce qui était merveilleux était juste de pouvoir vivre ce genre de moment où l’on ne veut jamais que cela s’arrête. Pourquoi j’avais eu la brillante idée de passer de la cuisine à la douche ? Ca… je ne pourrais vous le dire, peut-être juste par ce que nous étions loin d’être tout propre avec la pâte mais par ce que je trouvais que cela pourrait être parfait, le fait qu’elle passait ses bras autour de mon cou quand nous y étions, me montrait que j’avais eu une bonne idée. Je restais des plus calme et détendu, continuant mes caresses. J’étais toujours affectueux et attentionné. Je trouvais toujours l’être un peu trop dans le passé avec Isabella qui elle ne l’était pas du tout, elle détestait ça mais ce côté chez moi pouvait enfin ressortir et j’en avais surtout envie, encore plus avec Evangeline, elle avait bien plus réussie à percer mon cœur sans même le chercher. Comment ? Quand ? Où ? Cela, je ne pourrais même pas vous le dire. Il y avait tellement de choses qui faisaient que. Tellement d’évènements aussi mais je n’étais pas spécialement le même également. Je voulais prendre soin d’elle et la chouchouter encore longtemps et même bien plus longtemps que je pourrais en être capable, je suis sure que sous état de fantômes, je pourrais. Caressant d’ailleurs toujours son dos, l’idée du massage me venait à l’esprit tandis que je m’y employais rapidement en étant des plus doux et tendre. Profitant de ses soupires pour découvrir les zones qui étaient plus tendues et avaient besoin d’être détendus en m’y attardant et souriant à chaque fois. Content de la relaxer, la soulager et rajoutant donc que j’étais ravi de m’occuper d’elle. C’était assez ridicule, je le savais mais c’était plaisant. L’entendant alors, je souriais en hochant la tête. « Tu pourras ! », disais-je juste d’un soufflement ou plus vite un murmure. Il fallait bien peu pour s’occuper de moi, il fallait même très peu. Un baiser ou juste une simple caresse me procurait un peu de bonheur ou même un sourire. Cela suffisait parfois assez pour me chouchouter et pourquoi ? J’étais du genre à me contenter de ce qu’on me donnait et en profiter comme si l’on me donnait le double ou le triple. Il était vrai que le moment était idéal et si mes mains ne commençaient pas à devenir étrange avec l’eau et se friper, j’aurais pu continuer encore bien longtemps à juste être là. Les choses étaient pourtant ainsi, il était temps que l’on se fasse tout propre. Je souriais doucement en hochant la tête et lui volant aussi un baiser après le sien avant de commencer à me laver et frottons, frottons pour être tout propre. Retirant cette pâte qui avait déjà un peu commencée à partir juste sous le jet de l’eau ce qui était bien plus pratique. Je me hâtais donc à me laver et me tournant de dos pour rincer celui-ci qui au fond, n’avait pas vraiment été touché mais c’était ainsi, je suis un peu maniaque quand cela concerne mon hygiène corporel ! Hein hein ! J’avais réellement senti cette griffure plusieurs fois mais ne m’y attardant pas réellement car je me doutais un peu de sa provenance. Cela n’était pas réellement douloureux. Enfin c’est alors que je sentis ses doigts sur mon dos que je riais doucement en la regardant par-dessus mon épaule et lui souriant. « De quoi ? », demandais-je rapidement, je n’avais pas réellement fait attention à ce dont elle parlait mais souriant doucement. « Oh… oui c’est bien ma sauvage de fiancée qui m’a fait ça ! », je secouais alors doucement la tête en lui souriant. « Je suis un dur, tu sais ? Du roc ! », disais-je en tentant de garder mon sérieux même si ça me donnait envie de rire sur le moment en la voyant et grimaçant tout de même quand elle touchait la griffe. « Enfin… sauf là ! », bon la douleur n’était point un crime, je m’en remettais déjà pour tout vous dire mais oui, ça piquait un brin. Rien de bien méchant en tout logique… une griffure en général c’était seulement superficiel enfin ça dépendait des quels. Demandez à un ours, pas sûr qu’il soit d’accord en vous griffant. Je me rinçais alors en finissant par sortir aussi et sentant bien à son silence qu’elle s’en voulait mais trouvant ça attendrissant même car au fond… ce n’était point un crime.

Une fois hors de la douche, je m’enroulais dans une serviette et souriant doucement en la voyant si peu vêtue, cela m’amusait assez. Je prenais alors un boxer et un bas de pyjama. Je souriais doucement en la voyant dans mon dos et ce baiser en la regardant par-dessus l’épaule pour répondre à son sourire, je sentais qu’il y avait un peu de pardon mais elle n’en avait pas besoin mais alors que j’allais tenter de l’attirer vers moi pour lui dire, je souriais doucement, un peu coupé de court tandis qu’elle s’occupait donc de ses quelques petites choses avait que j’entende sa requête en m’apprêtant de quitter la salle de bain. « Pas de soucis, je t’attends ! », je descendais alors avec le sourire et allant vers la cuisine en regardant un peu les dégâts, grimaçant même un brin. Je passais la main dans mes cheveux en riant doucement. « Allez Henry… fais ta petite fée du logis ! », le ménage n’était jamais réellement une corvée pour moi et je me sentais un peu coupable d’avoir commencé enfin je savais que j’étais le premier à avoir lancé le jeu et aussi que je me doutais qu’elle le relancerait ensuite. Enfin je prenais de quoi nettoyer avant de commencer et mettre le wok de nouveau à feu doux. Je nettoyais et on frotte et on frotte, souriant alors quand elle revenait et toujours en plein moment : je fais le ménage. Même un peu en musique, je chantonnais. Je fronçais les sourcils en riant en l’entendant et encore un peu cela attisait ma curiosité et me donnait encore plus envie de monter en haut mais son baiser volé mais fit sourire et hocher la tête. « D’accord, mon maitre ! », disais-je un peu amusé de la situation car là, c’était elle qui était le maitre du couple, cela m’éclatait. Je n’étais pas réellement un macho en général même si parfois pour rire… il m’arrivait de l’être mais c’était surtout pour m’amuser, jamais du sérieux, j’étais pour l’égalité dans le couple. Je la regardais en souriant tandis qu’elle recommençait à préparer les cookies et penchant la tête à sa question. Je levais innocemment les mains en riant. « Je n’ai rien fais et puis c’est toi qui m’a sauté dessus en première, non mais… tu m’as retiré mon pauvre t-shirt. Il n’avait rien fait ! », je préparais alors de mon côté le diner en continuant entre deux coups de nettoyer. Content que ce soit tout propre et ayant bien senti qu’elle était attentive à mes gestes, j’en souriais doucement en passant derrière elle et déposant un baiser sur son épaule. « Détends-toi ! », je posais juste mes mains sur sa taille en la regardant un peu faire et posant un baiser sur sa tempe en allant doucement chuchoter à son oreille et souriant. « C’est moi ou cette griffe te travaille un peu trop ? Tu me sembles soucieuse depuis ! », je sentais bien qu’elle était bien plus dans ses pensées depuis qu’elle l’avait vue et ce baiser dans la salle de bain n’était pas vraiment resté inaperçu ou même son silence après avoir demandée si elle faisait mal. Je commençais un peu à la connaitre et oui, parfois mon instinct de psychologue réagissait aux moindres de détails, je n’aimais pas vraiment ça. Je restai sagement juste un petit instant dans son dos en la laissant tranquillement faire et finissant par aller en direction de la gazinière quand arriva le moment. Je baissais encore un peu le feu en me retournant pour aller chercher les assiettes et les couverts dans l’armoire et souriant doucement en la regardant. « Fais pas de bêtises… je vais mettre la table ! », je riais légèrement en la regardant. Je la taquinais un peu sur le coup mais simplement sans raison, juste par ce que j’en avais envie. J’étais certes calmés et bien plus zen, moins… au garde à vous si l’on veut le dire ainsi enfin presque par ce que je reste un homme. Mais là, je voulais la taquiner en disant ça comme l’enfant que l’on laisse dans la cuisine le temps de quelques seconds. Je lui volais un baiser en passant devant elle et allant dans le salon pour déposer les assiettes sur la table et ensuite les couverts ainsi que les verres. Je m’appliquais un peu en sortant même une jolie nappe et une chandelle en parlant plus fort. « Ne sors pas de la cuisine… pas sans que je ne le dise ! », ah ah, je me vengeais un peu de la chambre et laissant alors la bougie éteinte en revenant alors que je savais pertinemment qu’elle pouvait tout voir de la cuisine mais c’était juste pour la taquiner un peu sur le moment. Je revenais au final après une bonne dizaine de minute et la regardant faire en m’appuyant contre la table. Attendant un peu qu’elle sorte de ses cookies avant tout. « Je me disais… on pourrait partir un weekend ? Les périodes froides arrivent… on pourrait aller à la montagne ? », proposais-je alors. Oui, oui, je lui proposais un petit weekend entre amoureux même si on l’était déjà ici mais j’avais envie de changer d’air un peu avec elle et puis dans un hôtel ou un chalet, c’est parfois de bonnes vacances. Je pensais sur le moment que nous le méritions un peu tous les deux après l’étape de cette fausse-couche puis il fallait en profiter des vacances avant qu’elle ne tombe enceinte et ne puisse pas prendre d’avion. Je souriais doucement, un peu content de la proposition que j’avais fait et surtout… amoureux en la regardant juste faire ses cookies et lui prenant la main au passage en l’attirant un peu à moi et passant les mains autour de sa taille en allant alors l’embrasser avec tendresse. « On le mérite, un peu de vacances… », je souriais doucement.
