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QUAND JE SUIS COUPABLE || Serena
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Pandorà L. Stam
I Shall Believe
Fondatrice
✔ AGE : 25 ans
✔ SEXE : Féminin
✔ METIER : Médecin Légiste
✔ ETUDES : .
★ AVATAR : Nina Dobrev
© CRÉDITS : Crazy Bunny
✔ MESSAGES : 30349
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10/01/1987
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Gianni property
Do not touch


✔ HUMEUR : Plutôt bonne
✔ EN JEUX : Possible (voir le sujet)
✔ SURNOMS : Pandy, Panda, ou Pandy-Panda... le petit ourson de chine. Pandy-Panda... tout droit de l'Himalaya. Je suis déjà dehors !
✔ LA CITATION : L’homme le plus important dans la vie d’une femme n’est pas le premier, mais celui qui ne laissera pas exister le prochain.




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QUAND JE SUIS COUPABLE || Serena Vide
MessageSujet: QUAND JE SUIS COUPABLE || Serena   QUAND JE SUIS COUPABLE || Serena Icon_minitimeMar 23 Aoû - 2:43

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QUAND JE SUIS COUPABLE JE L'ASSUME !


Il était une fois, une fille qui conduisait comme un clown, un pied ou encore ? Arrêtons 5 minutes, sérieusement. Terminé les contes de fées même si on perdure à y croire parfois… à y voir des licornes et des petits lutins qui arriver avec des pots d’or enfin non… ça c’est les leprechauns. Je ne sais pas pourquoi je conduis mal et pourtant j’ai réussi mon permis mais je suis toujours en état d’urgence à rouler vite dans ma vie sans vraiment de répit. Les poteaux ? Les chiots ? Les chatons ? Je m’en veux de faire autant de grabuges dès que je prends le volant mais que changer ? Enfin bref… nous n’allons pas nous écarter du sujet, non ? Revenons à nos petits moutons. Il était une fois, une jolie petite… roh et oui, je vous promets que j’arrête de parler des contes de fées non mais j’en raconte tellement à Lena que je finis par les connaitre par cœur enfin passons. Je prenais alors mon temps lors du réveil, un café bien noir pour me réveiller de mon insomnie en pensant à tout ce qui se passait dans ma vie en ce moment. Entre Gianni, Lena et Lukas par exemple ou bien le retour de mon père aussi ? Tout cela était dans ma tête mais pas seulement, il y avait aussi une situation que je gardais comme : pour moi. Je n’en parlais pas, je n’y pensais pas et pourquoi ? Trop perdue dans cette situation. Serena, un accident de voiture et plus rien. Elle n’était qu’endormie dans un sommeil profond depuis des mois, trop de mois. Il s’était passé tellement de choses et je n’étais même plus la même, j’étais moins peureuse, plus certaine de moi et surtout j’avais le sentiment doux de la culpabilité ayant lâché le mot « accident » du bout des doigts au moment fatidique ou cela arriva. Que devrais-je dire ? Rien ? Si ce n’est que c’est de ma faute. Oh oui, je le pense en lisant le journal et voyant le rappel de son réveil, un petit miracle d’après les médecins enfin je ne sais pas et je ne sais qu’en penser. Je n’en revenais pas en finisse rapidement mon café enfin je le savais car j’y allais tous les jours depuis enfin j’essayais durant mes pauses au boulot de m’y rendre assez souvent. Un peu de temps à autres, comme ça enfin vous voyez ce que je veux dire, non ? Je lui racontais ma vie et le bilan des choses qui s’était passée. C’est alors que je me levais en direction de la chambre en ce dimanche pour aller rapidement enfiler mon jeans et un débardeur tout simple avec une petite veste de cuir classique par-dessus. Je pensais a énormément de choses-là comme l’évolution de ma relation avec Gianni et au fond que je lui ai enfin dis que je l’aimais mais aussi d’autres patchwork de ma vie comme la naissance de Lukas mon neveu, j’avais tellement évoluée et même progressé au volant d’une voiture que je ne savais pas vraiment comment je devais agir. Je sortais alors rapidement en enfilant le pendentif que m’avais offert ma mère rapidement tandis que je venais de sortir de l’école lors de mes 8 ans. Je m’en souviens encore et il me porte bonheur enfin parfois. Je mettais alors rapidement d’haute botte et prenait la voiture en direction des routes qui menait à l’extérieur de la ville pour voir s’afficher le « Vous quittez Sydney » s’afficher sur cette pancarte. Je soupirais doucement en m’arrêtant alors près d’un pont et m’y asseyant en me souvent parfaitement de ce moment.

