A peine revenu de New-York, la grosse pomme. En fait, j’aurais pu revenir de
n'importe où et même du bout du monde rien que pour Sydney. Cette ville a
bercée mon enfance et était dans ma tête chaque matin avant que je n’ouvre
les yeux pour aller au boulot. Je n’y suis plus revenu depuis 10 ans et là,
je descends de cet avion. Le seul et unique, dernier endroit que j’avais vu
« Kingsford Smith Airport ». Vous vous souvenez toujours du dernier
emplacement que vous voyez, on n’en oublie jamais les détails. Je revois
encore papa qui me dit au revoir alors que maman se contente de le
dévisager. J’étais en fait pressé de sortir de cet endroit quand je me
rappelais des larmes qui coulaient le long de ma joue alors que le cœur de
mes parents se brisaient pour me séparer de l’un d’eux pour 10 ans mais
aussi de ce que fut « ma vie, mon chez moi ». L’endroit où je suis né. Cette
ville n’est d’autre que mon paradis. Je sortais rapidement, retrouvant l’air
que je n’avais plus respiré depuis des années, celui que je rêvais de
retrouver. L’air dont j’aimais emplir mes poumons, celui que j’eu humé à
peine sorti de l’hôpital à ma naissance. Prenant le premier bus en direction
de la plage, les bus cela me fait bizarre car à l’époque, j’avais seulement
des tramways enfin en général, je ne prenais que ça avec ma mère qui me
tenait la main. Descendu de celui-ci et retirant mes tongs pour profiter du
sable fin de ma plage favorite, celle sur laquelle je venais tous les samedi
avec papa pour faire un château de sable… le château dont j’étais la prince
et lui, le roi. Maroubra, cette plage si magnifique. Un recueil pour moi. Je
voyais d’ici les enfants jouer et faire du cerf-volant tandis que des femmes
bronzaient simplement. C’est adorable de retrouver une image presque
disparue. Ecrivant mon nom au bord de la mer et attendant que les vagues
l’emportent. C’était comme quand papa avait dessiné un cœur et l’avait
laissé partir parmi les poissons. Il disait toujours que les sirènes
allaient l’emporter et grâce à ça me promettre amour et chance dans la vie.
Je vous dis, elles font mal leur boulot. Regardant les surfeurs prendre les
vagues et rêvant qu’ils sont ailleurs et surtout passionnés par celles-ci,
j’étais ébahis par leur style et surtout ce qu’ils donnaient pour profiter
du moment. Juste prendre cette vague. A New-York… la seule vague que je
connaissais était celle de mon café noir ! Il était temps de quitter cette
plage, bondée par les habitants se réunissant pour jouer au volley.
Beaucoup se disent… Australie, Sydney donc Kangourou mais non, il n’y a pas
que ça à vrai dire. Sydney n’est pas le paradis des bêtes brunes qui
sautillent avec un petit dans la poche… c’est une ville habitée par des
personnes aussi exceptionnelles, les unes des autres. Marchant dans les rues
et passant par le marché de ce vieux quartier historique « The Rock », j’y
revoyais maman prendre son pain et les légumes du dîner alors que pourtant
je n’étais pas trop fan de ses légumes, je suis devenu végétarien tout de
même. Continuant à marcher dans les rues commerciales alors que les
boutiques ouvrent et les starbucks commencent à se remplir, je ne peux
qu’adorer le parfum qui s’en dégage. Passant sur le « Harbour Bridge », pont
que j’adorais voir la nuit grâce à ses lumières qui me donnent réellement
envie de rêver enfin je ne suis pas en pleine nuit cependant il me suffit de
fermer les yeux pour retrouver ce tableau dans le fond de ma tête. Le
panorama splendide que l’on peut voir, sans oublier l’opéra qui a son charme
et un style innovant. Les habitants de Sydney sont comme vous et moi en
fait. Enfin comme moi aussi ! Ils sont heureux de vivre et savent s’amuser,
ils ne cherchent pas spécialement à être comme les autres. Ils sont ce
qu’ils sont, ils ont leur charme, leur vie et leur histoire. Finissant ma
balade afin de me rendre au Centennial Park et y retrouver mon chez moi, ma
maison à Randwick. Je vois déjà les arbres et les bancs d’autrefois
peut-être avec un peu plus de dégâts qu’avant mais bon. On ne change pas les
jeunes d’aujourd’hui dont le respect s’effrite de jour en jour.
Au fond, n'est-ce pas un petit coin de paradis comme un autre ? Une ville
comme on en voit partout ? Ce qui compte ce n’est pas la ville mais ce
qu’elle est pour vous, la place qu’elle a dans votre cœur et surtout ce
qu’elle représente pour les habitants, un « chez eux ». Seriez-vous prêt à y
vivre ? Laisser votre petite tête, votre esprit s’y évader pour un petit
voyage haut en couleur ?
« Le petit staff du forum »
« Le petit secret du forum »
Le petit plus sur OH SYDNEY TEMPTATION ? Nous avons sans aucuns doutes "une bonne ambiance et plusieurs mois déja sur la planche. Le fun est là, le staff est présent tous les jours et répond aux membres dans les brefs délais. Le forum a atteint rapidement les 100 membres pour redescendre sous le feu mais ne meurt pas car nous avons de la fidélité et de la férocité parmi nous. Nous le lacherons pas prise. Ce forum est un bébé et le sera toujours : On ne lache jamais les bébés sinon ils tombent. Nous serons de bons parents et prions pour obtenir votre confiance et vous acceuillir parmi nos membres car il est clair que l'important est que vous veniez parmi nous, non ?
Bienvenue à Sydney, une ville où l’on compte un nombre de
42060 messages.
Des petits australiens dans l’âme. N’est-ce pas ?
Nous avons 127 membres enregistrés.
Il débarque avec sa planche de surf. Nous ouvrons grands les bras à est
Trey Dawkins. Nous avons des petits touristes. Ils sont 37 le Jeu 20 Jan 2011 - 23:13
aux dernières nouvelles. Actuellement, nous avons
2 utilisateurs en ligne :: 1 Enregistré, 0 Invisible et 1 Invité ::
1 Moteur de recherche
également qui nous dises un petit coucou. Dieu, que j'aime les touristes car
notre ville n'en sera que plus attractive... je me trompe ?