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Evangeline Z. G. Grayson
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeJeu 26 Avr - 16:17
Ce n’était pas la première fois qu’ils prenaient une douche ensemble, mais celle là semblait différente et elle ne laissait pas passer les mêmes choses à cet instant. Elle était tout aussi agréable, si ce n’était même plus et c’était un instant idéal pour eux pour se retrouver seul à seul et profiter tranquillement de la présence de l’autre. Mais ca c’était jusqu’à ce qu’Evangeline remarque cette griffure sur l’épaule d’Henry. Elle ne comprenait même pas comment elle avait put s’y prendre pour le griffer de la sorte et elle ne savait plus non plus comment réagir face à cela. Elle était capable de lui faire du mal sans même s’en rendre compte et c’était cette idée là qui lui restait à l’esprit alors qu’Henry lui semblait préférer en plaisanter. Elle ne pouvait pas en plaisanter, elle n’y parvenait pas et elle préférait alors sortir de la douche, laissant Henry décider s’il préférait y rester encore un peu ou non. S’enroulant dans une serviette avant de rejoindre la chambre pour s’y habiller et réfléchir un instant à ce qu’elle pourrait proposer pour l’après-diner. L’idée était déjà là et elle n’aurait pas besoin de grand chose pour la mettre en place. Il lui fallut à peine quelques minutes pour tout mettre en place, observant la pièce de la porte et étant assez contente d’elle-même si le résultat n’était pas encore total sans les lumières des bougies. Elle voulait faire en sorte que cette journée continue sur la même lancée et elle voulait faire en sorte de la rendre inoubliable. Redescendant rapidement à la cuisine, elle observait Henry l’espace d’un instant qui continuait de nettoyer. Elle hésitait à lui donner un coup de main, le connaissant bien assez lui et son coté maniaque pour préférer le laisser faire en l’avertissant que l’accès à l’étage lui était interdit sauf autorisation. Elle voulait garder sa surprise jusqu’au bout. Elle ne put s’empêcher de rire légèrement à la réponse du jeune homme. C’était amusant de le voir là, à nettoyer partout et disant mon maitre, à croire qu’il était un esclave. Cette situation lui paraissait un peu étrange, mais elle tentait de ne pas trop s’en formaliser, revenant à la réalité et se décidant à tenter une nouvelle fois de préparer des cookies. Préférant s’assurer qu’Henry ne relancerait pas les choses, elle fut un peu surprise de sa réponse. « Il était devenu dérangeant … et puis tu peux avouer que tu n’en avais pas besoin … » Elle se cherchait clairement une excuse pour se sortir de là et ne pas avoir à avouer que c’était bel et bien elle qui avait lancé les hostilités. Elle avait cherché à ce que les choses dérapent de la sorte même si ce n’était pas réellement son idée au départ. Elle avait juste voulu profiter de son compagnon quelques instants. Etait-ce si mal que ca ? Pas dans son esprit en tout cas. Elle se remettait au travail, préparant les doses sans prendre le temps de tout réfléchir, plus elle le ferait à l’instinct et plus le résultat serait proche de ce qu’elle attendait. Elle se montrait attentive à ce qu’elle faisait et en même temps elle ne pouvait s’empêcher de surveiller le moindre déplacement du jeune homme de peur qu’il relance les hostilités et qu’elle ne réagisse encore pas. Elle ajoutait une dose de lait alors qu’Henry venait se placer juste derrière elle et qu’elle stoppait tout mouvement sur le coup. Il n’allait tout de même pas recommencer ? Il venait juste de tout nettoyer de font en comble … Elle soupira alors qu’il lui disait de se détendre, c’était plus fort qu’elle, entre ca et sa petite culpabilité face à la griffure qu’elle lui avait fait, elle ne savait pas trop comment réagir et où elle en était. Elle s’arrêta l’espace d’un instant alors qu’il posait la question qu’elle redoutait quelque peu. « Non, c’est … », elle tentait de trouver une excuse, mais abandonna rapidement. « Bon, oui un peu … mais ca va passer. » Elle était un peu gênée et troublée de ce qu’elle avait put faire. Ne comprenant même pas comment elle s’était débrouillée pour faire ca. Elle soupira légèrement, tentant de s’enlever ca de la tête et de ne plus focaliser là-dessus. Elle ne voulait pas se gâcher la soirée avec une bêtise de ce genre. Au contraire elle voulait en profiter au maximum. Elle tenta de se raisonner en se disant qu’Henry était calme à présent et qu’elle pouvait travailler sans avoir à le surveiller. Elle se retourna légèrement, acquiesçant en faisant une grimace alors qu’il parlait de mettre la table. Il la prenait pour une enfant d’un seul coup ? Elle le regardait faire l’espace d’un instant avant de se remettre à sa préparation, ajoutant l’ingrédient secret de sa recette pendant qu’Henry n’était pas dans les parages et reprenant la préparation comme si de rien n’était. Elle changea de place pour se retrouver du coté du four lorsqu’Henry revenait, souriant légèrement alors qu’il lui volait un baiser et repartait au salon. Elle était en train d’appliquer sa pâte sur la plaque pour pouvoir les mettre au four lorsqu’elle l’entendit dire qu’elle ne devait pas sortir de la cuisine. Il se moquait d’elle là ? « Ahahah très drôle. » Il semblait s’amuser à la taquiner, d’abord lui dire de ne pas faire de bêtise et là reprenant à peu de chose près ce qu’elle avait dit tout à l’heure. L’effet de surprise était plus réussit pour elle car là, elle avait une vue parfaite sur le salon et n’avait pas besoin de s’y rendre ou de quitter la cuisine pour savoir comment il organisait la table. Se concentrant sur ses cookies le temps qu’il finisse de tout mettre en place. Le four déjà allumé, elle n’avait plus qu’à y mettre ses plaques de cookies et attendre qu’ils cuisent, mais en attendant elle ne restait pas totalement inactive, nettoyant tout ce qu’elle venait d’utiliser. Elle releva légèrement la tête lorsqu’Henry reprit la parole proposant … de partir en vacances ? S’en était une idée ca … Elle se replongeait dans son nettoyage tout en réfléchissant à l’idée. Partir en vacances ? Quitter la ville ? Elle avait un peu une impression de trop vu. Elle venait juste de décider de se fixer ici et Henry proposait de partir ? Ce ne serait bien sur que pour quelques jours ou semaines, mais était-ce raisonnable ? Pourrait-elle revenir ici sans le moindre souci s’ils en partaient maintenant ? Ce ne serait qu’en essayant qu’elle le saurait, mais elle ne doutait pas que ce soit une bonne idée dans le fond. Il fallait qu’ils profitent au maximum du temps qui leur restait à passer seul et ca ne leur ferait pas de mal de quitter un peu Sydney et de voir ensemble un autre paysage. Elle était encore en train de réfléchir, déposant la vaisselle propre sur la partie séchoir pour que ca s’égoutte un peu et allant récupérer un torchon pour essuyer lorsqu’Henry l’attrapa au vol. Elle se laissait faire en souriant, répondant doucement à son baiser alors qu’il reprenait la parole. Posant son front contre celui du jeune homme elle resta là quelques secondes avant de se décider. « Si je ne m’abuse les vacances scolaires sont dans un peu moins de deux semaines … Tu voudrais faire ca là ? » Ce serait certainement leur dernière occasion pour partir en vacances sans avoir à se soucier de rien. S’ils voulaient avoir un enfant et qu’elle tombait enceinte tous leurs plans seraient compromis et ils devraient éviter un certain nombre d’activités, comme partir en vacances n’importe où. Mais il serait peut-être un peu juste de s’occuper de tout cela à la dernière minute. Pouvoir trouver de quoi se loger et faire le transport ne serait pas forcément très simple et surtout ca risquait de leur couter plus cher en prenant à la dernière minute comme ca. Ca pouvait être tout bon ou tout mauvais en fait, mais l’idée était bien trop tentante pour qu’ils laissent tomber et qu’elle n’en profite pas. « Pourquoi pas ? Changer un peu d’air rien que tous les deux … On devrait en profiter temps qu’on peut encore … » Temps qu’ils pouvaient encore. Cette fin de phrase sonnait presque sinistre pour elle l’espace d’un instant. Elle qui avait passé sa vie à voyager, à découvrir le monde, ne tenant pas en place. Elle avait enfin l’impression d’être chez elle, de ne plus vouloir partir et là sans savoir pourquoi l’idée de se retrouver enceinte la rendait presque inquiète. Elle n’était pas sure qu’une grossesse soit quelque chose qu’elle supporterait. Rester neuf mois dans une situation pas forcément très confortable tous les jours avec pour les derniers mois l’impossibilité quasi obligatoire de faire tout ce qu’elle pouvait faire d’ordinaire. L’idée de se retrouver à prendre des kilos et des kilos qu’elle ne pourrait plus perdre. Des questions idiotes, mais qui la faisait douter de son envie sur l’instant et craindre que tout ne tourne pas comme ils l’espéraient. « D’ailleurs … hum … » Elle sentait qu’il fallait qu’elle lui en parle. Elle ne pouvait pas garder ca pour elle et ne pouvait en parler à personne d’autre alors … Posant ses mains sur le torse du jeune homme elle se mit à jouer un peu, se remettant à dessiner des formes comme pour penser à autre chose. Elle sentit bien rapidement qu’Henry se posait des questions. Elle avait lancé une phrase et à présent elle n’avait plus d’autre choix que de la terminer. Prenant une grande inspiration, elle se lança finalement. « Tu … tu crois que c’est une bonne idée cette grossesse ? Je … J’en ai toujours envie, mais déjà ? On … risque de passer à coté de tellement de choses. On a pas encore eut le temps de profiter vraiment de notre relation rien que tous les deux et … si on a un enfant … on pourra plus rien faire … on ne pourra plus passer de journée comme aujourd’hui. Et on sera que tous les deux pour s’en occuper donc l’un de nous sera forcément avec … C’est … » Elle réalisait seulement maintenant qu’ils s’étaient enfermés dans une bulle depuis qu’ils étaient ensemble et ils n’avaient personne sur qui compter réellement en cas de problème. Evangeline avait Alyzéah, mais leur amitié semblait flancher ces derniers temps et en dehors d’elle elle ne connaissait personne ici, enfin elle n’était réellement proche de personne. Et pour Henry ce n’était pas beaucoup mieux … il y avait bien Shibhoan, mais lui confier un enfant ne serait peut-être pas la meilleure chose à faire ces temps ci et en dehors d’elle le jeune homme n’avait aucune famille ici. Elle pourrait bien faire en sorte que sa sœur ou son frère vienne vivre à Sydney, mais il faudrait déjà qu’ils acceptent et si c’était pour avoir quelqu’un à qui confier son enfant, ce ne serait pas la meilleure idée qui soit. Poussant un soupir face à cette histoire elle ne savait plus vraiment quoi faire … « Je crois que j’avais pas pris conscience de ca avant et … j’ai pas envie de devoir me passer de ces moments là tout de suite, ou de sortir, de partir à l’aventure, ou même partir en vacances. De pouvoir être rien que nous deux… J’ai peur qu’on perde ca. » Et il était certain que si elle tombait enceinte ils risquaient de s’éloigner l’un de l’autre, ce n’était pas particulier à leur couple ou à un autre, c’était normal. Chacun voudrait passer du temps avec l’enfant et ils en passeraient moins ensemble. Mais alors comment vivre en couple ? Elle se posait trop de questions elle le savait bien, mais elle n’était plus la jeune femme volage et qui agissait simplement sur une envie. En venant ici elle était devenue plus sérieuse, beaucoup plus même. Elle était réfléchie et ne prenait plus de décision à la légère et cette décision là ressemblait à un rocher impossible à gravir à cet instant. Se blottissant un peu contre Henry, posant sa tête contre le torse du jeune homme elle ferma les yeux l’espace d’un instant, tentant de faire le vide pour évacuer les questions qu’elle pouvait se poser. « Je ne sais pas si je suis prête … si je serais une bonne mère et si … J’ai besoin que tu me dises que ca ira, qu’on s’en sortira et tout se passera bien. Qu’on sera toujours ensemble et que ca ne changera rien entre nous. » Elle s’écarta légèrement, juste assez pour pouvoir le regarder, attendant une réaction et une réponse de sa part. Elle se doutait qu’il avait ses propres question ses propres dilemmes en tête, mais elle avait besoin qu’il l’aide à reprendre confiance et qu’il la rassure tout simplement.
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M. Henry-Daniel Grayson
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✔ SURNOMS : Henry qu'il rit et qui pleure, c'est la clé du bonheur ! -sort- Tout ce que vous voulez. Marshamallow pour les intimes ou Chocolove mais encore Loveur !