FLASHBACK
Une douce odeur de jasmin dans cette voiture qui était à la mienne alors que je conduisais le volant sous une petite musique avec Serena à côté de moi. Nous revenions d’une simple petite soirée donc mes souvenirs sont tellement braqués sur cet instant que je ne me souviens même pas du « plus tôt », je ne serais pas dire où… pourquoi ? Comment ? Quand, je ne savais rien du tout sauf que je me voyais donc à conduire au milieu de la nuit sous une pluie de torrent. Je savais que je devais faire attention étant déjà une catastropher au volant mais je faisais attention au possible, croyez moi car je fais plus ample attention quand je ne suis pas seule au volant. Je grimaçais alors en ne voyant pas cet animal sur la route et le percutant sans me rentre contre que la voiture passa alors rapidement de l’autre côté du pont… pour s’y retrouver totalement submergée avec nous enfermée. Je prenais alors assez de souffle pour me détacher la ceinture en la voyant inconsciente et tentant de frapper violemment la vitre et reprenant parfois un peu de souffle dans le trou d’air qu’il restait au-dessus de nous. Cherchant alors à détacher sa ceinture en voyant qu’elle était toujours attachée et je n’y arrivais pas. Je prenais alors rapidement un cutter à l’extérieur dans le sac de cours à Lena en tentant d’arracher la ceinture et cassant alors enfin la vitre tandis que je la soutenais vers l’air… je la sortais de l’eau rapidement mais trop tard, le choc et la blessure qu’elle s’était faite l’avait déjà envoyée loin. Alors que je l’avais sortie de la rivière, je pouvais malgré la pluie sentir les larmes couler sur ma joue « Serena », criais-je assez fort comme espérant qu’elle m’entende en tentant alors un bouche à bouche. J’avais beau être médecin légiste, je savais pertinemment comment je devais réanimer. Il n’y a pas que les idiots qui peuvent faire ça enfin plus vite l’inverse, j’avoue enfin passons car nous nous comprenons, je pense. Je t’entendais tout pour la sauver jusqu’à ce que l’ambulance arrive. Nous arrivions vite à l’hôpital et même très rapidement, je le savais alors que je voyais déjà les lumières de la ville se présenter à moi en reconnaissant les lieux tout en ne la quittant pas vraiment du regard enfin un œil tenait toujours à savoir comment elle allait mais sans réaction. Peu d’heures après c’est alors qu’on apprit qu’elle était dans un coma de zone 2 à 3, je n’en revenais pas vraiment qu’elle en soit là et à cause de moi. J’allais alors à sa chambre et prenais sa main. « Me laisses-moi, je suis désolée… je ne prendrais plus jamais un volant accompagnée. Plus jamais surtout en temps de pluie, je suis désolée. Je t’assure. Réveilles-toi, je ne veux pas te voir ici… tu aimes vivre, rire et faire la folle… reviens pour moi et tous ceux qui t’aiment. Ne restes pas ou que tu sois. », je restais là à lui faire signe de revenir comme si elle pouvait m’entendre. On dit toujours que c’est le cas mais vous croyez que je crois toujours au père noël ? « Je t’en prie », rajoutais-je alors en revenant tous els jours et lui parlant comme si elle m’écoutait sans en penser le moindre mot enfin je veux dire, je savais que je parlais seule et dans le vide.
FIN DU FLASHBACK

Je restais alors le regard dans le vague avec des larmes qui coulaient le long de ma joue pour rejoindre l’eau de la petite rivière… peut-être déborderait-elle à force de larme, un jour ? Je n’en savais rien mais peut-être ? Peut-être pas au fond. Un jour, peut-être ? Je soupirais doucement. « Pandy, tu dois vraiment avoir l’air idiote à pleurer au million de la route », je me sentais coupable, voilà tout. Jouant alors doucement avec mon pendentif en pensant à Serena, à ma mère aussi qui était morte, elle. C’est alors que cette voiture arrivait à zone du pont. Je ne pouvais pas reconnaitre le conducteur, je ne pouvais même pas reconnaitre la voiture, rien… tout m’était étranglés alors que j’avais les yeux embués de larmes. Quand je vis alors la jeune femme sortir de sa voiture, elle… Serena, je ne pus m’empêcher de me lever et aller directement vers ma voiture comme une voleuse. « Désolée, je m’en vais. J’ai pas le droit d’être ici », pour moi, je ne méritais pas son amitié alors que je l’avais tout droit presque envoyée vers la cimetière, je m’en voulais comme je respirais et c’était si simple de lui parler et s’occuper d’elle alors qu’elle était dans le coma, tellement facile. Trop facile. Trop évident et trop simple. Je n’en revenais pas tellement mais je m’en fichais au fond, j’avais causée l’accident. Je me devais d’être rendue coupable. J’allais alors rapidement vers la voiture, ouvrant la portière et prenant place à ma place.
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QUAND JE SUIS COUPABLE || Serena

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