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeVen 27 Avr - 16:51
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » Il était bien attendrissant de la voir chercher des excuses alors que les faits prouvaient qu’elle avait au final commencée. Certes… pas à jouer, j’ai joué de mon plein gré et là, j’étais coupable mais non pour lui sauter dessus, c’était elle qui l’avait cherchée mais l’entendre me fit sourire. Il était vrai que mon t-shirt ne m’était pas réellement utile et ce n’est pas comme s’il faisait froid au fond mais elle s’était tout de même collée à moi pour ce baiser qui était loin d’être utile si elle voulait juste éviter que je ne meure de chaud, non ? Enfin c’était amusant de se le dire ainsi et elle était tellement attendrissante sur le moment que je me retenais même rien que d’un câlin ou d’un baiser. Bah voui, attendrissante ? Mène souvent à la tendresse et qui de plus tendre que moi ? Si vous l’êtes et que vous êtes un homme sérieusement, chapeau car je pense parfois que je le suis même un peu trop. Bien souvent, j’ai l’impression de trop en faire, trop être tendre ou trop la gâter et je sais que parfois quand ça l’est trop, ça peut être gênant donc j’ai du mal à souvent trouver le juste milieu. J’ai réellement du mal et peut-être que mes taquineries font un juste milieu ? Mes jeux ? Tout ça ? C’est suffisant à ne pas en faire de trop ? Je l’espérais un peu. Je faisais le nettoyage en pensant à tout ça, en pensant même à tellement de choses que je pensais plus que de faire le ménage ce qui me rendait lent sans trop me rendre lent, étrange ? Enfin bref en tout cas nettoyer, c’était rapide pour moi malgré tout, j’étais assez sérieux quand on parle de faire le ménage. Propre et propre. Tout devait être propre et je m’y appliquais aux moindres détails avant de poser armes et balais aux endroits où ils devaient retourner et repasser derrière elle en souriant alors que je la sentais stopper. Elle avait de quoi mine de rien, elle avait de quoi penser que ça allait reprendre mais non, je n’en fis rien et la rassurant en souriant avant de parler de cette griffe. Pourquoi ? Juste comme ça, je sentais le besoin de lui demander si j’avais bien raison pour cette griffe et souriant en l’entendant alors, sachant que j’avais raison, je savais quoi faire ou dire. « J’espère car ce n’est rien du tout, ça arrive… mais si tu veux… la prochaine fois, je te griffe ! », je riais un peu en partant alors tout en continuant de blaguer pour finir de mettre la table et surtout… voulant la détendre au minimum avec mes blagues. J’entendant qu’elle semblait moyennement amusée par mes taquineries mais ça rendait ça encore plus amusant dans un sens même si ça me fit dire que j’avais assez lancé de taquinerie mais je comptais bien ne pas en rajouter. Je me contentais juste de mettre la table et sachant pertinemment qu’elle voyait tout ce qui cachait encore moins ma taquinerie légèrement moqueuse sur le moment. Bon d’accord, j’étais un petit salopard parfois mais ce n’était pas bien méchant, juste pour le rire car je ne pensais pas me moquer méchamment ou même autrement comme pour la blesser, non ce n’était pas le but et je le savais. C’était donc le pourquoi que je connaissais mes limites en arrêtant aussitôt et revenant calmement pour me poser contre le plan de travail et attendre qu’elle ait finie en la regardant faire. Pourquoi avoir proposé de partir en vacances ? Je ne savais pas réellement c’était une idée subite sur le moment et je doutais même qu’elle accepte pour une raison que je ne pourrais même pas savoir. Je doutais juste. Peut-être justement qu’elle avait trop voyagée ? Moi aussi au fond mais pas tant que ça, j’avais vu du monde et beaucoup même cependant pas tellement. Disons que j’avais juste voyagé. Je profitais qu’elle se déplace pour l’attraper et la rapprocher sans être presque et ne pas risquer de lui faire mal. Les vacances scolaires, oui… ça me tentait un peu c’était bientôt même. Je souriais doucement en hochant légèrement la tête. « C’est tentant ! », c’était certes sur un coup de tête mais vivons d’amour et d’eau fraiche, de coups de têtes… car parfois ça rend même la situation encore plus romantique, plus inattendue, plus… tellement de choses en fait, ça rend ça presque plus beau que de prévoir des vacances des mois à l’avance au point ou le fait de juste se retrouver à deux se dissipe à cause du seul souhait de s’éloigner des boulots et prendre un congé… juste pour se reposer. Je riais doucement quand elle disait qu’on pourrait profiter du temps qu’on a encore. « On en aura encore… juste qu’on ne sera pas tout seul après… », oui au fond, les couples bien organisés arrivaient toujours à trouver du temps pour tout cela sauf peut-être en cas ou des jumeaux arrivent voir pire mais en général… avec de l’organisation et surtout le fait que les deux s’occupent du bébé, c’était possible. Je ne doutais pas que l’on pourrait s’en sortir. Je me disais vraiment que ça pourrait coller avec un peu de nous deux, si l’on restait soudé, des moments à nous ? C’était plus que possible maintenant sans aucuns doutes plus rares. Je ne sentais pas le sinistre dans sa phrase… peut-être par ce que ça, je sentais qu’on pourrait gérer… notre temps et lier notre vie à deux avec un enfant. Je me sentais un peu moins apeuré pour ça. C’était étrange.

Je ne sentais pas le malaise qu’elle avait directement sauf quand elle commençait sa phrase qui effectivement me fit un peu froncer les sourcils. Je la regardais en attendant la fin, un peu surpris sur le moment et me questionnant sur ce qui allait suivre. Je ne savais pas à quoi m’attendre ou même ce à quoi elle pensait. Je ne voulais pas tenter de le deviner et la laisser parler. Quand elle commençait à parler, je fus un peu surpris en premier temps. Surpris de ces questions et tout ça, c’était disons : assez dingue qu’elle change aussi vite d’avis enfin pas d’avis mais se pose des questions cependant : tellement normal. Je lui souriais alors en hochant doucement la tête et restant attentif en la laissant juste parler. Parfois, on a besoin de juste dire ce qu’on a sur le cœur, j’étais le premier à le savoir. J’en avais souvent besoin. Une peur ? On en a tous et je sentais ses craintes à ce moment même. Les peurs sont souvent néfastes quand on ne les dit pas et dans les couples… c’est bien souvent un problème majeur… ne pas confier ses peurs. Nous ? On n’avait pas réellement ce soucis ce qui en ce moment même était plus que rassurant. Je sentais de plus en plus qu’elle semblait paniquer, ne sachant pas même quoi faire ce qui me rassurait sans me rassurer car ça voulait juste dire que nous avions les même peur mais aussi qu’elle y pensait énormément et je m’inquiétais un peu. Le voulait-elle réellement ? Oui bien sûr que là, ça passait rapidement dans mes idées cependant je ne doutais pas du tout sur le fait qu’elle le voulait. Peu à peu, je la sentais se blottir en réfléchissant à ce qu’elle disait et l’enlaçant un peu plus en me disant que le repas allait bientôt être prêt et que ça m’embêtait car je voulais pouvoir la rassurer avant ce que je n’allais pas m’empêcher de faire d’ailleurs… tant pis si c’était un peu trop cuit. Je la regardais alors dans les yeux quand elle s’écartait. Je ne savais pas trop comment je devais réagir mais je savais ce que j’en pensais… je savais aussi que j’en avais peur parfois d’être père mais on avait le temps de vaincre cette peur. Je posais mes mains sur ses joues en souriant doucement et ne la quittant pas du regard. « Tes craintes sont fondées, c’est un grand changement… mais je ne doute pas de nous. On pourra être présent tout en restant nous-même. Certes… des journées comme celle-ci se feront sans aucuns doutes rares mais pas impossible. Pendant les siestes et les nuits, on sera à deux. On a aussi encore 9 mois pour profiter librement de nous deux enfin peut-être un peu moins, je me doute que ça sera parfois compliqué et fatiguant mais je serais là… cette grossesse, tu la vivras avec moi et je tenterais de t’aider… comme je le peux mais aussi plus que je ne pourrais le faire. », je lui souriais toujours en tentant d’être le plus rassurant possible et la regardant avec une tendresse indéfinissable avant de quitter ses joues et remettre mes mains dans son dos pour la rapprocher et la regardant toujours. « On trouvera une baby sitter s’il le faut et même… enfin on trouvera, des nounous, des nurserys ? Tout ce qui te rendra heureuse juste pour qu’on passe une soirée ensemble. On ne perdra rien du tout et surtout… je n’en ai aucunes envies… », je riais nerveusement en la regardant. « Parfois je doute aussi d’être un bon pére en me demandant tellement de choses comme… je vais pas écraser un bébé en le serrant dans mes bras ? Comment je vais gérer les biberons nocturnes ? Serais-je capable de savoir ce dont il a besoin quand tu seras absente ? Ou même… aurais-je l’instinct paternel ? C’est compliqué et je me doute que ça l’est surement plus pour la mère que le père de se poser toutes les questions que je me pose moi-même mais… c’est naturel, ça viendra… tout se passera bien par ce qu’on sera à deux. », je souriais alors à nouveau et agrandissant un peu mon sourire. « On a le temps pour s’y préparer, s’organiser et profiter encore de nous. On aura encore le temps également de profiter de nous deux à l’arrivé du bébé… par ce que je ne veux pas perdre ça. Je me battrais pour que tout soit juste comme tu le veux ! », je penchais la tête en la regardant et souriant. « On mange ? On pourra parfaitement en rediscuter à table ou même dès que tu en as besoin. C’est normal que tu te poses des questions. C’est humain mais tu seras une bonne mère et ça, je n’en doute pas du tout ! Tu seras même la plus belle des mamans à mes yeux. », je lui volais alors un baiser en l’embrassant aussitôt avec tendresse et l’enlaçant pour la rassurer et restant comme ça plusieurs minutes et bien plus, le temps dont elle aurait juste besoin en fait. Je ne voulais plus la lâcher en désirant juste que ça se passe mieux dans sa tête, rien que de savoir qu’elle avait des peurs… m’attristait un peu et me touchait donc je voulais les effacer comme l’on efface un coup de crayon sur un papier… une gomme et plus rien sauf que là, je n’avais pas de gommes magiques… il n’y a que moi qui pourrait réussir à être cette gomme et gommer ce qu’elle pouvait avoir dans la tête. Je m’y laissais attarder et posant alors un tendre baiser dans son cou avant de reculer et lui sourire. « Allez… viens, on va manger ! », je prenais alors sa main en entrelaçant mes doigts avec les siens et l’emmenant alors vers le salon pour finir par lui retirer la chaise et sourire. « Je vous en prie… », disais-je en lâchant aussi sa main et allant allumer la bougie en souriant doucement. « D’habitude… nous avons des tenues soignés exigées dans notre beau restaurant mais occasionnellement… nous autorisons les demoiselles presque pas habillées. », je riais légèrement en allant dans la cuisine et ramenant le wook avant de le mettre sur la table et lui sourire avant de faire le service. « Surprise du chef ! Bon appétit… vous souhaite celui-ci aussi ! », je finissais alors le service en servant deux verres d’eau et oui, je ne lésinais pas sur le moindre détail. Je m’installais alors à table en la regardant et penchant la tête. « Ça va mieux ? », demandais-je avant de rajouter cette petite question, curieux de savoir ce qui se passe dans la tête de celle que j’aime.
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Evangeline Z. G. Grayson
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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeVen 27 Avr - 19:47
Après la journée qu’ils venaient de passer et tous ces bons moments partagés, Evangeline se rendait doucement compte que ce genre de situations pourraient ne pas se répéter très souvent s’ils se décidaient à avoir un enfant aussi vite. Ils n’avaient pas encore eux le temps de se découvrir totalement et de profiter au maximum de ces moments là. Ils risquaient de passer à coté de tellement de choses que cette histoire lui faisait alors un peu peur. Et surtout elle en venait à se poser des questions. Elle ne remettait pas en doute son envie d’avoir cet enfant ou sa décision, mais il restait des détails dont elle doutait et elle ne pouvait pas les ignorer éternellement. S’ils faisaient une erreur et qu’elle taisait ce qu’elle pensait à cet instant ils risqueraient d’en souffrir tous d’ici quelques temps. L’idée d’Henry de partir en vacances était très bonne et elle avait envie de sauter sur l’occasion, mais c’était un détail de plus qu’ils risquaient de devoir mettre de coté avec cette grossesse. Elle ne savait plus trop comment réagir du coup. Vidant finalement son sac, en arrivant à dire tout ce qu’elle pouvait avoir sur le cœur et exprimer le moindre de ses doutes, il fallait avouer qu’elle ne se sentait pas totalement mieux. Pas réellement. Parler faisait du bien, mais ses questions, ces détails prenaient un coté encore plus réel à présent et elle redoutait qu’Henry en prenne peur à son tour et qu’ils finissent par reculer devant leur projet. Elle ne remettait pas en question sa décision et son envie, c’était certain elle voulait ce bébé, mais toutes ces questions qu’elle avait à l’esprit la bloquait quelque peu et elle avait juste besoin d’être rassurée. Ce que fit le jeune homme avec brio. Il ne cherchait pas à la convaincre que tout serait parfait, que tout marcherait à merveille, il admettait lui aussi que les choses pourraient être compliquées. Mais le fait qu’il insiste sur le fait qu’ils seraient ensemble, qu’ils seraient à deux et qu’ils feraient ce qu’il faudrait pour éviter qu’ils se perdent était rassurant pour elle. Ils n’avaient pas vraiment de proches sur qui compter, mais ils étaient ensemble, ils s’avaient l’un l’autre et ils pourraient bien trouver des personnes pour les aider sans avoir forcément besoin de les connaitre vraiment. Puis il exposa ses propres doutes, les questions que lui aussi pouvait se poser. Elle le regardait l’espace d’un instant, ne doutant pas en son fort intérieur de tout cela. Il s’en sortirait très bien, tout cela n’était que détails auxquels ils s’habitueraient l’un comme l’autre et ils arriveraient à régler tout cela pour que ca marche et pour s’en sortir. Elle se posait à peu près les mêmes questions et les entendre être prononcées par Henry rendait la chose presque amusante. Ils avaient les même craintes, les même peurs et il n’y avait aucun doute qu’ils avanceraient ensemble face à cela. Mais ils s’en sortiraient, elle en prenait doucement conscience faisant de son mieux pour calmer ses appréhensions et ne pas gâcher totalement la soirée avec ses réflexions. Elle ne put retenir un sourire alors qu’il proposait de manger, ajoutant qu’ils pourraient en rediscuter si elle en ressentait le besoin. Les choses étaient plus claires pour l’instant, mais d’ici à ce qu’elle tombe enceinte et surtout d’ici à ce qu’ils aient un enfant avec eux il se pourrait bien qu’elle se repose encore toutes ces questions et même bien plus. Elle ne put retenir un sourire alors qu’il disait qu’elle serait une bonne mère. Elle en doutait quelque peu, mais elle voulait y croire. Elle ne reproduirait pas les mauvais points qu’elle avait connus avec ses parents et tout devrait être parfait en dehors de cela. Elle lui rendit un peu son baiser avant de se blottir encore dans les bras de l’homme qu’elle aimait. C’était étonnant pour elle de réaliser à quel point il pouvait réussir à l’apaiser par quelques mots. Même si tout n’était pas encore totalement parfait, elle doutait moins, parvenant doucement à se convaincre que tout se passerait bien. Fermant les yeux l’espace d’un instant, elle finit par murmurer comme pour s’en convaincre un peu plus en l’entendant. « On aura le temps de s’y préparer … Tout ira bien, temps qu’on reste ensemble. » C’était le principal. Ils devraient peut-être mettre en place tout une organisation pour cela, mais ils seraient ensemble et n’auraient pas de mal à gérer tout cela. Ils pourraient y arriver sans problème et même s’il y avait des problèmes ce ne serait pas insurmontable du moment qu’ils restaient ensemble. Elle sourit finalement, s’écartant légèrement d’Henry et lui volant un baiser juste avant qu’il fonde vers son cou et propose d’aller manger. C’était une bonne idée, il fallait qu’elle s’occupe pour ne plus repenser à tout cela et manger relancerait la soirée qui était prévue. Souriant alors que le jeune homme lui prenait la main, elle le suivit, allant s’installer et acquiesçant en riant légèrement alors qu’il lui retirait sa chaise, s’installant tranquillement. « Merci. » Elle le regardait allumer la bougie, se tenant droite et tentant de se détendre un peu pour profiter totalement de ce diner. Elle releva la tête vers Henry alors qu’il reprenait la parole, ne pouvant s’empêcher de rire légèrement à sa remarque. « Oh ? Mais c’est trop aimable … » Etaient-ils dans un restaurant si chic que cela ? Elle ne l’avait pas remarqué pourtant … Mais visiblement la soirée s’annonçait ainsi et l’après diner pourrait bien continuer sur cette même lancée. Elle restait tranquille alors qu’Henry amenait le repas et lui servait à boire, souriant encore une fois à sa remarque. « Bon appétit. » Elle se sentait mieux maintenant même si toutes ses questions n’étaient pas encore totalement derrière elle. Il lui faudrait un peu de temps pour se reprendre totalement et pour oublier tout cela, mais ca viendrait bien assez vite et ils pourraient passer une bonne soirée. Observant son assiette, elle remarquait rapidement la part gigantesque qu’il venait de lui mettre, pas convaincue de pouvoir tout manger et jouant quelque peu avec le contenu de l’assiette quelques instants. Elle restait un peu dans ses pensées c’était certain, et elle n’eut pas le temps de se reprendre qu’Henry l’avait remarqué, s’assurant qu’elle aille mieux. « Oui ca va aller. Il faut juste que je mette mes doutes de coté mais je sais que tout se passera bien. Après tout n’importe qui peut y arriver alors pourquoi pas nous ? » C’était bien vrai. Tous les jours des couples devenaient parents par choix ou par accident et tous les jours ces mêmes gens s’en sortaient dans leurs rôles et avec leurs enfants. Pourquoi aurait-elle à douter de tout cela et pourquoi ils ne pourraient pas y arriver ? Certains y arrivaient même seuls, alors qu’eux seraient deux. Ils avaient cette force que certaines personnes ne pouvaient pas avoir : pouvoir compter sur l’autre. Et ils pourraient toujours compter l’un sur l’autre c’était certain. Adressant un sourire rassurant au jeune homme qui lui tenait compagnie, elle finit par se concentrer sur son assiette en avalant une bonne partie avant d’aller s’occuper de ses cookies. Ils seraient trop chauds pour être mangés tout de suite, mais peut-être que dans quelques heures … ou au pire ils resteraient pour le lendemain. Elle les mit dans une assiette avant de revenir à table et de faire son possible pour terminer son assiette. Et une fois l’exploit accompli, elle se releva assez rapidement en observant Henry. « Attends là ! » Elle monta rapidement à la chambre pour finir de tout y préparer, allumant les bougies parfumées, éteignant la lumière pour faire un meilleur effet et mettant tout en place dans la chambre pour que le salon de massage puisse ouvrir ses portes avant de se placer en haut de l’escalier. Contrairement à ce qu’elle aurait pensé, Henry était encore en bas, mais il ne semblait pas très patient et n’aurait surement pas attendu encore bien longtemps. « Tu peux monter. » Elle le regarda avec un sourire en l’attendant en haut de l’escalier. Elle le stoppa dans son élan, lui volant un baiser avant de poser sa main sur les yeux du jeune homme, se plaçant à coté de lui pour accentuer un peu plus encore l’effet de surprise. Ouvrant doucement la porte et le faisant entrer dans la chambre sans ôter sa main de sur ses yeux, elle laissa la situation durer quelques secondes, le temps que le parfum des bougies arrive jusqu’à eux et les enveloppe un peu plus dans cet atmosphère qu’elle avait voulu créer. Otant finalement sa main, elle laissa à peine une seconde à Henry pour réagir avant de lui chuchoter à l’oreille. « La dernière fois que tu avais proposer l’idée je n’avais pas put la mettre en place, mais voilà … le salon de massage est prêt. » Ca avait prit du temps et la proposition de faire ce genre de chose avait été longue à mettre en place, ou plutôt ils n’avaient pas réellement eut l’occasion de le faire auparavant. Mais à présent c’était en place et elle comptait bien en profiter. Montrant rapidement le lit, elle ajouta. « Si vous voulez bien prendre place … » Elle avait eut droit à un petit massage tout à l’heure sous la douche et elle voulait qu’il puisse aussi profiter de ses talents, ou non, pour les massages. Elle n’avait que rarement eux l’occasion de faire des massages et généralement soit on aimait soit on n’aimait pas. Elle ne savait pas quelles seraient les conditions pour Henry, mais elle voulait tenter tout de même. Le laissant s’installer sur le lit, elle prit un flacon d’huile de massage, s’en mettant un peu sur les mains avant de s’installer à cheval sur lui pour commencer à lui masser le dos.
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Send me on my way


✔ HUMEUR : Bonne, comme vous ?
✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet)
✔ SURNOMS : Henry qu'il rit et qui pleure, c'est la clé du bonheur ! -sort- Tout ce que vous voulez. Marshamallow pour les intimes ou Chocolove mais encore Loveur !
✔ LA CITATION : Exister est bon ; non pas meilleur qu'autre chose ; car exister est tout, et ne pas exister n'est rien.




ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Vide
MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeDim 29 Avr - 23:32
Sourisbelle vie ?
« Juste une journée des plus simples, un petit sourire et hop tout le monde va bien... dites chhhhhhhesse ! » Un enfant était un changement subit dans une vie, cela chamboulait en général beaucoup de plans, je m’en doutais que cela serait loin d’être le paradis quand ça arriverait mais c’était ainsi pour tous les couples. Je ne voulais pas qu’elle ait tellement peur, je voulais la rassurer et lui prouver que tout irait bien même si je savais que je ne suffirais pas à lui retirer ses peurs. Je tentais de trouver les bons mots, ceux qui m’aideront. Vous voyez cette fois ou vous voulez juste savoir quoi faire ? Le moment ou vous vous dites que vous devez agir mais aussi le faire bien ? Le moment ou vous avez peur de tout gaffer ? Je ne voulais pas tout gaffer, je voulais réellement qu’elle se sente mieux avec ses doutes mais comment le faire ? Je m’en sortais bien apparemment ? J’en avais l’impression sans l’avoir. J’espérais que ce soit juste ce qu’elle avait besoin d’entendre. Je ne pouvais pas le savoir, je ne pouvais pas être dans sa tête. J’hochais la tête quand elle disait que nous avions le temps pour le préparer. Nous avions effectivement le temps. Nous avions le temps de nous y faire ou même préparer la chambre du bébé ce qui m’emballait assez d’ailleurs. Pour moi, je savais que j’aurais surement mieux de choses à faire pour mettre au monde ce bébé sauf d’autres là pour elle. Enfin il était trop tôt et bien trop tôt pour penser à tout ça. Je ne pouvais pas m’empêcher de m’inquiéter alors que je pensais aussi à notre estomac un peu vide et creusé par nos folies ce qui est surement embêtant. Je ne pouvais m’empêcher de lui tirer la chaise avec une petite révérence pour l’inviter à ainsi prendre place. C’était assez bête au fond de le faire, juste ce petit geste ? Certainement mais cela me faisait simplement plaisir. C’était stupide, un peu mouvement et une petite invitation à s’assoir. Une fois qu’elle fut assise, je souriais en allant faire le service et je ne pus m’empêcher de complimenter par une simple taquinerie sa tenue. Il était vrai que moi aussi, j’étais loin d’être classe mais avec les bougies ? Cela laissait une ambiance classe alors que nous étions assez relax ce qui me fit sourire tandis qu’elle disait que c’était aimable. « Mais je vous en prie, une si belle demoiselle ! », je penchais la tête en me mettant à ma place et souriant au bon appétit en hochant doucement la tête tandis que je souriais. « Merci ! », Je lui avais déjà dit d’une façon des plus étranges dans la présentation classe. J’étais assez penché sur le moment amusant afin de la sortir un peu de ses pensées et voir aussi en même temps si elle allait mieux. Plus elle plaisanterait, plus elle irait bien non ? Mais j’avais une autre technique pour le découvrir à force de la connaitre : son appétit. Je souriais doucement d’ailleurs en remarquant qu’elle chipotait un peu dans son assiette tandis que je m’attaquais à réellement manger. Il était plus fort que moi de m’assurer qu’elle aille mieux avec cette anodine question. Pourquoi lui demander alors que je pourrais par logique attendre de voir si elle va mieux quand elle mange ? Simplement par ce que cela m’inquiète. Je l’écoutais alors sagement et attentivement en la regardant et finissant par rire nerveusement. « C’est vrai, pourquoi pas nous enfin tu noteras que certains n’y arrivent pas mais nous, on pourra… c’est stupide mais je le sens ! », là en ce moment, j’étais plus que positif, je savais pourtant qu’il y avait eu des jours ou j’étais négatif et me posait autant de questions qu’elle. « On réfléchit trop ! », finissais-je par ajouter en me souvent de ce qu’elle m’avait dit dans la cabine alors que j’avais la crainte que l’on nous prenne en pleine action. Elle m’avait dit ses mots et bien que cela ne change rien à la situation était loin d’être ressemblante ou commune mais là, j’avais remarqué qu’il n’y avait pas que moi qui parfois avant trop de pensées dans la tête. On devait apprendre à les mettre de côté pour avancer plus vite. C’était dingue mais je rêvais tellement d’une belle famille et peut-être un chien. Pendant le repas, je pensais à tous les couples qui ont des enfants sans les désirer et montrer trop souvent à ceux-ci qu’ils ne voulaient pas d’eux ou même ceux qui en font des millions juste pour les finances car il fallait dire que les grosses familles ont parfois plus de bonus qu’une petite famille. Je trouve injuste ce genre de personnes alors qu’un enfant au final doit naitre de l’amour de deux parents et parfois même simplement désirés ou même non désirés mais finir par l’être par ce que de bons parents pour moi désiraient l’enfant. De bons parents même s’il n’avait pas l’impression d’être prêt ou même si ce n’était qu’un accident devait juste finir aussi par le vouloir pendant les 9 mois et le désirer.


Tellement de pensés juste en mangeant et comblant le creux. J’avais peu à peu eu réellement faim et là, je devais vraiment manger même si j’aurais pu la rassurer encore longtemps et la faire passer avant juste par ce que je veux que ce soit ainsi. Je trainais un peu plus sur mon assiette au final en sentant que j’avais bien assez mangé. Souriant alors qu’elle se levait et me demandant d’attendre, je riais en hochant la tête pour me lever et entreprendre de débarrasser la table. Je me demandais ce qu’elle préparait, réellement. J’étais curieux sur le moment. Je redoutais même un peu ce qu’elle avait en tête. Je m’apprêtais à juste approcher pour voir ou elle en était alors que je l’entendais m’annoncer que la voie était libre. Que préparait-elle ? Je n’en avais aucunes idées. Qu’avait-elle dans la tête ? Alors là, j’en avais encore moins mais je ne pouvais pas m’empêcher de me poser cette question. J’aimais assez le mystère enfin cela dépendait pour tout vous dire. Je prenais alors rapidement un chocolat ou deux en montant et riant doucement. « T’es sûre ? », je grimpais en souriant alors qu’elle était en haut et me laissant stopper avec une petite moue en me demandant si j’étais en avance ? Que faisait-elle ? Je répondais à ce baiser volé le peu de temps que j’en avais l’occasion en riant doucement et la regardant en me disant que j’en voulais plus de ce baiser. Je n’en avais point assez. Je laissais cette main m’aveugler en sourire comme un imbécile, un bon heureux et murmurant. « Oula… je suis aveugle… », vous savez le moment de nervosité ou vous finissez par lâcher une vraie connerie pour éviter de vous demander ce qui se passe ? Je le vivais actuellement et ne pouvais pas m’empêcher de rire doucement en me laissant entrainer dans la chambre en sentant le parfum des bougies. Alors que ses mains se retiraient, je n’avais vraiment pas le temps de remarquer les détails, juste la lueur des bougies qu’elle commençait à parler ce qui me fit sourire et même rire un brin. « Humm hum… », me contentais-je de dire sur l’instant tandis que je fus écouter par le lit qu’elle me présentait et le fait qu’elle me demande de m’installer. Ce qui me fit en fait rire d’ailleurs et pourquoi ? Simplement qu’il était plus rare qu’elle joue un petit rôle et me vouvoyai. C’était amusant mais cela me détendait aussi, je me doutais qu’elle allait surement bien mieux qu’au moment où elle m’avait posée tellement de questions. J’hochais la tête. « Tout ce que vous voulez… », J’approchais alors du lit en me posant sur le ventre et croisant les bras en y posant ma tête en soupirant doucement d’aise pendant qu’elle prenait l’huile. « T’es un amour, t’as fait tout ça rien que pour moi ? », je m’étonnais car aucunes de mes copines, petites amies ou j’allais dire fiancées mais elle est la seule et l’unique enfin c’était la première fois que l’on se démenait tellement pour moi et cela faisait du bien. L’ambiance était réellement bien travaillée. Cela me détendait rien qu’au parfum. J’étais rarement aussi chouchouté surtout par ce que j’avais eu des relations plus courtes que longues sauf avec Isabella, cette garce qui elle n’aurait jamais pris la peine de se charger pareillement de moi. S’occuper de moi ? Il ne fallait pas en demander de trop à Isabella. Cette jeune femme ne l’aurait réellement jamais fait. Alors qu’elle s’installait à cheval, je ne pus m’empêcher de rire en la regardant par-dessus mon épaule. « Fais attention à mon popotin… », je souriais doucement. « Ne l’use pas ! », disais-je en riant un peu, la taquinant en la laissant alors appliquer l’huile et commençant le massage. Je ne pus m’empêcher de fermer les yeux en soupirant d’aises. C’était réellement parfait. Je profitais du massage et la laissait totalement s’occuper des zones plus tendus qui était visible rapidement, je bougeais un peu quand elle s’y trouvait par ce que j’avais tendance à toujours le faire en cas de massage, un petit mouvement quand j’avais du mal à laisser détendre certaines zones. Je les sentais simplement tendues. Les tracas avec Shibhoan ? La fausse couche ? Mon passé ? Mes craints ? Mes craintes que mon passé refasse surface ? Je dois vous avouer que j’ai des millions de choses à craintes en ce moment. Je ne pus m’empêcher de sourire doucement en me détendant un peu plus et lâchant encore deux ou trois soupirs d’aise, de bien-être. J’étais réellement bien et la laissant amplement s’occuper du massage en souriant au milieu et murmurant. « Je t’aime… je sais que je l’ai déjà dit mais je t’aime ! », je souriais un peu plus en sentant même que je pourrais carrément m’endormir. J’étais reposée. J’étais réellement bien. Je restais là à profiter encore un peu, totalement attentif au moindre de ses toucher sur ma peau. Je me contentais juste d’être relax et me laissant totalement entretenir ce qui n’était pas mon habitude, c’était souvent l’inverse mais le cadre et l’ambiance y amenait. « Tu sais… la proposition du salon de massage était pour te masser toi à l’origine mais c’est pas mal comme ça aussi… personne n’a jamais fait ça pour moi… aucunes autres c’est pour ça que je t’aime encore plus… tu es exceptionnelle ! », ajoutais-je d’un murmure presque cassé par une somnolence mais compréhensible malgré tout. Pourquoi disais-je tout cela ? Par ce que je le pensais simplement. Il était dingue d’être tellement relaxé… je ne pensais pas ceci croyable mais mes muscles se lâchaient pour se décontracter. J’étais tellement au paradis que j’en oubliais même le parfum des bougies et je me concentrais sur les moindres sensations que provoquait ce massage. Du bienêtre… tellement de bienêtre. Une fois qu’elle avait terminée, je ne pouvais pas m’empêcher de sourire en me retournant légèrement afin d’attraper sa main et sourire. « Me ferais-tu l’honneur de t’allonger à côté ? Juste deux minutes ? », demandais-je alors d’un doux sourire en penchant la tête et la regardant avec ce petit air implorant. J’espérais qu’elle cède car je voulais l’avoir encore un peu avoir moi, là. Je voulais me relaxer encore en fermant les yeux et attendant de voir si elle allait me rejoindre. « Tu sais… je me dis, on sera bien mieux que de bons parents… on sera des parents aimants et ça, ça vaut de l’or. Je suis persuadé que l’on pourrait y arriver... surtout après ce genre de moment. Je ne doute pas que je veux que tu sois la mère de mes enfants… je n’en doute même pas une seconde depuis un bon moment… hummmm… je pourrais même m’endormir, ici ! », je souriais doucement en gardant les yeux fermés et soupirant d’aise en caressant son dos et souriant alors. « Sauf si tu as d’autres idées derrière la tête en 4 minutes… j’arrête de faire la larve… », je riais doucement en ouvrant les yeux pour la regarder et attendant de voir la suite. Elle était au programme donc je ne pouvais qu’attendre de voir ce qui m’attendais mais qu’est ce qui m’attendait ? Je n’en savais rien. J’étais bien curieux de le savoir car déjà là, j’étais un homme comblé.
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Evangeline Z. G. Grayson
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✔ LA CITATION : La vie est surprenante, mais surement pas autant que l'amour, car quand il frappe tout peut changer d'un bout à l'autre, même vous. Surtout vous. On subit la vie, mais l'amour on l'attend.




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MessageSujet: Re: ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire !   ANGEL' ♦ Ca chatouille ? C'est le cas de le dire ! Icon_minitimeMer 2 Mai - 9:19
Il y avait souvent de nombreuses étapes dans un couple. Sortir ensemble, faire l’amour, s’installer, se marier, avoir des enfants et bien d’autres encore. Des étapes obligatoires et qui prenaient plus ou moins de temps selon les gens, selon les couples, selon leurs vies et leurs habitudes. Pour Evangeline et Henry tout allait très très vite. Ils vivaient ensemble avant même d’être un couple. Ils projetaient d’avoir un enfant avant de penser à se marier. Et tout ca venait au fil des semaines sans paraitre réellement pressé. Elle était sure d’elle, elle savait, elle sentait qu’Henry était le bon, alors pourquoi attendre et prendre le risque que les choses changent ou que quelque chose n’aille plus ensuite. Elle voulait aller vite, avoir tout cela sans attendre. Elle se sentait prête et cela malgré des doutes et des questions qui continueraient certainement de la hanter encore un long moment. Elle savait ce qu’elle voulait et n’abandonnerait pas avant de l’avoir, elle en était sure. Les choses se feraient peut-être toute seules, ou il leur faudrait peut-être travailler un peu pour y arriver, mais cela n’importait pas vraiment. Tout ce qui comptait était que d’ici quelques mois elle savait qu’elle serait enceinte et qu’ils auraient cet enfant qu’ils attendaient tous les deux. Cette fausse couche avait finalement été une révélation pour tous les deux et il est certain que sans cela ils n’en seraient pas là à cet instant. Les chances pour qu’ils aient déjà réussit à concevoir aujourd’hui étaient très maigres, mais elle ne perdait pas espoir et ne relâcherait pas ses efforts pour l’instant. Elle préparait donc une petite soirée tranquillité et détente au maximum. Prenant quelques instants pour aller finir de tout préparer à l’étage, elle revint chercher Henry après quelques minutes. Elle faisait toute une mise en scène pour pas forcément grand chose, mais elle s’en fichait, elle avait préparé une surprise et elle voulait la mener jusqu’au bout. Elle sourit à la remarque d’Henry alors qu’elle lui cachait les yeux pour permettre de faire durer un peu plus l’effet de surprise. Elle avait envie de profiter de cette soirée et de faire en sorte qu’elle soit dans la continuité de la journée, alors quoi de mieux qu’une atmosphère zen, décontracte et romantique et un massage. Le laissant finalement observer ce qu’elle avait mis en place, elle lui indiqua rapidement le lit pour qu’il s’y installe et que la soirée puisse commencer. Le laissant s’installer aussi confortablement que possible, elle récupérait l’huile de massage. « Je me disais que ca pourrait être sympa. » Elle avait eut droit à un massage un peu plus tôt dans la douche et il fallait dire que c’était agréable, alors pourquoi serait-elle la seule qui y aurait droit. Et Henry avait tout autant besoin qu’elle de se détendre. S’installant finalement à cheval sur Henry, elle ne fut pas réellement surprise qu’il fasse à nouveau une remarque et elle sourit doucement en répondant. « Ne t’en fait pas … » Elle ne comptait pas s’amuser à lui faire du mal ou quoi que ce soit dans le genre. S’appliquant à faire ce massage au mieux, elle restait très attentive à la moindre réaction du jeune homme. Elle ne voulait pas prendre le risque de lui faire plus mal ou d’insister là où il ne fallait pas. Elle surveillait la moindre réaction, prenant soin de rester délicate et de ne pas lui faire trop mal. Il ne fallut pas bien longtemps avant qu’il parvienne à se détendre un maximum. Elle était même convaincue qu’il pourrait s’endormir sans trop de mal. Il semblait aller beaucoup mieux d’un coup et n’était plus le paquet de nerf d’il y a quelques minutes. Elle ne put s’empêcher de sourire lorsqu’il se remit à parler, murmurant des mots qu’elle avait l’habitude d’entendre à présent. C’était toujours agréable de les entendre malgré tout. Elle ne répondit rien sur l’instant, la réponse était évidente pour elle et le dire trop souvent lui donnait parfois l’impression que ca ne passerait plus de la même façon. Continuant le massage et insistant un peu sur les zones encore tendues, elle y allait plus doucement lorsqu’il reprit la parole. Elle n’était pas habituée à faire ou à ce qu’on lui fasse des massages. Elle aimait cela et savait que c’était bien souvent quelque chose de positif pour un couple. Un petit moment prévu pour s’occuper l’un de l’autre. Le moment parfait en somme. Elle sourit à ce qu’il disait, elle se doutait bien que son idée à lui était qu’elle profite du massage, mais ce n’était pas plus mal ainsi et pour une fois que c’était elle qui pouvait s’occuper d’Henry autant en profiter. Elle déposa un baiser sur l’épaule du jeune homme alors qu’il parlait, restant baissé vers lui pour lui répondre. « D’habitude c’est toi qui prend soin de moi, alors on peut bien inverser un peu les rôles. » Il était vrai qu’avec tout ce qu’il s’était passé depuis qu’ils étaient ensemble et même sans cela, Henry était constamment au petit soin avec elle. C’était agréable, elle ne le niait pas, mais il est bien aussi d’équilibrer un peu les rôles et de faire en sorte qu’ils en profitent autant l’un que l’autre. Elle aimait se faire chouchouter et elle savait qu’elle pourrait en profiter un maximum quand elle serait enceinte alors elle pouvait bien retourner un peu les choses et lui faire profiter de cela temps que c’était encore possible. Elle n’aurait sut dire combien de temps dura le massage, mais elle finit par s’arrêter en remarquant qu’il était réellement détendu. Essuyant ses mains dans une serviette avant de se replacer, à genoux à coté de lui. Elle n’eut pas le temps réagir qu’Henry la prenait par la main et sans vraiment réagir elle lui cédait, s’installant à coté de lui. C’était assez amusant de le voir si détendu. Lui qui était toujours si tendu, si énergique, là c’était presque un autre homme qu’elle avait devant elle et c’était assez intéressant. Elle s’installa en face du jeune homme, plaçant une jambe sur les siennes pour les rapprocher un peu. Elle ne put s’empêcher de le fixer alors qu’il gardait les yeux fermés et semblait sur le point de s’endormir. Il continuait de parler et la jeune femme continuait de l’observer tout en l’écoutant. C’était rassurant de l’entendre dire tout cela. En fait c’était en quelque sorte juste ce qu’elle avait besoin d’entendre à cet instant. Souriant alors qu’il parlait de s’endormir, elle continuait de le regarder, se détendant progressivement à son tour. Ce retour au calme était une bonne chose, ca leur ferait un bon fou, ils en avaient besoin. Elle fermait les yeux à son tour lorsqu’il reprit la parole demandant ce qui pourrait être à suivre. Rouvrant les yeux, elle l’observa un instant, se demandant ce qu’elle pourrait proposer d’autre, ayant bien une idée en tête, mais préférant maintenir cet instant de calme encore un moment. « Repose toi mon amour … il nous restera encore du temps pour les autres idées … » Elle ne voulait pas relancer un débat ou un jeu. Ce moment était parfait et elle voyait bien la journée se terminer de cette façon. Même s’il était encore tôt, la journée avait été assez longue et ils méritaient bien un peu de calme et de repos. Elle ferma les yeux durant quelques minutes et lorsqu’elle les rouvrit, ne parvenant pas à trouver le sommeil, Henry dormait. Elle resta là à l’observer l’espace d’un instant, s’amusant de le voir si calme et reposé. Après un certain temps à rester là sans bouger et sans rien faire d’autre que de le regarder, elle finit par se lever, prenant garde à ne pas le réveiller. S’installant à son ordinateur, elle se mit à chercher une destination pour leurs vacances. Visiblement les surprises qu’elle préparait semblaient plaire au jeune homme alors pourquoi ne pas prévoir leurs vacances sans rien lui en dire et lui laisser la surprise là encore ? Elle trouva sans trop de mal un séjour à la montagne, au ski, dans les dates de leurs vacances, à un prix raisonnable. Elle réserva tout cela avant de retourner se coucher, l’esprit plus tranquille face à cela et parvenant finalement à trouver le sommeil après quelques minutes au lit, face à Henry qui ne semblait même pas avoir remarqué son absence.
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